Koen Aerts

Koen Aerts

 

Koen Aerts (°1983)a défendu sa thèse de doctorat à l'Université de Gand en 2011 et l'a publiée sous le titre 'Repressie zonder maat of einde? De juridische re-integratie van collaborateurs in de Belgische staat na de Tweede Wereldoorlog' (AcademiaPress, 2014).
Rédacteur en chef de ‘Was opa een nazi/Papy était-il un nazi ?’ (Lannoo/Racine, 2017), il est à l'initiative du site de référence réalisé par le CegeSoma/ Archives de l'État sur la Seconde Guerre mondiale : www.belgiumwwii.be.
Les recherches effectuées pour son livre ‘Kinderen van de repressie’ (Polis, 2018) sont à la base de la série documentaire Canvas  ‘Kinderen van de collaboratie’ (2017). En tant que consultant scientifique, il a ensuite coopéré à la série ‘Kinderen van het verzet’  (2019) et à la série documentaire de la RTBF en français ‘Enfants de la collaboration’ (2020).

Au cours de ses recherches postdoctorales auprès du Fonds voor Wetenschappelijk Onderzoek-Vlaanderen (2011-2017) et en tant que collaborateur scientifique du projet TRANSMEMO de BELSPO (2017-2019), il s'est plongé dans l'histoire et le transfert de mémoire de la collaboration et de la résistance après la Seconde Guerre mondiale.

En tant que chef de Travaux aux  Archives de l'État et en tant que maître de conférences et chercheur postdoctorant à l'Université de Gand, il est depuis février 2020 responsable de la mise en œuvre du projet FEDTWIN People@War au sein du CegeSoma, 4e direction opérationnelle des Archives de l'État.

Publications :

  • 'Kinderen van de repressie. Hoe Vlaanderen worstelt met de bestraffing van de collaboratie', Polis, 2018.
  • avec Bart Willems, Dirk Luyten, Paul Drossens et Pieter Lagrou (dir.), 'Papy était-il un nazi? Sur les traces d'un passé de guerre', Racine, 2017.
  • avec Maarten Van Ginderachter et Antoon Vrints (red.), 'Het land dat nooit was. Een tegenfeitelijke geschiedenis van België', De Bezige Bij, 2014.
  • “La Belgique et l’après-répression des collaborateurs: des inciviques aux citoyens européens”, in: Marc Bergère, Jonas Campion, Emmanuel Droit, Dominik Rigoll et Marie-Bénédicte Vincent (dir.), Pour une histoire connectée et transnationale des épurations en Europe après 1945, P.I.E. Peter Lang, 2019, pp. 339-353.
  • “L’Affaire De Becker (1956-1962) - La fin de la répression et la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales”, in: Olivier Dard,  Geneviève Duchenne (dir.), Raymond De Becker (1912-1969). Initéraire et facettes d'un intellectuel réprouvé, P.I.E. Peter Lang, 2013, pp. 253-273.
  • avec Nico Wouters, “Mondelinge geschiedenis in België en de (de-)constructie van collectieve herinnering”, in: Belgisch Tijdschrift voor Filologie en Geschiedenis, XCII (2014) 2, pp. 503-511.
  • “De bestraffing van de collaboratie na de Tweede Wereldoorlog: mild in Vlaanderen en streng in Franstalig België? Een pleidooi voor een sociale geschiedenis van de Tweede Wereldoorlog”, in: Wetenschappelijke Tijdingen, LXXIII (2014) 1, pp. 34-65.
  • avec Bruno De Wever, “Het verzet in de publieke herinnering in Vlaanderen”, in: Belgisch Tijdschrift voor Nieuwste Geschiedenis, XLII (2012) 2/3, pp. 78-107.
  • avec Berber Bevernage, “Haunting pasts: Time and Historicity as Constructed by the Argentine Madres de Plaza de Mayo and Radical Flemish Nationalists”, in: Social History, XXXIV (2009) 4, pp. 391-408.
  • “De bestraffing van de collaboratie na de Tweede Wereldoorlog. Beeldvorming en onderzoek”, in: Bijdragen tot de Eigentijdse Geschiedenis (2009) 21, pp. 55-92.
  • “La peine de mort dans la Belgique d'après-guerre: un sacrifice symbolique (1944-1950)?”, in: Histoire et Mesure, XXIII (2008) 1, pp. 191-204.