R
- R. Tonus, journalist van La Légia, 1940-1945. - 1 foto
- Raad van State van Italië, [...-1945]. - 2 foto's
- Race voor kelners in Madrid, [1930-1931]. - 1 foto
- Races met melkkannen : 1942. - 1 foto
- Racisme gericht tegen Joden in Frankrijk, 1940-1942. - 4 foto's
- RAD : oktober 1939. - 3 foto's
- RAD : 1943. - 1 foto
- RAD : 1943. - 1 foto
- R.A.D. (Reichsarbeitsdienst) : Deelname aan de bouw van de Atlantikwall : 1942-1943. - 14 foto's
- R.A.D. (Reichsarbeitsdienst) : deelname aan de versterking van de Middelandse-Zeekust : 1943-1944. - 13 foto's
- R.A.D. (Reichsarbeitsdienst) : varia in Frankrijk : 1940-1944. - 4 foto's
- Radicaal-socialistisch congres te Rijsel : 1937. - 4 foto's
- Beeld 46085 : Avant le Congrès radical de Lille.
Lille.- (Nord.) L'installation des cabines téléphoniques au Palais Rameau où doit se tenir le Congrès du Parti Radical et Radical-Socialiste.
Photo NYT. Lille.ND. 26/10/37. JL.
[Photos N.Y.T. The New York Times. Wide World Photos]
- Beeld 46087 : Le congrès radical socialiste de Lille.
Une vue générale du Palais Rameau, pendant la séance d'ouverture du Congrès.
SP 28-10-37
[copyright by Agence Trampus] [Sipho]
- Beeld 46089 : Le congrès radical socialiste de Lille.
Une vue de la Conférence des Présidents sur la Politique Générale du Parti.
De gauche à droite, M. Maze (avec lunettes), Secrétaire Général du parti, M. Daladier, M. Emile Roche, M. Auxionnaz, Secrétaire Adjoint, M. Perin, Député de la Marne, & M. Passaud, Député de la Charente.
28-10-37
[copyright by Agence Trampus] [Sipho]
- Beeld 46092 : Au congrès radical socialiste de Lille. La tribune officielle, pendant un discours de M. Daladier. De gauche à droite, on reconnaît MM. Camille Chautemps, Edouard Herriot, Edouard Daladier, Emile Roche & César Campinchi. 29-10-37.
[copyright by Agence Trampus] [Sipho]
- Radiësthesie in Frankrijk : [1935]. - 13 foto's
- Beeld 51932 : Congrès des sourciers à Paris.
Vue générale sur le congrès.
S907
[Sipho]
- Beeld 51934 : La fin de la légende de Hertain.
(voir article ci-joint)
Monsieur Faure, assistant du Docteur Moineau indiquant au moyen d'une boussole spéciale les oscillations provoqués par certaines radiations.
[Ooriginal Foto Leihweise !]
[Gregor Kutschuk. Agentur für Presse] [Sipho[
- Beeld 51935 : A Cornieilles en Parisis. Le problème des sourciers.
Pendant les expériences de l'Abbé Lambert.
73775
[Photos N.Y.T. The New York Times. Wide World Photos]
- Beeld 51937 : L'Abbé Lambert donnant une leçon pour devenir sourcier à Léo Poldis.
73776
[Photos N.Y.T. The New York Times. Wide World Photos]
- Beeld 51938 : Sourciers en action.
82.230
[Photos N.Y.T. The New York Times. Wide World Photos]
- Beeld 51940 : Sourciers en action à Haut-Isles (S. et Oise).
82.229
[Photos N.Y.T. The New York Times. Wide World Photos]
- Beeld 51941 : La fin de la légende de Hertain.
(voir article ci-joint)
Monsieur le Docteur Moineau procédant aux expériences courantes de sourcier. Il tient en main le coudrier.
[Sipho]
- Beeld 51942 : La fin de la légende de Hertain.
(voir article ci-joint)
Docteur Moineau aux prises avec les forces rayonnantes. On remarque par terre les appareils nécessaires aux expériences.
[Sipho]
- Beeld 51944 : La fin de la légende de Hertain.
(voir article ci-joint)
Docteur Moineau aux prises avec les forces rayonnantes.
[Orignal Foto Leihweise !]
[Gregor Kutschuk. Agentur für Press] [Sipho]
- Beeld 51945 : Rayon de radiesthésie dans un grand magasin.
Il faut croire que les adeptes de cette nouvelle science sont assez nombreux, pour qu'il y ait un rayon spécial dans un grand magasin pour satisfaire les demandes en baguettes et des pendules sensibles aux radiatations mystérieuses.
[Société générale de la Presse] [Sipho]
- Beeld 51947 : [Photos N.Y.T. The New York Times. Wide World Photos]
- Beeld 51949 : A l"aide d'un pendule perfectionné, un Américain aurait découvert un énorme trésor à Vallauris. (Alpes Maritimes).
M. Lewis Palen bien connu aux Etats-Unis est théologien et radiesthésiste. Il poursuit actuellement à Vallauris sur la propriété d'une de ses amies et compatriotes, Mrs Katherine Ingervoll des recherches qui selon lui aboutiront à la découverte d'un trésor, remontant au temps des Romains voire de la colonisation grecque. C'est muni d'un pendule perfectionné, que M. Palen sourcier convaincu affirme avoir découvert, au fond d'un puits, un tunnel souterrain à 13 mètres sous terre et menant également à un chambre également sous-terraine, elle-même donnant sur plusieurs tavernes. Ce trésor se trouverait derrière un mur très épais que des ouvriers ont déjà attaqué. M. Palen a déjà découvert un squelette d'enfant sans tête et un crâne humain.
Voici la villa "Lockwood" située en plein bois.
Phot.NYT. Vallauris le 10/7/35. PL.GL.35
[Photo NYT Photo. The New York Times. Wide World Photos]
- Beeld 51950 : A l"aide d'un pendule perfectionné, un Américain aurait découvert un énorme trésor à Vallauris. (Alpes Maritimes).
M. Lewis Palen bien connu aux Etats-Unis est théologien et radiesthésiste. Il poursuit actuellement à Vallauris sur la propriété d'une de ses amies et compatriotes, Mrs Katherine Ingervoll des recherches qui selon lui aboutiront à la découverte d'un trésor, remontant au temps des Romains voire de la colonisation grecque. C'est muni d'un pendule perfectionné, que M. Palen sourcier convaincu affirme avoir découvert, au fond d'un puits, un tunnel souterrain à 13 mètres sous terre et menant également à un chambre également sous-terraine, elle-même donnant sur plusieurs tavernes. Ce trésor se trouverait derrière un mur très épais que des ouvriers ont déjà attaqué. M. Palen a déjà découvert un squelette d'enfant sans tête et un crâne humain.
Voici l'entrée du puits.
Phot.NYT. Vallauris le 10/7/35. PL. GL.95
[Photo NYT Photo. The New York Times. Wide World Photos]
- Radio : [...-1939]. - 63 foto's
- Beeld 38788 : La police de l'Ether. Le contrôle permanent des longueurs d'onde au laboratoire de l'Union Internationale de Radiophonie, à Bruxelles. Ce laboratoire fondé à Uccle, près de Bruxelles, par M. Raymond Braillard, fonctionne sans arrêt depuis 1926. Une collaboration serrée avec de nombreux laboratoires de contrôle et de stations d'émission, un laboratoire doté d'appareils les plus perfectionnés permettent à M. Braillard d'approfondir le problème de la radiophonie et de l'élimination des parasites industriels. Aspect du laboratoire de contrôle de l'Union Internationale de Radiodiffusion, à Bruxelles : M. Raymond Braillard, président de la Commission Technique et directeur du Laboratoire de Contrôle de l'.U.I.R. étudiant la stabilité d'une station de radiodiffusion.
- Beeld 38792 : La police de l'Ether. Le contrôle permanent des Longueurs d'onde au laboratoire de l'Union Internationale de Radiophonie, à Bruxelles. Ce laboratoire fondé à Uccle, près de Bruxelles, par M. Raymond Braillard, fonctionn sans arrêt depuis 1926. Une collaboration serrée avec de nombreux laboratoires de contrôle et de stations d'émission, un laboratoire doté d'appareils les plus perfectionnés permettent à M. Braillard d'approfondir le problème de la radiophonie et de l'élimination des parasites industriels. Aspect du laboratoire de contrôle de l'Union Internationale de Radiodiffusion, à Bruxelles : Dispositif d'enregistrement continu de l'intensité de réception pour l'étude du "fading".
- Beeld 38795 : Au Centenaire. Le Ministre Marc a inauguré cet après midi le salon de la T.S.F. Une vue d'ensemble : 3/9/1938.
- Beeld 38797 : Un des postes de réception équipé pour auto par le Réseau des Amateurs Emetteurs de Belgique, qui suivra l'ascenssion de Cosijns, en restant en rapport constant avec lui.
- Beeld 38826 : I.N.R. Détail du circuit oscillant final.
- Beeld 38829 : Une salle d'accumulateurs. I.N.R.
- Beeld 38830 : I.N.R. Le condensateur du circuit oscillant final.
- Beeld 38832 : I.N.R. 2me étage d'amplification (1ère amplification à 10.000 volte à refroidissement à l'air).
- Beeld 38833 : I.N.R. La machine à faire le vent.
- Beeld 38834 : Le poste d'Etat de Ruyssel
- Beeld 38835 : I.N.R. Monsieur Dammans, chef de poste à Velthem.
- Beeld 38836 : I.N.R. A droite le dernier étage d'amplification.
- Beeld 38837 : I.N.R. Vue d'ensemble du grand hall de la double station de Velthem.
- Beeld 38838 : A gauche le panneau de redresseur 3000 Volt. A droite oscillateur et séparateur en dessous la lampe sous modulatrice, la modulatrice et la première modulée.
- Beeld 38839 : I.N.R. Les panneaux de la station d'amplification à Velthem.
- Beeld 38840 : I.N.R. Amplifications, de lignes basse fréquence.
- Beeld 38841 : Vue d'ensemble des panneaux d'amplification et du panneau de commande.
- Beeld 38842 : I.N.R. Salle des machines. A droite un groupe de courant de chauffage des filaments - au fond un transformateur 20.000 Volts et un filtre haute tension.
- Beeld 38845 : I.N.R. Quelques lampes au magasin.
- Beeld 38846 : I.N.R. Petit orchestre (conducteur Pierre Leemans).
- Beeld 38847 : I.N.R. La sous-station de force motrice.
- Beeld 38848 : I.N.R. Arrivée des câbles radiophoniques spéciaux (Bruxelles-Velthem).
- Beeld 38849 : I.N.R. Contrôle de l'émission à l'arrivée 1ère étage d'amplification.
- Beeld 38850 : Monsieur Guery, secretaire de presse de I.N.R.
- Beeld 38851 : L'explosion à distance. Gand. Un amateur de T.S.F. (Télégraphie sans fil) de Gand, M. Vander Stegen a devant différentes personnalités, prouvé que l'on pouvait provoquer une explosion ou un incendie à distance. A l'aide d'un dispositif très simple, branché sur un poste récepteur de T.S.F, il fit éclater une charge de poudre à une distance de 12 km par émission d'une longueur d'onde de 42 mètres. Il prouva ainsi que dans une simple valise contenant un petit poste récepteur et des matières explosives, l'inflammation pouvait se faire soit au moment de l'entrée en action d'un grand poste d'émission (et sans que celui-ci se douta le moins du monde que ses ondes pouvaient créer une catastrophe), soit par émission sur courtes longueurs d'ondes, d'un poste clandestin qui déclancherait l'explosion à l'heure choisie. Ces expériences ont particulièrement intéressé le commandant Schoofs du paquebot "Atlantique". M. Vander Stegen avec son appareil.
- Beeld 38852 : Bruxelles. Place Sainte-Croix. On commence les fondations du bâtiment de l'I.N.R.
- Radio club portugues : [1940-1945]. - 1 foto
- Radio, divers, [1932]. - 3 foto's
- Radio, divers, [1944]. - 15 foto's
- Radio in de Verenigde Staten: Diverse radiouitzendingen, 1930-1938. - 9 foto's
- Radio in de Verenigde Staten: Diverse toepassingen en uitvindingen, 1930-1940. - 10 foto's
- Radio in de Verenigde Staten: National Broadcasting Company, 1938-1939. - 4 foto's
- Radio in de Verenigde Staten: Radio station WJZ, 24/10/1932. - 4 foto's
- Radio in de Verenigde Staten: Technische aspecten, 1930-1940. - 12 foto's
- Radio in Frankrijk : 1930-1938. - 7 foto's
- Beeld 51851 : 1003 / 2390.
Trompeten am Grabe des unbekannten Soldaten - ein Zeichen der Zeit.
Anlässlich des Aufenhalts amerikanischer Legionäre in Paris wurden am Grabe des unbekannten Soldaten Trompetensignale gegeben, die durch Radio über alle Welt verbreitet wurden.
[Sipho]
4039
- Beeld 51853 : Un film sur la naissance des ondes.
Le speaker est un des principaux personnages de la TSF !
Photo montre Mr. Laporte ou Radiolo devant le micro.
S354
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Beeld 51855 : Bruits de TSF.
Tous les soirs, les nouvelles intéressantes de la journée sont annoncées par TSF.
S570
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Beeld 51857 : Miracle de notre temps... et de la radio.
Les Américains de Paris ont attendu avec impatience, l'élection présidentielle qui s'est deroulée cette nuit. Partout, dans des bars, et à l' American Legion de Paris, les résultats étaient annoncé par radio !.
Notre photo montre la mise au point des appareils de radio à l'American Legion.
[copyright Service général de la Presse]
- Beeld 51860 : "Un poste mondial d'écoute" construit en quatre jours dans un fort désaffecté de Bicêtre.
Le ministère des P.T.T. vient de faire construire "un poste mondial d'écoute" dans une casemate ruinée du Fort de Bicêtre. Une vingtaine d'écouteuses officielles prendront en sténographie les émissions faites en langue étrangère quelles qu'elles soient.
Voici une vue de l'entrée du poste d'écoute et des antennes, celles-ci sont installées au-dessus du vieux fort de Bicêtre. Bicêtre.
Phot. NYT. Bicetre le 6/9/35. Ber. GL100
[Photos N.Y.T. The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 51862 : Pour sauver les skieurs en détresse dans la montagne, des expériences de T.S.F. ont eu lieu entre les skieurs munis de petits appareils et des avions en vol.
Saint-Cergues. - Des expériences de sauvetage de caravanes en détresse ont eu lieu en Haute Savoie. Les skieurs munis au préalable d'appareils T.S.F. portatifs ont pu entrer en communication avec un avion en plein vol muni d'un poste émetteur. L'avion a pu renseigner ainsi les skieurs perdus sur le chemin et la direction à prendre.
Une skieuse munie de son appraeil et de son bâton lui servant de pilier d'antenne écoute la communication que lui transmet l'avion en vol.
Photo NYT CRO 21/2/38 RB 120.
[Photos N.Y.T. The New York Times. Wide World Photos]
- Beeld 51864 : WW. Mont Blanc. 320621. GL.125.
Première radiodiffusion mondiale de Haute Altitude.
Mont Blanc. - La première radiodiffusion mondiale de haute altitude a été réalisée ces jour-ci par la station d'état français de Lyon - La Doua avec le concours des Guides Alfred Couttet et Roger Frison Roche, de Chamonix, depuis le sommet du Mont Blanc, 4.810 mètres.
Voici au cours de la première liaison, Alfred Couttet (avec le casque) et Roger Frison (parlant au micro) se mettant en liaison avec la vallée.
[The New York Times. Wide World Photos]
- Radio in Italië, 1935. - 10 foto's
- Beeld 158995 : Rome hears war news through loudspeakers. Big loudspeakers have been installed in all the main streets and squares of Rome and other Italian cities so that the population can be kept in touch with the latest war news. Photo shows : loudspeakers to broadcast war news in the Piazza del Popolo, Rome. VE October 13 th 1935 PN.r. [Actualit]
- Beeld 158996 : M. Mussolini inaugure aujourd'hui la station italienne "Radio Impériale" près de Rome.
N.P.M. : les ouvriers finissant le montage des innombrables pylônes de "Radio-Impériale" 2.XI.3 [Les Actualités Belges : Gregorius]
- Beeld 158997 : Die Eröffnung der Radio Messe in Mailand unter Teilnahme des Italienischen Verkehrsministers. U.B.z. : einen Stand der Eiar.F.7. [Sipho] [Censure photographique]
- Beeld 158998 : Die Eröffnung der Radio Messe in Mailand unter Teilnahme des Italienischen Verkehrsministers. U.B.z. : die Behörden besuchen verschiedene Stände der Eiar. F.Z. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur]
- Beeld 158999 : Le conflit Italo-Ethiopien. Au Milieu de la galerie de Milan, à Milan, a été placée une grande carte en relief de l'Afrique Orientale, sur laquelle, les Milanais viennent suivre l'avance des troupes italiennes en Ethiopie. Photo NYT Milan 21/11/1935 Bru.LB.80 [Actualit]
- Beeld 159000 : Die Eröffnung der Radio Messe in Mailand unter Teilnahme des Italienischen Verkehrsministers. U.B.z. : einen Stand der Eiar.F. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur]
- Beeld 159001 : Milano, 19 sttembre 1936 XIV° L'inaugurazione dell' VIII Mostra della Radio Particolare di apparechische serviranno per audiziani in Africa Orientale. [Actualit]
- Beeld 159002 : Der Papst kann jetzt auch bildtelegrafieren. Die neue Funkanlage des Vatikans ist soeben durch den Papst eingeweiht worden. Die Radio-Station der Papstes beabsichtigt, künftig eine regelmässige Bildfunk-Uebertragung einzuführen. Eine Radio-Photographie des Papstes wurde in diesen Tagen bereits vom Vatikan nach Paris übermittelt. Cardinal Verdier in Paris besichtigt den Vorgang der Uebertragung und die Apparate. [Sipho]
- Beeld 159003 : Die Eröffnung der Radio Messe in Mailand unter Teilnahme des italienischen Verkehrministrers. U.B.z. : zwei besonders schöne Modelle auf der Radio Messe in Mailand. F.Z. [Sipho] [Censure photographique]
- Beeld 159004 : Bru. Rome. -320915 - CK. La quatrième exposition de la radio à Milan. Milan = actuellement, à Milan se tient le 4ème Exposition de la Radio. On y voit des essais de télévision. Voici une photo prise dans la cabine de réception de l'Exposition une expérience de télévision qui, du reste, parrait très réussie. [Actualit] [Wide World Photos]
- Radio in Oostenrijk: Divers, 1929-1945. - 34 foto's
- Radio tentoonstelling in Berlijn, 1933-1938. - 4 foto's
- Radiodiagnose in Frankrijk, [...-1939]. - 7 foto's
© Ceges.
- Radio-Omroep : [...-1945]. - 1 foto
- Radiotaxi's te Parijs : [...-1939]. - 5 foto's
- Radiowinkel in Frankrijk : [...-1939]. - 3 foto's
- RAF in Noorwegen : 1942. - 5 foto's
- Beeld 120918 : LA GUERRE EN NORVEGE.
Un aspect de la région au-dessus de laquelle les avions anglais, dans de très mauvaises conditions atmosphériques, ont à faire leurs observations, à prendre des photographies et à attaquer les bateaux de ravitaillement ennemis.
- Beeld 120919 : R.A.F. "CLOSE UP" OF GERMANY'S GIANT BATTLESHIP "TIRPITZ" LYING IN NORWEGIAN FJORD.
A recent photograph of the Nazi Battleship "Tirpitz" obtained by an R.A.F. reconnaissance aircraft in Aas Fjord, Norway. She is protected by an anti-torpedo boom, stretching from amidships on the starboard side aft, and towards the adjacent shore. Floating camouflage lies on both sides of het-r bow and stern, while heavy white camouflage material is spread over the barrels of the 15"guns.
- Beeld 120920 : GERMANY'S GIANT BATTLESHIP "TIRPITZ" IN TRONDHEIM FJORD: A RECENT R.A.F. RECONNAISSANCE PHOTOGRAPH.
A recent R.A.F. reconnaissance photograph of the German battle "Tirpitz" steaming a speed in a north=easterly direction in Trondheim Fjord.
- Beeld 120921 : LE BOMBARDEMENT DE L'AERODROME DE STAVANGER.
Une salve de cinq bombes tombant sur la piste de lancement de l'aérodrome de Stavanger. Ces bombes sont lancées par un avion britannique.
La croix que nous voyons en)dessous de la photo nous montre la piste du lancement.
Une photo prise quelques secondes plus tard nous montre que les bombes ont touché leur but.
Cette photo laqisse également voir que l'aérodrome a été fort endommagé par les divers raids anglais. Il est parsemé d'entonnoirs causés par les bombes.
- Beeld 120922 : L'ATTAQUE AERIENNE DE L'AERODROME DE STAVANGER.
Une attaque de la R.A.F. sur STAVANGER.
La photo marquée II prise à 1300 mètres d'altitude montre clairement la chute de 2 bombes. L'autre marquée 10 montre l'éclatement de ces deux mêmes bombes a quelques mètres d'un avion ennemi.
Une troisième bombe, elle éclate à l'extrelité de la piste de roulage. Sur cette photo, l'on voit parfaitement trois avions de transport Ju 52 endommagés, un He III avec l'aile détruite et un Ju 88 dont le bout de l'aile git sur le sol.
- Raf van Hulse, SS-leider a.i. voor Vlaanderen, oorlogscorrespondent, 1942-1944. - 6 foto's
- Beeld 7481 : Raf Van Hulse.
- Beeld 7482 : Raf Van Hulse, links op de foto, inspecteert een sectie van het Flandern-Korps
- Beeld 7483 : Départ des volontaires flamands pour le front de l'est, le 29/8/42.
Mr. Raf Van Hulse, chef des SS. Flandres, pendant son allocution.
Vertrek der Vlaamse vrijwilligers naar het Oostfront op 29/8/42.
Mr Raf Van Hulse, Chef der SS-Vlaanderen tijdens zijn redevoering.
- Beeld 7484 : Ingericht door de DeVlag Brussel....
... had heden, 8.7.44, een plechtige 11 Juli-viering plaats waar SS Kriegsberichter R. v. Hulse het woord voerde
- Beeld 7485 : Départ des volontaires flamands pour le front de l'Est, le 29/8/42.
Monsieur Raf Van Hulse, chef des SS Flandres pendant son allocution.
Vertrek der Vlaamse vrijwilligers voor het Oostfront op 29/8/42.
Mijnheer Rafh Van Hulse, chef der SS Vlaanderen tijdens zijn redevoering.
- Beeld 7486 : Raf Van Hulse, leider van de SS. Standaard Vlaanderen heeft zich eveneens gemeld.
- Raketten V1 - V2, divers, 1944. - 15 foto's
- Ramirez de Maetzu-instituut : 1942. - 1 foto
- Rampen en natuurverschijnsels in de Filippijnen, 1931-1938. - 5 foto's
- Beeld 153101 : Le "Mayon", un des plus grands volcans des îles Philippines, vient d'entrer en éruption après dix ans d'inactivité.
Voici une vue saisissante du volcan prise d'avion.
Photo N.Y.T. Man. 27.6.38. JM.
[Service photographique The New York Times] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 153102 : Seven steamers caucht in disastrous Manila typhoon.
Several people lost their lives in the disastrous typhoon which struck Manila in the Philippines and cause damage to the extent of a million pounds. Seven steamers, as well as a number of smaller vessels, were driven ashore or sunk.
The British "Glen Line" steamer Glenogle (9.513 tons) and the American ship Gertrude Kellog (5.063 tons) were driven aground in Manila bay.
Photo shows: The inter-island steamer Ulises which sunk in the typhoon.
SUN November 2nd 1934 PN.r.
[copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 153103 : Seven steamers caught in disastrous Manila Typhoon.
Several people lost their lives in the disastrous typhoon which struck Manila in the Philippines and caused damage to the extent of a million pounds. Seven steamers, as well as a number of smaller vessels, were driven ashore or sunk.
The British "Glen Line" steamer Glenogle (9.513 tons) and the American ship Gertrude Kellog (5.063 tons) were driven aground in Manila bay.
Photo shows: The Glenogle on a sank bank after having been driven aground in the typhoon. In foreground can be seen the wreckage of the steamer Mundaca which was battered to pieces.
SUN November 2nd 1934 PN.r.
[copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 153104 : Graphic pictures of rescue of British shipwreck survivors - 43 picked up by american warship in the Philippines.
Theses pictures are probably the most graphic ever made of rescue at sea. They were taken when 43 survivors of the London steamer Silverhazel were picked up by the American destroyer Peary after the ship had broken in two on San Bernardino Island, in the Philippines in a storm.
The survivores spent two days and nights on a waveswept rock before they escaped on improvised rafts. Mrs. Neil Williams, an American woman passenger became insane and was swept off the rock and drowned. The boy of 19-year-old Bernard McPherson an apprentice of Churchdown, Gloucestershire, was also recovered. The bodies of the captain and a lascar seaman were not found.
Many lascars were among the rescued.
Photo shows: Seven lascar survivors of the Silverhazel clinging to pieces of wreckage as a seaman on the U.S.S. Bulmer, which also took part in the rescue work, prepared the throw a line.
UP December 4th 1935 PN.r.
[copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 153105 : Die Philippinen, ein Zankapfel im Pazifik.
(Siehe beiliegenden Artikel)
Brütende "Boobies" bei Tabataja.
Copyright by Presse Photo G.m.b.H.
Text Ohne Gewaehr
[Photo Champroux - 22 oct. 1951] [copyright by Photo "Actualit"]
- Rampen en ongevallen bij de Franse koopvaardij : "Atlantique" (Cherbourg) : 1933. - 19 foto's
- Beeld 42550 : 7 janvier 1933. Après la catastrophe de l'Atlantique. Le remorqueur Lauwerzee qui a collaboré au sauvetage de l'épave.
[Agence Rol] [Sipho]
- Beeld 42552 : 7 janvier 1933. Après la catastrophe de l'Atlantique. Le remorqueur "L'Iroise" qui a collaboré au sauvetage de l'épave.
[Agence Rol] [Sipho]
- Beeld 42555 : 7 janvier 1933. Après la catastrophe de l'Atlantique.
Les trois remorqueurs ayant collaboré au sauvetage de l'épave.
De gauche à droite: le Simson, le Rooderzee et le Wittezee, photographiés en rade de Cherbourg.
[Agence Rol] [Sipho]
- Beeld 42558 : 7 janvier 1933. Cherbourg. Catastrophe de l'Atlantique.
Le paquebot tiré par les remorqueurs quelques instants avant son entrée dans le port. Cherbourg.
[Agence Rol] [Sipho]
- Beeld 42560 : 7 janvier 1933. Après la catastrophe de l'Atlantique.
L'épave de l'Atlantique rentre en rade de Cherbourg tirée par un remorqueur.
[Agence Rol] [Sipho]
- Beeld 42563 : 8 janvier 1933. Cherbourg. Après la catastrophe de l'Atlantique.
Un des marins du remorqueur Minotaure qui parvint le premier à accrocher un fillin à l'épave.
[Agence Rol] [Sipho]
- Beeld 42565 : Cherbourg 8 janvier 1933. Catastrophe de l'Atlantique.
Un aspect général du paquebot quelques instants avant son entrée dans le port.
On remarque le pavillon français hissé sur le mât.
[Agence Rol] [Sipho]
- Beeld 42568 : 8 janvier 1933. Cherbourg. Après la catastrophe de l'Atlantique.
L'Atlantique accosté par un remorqueur dont les ouvriers spécialistes vont couper au chalumeau le grand mât qui s'était abbattu pendant l'incendie du paquebot.
[Agence Rol] [Sipho]
- Beeld 42570 : 8 janvier 1933. Après la catastrophe de l'Atlantique".
Une vue d'une partie de la coque qui montre bien les effets de l'incendie sur le paquebot.
[Agence Rol] [Sipho]
- Beeld 42573 : Close-up ot the burning French Liner from the Air.
This unusual close-up photograph of the super-structure of the French liner Atlantique was taken from the air at a height of less than one hundred feet as she neared the coast of France on her way to Cherbourg where she was towed by tugs. The picture gives a graphic view of the fallen-in upper decks.
jan 6th 1933. PN C.
[copyright Planet News Ltd]
- Beeld 42575 : Close-up ot the burning French Liner from the Air.
This unusual close-up photografph of the super-structure of the French liner Atlantique was taken from the air at a height of less than one hundred feet as she neared the coast of France on her way to Cherbourg where she was towed by tugs. The picture gives a graphic view of the fallen-in upper decks.
Jan 6th 1933. PN C.
[copyright Planet News Ltd]
- Beeld 42576 : Captain of Atlantique boards burnt out ship as she nears Cherbourg.
As seven tugs battled against heavy wind to tow the burnt cut French liner L'Atlantique to Cherbourg, from the coast of England where she had drifted, the commander of the liner captain, Schoofs boarded the liner from the tug with a few of his men who had been saved the day the ship caught fire. The were unable to go beyond the storm of the liner because of the intense heat.
Photo shows: The still smoking Atlantique being towed to Cherbourg.
Jan 6th 1933. PN C.
[copyright Planet News Ltd] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42578 : Pictures from the Air.
Burning French Liner, L'Atlantique, towed through heavy Fog to Portland, after drifting to English coast.
The burning French Liner L'Atlantique which caught fire near the Channel Islands, drifted to within a few miles of the English coast, south-east of Portland Bill. Eight tugs and a French torpedo-boat managed to get near the Atlantique, and she was towed through heavy fog by tugs to Portland.
Photo shows: L'Atlantique being towed through the fog, to Portland.
Jan 5th 1933. PN AB.
[copyright Planet News Ltd]
- Beeld 42580 : Pictures from the Air. Burning French Liner, L'Atlantique, towed through heavy Fog to Portland, after drifting to English coast.
The burning French Liner L'Atlantique which caught fire near the Channel Islands, drifted tot within a few miles of the English coast, south-east of Portland Bill. Eight tugs and a French torpedo-boat managed to get near the Atlantique, and she was towed through heavy fog by tugs to Portland.
Photo shows: L'Atlantique being towed through the fog, to Portland.
Jan 5th 1933. PN AB.
[copyright Planet News Ltd] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42582 : Pictures from the Air. Burning French Liner, L'Atlantique, towed through heavy Fog to Portland, after drifting to English coast.
The burning French Liner L'Atlantique which caught fire near the Channel Islands, drifted tot within a few miles of the English coast, south-east of Portland Bill. Eight tugs and a French torpedo-boat managed to get near the Atlantique, and she was towed through heavy fog by tugs to Portland.
Photo shows: L'Atlantique being towed through the fog, to Portland.
Jan 5th 1933. PN AB.
[copyright Planet News Ltd] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42585 : 8 janvier 1933. Cherbourg. Après la catastrophe de l'Atlantique.
Les curieux suivent à la jumelle les manoeuvres des remorqueurs pour rentrer le paquebot au port.
[Agence Rol] [Sipho]
- Beeld 42587 : Cherbourg 330105 SP
WW
Le paquebot "Atlantique" en feu au large des Casquets.
Cherbourg.- Le paquebot "Altantique", courrier du Brésil, une des plus belles unités de notre Marine Marchande, a pris feu en pleine mer alors qu'il se trouvait au large des Iles Casquets, se rendant de Bordeaux au Havre, où il devait subir de légères réparations.
Le navire avait été lancé au mois d'avril 1931 à Saint-Nazaire.
Fort heureusement le paquebot ne transportait à son bord aucun passager.
Une grande partie de l'équipage a été recueillie par le cargo allemand "Ruhr" qui arriva le 1er sur le lieu de l'accident.
Le vapeur hollandais "Achilles" a ramené à Cherbourg, une partie de l'équipage, auquel manquent 18 hommes qui ont été asphyxiés au carbonisés.
N/ photo représente le débarquement des blessés de "L'Atlantique" à la Gare Maritime de Cherbourg.
UR 100
[Wide World Photos. The New York Times] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42589 : Cherbourg 330105 SP
WW
Le paquebot "Atlantique" en feu au large des Casquets.
Cherbourg.- Le paquebot "Altantique", courrier du Brésil, une des plus belles unités de notre Marine Marchande, a pris feu en pleine mer alors qu'il se trouvait au large des Iles Casquets, se rendant de Bordeaux au Havre, où il devait subir de légères réparations.
Le navire avait été lancé au mois d'avril 1931 à Saint-Nazaire.
Fort heureusement le paquebot ne transportait à son bord aucun passager.
Une grande partie de l'équipage a été recueillie par le cargo allemand "Ruhr" qui arriva le 1er sur le lieu de l'accident.
Le vapeur hollandais "Achilles" a ramené à Cherbourg, une partie de l'équipage, auquel manquent 18 hommes qui ont été asphyxiés au carbonisés.
N/ photo représente le débarquement des blessés à la Gare Maritime de Cherbourg, ramenés par le vapeur hollandais "Achilles". Les familles des membres de l'équipage viennent reconnaître les leurs.
UR 100
[Wide World Photos. The New York Times]
- Beeld 42590 : 8 janvier 1933; Cherbourg. Après la catastrophe de l'Atlantique.
Le boy du capitaine Schoofs, commandant l'Atlantique qui fut un des premiers à signaler l'incendie du paquebot.
[Agence Rol] [Sipho]
- Rampen en ongevallen bij de Franse koopvaardij : "Lafayette" (Le Havre) : 1938. - 2 foto's
- Rampen en ongevallen bij de Franse koopvaardij : "Paris" (Le Havre) : 1939. - 18 foto's
- Beeld 42547 : Le transatlantique Paris est détruit par un incendie.
La foule regarde le Paris en feu.
Photo NYT. Le Havre le 19/4/39. AVEL R. 1.
- Beeld 42548 : La marine marchande française en deuil.
Un incendie a fait rage cette nuit à bord du paquebot "Paris" qui devait partir ce matin pour New York. A la suite de cet incendie le navire se retourne.
Le dernier pompier qui lutte à bord contre l'incendie est descendu au moyen d'une grue quelques minutes avant le naufrage du "Paris".
Trampus P.R. 19.4.39.
[copyright Agence Trampus] [Sipho]
- Beeld 42549 : L'agonie du Paquebot "Paris" dans le port du Havre...
Après avoir été la proie des flammes, le transatlantique "Paris" s'est couché sur le flanc. On remarque des ouvriers sur sa coque encore chaude.
Photo NYT. Le Havre. Av. 19/4/39. JL
[Wide World Photos. The New York Times. Photos N.Y.T.] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42551 : Le transatlantique Paris est détruit par un incendie.
Voici une photographie prise pendant le sinistre, le Paris en feu est au fond; au premier plan, le Normandie en cale sèche.
Photo NYT. Le Havre le 19/4/39. AVEL. R. 1.
[Wide World Photos. The New York Times. Photos N.Y.T.] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42553 : Le paquebot transatlantique "Paris" est détruit par un incendie...
Au premier plan le "Normandie", et au fond le "Paris" en flammes penchant sur côté gauche, et prêt à couler.
Photo NYT. Le Havre. 19.4.39. JM.
[Wide World Photos. The New York Times. Photos N.Y.T.]
- Beeld 42554 : Le transatlantique Paris est détruit par un incendie.
Voici le Paris en feu dans le port du Havre.
Photo NYT. Le Havre le 19/4/39. AVEL.R. 1.
[Wide World Photos. The New York Times. Photos N.Y.T.]
- Beeld 42556 : Le paquebot "Paris" (37.000 tonnes) a été détruit par le feu au Havre.
N.p.m.: Le "Paris" en feu cette nuit au Havre. Ce sinistre est dû à une cause inconnue. 19.4.39.
[copyright by "Fulgur"] [copyright Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Beeld 42557 : Le transatlantique Paris est détruit par un incendie.
Voici le Paris en feu dans le port du Havre.
Photo NYT. Le Havre le 19/4/39. AVEL. R. 1.
[Wide World Photos. The New York Times. Photos N.Y.T.]
- Beeld 42559 : Crépuscule sur un drame maritime.
N.p.m.: le paquebot "Paris" photographié hier soir couché près du quai au Havre; au fond, la masse sombre et imposante de "Normandie". 20.4.39.
[copyright by "Fulgur"]
- Beeld 42561 : Le feu éclate sur le "Paris" le jour même où il devait partir pour New York.
N.P.M.: Le paquebot en feu pendant que les pompiers luttent contre le sinistre aux premières heures de la matinée.
Photo Sipho
[copyright Agence Trampus] [Sipho]
- Beeld 42562 : Le paquebot "Paris" a été incendié cette nuit au Havre...
...et le sinistre serait dû à des mains criminelles. 19.4.39.
N.p.m.: les pompiers cette nuit devant la coque embrasée du magnifique bateau de 37.000 tonnes.
[copyright by "Fulgur"] [copyright Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Beeld 42564 : Le paquebot "Paris" (37.000 tonnes) a été détruit par le feu au Havre.
N.p.m.: le "Paris" en feu cette nuit au Havre. Ce sinistre est dû à une cause inconnue. 19.4.39.
[copyright by "Fulgur"] [copyright Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Beeld 42566 : Le feu éclate sur le "Paris" qui devait quitter Le Havre aujourd'hui pour New York.
Voici le paquebot en feu pendant que les pompiers luttent contre le sinistre aux premières heures de la matinée.
Trampus P.R. 19.4.39.
[copyright Agence Trampus] [Sipho]
- Beeld 42567 : Crack French Liner destroyed with £150,000 art treasures on board.
The luxurious French liner "Paris" (34,569 tons) has sunk at Le Havre following an immense fire which broke out in the bakery and is believed to have been due to sabotage.
The fire began when the ship was lying at anchor with more than £150,000 worthof art treasures for the New York World's Fair on board. These have been destroyed.
Photo shows: An aerial picture of the "Paris" as she blazed furiously in harbour at Le Havre.
April 19th 1939. PN.r.
[copyright Planet News Ltd] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42569 : Crack French liner destroyed with £150,000 art treasures on board.
The luxurious French liner "Paris" (34,569 tons) has sunk at Le Havre following an immense fire which broke out in the bakery and is believed to have been due to sabotage.
The fire began when the ship was lying at anchor with more than £150,000 worth of art treasures for the New York World's Fair on board. These have been destroyed.
Photo shows: An aerial picture of the "Paris" as she blazed furiously in harbour at Le Havre.
April 19th 1939. PN.r.
[copyright Planet News Ltd] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42571 : Der ausgebrannte französische Ozeandampfer "Paris" gesunken.
Im Hafen von Le Havre brach kurz vor der Ausreise nach New York auf dem Ozeandampfer "Paris", einem der französischen Reisendampfer, ein gewaltiges Feuer aus. Das Schiff wurde völlig zerstört und sank schliesslich. Mehrere Personen wurden getöted und schwer verletzt.
U.B.z. den gewaltigen Schiffsriesen, der durch die Wassermassen, die in das Schiff hineingepumpt wurden, Schlagseite bekam und sank, im Hafen von Le Havre.
Bei Abdruck nennen:
Scherl Bilderdienst, Berlin.
20.4.39. AV.54780
[Einsender: Scherls Bilderdienst / Photo: Scherl-Fulgur]
- Beeld 42572 : French Liner "Paris" sinks in Le Havre Harbour after disastrous fire - man killed.
Sabotage suspected.
The crack French liner "Paris" (34,569 tons) has sunk in Le Havre Harbour (France) following the disastrous fire which completely destroyed her interior and imperilled £150,000 worth of art treasures for the New York World's Fair. The treasures were saved.
One man - M. Sourdille, chief of the ship's security service, was killed when he fell into a flaming hold. Another man was seriously injured. The fire, which broke out in the bakery, raged for hours. Sabotage is suspected.
"Paris", built at St. Nazaire in 1921 and owned by the C.G.T. (Companie Générale Transatlantique), had twice before been damaged by fire.
Photo shows: The liner "Paris" on her side after sinking in Le Havre Harbour.
April 19th 1939. PN.g.
[copyright Planet News Ltd] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42574 : L'incendie du paquebot "Paris" Le Havre.
Le Havre.- Voici l'épave du "Paris" telle qu'elle se présentait en fin d'après-midi.
Au fond à droite, le "Normandie".
Photo NYT. Le Havre. 19/4/39. SK
[Wide World Photos. The New York Times. Photos N.Y.T.] [copyright by Photo "Actualit"]
- Rampen en ongevallen bij de Franse koopvaardij : "Sellinge (Saint-Nazaire) : 1933. - 2 foto's
- Rampen en ongevallen bij de Franse koopvaardij : [...-1939]. - 1 foto
- Rampen en ongevallen bij de Franse oorlogsmarine : Duikboot "Prométhée" : 1932. - 5 foto's
- Beeld 42536 : 9 juillet 1932. Après la catastrophe maritime du sous-marin Prométhée à Cherbourg.
La vedette amirale "Ailette" à bord de laquelle les officiels dirigent les recherches.
[Agence Rol] [Sipho]
- Beeld 42539 : 30 juillet 1932. Cérémonie au large de Cherbourg à la mémoire des disparus du "Prométhée".
A bord du "Bison": à gauche: MM. Leygues, ministre de la Marine; et Herriot, Pt. du Conseil; à droite: Mgr. Louvard, évêque de Coutances, ayant à ses côtés les officiers du "Bison".
[Agence Rol] [Sipho]
- Beeld 42542 : 30 juillet 1932. Cérémonie au large de Cherbourg à la mémoire des disparus du "Prométhée".
Mr. Leygues, ministre de la Marine, jette une gerbe à l'endroit de la disparition du "Prométhée".
[Agence Rol] [Sipho]
- Beeld 42545 : Juillet 1932. Après la catastrophe maritime du sous-marin "Prométhée".
Photographie prise sur les lieux de la catastrophe: au premier plan les journalistes à bord du remorqueur Le Pernelle attendant des nouvelles, au fond et de gauche à droite: L'Artiglio et Le Fidèle, entre lesquels se trouve exactement l'épave du Prométhée.
[Agence Rol] [Sipho]
- Beeld 42546 : A la recherche du Prométhée, le sous-marin coulé.
On attend anxieusement, devant le micro, les nouvelles qui parviennent de 75 mètres de fond.
[Sipho]
- Rampen en ongevallen bij de Franse oorlogsmarine : "Georges Leygues/Bison" : 1939. - 2 foto's
- Rampen en ongevallen bij de Franse spooorwegen: te Lagny (Parijs - Straatsburg) : 1933. - 8 foto's
- Beeld 42487 : Lagny.
Voitures métalliques.
[N° 4]
[copyright by Universal Press Agency] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42490 : Lagny.
Ce qui reste des trois derniers wagons.
Voitures métalliques.
[N° 2]
[copyright by Universal Press Agency] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42493 : 24 décembre 1933. Hier soir, près de Lagny, le rapide Paris-Strasbourg, a tamponné à plus de 100 kms. à l'heure, dans le brouillard, l'express Paris-Nancy, qui le précédait; les voitures de l'express, bondées de voyageurs ont été atrocement broyées.
Cette effroyable castastrophe a fait près de 200 morts et des centaines de blessés.
Une vue des décombres après la catastrophe.
[Sipho]
- Beeld 42495 : [N° 3]
[copyright by Universal Press Agency] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42497 : Après la catastrophe du rapide de Strasbourg.
Lagny. C'est à une trentaine de kilomètres de Paris que la catastrophe a eu lieu (200 morts et près de 200 blessés).
La gendarmerie et la troupe font des recherches parmi les débris, où se trouvent encore des cadavres.
Phot. NYT. Lagny. le 24/12/33. Parn. GL.70
[Wide World Photos. The New York Times. Photo NYT Photo] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42499 : 24 décembre 1933. Hier soir, près de Lagny, le rapide Paris-Strasbourg a tamponné à plus de 100 km. à l'heure, dans le brouillard, l'express Paris-Nancy qui le précédait.
Les voitures de l'express, bondées de voyageurs ont été atrocement broyées.
Cette effroyable catastrophe a fait près de 200 morts et des centaines de blessés.
Les membres de la commission d'enquête et les experts examinent les débris des wagons tamponnés.
[Sipho]
- Beeld 42501 : Après la catastrophe du rapide de Strasbourg.
Lagny. C'est à une trentaine de kilomètres de Paris que la catastrophe a eu lieu (200 morts et près de 200 blessés).
Parmi les débris on relève les cadavres qui n'ont pas pu être dégagés dans la nuit.
Phot. NYT. Lagny. le 24/12/35. Parn. GL.35.
[Wide World Photos. The New York Times. Photo NYT Photo] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42503 : Lagny.
[N° 5]
[copyright by Universal Press Agency] [copyright by Photo "Actualit"]
- Rampen en ongevallen bij de Franse spoorwegen : 1934-1937. - 8 foto's
- Beeld 42531 : En gare de Mulhouse un train de voyageurs arrache un boutoir.
Trois morts, 10 blessés graves. Le train omnibus venant de Kruth et qui arrive à 7h45 en gare de Mulhouse amenant surtout des employés demeurant dans le village de la vallée de Wesserling aiguillé sur une voie de garage dont il renversa le butoir il alla ensuite se jeter contre le mur de soutènement. La locomotive resta dressée contre le mur.
Un aspect de la locomotive après l'accident.
Phot. NYT. Mulhouse le 22/6/34. Alb.GL.110
[Wide World Photos. The New York Times. Photo NYT Photo]
- Beeld 42533 : L'incendie du "Pyrénées-côte d'Argent".
Le train de luxe Paris-Pyrénées entre Tours et Chatellerault a pris feu. Un wagon a été entièrement détruit par les flammes.
N.P.M. Les wagons brûlés en gare de Chatellerault.
Photo NYT. Chatellerault. 4/6/36. JL.
[Wide World Photos. The New York Times. Photo NYT Photo]
- Beeld 42535 : Un accident de chemin de Fer s'est produit hier à quatre kms de Lourdes entre un train de pèlerins et un train omnibus; il y a 14 morts.
NPM: Le lieu de l'accident.
Photo NYT Lourdes le 24/9/36.
[Wide World Photos. The New York Times. Photos N.Y.T.] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42537 : L'accident de Saint-Loubes.
Hier soir, à la sortie de la gare de Saint-Loubes (Gironde) à 17 kms de Bordeaux, le train Libourne-Bordeaux a déraillé. Cet accident est dû à l'éclatement du cercle d'acier d'une des roues de la première voiture. Il y a 5 morts et 10 blessés.
N/P/M/ Un aspect de l'accident.
Telephoto NYT Bordeaux-Paris 7/3/35. MF. 100
[Wide World Photos. The New York Times. Photo NYT Photo] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42538 : The big French train smash. AG/N.G/
Considerable loss of life is reported this morning on the disastrous train smash which occured in France yesterday.
Telephoto picture received in London late last night shows:
A view of the engine overturned and lying in the river bed whilst workmen, with the aid of flares, strive to release the passengers inprisoned beneath the wreckage and to recover the bodies of the unfortunate ones that have lost their lives.
Photopress.
[Photo Press] [Sipho]
- Beeld 42541 : Près d'Angoulême, un accident de chemin de Fer fait 7 morts et 17 blessés graves.
Angoulême (Charente).- Près de Vars, à quelques kilomètres d'Angoulême, l'express Bordeaux-Paris a téléscopé l'arrière du train bis qui le précédait et qui n'avait pas été couvert par les signaux réglementaires.
N.P.M.: une vue prise après l'accident.
Par belinogramme de Bordeaux à Paris. 21/9/37. JL.
[Wide World Photos. The New York Times. Photos N.Y.T.]
- Beeld 42543 : Un train de bestiaux a déraillé cette nuit à Porchefontaine.
A quelques kilomètres de Versailles, un train de bestiaux a déraillé, une dizaine de wagons sont sortis des rails et ont laissé échapper leurs occupants sur les voies. Les dégâts sont très importants. Après l'accident on procède à l'enlèvement des bestiaux qui ont été tués.
Phot. NYT. Porchefontaine 21/1/35. Par.GL 110 UR...
[Wide World Photos. The New York Times. Photo NYT Photo]
- Beeld 42544 : Dans l'après-midi une foule immense se pressait sur les lieux du sinistre. Les routes étaient embouteillées par les voitures des curieux de toute part.
Une vue générale.
Mention obligatoire Photo Meurisse
- Rampen en ongevallen bij de Franse spoorwegen: te Avignon (Genève - Vintimille) : 1934. - 3 foto's
- Rampen en ongevallen bij de Franse spoorwegen: te Beauvais (Parijs - Abbeville) : 1932. - 3 foto's
- Rampen en ongevallen bij de Franse spoorwegen: te Châteuroux (Parijs - Cerbère) : 1939. - 4 foto's
- Rampen en ongevallen bij de Franse spoorwegen: te Marcheprime : 1935. - 3 foto's
- Rampen en ongevallen bij de Franse spoorwegen: te Parijs : 1933. - 2 foto's
- Rampen en ongevallen bij de Franse spoorwegen: te Saint-Hélier (Cherbourg - Parijs) : 1933. - 8 foto's
- Rampen en ongevallen bij de Franse spoorwegen: te Saint-Just-en- Chaussée : 1932. - 3 foto's
- Beeld 42526 : Grave accident de chemin de Fer près de Paris. Hier soir, le 17 janvier 1932, le train omnibus no. 21, a déraillé à 80 kms de Paris, à St. Just-en-Chaussée à 19h et 10 minutes, par suite de la rupture d'un essieu. On compte 10 tués et 20 blessés. Vue du lieu de la catastrophe et des travaux de déblaiement.
6. La chapelle ardente avec les cercueils des victimes.
Universal Press Photos Paris.
[copyright by Universal Press Agency] [Photo Champroux 18 jan 1932] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42528 : Grave accident de chemin de Fer près de Paris. Hier soir, le 17 janvier 1932, le train omnibus no. 21, a déraillé à 80 kms de Paris, à St. Just-en-Chaussée à 19h et 10 minutes, par suite de la rupture d'un essieu. On compte 10 tués et 20 blessés. Vue du lieu de la catastrophe et des travaux de déblaiement.
6. La chapelle ardente avec les cercueils des victimes.
Universal Press Photo Paris.
[copyright by Universal Press Agency] [Photo Champroux 18 jan 1932] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42529 : Grave accident de chemin de Fer près de Paris. Hier soir, le 17 janvier 1932, le train omnibus no. 21, a déraillé à 80 kms de Paris, à St. Just-en-Chaussée à 19h et 10 minutes, par suite de la rupture d'un essieu. On compte 10 tués et 20 blessés. Vue du lieu de la catastrophe et des travaux de déblaiement.
6. La chapelle ardente avec les cercueils des victimes.
Universal Press Photo Paris.
[copyright by Universal Press Agency] [Photo Champroux 18 jan 1932] [copyright by Photo "Actualit"]
- Rampen en ongevallen bij de Franse spoorwegen: te Villeneuve-Saint-Georges (Parijs - Saint-Etienne) : 1937. - 6 foto's
- Rampen en ongevallen bij de Franse spoorwegen: te Villepatour (Sneltrein Basel) : 1932. - 3 foto's
- Rampen en ongevallen in Canada, 1931-1940. - 9 foto's
- Beeld 152994 : Watch your Credit Line
Photo from Wide World Photos
726807 Investigate mysterious sinking of passenger ship.
Victoria, B.C. - Canadian Maritime Officials are still trying to solve the mystery which shrouds the sinking of the Canadian National Railway's passenger ship S.S. Prince Rupert at her dock in Victoria, B.C. Rumors that a seacock had been opened maliciously were being traced but so far have been given no foundation by the investigating officers. Forty members of the crew were on board when the ship began to list and a number barely escaped with their lives. The vessel is used in the Company's Alaskan Service.
C-3-12-31
Photo shows the S.S. Prince Rupert with her stern resting in forty feet of water.
C-3-12-31
[Photograph from Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 152995 : Watch your Credit Line:
Photo from Wide World Photos:
First photos of the viking disaster.
Horse Island, Newfoundland. The first relief boat to leave the rescue ship Sagona, the first of the rescue ships to reach the scene of the ill-fated Viking disaster, hor horse Island to bring aid to the stricken survivors pulls away filled with food and medical supplies and manned by a hard crew of fifty men.
3/28/31.
[copyright by Photo "Actualit" ]
- Beeld 152996 : In einen Fischerdorf in Neufundland.
Fischerboote, die zum Schutz aus dem Wasser genommen sind.
Copyright by Presse-Photo G.m.b.H.
Text ohne gewaehr.
[copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 152997 : Watch your Credit Line:
Photo from Wide World Photos:
745022 - Nothing but wreckage as far as the eye can see.
Saskatchewan, Canada. - A view of the half mile trestle bridge through which the Souris River, Saskatchewan, runs, after it had been levelled by a recent Tornado. At its highest point it was 70-feet above the ground. It was 2,800 feet in length and was the only means of crossing the valley to feed two branch lines of more than 200 miles in Southern Saskatchewan, Canada.
9/15/31.
[copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 152998 : Watch your Credit Line: From Wide World Photos.
Head on train crash in which Canadian trainman died.
819171 - Lynden, Ont. - Photo shows the remains of two engines after they met in head on crash when freight trains collided near here, resulting in the death of an engineer.
2/17/35
[copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 152999 : New pictures of entombed men.
Ten days in Moose River Gold Mine - Now few hours from life.
Entombed for then days, Dr. D.E. Robertson and Charles Alfred Scadding, the two men trapped in a Moose River, Nova Scotia gold mine, are now separated only by 12 feed of rock from the workers who are labouring night and day to rescue them. Time after time the rescue workers have been prevented in their fight by fresh falls. Now they are cutting off at a slant to evade the solid wall of rock.
Food poured through a drill driven through the rock barrier has kept the entombed men alive but a third man - Hermann McGill, part owner of the mine, who was also trapped - has died from a fractured skull and pneumonia.
Photo shows: A new picture just received in London of Dr. D.E. Robertson of Toronto, Canada, one of the entombed men.
US April 22nd 1936 PN.g.
[copyright Planet News Ltd]
- Beeld 153000 : L'Incendie du collège de Ste Hyacinthe.
Québec. - Une vue générale du Collège du Sacré-Coeur pendant le sinistre.
On sait que 17 morts furent retirés des décombres et que 28 corps n'ont pas été retrouvés.
Photo NYT N.Y. 26.1.938. DB.
[Photo N.Y.T. Wide World Photos. Service photographie The New York times] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 153001 : Plus de 20 morts dans l'incendie d'un grand hôtel à Halifax (Canada).
Le Queen-Hotel d'Halifax a été presque entièrement détruit par un incendie et plus de 20 personnes ont péri carbonisées ou asphyxiées dans le sinistre.
Les pompiers combattant le feu.
Photo NYT. N.Y. 10/3/39. JL.
[Wide World Photos. Service photographique The New York Times]
- Beeld 153002 : 66947. Watch Credit. Copyright by Star Newspaper Service from International
Slug. (Van Orman and Trotter]
Rescued Balloonists look over diary of week's struggle.
Thor Lake, Ontario, Canada... Frank A. Trotter (left) and Ward T. Van Orman, looking over their diary in which they kept a record of the Harrowing events of the week they spent in the wilds of the Temagami Forest of Northern Ontario following the crash of their balloon while participating in the James Gordon Bennett Balloon Race.
PS-9-13-33./11-40
[copyright by International News Photos] [copyright by Sipho]
- Rampen en ongevallen in de duitse burgerluchtvaart: te Rouvion (Alpes niçoises) : 1939. - 5 foto's
- Beeld 42424 : Dix morts dans la chute de l'avion allemand dans les Alpes Niçoises...
N.p.m.: Les corps sont descendus sur de traineaux vers Beuil.
[copyright by Fulgur] [copyright Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Beeld 42426 : Dix morts dans la chute de l'avion allemand dans les Alpes Niçoises.
N.p.m.: M. Lirau, consul d'Allemagne et les autorités françaises devant les corps calcinés. 7.3.39.
[copyright by Fulgur] [copyright Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Beeld 42428 : Téléphoto de Nice à "Fulgur"...
10 officiers allemands ont été tués dans la chute de leur avion... un Junkers D.a.l.u.s. revenant de Barcelone. Il s'est écrasé dans la neige à 1.800 mètres d'altitude, au nord de Beuil, Alpes Maritimes.
N.p.m.: les dix cadavres alllongés dans la neige, devant les débris de l'avion. 5.3.39.
[copyright by Fulgur]
- Beeld 42430 : Au fond d'un vallon, dans les Alpes Maritimes, on découvre les débris de l'avion de transport allemand, disparu depuis le 24 février.
N.P.M.: au-dessus: les débris de l'avion retrouvés près du hameau de Rouvion (AP)
Belinogramme WP. Actualit (5.3.39.)
[copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42432 : Au fond d'un vallon, dans les Alpes Maritimes, on découvre les débris de l'avion de transport allemand, disparu depuis le 24 février.
N.P.M.: en-dessous: sur le gouvernail on distingue nettement la croix gammée.
Belinogramme WP. Actualit (5/3/39).
[copyright by Photo "Actualit"]
- Rampen en Ongevallen in de Franse burgerluchtvaart : te Senlis : 1939. - 3 foto's
- Rampen en ongevallen in de Franse burgerluchtvaart : 1933-1939. - 14 foto's
- Beeld 42456 : Le pilote Cognot se tue.
Le pilote Cognot qui effectuait hier des essais à bord de l'unique avion stratosphérique, avion laboratoire pour expériences à hautes altitudes, que la France possédât, s'est tué au cours des essais hier en fin de soirée près de Bonnières, pour des raisons encore inconnues.
Voici l'avion après l'accident.
Photo NYT Paris 6/8/35. 120 LB. Inter.
[Wide World Photos. The New York Times. Photos N.Y.T.]
- Beeld 42459 : Les Italiens qui devaient s'attaquer au record Londres-Le Cap capotent au Bourget.
Le Bourget.- Le "Libeccio P.7" qui se rendait à Londres pour prendre le départ pour battre le record Londres-Le Cap détenu par l'aviateur anglais Clouston a capoté à Blanc-Mesnil, en face de l'aérodrome du Bourget, en bordure de la route nationale N.2.
Photo NYT Le Bourget 10/2/38. JGL.
[Wide World Photos. The New York Times. Photos N.Y.T.]
- Beeld 42461 : France-Presse 16/1/34 PS
La catastrophe de Corbigny.
N.P.M.: Les habitants de la région commençant dans la nuit les premières recherches.
[Sipho]
- Beeld 42463 : Un accident d'aviation au Bourget.
En atterrissant l'avion du capitaine Monbussin heurte un avion à terre et prend feu. Celui-ci meurt carbonisé.
Ce qui reste de l'avion heurté.
Phot. NYT. Bourget le 6/4/34. Dev. GL.100
[Wide World Photos. The New York Times. Photo NYT Photo] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42465 : Un avion militaire et un avion civil entrent en collision à Orly.
L'avion militaire et son pilote sont sortis indemnes de l'accident mais le pilote de l'avion civil a été tué.
Voici les débris de l'avion civil.
Phot. NYT. Orly le 7/3/35. Car.R. I.30.
[Wide World Photos. The New York Times. Photos N.Y.T.]
- Beeld 42467 : L'avion allemand qui trompé par le brouillard est venu s'enfoncer dans les marécages qui bordent Le Bourget.
Photo Meurisse
[Sipho]
- Beeld 42470 : Un hydravion anglais de la Ligne des Indes s'abat dans les monts du Beaujolais, près de Villefranche sur Saone.
N.P.M. L'hydravion après sa chute.
Photo NYT. Lyon. 25/3/37. JL
Par belinogramme de Lyon à Paris
[Wide World Photos. The New York Times. Photos N.Y.T.]
- Beeld 42473 : Le général Denain échappe à un accident d'aviation à Cahors.
Le Général Denain, en compagnie du pilote Rossi, quittait hier le nouvel aérodrome de Cahors lorsque l'appareil accrocha des arbres bordant le terrain. L'appareil s'écrasa; mais par chance les deux voyageurs sortirent indemnes. L'appareil est détruit.
Voici l'avion sur le terrain d'aviation de Cahors, après l'accident.
Photo NYT Cahors 11/6/35. LB.121
[Wide World Photos. The New York Times. Photo NYT Photo] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42476 : Un Chef pilote s'est tué au Havre.
Trompé par le brouillard, le chef pilote Grieu a fait une chute mortelle jeudi après-midi sur le terrain de l'Aéro Club du Havre.
N.p.m.: les débris de l'avion. 17.2.39.
[copyright by Fulgur] [copyright Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Beeld 42478 : Au Polygone de Vincennes.
La coupe du monde d'acrobatie est attristée par un accident. Le pilote portugais d'Abreu, se tue au cours des épreuves.
Les pompiers noyant l'avion qui a pris feu.
Phot. NYT. Vincennes le 10/6/34. Par. GL. 140
[Wide World Photos. The New York Times. Photo NYT Photo]
- Beeld 42481 : Accident d'avion.- Un avion de fret parti du Bourget le 16 novembre à 8h.30, a pris feu en vol et s'est écrasé près de Beauvais sur un hangar. Le pilote et le radiotélégraphiste ont pu sauter en parachute.
N/p/m/: une vue de l'avion après l'accident.
Photo NYT. - Beauvais Ber. 16/11/33. SP 97
[Wide World Photos. The New York Times. Photo NYT Photo] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42483 : Un trimoteur allemand nationaliste s'est abattu en France : 5 morts.
N;p.m.: les cadavres des 5 aviateurs allemands et espagnols qui ont trouvé la mort dans la chute du trimoteur Henckel, ont été descendus dans la vallée.
Bélino de Toulouse. 26.1.39.
[copyright by Fulgur]
- Beeld 42485 : L'Hydravion français Marseille-Tunis heurte une digue en décollant de l'Etang de Berre.
Marignane.- Ce qui reste de l'appareil après l'accident pendant la recherche des cadavres.
Photo NYT Marignane 9/2/38. JGL.
Par belingoramme de Marseille à Paris.
[Wide World Photos. The New York Times. Photos N.Y.T.]
- Beeld 42486 : Après l'accident d'avion d'Istres.
N.P.M. Les corps du pilote Lemoine, du second pilote Luillier et du radio Gauthé exposés à l'infirmerie du Camp d'Aviation d'Istres. Ces trois aviateurs faisaient partie de l'équipage de l'avion postal Marseille-Barcelone qui s'est écrasé au sol dernièrement.
Photo NYT. Istres. Pet. Pr. 12/11/35. JL 40
[Wide World Photos. The New York Times. Photos N.Y.T.] [copyright by Photo "Actualit"]
- Rampen en ongevallen in de Franse burgerluchtvaart: te Beauvais ("R101") : 1930. - 23 foto's
- Beeld 42448 : WW.Beauvais. 301006. Bar.Gil. 50 KP
Le plus atroce drame de l'Air.
Comme on le sait, 50 passagers sur 58, ont péri carbonisés l'autre nuit dans l'explosion du dirigeable britannique "R-101", non loin de Beauvais. Le Ministre de l'Air anglais, le directeur de l'Aviation Civile & de hautes personnalités de l'aéronautique britannique sont parmi les morts.
Vue générale de la catastrophe, prise en avion.
[The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42450 : NYT. Ber.Par.Allonne. 1/10/33. GL. 130
Inauguration du monument aux morts du dirigeable R.101.
Allonne.- C'est par une nuit d'orage le 5 octobre 1930, que le dirigeable anglais R.101, s'abattait au sol. 47 hommes périrent écrasés et carbonisés.
Cette catastrophe se passait à 4 kilomètres de Beauvais dans l'Oise.
Un monument simple et grandiose s'élèvera sur la route nationale et perpétuera le souvenir des victimes.
N.P.M.: une vue curieuse que notre opérateur a pu faire entre deux pales de l'hélice de l'avion Air-France.
Photo NYT. UR. 29.
[The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42451 : R. 101 Disaster pictures.
Fortyseven persons lost their lives when the airship R.101 crashed into a hill at Beauvais, France, and burst into flames while on a flight from Cardington to India.
Photo shows: The wrecked R.101 showing an engine with its propellor at Beauvais. Oct 5th 30PN.
[copyright Planet News Ltd]
- Beeld 42453 : WW. Beauvais. 301006. Bar. Gil. 50 KP.
Le plus atroce drame de l'air. Comme on le sait, 50 passagers sur 58, ont péri carbonisés l'autre nuit dans l'explosion du dirigeable britannique "R-101", non loin de Beauvais. Le Ministre de l'Air anglais, le directeur de l'Aviation Civile & de hautes personnalités de l'aéronautique britannique sont parmi les morts.
Les pompiers retirant les cadavres des débris du dirigeable.
[The New York Times. Wide World Photos]
- Beeld 42454 : R. 101 Disaster pictures.
Fortyseven persons lost their lives when the airship R. 101 crashed into a hill at Beauvais, France, and burst into flames, while on a flight from Cardington to India.
Photo shows: Soldiers carrying bodies from the wrekage of the R 101 at Beauvais. Oct. 5th 30PN.
[copyright by Planet News Ltd]
- Beeld 42455 : WW. Beauvais 301006. Bar. Gil 50 KP.
Le plus atroce drame de l'Air.
Comme on le sait; 50 passagers sur 58, ont péri carbonisés l'autre nuit dans l'explosion du dirigeable britannique "R-101", non loin de Beauvais. Le Ministre de l'Air anglais, le directeur de l'Aviation Civile & de hautes personnalités de l'aéronautique britannique sont parmi les morts.
Les pompiers retirant les cadavres des débris du dirigeable.
[The New York Times. Wide World Photos]
- Beeld 42457 : R. 101 Disaster Pictures.
Fortyseven persons lost their lives when the airship R 101 crashed into a hill at Beauvais, France, while on a flight from Cardington to India.
Photo shows: The wrecked airship after the disaster. Oct. 5th 30PN.
[copyright by Planet News Ltd]
- Beeld 42458 : WW. Beauvais. 301006. Bar. Gil. 50 KP.
Le plus atroce drame de l'Air.
Comme on le sait; 50 passagers sur 58, ont péri carbonisés l'autre nuit dans l'explosion du dirigeable britannique "R-101", non loin de Beauvais. Le Ministre de l'Air anglais, le directeur de l'Aviation Civile & de hautes personnalités de l'aéronautique britannique sont parmi les morts.
La gigantesque carcasse du dirigeable, calcinée et tordue par le feu.
[The New York Times. Wide World Photos]
- Beeld 42460 : 1173 / 7100
Die Katstrophe des "R 101".
Ein BIld grauenvollster Verwüstung.
[Sipho]
- Beeld 42462 : 1173 / 7100.
Die Katastrophe des "R 101".
Ein Wald von Eisenteilen.
[Sipho]
- Beeld 42464 : WW.Beauvais. 301006. Bar. Gil. 50 KP
Le plus atroce drame de l'Air.
Comme on le sait; 50 passagers sur 58, ont péri carbonisés l'autre nuit dans l'explosion du dirigeable britannique "R-101", non loin de Beauvais. Le Ministre de l'Air anglais, le directeur de l'Aviation Civile & de hautes personnalités de l'aéronautique britannique sont parmi les morts.
Le pavillon du "R-101" retrouvé intact après l'incendie.
- Beeld 42466 : WW 301005.
Le dirigeable anglais R. 101 qui faisait route vers les Indes s'écrase et flambe près de Beauvais.
Cinquante des passagers sont carbonisés au cours de la catastrophe qui s'est produite vers deux heures du matin.
Lord Thompson, ministre de l'Air est parmi les victimes.
N/ photo montre un aspect du dirigeable, complètement détruit.
[The New York Times. Wide World Photos]
- Beeld 42468 : LON 14459 311205
R. 101 wandert zum atlen Eisen !
Gegenwärtig sind die letzten Vernichtungsarbeiten an dem riesigen englischen Luftschiff R. 101, welches im vorigen Jahre sein tragisches Ende in Frankreich fänd, eingeleitet worden. Das Gerippe des Luftschiffes wird vollkommen zerstört, und dieses Kunstwerk der Technik, das England 450 000 Pfund, 9 Millionen Mark, gekostet hat, wandert zum alten Eisen.
A.P. Bild zeigt die Abrüstungsarbeiten an R.101.
Text ohne Gewähr
[7 DEC 1931]
[..?.. Photos) .?.] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42469 : 1173 a // 7100.
Die Katastrophe des "R 101".
Die traurigen Ueberreste des völlig vernichteten englischen Riesenluftschiffes "R 101".
[Sipho]
- Beeld 42471 : 1173 b / 7100.
Die Katastrophe des "R 101".
Im Vordergrund die aufgebahrten Leichen, im Hintergrund das zerstörte Flugzeug.
[Sipho]
- Beeld 42472 : 1173 d / 7100.
Die Katastrophe des "R 101" was von den Kabinen übrig blieb.
[Sipho]
- Beeld 42474 : 1220 c / 9100.
Ueberführungsfeierlichkeiten der Opfer "R 101".
Die Front der Leichenwagen, die die französische Armee stellte.
[Sipho]
- Beeld 42475 : WW 301005.
Le dirigeable Anglais R. 101 qui faisait route vers les Indes s'écrase et flambe près de Beauvais.
Cinquante des passagers sont carbonisés au cours de la catastrophe qui s'est produite vers deux heures du matin.
Lord Thompson, ministre de l'Air est parmi les victimes.
N/ photo montre le général Barres, inspecteur général des Forces aériennes de France, venant saluer les corps.
[The New York Times. Wide World Photos]
- Beeld 42477 : 5 octobre 1932. Pose de la première pierre du monument qui va être élevé à l'endroit où eut lieu la catastrophe du R.101.
Vue prise pendant le discours de Monsieur Bernier, sous-secrétaire d'Etat.
De gauche à droite: Monsieur Jammy Schmit, Monsieur Le Beau, Préfet de l'Oise, Lord Tyrrel, et Monsieur Bernier. 5.X.1932.
[Agence Rol. G. Devred] [Sipho]
- Beeld 42479 : 5 octobre 1932. Pose de la première pierre du monument qui va être élevé à l'endroit où eut lieu la catastrophe du R.101.
Lord Tyrrel Ambassadeur de Grande-Bretagne à Paris, scellant la première pierre.
[Agence Rol G. Devred] [Sipho]
- Beeld 42480 : NYT. BER.PAR. Allonne. 1/10/33. GL. 130
Inauguration du monument aux morts du dirigeable R.101.
Allonne.- C'est par une nuit d'orage le 5 octobre 1930, que le dirigeable anglais R.101, s'abattait au sol. 47 hommes périrent écrasés et carbonisés.
Cette catastrophe se passait à 4 kilomètres de Beauvais dans l'Oise.
Un monument simple et grandiose s'élèvera sur la route nationale et perpétuera le souvenir des victimes.
M. Mac Donald, premier ministre de Grande-Bretagne et M. Daladier, président du Conseil et ministre de la Guerre assistaient à la cérémonie. On remarquait également les 6 rescapés ainsi que les veuves, les enfants, les parents de victimes.
Pendant les hymnes nationaux, les deux ministres se recueillent de gauche à droite M. Daladier et M. Mac Donald.
Phot. NYT. UR
[The New York Times. Wide World Photos]
- Beeld 42482 : 1220 a / 9100.
Ueber führungsfeierlichkeiten der Opfer von "R 101".
Die feierliche Ueberführung der Toten vom Luftschif "R 101" ging in Beauvais in Anwesenheit der Minister mit grossem Pomp vor sich. Die Behörden und Einwonner von Beauvais hatten zahllose Blumenspenden gestiftet.
Die drei Ueberlebenden der Katastrophe Leach, Bell und Bink im Trauerzug.
[Sipho]
- Beeld 42484 : 1220 b / 9100.
Ueberführungsfeierlichkeiten der Opfer von "R.101".
Die Trauerfeier vor dem Bahnhof in Beauvais.
[Sipho]
- Rampen en ongevallen in de Franse Burgerluchtvaart: te Châtenay-en-France, 1938. - 2 foto's
- Rampen en ongevallen in de Franse burgerluchtvaart: te Corbigny ("Emeraude") : 1934. - 11 foto's
- Beeld 42415 : 16 janvier 1934. Une vue de l'avion trimoteur " Emeraude" qui revenant de Saïgon, a été pris hier soir dans une tourmente de neige et s'est abattu en flammes à Corbigny près de Nevers.
Les dix occupants de l'avion sont morts carbonisés.
[Sipho]
- Beeld 42417 : 16 janvier 1934. Une vue de l'avion trimoteur "Emeraude" qui, revenant de Saïgon, a été pris hier soir dans une tourmente de neige et s'est abattu en flammes à Corbigny, près de Nevers.
Les dix occupants de l'avion ont péri carbonisés.
[Sipho]
- Beeld 42420 : La catastrophe de Corbigny.
L'avion Emeraude.
Mention obligatoire Photo Meurisse
[Sipho]
- Beeld 42422 : L'avion trimoteur "Emeraude" qui revenait de Saigon prend feu et s'écrase sur le sol à Corbigny, dans la Nièvre.
Les dix personnes qui avaient pris place à bord ont péri.
Les débris de l'avion après la catastrophe.
Phot. NYT. Corbigny, le 16/1/34. Dev. GL. 20.
[Photo NYT Photo. The New York Times. Wide World Photos]
- Beeld 42425 : L'avion trimoteur "Emeraude" qui revenait de Saigon prend feu et s'écrase sur le sol à Corbigny, dans La Nièvre. Les dix personnes qui avaient pris place à bord ont péri.
Les restes de l'avion après la catastrophe. Corbigny.
Phot. NYT. Corbigny le 16/1/34. Dev. GL. 170
[Photo NYT Photo. The New York Times. Wide World Photos]
- Beeld 42427 : Après la catastrophe du trimoteur 'L'Emeraude" à Corbigny près de Neverss.
Un aspect des débris de l'avion, pendant la visite du ministre de l'Air, M. Pierre Cot.
Phot. NYT. Corbigny, 16/1/34. Dev. GL. 50.
[Photo NYT Photo. The New York Times. Wide World Photos]
- Beeld 42429 : Après la catastrophe de l'Emeraude".
Dans un rayon de cinq cents mètres autour de "l'Emeraude" le sol est jonché de débris humains et de fers tordus.
Voici M. Pierre Cot, ministre de l'Air et M. Delesalle sous-secrétaire d'Etat à l'aviation sur les lieux de la catastrophe.
Phot. NYT. Corbigny le 16/1/34. Dev. 100
[Photo NYT Photo. The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 42431 : 16 janvier 1934. L'avion "Emeraude" qui revenait de Saigon a été pris hier dans une tourmente de neige et s'est abattu en flammes à Corbigny près de Nevers.
Mr. Maurice Noguès, directeur de l'exploitation Air-France, une des victimes. 16.I.1934.
[.?.] [Sipho]
- Beeld 42434 : L'avion trimoteur "Emeraude" qui revenait de Saigon prend feu et s'écrase sur le sol à Corbigny, dans la Nièvre.
Les dix personnes qui avaient pris place à bord ont péri.
M. Launay le pilote de l'avion qui a trouvé la mort.
Phot. NYT. Nevers, le 16/1/34. GL.120.
[Photo NYT Photo. The New York Times. Wide World Photos]
- Beeld 42436 : L'avion trimoteur "Emeraude" qui revenait de Saigon prend feu et s'écrase sur le sol à Corbigny, dans La Nièvre.
Les dix personnes qui avaient pris place à bord ont péri.
M. Emmanuel Chaumie, directeur de l'aviation marchande au ministère de l'Air, qui a trouvé la mort.
Phot. NYT. Nevers, le 16/1/34. GL.120.
[Photo NYT Photo. The New York Times. Wide World Photos]
- Beeld 42439 : L'avion trimoteur "Emeraude" qui revenait de Saigon prend feu et s'écrase sur le sol à Corbigny, dans La Nièvre.
Les dix personnes qui avaient pris place à bord ont péri.
Le gouverneur général de l'Indochine, M. P. Pasquier a trouvé la mort.
Phot. NYT. Nevers le 16/1/34. GL. 120.
[Photo NYT Photo. The New York Times. Wide World Photos]
- Rampen en ongevallen in de Franse burgerluchtvaart: te Gisors, 1935. - 2 foto's
- Rampen en Ongevallen in de Franse burgerluchtvaart: te Nevers : 1934. - 3 foto's
- Rampen en ongevallen in de Franse burgerluchtvaart: te Vincennes : 1936. - 2 foto's
- Rampen en ongevallen in de Franse militaire luchtvaart : te Saint Jean aux Bois : 1935. - 2 foto's
- Rampen en ongevallen in de Franse Militaire luchtvaart : Varia : 193-1938. - 4 foto's
- Rampen en ongevallen in de Franse militaire luchtvaart: te Lyon : 1938. - 3 foto's
- Rampen en ongevallen in de Franse pleziervaart : 1931-1934. - 2 foto's
- Beeld 42586 : Father throws children into sea to save them from blazing yacht - four englishmen injured.
Mr. Bertrand Neidecker, a rich American, threw his two children into the sea and then with his wife, leapt after them, when their yacht, the Argus, caught fire at Cannes. Mr. Neidecker, his wife, the children, and four English members of the yacht's crew were all either burned or injured. They were rescued by other craft. The fire followed an explosion after the filling of the yacht's tank with 130 gallons of petrol.
Photo shows: The burnt out yacht after the fire.
Paris September 1th 1934. PN. r.
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- Beeld 42588 : Three hundred and fifty lives lost in French excursion boat disaster.
Three hundred and fifty people mostly women and children were drowned when the French pleasure steamer St. Philbert capsised and sank in the Loire estuary during an excursion. Only seven men, four Frenchman, one Pole and two Austrians, were the only ones saved in the disaster. The disaster was caused by the panic of the passengers who all rushed to one side when she began to list and overturned the boat.
Photo shows: The pleasure steamer St. Philibert at the pier from which she set out for her fateful excursion.
P 15-6-31. PN.
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- Rampen en ongevallen in de indiaase burgerluchtvaart: te Montargis : 1934. - 2 foto's
- Rampen en ongevallen in Turkije, 1933-1936. - 11 foto's
- Rampen in Molare en Valence, [1933-1936]. - 5 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: bodemverschuivingen, instortingen in Vienenburg, [...-1939]. - 4 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: branden, brand van Reichstag, 1933. - 4 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: branden, divers, 1930-1936. - 6 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: divers, 1930-1938. - 15 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: explosie van een gascollector in Neunkirchen, 1933. - 21 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: explosies, divers, 1930-1934. - 5 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: explosies, explosie van dynamiet in de mijn van Alsdorf, 1930. - 9 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: explosies, mijngasontploffing in de mijn van Herne, 1931. - 4 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: koopvaardijvloot, divers, 1934. - 2 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: lawines, [1939]. - 4 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: luchtvaart, divers, 1932-1938. - 6 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: luchtvaart, slachtoffers van luchtacrobatieën, [...-1939]. - 2 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: overstromingen, divers, 1930-1932. - 7 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: overstromingen, dorpen onder water gezet tijdens de Duitse veldtocht, 1931. - 3 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: overstromingen in Saksen, 1932. - 2 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: overstromingen in Silezië, 1930. - 2 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: overstromingen in Silezië, 1938. - 2 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: overstromingen, onweren en wervelwinden, 1932-1938. - 3 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: schoonmaken van de straten van Berlijn na sterke sneeuwbuien, [...-1939]. - 3 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: stormen, divers, 1931-1939. - 2 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: stormen, in Düsseldorf, 1936. - 3 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: treinen, divers, 1931-1934. - 6 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: wegverkeer, divers, [...-1939]. - 2 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: wegverkeer, simulatie van een auto-ongeval, [...-1939]. - 8 foto's
- Rampen, ongevallen, slechte weersomstandigheden: wegverkeer, welk zijn de oorzaken van de ongevallen van auto en bromfiets?, [...-1939]. - 7 foto's
- Rampen/Ongevallen: Divers, [1943]. - 4 foto's
- Rampen/Ongevallen: Reportage over de redding van alpinisten op een berg, [...-1945]. - 16 foto's
- Rampen/Ongevallen: Reportage over sneeuwlawines, [...-1945]. - 7 foto's
- Raoul Balligant, nationaal bevelhebber van het Belgisch Partisanenleger, 1940-1945. - 1 foto
- Raqui Meller, Artieste : [...-1940]. - 1 foto
- Raskin, SS-officier, 1942. - 1 foto
- Rattenvangers te Parijs : 1942-1944. - 7 foto's
- Ravens, sociale administrateur, 1943. - 3 foto's
- Raymond De Becker : [1940-1945]. - 1 foto
- Razzia door de Duitsers in de Hallen in Brussel, 1940-1945. - 5 foto's
- Razzia door de Duitsers in de Radijzenstraat in Brussel en zwarte markt, 1943. - 16 foto's
- Beeld 28431 : Radijzenstraat - Brussel.
- Beeld 28432 : Zwarte markt.
- Beeld 28436 : La rafle est terminée. Nous voyons ici une toute petite partie du butin : pain blancs, café, lait condensé... Le tout est déposé devant la maison qui cachait ces richesses. Une camionette viendra enlever le tout qui sera distribué aux hospices.
- Beeld 28437 : Jonge vrouw koopt brood op zwarte markt.
- Beeld 28439 : In eimem Augenblick ist die ganze Ware verschwunden.
Alerte ! En un clin d'oeil toute la marchanidse a disparu.
- Beeld 28442 : Du chocolat.
- Beeld 28444 : Et nous voici au bout de la rue... ici ce sont les gueteurs qui sont au travail, prêt à signaler toute intervention des services de contrôle ou de la brigade mobile de police. Il semble n'être que des flaneurs mais pour cette pègre leur rôle est important.
Hir sind wir am Ende der Strasse... - hier sind die Aufpasser, die das Herankommen des Kontrolldienstes oder der fliegenden Polizeibrigarde anzeigen. Es scheinen nur Spaziergänger zu zin, aber für diese Gaunerwelt ist ihre Rolle eine sehr bedeutende.
- Beeld 28445 : Dieser hier hat in einem Kellerloch den Verkauf von Kartoffel organisiert zu 10 Frank das Kilo, und er kann der Nachfrage nicht genügen.
Celui installé dans un soupiral vend des pommes de terre à 10 Frs le kg et il ne peut suffire aux demandes.
- Beeld 28446 : Das ganze Viertel ist in Aufruhr...
Tout le quartier est ameuté...
- Beeld 28448 : Hier schnappt man einige Verbrecher..... aber gehen Sie morgen wieder durch die Radieschenstrasse und Sie finden genug Verkäufer, genug Kunden und genug Ware.
Et l'on enmène au poste quelques délinquants... mais repassez demain, Rue des Radis, il y aura toujours autant de vendeurs, autant de clients et autant de marchandise.
- Beeld 28449 : Rafle, rue des Radis. Mais celui-ci a beau discuter, il ne pourra justifier la provenance de l'importante somme d'argent trouvée sur lui.
- Beeld 28450 : Rafle rue des Radis. ... pendant que, sous bonne garde, les délinquants seront transportés au poste de police.
- Beeld 28451 : Celui-ci n'a pas la conscience tranquille semble-t-il... pour cette fois-ci il échappera aux rigueurs de la justice.
- Beeld 28452 : Longtemps encore la rue des Radis restera agitée. La police continuera à monter une garde vigilante sous l'oeil encore surpris des habitants, étonnés de voir qu'enfin l'on fait la chasse à tous les mercantis qui étaient devenus rois du pavé de ce quartier.
- Beeld 28453 : Grand émoi, rue des Radis, rendez-vous du dimanche de tous les "smokkeleers" de la capitale...
La police a cerné le quartier, la fuite est éperdue mais il est trop tard et pour passer le cordon il faut décliner son identité. Sous l'oeil amusé de la foule, l'on procède aux premières opérations d'identification.
- Realisatie gemeenschappelijk grens met Hongarije : maart 1939. - 1 foto
- Rechtbanken bevoegd om de vangst van geallieerde koopvaardijschepen te beheren, 1940. - 3 foto's
- Rechtbanken in Frankrijk : 1930-1938. - 20 foto's
- Beeld 52106 : France-Presse 24/1/34 CHA.FP
Les élections: la présidence du tribunal de commerce.
N.p.m.: Les Magistrats sortant de la Cour d'Appel où Mr. Maurice Piketty, nouveau Président du Tribunal du Commerce a prêté serment.
[copyright by France-Presse] [Sipho]
- Beeld 52108 : Le Barreau de Paris élit son nouveau bâtonnier.
L'ordre des avocats à la cour de Paris s'est réuni en assemblée générale dans la salle de la bibliothèque du Palais de Justice pour procéder à l'élection du successeur du bâtonnier Emile de Saint Auban. On sait que Maître William Thorp honoré l'an passé au titre de "dauphin" est élu bâtonnier sans concurrent.
Voici l'ancien et le nouveau, après l'élection de g. à dr.: Maître William Thorp et Maître Emile de Saint Auban.
Phot.NYT. Paris le 26/6/34. Ave. GL.85
[Photo NYT Photo. The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 52109 : Entrée de la Cour d'Assises.
R234
[Agence Rol] [Sipho]
- Beeld 52111 : Pressard - procureur de la Rrépublique (France).
- Beeld 52112 : Jean Laval, avocat français; défenseur de Romagnino.
[The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 52114 : Joseph Beineix, avocat français.
[The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 52115 : Paris 14 janvier 1933. Aujourd'hui a eu lieu dans la Salle de la Bibliothèque du Palais de Justice la rentrée solennelle de la Conférence des Avocats, présidée par Mr. Abel Gardey, Garde des Sceaux.
Photographie prise pendant le discours de Me de Saint-Auben, bâtonnier.
R658
[Agence Rol] [Sipho]
- Beeld 52117 : Paris 14 janvier 1933. Aujourd'hui a eu lieu la rentrée solennelle de la Conférence des Avocats dans la salle de la Bibliothèque du Palais de Justice.
La cérémonie a eu lieu sous la Présidence de Monsieur Abel Gardey, Garde des Sceaux.
Les membres du barreau debout pendant la minute silence qui a eu lieu à la mémoire des morts de l'année.
R658
[Agence Rol] [Sipho]
- Beeld 52119 : La rentrée solennelle des Tribunaux a eu lieu cet après-midi au Palais de Justice de Paris.
Une vue générale partielle de cette cérémonie imposante. 3.X.38
[copyright by "Fulgur"] [Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Beeld 52120 : Text ohne Gewähr.
137 b / 4100.
Der Wiederbeginn des "Palais".
(X) Der Frühere französische Ministerpräsident Poincaré unter den Anwesenden.
[Sipho]
5068
- Beeld 52122 : NYT. Paris. 2/10/33 GL. 70.
La rentrée des tribunaux.
Paris. - Les vacances judiciaires sont terminées. La rentrée des tribunaux s'effectuera aujourd'hui le 2 octobre au Palais de Justice avec le cérémonial d'usage.
A la première cour, l'audience solennelle sera présidée par le premier président Eugène Dreyfus.
N.p.m.: Une vue générale de l'audience, présidée par le premier président Eugene Dreyfus.
UR Photo NYT
[The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 52124 : Au Palais de Justice, la cérémonie solennelle de rentrée.
Les Cours et les tribunaux ont fait leur rentrée solennelle en présence de M. Léon Berard, garde des Sceaux. A la première chambre de la Cour, le premier président Dreyfus entouré des présidents de chambres, des vice-présidents, des conseillers et le président général Fernand Roux, a reçu, les prestations de serment des magistrats récemment promus à un grade supérieur dans la hiérarchie judiciaire.
Photo prise pendant les prestations de serment, au fauteuil presidentiel, le premier président Dreyfus.
Phot.NYT. Paris le 2/10/35. Frez. GL120
[Photos N.Y.T. The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 52126 : Der Wiederbeginn des "Palais".
In Frankreich hielt nach einer Ferienperiode die Verwaltung des Justizpalastes von Paris eine feierliche Sitzung des Wiederbe.?. ab, die mit grossem Pomp vor sich ging und die Elite der französichen Justizbeamtenschaft voreinte. In der Sitzung wurde die aberste Advokaten-Ordnung für das neue Justizjahr bestimmt, gleichzeitig war sie eine Gedenkstunde für die verstorbenen Mitglieder. Die diesjährige Sitzung gestaltet sich besonders interessant, da in Frage steht, den alten Ministerpräsidenten Raymond Poincaré zum Vorsteher der Advokatenschaft zu ernennen.
Blick in den Saal des Justizpalais. Poincaré im Kreise seiner Kollegen.
[Sipho]
5067
- Beeld 52128 : Me Louis Vaunois, avocat à la Cour d'appel de Paris, historien de la vie de Louis XIII va inaugurer la saison de conférences 1938-1939 pour l'Alliance française en Hollande.
N.p.m.: Portrait de Me Louis Vaunois.
Photo NYT Paris Arc. 4/10/38 JGL.
[Photos N.Y.T. The New York Times. Wide World Photos]
- Beeld 52129 : Grande semaine d'élection au Palais.
Le dauphin Me J. Charpentier qui a été consacré bâtonnier aujourd'hui.
P.R. 21.6.38
(Photo prise aujourd'hui)
[copyright by Agence Trampus] [Sipho]
- Beeld 52131 : Portrait du Porfesseur juriste Le Fur qui vient de mourir.
[Louis Silvestre]
- Beeld 52132 : Les dossiers de M. Ordonneau sont bien gardés. Au Palais de Justice.
A chaque fin de journée, M. Ordonneau juge d'instrcution, rentre tous ses dossiers qui sont numérotés. Il est ainsi facile de les vérifier rapidement et de voir si aucun ne manque à la série.
Photo exclusive prise le 30 mars 1934, dans le cabinet du juge d'instruction.
Phot. NYT. Paris le 30/3/34. Har. GL.110
[Photo NYT Photo. The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 52134 : Maître Izouard, surpris ce matin à son bureau.
Photo Meurisse mention obligatoire
899 - j.n.
[Sipho]
- Beeld 52136 : Installation de M. Frette-Damicour nouveau procureur de la République.
Après son installation M. Frette Damicour, reçoit les félicitations des magistrats. A gauche le Président du Tribunal Civil M. Maillefaud. 17.2.38
[copyright by Agence Trampus] [Sipho]
- Beeld 52138 : 5865 / 5101.
Feierliche Eröffnung des Justizpalastes in Paris.
Unter grossen Feierlichkeiten wurde in Paris der Justizpalast eröffnet.
Der Präsident der Republik, Doumer, in der Mitte der Gruppe stehend) wird vor dem Palast begrüsst.
[Sipho]
8062
- Récital M. Berg : 28/4/1944. - 1 foto
- Recital Simone Redent (Dans-Ballet) : 1940-1945. - 2 foto's
- Records in Spanje, [...-1936]. - 2 foto's
- Records, topprestaties en schilderachtige gebeurtenissen in Canada, 1930-1944. - 9 foto's
- Beeld 153005 : Bénédiction de skis au Val Dorin, Canada.
Spectacle unique et pittoresque que celui de la messe des skieurs dans la petite église catholique du Val Dorin au début de la saison.
Il fallut une autorisartion toute spéciale pour faire cette photographie.
Phot. NYT. N-Y le 27-12-34. MB. 90
[photo NYT] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 153006 : Not that way !
Photo shows: Lochinvar (Irela of Glamis), America's champion collie dog, seems to be appealing to his mistress, Cherry Osborne, for a share in the game of billiards she is playing at Banff Springs, Canada.
Lochinvar is valued at £1,000 and earns £10 a day as a film dog in Hollywood.
US PN.g.
[21 mai 1944]
[copyright by Sipho]
- Beeld 153007 : Mass illness follows mass wedding in Montreal. 200 Guests taken to hospital.
Following the mass wedding of 106 French-Canadian couples at the Baseball Stadium in Montreal, Canada, about 200 of the several thousand guests were taken to hospital.
They began collapsing towards the end of a strenuous day of merrymaking under a hot sun and at first it was thought food poisoning might be the cause.
Doctors finally decided that long hours under the sun and drinking of cold beverage was reponsible.
Photo shows: A view of the mass weddings in the Stadium at Montreal.
US July 29th 1939 PN.g.
Picture by "Clipper"
[copyright Planet News Ltd]
- Beeld 153008 : His Pet -
26 - Foot Python that is 200 years old is forcibly fed.
Eight strong men were required to forcibly feed a 26-foot python when it was brought from its winter quarters at Hamilton, Ontario.
The snake had not eaten for three months and its first meal consisted of 20 pounds of sausage, two dozen eggs, a quart of citrate of magnesia, and a quard of olive oil.
Two hundred years old, the snake weighs 380 pounds.
Photo shows: Owen Dauphinee, the keeper, fondles his 26-foot pet before beginning the risky job of forcibly feeding the python.
US PN.g.
[copyright by Sipho]
- Beeld 153009 : Watch your Credit Line:
Photo from Wide World Photos:
699692 - this proves that mountain horses are immune to surprise.
Alberta, Canada. - A young lady from the East who was bashful about giving her name tries the tatest thing in mountain travel. A "Horse Howdah", invented by Fred Brewster, veteran trailsman of Jasper Park, Alberta.
7-17-30.
[Photograph from Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 153010 : Lynched - but only as a trick.
Joseph Ovette of Ottawa allowed himself to be lynched by a crowd of Fort Erie, Canada, but only to demonstrate one of his latest "stunts" - for he is a professional magician.
Ovette allowed himself to be tied in a chair, then a noose was slipped round his neck and his body drawn into the air.
From this dangerous position he released himself from the noose and the bonds and dropped safely to the ground.
Photo shows: A girl places the noose around the neck of the bound Joseph Ovette.
US PN.g.
[copyright by Sipho]
- Beeld 153011 : Lynched - but only as a trick.
Joseph Ovette of Ottawa allowed himself to be lynched by a crowd of Fort Erie, Canada, but only to demonstrate one of his latest "stunts" - for he is a professional magician.
Ovette allowed himself to be tied in a chair, then a noose was slipped round his neck and his body drawn into the air.
From this dangerous position he released himself from the noose and the bonds and dropped safely to the ground.
Photo shows: Ovette freeding his neck from the noose after releasing the bonds which bound him to the chair.
US PN.g.
[copyright by Sipho]
- Beeld 153012 : Surprise entry in Canada's Baby Derby.
Has Leading Position.
Although separated from her husband in 1931, a ruling that unwed mothers and those separated from their husbands are eligible to compete has made Mrs. Pauline Mae Clarke a surprise entrent in the unusual £100,000 Canadian baby "derby". Mrs. Clarke is declared to be the mother of 10 children, born since 1926, all said to be properly registered.
She is now a leading contender for the fortune left by Charles Vince Miller, who left £100,000 to the woman giving to the most children in the first ten years after his death. Photo: Mrs Pauline Mae Clarke walking in a Toronto street with one of her sons.
US September 28th 1936 PN.g.
[copyright by Sipho]
- Beeld 153013 : Canadian and his nurse in England before flying round the world.
Mr. Henry F. McLean, a wealthy 56-year-old Canadian contractor of Merrickville, Ontario, and his nurse, 25-year-old Inez Atkinson, are in London after having suddenly decided when travelling over on the liner "Carinthia" to fly round the world. Mr. McLean proposed the flight to Nurse Atkinson, who agreed, and then he asked the purser to map out a route.
This will take them to France, Italy, Egypt, India, Siam and Singapore, Hongkong, the Philippines, Honolulu, San Fransisco, Dallas (Texas) and New York. The trip for two starting from Southampton, will cost Mr. McLean £1,000 or more.
Mr. McLean left his home intending to come to England for a week or two's holiday - he has been suffering from nerves.
He is very fond of flying and has three planes of his own In Canada.
Photo shows: Mr. Henry F. McLean and Nurse Inez Atkinson leaving their hotel in London.
AP May 16th 193(9?) PN.g.
[copyright Planet News Ltd]
- Recruteringskantoor voor de Waffen-SS te Rijsel : [1940-1945]. - 3 foto's
- Recyclage van vuilnis in Nederland, 14/9/1940. - 6 foto's
- Beeld 137386 : In navolging van Duitsland wordt in Utrecht niets meer weggegooid of vernietigd, want alles heeft waarde. Er is niets dat ui de vuilnisemmer gaat in de kar, dat niet wordt gebruikt. Lomen en papier gaannaar de balatumfabrieken, metalen zijn voor de smeltkroes en wat helemaal geen waarde meer heeft, gaat naar Montfoort voor landophoging.
En Hollande. A l'exemple de l'Allemagne on utilise tout à Utrecht. Rien ne sort du bac qui ne soit réutilisé. Les déchets de papiers vont à la fabrique de balatum les résidus de métaux à la fonderie, rien ne se perd et chaque chose se dirige sur Montfoert pour le ré-emploi.
- Beeld 137387 : Een van de afdelingen van de afvaldienst te Utrecht welke perfect werkt is de "schillendienst". Een veertigtal schillenophalers heeft een gementevergunning en alleen zij halen de schillen op. Deze gaan naar de schillencentrale op de veemarkt. Het lossen van de kar.
Enlevement des épluchures à Utrecht. Ce service crée tout récemment fonctionne à la perfection. Une quarantaine de récolteurs sont autorisés à parcourir la ville et recueillent les épluchures, qui sont conduite à la Centrale, située au Marché au Bétail. Voici le chargement.
- Beeld 137388 : Afvaldienst te Utrecht. De boeren weten precies de tijd dat de schillen gehaald kunnen worden. Netjes in zakken verpakt gaat de zending naar de boerderij. In Utrecht mogen geen schillen meer in de vuilnisbak terechtkomen.
L'enlèvement des épluchures à Utrecht. Les paysans savent pendant combien de temps elles peuvent être conservées. Mises en sacs, elle sont expédiées à la ferme, et il a été interdit de les jeter.
- Beeld 137389 : Schillencentrale te Utrecht. Na aankomst van de ophalers worden de schillen gestort en in zakken verpakt. La centrale des epluchures à Utrecht. A leur arrivée, les épluchures sont mises en sacs.
- Beeld 137390 : Voorbeeldige afvaldienst te Utrecht. Met vorken wordt de vuilnis gesorteerd, waarna alles zijn bestemming krijgt.
En Hollande. Le service des imnmondices à Utrecht. Avec des fourches on remue le immondices dans lesquelles on trouve toutes sortes.
- Beeld 137391 : Utrechtse afvaldienst. Per schuit wordt na de sortering het afval vervoerd. Bovenste verdieping het metaal voor de smeltkroes en onder de lompen die bij de balatumfabriek worden afgeleverd.
En Hollande. Le service des ordures à Utrecht. N.p.m. : Les débris de métal et les objets de fer abandonnés, destinés aux fonderies. En dessous les déchets de papiers qui iront à la fabrique de balatum.
- Redactie en drukkerij van Het Algemeen Nieuws, 1/1944. - 11 foto's
- Redactie en drukkerij van Onafhankelijk België te Londen, 1940-1945. - 10 foto's
- Redactiestage in Duitsland voor leden van de Hitlerjugend Flandern, 1940-1945. - 8 foto's
- Redding van het schip Gandia in Portugal, 1940-1945. - 14 foto's
- Beeld 1899 : [Fotografia Lusarte]
- Beeld 1900 : [Fotografia Lusarte]
- Beeld 1901 : [Fotografia Lusarte]
- Beeld 1902 : [Fotografia Lusarte]
- Beeld 1903 : [Fotografia Lusarte]
- Beeld 1904 : [Fotografia Lusarte]
- Beeld 1905 : [Fotografia Lusarte]
- Beeld 1906 : [Fotografia Lusarte]
- Beeld 1907 : [Aucune indication]
- Beeld 1908 : "Volgens mij sloep n° 4 van 'Gandia'. Aan de achtersteven: Swartwaeger 4de off. voor Wanders, bootsman. Ikzelf (Cdt Hubert), moet mij aan het roer bevinden, doch de foto werd afgesneden. Er moet een fotograaf geweest zijn in sloep n° 2 onder bevel van Lardinoy" (dixit Cdt. A. Hubert).
- Beeld 1909 : Schaduwbeeld van Lardinoy aan het roer van sloep n° 2.
- Beeld 1910 : Ontscheping van de overlevenden te Reykiavik.
Arrivée des survivants à Reykiavik.
- Beeld 1911 : Jan Moedwil, le speaker flamand de la BBC, reconnaît son ami Gauthier , chauffeur à bord du ms. "Gandia".
Jan Moedwil, de Vlaamse speaker van de BBC, herkent zijn vriend Gauthier, stoker van het ms "Gandia".
- Beeld 1912 : Gauthier, Stoker van het ms. "Gandia".
Gauthier, chauffeur à bord du "Gandia".
- Redevoeringen van Duce Mussolini voor de menigte, [1922-1945]. - 35 foto's
- Beeld 158494 : L'Imponenet dimonstrazione del popolo Italiano al Duce, affacciato al Balcono di Palazzo Venezia. (11452 S T) [Actualit]
- Beeld 158495 : Le retour à Rome du Duce dans la jubilation de la foule. La jubilation de la foule au passage du Duce. [Bruni Foto Agenzia]
- Beeld 158496 : 10849 Il Duce visita la grande fabbrica di Carbone Coke a Nera Montoro (Terni)
la visita dentro gli stabilimenti. [Foto Vedo]
- Beeld 158497 : Sabaudia = manifeziannione al Duce.
- Beeld 158498 : Rome = la manifestation populaire pour la victoire. Une vue de Place Venice pendant le discours de M. Mussolini. [Actualit] [Bruni Foto Agenzia]
- Beeld 158499 : Le entusiastiche accoglienze di Milano a Mussolini. Il Duce parla al popolo di Milano, dal palco eretto davanti il Duomo. [Foto Vedo] [Actualit]
- Beeld 158500 : 23 marzo. L'anniversario della Constituzione dei Fasci, celebrato a Roma. Il Duce parla al popolo. [Sipho]
- Beeld 158501 : [aucune indication] [Foto Vedo] [Actualit]
- Beeld 158502 : [aucune indication] [Vedo] [Actualit]
- Beeld 158503 : [aucune indication] [Actualit]
- Beeld 158504 : 5644 S.E. Mussolini, allo Stadio Nazionale ,assiste al Saggio Ginnico-Sportivo dell'Opera Nazionale Balilla. [Foto Vedo]
- Beeld 158505 : Dimonstrazione al Duce in Piazza Veneci. [Sipho]
- Beeld 158506 : La piu' grande adunata Nazionale del decennio. Il discorso di Mussolini agli Italiani e al mondo ascost to a Torino in un travo gente entusiasmo da 500000 cittadini. [Foto Vedo]
- Beeld 158507 : Il Duce in Sicilia. Il Discorso a Siracusa. L'impressiobabte aspetto di Piazza del Duomo a Siracusa, colma di popolo accorso ad ascoltare la sua parola.
[© Sipho]
[vitullo foto agenzia Roma 13 agosto]
- Beeld 158508 : S.E. Mussolini visita la Grande Fabbrica del carbone coke a nera Monoto (terni) mentre gira per gli stabilimenti. [Foto Vedo]
- Beeld 158509 : L'adunata a Roma di sessantamil Done Fasciste, convenute da tutta Italia, per l'inauguratione della Mostra per l'assistenza all Infanzia. L'Omaggio delle donne Italiane al Duce, l'aspetto di Piazza Venezia durante la dimentrazione chele Madri d'Italia hanno reso a Mussolini. Il Duce al balcone parla alle donne. [Sipho]
- Beeld 158510 : Roma. Il Duce Parla Ai 100.000 Combattenti In Piazza Venezia. [Sipho]
- Beeld 158511 : La Grandi Manovre dell' esercito Italiano nelle lanche il rapporto delle gerarchie Lombarde liguri e Piedmontesi. Il Capo del Governo parla al popolodi cuneo dal Balcone del Palozzo Littorio. [Actualit]
- Beeld 158512 : [Aucune indication] [Vedo] [Actualit]
- Beeld 158513 : 5143 Gli Incontri Internazionali di Calcio. S.E. Mussolini assiste dallatribuna all' incontro calcistice "Italia" - "Scozia" La squadra Italiana batte 3 a 0 la squadra scozzese. [Foto Vedo] [Actualit]
- Beeld 158514 : 661/6102 Mussolini spricht zur italienischen Intelligenz. Im Augusteum in Rom fand eine Versammlung der Gelehrtenwelt Italiens statt, bei der Mussolini eine Ansprache hielt. Mussolini spricht zu den Intelletkuellen Italiens. Text ohne Gewähr! [Sipho]
- Beeld 158515 : Milano = Une vue de la Place du Döme pendant le discours de Mussolini. [Bruni Foto Agenzia]
- Beeld 158516 : Arezzo. L'entusiasmo del popolo per il Duce. [Sipho]
- Beeld 158517 : Lo storico discorso del Duce al popolo di Genova. [Sipho]
- Beeld 158518 : 7954 o/ 1664 Der Abschluss der Tage von Venedig. Die gewaltige Menschenmenge auf dem Markusplatz in Venedig während der Rede des Duce vom Balcon des Palazzo Reale. [Sipho]
- Beeld 158519 : [aucune indication] [Sipho]
- Beeld 158520 : A Venice. Un aspect inussité de la place Saint Mare durant le discours de Mussolini. [Actualit]
- Beeld 158521 : Roma 21 agosto. Palermo. Il Duce parla all' Italia ed al mondo. Un'impressionante aspetto dell' immensa folla in ascolto al Foro Italice, Mentre il Duce Parla. [Sipho]
- Beeld 158522 : Rome : la foule dans la Place Venice écoute le discours du Duce qui annonce la sortie de l'Italie de la Ligue des Nations. [Bruni Foto Agenzia]
- Beeld 158523 : [Aucune indication] [Sipho]
- Beeld 158524 : Instituto Naz. Luce. Natale di Roma = A XIV. Grandiosa dimostrazione al Duce in Piazza Venezia. [Sipho]
- Beeld 158525 : Mussolini thanks women of Italy for great "Sacrifice". Example written in letters of gold in history. What you have done is an example to be written in letters of gold in Italy's history shouted Signor Mussolini from the balcony of the Palazzo Venezia when, addressing a cheering crowd of women in the square below, he publicly thankend them for the part they had played in gaining the victory in Abyssinia. In a referce to sanctions he said "Fascist" Italy had to meet a siege. With great spirit of sacrifice you have acclomplished this task. The woman were massed in the Piazze Venezia to hear Mussolini and afterwards marche to the Royal Palace to cheer King Victor Emmanuel, newly proclaimed Emperor of Abyssinia. The ceremony was broadcast to the provinces where women had been massed in the chief square. Photo schows : part of the huge crowd of women waving flags and cheering Mussolini in the Piazze Venezia. VE May 10th 1936 PN.g. [Sipho]
- Beeld 158526 : [aucune indication]
- Beeld 158527 : Istituto Naz. Luce. Avellino = il Duce Parla alle truppe e al popolo Italienno. [Sipho]
- Beeld 158528 : Il Duce in visita alla Colonia Agricola Beda Littoria. [Sipho]
- Redevoeringen van Duce Mussolini voor de menigte, 1932. - 1 foto
- Redevoeringen van Duce Mussolini voor de menigte, 1935. - 1 foto
- Redevoeringen van Duce Mussolini voor de menigte, 1937. - 2 foto's
- Redevoeringen van Duce Mussolini voor de menigte, 1938. - 8 foto's
- Redevoeringen van Duce Mussolini voor de menigte, 1939. - 7 foto's
- Redevoeringen van Duce Mussolini voor de menigte, 1941. - 1 foto
- Reeks van Amerikaanse karikaturen over Duitsland, Rusland en Engeland, 1940. - 5 foto's
- Referendum Opper-Silezië : april 1921-mei 1921. - 6 foto's
- Regering: bestuursorganen van de provincies, 1932-1933. - 5 foto's
- Regering: Reichstag na de brand in Berlijn, 1933. - 3 foto's
- Regering: Reichstag voor de brand in Berlijn, 1918-1932. - 17 foto's
- Regering: Reichstag voor de brand, plaatsen die voor de parlementsleden in Berlijn zijn gereserveerd, [...-1939]. - 7 foto's
- Regering: verschillende politici, 1922-1933. - 52 foto's
- Regeringsmilities, ontruiming van de burgers, nationalistische overwinning in Irun, [1936]. - 18 foto's
- Registratie van de dieren in de Zwitserse Alpen, [...-1945]. - 10 foto's
- Beeld 132283 : Alprechnung im Lötschental
Wenn sich mehrere Viehbesitzer zugleich melden und jeder noch eine Reihe von Sonderwünschen anbringt, dann herrscht auf dem Tisch des Alpenvogtes Höchbetrieb.
- Beeld 132284 : Alprechnung in Lötschental
Die gesamten Hilfsmittel, die zur Alprechnungen enötigt werden, bestehen aus den an einer längen schnur zusamengehaltenen Tesseln, einen slatt papier, ainem Bleiestift und einem Taschenmesser.
- Beeld 132285 : Alprechnung in Lötschental
Die Zeichen des Besitzers und der Anteil an der Alp werden gleich bei der Alprechnung in die Tesseln eingekerbt.
- Beeld 132286 : Alprechnung im Lötschental
Die Einlegtessel, die aus den Muttertesseln heraus gesckhitzt worden sind, müssen hun ganz genau zu diesen passen.
- Beeld 132287 : Alprechnung im Lötschental
Der Alpenvogt oder sein Gehilfe nehmen nun die Probe vor und damit ist eigentlich der ganze Alprechnungsprozess für den Bergbauern erledigt, denn er hat sich sein Alprecht für ein erledigt, denn er hat sich sein, Alprecht für ein weiteres Jahr erworben.
- Beeld 132288 : Alprechnung im Lötschental
Tessel um Tessel reiht der Alpenvogt en eine lange Schnur. In diesen Tessel ist das Alprecht des Vorjahres enthalten.
- Beeld 132289 : Alprechnung im Lötschental
Natürlich hat der Schreiber heute einen ganz strengen Tag, denn schliesslich ist ja Rechnen und Schreiben nicht gerade seine stärke und ver allem nicht seine lieblingsbeschäftigung.Und aausserdem ist er mit seinen Gedanken so halb und halb bei der Feldarbeit, die er nun heute versäumt hat und die er nun unbedingt am Sonntag nachholen muss.
- Beeld 132290 : Alprechnung im Lötschental
Kommt der Bauer mit seinem bisherigen Alpanteil micht mehr aus, weil es im Stall Zuwachs gegeben hat, dann schneidet es sich für den zusätzlichen ..., den er erwirbt, eine neue Tessel.
- Beeld 132291 : Alprechnung in Lötschental
Wenn die Sonne so richtig auf das 1389 Meter gelegene Dörfchen Ferden im Lötschental brehnt und die Schneefelder immer weiter nach oben weichen, dann ist die Zeit der Alprechnung und des alp. aufzuges gekommen.
- Beeld 147232 : Aprechnung im Lötschental
Der erste Bergbsuer rückt an; er nimmt umständlich us seinem Geldbeutel die seit dem letzten sommer sorgfültig aufbswuhrten Einlegtesseln her as. Das sind seine Ausweisschriften und Dokumente zuglslich.
- Regulares in de nationalistische zone, 1937-1939. - 3 foto's
- Regulares van de landmacht in Spanië, [1931]. - 3 foto's
- Rehenier, professor universiteit Brussel : [...-1940]. - 1 foto
- Reich Arbeitsdienst : Sport, 1939. - 3 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmänner : Sport, divers, 1942-1944. - 24 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmaiden: Bijdrage tot de inspanning op oorloggebied in de industrie, 1943-1944. - 15 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmaiden: Bijstand aan de landbouw: Divers, 1940-1944. - 62 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmaiden: Bijstand aan de landbouw: Reportage over de strohoeden die door Arbeitsmaiden worden gedragen, 1942-1944. - 8 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmaiden: Bijstand aan de landbouw: Reportage over een arbeitsmaid die voor een molenaar werkt, 1944. - 8 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmaiden: De sociale dienst: Divers, 1941-1944. - 18 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmaiden: De sociale dienst: Reportage over een arbeitsmaid die lessen geeft in een landelijke school, 1943. - 13 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmaiden: Divers, 1942-1944. - 12 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmaiden: herbergen voor arbeitsmaiden, [1940-1945]. - 30 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmaiden: sport, 1940-1944. - 24 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmaiden: Vrije tijd, [1944]. - 11 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmaiden: Werkzaamheden van openbaar nut: Divers, [1941]. - 2 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmaiden: Werkzaamheden van openbaar nut: Luftwaffehelferinnen, [1944]. - 7 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmänner: Aanwezigheid in de bezette gebieden van West-Europa, 1943-1944. - 34 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmänner: Bijstand aan de landbouw, 1940-1944. - 6 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmänner: Divers, 1940-1944. - 53 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmänner: Onderhoud van militaire begraafplaatsen, [1941]. - 2 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmänner: Training: Divers, 1942-1944. - 11 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmänner: Training: opleiding voor vrachtwagenbestuurders, 1943. - 5 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmänner: Training: Reportage over de bouw van een Iglo, 1944. - 4 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmänner: Training: Reportage over de school 'Neuen Palas' (Postdam), 1943. - 10 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmänner: Training: Skischool, 1944. - 7 foto's
- Reichsarbeitdienst (RAD): Arbeitsmänner: Vrije tijd, 1943-1944. - 7 foto's
- Reichspräsident de foto's van Paul von Hindenburg, deelname aan de verkiezingen in Berlijn, 1930-1933. - 5 foto's
- Reimond Speleers, oogarts, hoogleraar, lid van de raad van leiding van het Vlaams Nationaal verbond (VNV), 1940-1945. - 2 foto's
- Reimond Tollenaere, algemeen propagandaleider van het Vlaams nationaal Verbond (VNV), kommandant van de Dietse Militie-Zwarte Brigade (DM-ZB), officier in het Vlaams Legioen, 1941-1942. - 7 foto's
- Reimond Tollenaere-herdenking door het Vlaams Nationaal Verbond (VNV) in het Paleis voor Schone Kunsten in Brussel, 8/2/1942. - 4 foto's
- Reimond Tollenaeremars georganiseerd door het Vlaams Nationaal Verbond (VNV) in Brussel, 12/7/1942. - 112 foto's
- Beeld 14538 : Staf De Clercq, leider van het VNV, overleden. De leider van het VNV bij de Tollenaeremars te Brussel op 12/7/1942.
- Beeld 14542 : Dr. R. Tollenaeremars te Brussel, op 12/7/1942. Algemeen zicht op de Beurs, gedurende de opmars voor Staf De Clercq en de Leiders.
- Beeld 14545 : Opstelling van de Zwarte Brigade op de Grote Markt te Brussel.
- Beeld 14547 : Duitse Militie / Zwarte Brigade marcheert over de Brusselse lanen
- Beeld 14549 : Duitse Militie - Zwarte Brigade marcheert voorbij de Beurs.
- Beeld 14552 : R. Tollenaere te Brussel, op 12.7.1942. Staf De Clercq en de leiders, gedurende de opmars aan de Beurs.
- Beeld 14555 : De manschappen Dietse Militie - Zwarte Brigade.
- Beeld 14557 : Streng gelijnd, de zegelbewustheid in hun schreden, werden de soldaten uit het hulpkorps geestdriftig begroet.
- Beeld 14558 : Tollenaere-mars, juli 1942.
- Beeld 14561 : VNV-mars te brussel : 12/7/1942.
- Beeld 14566 : Tollenaere-mars.
- Beeld 14573 : R. Tollenaere-mars. De mars van de Zwarte Brigade te Brussel.
- Beeld 14575 : La "Tollenaere" marche à Bruxelles.
- Beeld 14578 : R. Tollenaeremars. De Zwarte Brigade marcheert.
- Beeld 14582 : In de gewijde stilte welke na de eedaflegging over het marktplein heerste, weerklonk alleen nog de harde soldatenpas van de vaandrig en de erewacht die met de standaard langsheen de 12.000 beëdigde dietsche soldaten voorbijmarcheerde.
- Beeld 14583 : Gemotoriseerde eenheid van de Zwarte Brigade tijden de opmars te Brussel.
- Beeld 14585 : Bonkige kerels waren het. Boeren en arbeiders die uit de vlakten van Vlaanderen waren aangetreden om te Brussel te getuigen van hun volkse trouw en hun bodemvastheid.
- Beeld 14588 : Staf De Clercq spreekt zijn militie toe, ter gelegenheid van het uitreiken van de trouwkentekens R. Tollenaere en van de grote mars door Brussel.
- Beeld 14591 : Leider Staf De Clercq en O. Daem.
- Beeld 14595 : VNV-mars te Brussel op 12 juli 1942.
- Beeld 14602 : Met de besten uit dit volk, zijn tot der dood getrouwe soldaten, bouwt de Leider mede aan het nieuwe Europa en aan een heerlijk vaderland voor het volk der Nederlanden.
- Beeld 14604 : Algemeen zicht. VNV- mars Brussel, 12 juli 1942.
- Beeld 14609 : Zicht over de manschappen.
- Beeld 14610 : Tollenaeremars, juli 1942.
- Beeld 14618 : De R. Tollenaeremars te Brussel, op 12.7.1942. Overhandiging van een standaard door Staf De Clercq aan de Zwarte Brigade.
- Beeld 14619 : Standaard der Dietse Militie/Zwarte Brigade.
- Beeld 14621 : Dietse Militie - Zwarte Brigade opgesteld in de laan voor het Citroëngebouw.
- Beeld 14622 : Ook op het marktplein hadden de kameraden van het Oostfront een ereplaats bekomen en werden de gewonden door de liefderijke zorgen van onze Vlaamse ziekenverpleegsters omringd.
- Beeld 14626 : Onmiddellijk na zijn aankomst schouwde de Leider, vergezeld van de Kommandant-geneneraal a.i. der D.M./Z.B. vanop de treden van het Beursgebouw, weleer het bolwerk van Jodendom en ploutocratie, de voorbijmarcherende scharen.
- Beeld 14627 : Staf De Clercq en Duitse personaliteiten.
- Beeld 14629 : De R. Tollenaeremars te Brussel, op 12/7/1942. Toespraak van Staf De Clercq op de Grote Markt.
- Beeld 14632 : De motorbrigade.
- Beeld 14636 : Gekwetste legioenmannen op de trappen van de beurs.
- Beeld 14637 : Vlaamse vrijwilligers.
- Beeld 14639 : Legioensoldaten aan de Beurs.
- Beeld 14642 : De hulpbrigade.
- Beeld 14643 : Dietse Militie - Zwarte Brigade marcheert.
- Beeld 14645 : De R. Tollenaeremars te Brussel, op 12/7/1942. De opmars, aan de Beurs.
- Beeld 14647 : Dietse Militie - Zwarte Brigade marcheert.
- Beeld 14648 : Dietse Militie - Zwarte Brigade marcheert.
- Beeld 14649 : Tollenaeremars, 13 juli 1942. Dietse Militie - Zwarte Brigade.
- Beeld 14651 : Tollenaeremars, 13 juli 1943. Kerlinneke overhandigt bloemen aan Staf De Clercq.
- Beeld 14653 : Overhandiging DM-ZB-vaandel tijdens Tollenaeremars te Brussel op 12/7/1942.
- Beeld 14656 : Vaandrig der hulpbrigade.
- Beeld 14657 : Staf de Clercq houdt de Standaard in handen.
- Beeld 14660 : Uitreiking van het rouwkenteken.
- Beeld 14662 : Raad van Leiding.
- Beeld 14663 : Foto Tollenaeremars. Zicht Beurs 12/7/1942.
- Beeld 14665 : Tollenaeremars 12/7/1942.
- Beeld 14667 : Aan de overkant van het Beursplein lieten de twee eerste D.M.-Z.B. muziekkapellen hun marsen over het opgeschrikte Brussel uitgalmen.
- Beeld 14668 : Leider Staf De Clercq spreekt.
- Beeld 14670 : Tollenaeremars, 13 juli 1942. Staf De Clercq en J. Van Steenlandt schouwen de troepen.
- Beeld 14673 : Gekwetsten met de verpleegsters.
- Beeld 14675 : Guldensporenherdenking 1942 op zaterdag 11 juli in het Paleis voor Schone Kunsten te Brussel. Eed van trouw van Rik Haese.
- Beeld 14678 : Met gestrekte arm groeten de meisjes der D.M.S., bij honderden langs de straten opgesteld, de voorbij marcherende soldaten.
- Beeld 14682 : J. Van Steenlandt aan het hoofd van zijn troepen.
- Beeld 14689 : Zwarte Brigade. De hulpbrigade.
- Beeld 14691 : Dietse Militie - Zwarte Brigade aan het Citroëngebouw.
- Beeld 14692 : De hulpbrigade.
- Beeld 14694 : Staf De Clercq schouwt de hulpbrigade.
- Beeld 14696 : VNV. Tollenaeremars : 12/7/1942.
- Beeld 14697 : VNV. Tollenaeremars te Brussel : 12/7/1942.
- Beeld 14699 : Staf De Clercq en J. Van Steenlandt.
- Beeld 14701 : J. Van Steenlandt gevolgd door hoge officieren.
- Beeld 14703 : Op de Grote Markt.
- Beeld 14706 : Tollenaeremars : 13/7/1942.
- Beeld 14709 : De hulpbrigade.
- Beeld 14711 : VNV.
- Beeld 14714 : VNV. Tollenaeremars te Brussel : 12/7/1942.
- Reiniging en reparatie van de oevers can de Seine in Parijs, 1942. - 7 foto's
- Reis op een stoomboot in het maagdelijk bos van Maleisië, [...-1945]. - 8 foto's
- Reizende ketellapper te Moerzeke, 1940-1945. - 2 foto's
- Reizende tentoonstelling in Berlijn, 1938-1939. - 4 foto's
- Rekenhoven in Frankrijk : [1933]. - 10 foto's
- Beeld 52140 : Comptabilité d'Etat.
La Cour des Comptes qui vient d'être reformée par le gouverneur du font populaire.
Un bureau de la cour...
[Sipho]
- Beeld 52142 : Comptabilité d'Etat.
La Cour des Comptes qui vient d'être reformée par le gouvernement du front populaire.
Un bureau de la cour de compte.
[Sipho]
- Beeld 52143 : Comptabilité d'Etat.
La Cour des Comptes qui vient d'être reformée fonctionne à l'écart de tout bruit, et surveille les finances.
Les liasses des papiers sont évacuées.
[Sipho]
- Beeld 52145 : Séance solennelle à la Cour des Comptes.
Au cour de cette séance, il a été procédé, sous la présidence de M. Godin, doyen des présidents, à l'installation de M. Chotard, président de Chambre en qualité de premier président.
Ensuite M. Chotard, 1er président, a procédé à l'installation de M. Amet, en qualité de président de Chambre.
N.p.m.: (de g. à dr.) MM. Amet, Godin, Chotard; le procureur général Labeyrie et le président Valette.
Photo NYT. - Paris Parn. 16/10/33 SP105
[The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 52147 : La grande cérémonie dans la Cour des Comptes.
Une grande cérémonie vient d'avoir lieu à l'occasion de l'investiture dans ses fonctions du président de la Cour des Comptes.
Vue générale sur la cérémonie, le président prête serment.
[copyright Service général de la Presse]
- Beeld 52149 : La grande cérémonie dans la Cour des Comptes.
Le président après son élection.
[Service général de la Presse]
- Beeld 52151 : Séance solennelle à la Cour des Comptes.
Paris. - Au cours de cette séance, il a été procédé, sous la présidence de M. Godin, doyen des présidents, à l'installation de M. Chotard, président de Chambre, en qualité de Premier Président.
N.p.m.: le nouveau Premier Président Chotard.
Photo NYT. - Paris. Parn. 16/10/33 SP 105
[Photo NYT Photo. The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 52152 : Séance solennelle à la Cour des Comptes.
Au cours de cette séance, il a été procédé à l'installation de M. Chotard, président de Chambre, en qualité de Premier Président.
N.p.m.: le nouveau Premier Président Chotard.
Photo NYT. - Paris. Parn. 16/10/33 SP 105
[The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 52154 : Séance solennelle à la Cour de Comptes.
Paris. - Au cours de cette séance, il a été procédé à l'installation de M. Chotard, président de Chambre, en qualité de Premier Président.
Une vue générale pendant la séance.
Photo NYT. - Paris. Parn. 16/10/33 SP 47
[The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Beeld 52156 : Séance solennelle à la Cour des Comptes.
Au cours de cette séance, il a été procédé à l'installation de M. Chotard, président de Chambre, en qualité de Premier Président.
Une vue générale pendant la séance.
Photo NYT. - Paris Parn. 16/10/33 SP 47
[The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Rekrutering in het Japanse leger, 1935-1942. - 7 foto's
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- Religie in Oostenrijk: Weinacht, 1930-1945. - 3 foto's
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- Religie: Katholicisme: Reportage over een klooster van diaconessen in Bethanien (Berlijn), [...-1945]. - 13 foto's
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- Religie: moslims, divers, 1930. - 2 foto's
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- Religie van de Muzelmannen in Frankrijk, [1940-1945]. - 3 foto's
- Religieuze feesten en ceremonieën in Italië, 1937-1943. - 11 foto's
- Beeld 162693 : Roma.
Ventennale della vittoria Altare della Patria.
Funzione Religiosa per la Celebrazione della Vittoria alla presenza delle LL.MM. il Re la ReginaImperatrice e il Duce.
[Sipho]
- Beeld 162694 : Milano = 10 Aprile 1941 XIX
Le Ceremonie Religiose della Settimana Santa = la processione dell' Olio Santo nel Duomo di Milano
[Sipho]
[Censure photographique 18.4.41]
- Beeld 162695 : vitullo foto angenzia roma 5 aprile
La solenne consegna della "Rosa d'Oro" alla Regina Elena. Il Nunzio Apostolico si reca nella Cappela Paolina, nella Reggia del Quirinale, per celebrare la Messa solenne, per la consegna della Rosa.
[Foto Agenzia Vitullo]
- Beeld 162696 : Milano = 10 aprile 1941 XIX
Le Cerimonie religiose della settimana salta = nel duomo di milano viene distribuito l' olio santo ai parroci delle chiese Milanesi.
[Sipho]
[Censure photographique 18/04/41]
- Beeld 162697 : Pour Noël, les montagnards descendent de leur pays plein de neige pour jouer ses musettes devant les Saintes Crêches.
[Bruni Foto Agenzia]
- Beeld 162698 : La quotidiana ceremonia dei battesimi in uno dei rioni piu' popolari dell' urbe :
Nel populare quartiere della Garbatella l'Opera Maternità ed Infanzia prodiga la sua assistenza veramente encomiabile ai numerosi figli del popolo che quotidianamente vengono alla luce. La nostra fotografia illustra la ceremonia batismale che si svolge in una delle sale del grandioso edificio dell' Opera di Assistenza Materna.
[Foto Vedo]
[Actualit]
- Beeld 162699 : 3863 b /
Grosse Fronleichnams-Yeierlichkeiten in Rom.
Der Festakt auf dem Petersplatz.
Text ohne Gewähr !
[Sipho]
- Beeld 162700 : Le ceremonie religiose della Settimana Santa = nel duomo di Milano. Il cardinale schuster distribuisce una borsa contenente alcune monete ai dodici vecchioni personificanti i dodici apostoli.
[Sipho]
[Censure photographique 18/04/41]
- Beeld 162701 : 4058 a
Deutsche Heldengedenktag-Feier in Rom.
In der Deutschen Kirche in der Via dell' Anima in Rom wurde in feierlicher Weise eine Erinnerungsfeier für die gefallenen deutschen Soldaten begangen.
U.B.z. : während der Kirchlichen Feier.
Atlantic 14.3.42 C/As
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[23/03/1942]
- Beeld 162702 : Les fêtes de Lisieux.
N.P.M. : le Cardinal Pacelli, légat du Pape parlant au micro, depuis la terrasse de la Cathédrale.
Photo NYT Lisieux FB 11.7.37 LB120
- Beeld 162703 : Eighty young woment enter the order of the "Mother of the Immigrants".
Eighty young women from Britain, France, Belgium, U.S.A., and other countries entered into the Order of the Missions of the Holy Heart of Jesus, founded by Mother Cabrini, at an impressive ceremony in Santa Angelo Lodigiano (North Italy) at which Monsignor Novati, Bischop of Lodi, officiated.
Mother Cabrini, founder of the Order, recently became the first American citizen to be canonised. She died in 1917 in America where che was known as the Mother of the Immigrants.
Photo shows : Some of the new nuns during the ceremony.
ROFO November 28th 1938 PN.r.
[Planet News]
- Religieuze feesten in Italië: Dag des heeres, 1939-1942. - 4 foto's
- Religieuze feesten in Italië: Eucharistie, 1934-1943. - 10 foto's
- Religieuze feesten in Italië: Feest van de Heilige Antonius, [1922-1939]. - 1 foto
- Religieuze feesten in Italië: Heilige week in Rome, 1932-1939. - 4 foto's
- Religieuze feesten in Italië: Kerstmis / driekoningen, 1943. - 6 foto's
- Religieuze feesten in Italië: Palmzondag, 1935. - 2 foto's
- Religieuze feesten in Italië: Pasen / Hemelvaart, 1941-1943. - 4 foto's
- Religieuze gebruiken in Oostenrijk: De innerlijke rust van de arbeid, 10/10/1933. - 3 foto's
- Religieuze gebruiken in Oostenrijk: De katholieke Weense assamblage bid in open lucht voor welvaart, 10/04/1931. - 2 foto's
- Religieuze gebruiken in Oostenrijk: divers, 1930-1945. - 27 foto's
- Religieuze gebruiken in Oostenrijk: Foto's van Kerstbomen in Wenen, 1930-1934. - 2 foto's
- Religieuze gebruiken in Oostenrijk: Herdenking van 500 doden, 10/12/1931. - 3 foto's
- Religieuze gebruiken in Oostenrijk: Kerst en nieuwjaar voor de doven, 04/01/1932. - 2 foto's
- Religieuze gebruiken in Oostenrijk: Sacramenten-processie in Wenen, 1930-1945. - 2 foto's
- Religieuze manifestaties in Joegoslavië : 1943. - 4 foto's
- Beeld 65226 : Trois religions pratiquées dans une seule Eglise.
Consacrée à Saint Jean, elle réunit sous ses voûtes les catholiques romains, les musulmans, les fidèles slovaques-pravoslaviniens.
Photo: à genoux, les fidèles entourent les murs de l'église. Ils se frottent avec la poussière de celle-ci, croyant par là échapper à la maladie.
8.VIII.1943.
Interessantes aus Kroatien.
Eine Kirche, die von Gläubigen dreier Religionen besucht wird. In Podmilacje im kroatischen Bosnien, besteht eine dem Heiligen Johannes geweihte Kirche, zu welcher jedes Jahr Angehörige des römisch-katholischen, muslimanischen und kroatisch-pravoslavischen Glaubens wallfahren. Nach einer religiösen Legende glaubt das gesamte Volk in dieser Gegend daran, dass diese Kirche einmal in uralter Zeit durch ein Wunder von einem Ufer des Flusses auf das andere übertragen wurde. Dieses Ereignis feierte das Volk, jedes Jahr am Tage des Heiligen Johannes.
Kniend umgehen die Gläubigen die Kirchenmauer, von dieser den Staub abwischend und glauben sich dadurch von Krankheiten zu schützen.
- Beeld 65228 : Interessantes aus Kroatien.
Eine Kirche, die von Gläubigen dreier Religionen besucht wird. In Podmilacje im kroatischen Bosnien, besteht eine dem Heiligen Johannes geweihte Kirche, zu welcher jedes Jahr Angehörige des römisch-katholischen, muslimanischen und kroatisch-pravoslavischen Glaubens wallfahren. Nach einer religiösen Legende glaubt das gesamte Volk in dieser Gegend daran, dass diese Kirche einmal in uralter Zeit durch ein Wunder von einem Ufer des Flusses auf das andere übertragen wurde. Dieses Ereignis feierte das Volk, jedes Jahr am Tage des Heiligen Johannes.
Die Kirche in Podmilycje mit Gläubigen im Gebet.
11.VIII.1943.
- Beeld 65230 : Massentaufen in Kroatien.
In der letzten Zeit kam es in Kroatien oft zu Massentaufen. Die Angehörigen der griechisch-orientalischen Kirche in Bosnien und in der Lika treten bereitwillig zur römisch-katholischen Kirche über.
13.IV.1942.
- Beeld 65232 : Massentaufen in Kroatien.
In der letzten Zeit kam es in Kroatien oft zu Massentaufen. Die Angehörigen der griechisch-orientalischen Kirche in Bosnien und in der Lika treten bereitwillig zur römisch-katholischen Kirche über.
13.IV.1942.
- Religieuze processies in Nederland, [...-1945]. - 2 foto's
- Religieuze tradities in Japan, 1931-1936. - 20 foto's
- Rellen te Clichy (Parijs) : 1937. - 4 foto's
- Remy Magermans, boer, letterkundige en acteur, 1940-1945. - 12 foto's
- Beeld 32341 : Remy Magermans, fermier, écrivain et acteur.
Sa ferme à Amonimes, près de Durbuy.
- Beeld 32343 : Remy Magermans, fermier - écrivain et acteur.
Le retour à la ferme. Mais la journée n'est pas encore terminée...
- Beeld 32346 : Remy Magermans, fermier, écrivain et acteur.
En dehors des livres et du théâtre, les chevaux sont sa grande passion, et parmi ceux-ci la jument Rosette est sa préférée; c'est avec elle qu'il se prépare à aller labourer ses champs.
- Beeld 32348 : Il est occupé aux durs travaux de labour.
- Beeld 32351 : Et maintenant, une autre de ses occupations de fermier... semer.
- Beeld 32354 : Il faut traire les vaches.
- Beeld 32356 : Il vaque à tous les travaux de ferme, sa forte constitution lui permettant d'accomplir les ouvrages les plus pénibles.
Casser du bois et pour lui un plaisir plutôt qu'une tâche rebutante.
- Beeld 32358 : Le côté intellectuel de sa vie... A sa table de travail, il met la dernière main au manuscrit de son premier roman "La maladie dans la tour".
- Beeld 32360 : Le côté intellectuel de sa vie... A sa table de travail, il met la dernière main au manuscrit de son premier roman "La maladie dans la tour".
- Beeld 32362 : Dans son intérieur, nous le voyons ici entre sa mère et ses soeurs après une journée de dur labeur.
- Beeld 32364 : Et enfin... le théatre.
Acteur sur une scène bruxelloise bien connue, il incarne le rôle d'un jeune paysan dans la pièce "Le cocu magnifique". Avant d'entrer en scène, une dernière retouche au maquillage.
- Beeld 32366 : ... le voici affrontant les feux de la rampe.
- Renaat Grassin, alias 't Ketje, variétés-artiest, 1943. - 2 foto's
- Renaat Van Thillo, leider van de Vrijwillige Arbeidsdienst voor Vlaanderen (VAVV), 1942-1943. - 12 foto's
- Beeld 7571 : Feest van de VAVV te Antwerpen. Van Thillo met gestrekte arm en naast hem Gerard Romsée, secretaris-generaal van Binnenlandse Zaken
- Beeld 7572 : Vlnr: Gerard Romsée, Verhulst en Van Thillo
- Beeld 7573 : De Leider van de V.A.V.V. door de leider van de Duitse Reichsarbeitsdienst, Hierl, ontvangen.
De leider van de Vlaamse Vrijwillige Arbeidsdienst voor Vlaanderen, R. Van Thillo, is door de de leider van de Reichsarbeitsdienst Hierl te Berlijn ontvangen, aan het einde van een leergang voor de vorming van kaders (juli 1942)
- Beeld 7574 : Feest VAVV te Antwerpen. Van Thillo (links) Romsée (rechts).
- Beeld 7576 : Inhuldiging te Zandvliet van een planting van drie hectaren colza op een aan de Schelde herwonnen Polder, Deze plechtigheid had in België geen plaats meer gegrepen sinds de 17de eeuw. De personaliteiten bezichtigen de bouwwerken van de dijk.
Inauguration à Zandvliet d'une plantation de 3 hectares de colza, dans un Polder reconquis sur l'Escaut. Cette cérémonie n'avait plus eu lieu en Belgique depuis le 17ième siècle. Les personnalités inspectant les travaux de construction de la digue.
- Beeld 7577 : Van Thillo.
- Beeld 7578 : Sportfeest van de VAVV in het Berchem-stadion op 15.8.1943. Van Thillo tijdens zijn toespraak
- Beeld 7579 : Leider Dr. Elias op bezoek bij de Arbeidsdienst.
- Beeld 7580 : Van Thillo (VAVV).
- Beeld 7581 : Van Thillo, rechts gevolgd door Verhulst, Dienstleider van het VAVV
- Beeld 7582 : Tocht der Vlaamse Vrijwillige arbeiders voor Vlaanderen door de stad Antwerpen de 15 oogst 1943. De overheden tijdens het feest in de Dierentuin.
- Beeld 7584 : Van Thillo. Kerstfeest VAVV s.d.
- Renatus (René) Lagrou, stichter van de Algemene SS-Vlaanderen, lid van de Vlaamse Landsleiding in Duitsland, 1941. - 4 foto's
- Rendieren in Finland, 1943-1944. - 8 foto's
- René Lambrichts, algemeen leider van Volksverwering, 1942. - 4 foto's
- René Mesnard, voorzitter COSI (Comité ouvrier du secours immédiat) : 1942-1943. - 7 foto's
- Repatriëring en repatriëringscentra van het Belgische Rode Kruis, 1940-1945. - 18 foto's
- Repatriëring in Frankrijk van vreemde burgers uit Spanje : 1936-1939. - 2 foto's
- Repatriëring van Belgische krijgsgevangenen : 1940. - 58 foto's
- Beeld 2891 : Place du Trône. Défilé des marins belges prisonniers.
- Beeld 2892 : Place du Trône. Défilé des marins belges prisonniers.
- Beeld 2893 : [Aucune indication]
- Beeld 2894 : Les marins belges internés en Espagne et rapatriés par les soins de l'autorité allemande, à leur arrivée à Bruxelles. Aussitôt démobilisés, ils ont rejoint leurs foyers.[Belgapress]
- Beeld 2895 : Gare du Nord. Retour de prisonniers. La marchande offre des oranges.
- Beeld 2896 : [Hersleven]
- Beeld 2897 : Une lettre de remerciements adressée au Chancelier Hitler par une mère d'un prisonnier libéré. [Belgapress]
- Beeld 2898 : (RKB) [3253]
- Beeld 2899 : Assistance aux prisonniers de guerre: Rapatriement des prisonniers de guerre - déclarés inaptes - par les trains sanitaires de la Croix-Rouge de Belgique. (RKB) [3257]
- Beeld 2900 : (RKB) [3254]
- Beeld 2901 : Hôpital auxiliaire n° 5. 1941. (RKB) [3264]
- Beeld 2902 : Les prisonniers délivrés arrivent de partout (centre d'accueil St-Claire) et défilent dans la rue accueillis par la population (Verviers). [A. Ruwet]
- Beeld 2903 : Les prisonniers délivrés arrivent de partout (centre d'accueil St-Claire) et défilent dans la rue accueillis par la population (Verviers). [A. Ruwet]
- Beeld 2904 : Les prisonniers délivrés arrivent de partout (centre d'accueil St-Claire) et défilent dans la rue accueillis par la population (Verviers) [A. Ruwet]
- Beeld 2905 : Les prisonniers délivrés arrivent de partout (centre d'accueil St-Claire) et défilent dans la rue accueillis par la population (Verviers) [A. Ruwet]
- Beeld 2906 : Les prisonniers délivrés arrivent de partout (centre d'accueil St-Claire) et défilent dans la rue accueillis par la population (Verviers) [A. Ruwet]
- Beeld 2907 : Les prisonniers délivrés arrivent de partout (centre d'accueil St-Claire) et défilent dans la rue accueillis par la population (Verviers) [A. Ruwet]
- Beeld 2908 : Les prisonniers délivrés arrivent de partout (centre d'accueil St-Claire) et défilent dans la rue accueillis par la population (Verviers). [A. Ruwet]
- Beeld 2909 : Les prisonniers délivrés arrivent de partout (centre d'accueil St-Claire) et défilent dans la rue accueillis par la population (Verviers). [A. Ruwet]
- Beeld 2910 : Les prisonniers délivrés arrivent de partout (centre d'accueil St-Claire) et défilent dans la rue accueillis par la population (Verviers). [A. Ruwet]
- Beeld 2911 : (RKB) [3263]
- Beeld 2912 : La petite salle d'opération d'un train sanitaire de la Croix-Rouge de Belgique qui ramènera sous peu un grand nombre de prisonniers grands malades et blessés d'Allemagne. [Sipho]
- Beeld 2913 : Un soldat belge de retour, tout heureux de se retrouver dans sa capitale, 8 décembre 1940. [Censure photographique] [Sipho]
- Beeld 2914 : Le retour de prisonniers de Suisse. Ce matin à la gare du Nord sont arrivés 500 internés belges du camp d'Aadorf. Groupe de prisonniers traversant la place Rogier à Bruxelles.
Aankomst van krijgsgevangenen uit Zwitserland. Deze morgen zijn 500 Belgische krijgsgevangenen in het Noordstation teruggekeerd uit het kamp van Aadorf. OFT een groep krijgsgevangenen de Rogierplaats te Brussel overstekend. [Frei gegeben durch zensur] [Sipho]
- Beeld 2915 : Hier 2 mai, un important contingent de prisonniers belges rentrant d'Allemagne est arrivé à Anvers.
Gisteren 2 mei is er een belangrijk contingent Belgische gevangenen in Duitsland te Antwerpen aangekomen. [Frei gegeben durch zensur] [Sipho] [4 mai 1944]
- Beeld 2916 : La pharmacie d'un train sanitaire de la Croix-Rouge de Belgique qui ramènera sous peu un grand nombre de prisonniers grands malades et blessés d'Allemagne.
[Sipho]
- Beeld 2917 : La cuisine d'un train sanitaire de la Croix-Rouge de Belgique qui ramènera sous peu un grand nombre de prisonniers grands malades et blessés d'Allemagne.
[Sipho]
- Beeld 2918 : Le wagon-couchette d'un train sanitaire de la Croix-Rouge de Belgique qui ramènera sous peu un grand nombre de prisonniers grands malades et blessés d'Allemagne. [Sipho]
- Beeld 2919 : L'arrivée d'un nouveau contingent de prisonniers belges à la gare du Nord à Bruxelles.[Sipho]
- Beeld 2920 : Dezen morgen zijn 500 Belgische soldaten in het noordstation uit het kamp Aadorf aangekomen. Een moeder haar zoon omhelzend na een verblijf in Zwitzerland na 1 jaar. [Frei gegeben durch zensur] [Sipho]
- Beeld 2921 : (RKB) [3255]
- Beeld 2922 : Accueil à la gare d'Anvers des prisonniers de guerre rapatriés par trains sanitaires.
(RKB) [3260]
- Beeld 2923 : Assistance aux prisonniers de guerre: Distribution de boissons chaudes dans les gares. (RKB) [3265]
- Beeld 2924 : (RKB) [3279]
- Beeld 2925 : (RKB) [3294]
- Beeld 2926 : Assistance aux prisonniers de guerre: Distribution de boissons chaudes dans les gares. (RKB) [3295]
- Beeld 2927 : [Aucune indication]
- Beeld 2928 : [Aucune indication]
- Beeld 2929 : [Aucune indication]
- Beeld 2930 : [Aucune indication]
- Beeld 2931 : [Aucune indication]
- Beeld 2932 : La lingerie d'un train sanitaire de la Croix-Rouge de Belgique qui ramènera sous peu un grand nombre de prisonniers grands malades et blessés d'Allemagne. [Sipho]
- Beeld 2933 : Le personnel qui assurera le service pendant le voyage d'un train sanitaire de la Croix-Rouge de Belgique qui ramènera sous peu un grand nombre de prisonniers grands malades et blessés d'Allemagne. [Sipho]
- Beeld 2934 : Le personnel qui assurera le service pendant le voyage d'un train sanitaire de la Croix-Rouge de Belgique qui ramènera sous peu un grand nombre de prisonniers grands malades et blessés d'Allemagne. [Sipho]
- Beeld 2935 : Le wagon-couchette d'un train sanitaire de la Croix-Rouge de Belgique qui ramènera sous peu un grand nombre de prisonniers grands malades et blessés d'Allemagne. [Sipho]
- Beeld 2936 : 840 prisonniers sont arrivés à la gare du Nord ce matin. Un prisonnier retrouve sa famille. [9/3/1943] [Frei gegeben durch zensur] [DNP] [Sipho]
- Beeld 2937 : Een Belgische gewonde, maandag uit Duitsland thuisgekomen per ambulance-trein, wordt zorgzaam verpleegd in een ziekenhuis. [Belgapress]
- Beeld 2938 : Aus der Gefangenschaft heimgekehrte belgische Soldaten in Antwerpen.
Sie wissen der Zivilbevölkerung vieles und gutes über die Behandlung durch die Deutschen zu berichten, die ganz im Gegensatz zu den Ankündigungen einer fanatischen Hetzpropaganda stand. 10 August 1940. [Sipho]
- Beeld 2939 : Een groep gewonde, Belgische soldaten die verleden maandag per ambulance-trein uit Duitsland weergebracht zijn en op het ogenblik in een Brussels ziekenhuis worden verpleegd. [Belgapress]
- Beeld 81164 : Stalag 1A, fin juin 1945, le retour "en re-traversant la Pologne".
- Beeld 81165 : Stalag 1A, fin juin 1945, le retour "en re-traversant la Pologne".
- Beeld 81167 : Stalag 1A - le train du retour, fin juin, début juillet 1945.
- Beeld 81169 : Stalag 1A, - le train du retour, fin juin, début juillet 1945,
- Beeld 81170 : Stalag 1A, - le train du retour, fin juin, début juillet 1945,
- Beeld 81172 : Stalag 1A, fin juin, sur la route de Gumbinnen à Insterburg.
- Beeld 81173 : GUMBINNEN - 1 mai 1945 aux mains des Soviétiques.
- Beeld 81175 : Gumbinnen, 1 mai 1945 aux mains des Soviétiques.
- Beeld 81176 : Gumbinnen - 1 mai 1945 aux mains des Soviétiques.
- Repatriëring van de Spaanse kinderen in Sovjet-Unie gevonden : 1943. - 1 foto
- Repatriëring van de Spaanse kinderen uit België, [1939]. - 4 foto's
- Repatriëring van de Spaanse vluchtelingen in Groot-Brittanië, [1937-1938]. - 3 foto's
- Repetities van de "Comédiens routiers" : 20/11/1943. - 8 foto's
- Reportage : Hoedenmakers in Florence (+ tekst), 03/04/1943. - 8 foto's
- Beeld 159308 : 1. Florentiner Hüte. Ein Florentiner Hut - höchst apart ! Am Strand wird er der grosse Modeschlager sein. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie 92.592 A : photo 1]
- Beeld 159309 : 2. Florentiner Hüte. Mitten in der Altstadt von Florenz, nahe bei der berühmten Ponte Vecchio der Goldschmiedebrücke über dem Arno, liegt der Mercato Vecchio. Unter seinem Dach, das von Riesensäulen getragen wird, drängen sich die Verkaufsbuden für Strohwaren - und dort kann man die schönsten und billigsten Florentinerhüte erwerben. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie 92.592 A : photo 2]
- Beeld 159310 : 3. Florentiner Hüte. Wirklich "am laufenden Band" flechten diese Mädchen in hübschen Farben Gürtel aus Stroh. Die Florentinerinnen haben einen sicheren Farbsinn und sie sind stolz darauf, wenn ihnen neue und gute Zusammenstellungen gelingen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie 92.592 A : photo 3]
- Beeld 159311 : 4. Florentiner Hüte. Zu Hause wird der neu gekeufte Florentiner Hut noch einmal gründlich in Augenschein genommen, denn nun erhebt sich die Frage : "Wie putze ich ihn " - mit Blumen oder Band. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie 92.592 A : photo 4]
- Beeld 159312 : 5. Florentiner Hüte. Auch in die modernen Arbeitersiedlungen haben die Florentinerinnen ihre alte Tradition : "das Hutflechten" mit hinübergenommen. Freundliche, nachbarliche Gespräche gehen dabei von Wohnung zu Wohnung - und Konkurrenzneid ist hier unbekannt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie 92.592 A : photo 5]
- Beeld 159313 : 6. Florentiner Hüte. Die alte Verkäuferin im Hintergrunde des Bildes weiss sehr wohl, dass die Damen nicht eher kaufen werden, als bis sie sämtliche Hüte durchprobiert haben - um dann doch den Hut zu nehmen, den die schon mit sicherem Griff gleich als ersten beiseite gelegt haben. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie 92.592 A : photo 6]
- Beeld 159314 : 7. Florentiner Hüte. Ein farbenprächtiges Bild bietet der Mercato Vecchio in Florenz mit seinen dicht gedrängt stehenden "Strohständen". Hier kann man alles finden, was nur irgendwie aus Stroh für eine Frau hergestellt wird. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur][Orbis photo] [Serie 92.592 A : photo 7]
- Beeld 159315 : 8. Florentiner Hüte. Junge Florentinerinnen bei der Herstellung von Handtaschen aus weiss gebleichtem Stroh. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie 92.592 A : photo 8]
- Reportage : Ischia tegen de Ischias (Ischia gegen Ischias), [...-1945]. - 15 foto's
- Beeld 159103 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Lava scura und am heissen Strand von Maronti. Das ist die Cava scura oder Dunkle Schlucht, die man ein paar hundert Meter durchschreiten muss, ehe man zu den zweitausend Jahre alten Felsenbädern gelangt, die von griechischen Kolonisten aus den Felsen herausgemeisselt wurden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 1]
- Beeld 159104 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Die eine der Quellen tritt mit 98 C. an die Oberfläche, so heiss, dass man Eier kochen kann. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 2]
- Beeld 159105 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Luigi, der Pächter der Felsenbäder, ist ein Ziegenhirte, der sich nicht viel um die Bäder kümmert-. Meist sitzt er am Wegrand und fragt die Vorübergehenden : "Hast Du Gebadet ?" Und wenn man bejacht, muss man eine Lira bezahlen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 3]
- Beeld 159106 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Eine halbe Stunde von San Angelo entfernt kiegen die Felsenbäder in der Cava scura, die man auf schmalen Küstenweg zwischen Agaven un Aloen erreicht. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 4]
- Beeld 159107 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Jeder sein eigener Badenmeister. Das Bad mischt man sich selbst, bis es die gewünchte Temperatur hat. Links die heisse Quelle mit 98 C. in der Mitte Wasser von Lufttemperatur und rechts die lauwarme Quelle mit 25 C. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 5]
- Beeld 159108 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Bad im heissen heilkräftigen Sand am Strand von Maronti. Man gräbt sich selbst in den glühend heissen Sand ein oder lässt sich dabei von einem Fischer helfen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 6]
- Beeld 159109 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Köpfe rollen.... Gegen Rheumatismus, Gicht und Ischias ein heilkräftiges Sandbad am heissen Strand von Maronti. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 9]
- Beeld 159110 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Ein Bad in dem heissen heilkräftigen Sand am Strand von Maronti. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 10]
- Beeld 159111 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Bad im heissen heilkärftigen Sand am Strand von Maronti. Man gräbt sich selbst in den glühend heissen Sand ein oder lässt sich dabei von einem Fischer helfen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 12]
- Beeld 159112 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Das Sonderbarste der Cava scura oder Dunklen Schlucht sind die Felsenbäder, jene Badelkammern, die vor zwei Jahrtausenden griechische Kolonisten aus den Felsen herausmeisselten und die auch heute noch gelegentlich benutzt werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 8]
- Beeld 159113 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Eine warme Dusche. Primitiv, wie vor zweitausend Jahren einer hilft dem anderen. In diesen Badekammern meisselte man einfach die vertieften Wannen aus den Felsgestein heraus und führte in offenen Rinnen das heisse Quelwasser zu. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 13]
- Beeld 159114 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Romantisch wie die Felsenbäder ost der Zugang in die Cava scura Dunkle Schlucht. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 14]
- Beeld 159115 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Das Sonderbarste der Cava scura oder Dunklen Schlucht sind die Felsenbäder, jene Badekammern, die vor zwei Jahrtausenden griechische Kolonisten aus den Felsen herausmeisselten und die auch heute noch gelegentlich benutzt werden. Die Badekammern rechts oben im Bild sind unzugänglich und stammen aus einer Zeit als die Schlicht noch nicht die heutige Tiefe hatte. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 11]
- Beeld 159116 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Das Sonderbarste der Cava scura oder Dunklen Schlucht sind die Felsenbäder, jene Badekammern, die vor zwei Jahrtausenden griechische Kolonisten aus den Felsen herausmeisselten und die auch heute noch gelegentlich benutz werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 7]
- Beeld 159117 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. San Angelos, ein kleiner afrikanisch anmutender Ort an der Südküste von Ischia mit weissschimmernden, flachgedeckten Häusern, in dessen Nähe sich die Cava scura mit den Felsenbädern befindet. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 15]
- Reportage: Aan de Donau: van Passau tot Wenen, 1943. - 12 foto's
- Beeld 171309 : An der Donau. Von Passau bis Wien. Eine Donaufahrt von Passau nach Wien führt durch zauberisch schöne Landschaften und vorbei an tiefernsten Wäldern, an wilden Felsenszenerien und alten Burgen und Schlössern. Es gibt viele Menschen sogar, die eine solche Donaufahrt schöner und besinnlicher finden als die Rheinfahrt von Mainz bis Köln.
Bild 1. Abtei Engelszell a.D.Von Passau kommend liegt inmitten gepflegter Gärten das Kloster Engels zell, das lange verweist dastand, bis es 1925 von aus dem Elsass vertriebenen Trappisten wieder bezogen wurde. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 1.] [119/1.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Beeld 171310 : Bild 2. Abteikirche Engelszell. Blick auf den Hochaltar der Stiftskirche. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 2.] [119/2.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Beeld 171311 : Bild 3. Der Eingang zur schönsten Rokokokirche Grossdeutschlands der Stiftskirche in Wilhering, mit den prachtvollen Schauenberger Gräbern. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 3.] [119/3.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Beeld 171312 : Bild 4. Stift St. Florian bein Linz. St. Florian ist das älteste Kloster der Ostmark. Der grossartige Barokbau gilt als einer der schönsten dieser Stilperiode. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 4.] [119/4.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Beeld 171313 : Bild 5. St. Florian bein Linz. Inneres der Stiftskirche mit der berühmten Orgel der zweitgrössten Europas an der Anton Bruckner viele Jahrelang gewirkt und geschaffen hat. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 5.] [119/5.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Beeld 171314 : Bild 6. Stift Melk/Niederöstereich. Das grösste und berühmteste der geistlichen Stiftschlösser. Die herrliche Prunkfassade (von Meister Prandthauer) ist nach Westen gerichtet, Einst war hier eine Grenzbestung, dann wurde Melk herzogsschloss der Babenberger, bis es um die Jahrhundertwende geistliches Stift wurde. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 6.] [119/6.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Beeld 171315 : Bild 7. Wachau : Schloss Schönbühl, wo die Donau in eine waldige Enge eintritt. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 7.] [119/7.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Beeld 171316 : Bild 8. Ruine Greifenstein an der Donau/Niederösterreich. An den Hängen des Wiener Waldes gelegen, geniesst man von der Ruine Greifenstein einen herrlichen Blick über den immer breiten werdenden Donaustrom. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 8.] [119/8.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Beeld 171317 : Bild 9. Wachau : Spitz an der Donau, im Herzen der wachau gelegen, den Wienern durch die dort gern genossenen Weine wohlbekannt. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 9.] [119/9.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Beeld 171318 : Bild 10. Wachau. Donaudampfer bei Dürnstein. Stadt und Burg Dürnstein ist idyllisch an der Donau gelegen. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 10.] [119/10.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Beeld 171319 : Bild 11. Klosterneuburg. Blick auf Klosterneuburg. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 11.] [119/11.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Beeld 171320 : Bild 12. Stift Klosterneuburg. Markt in Klosterneuburg an der Donau mit der Stiftskirche im Hintergrund. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 12.] [119/12.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Reportage: Abyssinia, [1930-1939]. - 25 foto's
- Beeld 161275 : I. Le pays et ses habitants - en Afrique Orientale italienne.
1. Le destin de l'Abyssinie se décida dans la vallée de Mai Ceu.
Ici eut lieu la dernière bataille de la campagne. Le nouveau chemin de fer de Massaua - Addis Abeba traverse aujourd'hui cette vallée, dont le caractère alpin est typique pour l'Abyssinie.
[Sipho]
- Beeld 161276 : 2. Tel était l'aspect des rues et des villes abyssines du temps du Négus. Une photo de Vieille-Harrar, l'une des villes exemplaires de l'Abyssinie de l'époque.
[Sipho]
- Beeld 161277 : 3. Au coeur de l'Abyssinie, l'agriculture fleurit depuis qu'on peut penser. Tiré de boeufs, la charrue y sillonne le sol fertile, dont les produits font vivre la population.
[Sipho]
- Beeld 161278 : 4. Sur une large échelle, on a commencé la culture du coton dans de vastes régions du nord de l'Empire, et les résultats ont été prometteurs. Tels que des rosiers, les plantes de cotons se dressent, agés d'un an.
[Sipho]
- Beeld 161280 : 6. Le pays du café. Le café de Harrar est connu dans le monde entier. Ce café doit d'abord servir à l'exportation à l'étranger, pour des raisons de devises.
[Sipho]
- Beeld 161281 : 7. Des barres de sel qui ont la même valeur d'achat que l'argent lui-même. Les indigènes extraient eux-mêmes ce sel de l'eau de la mer et le transportent à l'intérieur du pays.
[Sipho]
- Beeld 161282 : 13. Il porte l'ancien costume des lions. Seuls ceux qui ont tué un lion à coups de lance sont dignes de ce costume. Tout Abyssinien à l'ambition de pouvoir porter cette robe orgueilleuse.
[Sipho]
- Beeld 161283 : 14. L'orgeuil de l'homme du nord de l'Eritrée, ce sont ses cheveux, qui lui donnent un aspect farouche. Cette coiffure se fait à l'aide de beurre fort.
[Sipho]
- Beeld 161284 : 15. Symboles des Chrétiens noirs : Saint-Michel et La Vierge....en noir. Les images rappellent en beuacoup l'art européen du Moyen-Age.
[Sipho]
- Beeld 161285 : 16. Photo d'une fenêtre dans le château de Gondar, par un artiste abyssin, montrant le gibier du pays qu'on peut chasser : des lions, des éléphants, des rhinocéros er des giraffes.
[Sipho]
- Beeld 161286 : 17. On trouve les giraffes surtout au nord, au Soudan et en Somalie. Telle qu'une créature préhistorique, cet animal se promène dans la steppe.
[Sipho]
- Beeld 161287 : 18. Les serpents vénimeux ne sont pas rares en Abyssinie. Voici l'animal le plus dangereux de l'Afrique, la "Mamba Rouge" légendaire.
Une morsure par ce serpent belliqueux, et la mort ne se fait pas attendre. La vipère est aussi vénimeuse qu'elle. elle vit surtout dans les régions sablonneuses et chaudes de l'Empire.
[Sipho]
- Beeld 161288 : 2. A tout instant prêt au combat : la légion "Arnaldo Mussolini" défile devant le vice-roi, elle se compose d'hommes dont la plupart aidait à la conquête du pays. Maintenant ils exécutent leurs différentes professions et sont tous menbre d'une union militaire ou de la milice fasciste.
[Sipho]
[Censure photographique]
- Beeld 161289 : 4. Des soldats indigènes avec leurs officiers italiens. Ils travaillent à la représentation d'une "fantasia". Les officiers italiens entretiennent de bonnes relations avec leurs hommes indigènes. C'est qu'ils sont choisis parmi les meilleurs officiers de l'Italie. Ce sont des hommes audacieux, entrainés au service colonial et sportif, de vrais types de chef.
[Sipho] [Censure photographique]
- Beeld 161290 : 5. Qui sont les colonisateurs ? Des combattants du front, de l'armée ou de la milice; la plupart d'eux sont membre du parti fasciste. Eux seuls y sont admis, et on les secourent largement dans leur traveil constructif. Ces hommes qui ont donné leur sang pour conquérir cette terre se sont vite enracinés dans le sol de leur nouvelle patrie qu'ils ont rendu fertile pour leurs enfants et les enfants de leurs enfants.
[Sipho]
[Censure photographique]
- Beeld 161291 : Tels que les hommes sont aussi leurs chef qui sont à la tête de l'Empire. Il y a Jacobo Gasparini, ex-gouverneur d'Eritrée.
Il a renoncé au service de l'Etat pour travailler à l'oeuvre de sa vie, l'initiation d'une économie dans l'Eritrée Occidentale par la culture de coton. Ce grand pionnier colonial, déjà aujourd'hui surnommé le roi du coton de Tessenei, travaille avec succès à l'un des plus importants projets coloniaux de l'Empire.
[Sipho] [Censure photographique]
- Beeld 161292 : 8. Des villes et des villages naissent. L'Etat prend soin aussi des soldats indigènes. Voici un coup d'oeil sur les habitations des Askaris de la garnison de Cheren : les Askaris et leurs familles vivent dans de petites maisons agréables.
[Sipho] [Censure photographique]
- Beeld 161293 : 9. Gondar, la capitale de Amhara, est un exemple excellent de la vitesse dont progresse la construction italienne. A droite, sur la photo, on voit le vieux quartier indigène, à gauche la nouvelle ville italienne qui est en train de naître, au milieu : les vieux châteaux.
[Sipho] [Censure photographique]
- Beeld 161294 : 10. [Aucune indication]
[Sipho]
[Censure photographique]
- Beeld 161295 : 11. Il y a peu de temps il y avait ice des villes de tentes; maintenant elles ont dû céder la place à de larges rues commerciales, à de grands édifices des autorités, à des hôtels, des cinémas, etc.
Notre correspondant nous écrit à ce sujet : on a envie de retenir ou ralentir le développement de ces villes.
[Sipho]
[Censure photographique]
- Beeld 161296 : 12. A Addis-Abeba, les automobiles décident le trafic, ce qui n'étonne pas si l'on pense que le diamètre de la ville est de plus de 10 km. Tel est l'aspect matinal sur le Viale Tevere, de l'axe ouest-est de la ville. Le trafic rappelle une métropole européenne.
[Sipho]
[Censure photographique]
- Beeld 161297 : 13. La construction des rues, voici la première devise de l'oeuvre italienne. Ainsi, partout dans le pays, on voit des hommes, des Européens surtout, qui travaillent à la construction des rues. Sous des difficultées inimaginables et sous un climat des plus défavorables, l'oeuvre progresse continuellement. L'Italie a payé des millions innombrables pour la construction de ces rues.
[Sipho]
[Censure photographique]
- Beeld 161298 : 15. La culture de coton demandait des travaux énormes de défrichage. Le problème le plus difficile concernait l'irrigation, condition essentielle de toutes les cultures. Dans la steppe déserte et épineuse on construit, au cours des dernières années, un réseau de canaux : des canaux, dont le toral surpasse 100 km, traversent maintenant la région, formant la base d'une irrigation bien réglée. Cette installatin est encore un achèvement des plus gigantesques de l'Empire. Notre photo montre le dernier canal d'irrigation, celui de Tessenei, d'une longueur de 18 km, avant son achèvement.
[Sipho]
[Censure photographique]
- Beeld 161299 : 17. Les faisceaux à l'océan Indien : symbole du jeune Empire fasciste, pleine de forces et de puissances futures. La Somalie italienne, qui s'étend du golfe d'Aden jusqu'au Kenya, la colonie britanique de l'Afrique Orientale, produit depuis longtemps des produits agricoles d'une grande valeur pour la métropole italienne.
[Sipho]
[Censure photographique]
- Beeld 161525 : 5. Des enfants indigènes recueillent les capsules mûries trop tôt des plantes dans leurs pagnes.
[Sipho]
- Reportage: Academie voor grafische kunst te Wenen, 1944. - 6 foto's
- Beeld 171164 : L'ACADEMIE DES ARTS GRAPHIQUES A VIENNE. L'académie des Arts graphiques à Vienne fondée depuis plus de 250 ans est la plus ancienne académie du Reich. Le batiment fut acheté en 1877 par Théophile Hans Hansen ; le plafond de la salle de fête est ornée d'une peinture d'Anselme Feuerbach "La chute des Titans". L'académie comprend des classes de peinture, de sculpture, d'architecture, d'arts décoratifs etc. L'ACADEMIE DES ARTS GRAPHIQUES A VIENNE. I - Vue de la salle de fête de l'académie de Vienne, ornée de la grande peinture d'Anselm Feuerbach "La chute des Titans". [Copyright by SIPHO.] [Série N° 100460. Photo N° 1.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 16 mai 1944. I. A.]
- Beeld 171165 : L'ACADEMIE DES ARTS GRAPHIQUES A VIENNE. 3 - Un professeur donne des indications aux élèves d'une classe de peinture de décors de théâtre. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 100460. Photo N° 3.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 16 mai 1944. I. A.]
- Beeld 171166 : L'ACADEMIE DES ARTS GRAPHIQUES A VIENNE. 4 - Jeune artiste au travail. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 100460. Photo N° 4.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 16 mai 1944. I. A.]
- Beeld 171167 : L'ACADEMIE DES ARTS GRAPHIQUES A VIENNE. 5 - Malgré la guerre l'académie est fréquentée par des éléments étrangers. Voici une jeune élève japonaise. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 100460. Photo N° 5.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 16 mai 1944. I. A.]
- Beeld 171168 : L'ACADEMIE DES ARTS GRAPHIQUES A VIENNE. 6 - Un élève sculpteur croate. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 100460. Photo N° 6.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 16 mai 1944. I. A.]
- Beeld 171169 : L'ACADEMIE DES ARTS GRAPHIQUES A VIENNE. 8 - Le professeur Wilhelm Dael corrige le travail de ses élèves. [Copyright by Sipho.] [Série N° 100460. Photo N° 8.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 16 mai 1944. I. A.]
- Reportage: Arbeid in Oostenrijk: Arbeidskameraden spelen toneel voor Arbeidskameraden, 1944. - 4 foto's
- Beeld 171182 : Arbeitskameraden spielen für Arbeitskameraden. Ausländische Arbeiter in Deutschland gestalten ihre Freizeit. Ein Blick hinter die Kulissen einige Minuten vor dem Aufreten. Das sich in dem weiblichen Wesen, das gerade dabei ist den Clown zu schminken, ein Mann verbirgt, vermutet man wohl kaum. Die Verwandlung ist ausgezeichnet gelungen. Rd/Le. EM. K 8763/1 ab. [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 13 Marz 1944. I. A.]
- Beeld 171183 : Arbeitskameraden spielen für Arbeitskameraden. Ausländische Arbeiter in Deutschland gestalten ihre Freizeit.
Nachdem es aus der Flasche getrunken hat, eine ziemlich grosse allerding und einer Weinflasche nicht unähnlich, wird das Riesen-Baby schlafen gelegt. Rd/Le. EM. K 8763/6b. [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 13 Marz 1944. I. A.]
- Beeld 171184 : Arbeitskameraden spielen für Arbeitskameraden. Ausländische Arbeiter in Deutschland gestalten ihre Freizeit. Der "indische Fakir" (ein Franzose) lässt unter Beschwörungsworten und Zauberformeln Hosenträger zu Schlangen werden, und unter dem Flötenspiel des Beschwörers beginnt der Korb sich langsam zu drehen. Rd/Le. EM. K 8763/12. [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 13 Marz 1944. I. A.]
- Beeld 171185 : Arbeitskameraden spielen für Arbeitskameraden. Ausländische Arbeiter in Deutschland gestalten ihre Freizeit. Die "Baby-Imitation" erregt bei den Zuschauern allergrösste Heiterkeit. Rd/Le. EM. K 8763/7. [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 13 Marz 1944. I. A.]
- Reportage: “Aspekte” en “Veduten” in Rome, [1943]. - 11 foto's
- Beeld 159948 : "Aspekte" und "Veduten" in Rom. 3. Veduta des Tibers, der Brücke zum Castell S. Angelo, der Engelsburg selbst und von S. Peter von Gianbattista Piranesi. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 3]
- Beeld 159949 : "Aspekte" und "Veduten" in Rom. 1. Veduta von der Piazza del Popolo des Gianbattista Piranesi. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 1]
- Beeld 159950 : "Aspekte" und "Veduten" in Rom. 2. Veduta des Platzes von S.Peter und des Domes von S. Peter von Gianbattista Piranesi. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 2]
- Beeld 159951 : "Aspekte" und "Veduten" in Rom. 10. Piazza della Rotonda (oder del Pantheon). Rechts die Säule des Pantheon; inmitten des Platzes ein wunderbarer Brunnen aus dem Jahre 1573, den Clemens XL. im Jahre 1711 aufstellen liess. Die Häuser, die den Platz umsäumen, stammen aus dem Rom des Settecento. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 10]
- Beeld 159952 : "Aspekte" und "Veduten" in Rom. 9. Blick auf das Foro Romano von der Via del Impero (der neuen Prachtstrasse Mussolinis) aus. Rechts im Hintergrund das Capitol. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 9]
- Beeld 159953 : "Aspekte" und "Veduten" in Rom. 7. Piazza Navona, noch heute in der Form erinnernd an das Stadion des Domizian, auf dessen Stelle dieser Platz errichtet wurde. Im mittelalterlichen Rom fanden hier Märkte und grosse Feste statt. Krönung des Platzes sind die drei Brunnen, Barocke Prachtwerke des Bernini, von denen der Moro die ganz besondere Sympathie der Römer geniesst. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 7]
- Beeld 159954 : "Aspecte" und "Veduten" in Rom. 8. Piazza di Campo dei Fiori - einer der populärsten Plätze Roms. Bis vor kurzem fanden hier die berühmten Mittwochsmärkte statt, Anziehungspunkt für alle Kunstliebhaber. In der Mitte ein Denkmal Girodano Brunos, der im Jahre 1600 an dieser Stelle verbrannt wurde. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 8]
- Beeld 159955 : "Aspekte" und "Veduten" in Rom. 11. Blick über den Platz Bocca della Verità. Im Vordergrund der wunderschöne barocke Brunnen mit zwei Tritonen (von Maratta), im Hintergrund der Triumphbogen des Giano. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 11]
- Beeld 159956 : "Aspekte" und "Veduten" in Rom. 5. Veduta der Fontana di Trevi von Gianbattista Piranesi. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 5]
- Beeld 159957 : "Aspekte" und "Veduten" in Rom. 6. Blick über das Foro Romano auf Rom vom Palatin aus. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 6]
- Beeld 159958 : "Aspekte" und "Veduten" in Rom. 4. Veduta der Piazza Navona des Gianbattista Piranesi. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 4]
- Reportage: Barok aan de Donau, 1930-1945. - 12 foto's
- Beeld 171385 : Barock an der Donau. Blick in die wunderbare Barockkirche des Dürnsteiner Klosters. [SIPHO.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Zensurstelle-Bildpresse. Brüssel, I.A.] [Série N° 1786 B. Photo N° 1.]
- Beeld 171386 : Barock an der Donau. Eingang zum Kloster in Dürnstein. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 2.]
- Beeld 171387 : Barock an der Donau. Besonders schöner und prunkender Ofen im Barockstil in eimen Saal des Rathauses in Stein a.d. Donau. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 3.]
- Beeld 171388 : Barock an der Donau. Detail ais einer barocken Kirchenfassade in ST.Pölten. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 4.]
- Beeld 171389 : Barock an der Donau. Karyatide, ein beliebtes Barockmotiv, an einem Portal des Dürnsteiner Klosters. [SIPHO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 5.]
- Beeld 171390 : Barock an der Donau. Gemütlich und kompakt steht diese kleine Madonna wie eine Lebkuchenfigur da. [SIPHO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 6.]
- Beeld 171391 : Barock an der Donau. Anbetende Putte über in dem Eingang einer Kirche in St.Pölten. [SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 7.]
- Beeld 171392 : Barock an der Donau. Fast in allen Städten und Städtchen längs der Donau finden wir diese herrlichen und überreichen Denkmäler der Barockzeit, seien es Pest-oder Dreifaltigkeitssäulen. Überraschend wie das gleiche Thema immer mit neuer Erfindungsgabe und Formenfülle von den Barockmeistern gestaltet wurde. [SIPHO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 8.]
- Beeld 171393 : Barock an der Donau. Fats überbarock ist der Schwung der Pestsäule auf dem Markplatz in St.Pölten, im Hintergrund die sehr viel ruhigere aber wunderschöne Fassade der St.Franziskus-Kirche. [SIPHO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 9.]
- Beeld 171394 : Barock an der Donau. Mutet nicht auch das den kühlen Nordländer wie süddeutscher Barock an, wenn der Bürger nach getaner Arbeit, ehe er zum Abendschoppen geht, sich seien Zubis beim Bäcker durchs Fenster kauft. [SIPHO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 10.]
- Beeld 171395 : Barock an der Donau. Ein Leckerbissen für den Kenner des Barocks, eine eigenartige Lösung eines Barockfensters, das nicht wie meist glatt oder nur aufgeteilt farblos in Bleifassungen ist, sondern aufgeteilt in reiches Gitterwerk und ausserdem noch gelbe Sonnen hineinkomponiert, die warme Lichteffekt im Innern der Kirche hervorrufen. [SIPHO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 11.]
- Beeld 171396 : Barock an der Donau. Eine besonders schöne und schwungvolle Barockkanzel im Kloster von Dürnstein. [SIPHO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 12.]
- Reportage: Beelden van Alaska, [1930-1940]. - 7 foto's
- Reportage: Bezetting van een Italiaanse middeleeuwse burcht, 12/1943. - 10 foto's
- Beeld 162405 : SS-PK Wiesenbach 161/4a
Text 2668 Italien Dez.43
Burgritter des 20. Jahrhunderts. 5
Ein Sanitätssoldat der Einheit, die auf der Burg in Quartier liegt, hat sein Krankenrevier in einem als Burgmuseum gestalteten Raum eingerichtet.
Antike Möbel, Madonnen-Statuen und kostbare Gemälde füllen den Raum, in dem deutsche Grenadiere sich bewegen.
D. 468/Sti
Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[26/12/1942]
- Beeld 162406 : SS-PK Wiesenbach 161/17a
Text 2668 Italien Dez.43
Burgritter des 20. Jahrhunderts 3
In den überdachten Wehrgängen der Burg, die in guterhaltenen Zustand noch heute von der Baukunst früherer Jahrhunderte zeugen, finden die in der Burg einquartierten Grenadiere eine willkommene Gelegenheit zum Wäschetrocknen.
D. 466/Sti
Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[26/12/43]
- Beeld 162407 : SS-PK Wiesenbach 161/13a
Text 2668 Italien Dez.43
Burgritter des 20. Jahrhunderts. 4
Zinnen, Mauern und Wachtürme - eine Umgebung, die jedes Künstlerauge entzückt. Es ist Mittagszeit ! Der Stubendienst holt die Verpflegung für seine Kameraden.
D. 467/Sti
[Sipho]
[Censure photographique 26.12.1941]
- Beeld 162408 : SS-PK Wiesenbach 161/5a
Text 2668 Italien Dez.43
Burgritter des 20. Jahrhunderts 6
Die grossen Kamine in den Hallen des Burg sind auch, wie vor Jahrhunderten den Rittern und ihren Knappen, unseren Grenadieren willkommene Wärmespender.
Zwischen den schonend beiseitegeschobenen, antiken Möbelstücken haben sie ihr Strohlager aufgeschlagen.
D. 469/Sti
[Sipho]
[Censure photographique 26/12/1942]
- Beeld 162409 : SS-PK Wiesenbach 161/14a
Text 2668 Italien Dez.43
Burgritter des 20. Jahrhunderts. 2
Von den hohen Türmen, die an jeder Ecke der Burg trotzig in alle vier Himmelsrichtungen ragen und von den Wehrgängen wird nicht mehr Ausschau nach dem Feind gehalten. Die Technik des Krieges überspannt weitere Räume als das Auge überbrücken kann. Aber die Gedanken der Grenadiere mögen wohl in die Zeiten zurückwandern, dacdiese Anlagen noch eine beherrschende Geltung hatten.
D. 465/Sti
[Sipho]
[Censure photographique 26/12/1942]
- Beeld 162410 : SS-PK Wiesenbach 161/12a
Text 2668 Italien Dez.43
Burgritter des 20. Jahrhunderts. 10
über dem riesigen, altertümlichen Kamin - die moderne Nachrichtenzentrale. Käbel und Fernsprechleitungen schlängeln sich um Säulen und durch meterdicke Fenster.
Motorengeräusch der Kradmelder aus dem Hof dringt herein. Immer wieder lockt ein Vergleich zu der vervangenen Zeit, als Kundschafter auf schnaubenden Rossen hier haltmachten, um ihre Nachrichten zu überbringen.
D. 473/Sti
[Sipho]
[Censure photographique 26.12.1942]
- Beeld 162411 : SS-PK Wiesenbach 161/7a
Text 2668 Italien Dez.43
Burgritter des 20. Jahrhunderts. 7
Ein 600 jähriger Brunnen im Hof der Burg. Wieviele Krieger der alten Zeit mögen an ihn wohl, wie heute der deutsche Grenadier, ihre Essnäpfe ausgewaschen haben ?
D. 470/Sti
[Sipho]
[Censure photographique 26.12.1942]
- Beeld 162412 : SS-PK Wiesenbach 161/8a
Text 2668 Italien Dez.43
Burgritter des 20. Jahrhunderts. 8
Wennschon ein Burgquartier, dann soll es auch gemütlich gestaltet werden. Unter den Burghoflauben füllt ein Grenadier einige Vasen mit frisch geschnittenen Grün.
[Sipho]
[Censure photographique 26/12/1943]
- Beeld 162413 : SS-PK Wiesenbach 169/10 a
Text 2668 Italien Dez. 43
Burgritter des 20 Jahrhunderts. 9
In der Schreibstube der Einheit.
Auf dem Thronsessel vervangener Würdenträger nimmt heute ein Feldwebel eilig sein Mittagessen ein.
Gleich darauf wird er wieder an seiner Schreibmaschine Gefechtsberichte tippen, in einem Raum, in dem früher Pergamentrollen hochwürdiger Schreiber knisterten.
D. 472/Sti
[Sipho]
[Orbis]
[Censure photographique 26.12.1942]
- Beeld 162414 : SS-PK Wiesenbach 161/21 a
Text 2668 Italien Dez. 43
Burgritter des 20 Jahrhunderts. 12
Der Raum in dem alte Waffen und Ritterrüstungen aufgestellt sind, findet besonderes Interesse.-
Mit diesen Waffen haben einmal die Verteidiger dieser Burg gekämpft. Aufmerksam betrachten die Grenadiere die interessante Sammlung.
D. 475/Sti
[Sipho]
[Orbis]
[Censure photographique 26.12.1942]
- Reportage: Biennale de Venise, 1937-1943. - 8 foto's
- Beeld 160034 : Deutsche Filmkünstler auf der Biennale in Venedig. Elli Parvor, die bekannte italienische Darstellerin vieler italienischer Filme ist das erste Mal in Deutschland in dem Bavaria-Film "Sieben Jahre Glück" zu sehen, dessen Regie in den Händen Ernst Marischka's liegt und in dem wir mit Hans Moser und Theo Lingen Wiedersehen feiern können. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.344 A : photo 18]
- Beeld 160035 : Deutsche Filmkünstler auf der Biennale in Venedig. Ilse Meudtner, die Solotänzerin der Staatsoper in Berlin hat ihr Training für die neue Wintersaison für einige Zeit an den Lido von Venedig verlegt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.344 A : photo 13]
- Beeld 160036 : Deutsche Filmkünstler auf der Biennale in Venedig. Ilse Meudtner, die Solotänzerin der Staatsoper in Berlin hat ihr Training für einige Zeit an den Lido von Venedig verlegt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.344 A : photo 15]
- Beeld 160037 : Deutsche Filmkünstler auf der Biennale in Venedig. Die bekannte italienische Darstellerin Elli Parvo wurde erstmals für einem deutschen Film verpflichtet, der "Sieben Jahre Glück" heisst und bei der Bavaria unter Spielleitung von Ernst Marischka gedreht wurde. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.344 A : photo 19]
- Beeld 160038 : Deutsche Filmkünstler auf der Biennale in Venedig. Der Spielleiter von Baky, der Produktionschef Schmidt und Hans Albers fahren zu Aussenaufnahmen des neuen Ufa-Farb-Films "Die Abenteuer des Baron von Münchhausen", der zum Teil in Venedig gedreht wird und dessen Titelrolle Hans Albers übertragen wurde. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.344 A : photo 6]
- Beeld 160039 : Deutsche Filmkünstler auf der Biennale in Venedig. Lustige Unterhaltung unter Venedigs geflügeltem Löwen. Hans Albers und Werner Scharf weilen zur Zeit in der Lagunestadt zu Aussenaufnahmen des neuen Ufa-Farbfilms "Die Abenreuer des Baron von Münchhausen", dessen Titelrolle Hans Albers übertragen wurde. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.344 A : photo 8]
- Beeld 160040 : Deutsche Filmkünstler auf der Biennale in Venedig. Olga Tschechowa, die bekannte und beliebte Künstlerin von Bühne und Film besuchte Venedig während der Biennale zur Uraufführung des "Andreas Schlüter" -Films, der unter der Regie von Herbert Maisch enstand und in den sie die weibliche Hauptrolle als Partnerin von Heinrich George inne hat. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.344 A : photo 5]
- Beeld 160041 : Deutsche Filmkünstler auf der Biennale in Venedig. Olga Tschechowa besuchte Venedig zur Biennale, um sich bei der Uraufführung des Terra-Films "Andreas Schlüter", in den sie die weibliche Hauptrolle innehat, den italienischen Publikum vorzustellen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.344 A : photo 1]
- Reportage: Bij de Glasblazers van Murano (+ tekst), [...-1945]. - 15 foto's
- Beeld 159293 : Chez les verriers de Murano. Dans une grande se trouvent les fours dans lesquels le verre est soumis à la fusion. Les ouvriers travaillent munis de longues barres de fer creuses ou cannes à souffler. Le maître ouvrier est assis dans une sorte de fauteuil à très larges accoudoirs horizontaux sur lesquels il fait rouler d'un mouvement de va et vient le tube de soufflage, imprimant ainsi à la masse du verre mou un vif mouvement de rotation. La force centrifuge provoque des élargissements de la masse qui varient avec la direction du mouvement et avec la vitesse de la rotation. [Actualit]
- Beeld 159294 : Chez les verriers de Murano. II Un des ouvriers souffle la goutte de verre encore rouge de la fusion tandis qu'un autre approche une petite pièce du four pour la ramollir et la façonner à son gré. [Actualit]
- Beeld 159295 : Chez les verriers de Murano. La masse de verre que vous voyez va devenir un superbe plat. Un ouvrier applique une canne rougie contre la partie qui sera le dessous du plat (à gauche) et le maître ouvrier, d'une main sure, va trancher tout autour la masse de verre rattachée à la canne de droite. [Actualit]
- Beeld 159296 : Chez les verriers de Murano. L'ouvrier a tranché le verre qui était encore attaché à la canne. De cette façon il a obtenu une sorte de corolle de verre à moitié fermée. Par suite du mouvement giratoire imprimé à cette masse encore malléable, celle-ci s'est ouverte complètement formant le joli plat que voici. [Actualit]
- Beeld 159297 : Chez les verriers de Murano. V Le maître ouvrier receuille sur un vase en partie terminé, la goutte de verre qui en formera le pied. Il s'agit de travailler vite car le verre se refroidit rapidement et la moindre erreur ou retard rend la pièce inutilisable et bonne à jeter, ce qui arrive assez souvent et explique les prix élevés des verres de Murano. [Actualit]
- Beeld 159298 : Chez les verriers de Murano. A midi, les petits apprentis verriers de Murano mangent leur plat de spaghettis, assis en plein soleil, face à la lagune miroitante et merveilleuse. [Actualit]
- Beeld 159299 : [aucune indication] [Actualit]
- Beeld 159300 : Chez les verriers de Murano. L'ouvrier qui a trempé la canne dans le verre en fusion aplatit d'abord légèrement la masse de verre mou avant d'y souffler. [Actualit]
- Beeld 159301 : [Aucune indication]
- Beeld 159302 : [Aucune indication] [Actualit]
- Beeld 159303 : Verrerie soufflée. Murano.
- Beeld 159304 : [Aucune indication]
- Beeld 159305 : Verre Murano gravé. [Giacomo Brogi]
*Chez les Verriers de Murano VII. Modèle de verrerier taillée moderne de Murano. [Actualit]
- Beeld 159306 : S.A.L.J.R. Murano. Vaso inciso : "Antifride" [Giacomo Brogi]
*Chez les Verriers de Murano VII. Modèle de verrerier taillée moderne de Murano. [Actualit]
- Beeld 159307 : Chez les verriers de Murano. Dans le musée des verres de Murano sur le "Canal Grande" à Venise, figurent des pièces uniques. Celles que reproduisent notre photo sont très anciennes et valent quelque dizaine de mille £. Certaines ont été taillées à même une masse de verre multicolore et il a fallu deux et trois ans de travail précaire pour obtenir ces coupes d'une splendeur et d'un coloris prestigieux. [Actualit]
- Reportage bij de S.A.R. en L'Illustré : 6/3/1944. - 1 foto
- Reportage: Bij een modeatelier in Wenen, 05/01/1944. - 9 foto's
- Reportage: Bijstand voor het kleinsten in Italië (+ tekst), [...-1945]. - 15 foto's
- Beeld 159658 : 2. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Gleich kommt die Tante Kindergärtnerin mit dem Essen; man wartet leidlich brav, bis es soweit ist. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 2] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Beeld 159659 : 15. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Eine Sonderattraktion des Heims - das Kinderkarussel. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 15] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Beeld 159660 : 14. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Im Wartezimmer der ärztlichen Beratungsstelle. Zweimal in der Woche werden die Kinder und, falls nöttig, auch die Mütter auf ihren Gesundheitzustand untersucht. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 14] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Beeld 159662 : 13. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Niemals kommen die Strampelbeinchen zur Ruhe.[Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 13] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Beeld 159663 : 12. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Wie ist die Welt voller Wunder. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 12] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Beeld 159664 : 11. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Ein Kleiner Epikuräer.[Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 11] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Beeld 159665 : 10. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Weltschmerz... [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 10] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Beeld 159666 : 9. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Das Esstischen mit der Glasplatte, die immer rasch wieder gesäubert werden kann, hat sich als praktisch erwiesen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 9] [A restituer après publication] [Censure photographique] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Beeld 159667 : 8. Fürsorge für die Kleinen in Italien. Ordnung muss sein - Gewisse "Geschäfte" sind immer an dieselbe Stunde gebunden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 8] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Beeld 159668 : 6. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Bei schönem Wetter ist man in dem grossen Garten des Heims bestens untergebracht. Spielzeug der verschiedenen Art steht zur Verfügung. Am begehrtesten ist dieser Miniaturtank mit der Aufschrift : "Vincere" - "siegen". [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 6] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Beeld 159669 : 7. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Ein kleiner Nachzügler. -Während die anderen schön brav in ihren Betten liegen, muss hier die Tante Kindergärtnerin noch eingreifen. Gleich wird sie kommen, und da liegt man auch in seinem weichen Bettchen mit der schönen warme Decke. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 7] [A restituer après publication] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Beeld 159670 : 3. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Sie lässt sich schon jetzt gern fotografieren und hört zu löffeln auf, so gut das Breichen auch schmeckt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 3] [A restituer après publication]* Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Beeld 159671 : 5. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Drei Temperamente - im Laufgitter. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 5] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Beeld 159672 : 4.Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Nach dem Essen der Verdauungsschlaf. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 4] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Beeld 159673 : 1. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Eine Stunde der Freude für die fleissige Mütter; sie kommt von Ihrer Arbeit zum Essen ins Heim, stillt aber vorher das Jüngste und vergisst in diesem Augenblick alles Schwere des Existenskampfes. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 A : photo 1] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Reportage: Burgtheater van Wenen, 27/03/1944. - 8 foto's
- Beeld 171501 : Nr. 1276. Burgtheater bleibt Burgtheater. 1) Achtzehn Theater spielen, die "Burg" steht im Spielplan obenan. (Sipho) [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 27 MARZ 1944. I. A.]
- Beeld 171502 : 9) Nur die Gestelle erinnern an den Krieg. Die Plastiken der Aussenwand sollen in sichere Keller gebracht werden. Neugefallener Schnee hat sie vorläufig vermummt. (Sipho) [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 27 MARZ 1944. I. A.]
- Beeld 171503 : 8) Die Vorstellung ist aus. Über die grosse Freitreppe des Hauses, das 1886 im Spätrenaissane stil erbau wurde, strömen die Zuschauer hinab. Auch die ständigen Zuschauer gehören mit den Bühnenstücken und den Darstellern zur un verwechselbaren Tradition der "Burg". Die geistige Luft des Hauses bewahrte seit 1776, seit der Gründung des Hoftheaters durch Josef II unvermindert ihre formende Kraft. (Sipho) [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 27 MARZ 1944. I. A.]
- Beeld 171504 : 9) Wer zur Burg gehört, ist hier zu Hause. Die Burgschauspieler, wie ihr Titel lautet, behalten ihre festen Garderoben, auch wenn sie eine Zeitlang anderswo spielen. Inzwischen ziehen Gäste in ihre Klause ein - aber nur als Gäste. (Sipho) [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 27 MARZ 1944. I. A.]
- Beeld 171505 : 6) Zwei Königinsen trinken Kaffee. In der Garderobe von Kainz treffen sich Liselotte Schreiner und Hedwig Bleibtreu in einer Spielpause. Die Garderobe gehört jetzt des Bltesten Burgschauspieler, Bofrst Fressler, der sie 1910 bezog, nachden Jozef Kainz sie für immer verlassen hatte. Die rotenmaske, die über dem rischehen hängt, hat Fressler selbst abgenommen. (Sipho) [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 27 MARZ 1944. I. A.]
- Beeld 171506 : Nr. 1276. 5) Darstellerinnen von Morgen auf der Galerie. Tief erregt schauen sie in den Schlund des Theaters hinunter, wo grosse Tragödinnen auf der Bühne stehen. Auch die Bleibtreu, die heute die Königin Ute spielt, hat einst als Schauspielschülerin auf dem "Olymp" das Spiel grosser Vorgängerinnen studiert. Tagsüber sind jetzt viel der jungen Mädchen im Büro beschäftigt, abends besuchen sie die Schauspielschule. (Sipho) [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 27 MARZ 1944. I. A.]
- Beeld 171507 : 4) Die Bretter, die eine Welt für sich bedeuten. Dort, wo Hedwig Bleibtreu und Maria Eis “Der Nibelungen not” nach der neues Auffassung von Max Mell gestalten, haben sie auch schon in den “Nibelungen” von Friedrich Hebbel unvergessene Erfolge errungen. Erfolge freilich, die nicht in Vorhängen gezahlt werden denn die Tradition des Hauses verbietet ihren Mitgliedern, für den Beifall des Parketts zu danken. (Sipho) [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 27 MARZ 1944. I. A.]
- Beeld 171508 : 2) Prunkvolle Fassade im Bogenlicht. Noch zwei Stunden nach Einbruch der Dunkelheit liegt ein Abglanz der früheren Lichtfülle über Wien. Hinter den verdunkelten Fenstern der "Burg" aber strahlt die altgewohnte Pracht. (Sipho) [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 27 MARZ 1944. I. A.]
- Reportage: Combinaties van Duitse badpakken aan het Italiaanse strand, 1941. - 2 foto's
- Reportage: Conflict Italië-Ethiopië, 1935-1936. - 40 foto's
- Reportage: Das Kleine Lotto, [1932]. - 8 foto's
- Beeld 171642 : Das kleine Lotto. - Die Spielbank des kleinen "Mannes". In Oesterreich gibt es ein Glückspiel unter staatlichem Monopol, welches mit ganz kleinen Einsätzen und zwar Mindesteinsatz von 30 Groschen aufwärts ermöglicht, Aussicht auf einen Gewinn zu haben. An bestimmten Tagen werden von 90 Nummern fünf Gewinnrummern gezogen alle übrigen Nummern verlieren. Der Gewinn beträgt ein Vielfaches des Einsatz. Speziell arme Leute die durch den geringen Einsatz die Möglichkeit zu glauben sehen, rasch dadurch zu Reichtum zu kommen sind die häufgisten Spieler des Lottos. Es wird desshalb immer wieder darauf gedrungen die Lotterie einzustellen, doch scheitert dies an den Spielem selbst die mit Leidenschaft an ihren Glücksspiel hängen. Häufig genug setzen diess Leute ihre letzten Ersparnisse auf einige Nummern um dann vor dem leeren Nichts zu stehen. Unser Bild zeigt : Drei gewählte Nummern. Unter der Hand sind die Lotterielose zu sehen. [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".]
- Beeld 171643 : Das kleine Lotto. - Die Spielbank des kleinen "Mannes". In Oesterreich gibt es ein Glückspiel unter staatlichem Monopol, welches mit ganz kleinen Einsätzen und zwar Mindesteinsatz von 30 Groschen aufwärts ermöglicht, Aussicht auf einen Gewinn zu haben. An bestimmten Tagen werden von 90 Nummern fünf Gewinnrummern gezogen alle übrigen Nummern verlieren. Der Gewinn beträgt ein Vielfaches des Einsatz. Speziell arme Leute die durch den geringen Einsatz die Möglichkeit zu glauben sehen, rasch dadurch zu Reichtum zu kommen sind die häufgisten Spieler des Lottos. Es wird desshalb immer wieder darauf gedrungen die Lotterie einzustellen, doch scheitert dies an den Spielem selbst die mit Leidenschaft an ihren Glücksspiel hängen. Häufig genug setzen diess Leute ihre letzten Ersparnisse auf einige Nummern um dann vor dem leeren Nichts zu stehen. Unser Bild zeigt : Mittwoch und Samstag sind Ziehungstage. An diesen Tagen erwarten vor den Lottokollekturen die Leute das Ziehungsergebnis. Die eingeringelten Nummern zeigen an, dass diese Nummern gezogen wurden. [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".]
- Beeld 171644 : Das kleine Lotto. - Die Spielbank des kleinen "Mannes". In Oesterreich gibt es ein Glückspiel unter staatlichem Monopol, welches mit ganz kleinen Einsätzen und zwar Mindesteinsatz von 30 Groschen aufwärts ermöglicht, Aussicht auf einen Gewinn zu haben. An bestimmten Tagen werden von 90 Nummern fünf Gewinnrummern gezogen alle übrigen Nummern verlieren. Der Gewinn beträgt ein Vielfaches des Einsatz. Speziell arme Leute die durch den geringen Einsatz die Möglichkeit zu glauben sehen, rasch dadurch zu Reichtum zu kommen sind die häufgisten Spieler des Lottos. Es wird desshalb immer wieder darauf gedrungen die Lotterie einzustellen, doch scheitert dies an den Spielem selbst die mit Leidenschaft an ihren Glücksspiel hängen. Häufig genug setzen diess Leute ihre letzten Ersparnisse auf einige Nummern um dann vor dem leeren Nichts zu stehen. Unser Bild zeigt : Andrerg zur Gewinnkasse. Der erste Tag nach der Ziehung. Jeder kann nicht früh genug seinen Treffer einkassieren. [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".]
- Beeld 171645 : Das kleine Lotto. - Die Spielbank des kleinen "Mannes". In Oesterreich gibt es ein Glückspiel unter staatlichem Monopol, welches mit ganz kleinen Einsätzen und zwar Mindesteinsatz von 30 Groschen aufwärts ermöglicht, Aussicht auf einen Gewinn zu haben. An bestimmten Tagen werden von 90 Nummern fünf Gewinnrummern gezogen alle übrigen Nummern verlieren. Der Gewinn beträgt ein Vielfaches des Einsatz. Speziell arme Leute die durch den geringen Einsatz die Möglichkeit zu glauben sehen, rasch dadurch zu Reichtum zu kommen sind die häufgisten Spieler des Lottos. Es wird desshalb immer wieder darauf gedrungen die Lotterie einzustellen, doch scheitert dies an den Spielem selbst die mit Leidenschaft an ihren Glücksspiel hängen. Häufig genug setzen diess Leute ihre letzten Ersparnisse auf einige Nummern um dann vor dem leeren Nichts zu stehen. Unser Bild zeigt : Ein Körbchen mit 90 Nummern (Von 1 - 90) ladet zum Spiel ein. Wer eine glücklichen Hand hat kann sich sein Glück ziehen. Gewöhnlich wissen die "Profielottospieler" selbst ihre Nummern und verschmähen das Nummernkörbchen. Aus Träumen seltsame Ereigniss usw. könen Sachverständige Nummern herauslesen, die oft zu Treffer führen sollen. [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".]
- Beeld 171646 : Das kleine Lotto. - Die Spielbank des kleinen "Mannes". In Oesterreich gibt es ein Glückspiel unter staatlichem Monopol, welches mit ganz kleinen Einsätzen und zwar Mindesteinsatz von 30 Groschen aufwärts ermöglicht, Aussicht auf einen Gewinn zu haben. An bestimmten Tagen werden von 90 Nummern fünf Gewinnrummern gezogen alle übrigen Nummern verlieren. Der Gewinn beträgt ein Vielfaches des Einsatz. Speziell arme Leute die durch den geringen Einsatz die Möglichkeit zu glauben sehen, rasch dadurch zu Reichtum zu kommen sind die häufgisten Spieler des Lottos. Es wird desshalb immer wieder darauf gedrungen die Lotterie einzustellen, doch scheitert dies an den Spielem selbst die mit Leidenschaft an ihren Glücksspiel hängen. Häufig genug setzen diess Leute ihre letzten Ersparnisse auf einige Nummern um dann vor dem leeren Nichts zu stehen. Unser Bild zeigt : In der "Spielbank" oder Lotterie genannt. Die Spielerin gibt die gewünschten Nummern auf welche von der Lotteriebeamtin eingetragen und auf ein Los-Riskonto-genannt vermerkt wird. Die mit Kreide geschriebenen Nummern geben Gewinnsttyps den Spielern bekannt. [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".]
- Beeld 171647 : Das kleine Lotto. - Die Spielbank des kleinen "Mannes". In Oesterreich gibt es ein Glückspiel unter staatlichem Monopol, welches mit ganz kleinen Einsätzen und zwar Mindesteinsatz von 30 Groschen aufwärts ermöglicht, Aussicht auf einen Gewinn zu haben. An bestimmten Tagen werden von 90 Nummern fünf Gewinnrummern gezogen alle übrigen Nummern verlieren. Der Gewinn beträgt ein Vielfaches des Einsatz. Speziell arme Leute die durch den geringen Einsatz die Möglichkeit zu glauben sehen, rasch dadurch zu Reichtum zu kommen sind die häufgisten Spieler des Lottos. Es wird desshalb immer wieder darauf gedrungen die Lotterie einzustellen, doch scheitert dies an den Spielem selbst die mit Leidenschaft an ihren Glücksspiel hängen. Häufig genug setzen diess Leute ihre letzten Ersparnisse auf einige Nummern um dann vor dem leeren Nichts zu stehen. Unser Bild zeigt : Ziehung im "Kleinen Lotto". Ein Waisenknabe zieht die fünf Nummern aus dem Glücksrad. [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".]
- Beeld 171648 : Die erste Millionen-Ziehung der Trefferanleihe. Wien, Austria. - Am 1. März fand die erste Ziehung der österr. Trefferanleihe statt. Der höchste Treffer ö.S. 1,000.000.-- der je in Oesterreich aus einem Glücksrad gekommen ist wurde mit der Nummer 159.632 gezogen. Bisher ist der glückliche Gewinner noch nicht bekannt. Unser Bild zeigt : Die Ziehung des Millionen-Treffers der österreichischen Trefferanleihe. [COPYRIGHT BY : Leo Ernst - Albert Hilscher.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".]
- Beeld 171649 : Das kleine Lotto. - Die Spielbank des kleinen "Mannes". In Oesterreich gibt es ein Glückspiel unter staatlichem Monopol, welches mit ganz kleinen Einsätzen und zwar Mindesteinsatz von 30 Groschen aufwärts ermöglicht, Aussicht auf einen Gewinn zu haben. An bestimmten Tagen werden von 90 Nummern fünf Gewinnrummern gezogen alle übrigen Nummern verlieren. Der Gewinn beträgt ein Vielfaches des Einsatz. Speziell arme Leute die durch den geringen Einsatz die Möglichkeit zu glauben sehen, rasch dadurch zu Reichtum zu kommen sind die häufgisten Spieler des Lottos. Es wird desshalb immer wieder darauf gedrungen die Lotterie einzustellen, doch scheitert dies an den Spielem selbst die mit Leidenschaft an ihren Glücksspiel hängen. Häufig genug setzen diess Leute ihre letzten Ersparnisse auf einige Nummern um dann vor dem leeren Nichts zu stehen. Unser Bild zeigt : Typische Lotteriegestalten. Links diskutieren zwei Frauen über die letzten Nummern welche gezogen wurden. Aus der Lotterie kommt gerade voll Zuversicht die Frau mit den "totsicheren" Nummern. Im Geiste hat sie bereits den höchtsen Treffer gezogen. Dies währt jedoch immer nur bis zum Ziehungstage. [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".]
- Reportage: De droom van een vrouw, [...-1945]. - 7 foto's
- Reportage: De eertse Weense wolkenkrabber, 1930-1945. - 3 foto's
- Reportage: De Italiaanse-Ethiopische oorlog, 1935-1936. - 24 foto's
- Reportage: De kathedraal van St. Steven’s kathedraal in Wenen, 30/12/1943. - 7 foto's
- Reportage: De komende generatie toneelacteurs uit Wenen, 1930-1945. - 19 foto's
- Reportage: De Marionetten van Salzburg, 1930-1945. - 2 foto's
- Reportage: De mooiste plaats van herstel in Italië, [...-1945]. - 13 foto's
- Beeld 159631 : Italiens schönste Heilstätte. 1. Man glaubt sich nach Davos versetzt, zumal die Terrassen einen unbeschreiblich schönen Blick auf die Appeninen und die Albaner Berge gewähren. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 1]
- Beeld 159632 : Italiens schönste Heilstätte. 2. Es gehört zu den grundsätzlichen Anordungen im Istitutio Forlalini, dass die leichtkranken einen tägligen kleinen Spaziergang auf den Sonnenterrassen der Klinik unternehmen. In der Zeichensprache unterhalten sie sich bei dieser Gelegenheit bisweilen mit den Patientinnen der benachbarten Frauenabteilung. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 2]
- Beeld 159633 : Italiens schönste Heilstätte. 3. Ein Patient erteilt seinen Kameraden Unterricht, in der sehr beliebt gewordenen Zeichensprache, in der man sich mit den getrennt liegenden Abteilungen gut verständigen kann. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 3]
- Beeld 159634 : Italiens schönste Heilstätte. 4. In einer Schulklasse für lungenleidende Kinder, die, soweit es der Gesundheitszustand erlaubt, regelmässigen Unterricht geniessen. [Sipho] [Orbis] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.473 B : photo 4]
- Beeld 159635 : Italiens schönste Heilstätte. 5. Aufpumpen des rechten Lungenflügels mit Hilfe des von Prof. Marelli erfundenen und nach ihm benannten Apparates. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 5]
- Beeld 159636 : Italiens schönste Heilstätte. 6. Imponierend sind die Fronten der riesigen Sonnenterrassen, die jeweils den Gebäuden der Männer-, Frauen- und Kinderabteilung vorgebaut sind. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 6]
- Beeld 159637 : Italiens schönste Heilstätte. 7. Auf der Sponnenterrasse der Kinderabteilung: wohlbehütet liegen die Kinder hier in der frischen Luft, je nach dem Gesundheitszustand in der Sonne oder im Schatten. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 7]
- Beeld 159638 : Italiens schönste Heilstätte. 8. Eine Schwester in der Kinderabteilung, die während der Mahlzeit das wichtige Amt ausübt, die Salate zu mischen. Nach italienischer Sitte kommen die Salate ungemischt aus der Küche und werden erst kurz vor dem Verzehren mit Öl, Pfeffer und Salz usw. je nach Geschmack versetzt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 8]
- Beeld 159639 : Italiens schönste Heilstätte. 9. Eine Ecke in dem grossen Gemeinschaftsspeiseraum der Frauenabteilung für Leichtkranke. Das Servierbrett ist dadurch besonders praktisch, dass eine grosse Zahl von Tellern und Schüsseln gleichzeitig transportiert werden kann. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 9]
- Beeld 159640 : Italiens schönste Heilstätte. 10. Blick in einen der Räume des Tuberkulosemuseums, das ob seiner Übersichtlichkeit und Reichhaltigkeit internationalen Ruf besitzt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 10]
- Beeld 159641 : Italiens schönste Heilstätte. 11. Eine kleine Sehenswürdigkeit für sich sind die Zentralküchen, wo für viele tausend Kranke die verschiedensten Diätmahlzeiten gleichzeitig zubereitet werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 11]
- Beeld 159642 : Italiens schönste Heilstätte. 12. Prof. Eugenio Morelli, der Leiter des berühmten Istituto Forlalini, der grössten medizinischen Arbeitsstätte Italiens im Kampf gegen die Tuberkulose. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 12]
- Beeld 159643 : Italiens schönste Heilstätte. 13. Luftaufnahme von der riesenhaften Anlage des Istituto Forlalini in Rom. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 13]
- Reportage: De nieuwe Semmelweis-Frauenklinik in Wenen, [1930-1940]. - 16 foto's
- Beeld 171709 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/1. Der Retter der Mütter : Glückliche Mütter, die ihre Kinder in der neuen Wiener Semmelweis-Frauenklinik zur Weltbrachten, vor dem im Garten der Anstalt errichteten Denkmal für Ignaz Semmelweis. Schon 1847 führte Prof. Semmelweis als Erster den Nachweis, dass nicht, wie man glaubte, Erkältungen, sondern die fehlende desinfektion das Kindbettfieber verursachte, dem früher Hunderttausende junger Mütter zum Opfer fielen. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 1.]
- Beeld 171710 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/2. Eine mustergültige Anlage : Neugeborene Kinder in übersichtlichen Glasboxen, wo sie bis zur Entlassung der Mütter in bester Pflege gehalten weredn. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 2.]
- Beeld 171711 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/4. Besondere Wasch- und Wickeltische erleichtern die vorbildliche pflegliche Behandlung der Neugeborenen in der Semmelweis-Frauenklinik in Wien. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 3.]
- Beeld 171712 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/7. Blick in den vorbildlich eingerichteten Kreisssaal der Wiener Semmelweis-Frauenklinik. Durch Wände voneinander getrennt, liegen die Wöchnerinnen in dem grossen, hellen und freundlichen Raum, dessen graublaue Tönung eine erprobte psychologisch beruhigende Wirkung erzielt. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 4.]
- Beeld 171713 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/8. Besonders praktisch konstruiert : schnell teilbare Betten ermöglichen in kürzester Zeit zweckmässige Behandlung der Wöchnerinnnen. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 5.]
- Beeld 171714 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/9. Während im Hintergrund Professor und Schwester am Bett der jungen Mutter stehen, wird vorn ein junger Erdenbürger von der Schwester zum ersten Mal betreut. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 6.]
- Beeld 171715 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/11. Liebevollste Pflege und eingehendste Behandlung der Neugeborenen ist für die Schwester der Semmelweis-Frauenklinik höchste Pflicht. Auch Schädelmessungen nach Umfang und Form gehören zu ihren Aufgaben. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 7.]
- Beeld 171716 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/13. Nur Schaupackung - der glückliche Vater muss noch warten, bis er sein Kind auf den Arm nehmen kann. Reizvoll ist die durch künstliches Licht erhellte Besuchernische gebaut und ausgestattet. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 8.]
- Beeld 171717 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/17. Neben jedem Kreisssaal befindet sich ein Operationssaal, dessen Einrichtung den modernsten Ansprüchen genügt.. Hier ist der Leiter, Prof. Dr. Siegmund, mit einer gynäkologischen Operation beschäftigt, wobei die Patientin auf einem in jede Lage verstellbarem Bett ruht. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 9.]
- Beeld 171718 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/18. Um Betten, Wäsche und Gerätchaften peinlichst sauber und keimfrei halten zu können, arbeiten in der Semmelweis-Frauenklinik in Wien Batterien von Kesseln zum Sterilisieren. Sie können wahlweise mit Dampf oderelektrischem Strom betrieben werden. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 10.]
- Beeld 171719 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/19. Zu den mustergültigen Anlagen der Semmelweis-Frauenklinik gehören auch besondere Belüft(?)sanlagen, die die Zufuhr gefilterter Frischluft ermöglicht, ohne die Fenster öffnen zu müssen. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 11.]
- Beeld 171720 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/22. Während der Operation bei der Bedienung des deutschen Einheitssterilisators. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 12.]
- Beeld 171721 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/24. Im Unterrichtssaal der Semmelweis-Frauenklinik, in der 40 Hebammenschülerinnen in 18 monatiger Schulung und 5 weitere zur Nachschulung ausgebildet werden. Hier ist ein erfahrener Gynäkologe und Geburtenhelfer bei der Arbeit, den Hebammenschülerinnen neue Erkenntnisse zu vermitteln. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 13.]
- Beeld 171722 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/27. Hebammenschülerinnen der Semmelweis-Frauenklinik in Wien angeschlossenen Hebammen-Lehranstalt beim Mittagessen. In eineinhalbjähriger Schulung werden sie zu tüchtigen Helferinnen ausgebildet, die das Gebiet der Geburtenhygiene und Geburtsheilkunde auf Grund der Erkenntnis und Erfolge des Arztes Semmelweis beherrschen. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 14.]
- Beeld 171723 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/29. Eine besondere Röntgen Einrichtung für gynäkologische Zwecke in der Semmelweis-Frauenklinik in Wien. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 15.]
- Beeld 171724 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/30. Der Eingang zur Semmelweis-Frauenklinik der Stadt Wien, ein Musterinstitut für Geburtshygiene und Geburtsheilkunde. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 16.]
- Reportage: De oorlog in Oost-Afrika, 1935-1936. - 4 foto's
- Reportage: De post doorheen de tijd, 1933. - 5 foto's
- Reportage: De reis van de koning en keizer van Italië in Sicilië, 01/1943. - 7 foto's
- Reportage: De soldaat en de vrouwen in uniform, [1922-1945]. - 12 foto's
- Reportage: De Spaanse Hofrijschool in Wenen, 1930-1940. - 8 foto's
- Reportage: De Tartaren leren Duitsland kennen, 27/01/1944. - 2 foto's
- Reportage: De tonijn is daar, 09/05/1944. - 6 foto's
- Beeld 159591 : Der Thunfisch ist da. Alljährlich um die Osterzeit, wenn der Thunfischfang an der Ligurischen Küste beginnt, wird in einem der kleinen Fischerdörfchen dieses für Alt und Jung bedeutsame Ereignis feierlich begangen. Der Priester steht bereit, um den ersten Fang durch seinen Segen zu weihen. A 127 976 E.M. Orbis-Photo [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [09/05/1944]
- Beeld 159592 : Der Thunfisch ist da. Tage zuvor waren die riesigen Stellnetze ausgebracht worden. Jetzt werden sie von den Booten aus unter Absingen alter eigentümlicher Fischerlieder wieder eingeholt. PK-Taureg A 127 977 E.M. Orbis [Sipho] [Censure photographique 08/05/1944] [09/05/1944]
- Beeld 159593 : Der Thunfisch ist da. Auch der deutsche Ortskommandant und sein Adjutant, ein Oberfähnrich, sind von der Bevölkerung eingeladen worden und warten auf die Ausbeute des ersten Fanges, dem man nach altem Glauben eine Bedeutung für die gesamte Fangzeit beimisst. PK-Taureg A 127 978 E.M. Orbis [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur]
- Beeld 159594 : Der Thunfisch ist da. Der schwere Fischsack erscheint an der Wasseroberfläche. Gespannt beobachtet alles, was einem Platz im Boot bekommen konnte, das Ergebnis des ersten Fanges. Die Gesichter beweisen, dass es erfreulich ist. PK-Taureg A 127 979 E.M. Orbis [19/05/1944] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [09/05/1944] [Censure photographique 08/05/1944]
- Beeld 159595 : Der Thunfisch ist da. Auch der Vorsteher der Fischerzunft scheint zufrieden zu sein. Schmunzelnd setzt er das Glas Wein an die Lippen, das nach altem Brauch allen Gästen zum Abschluss dargeboten wird. PK-Taureg A 127 980 E.M. Orbis [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [09/05/1944]
- Beeld 159596 : Der Thunfisch ist da. Abends, wenn der Schwarm der Zuschauer schon längst wieder heimgerudert ist, sitzen die Fischer noch immer beisammen. Ein fröhlicher Umtrunk, zu dem übrigens herkommensgemäss die Frau des Zunftvorstehers einen Riesenkuchen zu backen hat, hält sie noch bis zum Sonnenuntergang zusammen. PK-Taureg A 127 981 E.M. Orbis [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Censure photographique 08/05/1944] [09/05/1944]
- Reportage: De vervaardiging van hoeden uit Salzburg, 01/02/1944. - 2 foto's
- Reportage: De viool van Paganini, [1922-1945]. - 13 foto's
- Beeld 160070 : Paganini.
[Sipho]
[Louis ...?]
- Beeld 160071 : 666 b / 6102
Zum 150. Geburtstag Paganinis.
Paganinis Villa Gajona bei Parma.
Text ohne Gewähr !
[Sipho]
- Beeld 160072 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
eine Stadt ehrt ihren grossen Sohn. Genua hat eine Marmorbüste von Paganini in einem ihrer Parks aufgestellt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 A : photo 11]
- Beeld 160073 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
Nach hundert Jahren erklingt die Geige Paganinis wieder unter den Händen des hervorragenden italienischen Violonisten Giorgio Ciompi.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 B : photo 3]
- Beeld 160074 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
Konzert im Palazzo Tursi. Der junge und begabte Geigenvirtuose Georgio Ciompi darf vor einem erlesenen Publikum die Geige Paganinis spielen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 B : photo 2]
- Beeld 160075 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
Giorgio Ciompi, ein junger und begabter Geigenvirtuose aus Florenz untersucht die Geige, nachdem sie unter geierlichen Zeremonien aus der Vitrine genommen ist.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 B : photo 4]
- Beeld 160076 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
Die noch gut erhaltene Geige von Paganini ist Heiligtum des italienischen Volkes.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 B : photo 7]
- Beeld 160077 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
Die noch gut erhaltene Geige von Paganini ist Heiligtum des italienischen Volkes.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 B : photo 6]
- Beeld 160078 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
Die Geige Paganinis und sein Kasten, die in einer Vitrine aufbewahrt werden.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 B : photo 5]
- Beeld 160079 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
Ein zeitgenössisches Bild Paganinis, von dem den Meister selbst behauptete, dass es das ähnlichste ist, was von ihm existiert.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 B : photo 1]
[Censure photographique]
- Beeld 160080 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
Einmal im Jahre, meist aber noch in grösseren Zwischenräumen, wird bei besonderen Anlässen das Siegel der Vitrine von einem Notar im Beisein von zwei Zeugen gelöst, die wertvolle Geige hervorgeholt, von Fachleuten untersucht und gespielt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 B : photo 7]
- Beeld 160081 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
Einmal im Jahre, meist aber noch in grösseren Zwischenräumen, wird bei besonderen Anlässen das Siegel der Vitrine von einem Notar im Beisein von zwei Zeugen gelöst, die wertvolle Geige hervorgeholt, von Fachleuten untersucht und gespielt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 B : photo 8]
- Beeld 160082 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
In einer versiegelte Vitrine im Rathaus zu Genua befindet sich nach dem Testament des Meisters die Geige von Paganini.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 B : photo 10]
- Reportage: De vreemdste woning van de wereld, [...-1945]. - 10 foto's
- Beeld 159064 : Die seltsamste Wohnung der Welt. Hie bei Positano, einer der wenigen paradiesischen Stätten, die es gibt, liegt am Golf von Salerno fie märchenhafte Besitzung des Herrn Clavel mit der seltsamsten Wohnung der Welt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie N° 1927 A 10]
- Beeld 159065 : Die seltsamste Wohnung der Welt. Der Torre di Fornillo, jenes eigenartige und phantastische Turmschloss am Golf von Salerno, das die seltsamste Wohnung der Welt enthält. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie N° 1927 A 9]
- Beeld 159066 : Die seltsamste Wohnung der Welt. Der Torre di Fornillo, jenes eigenartige und phantastische Turmschloss am Golf von Salerno, das die seltsamste Wohnung der Welt enthält. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie N° 1927 A 8]
- Beeld 159067 : Die Seltsamste Wohnung der Welt. Partie aus dem terrassenförming angelegten Park mit einem Blick auf Positano. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie N° 1927 A : Photo n° 7]
- Beeld 159068 : Die seltsamste Wohnung der Welt. Gemüse und Früchte für den Mittagstisch werden zum Torre di Fornillo gebracht. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie N° 1927 A : photo n° 6]
- Beeld 159069 : Die seltsamste Wohnung der Welt. In den Sirenenzimmer befindet sich an der Decke eine geheimnisvolle Öffnung, durch die man unbemerkt Blumen auf das darunterstehende Bett steuen kann. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie N° 1927 A : photo n° 4]
- Beeld 159070 : Die seltsamste Wohnung der Welt. Fliessendes Wasser aus der Felswand. Vielfach hat man die Räume aus dem Felsen herausgemeisselt und wie hier ein modernen Waschbecken einfach an der Felswand angebracht. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie N° 1927 A : photo n° 5]
- Beeld 159071 : Die seltsamste Wohnung der Welt. Wenn der Schlosscherr morgens erwacht, bietet wich ihm die schönste Aussicht auf die Kuppeln und die sich in den Himmel türmenden Felswände des fast 1500m hohen Monte St. Angelo. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie N° 1927 A : photo n° 3]
- Beeld 159072 : Die seltsamste Whonung der Welt. Das Wohn-und Arbeitszimmer des Herrn Clavel. Wuchtig und massig wie der Turn mit seinen zwei Meter dicken Mauern sind auch die Möbel. An der hinteren Schmalwand ist ein Kamin eingebaut, dessen Feuerdach aus übereinandergeschichteten Prismen besteht, die sich nach oben verjüngen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie N° 1927 A : photo n° 2]
- Beeld 159073 : Die seltsamste Wohnung der Welt. Der Torre di Fornillo, das Felsenschloss bei Positano, das sich Herr Clavel kostbar ausbauen liess, ist eine der grossartigsten Felsarchitekturen der Welt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie N° 1927 A : photo n° 1] [Censure photographique]
- Reportage: De Weense balletschool, 04/12/1944. - 5 foto's
- Beeld 171352 : Szene aus Nestroys Posse "Das Mädl aus der Vostadt", die im AkademieTheater in Wien neuaufgeführt wurde. In den Hauptrollen Philipp Zeska, Paul Hörbiger, Alma Seidler,Ferd. Maierhofer. K.G. [Copyright by SIPHO.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Zensurstelle-Bildpresse. Brüssel, I.A.] [Série N° 1260 b. Photo N° 3.]
- Beeld 171353 : Die Schule des Wiener Balletts. Besuch im Studio Hedy Pfundmayr. Hedy Pfundmayr hat nicht nur in Wien, als Tanzsolistin an der Staatsoper, ihr Publikum, sie ist durch ihr hervorragendes Ballett auch ausserhalb ihrer Heimatstadt überall bekannt, ja, gehört zu den ersten Vertretern des Wiener Balletts überhaupt. - Wie ihre Mädel arbeiteten, davon hier ein kleiner Ausschnitt in Bildern. Page und Ritterfräulein. - Szene aus einem neuen Tanz des Balletts Pfundmayr "Ein Minnelied", das in gotischen Kostümen getanzt wird. K/G. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1254 b. Photo N° 1.]
- Beeld 171355 : Die Schule des Wiener Balletts. Besuch im Studio Hedy Pfundmayr. Page und Ritterfräulein. - Szene aus einem neuen Tanz "Ein Minnelied", der in gotischen Kostümen getanzt wird. K/G. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1254 b. Photo N° 2.]
- Beeld 171356 : *Die Schule des Wiener Balletts. Besuch im Studio Hedy Pfundmayr. "Narrentanz". - Szene aus "Ein Minnelied", einem Ballett in gotischen Kostümen. K/G. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1254 b. Photo N° 3.]
- Beeld 171357 : Die Schule des Wiener Balletts. Besuch im Studio Hedy Pfundmayr. Wiener Scharm, gute Laune und ein schönes Kostüm aus "Deutscher Bauerntanz" (Schubert). K/G. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1254 b. Photo N° 4.]
- Reportage: De Weense kunstnijverheidsschool, 05/11/1941. - 13 foto's
- Reportage: Duitse Academie in Rome, 1939. - 11 foto's
- Beeld 162604 : Die Deutsche Akademie in Rom.
6. Schwer ist die deutsche Sprache ! Der ältere Herr vorn ist ein römischer Universitätsprofessor, der morgens vor vielen Hörern seine Vorlesungen hält und sich abends in der deutschen Akademie auf die Schulbank setzt, um deutsch zu lernen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.190 B - photo 6]
- Beeld 162605 : Die Deutsche Akademie in Rom.
9. In einer Lehrpause. Die Schüler unterhalten sich über ihre Eindrücke aus dem Unterricht, helfen sich bei schwierigen Arbeiten oder hören Vokabeln ab.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.190 B - photo 9]
- Beeld 162606 : Die deutsche Akademie in Rom.
3. Links ein römischer Universitätsprofessor, rechts ein junger italienischer Komponist. In den Abendkursen der deutschen Akademie treffen sich beide mit dem gleischen Bemühen um deutsche Sprache und Kultur.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.190 B - photo 3]
- Beeld 162607 : Die Deutsche Akademie in Rom.
5. Aus einem der drei Jahre dauernden Vormittagskurse für junge Mädchen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.190 B - photo 5]
- Beeld 162608 : Die Deutsche Akademie in Rom.
7. Die Schallplatte im Unterricht der deutschen Akademie.
Hier werden den Kursteilnehmern deutsche Volkslieder vorgespielt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.190 B - photo 7]
- Beeld 162609 : Die Deutsche Akademie in Rom.
4. Ein italienischer Fliegeroffizier an der Schultafel.
Kritischen Blicks beobachtet die Lehrerin seine Leistung.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.190 B - photo 4]
- Beeld 162610 : Die Deutsche Akademie in Rom.
8. Die deutschen unregelmässigen Verben haben es "in sich".
In freundlicher Verzweiflung ringt die Lehrerin die Hände. Signorina Puricelli hat schon wieder einmal gehen, gung, gegangen, geschrieben...
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.190 B - photo 8]
- Beeld 162611 : Die Deutsche Akademie in Rom.
1. Am Eingang der deutschen Akademiebefindet sich eingemeisselt dieses Schild auf fast unbehauenen Travertin.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.190 B - photo 1]
- Beeld 162612 : Die Deutsche Akademie in Rom.
2. Der Leiter der deutschen Akademie in Rom, Studienrat Stocken, bei einem Vortrag in deutscher Sprache über deutsche Musik.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.190 B - photo 2]
- Beeld 162613 : 6952 a
Zehn Jahre Deutsche Akademie in Rom.
In diesem Jahr kann die Deutsche Akademie in Rom auf eine zehnjährige Wirksamkeit zurückblicken. Die Akademie, die alljährlich einer Anzahl bewährter deutscher Künstler Gastfreundschaft gewährt und ihnen so die Begegnung mit der südlichen Landschaft und Kultur ermöglicht, ist Deutschlands einziges künstlerisches Auslandsinstitut.
Hier das Gebäude der Deutschen Akademie in Rom.
Atlantic-Photo, 19.1.1939. C.
[Sipho]
- Beeld 162614 : Die Deutsche Akademie in Rom.
10. Das Diplom, das nach bestandenem Examen den Kursteilnehrn, meist vom deutschen Botschafter persönlich überreicht wird.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.190 A - photo 10]
- Reportage: Duitse Cultuurinstituten in Rome (+ tekst), 31/02/1942. - 16 foto's
- Beeld 159879 : Im Zeichen der "Duce Croci". Flugzeugaufnahme vom Forlanini - Institut, das an den Abhängen des Monteverde errichtet wurde und von wo man einen herrlichen Blick in die "Campa Romana" geniesst. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.047.A : photo 1] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Beeld 159880 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 2. Vom berühmten Giardino del Lago der Villa Borghese überblickt man die ganze Valle die Giulia, die von Mussolini im Bauplan Roms als Zentrum der ausländischen Institue und Akademien ausersehen worden ist. In diesem "Tal der schönen Künste und Wissenschaften" befindet sich auch an besonders reizvoller Stelle das "Deutsche historische Institut". [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 2] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Beeld 159881 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 3. Fast ägyptisch im Aufbau und Ausdruck sind die monumentalen Statuen, die den Eingang zum Deutschen historischen Institut in Rom, das in der Valle Giulia liegt, flankieren. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 3] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Beeld 159882 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 4. Fast ägyptisch im Aufbau und Ausdruck sind die monumentalen Statuen, die den Eingang zum Deutschen historischen Institut in Rom, das in der Valle Giulia liegt, flankieren. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 4] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Beeld 159883 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 5. Sehr beliebt sind in der deutschen Kolonie in Rom die wissenschaft lichen Führungen der verschiedenen deutschen Institute, die regelmässig am Sonntag stattfinden. Die Organisation liegt in den Händen der DAF. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 5] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Beeld 159884 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 6. Die Villa Massimo mit ihrem schönen grossen Park ist die Heimstätte der Maler und Bildhauer, die vom Deutschen Reich ein Jahresstipendium für einen Aufenthalt in der ewigen Stadt erhalten haben. Wohl jeder der Künstler hat den Ehrgeiz, sich bei dem Jahreswettbewerb um den "Rompreis" auszuzeichnen. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 6] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Beeld 159885 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 7. Bei einem Vortrag im Archäologischen Institut in Rom. In der ersten Reihe (Mitte) : der deutsche Botschafter in Rom, Frhr.v. Mackensen, links neben ihm die Gattin des deutschen Botschafters beim Vatikan Frau von Bergen. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 7] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Beeld 159886 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 8. Schnappschuss während der Arbeiten des Institutes für Kunstwissenschaft der Kaiser-Wilhelm-Gesellschaft. Prof. Bruhns mit seinem Assistenten bei Kunstwissenschaftlichen Aufnahmen am Baptisterium auf dem Lateran. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 8] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Beeld 159887 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 9. Im Hof des Deutschen Gynasiums in Rom. Den Kindern wird in der "Grossen Pause" ein warmes Frühstück - diesmal aus Spaghetti bestehend - verabfolgt; die Brotration wird dadurch geschont. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 9] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Beeld 159888 : Im Zeichen der "Due Croci". Synphonie in Licht und Glas. Blick in eins der grossen Centrallaboratorien. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.047 A : photo 9]
- Beeld 159889 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 10. Im Tagesraum des Internates an der Deutschen Schule in Rom. Die ganze Atmosphäre erinnert an Deutschland. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 10] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Beeld 159890 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 11. Das Eingangstor zum Palazzo Zuccari, der Ende des 16. Jahrhunderts erbaut wurde und heute neben dem Institut für Kunstwissenschaft das Institut für Kulturwissenschaft, das unter der Leitung von Prof. Hoppenstedt steht, in sich aufnimmt. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 11] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Beeld 159891 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 12. Büste Winckelmanns (von Emil Wolff) in der Villa Albani in Rom. Winckelmann, der "Vater der Archäologie", ist vom Deutschen Archäologischen Institut Rom zum Schutzherrn seines Hauses ernannt wirden. Seine Büste begrüsst jeden, der diese wissenschaftliche Arbeitsstätte aufsucht, von einem Sockel im Vestibül herab. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 12] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Beeld 159892 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 13. Büste Winckelmans (von Emil Wolff) im Vestibül des Deutschen Archäoligischen Institutes in Rom. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 13] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Beeld 159893 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 14. Büste Winckelmans (von Emil Wolff) im Vestibül des Deutschen Archäoligischen Institutes in Rom. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 14] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Beeld 159894 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 1. Ein Fenster des Palazzo Zuccari, der Ende des 16. Jahrhunderts erbaut wurde, einer der bizarrsten der barocken Bauten Roms. Hier befindet sich neben dem Institut für Kunstwissenschaft das in Rom so populäre Institut für Kulturwissenschaft, das unter Leitung van Prof. Hoppenstedt steht. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 1] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Reportage: Duitse gevangenen keren naar het vaderland terug, 1943. - 9 foto's
- Reportage: Duitse Huisraad: Tentoonstelling van de Deutsche Arbeitsfront (DAF) in Wenen, [1933-1945]. - 14 foto's
- Beeld 171461 : Deutscher Hausrat. Ständige Ausstellung der DAF in Wien. Fach- und Aufklärungsschriften für Siedlung, Heimstätten und Wohnkultur geben den Besuchern wertvolle Hinweise über die Möglich keiten tieferer Information. K/G. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 B. Photo N° 3.]
- Beeld 171463 : *Deutscher Hausrat. Eine ständige Ausstellung der DAF in Wien. Blick über einen Teil der Ausstellung. K/G. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306. Photo N° 4.]
- Beeld 171464 : Deutscher Hausrat. Ausstellung der DAF in Wien. So wird der Duschraum in der kommenden Volkswohnung aussehen. K/G. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 a. Photo N° 5.]
- Beeld 171465 : Deutscher Hausrat. Ausstellung der DAF in Wien. Kochnische hinter dem Wohnraum eines Siedlungshauses. - Entwurf : Prof. Franz Schuster, Wien. 1 Küchenkasten RM 66, - Herd mit geschlossenem Tellerwarmer 149, - Spülbecken mit Tropfbrett 82,45 - 1 Küchenwandregal 82,-. K/G. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 a. Photo N° 6.]
- Beeld 171466 : Deutscher Hausrat. K/G. Ausstellung der DAF in Wien. Einbettschlafzimmer, Entwurf : Kom-Rat Heimrich Irmler, Wien. 1 Bett, 1 Kasten (zweitür.) 1 Nachtkästchen, 1 Kommmode mit Spiegel, zus. RM 290, - 1 Tischchen RM 41, - 1 Sessel RM 7, -. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 a. Photo N° 7.]
- Beeld 171467 : Deutscher Hausrat. K/G. Ständige Ausstellung der DAF in Wien. Der Schlafraum eines Siedlungshauses, nach einem Entwurf von Prof. Franz Schuster, Wien. 2 Betten, 2 Nachtkästen, 1 Kommode mit Spiegel, 1 dreitür. Kasten zus. RM 420, - 1 Hocker mit Holzsitz 8,50. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 B. Photo N° 8.]
- Beeld 171468 : Deutscher Hausrat. Ausstellung der DAF in Wien. Schlfzimmer einer Volkswohnung entsprechend den Raumabmessungen der kommenden Volkswohnung. Entwurf : Prof. Franz Schuster, Wien. 2 Betten 2 Nachtkästen 1 zweitur. Schrank 1 Wäscheschrank 1 Frisiertisch 1 langer Spiegel RM 440, - 1 Hocker mit Holzsitz 1é, -. K/G. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 a. Photo N° 9.]
- Beeld 171469 : Deutscher Hausrat. Ausstellung der DAF in Wien. Wohnraum einer Volkswohnung, entsprechend den Abmessungen der kommenden Volkswohnung. Entwurf : Prof. Franz Schuster, Wien. 1 dreiteil. Wohnzimmerschrank, 1 Schreibschrank, 1 Esstisch, 4 Sessel mit Rohrsitz RM 375, - 1 Teetisch 44, - 1 Bank mit Holzsitz 30, - 1 Polster, m. Bezug, o. Stoff 21, - 1 Lehnsessel mit Bast- 28, - bzw. Holzsitz 18,50. K/G. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 B. Photo N° 10.]
- Beeld 171470 : Deutscher Hausrat. Ständige Ausstellung der DAF. Wohnraum einer Volkswohnung, Entwurf : Prof. Franz Schuster, Wien. 1 dreiteil. Wohnzimmerschrank, 1 Schreibschrank, 1 Esstisch, 4 Sessel mit Rohrsitz zus. RM 375, - 1 Teetisch 44, - 1 Bank mit Holzsitz 30, - 1 Polster hierzu, mit Bez. jed. ohne Stoff 21, - 1 Lehnsessel mit Bast- 28, - bzw. Holzsitz 18,50. K/G. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 a. Photo N° 11.]
- Beeld 171471 : Deutscher Hausrat. Ausstellung der DAF in Wien. Wohnraum einer Volkswohnung, Entwurf : Prof. Franz Schuster, Wien. 1 dreiteil. Wohnzimmerschrank, 1 Schreibschrank, 1 Esstisch, 4 Sessel mit Rohrsitz zus. RM 375, - 1 Teetisch 44, - 1 Bank mit Holzsitz 30, - 1 Polster hierzu mit Bez. jed. ohne Stoff 21, - 1 Lehnsessel mit Bast- 28, - bzw. Holzsitz 18,50. K/G. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 a. Photo N° 12.]
- Beeld 171472 : Deutscher Hausrat. K/G. Ausstellung der DAF in Wien. Eine Wohnküche, Entwurf : Prof. Witzmann, Wien. 1 Küchenschrank, 1 Anbauschrank, 2 Sitzbänke, 1 Tisch, 1 Wandbord zus. RM 350, - 2 Sessel RM 15,20 - Fichte natur, gewichst, Füllungen Elfenbeinlack, matt geschliffen. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 a. Photo N° 14.]
- Beeld 171473 : Deutscher Hausrat. K/G. Ausstellung der DAF in Wien. Wohnraum eines Siedlungshauseshauses Entwurf : Prof. Franz Schuster, Wien. 1 dreiteiliger Kasten 1 Ausziehtisch, 1 Esstisch, 4 Sessel mit Holzsitz, zus. RM 280, -. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 a. Photo N° 13.]
- Beeld 171578 : [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 a. Photo N° 1.]
- Beeld 171579 : [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306. Photo N° 2.]
- Reportage: Duitse kinderen in Italiaanse scholen, [1922-1945]. - 11 foto's
- Beeld 162630 : Neuzeitliche Hausfrauenschulung in Italien.
2. Im Chemieunterricht. - Hier haben die Mädchen Wollstoffe zur Untersuchung bekommen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 2]
- Beeld 162631 : Neuzeitliche Hausfrauenschulung in Italien.
10. Bei praktischer Gartenarbeit. Im Hintergrund das schöne alte Kloster, in dem die Schule untergebracht ist.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 10]
- Beeld 162632 : Neuzeitliche Hausfrauenschulung in Italien.
11. Fertig zum Ausgang. - Die Vorschriften sind äusserst streng. Auch im heissen Sommer ist scharze Uniform vorgeschrieben und nur gemeinsamer Ausgang gestattet.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 11]
- Beeld 162633 : Neuzeitliche Hausfrauenschulung in Italien.
4. "Man nehme..." Auch in Italien lernen die jungen Mädchen heute, gut und sparsam zu kochen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 4]
- Beeld 162634 : Neuzeitliche Hausfrauenschulung in Italien.
3. Vom Garten des herlichen Klosters, in dem die Schule untergebracht ist, geniesst man einen schönen Blick über das alte Rom.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 3]
- Beeld 162635 : Neuzeitliche Hausfrauenschulung in Italien.
1. Eine der Schülerinnen, die einen Bericht über ihre Erfahrungen in der sozialen Hilfe schreibt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 1]
- Beeld 162636 : Neuzeitliche Hausfrauenschulung in Italien.
9. Die jungen Mädchen werden praktisch in Sozialhilfe eingeführt. Jede Woche zweimal kommen aus allen Stadtgegenden Leute, um sich Rat zu holen. Die Mädels besuchen arme Familien in ihren wohungen, führen Karthotek über alles und machen Berichte. Sie sind glücklich, wenn sie es durchsetzen, das ihren Schützlingen geholfen wird.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 9]
- Beeld 162637 : Neuzeitliche Hausfrauenschulung in Italien.
8. Bei Untersuchungen aus dem Gebiet der Lebensmittelchemie.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 8]
- Beeld 162638 : Neuzeitliche Hausfrauenschulung in Italien.
7. Theoretischer Unterricht über das Thema : "Wie richtet sich eine Bäuerin auf kleinster Bodenfläche ein Hausgärtchen fur sich, den Mann und die fünf Kinder ein." Die Mädchen sollen ja später vor allem als hilfen für die Siedler in den neu Kultivierten Gebieten eingesetzt werden.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 7]
- Beeld 162639 : Neuzeitiche Hausfrauenschulung in Italien.
6. Wo vor einigen Jahren alte Mönchen hausten, wihnen jetzt hübsche junge Faschistinnen, die sich in Hauswirtschaft und Landwirtschaft ausbilden lassen.- Blick in einen der Schlafsäle.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 6]
- Beeld 162640 : Neuzeitliche Hausfrauenschulung in Italien.
5. Im Sozial-Unterricht. Die Mädel werden in das wegen der sozialen Hilfe praktisch eingeführt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 5]
- Reportage: Duitse kinderen in Italiaanse scholen, 28/09/1942. - 15 foto's
- Beeld 162615 : 1490/2
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Palmen, Pinien und Zypressen, blaues Gewoge unter strahlendem Himmel, -das sind die optischen Eindrücke, die ein Blick aus dem Heim "Aurora-Lindenhof" auf Strand und Hafen von San Remo bietet. An solchen Stätten südlicher Pracht gewinnen reichsdeutsche Jungen und Mädel Unvergessliches für das ganze Leben.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 2]
[Censure photographique 28/09/42]
- Beeld 162616 : 1490/4
Deutsche Kinder erhlen sich in Italien.
Eine vergnügte Gruppe im Stadtpark von San Remo währen einer Ausflugspause.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 4]
[Censure photographique 28/09/1942]
- Beeld 162617 : 1490/1
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Die Flaggen beider Länder wehen vor dem Heim "Colonia Adria" in Riccione. Es ist Spielstunde am Strand. Eine künstliche Lagune haben die Jungen angelegt, wichtiger aber ist, dass die Körper unter der Strandsonne Italiens gesundgebräumt werden.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Censure photographique]
[Série 232 - photo 1]
- Beeld 162618 : 1490/3
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Während des ganzen Aufenhaltes werden die Kinder gewissenhaft ärztlich betreut. Es wird festgestellt, ob sie baden dürfen und sich der Sonne aussetzen, wie sie ernährt werden müssen und ob sie zu-oder abnehmen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 3]
[Censure photographique 28/09/1942]
- Beeld 162619 : 1490/10
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Bei der morgentlichen Singstunde unter den Palmen des Heimgartens.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 10]
[Censure photographique 28/09/1942]
- Beeld 162620 : 1490/7
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Diesen Wurfspiel ist italienischen Ursprungs. Die deutschen Jungen haben es chnell erlernt und betreiben es immer wieder mit Begeisterung.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 7]
[Censure photographique 28/09/1942]
- Beeld 162621 : 1490/6
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Die Gauzugehörigkeit sieht man den lachenden Gesichtern dieser badefrohen Mädel am Strand von Alassio natürlich nicht an. Es sei verraten, dass es Berlinerinnen und Thüringerinnen sind, die sich hier trafen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 6]
[Censure photographique]
- Beeld 162622 : 1490/5
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Wassernixen-aus Berlin-Moabit, Leipzig C1 und Stuttgart-Süd am Badestrand von Alassio.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 5]
[Censure photographique 28/09/1942]
- Beeld 162623 : 1490/12
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Überall an Italiens Küsten wird Fischerei betrieben. Da gibt es viel zu sehen und zu lernen. Hin und wieder bietet sich auch Gelegenheit, selbstverständlich unter Aufsicht, eine Ausfahrt der Fischer zum Fang mitzumachen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 12]
[Censure photographique 28/09/1942]
- Beeld 162624 : 1490/8
Deutscher Kinder erholen sich in Italien.
Begegnung mit italienischer Parkschönheit bei einem Spaziergang durch San Remo.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 8]
[Censure photographique 28/09/2007]
- Beeld 162625 : 1490/17
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Keiner ärgert sich, auch nicht bei-Mensch ärgere Dich nicht.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 14]
[Censure photographique 28/09/1942]
- Beeld 162626 : 1490/13
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Morgentliche Singstunde im Heim "Aurora-Lindenhof" von San Remo.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - 13]
[Censure photographique]
- Beeld 162627 : 1490/9
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Heute ist Kinotag-das bedeutet natürlich einen Höhepunkt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 9]
[Censure photographique 28/09/1942]
- Beeld 162628 : 1490/15
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Gute Kameradschaft der Heimleiterin mit ihren Schützlingen, gute Harmonie auch auf musikalischem Gebiet.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 15]
[Censure photographique]
- Beeld 162629 : 1490/11
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Zu solchen Unternehmungen bietet sich in Berlin-Weissensee keine Gelegenheit.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 11]
[Censure photographique 28/09/1942]
- Reportage: Duitse Mode, 08/01/1942. - 18 foto's
- Reportage: Duitse modellen op het strand van Capri, s.d. - 3 foto's
- Reportage: Een balletgezelschap op reis, 1942. - 5 foto's
- Beeld 171377 : Ein Ballett auf Reisen. Das Pfundmayr-Ballett aus Wien tanzt vor Fliegern. 1. Die Stimmung des Künstlervökchens während der langen Autobusfahrten ist sehr verschieden. Übermütige Ausgelassenheit wechselt oft mit Gewitterstimmung, besonders wenn sich “Nicht” – und “Raucher" unter den “Sonnenstrahlen” in die Wolle kriegen. Differenzen, die am Abend überhaupt nicht mehr existieren, denn dann halten alle fest zusammen. Ein Bild wiederholt sich aber stets : Toni kuschelt sich in ihren dicken Pelz und schläft Vorrat, während Gerti, die Jüngsten, ununterbrochen isst, und immer wieder die schönsten markenfreien Sachen organisiert. [Copyright by SIPHO.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Zensurstelle-Bildpresse. Brüssel, I.A.] [Série N° 817. Photo N° 1.]
- Beeld 171378 : Ein Ballett auf Reisen. Das Pfundmayr-Ballett aus Wien tanzt vor Fliegern. 2. Grosse Kissenschlacht im Hotelzimmer : Maria, die Langschläferin wird von Nadia und Willy “veranlasst” aufzustehen. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 817. Photo N° 2.]
- Beeld 171379 : Ein Ballett auf Reisen. Das Pfundmayr-Ballett aus Wien tanzt vor Fliegern. 5. Mitglieder des Pfundmayr-Balletts in ihrem rassigen Zigeunertanz. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 817. Photo N° 5.]
- Beeld 171380 : Ein Ballett auf Reisen. Das Pfundmayr-Ballett aus Wien tanzt vor Fliegern. 6. Edith Kliemstein vom Wiener Pfundmayr-Ballett in einer rassigen Polka. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 817. Photo N° 6.]
- Beeld 171381 : Ein Ballett auf Reisen. Das Pfundmayr-Ballett aus Wien tanzt vor Fliegern. 7. Mit lautem, herzlichem Beifall danken die Flieger dem Pfundmayr-Ballett für seine Darbietungen. Diese Wiener Mädel, die gewohnt sind, beim Film und an den grossen Varietébühnen dor Weltstädte zu arbeiten, nehmen alle Strapazen der Wanderbühne gern auf sich, wern es gilt, unserer Wehrmacht auch in den kleinsten Orten Freude zu bereiten. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 817. Photo N° 7.]
- Reportage: Een koraalexpeditie bij de Bahamas, [1930-1940]. - 8 foto's
- Reportage: Een Lederfabriek uit Oostmarken, 30/04/1941. - 6 foto's
- Reportage: Een melkerij in Salzburg, 1938-1945. - 10 foto's
- Reportage: Een modelbedrijf uit Oostmarken, 30/04/1941. - 29 foto's
- Reportage: Een plaats van herstel voor gewonden van de Italiaanse luchtmacht aan de Riviera, 31/08/1943. - 5 foto's
- Reportage: Een spoorwegbrug wordt geopend, 1930-1936. - 6 foto's
- Reportage: Een Zuid-Italiaanse haven is gereed om te op te blazen, 10/05/1944. - 4 foto's
- Reportage: Eeuwig Italië (+ tekst), 31/10/1941. - 10 foto's
- Beeld 160005 : Serie 1327/1 Ewiges Italien. In einem der grossen Museumssäle sah er eines guten Tages eine Malklasse, eine Reihe von Schülern und Schülerinnen beim Kopieren mittelalterlicher Plastiken. Ein kurzes Gespräch mit dem leitenden Professor - und wir sehen als überraschendes Ergebnis die heutige Generation konfrontiert mit ihren Urahnen - der Generation vor immerhin 500 Jahren! [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1729 A : photo 1] * Ewiges Italien. Eng gegeneinander abgeschlossene mittelalterliche Stadtstaaten, die durch stark beschränkten Raum, durch ein festes Bürgertum, ja meist durch einzelne Familien bestimmte Geschichte des Mittelalters haben in Italien, besonders im historisch und kulturgeschichtlich so reich gesegneten Nord Italien einen Zustand geschaffen, der jedem mit offenen Augen begabten Reisenden schon nach kurzen Aufenhalt in Italien auffällt : In der Strassenbahn glaubt er sich plötzlich Botticellis Masonnen und Robbias Kinderköpfen gegenüber, auf den Strassen sieht er Verrocchios, Raffaels oder Leonardos Vorbilder umherwandeln, und tritt er aus einer der Kirchen oder Gallerien ins Freie, so steht er plötzlich einem lebenden Donatello oder Michelangelo gegenüber : Überall sieht er heute noch Strassen, Kirche und Plätze mit den lebenden Ahnen der Renaissance bevölkert! Diese merkwürdige und nicht zu leugnende Tatsache veranlasste unsern Bildberichterstatter bei einem Aufenthalt in Florenz zu einem eigenartigen Experiment.
[Censure photographique]
- Beeld 160006 : Serie 1327/3 Ewiges Italien. Eine überraschende Ähnlichkeit : Der Urahn dieses jungen Schülers könnte vor 500 Jahren den Donatello zu dieser Plastik in St.Lorenzo Modell gestanden haben. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1729 A : photo 2] * Ewiges Italien. Eng gegeneinander abgeschlossene mittelalterliche Stadtstaaten, die durch stark beschränkten Raum, durch ein festes Bürgertum, ja meist durch einzelne Familien bestimmte Geschichte des Mittelalters haben in Italien, besonders im historisch und kulturgeschichtlich so reich gesegneten Nord Italien einen Zustand geschaffen, der jedem mit offenen Augen begabten Reisenden schon nach kurzen Aufenhalt in Italien auffällt : In der Strassenbahn glaubt er sich plötzlich Botticellis Masonnen und Robbias Kinderköpfen gegenüber, auf den Strassen sieht er Verrocchios, Raffaels oder Leonardos Vorbilder umherwandeln, und tritt er aus einer der Kirchen oder Gallerien ins Freie, so steht er plötzlich einem lebenden Donatello oder Michelangelo gegenüber : Überall sieht er heute noch Strassen, Kirche und Plätze mit den lebenden Ahnen der Renaissance bevölkert! Diese merkwürdige und nicht zu leugnende Tatsache veranlasste unsern Bildberichterstatter bei einem Aufenthalt in Florenz zu einem eigenartigen Experiment. [Censure photographique]
- Beeld 160007 : Serie 1327/4 Ewiges Italien. Ein anderer Donatello und sein heutiges Nachbild. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1729 A : photo 3] * Ewiges Italien. Eng gegeneinander abgeschlossene mittelalterliche Stadtstaaten, die durch stark beschränkten Raum, durch ein festes Bürgertum, ja meist durch einzelne Familien bestimmte Geschichte des Mittelalters haben in Italien, besonders im historisch und kulturgeschichtlich so reich gesegneten Nord Italien einen Zustand geschaffen, der jedem mit offenen Augen begabten Reisenden schon nach kurzen Aufenhalt in Italien auffällt : In der Strassenbahn glaubt er sich plötzlich Botticellis Masonnen und Robbias Kinderköpfen gegenüber, auf den Strassen sieht er Verrocchios, Raffaels oder Leonardos Vorbilder umherwandeln, und tritt er aus einer der Kirchen oder Gallerien ins Freie, so steht er plötzlich einem lebenden Donatello oder Michelangelo gegenüber : Überall sieht er heute noch Strassen, Kirche und Plätze mit den lebenden Ahnen der Renaissance bevölkert! Diese merkwürdige und nicht zu leugnende Tatsache veranlasste unsern Bildberichterstatter bei einem Aufenthalt in Florenz zu einem eigenartigen Experiment. [Censure photographique]
- Beeld 160008 : Serie 1327/5 Ewiges Italien. Innerhalb weniger Minuten waren diese Ähnlichkeiten zusammengestellt, und es könnten fast die gleichen Familienporträts sein! [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1729 A : photo 4] * Ewiges Italien. Eng gegeneinander abgeschlossene mittelalterliche Stadtstaaten, die durch stark beschränkten Raum, durch ein festes Bürgertum, ja meist durch einzelne Familien bestimmte Geschichte des Mittelalters haben in Italien, besonders im historisch und kulturgeschichtlich so reich gesegneten Nord Italien einen Zustand geschaffen, der jedem mit offenen Augen begabten Reisenden schon nach kurzen Aufenhalt in Italien auffällt : In der Strassenbahn glaubt er sich plötzlich Botticellis Masonnen und Robbias Kinderköpfen gegenüber, auf den Strassen sieht er Verrocchios, Raffaels oder Leonardos Vorbilder umherwandeln, und tritt er aus einer der Kirchen oder Gallerien ins Freie, so steht er plötzlich einem lebenden Donatello oder Michelangelo gegenüber : Überall sieht er heute noch Strassen, Kirche und Plätze mit den lebenden Ahnen der Renaissance bevölkert! Diese merkwürdige und nicht zu leugnende Tatsache veranlasste unsern Bildberichterstatter bei einem Aufenthalt in Florenz zu einem eigenartigen Experiment. [Censure photographique]
- Beeld 160009 : Serie 1327/6 Ewiges Italien. Es wurden immer Angehörige alteingesessener florentinischer Familien mit den alten florentinischen Bästen zusammengestellt. Hier eine Büste von Francesco Sassetti. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1729 A : photo 5] * Ewiges Italien. Eng gegeneinander abgeschlossene mittelalterliche Stadtstaaten, die durch stark beschränkten Raum, durch ein festes Bürgertum, ja meist durch einzelne Familien bestimmte Geschichte des Mittelalters haben in Italien, besonders im historisch und kulturgeschichtlich so reich gesegneten Nord Italien einen Zustand geschaffen, der jedem mit offenen Augen begabten Reisenden schon nach kurzen Aufenhalt in Italien auffällt : In der Strassenbahn glaubt er sich plötzlich Botticellis Masonnen und Robbias Kinderköpfen gegenüber, auf den Strassen sieht er Verrocchios, Raffaels oder Leonardos Vorbilder umherwandeln, und tritt er aus einer der Kirchen oder Gallerien ins Freie, so steht er plötzlich einem lebenden Donatello oder Michelangelo gegenüber : Überall sieht er heute noch Strassen, Kirche und Plätze mit den lebenden Ahnen der Renaissance bevölkert! Diese merkwürdige und nicht zu leugnende Tatsache veranlasste unsern Bildberichterstatter bei einem Aufenthalt in Florenz zu einem eigenartigen Experiment. [Censure photographique]
- Beeld 160010 : Serie 1327/8 Ewiges Italien. Überraschende Ähnlichkeit des gleichen Geschlechts über Jahrhunderte hinweg : der heutige Medici vor der Büste seines berühmten Vorfahren, des Renaissancefürsten Lorenzo, des Prächtigen (1449-1492). [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1729 A : photo 6] * Ewiges Italien. Eng gegeneinander abgeschlossene mittelalterliche Stadtstaaten, die durch stark beschränkten Raum, durch ein festes Bürgertum, ja meist durch einzelne Familien bestimmte Geschichte des Mittelalters haben in Italien, besonders im historisch und kulturgeschichtlich so reich gesegneten Nord Italien einen Zustand geschaffen, der jedem mit offenen Augen begabten Reisenden schon nach kurzen Aufenhalt in Italien auffällt : In der Strassenbahn glaubt er sich plötzlich Botticellis Masonnen und Robbias Kinderköpfen gegenüber, auf den Strassen sieht er Verrocchios, Raffaels oder Leonardos Vorbilder umherwandeln, und tritt er aus einer der Kirchen oder Gallerien ins Freie, so steht er plötzlich einem lebenden Donatello oder Michelangelo gegenüber : Überall sieht er heute noch Strassen, Kirche und Plätze mit den lebenden Ahnen der Renaissance bevölkert! Diese merkwürdige und nicht zu leugnende Tatsache veranlasste unsern Bildberichterstatter bei einem Aufenthalt in Florenz zu einem eigenartigen Experiment. [Censure photographique]
- Beeld 160011 : Serie 1327/9 Ewiges Italien. Der Jüngling von 1940 neben seinem Urahnen von 1440. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1729 A : photo 7] * Ewiges Italien. Eng gegeneinander abgeschlossene mittelalterliche Stadtstaaten, die durch stark beschränkten Raum, durch ein festes Bürgertum, ja meist durch einzelne Familien bestimmte Geschichte des Mittelalters haben in Italien, besonders im historisch und kulturgeschichtlich so reich gesegneten Nord Italien einen Zustand geschaffen, der jedem mit offenen Augen begabten Reisenden schon nach kurzen Aufenhalt in Italien auffällt : In der Strassenbahn glaubt er sich plötzlich Botticellis Masonnen und Robbias Kinderköpfen gegenüber, auf den Strassen sieht er Verrocchios, Raffaels oder Leonardos Vorbilder umherwandeln, und tritt er aus einer der Kirchen oder Gallerien ins Freie, so steht er plötzlich einem lebenden Donatello oder Michelangelo gegenüber : Überall sieht er heute noch Strassen, Kirche und Plätze mit den lebenden Ahnen der Renaissance bevölkert! Diese merkwürdige und nicht zu leugnende Tatsache veranlasste unsern Bildberichterstatter bei einem Aufenthalt in Florenz zu einem eigenartigen Experiment. [Censure photographique]
- Beeld 160012 : Serie 1327/10 Ewiges Italien. Das junge Mädchen von 1440 und 1940 : Die junge Theresa di Marche neben ihrer Urahne. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1729 A : photo 1] * Ewiges Italien. Eng gegeneinander abgeschlossene mittelalterliche Stadtstaaten, die durch stark beschränkten Raum, durch ein festes Bürgertum, ja meist durch einzelne Familien bestimmte Geschichte des Mittelalters haben in Italien, besonders im historisch und kulturgeschichtlich so reich gesegneten Nord Italien einen Zustand geschaffen, der jedem mit offenen Augen begabten Reisenden schon nach kurzen Aufenhalt in Italien auffällt : In der Strassenbahn glaubt er sich plötzlich Botticellis Masonnen und Robbias Kinderköpfen gegenüber, auf den Strassen sieht er Verrocchios, Raffaels oder Leonardos Vorbilder umherwandeln, und tritt er aus einer der Kirchen oder Gallerien ins Freie, so steht er plötzlich einem lebenden Donatello oder Michelangelo gegenüber : Überall sieht er heute noch Strassen, Kirche und Plätze mit den lebenden Ahnen der Renaissance bevölkert! Diese merkwürdige und nicht zu leugnende Tatsache veranlasste unsern Bildberichterstatter bei einem Aufenthalt in Florenz zu einem eigenartigen Experiment. [Censure photographique]
- Beeld 160013 : Serie 1327/13 Ewiges Italien. Drei Ähnlichkeiten auf einmal. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1729 A : photo 9] * Ewiges Italien. Eng gegeneinander abgeschlossene mittelalterliche Stadtstaaten, die durch stark beschränkten Raum, durch ein festes Bürgertum, ja meist durch einzelne Familien bestimmte Geschichte des Mittelalters haben in Italien, besonders im historisch und kulturgeschichtlich so reich gesegneten Nord Italien einen Zustand geschaffen, der jedem mit offenen Augen begabten Reisenden schon nach kurzen Aufenhalt in Italien auffällt : In der Strassenbahn glaubt er sich plötzlich Botticellis Masonnen und Robbias Kinderköpfen gegenüber, auf den Strassen sieht er Verrocchios, Raffaels oder Leonardos Vorbilder umherwandeln, und tritt er aus einer der Kirchen oder Gallerien ins Freie, so steht er plötzlich einem lebenden Donatello oder Michelangelo gegenüber : Überall sieht er heute noch Strassen, Kirche und Plätze mit den lebenden Ahnen der Renaissance bevölkert! Diese merkwürdige und nicht zu leugnende Tatsache veranlasste unsern Bildberichterstatter bei einem Aufenthalt in Florenz zu einem eigenartigen Experiment. [Censure photographique]
- Beeld 160014 : Serie 1327/15 Ewiges Italien. Unbekannter Meister des 15. Jahrhunderts. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1729 A : photo 10] * Ewiges Italien. Eng gegeneinander abgeschlossene mittelalterliche Stadtstaaten, die durch stark beschränkten Raum, durch ein festes Bürgertum, ja meist durch einzelne Familien bestimmte Geschichte des Mittelalters haben in Italien, besonders im historisch und kulturgeschichtlich so reich gesegneten Nord Italien einen Zustand geschaffen, der jedem mit offenen Augen begabten Reisenden schon nach kurzen Aufenhalt in Italien auffällt : In der Strassenbahn glaubt er sich plötzlich Botticellis Masonnen und Robbias Kinderköpfen gegenüber, auf den Strassen sieht er Verrocchios, Raffaels oder Leonardos Vorbilder umherwandeln, und tritt er aus einer der Kirchen oder Gallerien ins Freie, so steht er plötzlich einem lebenden Donatello oder Michelangelo gegenüber : Überall sieht er heute noch Strassen, Kirche und Plätze mit den lebenden Ahnen der Renaissance bevölkert! Diese merkwürdige und nicht zu leugnende Tatsache veranlasste unsern Bildberichterstatter bei einem Aufenthalt in Florenz zu einem eigenartigen Experiment. [Censure photographique]
- Reportage: erfolgreicher faschismus - geslaagd fascisme (Sieg der Arbeit), 1942. - 11 foto's
- Beeld 159454 : Sieg der Arbeit.
Entwässerung und Urbarmachung der Pontinischen Sümpfe. Blick von dem Turm Hauptverwaltungsgebäude auf Littoria. Links in der Mitte die Post. Es ist kaum glaublich, dass dieses alles in weniger als sechs Monaten erstanden ist. [Sipho]
*
Erfolgreicher Faschismus.
Mussolini und der Faschismus haben nicht nur auf politischem und militärischen Gebiete ausserodentliche Erfolge zu verzeichnen nicht minder gross sind die Erfolge auf dem innerpolitischen Gebiete der Urbarmachung unausgenutzen Landes.
Als leuchtendes Beispiel, die über Generationen hinauswirkenden Arbeitwird stets die Entwässerung und Urbamachung der Pontinischen Sümpfe sein.
U.B.z : Blick vom Turm des Hauptverwaltungsgebäudes der Stadt Littoria. Links in der Mitte die Post.
6449 d E.M. Orbis - Luce [Frei gegeben durch Zensur] [31.10.1942]
[Sipho]
- Beeld 159455 : Erfolgreicher Faschismus !
Mussolini und der Faschismus haben nicht nur auf politischem und militärischem Gebiete ausserordentliche Erfolge zu verzeichnen : nicht minder gross sind die Erfolge auf dem innenpolitischen Gebiete der Urbarmachung unausgenutzten Landes. Als leuchtendes Beispiel - die über Generationen hinauswirkende Arbeit wird stets die Entwässerung und Urbarmachung der Pontinischen Sümpfe anzusehen sein.
U.B.z. : die aus dem Nichts geschaffene "Littoria", vom Flugzeug gesehen. Sie stellt den Mittelpunkt der Verwaltung dar, während längs der Strassen in der Landschaft verteilt die eigentlichen Wohnhäuser sind.
6449 c E.M. Orbis - Luce [31.10.1942] [Censure de presse] [Sipho]
- Beeld 159456 : Sieg der Arbeit.
Entwässerung und Urbarmachung der Pontinischen Sümpfe. Sieg der Arbeit. Aus Sumpf und Wildnis wurde fruchtbares Ackerland, die jungfräuliche Scholle wartet auf den Sämann. [Série 92.219 : photo 8] [Sipho]
* Erfolgreicher Faschismus
Mussolini und der Faschismus haben nicht nur auf politischem und militärischem Gebiete ausserordentliche Erfolge zu verzeichnen; nicht minder gross sind die Erfolge auf dem innenpolitischen Gebiete der Urbarmachung unausgenutzten Landes. Als leuchtendes Beispiel - die über Generationen hinauswirkende Arbeit - wird stets die Entwässerung und Urbarmachung der Pontinischen Sümpfe anzusehen sein.
U.B.z. : Fruchtbares Ackerland, wo noch vor kurzem Sumpf und Wildnis war.
6449 a E.M. Orbis - Luce [31.10.1942] [02/11/1942] [Sipho]
- Beeld 159457 : Mussolini und der Faschismus haben nicht nur auf politischem und militärischem Gebiete ausserordentliche Erfolge zu verzeichnen; nicht minder gross sind die Erfolge auf dem innenpolitischen Gebiete der Urbarmachung unausgenutzten Landes. Als leuchtendes Beispiel - die über Generationen hinauswirkende Arbeit - wird stets die Entwässerung und Urbarmachung der Pontinischen Sümpfe anzusehen sein.
U.B.z. : auf ehemaligem Sumpfgelände ist ein Gehöft entstanden, gut gebautes Haus mit allem was zur Siedlung gehört mit einer Aufnahmefähigkeit für mindestens eine achtköpfige Familie.
6449 b E.M. Orbis - Luce [31/10/1942] [Frei gegeben durch Zensur] [Sipho]
- Beeld 159458 : 11559
I Giovanissimi agricoltori dell' Italia fascista al lavore : la semina a mano nel campo della 533° Legione Rurali dell' Opera Nazionale Balilla, in località Pietralata.
[Foto Vedo] [Actualit]
- Beeld 159459 : 11550
I Giovanissimi agricoltori dell' Italia fascista al lavoro : una lezione pratica di agricoltora impartita ai Balilla Rurali. [Actualit] [Foto Vedo]
- Beeld 159460 : Il Duce acclamato dai lavoratori di sabaudia premia mille rurali veterani della redenzione dell'agro Pontino.
Il Capo del Governo consegna i premi ai coloni. [Actualit]
- Beeld 159461 : Rovigo 16/3
Le départ de l'Italie de 30.000 travailleurs de la campagne qui se rendent en Allemagne selon une convention stipulée entre les gouvernements Fascista et du Reich. [Bruni Foto Agenzia]
- Beeld 159462 : Il Duce visita I grandiosi lavori della Bonifica Pontina. Entusiasticamente acclamato dai rurali.
Il Duce esamina la qualità del terreno dopo che l'aratro ha tracciato il solce nell' Agre Pontino. [Actualit] [Foto Vedo]
- Beeld 159463 : 9915/ Caprices of the Nature mastered by human hands.
Because the rocks are plumbing into the sea, the roads to the strand of the famous island of Capri had to be laid in numerous serpentines. Atlantic 13.10.1939
9915/ Launen der Natur vom Menschenhand bezwungen.
Weil die Felsen so steil ins Meer fallen, mussten die Wege zum Strand auf der berühmten Insel Capri in vielfachen Windungen angelegt werden. Atlantic 13.10.1939
[Sipho]
- Beeld 159464 : Sieg der Arbeit.
Entwässerung und Urbarmachung der Pontinischen Sümpfe.
Mit modernsten technischen Mitteln ist die Arbeit in Angriff genommen worden. Die gigantischen Baggermaschinen bringen in die Jahrtausende alte Öde die Silhouette unseren neuen heroischen Zeitalters der Arbeit. [Serie 92.219 : photo 10]
[Sipho]
- Reportage: Ferri boot Scilla in Italië, [...-1945]. - 6 foto's
- Reportage: "Gestalte en wezen van de Weense vrouw": portretten van Weense vrouwen door Oostenrijkse kunstenaars, [1930-1945]. - 4 foto's
- Reportage: Gewonde soldaten van het Duitse Afrikacorps herstellen zich in een militair hospitaal van Zuid-Italië, 17/04/1942-20/04/1942. - 4 foto's
- Reportage: “Gigli chez lui” op gesprek bij filmacteur Gigli (+ tekst), 09/09/1942. - 10 foto's
- Beeld 160024 : Gigli zu Hause. 1. Gigli beim Hokzhacken. Er ist fast stolzer auf die Kunst als auf das Singen. "Dass ich das kann" sagt er, "weiss ja jeder ...aber wie schön ich Holzhacken kann, das wissen die wenigsten". [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.248 A : photo 1] * Gigli - zu Hause - von Dr. Peter Weller. Eines Tages bekam ich aus Berlin einen Brief, in dem ich gebeten wurde, Gigli in Rom zu besuchen und ein paar nette Aufnahmen von ihm zu machen. Na, dachte ich, das kann ja nett werden! Mit so vielbeschäftigten Stars ist das meist sehr schwierig. Während ich noch darüber brütete, trat meine Wirtin in mein Zimmer. Ich klagte ihr mein Leid, und, wie immer, die Treffliche wusste Rat. "Ci penso io" - sagte sie - "das lassen Sie mich nur machen - meine Freundin hat eine Freundin, und die kennt den Schwager von Gigli". Sie ging resolut ans Telefon und nach einer Viertelstunde aufgeregtesten Sprechens stemmte sie triumphierend die Arme in die Hüften und sagte : "Che cosa do detto? - was habe ich ihnen gesagt?" - "Benjamino Gigli empfängt Sie übermorgen um 5 Uhr." Im Haus sprach es sich herum, dass ich zu Benjamino ginge, und alles nahm regsten Anteil. Der Zufall wollte, dass Gigli zwei Strassen von uns erntfernt wohnt, und ist er schon der Liebling aller Römer, nun - im Quartiere sind sie ganz besonders stolz auf ihn, lieben ihn und reden von ihm nur "per Benjamino". Als ich bei ihm eintraf, überraschte ich ihn in seinem Garten. Er stand in einem scheusslichen, viel zu kurzem und engen Overall und bespritzte mit gespannter Aufmerksamkeit seine Kohlbeete mit einem Riesenschlauch. Er liess sich denn auch garnicht aus der Fassung bringen, sondern meinte, ich solle ihn ruhig so knipsen, dann hätte ich wenigstens etwas Neues. Dann brachte ein junger Bursche eine Karaffe mit dunkelrotem Wein, und Gigli versäumte nicht, mich darauf aufmerksam zu machen, dass der von seinem Landgut bei Ancona sei, und ich möge ihn mit Verstand trinken. Ich tat es. Später begleitete ich den Maestro zum Hühnerstall, wo er in den schmelzendsten Giglitönen die Küken um sich lockte. Als er Holz hackte, hatte ich leise Zweifel, ob er das nicht vielleicht doch dem Fotografen zu lieb täte. Er merkte es und war entrüstet. "Fragen Sie meine Frau", sagte er, "ob ich das nicht jeden Tag mindestens eine halbe Stunde tue." Dann kam ein Telefonanruf einer Filmgesellschaft; sichtlich enttäuscht, dass er sich nun wieder fein machen müsse, verswand Gigli im Hause. Bevor er losfuhr - was ich rasch noch fotografierte, denn es war zu nett, mit welcher Leidensmiene er sich aufs Fahrrad klemmte - lud er mich ein, ihm im August auf seinem Lanagut bei Ancona zu besuchen. "Jedes Kind kennt mich dort", sagte er, "und das werde ich Ihnen zeigen, wie schön es bei mir ist und" - mit einem Blick nach der halbgeleerten Karaffe - "da habe ich dann noch einen ganz anderen Wein als den hier !"
- Beeld 160025 : Gigli zu Hause. 2. Eine rechte Erholung ist es, nach getaner Arbeit Arbeit im Garten und Hühnerstall seinen Vögeln etwas vorzupfeifen. Auch seinen Papagei pflegt er selbst - er spräche auch, behauptete er, aber leider nur, wenn er mit ihm allein sei. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.248 A : photo 2] * Gigli - zu Hause - von Dr. Peter Weller. Eines Tages bekam ich aus Berlin einen Brief, in dem ich gebeten wurde, Gigli in Rom zu besuchen und ein paar nette Aufnahmen von ihm zu machen. Na, dachte ich, das kann ja nett werden! Mit so vielbeschäftigten Stars ist das meist sehr schwierig. Während ich noch darüber brütete, trat meine Wirtin in mein Zimmer. Ich klagte ihr mein Leid, und, wie immer, die Treffliche wusste Rat. "Ci penso io" - sagte sie - "das lassen Sie mich nur machen - meine Freundin hat eine Freundin, und die kennt den Schwager von Gigli". Sie ging resolut ans Telefon und nach einer Viertelstunde aufgeregtesten Sprechens stemmte sie triumphierend die Arme in die Hüften und sagte : "Che cosa do detto? - was habe ich ihnen gesagt?" - "Benjamino Gigli empfängt Sie übermorgen um 5 Uhr." Im Haus sprach es sich herum, dass ich zu Benjamino ginge, und alles nahm regsten Anteil. Der Zufall wollte, dass Gigli zwei Strassen von uns erntfernt wohnt, und ist er schon der Liebling aller Römer, nun - im Quartiere sind sie ganz besonders stolz auf ihn, lieben ihn und reden von ihm nur "per Benjamino". Als ich bei ihm eintraf, überraschte ich ihn in seinem Garten. Er stand in einem scheusslichen, viel zu kurzem und engen Overall und bespritzte mit gespannter Aufmerksamkeit seine Kohlbeete mit einem Riesenschlauch. Er liess sich denn auch garnicht aus der Fassung bringen, sondern meinte, ich solle ihn ruhig so knipsen, dann hätte ich wenigstens etwas Neues. Dann brachte ein junger Bursche eine Karaffe mit dunkelrotem Wein, und Gigli versäumte nicht, mich darauf aufmerksam zu machen, dass der von seinem Landgut bei Ancona sei, und ich möge ihn mit Verstand trinken. Ich tat es. Später begleitete ich den Maestro zum Hühnerstall, wo er in den schmelzendsten Giglitönen die Küken um sich lockte. Als er Holz hackte, hatte ich leise Zweifel, ob er das nicht vielleicht doch dem Fotografen zu lieb täte. Er merkte es und war entrüstet. "Fragen Sie meine Frau", sagte er, "ob ich das nicht jeden Tag mindestens eine halbe Stunde tue." Dann kam ein Telefonanruf einer Filmgesellschaft; sichtlich enttäuscht, dass er sich nun wieder fein machen müsse, verswand Gigli im Hause. Bevor er losfuhr - was ich rasch noch fotografierte, denn es war zu nett, mit welcher Leidensmiene er sich aufs Fahrrad klemmte - lud er mich ein, ihm im August auf seinem Lanagut bei Ancona zu besuchen. "Jedes Kind kennt mich dort", sagte er, "und das werde ich Ihnen zeigen, wie schön es bei mir ist und" - mit einem Blick nach der halbgeleerten Karaffe - "da habe ich dann noch einen ganz anderen Wein als den hier !"
- Beeld 160026 : Gigli zu Hause. 3. Sitzt der Ton? Gigli spielt sich neue eigene Platten vor. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.248 A : photo 3] * Gigli - zu Hause - von Dr. Peter Weller. Eines Tages bekam ich aus Berlin einen Brief, in dem ich gebeten wurde, Gigli in Rom zu besuchen und ein paar nette Aufnahmen von ihm zu machen. Na, dachte ich, das kann ja nett werden! Mit so vielbeschäftigten Stars ist das meist sehr schwierig. Während ich noch darüber brütete, trat meine Wirtin in mein Zimmer. Ich klagte ihr mein Leid, und, wie immer, die Treffliche wusste Rat. "Ci penso io" - sagte sie - "das lassen Sie mich nur machen - meine Freundin hat eine Freundin, und die kennt den Schwager von Gigli". Sie ging resolut ans Telefon und nach einer Viertelstunde aufgeregtesten Sprechens stemmte sie triumphierend die Arme in die Hüften und sagte : "Che cosa do detto? - was habe ich ihnen gesagt?" - "Benjamino Gigli empfängt Sie übermorgen um 5 Uhr." Im Haus sprach es sich herum, dass ich zu Benjamino ginge, und alles nahm regsten Anteil. Der Zufall wollte, dass Gigli zwei Strassen von uns erntfernt wohnt, und ist er schon der Liebling aller Römer, nun - im Quartiere sind sie ganz besonders stolz auf ihn, lieben ihn und reden von ihm nur "per Benjamino". Als ich bei ihm eintraf, überraschte ich ihn in seinem Garten. Er stand in einem scheusslichen, viel zu kurzem und engen Overall und bespritzte mit gespannter Aufmerksamkeit seine Kohlbeete mit einem Riesenschlauch. Er liess sich denn auch garnicht aus der Fassung bringen, sondern meinte, ich solle ihn ruhig so knipsen, dann hätte ich wenigstens etwas Neues. Dann brachte ein junger Bursche eine Karaffe mit dunkelrotem Wein, und Gigli versäumte nicht, mich darauf aufmerksam zu machen, dass der von seinem Landgut bei Ancona sei, und ich möge ihn mit Verstand trinken. Ich tat es. Später begleitete ich den Maestro zum Hühnerstall, wo er in den schmelzendsten Giglitönen die Küken um sich lockte. Als er Holz hackte, hatte ich leise Zweifel, ob er das nicht vielleicht doch dem Fotografen zu lieb täte. Er merkte es und war entrüstet. "Fragen Sie meine Frau", sagte er, "ob ich das nicht jeden Tag mindestens eine halbe Stunde tue." Dann kam ein Telefonanruf einer Filmgesellschaft; sichtlich enttäuscht, dass er sich nun wieder fein machen müsse, verswand Gigli im Hause. Bevor er losfuhr - was ich rasch noch fotografierte, denn es war zu nett, mit welcher Leidensmiene er sich aufs Fahrrad klemmte - lud er mich ein, ihm im August auf seinem Lanagut bei Ancona zu besuchen. "Jedes Kind kennt mich dort", sagte er, "und das werde ich Ihnen zeigen, wie schön es bei mir ist und" - mit einem Blick nach der halbgeleerten Karaffe - "da habe ich dann noch einen ganz anderen Wein als den hier !"
- Beeld 160027 : Gigli zu Hause. 4. Wo früher Blumen standen, wachsen heute nahrhafte Gemüse. Hat der Künstler einmal Zeit, so ist es ihm ein Hauptspass, selbst darin zu werkeln. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.248 A : photo 4] * Gigli - zu Hause - von Dr. Peter Weller. Eines Tages bekam ich aus Berlin einen Brief, in dem ich gebeten wurde, Gigli in Rom zu besuchen und ein paar nette Aufnahmen von ihm zu machen. Na, dachte ich, das kann ja nett werden! Mit so vielbeschäftigten Stars ist das meist sehr schwierig. Während ich noch darüber brütete, trat meine Wirtin in mein Zimmer. Ich klagte ihr mein Leid, und, wie immer, die Treffliche wusste Rat. "Ci penso io" - sagte sie - "das lassen Sie mich nur machen - meine Freundin hat eine Freundin, und die kennt den Schwager von Gigli". Sie ging resolut ans Telefon und nach einer Viertelstunde aufgeregtesten Sprechens stemmte sie triumphierend die Arme in die Hüften und sagte : "Che cosa do detto? - was habe ich ihnen gesagt?" - "Benjamino Gigli empfängt Sie übermorgen um 5 Uhr." Im Haus sprach es sich herum, dass ich zu Benjamino ginge, und alles nahm regsten Anteil. Der Zufall wollte, dass Gigli zwei Strassen von uns erntfernt wohnt, und ist er schon der Liebling aller Römer, nun - im Quartiere sind sie ganz besonders stolz auf ihn, lieben ihn und reden von ihm nur "per Benjamino". Als ich bei ihm eintraf, überraschte ich ihn in seinem Garten. Er stand in einem scheusslichen, viel zu kurzem und engen Overall und bespritzte mit gespannter Aufmerksamkeit seine Kohlbeete mit einem Riesenschlauch. Er liess sich denn auch garnicht aus der Fassung bringen, sondern meinte, ich solle ihn ruhig so knipsen, dann hätte ich wenigstens etwas Neues. Dann brachte ein junger Bursche eine Karaffe mit dunkelrotem Wein, und Gigli versäumte nicht, mich darauf aufmerksam zu machen, dass der von seinem Landgut bei Ancona sei, und ich möge ihn mit Verstand trinken. Ich tat es. Später begleitete ich den Maestro zum Hühnerstall, wo er in den schmelzendsten Giglitönen die Küken um sich lockte. Als er Holz hackte, hatte ich leise Zweifel, ob er das nicht vielleicht doch dem Fotografen zu lieb täte. Er merkte es und war entrüstet. "Fragen Sie meine Frau", sagte er, "ob ich das nicht jeden Tag mindestens eine halbe Stunde tue." Dann kam ein Telefonanruf einer Filmgesellschaft; sichtlich enttäuscht, dass er sich nun wieder fein machen müsse, verswand Gigli im Hause. Bevor er losfuhr - was ich rasch noch fotografierte, denn es war zu nett, mit welcher Leidensmiene er sich aufs Fahrrad klemmte - lud er mich ein, ihm im August auf seinem Lanagut bei Ancona zu besuchen. "Jedes Kind kennt mich dort", sagte er, "und das werde ich Ihnen zeigen, wie schön es bei mir ist und" - mit einem Blick nach der halbgeleerten Karaffe - "da habe ich dann noch einen ganz anderen Wein als den hier !"
- Beeld 160028 : Gigli zu Hause. 9. auch Gigli fährt jetzt wieder Rad - - aber anscheined ohne rechte Begeisterung. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.248 A : photo 9] * Gigli - zu Hause - von Dr. Peter Weller. Eines Tages bekam ich aus Berlin einen Brief, in dem ich gebeten wurde, Gigli in Rom zu besuchen und ein paar nette Aufnahmen von ihm zu machen. Na, dachte ich, das kann ja nett werden! Mit so vielbeschäftigten Stars ist das meist sehr schwierig. Während ich noch darüber brütete, trat meine Wirtin in mein Zimmer. Ich klagte ihr mein Leid, und, wie immer, die Treffliche wusste Rat. "Ci penso io" - sagte sie - "das lassen Sie mich nur machen - meine Freundin hat eine Freundin, und die kennt den Schwager von Gigli". Sie ging resolut ans Telefon und nach einer Viertelstunde aufgeregtesten Sprechens stemmte sie triumphierend die Arme in die Hüften und sagte : "Che cosa do detto? - was habe ich ihnen gesagt?" - "Benjamino Gigli empfängt Sie übermorgen um 5 Uhr." Im Haus sprach es sich herum, dass ich zu Benjamino ginge, und alles nahm regsten Anteil. Der Zufall wollte, dass Gigli zwei Strassen von uns erntfernt wohnt, und ist er schon der Liebling aller Römer, nun - im Quartiere sind sie ganz besonders stolz auf ihn, lieben ihn und reden von ihm nur "per Benjamino". Als ich bei ihm eintraf, überraschte ich ihn in seinem Garten. Er stand in einem scheusslichen, viel zu kurzem und engen Overall und bespritzte mit gespannter Aufmerksamkeit seine Kohlbeete mit einem Riesenschlauch. Er liess sich denn auch garnicht aus der Fassung bringen, sondern meinte, ich solle ihn ruhig so knipsen, dann hätte ich wenigstens etwas Neues. Dann brachte ein junger Bursche eine Karaffe mit dunkelrotem Wein, und Gigli versäumte nicht, mich darauf aufmerksam zu machen, dass der von seinem Landgut bei Ancona sei, und ich möge ihn mit Verstand trinken. Ich tat es. Später begleitete ich den Maestro zum Hühnerstall, wo er in den schmelzendsten Giglitönen die Küken um sich lockte. Als er Holz hackte, hatte ich leise Zweifel, ob er das nicht vielleicht doch dem Fotografen zu lieb täte. Er merkte es und war entrüstet. "Fragen Sie meine Frau", sagte er, "ob ich das nicht jeden Tag mindestens eine halbe Stunde tue." Dann kam ein Telefonanruf einer Filmgesellschaft; sichtlich enttäuscht, dass er sich nun wieder fein machen müsse, verswand Gigli im Hause. Bevor er losfuhr - was ich rasch noch fotografierte, denn es war zu nett, mit welcher Leidensmiene er sich aufs Fahrrad klemmte - lud er mich ein, ihm im August auf seinem Lanagut bei Ancona zu besuchen. "Jedes Kind kennt mich dort", sagte er, "und das werde ich Ihnen zeigen, wie schön es bei mir ist und" - mit einem Blick nach der halbgeleerten Karaffe - "da habe ich dann noch einen ganz anderen Wein als den hier !"
- Beeld 160029 : Gigli zu Hause. 8. Im Garten seiner Villa in Rom, der früher ein Blumenwundergarten war, wächst jetzt nur noch nahrhaftes Gemüse. Mit Stolz zeigt er seinen "Orto di guerra", seinen Kriegsgarten, aber dass er sogar selbst darin arbeitet und grossen Spass daran hat - das war eine Neuigkeit. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.248 A : photo 8] * Gigli - zu Hause - von Dr. Peter Weller. Eines Tages bekam ich aus Berlin einen Brief, in dem ich gebeten wurde, Gigli in Rom zu besuchen und ein paar nette Aufnahmen von ihm zu machen. Na, dachte ich, das kann ja nett werden! Mit so vielbeschäftigten Stars ist das meist sehr schwierig. Während ich noch darüber brütete, trat meine Wirtin in mein Zimmer. Ich klagte ihr mein Leid, und, wie immer, die Treffliche wusste Rat. "Ci penso io" - sagte sie - "das lassen Sie mich nur machen - meine Freundin hat eine Freundin, und die kennt den Schwager von Gigli". Sie ging resolut ans Telefon und nach einer Viertelstunde aufgeregtesten Sprechens stemmte sie triumphierend die Arme in die Hüften und sagte : "Che cosa do detto? - was habe ich ihnen gesagt?" - "Benjamino Gigli empfängt Sie übermorgen um 5 Uhr." Im Haus sprach es sich herum, dass ich zu Benjamino ginge, und alles nahm regsten Anteil. Der Zufall wollte, dass Gigli zwei Strassen von uns erntfernt wohnt, und ist er schon der Liebling aller Römer, nun - im Quartiere sind sie ganz besonders stolz auf ihn, lieben ihn und reden von ihm nur "per Benjamino". Als ich bei ihm eintraf, überraschte ich ihn in seinem Garten. Er stand in einem scheusslichen, viel zu kurzem und engen Overall und bespritzte mit gespannter Aufmerksamkeit seine Kohlbeete mit einem Riesenschlauch. Er liess sich denn auch garnicht aus der Fassung bringen, sondern meinte, ich solle ihn ruhig so knipsen, dann hätte ich wenigstens etwas Neues. Dann brachte ein junger Bursche eine Karaffe mit dunkelrotem Wein, und Gigli versäumte nicht, mich darauf aufmerksam zu machen, dass der von seinem Landgut bei Ancona sei, und ich möge ihn mit Verstand trinken. Ich tat es. Später begleitete ich den Maestro zum Hühnerstall, wo er in den schmelzendsten Giglitönen die Küken um sich lockte. Als er Holz hackte, hatte ich leise Zweifel, ob er das nicht vielleicht doch dem Fotografen zu lieb täte. Er merkte es und war entrüstet. "Fragen Sie meine Frau", sagte er, "ob ich das nicht jeden Tag mindestens eine halbe Stunde tue." Dann kam ein Telefonanruf einer Filmgesellschaft; sichtlich enttäuscht, dass er sich nun wieder fein machen müsse, verswand Gigli im Hause. Bevor er losfuhr - was ich rasch noch fotografierte, denn es war zu nett, mit welcher Leidensmiene er sich aufs Fahrrad klemmte - lud er mich ein, ihm im August auf seinem Lanagut bei Ancona zu besuchen. "Jedes Kind kennt mich dort", sagte er, "und das werde ich Ihnen zeigen, wie schön es bei mir ist und" - mit einem Blick nach der halbgeleerten Karaffe - "da habe ich dann noch einen ganz anderen Wein als den hier !"
- Beeld 160030 : Gigli zu Hause. 7. Manchmal will der mit Treibgas betriebene Wagen nicht so wie er soll. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.248 A : photo 7] * Gigli - zu Hause - von Dr. Peter Weller. Eines Tages bekam ich aus Berlin einen Brief, in dem ich gebeten wurde, Gigli in Rom zu besuchen und ein paar nette Aufnahmen von ihm zu machen. Na, dachte ich, das kann ja nett werden! Mit so vielbeschäftigten Stars ist das meist sehr schwierig. Während ich noch darüber brütete, trat meine Wirtin in mein Zimmer. Ich klagte ihr mein Leid, und, wie immer, die Treffliche wusste Rat. "Ci penso io" - sagte sie - "das lassen Sie mich nur machen - meine Freundin hat eine Freundin, und die kennt den Schwager von Gigli". Sie ging resolut ans Telefon und nach einer Viertelstunde aufgeregtesten Sprechens stemmte sie triumphierend die Arme in die Hüften und sagte : "Che cosa do detto? - was habe ich ihnen gesagt?" - "Benjamino Gigli empfängt Sie übermorgen um 5 Uhr." Im Haus sprach es sich herum, dass ich zu Benjamino ginge, und alles nahm regsten Anteil. Der Zufall wollte, dass Gigli zwei Strassen von uns erntfernt wohnt, und ist er schon der Liebling aller Römer, nun - im Quartiere sind sie ganz besonders stolz auf ihn, lieben ihn und reden von ihm nur "per Benjamino". Als ich bei ihm eintraf, überraschte ich ihn in seinem Garten. Er stand in einem scheusslichen, viel zu kurzem und engen Overall und bespritzte mit gespannter Aufmerksamkeit seine Kohlbeete mit einem Riesenschlauch. Er liess sich denn auch garnicht aus der Fassung bringen, sondern meinte, ich solle ihn ruhig so knipsen, dann hätte ich wenigstens etwas Neues. Dann brachte ein junger Bursche eine Karaffe mit dunkelrotem Wein, und Gigli versäumte nicht, mich darauf aufmerksam zu machen, dass der von seinem Landgut bei Ancona sei, und ich möge ihn mit Verstand trinken. Ich tat es. Später begleitete ich den Maestro zum Hühnerstall, wo er in den schmelzendsten Giglitönen die Küken um sich lockte. Als er Holz hackte, hatte ich leise Zweifel, ob er das nicht vielleicht doch dem Fotografen zu lieb täte. Er merkte es und war entrüstet. "Fragen Sie meine Frau", sagte er, "ob ich das nicht jeden Tag mindestens eine halbe Stunde tue." Dann kam ein Telefonanruf einer Filmgesellschaft; sichtlich enttäuscht, dass er sich nun wieder fein machen müsse, verswand Gigli im Hause. Bevor er losfuhr - was ich rasch noch fotografierte, denn es war zu nett, mit welcher Leidensmiene er sich aufs Fahrrad klemmte - lud er mich ein, ihm im August auf seinem Lanagut bei Ancona zu besuchen. "Jedes Kind kennt mich dort", sagte er, "und das werde ich Ihnen zeigen, wie schön es bei mir ist und" - mit einem Blick nach der halbgeleerten Karaffe - "da habe ich dann noch einen ganz anderen Wein als den hier !"
- Beeld 160031 : Gigli zu Hause. 6. Kummervoll betrachtet Gigli seine Tubetti, d.h. die Treibgasröhren auf dem Wagen. Irgendetwas funktioniert nicht, und da er jetzt auch ohne Fahrer ist, legt er selbst Hand an. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.248 A : photo 6] * Gigli - zu Hause - von Dr. Peter Weller. Eines Tages bekam ich aus Berlin einen Brief, in dem ich gebeten wurde, Gigli in Rom zu besuchen und ein paar nette Aufnahmen von ihm zu machen. Na, dachte ich, das kann ja nett werden! Mit so vielbeschäftigten Stars ist das meist sehr schwierig. Während ich noch darüber brütete, trat meine Wirtin in mein Zimmer. Ich klagte ihr mein Leid, und, wie immer, die Treffliche wusste Rat. "Ci penso io" - sagte sie - "das lassen Sie mich nur machen - meine Freundin hat eine Freundin, und die kennt den Schwager von Gigli". Sie ging resolut ans Telefon und nach einer Viertelstunde aufgeregtesten Sprechens stemmte sie triumphierend die Arme in die Hüften und sagte : "Che cosa do detto? - was habe ich ihnen gesagt?" - "Benjamino Gigli empfängt Sie übermorgen um 5 Uhr." Im Haus sprach es sich herum, dass ich zu Benjamino ginge, und alles nahm regsten Anteil. Der Zufall wollte, dass Gigli zwei Strassen von uns erntfernt wohnt, und ist er schon der Liebling aller Römer, nun - im Quartiere sind sie ganz besonders stolz auf ihn, lieben ihn und reden von ihm nur "per Benjamino". Als ich bei ihm eintraf, überraschte ich ihn in seinem Garten. Er stand in einem scheusslichen, viel zu kurzem und engen Overall und bespritzte mit gespannter Aufmerksamkeit seine Kohlbeete mit einem Riesenschlauch. Er liess sich denn auch garnicht aus der Fassung bringen, sondern meinte, ich solle ihn ruhig so knipsen, dann hätte ich wenigstens etwas Neues. Dann brachte ein junger Bursche eine Karaffe mit dunkelrotem Wein, und Gigli versäumte nicht, mich darauf aufmerksam zu machen, dass der von seinem Landgut bei Ancona sei, und ich möge ihn mit Verstand trinken. Ich tat es. Später begleitete ich den Maestro zum Hühnerstall, wo er in den schmelzendsten Giglitönen die Küken um sich lockte. Als er Holz hackte, hatte ich leise Zweifel, ob er das nicht vielleicht doch dem Fotografen zu lieb täte. Er merkte es und war entrüstet. "Fragen Sie meine Frau", sagte er, "ob ich das nicht jeden Tag mindestens eine halbe Stunde tue." Dann kam ein Telefonanruf einer Filmgesellschaft; sichtlich enttäuscht, dass er sich nun wieder fein machen müsse, verswand Gigli im Hause. Bevor er losfuhr - was ich rasch noch fotografierte, denn es war zu nett, mit welcher Leidensmiene er sich aufs Fahrrad klemmte - lud er mich ein, ihm im August auf seinem Lanagut bei Ancona zu besuchen. "Jedes Kind kennt mich dort", sagte er, "und das werde ich Ihnen zeigen, wie schön es bei mir ist und" - mit einem Blick nach der halbgeleerten Karaffe - "da habe ich dann noch einen ganz anderen Wein als den hier !"
- Beeld 160032 : Gigli zu Hause. 5. Gigli füttert seine Hühner, nicht nur aus reiner Tierliebe; mit Augenzwinkern meinte er, wie seltsam es doch sei, dass sich gerade heutzutage die Hühner so leicht "verflögen" und seit er sie selbst füttere, seien sie bemerkenswert häuslicher geworden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.248 A : photo 5] * Gigli - zu Hause - von Dr. Peter Weller. Eines Tages bekam ich aus Berlin einen Brief, in dem ich gebeten wurde, Gigli in Rom zu besuchen und ein paar nette Aufnahmen von ihm zu machen. Na, dachte ich, das kann ja nett werden! Mit so vielbeschäftigten Stars ist das meist sehr schwierig. Während ich noch darüber brütete, trat meine Wirtin in mein Zimmer. Ich klagte ihr mein Leid, und, wie immer, die Treffliche wusste Rat. "Ci penso io" - sagte sie - "das lassen Sie mich nur machen - meine Freundin hat eine Freundin, und die kennt den Schwager von Gigli". Sie ging resolut ans Telefon und nach einer Viertelstunde aufgeregtesten Sprechens stemmte sie triumphierend die Arme in die Hüften und sagte : "Che cosa do detto? - was habe ich ihnen gesagt?" - "Benjamino Gigli empfängt Sie übermorgen um 5 Uhr." Im Haus sprach es sich herum, dass ich zu Benjamino ginge, und alles nahm regsten Anteil. Der Zufall wollte, dass Gigli zwei Strassen von uns erntfernt wohnt, und ist er schon der Liebling aller Römer, nun - im Quartiere sind sie ganz besonders stolz auf ihn, lieben ihn und reden von ihm nur "per Benjamino". Als ich bei ihm eintraf, überraschte ich ihn in seinem Garten. Er stand in einem scheusslichen, viel zu kurzem und engen Overall und bespritzte mit gespannter Aufmerksamkeit seine Kohlbeete mit einem Riesenschlauch. Er liess sich denn auch garnicht aus der Fassung bringen, sondern meinte, ich solle ihn ruhig so knipsen, dann hätte ich wenigstens etwas Neues. Dann brachte ein junger Bursche eine Karaffe mit dunkelrotem Wein, und Gigli versäumte nicht, mich darauf aufmerksam zu machen, dass der von seinem Landgut bei Ancona sei, und ich möge ihn mit Verstand trinken. Ich tat es. Später begleitete ich den Maestro zum Hühnerstall, wo er in den schmelzendsten Giglitönen die Küken um sich lockte. Als er Holz hackte, hatte ich leise Zweifel, ob er das nicht vielleicht doch dem Fotografen zu lieb täte. Er merkte es und war entrüstet. "Fragen Sie meine Frau", sagte er, "ob ich das nicht jeden Tag mindestens eine halbe Stunde tue." Dann kam ein Telefonanruf einer Filmgesellschaft; sichtlich enttäuscht, dass er sich nun wieder fein machen müsse, verswand Gigli im Hause. Bevor er losfuhr - was ich rasch noch fotografierte, denn es war zu nett, mit welcher Leidensmiene er sich aufs Fahrrad klemmte - lud er mich ein, ihm im August auf seinem Lanagut bei Ancona zu besuchen. "Jedes Kind kennt mich dort", sagte er, "und das werde ich Ihnen zeigen, wie schön es bei mir ist und" - mit einem Blick nach der halbgeleerten Karaffe - "da habe ich dann noch einen ganz anderen Wein als den hier !"
- Beeld 160033 : Gigli zu Hause. 10. Gigli füttert seine Hühner nicht nur aus reiner Tierliebe; mit Augenzwinkern meinte er, wie seltsam es doch sei, dass sich gerade heutzutage die Hühner so leicht "verflögen" und seit er sie selbst füttere, seien sie bemerkenswert häuslicher geworden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.248 A : photo 10] * Gigli - zu Hause - von Dr. Peter Weller. Eines Tages bekam ich aus Berlin einen Brief, in dem ich gebeten wurde, Gigli in Rom zu besuchen und ein paar nette Aufnahmen von ihm zu machen. Na, dachte ich, das kann ja nett werden! Mit so vielbeschäftigten Stars ist das meist sehr schwierig. Während ich noch darüber brütete, trat meine Wirtin in mein Zimmer. Ich klagte ihr mein Leid, und, wie immer, die Treffliche wusste Rat. "Ci penso io" - sagte sie - "das lassen Sie mich nur machen - meine Freundin hat eine Freundin, und die kennt den Schwager von Gigli". Sie ging resolut ans Telefon und nach einer Viertelstunde aufgeregtesten Sprechens stemmte sie triumphierend die Arme in die Hüften und sagte : "Che cosa do detto? - was habe ich ihnen gesagt?" - "Benjamino Gigli empfängt Sie übermorgen um 5 Uhr." Im Haus sprach es sich herum, dass ich zu Benjamino ginge, und alles nahm regsten Anteil. Der Zufall wollte, dass Gigli zwei Strassen von uns erntfernt wohnt, und ist er schon der Liebling aller Römer, nun - im Quartiere sind sie ganz besonders stolz auf ihn, lieben ihn und reden von ihm nur "per Benjamino". Als ich bei ihm eintraf, überraschte ich ihn in seinem Garten. Er stand in einem scheusslichen, viel zu kurzem und engen Overall und bespritzte mit gespannter Aufmerksamkeit seine Kohlbeete mit einem Riesenschlauch. Er liess sich denn auch garnicht aus der Fassung bringen, sondern meinte, ich solle ihn ruhig so knipsen, dann hätte ich wenigstens etwas Neues. Dann brachte ein junger Bursche eine Karaffe mit dunkelrotem Wein, und Gigli versäumte nicht, mich darauf aufmerksam zu machen, dass der von seinem Landgut bei Ancona sei, und ich möge ihn mit Verstand trinken. Ich tat es. Später begleitete ich den Maestro zum Hühnerstall, wo er in den schmelzendsten Giglitönen die Küken um sich lockte. Als er Holz hackte, hatte ich leise Zweifel, ob er das nicht vielleicht doch dem Fotografen zu lieb täte. Er merkte es und war entrüstet. "Fragen Sie meine Frau", sagte er, "ob ich das nicht jeden Tag mindestens eine halbe Stunde tue." Dann kam ein Telefonanruf einer Filmgesellschaft; sichtlich enttäuscht, dass er sich nun wieder fein machen müsse, verswand Gigli im Hause. Bevor er losfuhr - was ich rasch noch fotografierte, denn es war zu nett, mit welcher Leidensmiene er sich aufs Fahrrad klemmte - lud er mich ein, ihm im August auf seinem Lanagut bei Ancona zu besuchen. "Jedes Kind kennt mich dort", sagte er, "und das werde ich Ihnen zeigen, wie schön es bei mir ist und" - mit einem Blick nach der halbgeleerten Karaffe - "da habe ich dann noch einen ganz anderen Wein als den hier !"
- Reportage: Gubbio, klein dorp van Umbrie, genesteld in de bergen, [...-1945]. - 9 foto's
- Beeld 159118 : Gubbio - ein umbrisches Bergnest. 1. Hoch über der Gubbio schwebt die säulenumgärtete Terrasse der Signoria. Der Blick von ihr über die weite umbrische Landschaft ist eins der vielen Geschenke, die dies Städtchen so freigiebig macht. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 92.279 A. photo 1]
- Beeld 159119 : Gubbio - ein umbrisches Bernest. 2. Jeder Italienreisende kennt diese kleinen Strassenausschnitte und liebt sie. Diese sind es, die es einen nicht müde werden lassen, durch die kleinen Gassen zu schlendern. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 92.279 A. photo 2]
- Beeld 159120 : Gubbio - ein umbrisches Bergnest. 3. Über dem Palazzo der Marquesi Brancaleoni-Ranghiacci, einem alten Adelsgeschlecht aus Gubbio, erhebt sich der Dom. Es liegt an der Enge dieser alten Bergstadt, dass ihre Bauter wie ineinandergeschachtelt erscheinen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 92.279 A. photo 3]
- Beeld 159121 : Gubbio - ein umbrisches Bergnest. 4. Fast verblüffend wirkt der plötzliche Blick auf die hochschwebende Signoria. Ihr Unterbau ist eine architektonische Sehenswürdigkeit. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 92.279 A. photo 4]
- Beeld 159122 : Gubbio - ein umbrisches Bergnest. 5. Kleiner winkel in Gubbio, seine Stille und sein Frieden werden unterstrichen vom gleichmässigen Rauschen des Wassers im Brunnebecken. Hier holen noch heute die Bürger ihr kühles Trinkwasser. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 92.279 A. photo 5]
- Beeld 159123 : Gubbio - ein umbrisches Bergnest. 6. Auch der kleinste Weg führt in Gubbio unweigerlich über eine Treppe. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 92.279 A. photo 6]
- Beeld 159124 : Gubbio - ein umbrisches Bergnest. 7. Die Massigkeit der Signoria wird ins heiter-elegante abgebogen durch den Säulenumgang und die wunderbare Zackung der Zinnen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 92.279 A. photo 7]
- Beeld 159125 : Gubbio - ein umbrisches Bergnest. 9. Der Platz vor der Signoria - dem Palazzo dei Senatori in Gubbio. Sowohl von aussen wie von innen gleich wunderbar, ist der Palast ein Juwel mittelalterlicher Baukunst. Er beherbergt heute ein stadtgeschichtliches Museum. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 92.279 A. photo 9]
- Beeld 159126 : gubbio - ein umbrisches Bergnest. 8. Am alten Palazzo, aber auch an Bürgerhäusern in der Toscana und in Umbrien finden sich diese originellen Mauerringe. Daran band und bindet man seinen Maulesel oder das Pferd an, während man seinen Besorgungen nachgeht. Die Ringe hängen an schmiedeeisernen Haken, die in tausend Formen abgewandelt durch ihre humorvolle Art überraschen. Meist sind es Tier- oder Menschenfratzen, die nachgebildet wurden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 92.279 A. photo 8]
- Reportage: Gypsies: huwelijk en begrafenis (+ tekst), [1938-1945]. - 10 foto's
- Reportage: Halfjaarlijks Schuttersfeest van de provincie Tirol, 13/07/1944. - 10 foto's
- Reportage: Haus der Mode in Wenen, 1942. - 20 foto's
- Reportage: Haus der mode in Wenen, [1944]. - 3 foto's
- Reportage: Haydn Joseph : viering 200 jaar, 1932. - 13 foto's
- Reportage: Herdenking van de 200ste sterfdag van Prinz Eugen von Savoyen (+ tekst), 21/04/1936. - 3 foto's
- Reportage: Het Burgtheater in Wenen, [1938-1945]. - 9 foto's
- Reportage: Het feest van de Italiaanse ‘Pionierswaffe’ begint, 11/07/1943. - 9 foto's
- Reportage: Het feest van het paard in Tirol, 1938-1945. - 8 foto's
- Reportage: Het gebruik van de zeis in Oostmark, 1938-1945. - 2 foto's
- Reportage: Het Haus der Mode in Wenen zegt..., 30/03/1944. - 3 foto's
- Reportage: Het maken van kunstzinnige postzegels in de Weense staatsdrukkerij, 1942. - 11 foto's
- Beeld 171477 : 1. Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. Erich Meerwald, der "Vater" der Sonderbriefmarken, der sich auch seit vielen Jahren durch seine künstlerischen Plakate einen Namen gemacht hat, bei der Ausarbeitung eines neuen Sonderbriefmarke-Entwurfs. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92843 B. Photo N° 1.]
- Beeld 171478 : 2. Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. Der Künstler beim "Quellenstudium". Ehe er seine neue Sondermarke entwirft, erarbeitet er aus Archiven, Fachbüchern und Atlanten die notwendigen Unterlagen für die stoffliche Gestaltung. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92843 B. Photo N° 2.]
- Beeld 171479 : 11. Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. Fertig gedruckte Markenserien in der Perforiermaschine. Die kleinen Kunstwerke können nun ihren Weg in die weite Welt antreten. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92843 B. Photo N° 3.]
- Beeld 171480 : 10. Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. In der Reichsdruckerei und der Wiener Staatsdruckerei wird nach der Vorlage des Graphikers, der Stahl- oder Kupferstich von künstlerischer Hand erzeugt, der die Grundlage für den Druck der Marken bildet. Die Konturen werden, wie hier, mit dem Pantographen übertragen, der eigentliche Inhalt des Entwurfs wird freihändig gestochen. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° Photo N°]
- Beeld 171481 : 3. Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. Eine Rohskizze wird gefertigt. Sie wird jedoch meist der endgültigen Ausführung des Entwurfs zugrundegelet - ein Beweis für die hohe graphische Begabung Meerwalds. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92843 B. Photo N° 4.]
- Beeld 171482 : 8. Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. Erich Meerwald ist nicht nur der Schöpfer neuer kunstvoller Serien von Sonderbriefmarken, wozu ihm die Deutsche Reichspost immer wieder Aufträge erteilt, sondern auch selbst eifriger und erfolgreicher Sammler. Seine Belgienkollektion staht einzig da und wird auch in Fachkreisen entsprechend bewertet. In seiner Gattin, die sich hier mit ihm über einen "Zugang" freut, besitzt der Künstler eine verständnisvolle und eifrige Helferin. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92843 B. Photo N° 5.]
- Beeld 171483 : 9. Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. Seine grosse Liebe gehört den Briefmarken, eine kleine Leidenschaft zieht ihn daneben zur Mineralogie. Erich Meerwald nennt eine beachtliche Gesteinsammlung sein eigen, unter der besonders die Versteinerungen gut vertreten sind. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92843 B. Photo N° 6.]
- Beeld 171484 : Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. An bereits erschienenen Marken unterrichtet sich der Künstler über die gebräuchlichen Formate und die Drucktechnik. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92843 B. Photo N° 7.]
- Beeld 171485 : 5. Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. Ein neuer Entwurf kurz vor der endgültigen Fertigstellung. Die Vorlage wird in achtfacher Vergrösserung des Originalformats der Sonderbriefmarken an die Druckereien geliefert. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92843 B. Photo N° 8.]
- Beeld 171486 : 6. Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. Ein letzter kritischer Blick. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92843 B. Photo N° 9.]
- Beeld 171487 : 7. Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. Alle diese Sonderbriefmarken, die der Künstler in vergrösserten Format zu einer Sammlung vereinigt hat, stammen von seiner Hand. Jede ist ein kleines Kunstwerk. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92843 B. Photo N° 10.]
- Reportage: Het Mozarteum in Salzburg, 1930-1940. - 15 foto's
- Beeld 171600 : LE MOZARTEUM A SALZBURG. Salzburg devient un centre musical des plus importants. Le Mozarteum et son université de musique occupe la première place parmi les instituts de formation musicale. Chaque été, à l’époque du grand festival, l’Institut de musique pour étrangers réunit les plus grands chefs d’orchestre, solistes et compositeurs d’Europe qui donnent des cours aux futurs grands musiciens. Beaucoup de musiciens ayant une grande renommée dans leur pays et dans le monde musical deviennent ici les élèves de grands maîtres. Les cours pour étrangers réunissent cette année quelques noms célèbres. Des cours sont donnés par Clemens Krauss comme chef d’orchestre, par Edwin Fischer au piano, ainsi que Wilhelm Kempf, Walter Gieseking, et Elly Ney. Des cours de violon sont donnés par Georg Kulenkampf et Vasa Prihoda ; Gunther Ramin joue de l’orgue et dirige les chœurs. 6.- Edwin Fischer entouré d’élèves allemands et étrangers donne des indications au sujet d’une sonate de Beethoven. [Eurofot. N° 73.6.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 6.]
- Beeld 171601 : LE MOZARTEUM A SALZBOURG. 8.- Après le prélude Edwin Fischer s'entretient avec l'élève au plus grand profit des assistants. [Eurofot. N° 73.8.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 8.]
- Beeld 171602 : LE MOZARTEUM A SALZBOURG. 7.- Une pianiste est interrompue par le Professeur Edwin Fischer qui lui montre comment il convient d'interpréter ce passage. [Eurofot. N° 73.7.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 7.]
- Beeld 171603 : LE MOZARTEUM A SALZBOURG. 9.- La grande artiste Elly Ney corrige le maintien d'une élève. [Eurofot. N° 73.9.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 9.]
- Beeld 171604 : LE MOZARTEUM A SALZBOURG. 11.- Elly Ney joue et tous écoutent avec attention son interprétation de Beethoven. [Eurofot. N° 73.11.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 11.]
- Beeld 171605 : LE MOZARTEUM A SALZBOURG. 12.- César Bresgen, le plus jeune professeur de musique allemand enseigne la composition et dirige les choeurs. Il s'est fait un nom en tant que compositeur de choeur et de cantates ; il est aussi l'auteur d'un opéra qui connait le plus grand succès. [Eurofot. N° 73.12.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 12.]
- Beeld 171606 : CONCERT AU MOZARTEUM. De toutes les universités de musique européennes l’Université allemande de musique, le Mozarteum, à Salzbourg occupe le 1er rang. La tradition de l’Université veut que les élèves étudient les oeuvres du grand compositeur Mozart. Les étudiants allemands et étrangers s’efforcent de se pénétrer de la technique et de la virtuosité de leurs professeurs. Une camaraderie s’est ainsi établie entre professeurs et élèves. Dans le but de faire connaître aux élèves tous les trésors musicaux allemands et européens, l’Université de musique organise des concerts auxquels les élèves participent. 13- Un concert Bach au Mozarteum, sous la direction du Dr. Willem van Hoogstraeten. Solistes : Professeurs Georges Steiner et Christa-Richter-Steine. [Eurofot. N° 66.13.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100263 B. Photo N° 13.]
- Beeld 171607 : LE MOZARTEUM A SALZBOURG. César Bresgen et ses élèves. [Eurofot. N° 73.13.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 13.]
- Beeld 171608 : LE MOZARTEUM A SALZBOURG. 14.- Le professeur Muller professeur de violon est professeur permanent au Mozarteum de Salzbourg. [Eurofot. N° 73.14.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 14.]
- Beeld 171609 : CONCERT AU MOZARTEUM. 15- Le public écoute le concert avec la plus grande attention. [Eurofot. N° 66.15.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100.263 B. Photo N° 15.]
- Beeld 171610 : LE MOZARTEUM A SALZBOURG. 15.- Maestro Vittorino Moratti, professeur à l'université de musique de Salzbourg. [Eurofot. N° 73.15.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 15.]
- Beeld 171611 : LE MOZARTEUM A SALZBOURG. 16.- Leçon de chant à Salzbourg. [Eurofot. N° 73.16.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 16.]
- Beeld 171612 : CONCERT AU MOZARTEUM. 16- Le professeur Elly Ney joue une oeuvre de Beethoven. [Eurofot. N° 66.16.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100.263 B. Photo N° 16.]
- Beeld 171613 : LE MOZARTEUM A SALZBOURG. 17- Pavel Ludikar natif du Protectorat se fît une carrière magnifique comme baryton des plus grands Théâtres du monde ; Vienne, Turin, Dresde, la Scala de Mailand. Il est actuellement professeur de chant à Salzbourg. [Eurofot. N° 73.17.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 17.]
- Beeld 171614 : CONCERT AU MOZARTEUM. 18- Le professeur Madame Elly Ney écoute une quartette pour violon de Haydn. A l'arrière-plan quelques élèves. [Eurofot. N° 66.18.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100.263 B. Photo N° 18.]
- Reportage: Historische gebouwen van Wasserburg, 1930-1945. - 4 foto's
- Reportage: Hittegolf in Rome (Römische Hundstage), [...-1945]. - 11 foto's
- Reportage: Hoedenmakerij in Salzburg, 01/02/1944. - 3 foto's
- Reportage: Hogeschool voor dieetvoeding te Berlijn (+ tekst), 22/10/1931. - 9 foto's
- Beeld 171700 : Die Hochschule für Diät. Diätschule und Diätküche des Augusta-Hospitals, Berlin. (Siehe beiliegenden Artikel). Die abgeteilten Diätmengen werden schon in der Küche für jeden Kranken in Menagen angerichtet und im Wärmekästen, mit Namen versehen, den Kranken gebracht. Mö. Copyright by Presse-Photo G.m.b.H., Berlin SW. 68. Markgrafenstr. 87. TEXT OHNE GEWAEHR. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [PHOTO CHAMPROUX. 22 OCT 1931. BRUXELLES.]
- Beeld 171701 : Die Hochschule für Diät. Diätschule und Diätküche des Augusta-Hospitals, Berlin. (Siehe beiliegenden Artikel). Der Facharzt für Diätetik erteilt den theoretischen Unterricht. Mö. Copyright by Presse-Photo G.m.b.H., Berlin SW. 68. Markgrafenstr. 87. TEXT OHNE GEWAEHR. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [PHOTO CHAMPROUX. 22 OCT 1931. BRUXELLES.]
- Beeld 171702 : Die Hochschule für Diät. Diätenschule und Diätenküche des Augusta-Hospitals, Berlin. (Siehe beiliegenden Artikel). Mehrere Arbeitsgruppen mit vielen Hilfskräften sind nötig, um individuelle Diätetik durch ühren. Mö. Copyright by Presse-Photo G.m.b.H., Berlin SW. 68. Markgrafenstr. 87. TEXT OHNE GEWAEHR. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [PHOTO CHAMPROUX. 22 OCT 1931. BRUXELLES.]
- Beeld 171703 : Die Hochschule für Diät. Diätenschule und Diätenküche des Augusta-Hospitals, Berlin. (Siehe beiliegenden Artikel). Frühmorgens werden die Diätenforderungen besprochen und die Tagesaufgaben verteilt. Mö. Copyright by Presse-Photo G.m.b.H., Berlin SW. 68. Markgrafenstr. 87. TEXT OHNE GEWAEHR. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [PHOTO CHAMPROUX. 22 OCT 1931. BRUXELLES.]
- Beeld 171704 : Die Hochschule für Diät. Diätenschule und Diätenküche des Augusta-Hospitals, Berlin. (Siehe beiliegenden Artikel). Nun werden die auf dem Arbeitsplan übertragen Anforderungen nach Vorschrift in Angriff genommen. Mö. Copyright by Presse-Photo G.m.b.H., Berlin SW. 68. Markgrafenstr. 87. TEXT OHNE GEWAEHR. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [PHOTO CHAMPROUX. 22 OCT 1931. BRUXELLES.]
- Beeld 171705 : Die Hochschule für Diät. Diätschule und Diätküche des Augusta-Hospitals, Berlin. (Siehe beiliegenden Artikel). (?)nmittag laufen von den (?)ationen die Diätverordnun-(?) (?)and werden auf die Arbeits-(?) (?)betragen. Mö. Copyright by Presse-Photo G.m.b.H., Berlin SW. 68. Markgrafenstr. 87. TEXT OHNE GEWAEHR. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [PHOTO CHAMPROUX. 22 OCT 1931. BRUXELLES.]
- Beeld 171706 : Die Hochschule für Diät. Diätenschule und Diätenküche des Augusta-Hospitals, Berlin. (Siehe beiliegenden Artikel). Vorbereitete Gemüse werden maschinell zerkleinert. Mö. Copyright by Presse-Photo G.m.b.H., Berlin SW. 68. Markgrafenstr. 87. TEXT OHNE GEWAEHR. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [PHOTO CHAMPROUX. 22 OCT 1931. BRUXELLES.]
- Beeld 171707 : Die Hochschule für Diät. Diätschule und Diätküche des Augusta-Hospitals, Berlin. (Siehe beiliegenden Artikel). Die Einzelportionen müssen vielfach nach Gewicht verabreicht werden. Mö. Copyright by Presse-Photo G.m.b.H., Berlin SW. 68. Markgrafenstr. 87. TEXT OHNE GEWAEHR. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [PHOTO CHAMPROUX. 22 OCT 1931. BRUXELLES.]
- Beeld 171708 : Die Hochschule für Diät. Diätenschule und Diätenküche des Augusta-Hospitals, Berlin. (Siehe beiliegenden Artikel). Frischgemüse ist zu putzen. Mö. Copyright by Presse-Photo G.m.b.H., Berlin SW. 68. Markgrafenstr. 87. TEXT OHNE GEWAEHR. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [PHOTO CHAMPROUX. 22 OCT 1931. BRUXELLES.]
- Reportage: (in den Pagni di Trivoli), [...-1945]. - 10 foto's
- Beeld 159215 : 1. In den Bagni di Trivoli. Die Schwefelduschen sind ein wichtiger Faktor bei der Behandlung von Hautkrankheiten. Gewöhnlich verschwinden schon nach drei Bädern auch die hartnäckigenen unter diesen Leiden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Serie 92.725 B: photo 1] [Orbis photo]
- Beeld 159216 : 2. In den Bagni di Trivoli. Auch Trinkkuren können in den Schwefelbädern von Aque Albule durchgeführt werden. Hierbei geht es den ganzen Tag lebhaft zu. Morgens kommen die "richtigen" Kranken, um die vorgeschriebene Ration zu sich zu nehmen vor dem Frühstück noch, wie es vorgeschrieben ist. Aber dann stellen sich die eingebildeten Kranken ein und auch die Gesunden. Sie nehmen es mit, denn -"schaden kann es nicht". [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Serie 92.725 B: photo 2] [Orbis photo]
- Beeld 159217 : 3. In den Bagni di Trivoli. Es ist ein reizvoller Anblick, alle die braungebrannten Kinder im opalisierend - milchigen Wasser des Kinderbassins herumspielen zu sehen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Serie 92.725 B: photo 3] [Orbis photo]
- Beeld 159218 : 4.In den Bagni di Trivoli. Aoha - das tut gut ! Ein junger italienischer Soldat aus der benachbarten Garnison hat in einer freien Stunde schnell einmal einen Hupfer ins kühle Schwefelwasser getan. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Serie 92.725 B: photo 4] [Orbis photo]
- Beeld 159219 : 5. In den Bagni di Trivoli. Eine römische Nutti bestreicht ihr Kindchen mit der heilenden Schwefelablagerung. Dabei geht es nicht ohne Protestgeschrei ab. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Serie 92.725 B: photo 5] [Orbis photo]
- Beeld 159220 : 6. In der Bagne di Trivoli. Am "Kinderwasserfall" von Aque Albule. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Serie 92.725 B: photo 6] [Orbis photo]
- Beeld 159221 : 7. In den Bagni di Trivoli. Das ist auch keine Kranke, sondern eine der vielen Römerinnen, die es dankbar mitnehmen, wenn sie sich mit den Schwefelablagerungen auf dem Wasser der Bäden eine Massage oder Gesichtsmaske verabfolgen lassen können - eine Wohltat für die überanstrengte Haut. [Sipho] [Serie 92.725 B: photo 7] [Orbis photo]
- Beeld 159222 : 8. In den Bagni di Trivoli. Etwas misstrauisch steht diese junge Dame am Rande des Schwimmbassins. Sie ist wohl das erste Mal hier und traut sich noch nicht recht in das milchige Wasser. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Serie 92.725 B: photo 8] [Orbis photo]
- Beeld 159223 : 9. In den Bagni di Trivoli. Eine typische Ansicht der schönen römischen Campagna mit Resten der Aquädukte des Claudio. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Serie 92.725 B: photo 9] [Orbis photo]
- Beeld 159224 : 10. In den Bagni di Trivoli. Aeskulap mit Igea, seiner jungenlichen Tochter, der das Altertum als Göttin der Gesundheit huldigte. Ihr zu Ehren wurden Tempel in der Nähe der heilkräftigen Wasser errichtet, so auch durch Kaiser Agrippa bei dem Termen von Aque Albuls Marmorgruppe aus dem Vatikanischen Museum. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Serie 92.725 B: photo 10] [Orbis photo]
- Reportage: in een Italiaans experimenteel laboratorium voor veeteelt, 05/04/1944. - 2 foto's
- Reportage: Instituut voor ruimtelijke akoestiek, [1930-1945]. - 7 foto's
- Reportage: Italiaans front gedurende dag en nacht, 1944. - 7 foto's
- Beeld 162492 : Italien-Frontbei Tach und Nacht.
Die Fernkamera beobachtet eine Nattoria Feindliche Artillerie schiesst sich ein.
Um einzelne Gutshöfe entbrennen meist heftige Kämpfe, in deren Verlauf sie oft mehrmals den Besitzer wechseln. Um jeden Steinblock wird Sekämpft, schreiben die englischen Berichterstätter vom italienischen Kriegsschauplatz.
PK-Ohlenbostel A 130 186 Orbis E.M.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[11/08/1944]
- Beeld 162493 : Italien-Front bei Tach und Nacht.
Dieses Langrohrgeschütz, getarnt mi Bambusstäben, gleicht selbst einem Bambusrohr, unsichtbar für den feindlichen Aufklärer.
PK-Ohlenbostel A 130 188 Orbis E.M.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[10/08/1944]
- Beeld 162494 : Italien-Front bei Tag und Nacht.
Mündungsfeuer lässt die Nacht zum Tage werden. Feldhaubitzen auf Selbstfahrlafetten haben in den nächtlichen Kampf ein egraffe. Die alliierten Truppen verflichen jetzt den italienischen Somers, sagt der Daily Express. Das Gelände wird immer schwieriger, es sei ummöglich, die Deutschen zu überraschen.
PK-Ohlenbostel - A 130 192 Orbis E.M.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[10/08/1944]
- Beeld 162495 : Italien-Front bei Tag und Nacht.
Ist die Luft wieder rein ? Misstrauisch schaut der Funker den abziehenden "Sturen" nach, den ausser den Viermotorigen können noch Artiellerieflieger und Jagdbomber in der Luft sein.
PK-Ohlenbostel - 130 185 Orbis E.M.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
- Beeld 162496 : Italien-Front bei Tag und Nacht.
Ein Kagel, vom Licht gezeichnet. Leuchtspurgeschosse einer Batterie steigen mit glühenden Flugnahnen zum nächtlichen Himmel empor, um sich im Scheitelpunkt zu vereinigen Ihr Widerschein erleichtert dem Beobachter die schwierige Arbeit.
PK-Ohlenbostel - A 130 190 Orbis E.M.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[10/08/1944]
- Beeld 162498 : Italien-Front bei Tag und Nacht.
Feirige Finger suchen die Front. Auch nächtlichen Dunkel steht die Schlacht nischt still Leuchtkugeln erhellen das Schlachtfeld. Hier lässt der Feind hoch in der Luft Granaten Detonieren mit deran leuchtenden Sprengstücken er die deutschen Linien absucht.
PK-Ohlenbostel - A 130 189 Orbis E.M.
[Censure photographique]
- Beeld 163199 : Italien-Front bei Tag und Nacht.
Ein einzigartiges Bild : Nachthimmel über 500 m Front ... eine halbe Minute belichtet.
Die geraden Linien der Flammenschrift sind Leuchtspurbahnen der Infanteriewaffen, davon rechts aus dem gefürchteten MG 42 Die krummen Linien rähren von Phosphor- und Pulvarteilchen krepierander Granaten her.
PK-Ohlenbostel - A 130 191 Orbis E.M.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[10/08/1944]
- Reportage: Italiaanse kust wordt alsmaar harder, 05/1944. - 8 foto's
- Beeld 162484 : Italiens Küste wird immer härter.
Das ist kein lauschiger Laubengang in einem süditalienischen Garten, sondern ein gut getarnter Laufgraben zwischen den einzelnen Maschinengewehrnestern, der seit seiner Anlage schon schön dicht bewaschsen ist.
PK-Dohm A 128 216 E.M. Orbis
[Sipho]
[27/05/1944]
- Beeld 162485 : Italiens Küste wird immer härter.
Wenn aber die Tarnnetze und ein paar Zeltbahnen vor die Bunkeröffnung gehängt werden, dann ist auf kurze Entfernung, auf jeden Fall aber für Feindauge, von dieser Artilleriestellung nichts mehr zu sehen.
PK-Dohm A 128 213 E.M. Orbis
[Sipho]
[27/05/1944]
- Beeld 162486 : Italiens Küste wird immer härter.
Das Goschützführer hat sich seine B.-Stelle zwischen den Geschützen in einem Felsloch eingerichtet, von wo er auch das Vorgelände einsehen kann. Und zu seiner Linken ist der Trichter einer Sprechrohrleitung.
PK-Dohm A 128 214 E.M. Orbis.
[Sipho]
[Censure photographique 26/05/1944]
- Beeld 162487 : Italien Küste wird immer härter.
Und zu seiner Linken ist der Trichter einer Sprechrohrleitung, die zwecks direkter und störangsfreier Befehlsübermittlung direkt zu seinem Geschützbunker hinführt. Diese Sprechrohrleitung ist eine eigene Erfindung des Geschätzführers und hat sich schon bei anderen Gelegenheiten bestens bewährt.
PK-Dohm A 128 215 E.M. Orbis
[Sipho]
[Censure photographique 26/05/1944]
- Beeld 162488 : Italiens Küste wird immer härter.
Demit aber auch der Teil des Labens nicht zu kurz kommt, der den knappen Feierstunden gewidmet ist, haben sich die Kanoniere eine prunkvolle "Sommervilla" gebaut.
PK-Dohm A 128 217 E.M. Orbis
[Sipho]
[27/05/1944]
- Beeld 162489 : Italien Küste wird immer härter.
Und am steinigen Strand steht der Posten, der Inbegriff für für die Wachsamkeit der deutschen Wehrmacht, die es auch an diesem Küstenstreifen dem Feind schwer machen wird, am Land Fuss zu fassen. So wird die italienische Küste, von Tag zu Tag und von Woche zu Woche härter und abwehrbereiter.
PK-Dom A 128 219 E.M. Orbis
- Beeld 162490 : Italien Küste wird immer härter.
Mur eine ganz unscheinbare Maueröffnung im Felsgestein zeigt dem Eingeweihten, dass hier etwas besonders vorgeht. Der Zivilist mag dies Mauerloch für ein zu gross geratenes Kellerfenster halten.
[Sipho]
[Censure photographique 26/05/1944]
- Beeld 162491 : Italien Küste wird immer härter.
Es schmeckt, wie man sieht, auch garmicht schlecht. Nach ihren Gesichtern zu urteilen, sind die Kameraden mit den Kochkünsten ihres Kochs vom Dienst durchaus zufrieden.
PK-Dohm A 128 218 E.M. Orbis
[Sipho]
[Censure photographique 26/05/1944]
- Reportage: Italiaanse vissers vinden nieuwe wegen (+ tekst), 28/10/1941. - 11 foto's
- Beeld 159602 : Serie 1326/2 Italiens Fischer finden neue Wege. Immer ist das ganze Dorf dabei, um beim Bergen des Netzes zu helfen. * Wie in keinem anderen Land sind in Italien Glück und Wohlstand des ganzen Volkes, in Krieg und Frieden, eng mit seiner geographischen Lage verknüpft. 4500 km Küste bei einem Gesamtflächeninhalt von rund 310 000 km müssen Blick und Lebenswillen der gesamten Bevölkerung automatisch auf das Meer ausrichten. Aber sind auch Meer und Küste (in Verbindung mit den durch sie bedingten klimatischen Verhältnissen) geeignet, Italien zu einem der glücklichstens Länder zu stempeln, so müssen sich gerade hier die Nachteile des Krieges in gesteigertem Masse auswirken : Italien leidet unter dem Kriege mehr als eine andere Nation. Eine ganze Nation sah sich plötzlich gezwungen (ganz abgesehen von den Schwierigkeiten seiner Besitzungen in Afrika) seine gesamte Verteidigungskraft auf eine umfangreiche Küste auszurichten, ein ganzes Volk, das bisher vom Meere lebte, muss heute auf den Segen des Meeres verzichten ! Bewundernswert, wie der Lebenswille dieses ewig jungen Volkes nun sofort neue Wege fand, um mit den neuartigen Verhältnissen fertig zu werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Série 1724 B : photo 1]
- Beeld 159603 : Serie 1326/4 Italiens Fischer finden neue Wege. Und das ist die ganze deprimierende Ausbeute für einen Tag. * Wie in keinem anderen Land sind in Italien Glück und Wohlstand des ganzen Volkes, in Krieg und Frieden, eng mit seiner geographischen Lage verknüpft. 4500 km Küste bei einem Gesamtflächeninhalt von rund 310 000 km müssen Blick und Lebenswillen der gesamten Bevölkerung automatisch auf das Meer ausrichten. Aber sind auch Meer und Küste (in Verbindung mit den durch sie bedingten klimatischen Verhältnissen) geeignet, Italien zu einem der glücklichsten Länder zu stempeln, so müssen sich gerade hier die Nachteile des Krieges in gesteigertem Masse auswirken : Italien leidet unter dem Kriege mehr als eine andere Nation. Eine ganze Nation sah sich plötzlich gezwungen (ganz abgesehen von den Schwierigkeiten seiner Besitzungen in Afrika) seine gesamte Verteidigungskraft auf eine umfangreiche Küste auszurichten, ein ganzes Volk, das bisher vom Meere lebte, muss heute auf den Segen des Meeres verzichten ! Bewundernswert, wie der Lebenswille dieses ewig jungen Volkes nun sofort neue Wege fand, um mit den neuartigen Verhältnissen fertig zu werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1724 B : photo 2]
- Beeld 159604 : Serie 1326/5 Italiens Fischer finden neue Wege. Was auf dem Markte erscheint, ist daher auch nur erbärmliches Kleinzeug : Muscheln, Polypen und kleinste Fische, alles muss heute zur Ernährung herhalten. * Wie in keinem anderen Land sind in Italien Glück und Wohlstand des ganzen Volkes, in Krieg und Frieden, eng mit seiner geographischen Lage verknüpft. 4500 km Küste bei einem Gesamtflächeninhalt von rund 310 000 km müssen Blick und Lebenswillen der gesamten Bevölkerung automatisch auf das Meer ausrichten. Aber sind auch Meer und Küste (in Verbindung mit den durch sie bedingten klimatischen Verhältnissen) geeignet, Italien zu einem der glücklichsten Länder zu stempeln, so müssen sich gerade hier die Nachteile des Krieges in gesteigertem Masse auswirken : Italien leidet unter dem Kriege mehr als eine andere Nation. Eine ganze Nation sah sich plötzlich gezwungen (ganz abgesehen von den Schwierigkeiten seiner Besitzungen in Afrika) seine gesamte Verteidigungskraft auf eine umfangreiche Küste auszurichten, ein ganzes Volk, das bisher vom Meere lebte, muss heute auf den Segen des Meeres verzichten ! Bewundernswert, wie der Lebenswille dieses ewig jungen Volkes nun sofort neue Wege fand, um mit den neuartigen Verhältnissen fertig zu werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1724 B : photo 3]
- Beeld 159605 : Serie 1326/11 Italiens Fischer finden neue Wege. Frauen beim Sortieren der fertiggeschiffenen Stücke. * Wie in keinem anderen Land sind in Italien Glück und Wohlstand des ganzen Volkes, in Krieg und Frieden, eng mit seiner geographischen Lage verknüpft. 4500 km Küste bei einem Gesamtflächeninhalt von rund 310 000 km müssen Blick und Lebenswillen der gesamten Bevölkerung automatisch auf das Meer ausrichten. Aber sind auch Meer und Küste (in Verbindung mit den durch sie bedingten klimatischen Verhältnissen) geeignet, Italien zu einem der glücklichsten Länder zu stempeln, so müssen sich gerade hier die Nachteile des Krieges in gesteigertem Masse auswirken : Italien leidet unter dem Kriege mehr als eine andere Nation. Eine ganze Nation sah sich plötzlich gezwungen (ganz abgesehen von den Schwierigkeiten seiner Besitzungen in Afrika) seine gesamte Verteidigungskraft auf eine umfangreiche Küste auszurichten, ein ganzes Volk, das bisher vom Meere lebte, muss heute auf den Segen des Meeres verzichten ! Bewundernswert, wie der Lebenswille dieses ewig jungen Volkes nun sofort neue Wege fand, um mit den neuartigen Verhältnissen fertig zu werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1724 B : photo 4]
- Beeld 159606 : Serie 1326/14 Italiens Fischer finden neue Wege. Die Nadelarbeiten der italienischen Fischerfrauen, besonders aus der Gegend von Neapel und Sorrent, sind seit jeher in der ganzen Welt geschätzt. Früher in den langen Wartezeiten des Fischfangs in künstlerisch vollendeter Form entstanden - dienen sie heute in erhöhtem Masse dazu, ganze Familien, ja, in Gemeinschaftsarbeit oft ganze Dörfer zu ernähren. * Wie in keinem anderen Land sind in Italien Glück und Wohlstand des ganzen Volkes, in Krieg und Frieden, eng mit seiner geographischen Lage verknüpft. 4500 km Küste bei einem Gesamtflächeninhalt von rund 310 000 km müssen Blick und Lebenswillen der gesamten Bevölkerung automatisch auf das Meer ausrichten. Aber sind auch Meer und Küste (in Verbindung mit den durch sie bedingten klimatischen Verhältnissen) geeignet, Italien zu einem der glücklichsten Länder zu stempeln, so müssen sich gerade hier die Nachteile des Krieges in gesteigertem Masse auswirken : Italien leidet unter dem Kriege mehr als eine andere Nation. Eine ganze Nation sah sich plötzlich gezwungen (ganz abgesehen von den Schwierigkeiten seiner Besitzungen in Afrika) seine gesamte Verteidigungskraft auf eine umfangreiche Küste auszurichten, ein ganzes Volk, das bisher vom Meere lebte, muss heute auf den Segen des Meeres verzichten ! Bewundernswert, wie der Lebenswille dieses ewig jungen Volkes nun sofort neue Wege fand, um mit den neuartigen Verhältnissen fertig zu werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1724 B : photo 5]
- Beeld 159607 : Serie 1326/14a Italiens Fischer finden neue Wege. Die Nadelarbeiten der italienischen Fischerfrauen, besonders aus der Gegend von Neapel und Sorrent, sind seit jeher in der ganzen Welt geschätzt. Früher in den langen Wartezeiten des Fischfangs in künstlerisch vollendeter Form entstanden - dienen sie heute in erhöhtem Masse dazu, ganze Familien, ja, in Gemeinschaftsarbeit oft ganze Dörfer zu ernähren. * Wie in keinem anderen Land sind in Italien Glück und Wohlstand des ganzen Volkes, in Krieg und Frieden, eng mit seiner geographischen Lage verknüpft. 4500 km Küste bei einem Gesamtflächeninhalt von rund 310 000 km müssen Blick und Lebenswillen der gesamten Bevölkerung automatisch auf das Meer ausrichten. Aber sind auch Meer und Küste (in Verbindung mit den durch sie bedingten klimatischen Verhältnissen) geeignet, Italien zu einem der glücklichsten Länder zu stempeln, so müssen sich gerade hier die Nachteile des Krieges in gesteigertem Masse auswirken : Italien leidet unter dem Kriege mehr als eine andere Nation. Eine ganze Nation sah sich plötzlich gezwungen (ganz abgesehen von den Schwierigkeiten seiner Besitzungen in Afrika) seine gesamte Verteidigungskraft auf eine umfangreiche Küste auszurichten, ein ganzes Volk, das bisher vom Meere lebte, muss heute auf den Segen des Meeres verzichten ! Bewundernswert, wie der Lebenswille dieses ewig jungen Volkes nun sofort neue Wege fand, um mit den neuartigen Verhältnissen fertig zu werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1724 B : photo 6]
- Beeld 159608 : Serie 1326/14b Italiens Fischer finden neue Wege. Die Nadelarbeiten der italienischen Fischerfrauen, besonders aus der Gegend von Neapel und Sorrent, sind seit jeher in der ganzen Welt geschätzt. Früher in den langen Wartezeiten des Fischfangs in künstlerisch vollendeter Form entstanden - dienen sie heute in erhöhtem Masse dazu, ganze Familien, ja, in Gemeinschaftsarbeit oft ganze Dörfer zu ernähren. * Wie in keinem anderen Land sind in Italien Glück und Wohlstand des ganzen Volkes, in Krieg und Frieden, eng mit seiner geographischen Lage verknüpft. 4500 km Küste bei einem Gesamtflächeninhalt von rund 310 000 km müssen Blick und Lebenswillen der gesamten Bevölkerung automatisch auf das Meer ausrichten. Aber sind auch Meer und Küste (in Verbindung mit den durch sie bedingten klimatischen Verhältnissen) geeignet, Italien zu einem der glücklichsten Länder zu stempeln, so müssen sich gerade hier die Nachteile des Krieges in gesteigertem Masse auswirken : Italien leidet unter dem Kriege mehr als eine andere Nation. Eine ganze Nation sah sich plötzlich gezwungen (ganz abgesehen von den Schwierigkeiten seiner Besitzungen in Afrika) seine gesamte Verteidigungskraft auf eine umfangreiche Küste auszurichten, ein ganzes Volk, das bisher vom Meere lebte, muss heute auf den Segen des Meeres verzichten ! Bewundernswert, wie der Lebenswille dieses ewig jungen Volkes nun sofort neue Wege fand, um mit den neuartigen Verhältnissen fertig zu werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1724 B : photo 7]
- Beeld 159609 : Serie 1326/14f Italiens Fischer finden neue Wege. Die Nadelarbeiten der italienischen Fischerfrauen, besonders aus der Gegend von Neapel und Sorrent, sind seit jeher in der ganzen Welt geschätzt. Früher in den langen Wartezeiten des Fischfangs in künstlerisch vollendeter Form entstanden - dienen sie heute in erhöhtem Masse dazu, ganze Familien, ja, in Gemeinschaftsarbeit oft ganze Dörfer zu ernähren.* Wie in keinem anderen Land sind in Italien Glück und Wohlstand des ganzen Volkes, in Krieg und Frieden, eng mit seiner geographischen Lage verknüpft. 4500 km Küste bei einem Gesamtflächeninhalt von rund 310 000 km müssen Blick und Lebenswillen der gesamten Bevölkerung automatisch auf das Meer ausrichten. Aber sind auch Meer und Küste (in Verbindung mit den durch sie bedingten klimatischen Verhältnissen) geeignet, Italien zu einem der glücklichsten Länder zu stempeln, so müssen sich gerade hier die Nachteile des Krieges in gesteigertem Masse auswirken : Italien leidet unter dem Kriege mehr als eine andere Nation. Eine ganze Nation sah sich plötzlich gezwungen (ganz abgesehen von den Schwierigkeiten seiner Besitzungen in Afrika) seine gesamte Verteidigungskraft auf eine umfangreiche Küste auszurichten, ein ganzes Volk, das bisher vom Meere lebte, muss heute auf den Segen des Meeres verzichten ! Bewundernswert, wie der Lebenswille dieses ewig jungen Volkes nun sofort neue Wege fand, um mit den neuartigen Verhältnissen fertig zu werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1724 B : photo 8]
- Beeld 159610 : Serie 1326/14g Italiens Fischer finden neue Wege. Die Nadelarbeiten der italienischen Fischerfrauen, besonders aus der Gegend von Neapel und Sorrent, sind seit jeher in der ganzen Welt geschätzt. Früher in den langen Wartezeiten des Fischfangs in künstlerisch vollendeter Form entstanden - dienen sie heute in erhöhtem Masse dazu, ganze Familien, ja, in Gemeinschaftsarbeit oft ganze Dörfer zu ernähren. * Wie in keinem anderen Land sind in Italien Glück und Wohlstand des ganzen Volkes, in Krieg und Frieden, eng mit seiner geographischen Lage verknüpft. 4500 km Küste bei einem Gesamtflächeninhalt von rund 310 000 km müssen Blick und Lebenswillen der gesamten Bevölkerung automatisch auf das Meer ausrichten. Aber sind auch Meer und Küste (in Verbindung mit den durch sie bedingten klimatischen Verhältnissen) geeignet, Italien zu einem der glücklichsten Länder zu stempeln, so müssen sich gerade hier die Nachteile des Krieges in gesteigertem Masse auswirken : Italien leidet unter dem Kriege mehr als eine andere Nation. Eine ganze Nation sah sich plötzlich gezwungen (ganz abgesehen von den Schwierigkeiten seiner Besitzungen in Afrika) seine gesamte Verteidigungskraft auf eine umfangreiche Küste auszurichten, ein ganzes Volk, das bisher vom Meere lebte, muss heute auf den Segen des Meeres verzichten! Bewundernswert, wie der Lebenswille dieses ewig jungen Volkes nun sofort neue Wege fand, um mit den neuartigen Verhältnissen fertig zu werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Série 1724 B : photo 9]
- Beeld 159611 : Pêcheur du gouffre de Naples qui reprise son filet. [Bruni Foto Agenzia]
- Beeld 159612 : Filets au soleil devant la mer de Siracusa. [Actualit] [Bruni Foto Agenzia]
- Reportage: Jacht op de Zwaardvis in de Middellandse Zee, 26/03/1942. - 5 foto's
- Beeld 159597 : Schwertfischjagd im Mittelmeer. (Bild 1) Im blauen Wasser des Mittelmeers, besonders in der Nähe Siziliens, findet man häuftig kleine Fischerboote mit ungewöhnlich hohen Masten. Es sind Fischerboote, in denen die Sizilianer mit der Harpune auf Schwertfischfang ausgehen, denn das Fleisch junger Schwertfische wird sehr geschätzt. Um die meist dicht unter dem Wasserspiegel schwimmenden Schwertfische schon von weitem auszumachen, steigt ein Besatzungsmitglied auf den bis zu 20 Meter hohen Mast und gibt von dort Anweisungen, in welcher Richtung er einen Fisch gesichtet hat. Aufnahme: Transosean (26/03/1942) Nr. S 2840 * Jagd auf den Schwertfisch. Gute Augen muss der Signalgast haben. Er sitzt auf der Mastspitze des Hauptbootes und muss vollkommeh schwindelfrei sein. Seine Aufgabe ist es beim Herannahen eines Schwertfisches seinen Leuten seine Beobachtungen zu melden und seine Anweisungen dem Harpunier zu geben. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série N° 1686 A Photo N° 3]
- Beeld 159598 : Schwertfischjagd im Mittelmeer (Bild 2) In Booten, oft nicht grösser als ein Ruderboot, gehen die Männer Siziliens auf Schwertfischjagd. Hier hat der Ausguck einen Fisch entdeckt. Vorsichtig schiebt sich das Boot in seine Nähe und wurfbereit steht der Harpunier an der Spitze des Bootes. Aufnahme: Transocean (26/03/1942) Nr, S 2841 [Sipho] * Jagd auf den Schwertfisch. Der Harpunier sticht auf Anweisung des Bootsführers auf den Schwertfisch, den dieser gesichtet hat, zu. FZ [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série N° 1686 A Photo N° 2]
- Beeld 159599 : Jagd auf den Schwertfisch. Schwertfischjagd an der Küste Siziliens. FZ [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1686 A : photo 1]
- Beeld 159600 : Jagd auf den Schwertfisch. Ein Schwertfisch kann bis zu 4 Meter lang und 300 Kilogramm schwer werden. Hier wird ein kapitaler Bursche vom Jagdboot auf was das Hauptschiff gezogen. FZ [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1686 A : photo 4]
- Beeld 159601 : Jagd auf den Schwertfisch. An Bord des Hauptschiffes wird gleich mit den Schlachten der Beute begonnen. * Schwertfischjagd im Mittelmeer. Die Harpune hat ihr Ziel gefunden. Freudig wird die Beute an Bord geholt. Ausgewachsene Schwertfische werden bis zu 5 Meter lang und bis zu 400 kg schwer. Sie nähren sich hauptsächlich von kleinen Fischen, greifen aber auch Thunfisch, schwimmende Menschen und Walfische an, denen sie ihr Schwert in de Leib stossen. Aufnahme: Transocean (26.3.1942) Nr. S 2842 [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1686 A : photo 5] [Censure photographique]
- Reportage: Kent u reeds het moderne Rome, 1942. - 12 foto's
- Beeld 159993 : Kennen Sie schon Roma moderna? 11. Wie der Kiel eines Ozeandampfers stösst diese Hausecke an der Ponte Milvio gegen den Tiber vor. Unterstützt wird die kühne Wirkung des Baues durch die sehr geschickt abgesetzten Balkonstreifen. [Sipho] [Série 92.218 B photo 11] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [A restituer après publication] [Série N° 244 Photo N° 11]
- Beeld 159994 : 1473/10 Kennen sie schon Roma moderna ? Wohnhaus in einer der neuen römischen Vorstädte. Atlantic/Weller [Sipho] [Série 92.218 A : photo 10] [Série 244 : Photo 10] [Frei gegeben durch Zensur] [Censure photographique]
- Beeld 159995 : 1473/9 Kennen Sie schon Roma moderna? 9. Solche Mietshäuser kann man im Quartier um die Plazza Bologna, d.h. in der Nähe des neuen Universitätsviertels, häufig finden. Und immer wieder muss man feststellen, dass diese Bauart gut unter den heiteren römischen Himmel passt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.218 A : photo 9] [Série 244 : Photo 9] [Restituer après publication]
- Beeld 159996 : 1473/8 Kennen sie schon Roma moderna? Hinterfront eines modernen römischen Wohnblocks. Die Wohnungen sind hier sehr preiswert. Von den oberen Stockwerken hat man die herrlichste Aussicht über Rom und die weite Campagne bis zum Gebirge. Atlantic/Weller [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.218 A : photo 8] [Restituer après publication] [Série 244 : Photo 8] [Censure photographique]
- Beeld 159997 : 1473/7 Kennen sie schon Roma moderna? Eine der typischen neuen Wohn- und Geschäftsstrassen an der Peripherie Roms. Obwohl es billige Wohnblocks sind, sind die Wohnungen mit verhältnismässig viel Luxus ausgestattet und tragen vor allem dem Lufthunger des Römers Rechnung. Atlantic/Weller [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.218 A : photo 7] [Série 244 : Photo 7] [Restituer après publication] [Censure photographique]
- Beeld 159998 : Kennen sie schon Roma moderna? 6. Neues Häuserviertel hinter der Via Nomenta, in der das Palais des Duce steht. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.218 A : photo 6] [Restituer après publication]
- Beeld 159999 : 1473/6 Kennen Sie schon Roma moderna? 2. Auf den Dächern der modernen römischen Stadtrandwohnblocks feiert die Liebe des Römers zu Luft, Sonne und Blumen wahre Orgien. Die Baumeister kennen diese Leidenschaft und bauen oft auf Kosten des Gesamteindrucks so viel Terrassen und Balkons wie nur möglich an und auf die Mietspaläste, denn je mehr Balkons und Terrassen, desto begeisterter stürzt sich das Publikum auf die Wohnungen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.218 A : photo2] [Restituer après publication] [Censure photographique] [Série 244 : Photo 6]
- Beeld 160000 : 1473/5 Kennen Sie schon Roma moderna? 5. Blick von Celio auf ein neues Wohnviertel Roms. Es spricht für diese neuen Whonviertel, dass ihr Anblick über die Mauer so eines alten, mit Geschichte und Tradition geladenen Parkes nicht störend wirkt. Atlantic/Weller [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.218 A : photo 5] [Restituer après publication] [Censure photographique]
- Beeld 160001 : 1473/4 Kennen Sie schon Roma moderna? Blick auf eines der typischen, sehr eleganten Wohnhäuser am Stadtrande Roms (Im Quartier Pairoli auf den Höhen des Tiber mit dem Blick auf die Ebene). In diesen Häusern werden die Wohnungen nicht vermietet, sondern nach römischen System gekauft. Atlantic/Weller [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.218 A : photo 4]
[Censure photographique]
- Beeld 160002 : 1473/3 Kennen Sie schon Roma moderna? 3. Ein wenig südamerikanisch muten Häuser wie diese an - aber sie passen in das römische Klima und sind ausserdem mit allen modernen Bequemlichkeiten versehen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.218 A : photo 3] [A restituer après publication]
- Beeld 160003 : 1473/1 Kennen Sie schon Roma moderna? Eines der Wohnhäuser, wie sie allerorts an der Peripherie Roms aus dem Boden schiessen. Man kann zu dem Baustil stehen wie man will, unter dem grellen Himmel Roms wirkt es keineswegs störend. Atlantic/Weller [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 244 : photo 1] [Censure photographique]
- Beeld 160004 : 1473/6 Kennen Sie schon Roma moderna? Neues Häuserviertel hinter der Via Nomentana, in der das Palais des Duce steht. Atlantic/Weller [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 244 : photo 6] [Censure photographique]
- Reportage: keramiek in Italië, [...-1945]. - 1 foto
- Reportage: Klassieke Italiaanse tuinen, [...-1945]. - 5 foto's
- Reportage: Klederdracht uit Oostmarken, 20/10/1940. - 2 foto's
- Reportage: Kleine Hoeden die nieuwste Hoed uit Wenen!, [1940-1944]. - 6 foto's
- Reportage: Kleine Operaballerinen von Tiberufer, 26/05/1943. - 13 foto's
- Reportage: Kleine Weense zangers, 01/05/1944. - 6 foto's
- Reportage: Koloniaal leger – Zapté, [1922-1945]. - 20 foto's
- Beeld 160239 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Braune Soldaten lernen rechnen, denn die italienische Kolonialregierung sorgt für eine gute Allgemeinbildung ihrer eingeborenen Truppen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 1]
- Beeld 160240 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Zaptié - Truppen beim Ritt durch die Case.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 2]
- Beeld 160241 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
....... und hier dasselbe Trompeterkorps der Zaptié von räckwärts.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 3]
- Beeld 160242 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Löhnungsappell bei den Zaptié. Ob in Europa oder Afrika - dieser Appell ist überall gleich beliebt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 4]
- Beeld 160243 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Unser Mitarbeiter schreigt zu diesem Bild : "Einmal hatte ich Gelegenheit, an einer militärischen Veranstaltung teilzunehmen. Neben den Kraftwagen sprengten in langer Reihe eingeborene Soldaten auf feurigen Araberpferden einher. Es war ein selten schöner Anblick."
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 5]
- Beeld 160244 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Kopfstand auf dem Pferde im Galopp - die schwierigste und gefärlichste Figur bei der Phantasie. Beim Verlangsamen des Tempos ist ein Absturz sehr leicht möglich, der Sehr oft tëtlich verläuft, weil der Reiter beim Sturz das R¨ckgrat bricht.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 6]
- Beeld 160245 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Das Trompeterkorps der Zaptié in Galauniform, die Köpfe mit schneeweissen Tüchern dicht verhüllt, über den Schultern den prächtigen roten Umhang, - ein Bild, wie es sich farbenprächtiger und reicher kein Filmregisseur wünschen könnte.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 7]
- Beeld 160246 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Schauverführungen der Zaptié, bei denen ihre Freude an Pferd und Flinte zum Ausdruck kommt. Sie sind die erste Waffe der italienischen Kolonalarmee.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 8]
- Beeld 160247 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
In rasendem Galopp fegen sie bei ihren Phantasien über die Steppe, einzeln, zu Paaren und Gruppen und feuern unter dauerndem Schwenken der Gewehre fortgesetzt in die Luft.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 9]
- Beeld 160248 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Zum Reiten geboren. Araber im Baracan, dem weissen, wollenen Umhang vor Beginn der Phantasie, die für sie der höchste Inbegriff irdischen Glückes ist.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 10]
- Beeld 160249 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Braune Soldaten auf der Schulbank. Hier lernen die Zaptié neben Italienisch Lesen, Schreiben und Rechnen. Sie sind sehr lern-und wissbegierigm denn drei Dingen im Leben haben sie sich verschrieben, dem Buch, dem Gewehr und dem Pferd.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 11]
- Beeld 160250 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner kolonialarmee.
Die Zaptié stellen auch die Leibwache des Generalgouverneurs. Den Kopf mit weissen Tüchern verhüllt, über den Schultern den prächtigen roten Umhang, der ihnen ein Phantastisches Aussehen gibt, stehen sie bei festlichen Anlässen am Aufgang zu seinem Palais.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 12]
- Beeld 160251 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
In weniger als fünf Minuten liegen die arabischen Soldaten auf ihren selbstbereitetem Lager.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 13]
- Beeld 160252 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Nach der Übund werden die Pferde auf dem Kasernenhof getränkt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 14]
- Beeld 160253 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Ein kurzer Trompetenstoss, und schon jagen die Rosse der Zaptié in einer Wolke von Staub und Pulverdampf über die Steppe - die Phantasie beginnt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 15]
- Beeld 160254 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Wachposten vor dem Palais des Generalgouverneurs, den die Elitetruppe der Zaptié stellt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 16]
- Beeld 160255 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Mitten im vollen Galop bleiben die Pferde wie auf Kommando stehen und gehen zur Erde, der Zaptié springt ab........................
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 17]
- Beeld 160256 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
... nimmt hinter dem Pferdeleib Deckung und feuert, den Gewehrlauf auf den Hals des Pferdes gestützt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 18]
- Beeld 160257 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Kopfstand auf dem Pferde im Galopp - die schwierigste und gefährlichste Figur bei der Phantasie. Beim Verlangsamen des Tempos ist ein Absturz sehr leicht möglich, der sehr oft tötlich verläuft, weil der Reiter beim Sturz das Rückgrat bricht.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 19]
- Beeld 160258 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Mit schmetterndem Trompetenklang beginnt morgens der Ausritt zur Übung aus der Zaptiéschule.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 20]
- Reportage: Krijgshuwelijk in het kasteel Mirabell in Salzburg, 01/05/1940. - 5 foto's
- Reportage: Krijgstechnieken en -ontwikkeling van het jaar 100, 1930-1945. - 4 foto's
- Reportage: Kunstenaars wiens woning werd vernietigd tijdens bombardementen, 21/03/1944. - 3 foto's
- Reportage: Kunstschool voor kinderen in Wenen, 16/04/1944. - 10 foto's
- Reportage: Kunstwerkjes uit Salzburg, [1930-1945]. - 9 foto's
- Reportage La jolie Bruxelloise, 1940-1945. - 15 foto's
- Reportage: Lager onderwijs voor jongens en meisjes in Burgenland, 04/01/1932. - 3 foto's
- Reportage: Landbouwschool in Tirol, 25/05/1944. - 12 foto's
- Reportage: l’aria di Roma, 25/01/1943. - 8 foto's
- Beeld 159940 : L'Aria di Roma. 3. Die in aller Welt bekannten Kolossalstatuen des Kastor und Pollux, der Dioskuren. Sie stammen aus spätkaiserlicher Zeit und haben öfter den Platz gewechselt. Bei der Neugestaltung des Kapitols unter Michelangelos fanden sie jedoch endgültige Aufstellung an den Flanken der berühmten Kapitoltreppe. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.452 A : photo 3]
- Beeld 159941 : L'Aria di Roma. 5. Wie gewaltig die Säulen der vierfachen Arkaden sind, die den Petersplatz säumen, erkennt man aus dem Vergleich mit der Körpergrösse der Römer, die sich in der Sonne aufwärmen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.452 B : photo 5]
- Beeld 159942 : L'Aria di Roma. 6. In dem grell weiss schimmernden Marmor stechen die mächtigen Bildwerke des Forum Mussolini in die blaue Luft. Da die Anlage dem Sport dient, sind zahllose nackte Jünglingsfiguren Symbole für die verschiedenen Sportarten. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.452 B : photo 6]
- Beeld 159943 : L'Aria di Roma. 8. Wie kleine Käfer, die eine geometrische Zeichnung laufen, sehen die Menschen aus, die man von der oberen Terrasse des Bernini, die Michelangelos S. Peter Kuppe vorgebaut ist, auf den gewaltigen Platz des Vatikans. [Sipho] [Frei gegegben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.452 B : photo 8]
- Beeld 159944 : L'Aria di Roma. 11. Wunderbar ist der Blick von den Hängen des Palatin über die alten Tempelreste hinweg, nach den Ruinen des gewaltigen Kolosseums. Er muss wirklich der damaligen Zeit wie ein Weltwunder erschienen sein, - ein Bau, der nur vier Jahre dauerte, in dem 60- bis 80 000 Menschen Platz fanden und der Jahrtausende überdauert hat. [Sipho] [Frei gegegben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.452 B : photo 11]
- Beeld 159945 : L'Aria di Roma. 12. Der Baugeist des Barock brachte es fertig, die Fontana Trevi so gewaltig zu gestalten, dass der Platz, den dieser einzigartige Brunnen schmückt, zur engen Strasse zusammengepresst worden ist. Der Eindruck diesser köstlichen Architektonischen Anlage ist umso stärker, als man vor ihr völlig unerwartet nach dem Durchsckreiten versteckter kleiner Gassen steht. [Sipho] [Frei gegegben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.452 B : photo 12]
- Beeld 159946 : L'Aria di Roma. 13. Vogelschaublick auf die Fontana Trevi, jene prachtvolle Brunnenanlage, die der Baugeist des Barock so gewaltig schuf, dass der Platz, auf dem sie steht, räumlich aufs engste zusammengepresst wurde. Man gelangt zu ihr durch verschiegene Gassen, so dass der plötzliche Eindruck ihrer Mächtigkeit um so mächtiger ist. [Sipho] [Frei gegegben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.452 B : photo13]
- Beeld 159947 : L'Aria di Roma. 14. Nahe der Parta Pinciana, jenem allen Fremden bekannten Turm wo die eleganteste Strasse Roms, die Via Veneto, in kühnem Schwung an der Villa Borghese mündet, steht dieser Kopf in der Mauer. Er wird von den Römern, "der Belisar" genannt. Wie gross mag erst die Gesamtstatue gesesen sein, die nach wissenschaftlichen Forschungen die Reste eines Bildwerks Alexander des Grossen darstellen soll. Dieser Kopf allein hat schon Übermannshöhe. [Sipho] [Frei gegegben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.452 B : photo 14]
- Reportage: lente in de Alpen, 12/07/1944. - 3 foto's
- Reportage: Loden jassen uit Steiermark, 1930-1945. - 10 foto's
- Reportage: Lucas von Hildebrandt: meester van de Duitse Barok, 15/01/1944. - 5 foto's
- Reportage: Mandvlechten in Steiermark, 28/11/1944. - 9 foto's
- Reportage: Mannen en vrouwen werken voor de overwinning, 1940-1945. - 8 foto's
- Reportage: Marmer uit Salzburg, 30/06/1944. - 8 foto's
- Reportage: 'Massaie rurali', 1941. - 8 foto's
- Reportage: Melkproductie in Oostenrijk, 1930-1945. - 9 foto's
- Reportage: Merkwaardigheden in Graz, een keizerlijke burcht, 08/09/1941. - 3 foto's
- Reportage: Met de Italianen in Ethiopië, 1935-1936. - 6 foto's
- Beeld 161623 : Avec les Italiens en Ethiopie. La photo montre des soumis, habillés et équipés, pendant la revue passée par le Raz Guska avant le départ pour le front de Makallé. [Actualit]
- Beeld 161624 : Avec les Italiens en Ethiopie. La photo montre le Raz Guska, à gauche, passant en revue les troupes, parmi lesquelles se trouvent des soumis, avant de partir pour le front de Makallé. [Actualit]
- Beeld 161625 : Avec les Italiens en Ethiopie. La photo montre un nouveau soumis, entouré des médecins, qui reçoit quelques soins étant malade. (Sud d'Adigrat) [Actualit]
- Beeld 161626 : Avec les Italiens en Ethiopie. La photo montre le Ras Guska, à cheval, passant en revue les troupes parmi lesquelles les nouveaux soumis, avant de partir pour Makallé. [Actualit]
- Beeld 161627 : Avec les Italiens en Ethiopie (sud d'Adigrat). La photo montre un enfant qui vient d'être opéré par un Major médecin Italien. [Actualit]
- Beeld 161628 : (Au Sud d'Adigrat) Avec les Italiens en Ethiopie. La photo montre un enfant qui vient pour être soigné par les médecins italiens. [Actualit]
- Reportage: Middeleeuwse burcht, 1942. - 2 foto's
- Reportage: Militair historische zeldzaamheden in het Heeresmuseum in Wenen, 1930-1945. - 5 foto's
- Reportage: Moderne afvalverwerking te Wenen, 1930-1945. - 7 foto's
- Reportage: Modeschool van het Deutschen Arbeitsfront in Wenen, 1940-1944. - 12 foto's
- Reportage: Modeshow in het Haus der mode in Wenen, 29/10/1943. - 8 foto's
- Reportage: Moterotondo plaats van de vrede, [...-1945]. - 14 foto's
- Reportage: Na de Italiaanse overwinning in Makalle, 1935-1936. - 3 foto's
- Reportage: Nationaal arsenaal in Gaz, 1938-1945. - 6 foto's
- Reportage: Nationaalpolitieke opvoeding (NSDAP), 1936. - 9 foto's
- Reportage: Nieuw radiostation in Oostenrijk, 1930-1938. - 6 foto's
- Reportage: Onder de bescherming van ' Twee Kruisen' (Im zeichen des ‘Due Croci’), [...-1945]. - 11 foto's
- Beeld 159613 : Im Zeichen der "Due Croci". Das schwierige Problem des Speisentransportes ist im Forlanini - Institut derart gelöst, dass von der Centralküche aus eine unterirdische Schwebebahn gebaut wurde, an der elektrisch angetriebene Karren auf einer Strecke von 3,5 km in Erdstollen dahinrollen. Diese Bahn hat Anschluss an die senkrechten Aufzüge; ausserdem können die Karren zur Erde niedergelassen und auf eigenen Rädern fortbewegt werden. Ein Küchenhelfer belädt gerade einen Karren der Schwebebahn. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Série 92.047 B : photo 2]
- Beeld 159614 : Im Zeichen der "Due Croci". Der Hundeauslauf über den Dächern Roms. Die für Versuchszwecke in dem Institut gehaltenen Hunde sind in dem höchstgelegenen Raum des Hauptgebäudes untergebracht und haben ihren Auslauf auf dem Dach, da man sie nicht täglich hinabbefördern kann. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.047 B : photo 3] [A restituer après publication]
- Beeld 159615 : Im Zeichen der "Due Croci". Die Leitung des Forlanini-Instituts liegt in den Händen von Professor Dr. Morelli, Leibarzt des Königs und des Duce, der seine Tätigkeit ehrenamtlich ausübt. Hier probiert Professor Morelli (links) einen neuen Schüttelapparat aus. Er ist der Schöpfer all der modernen technischen Einrichtungen des Instituts, in dem die elektrische Energie die Menschenkraft auch in unbedeutendsten Handgriffen ersetzt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.047 B : photo 4]
- Beeld 159616 : Im Zeichen der "Due Croci". Nachmittagsruhe auf der Veranda in dem Hotel der Lungenkranken. Viele hundert elektrisch angetriebene Rolljalousien halten die Sonnenglut ab und fahrbahre Glaswände schützen vor Regen und Wind. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.047 B : photo 5]
- Beeld 159617 : Im Zeichen der "Due Croci". Das ist nicht die Front eines ägyptischen Luxushotels, sondern eine der acht Südseiten der verschiedenen Sanatorien, an deren vorgebauten Veranden als Sonneschutz viele hundert elektrisch angetriebene Rolljalousien angebracht sind. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.047 B : photo 6] [A restituer après publication]
- Beeld 159618 : Im Zeichen der "Due Croci". Unter der südlichen Sonne Roms liegt an den Abhängen des Monteverde wie ein Luxushotel das Forlanini-Institut, eines der grössten Studienzentren der tuberkulösen Krankheiten und einer der umfangreichsten und grosszügigsten Anlagen von Kliniken und Sanatorien. [Sipho] [Orbis] [Série 92.047 B : photo 7]
- Beeld 159619 : Im Zeigen der "Due Croci". Keine Stätte des Leidens, sondern der Hoffnung.
Kleine Patienten beim Spiel in den Gärten und Parkanlagen des Institutes. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.047 B : photo 8]
- Beeld 159620 : Im Zeigen der "Due Croci". Symphonie in Licht und Glas. Blick in eins der grossen Centrallaboratorien. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.047 B : photo 9]
- Beeld 159621 : Im Zeichen der "Due Croci". Durch ein riesiges Fenster im Sterilisationssaal wurde ich Zeuge einer Operation. Die Einrichtung der Operationsräume ist modern, zweckmässig und schön. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.047 B : photo 10]
- Beeld 159622 : Im Zeigen der "Due Croci". Der Hundezwinger mit Störschutz. Der Stall, in dem die für Versuchszwecke gehaltenen Hunde untergebracht sind, liegt in dem höchstgelegenen Raum des Hauptgebäudes. Seine Decke besteht aus Glas und Beton, ist gewölbt und in der Mitte offen. Diese Konstruktion soll derart wirken, dass unter Garantie kein Hundegebell in die umliegenden Räume dringt und die Kranken stört. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.047 B : photo 11]
- Beeld 159623 : Im Zeichen des "Due Croci". Wie das Laboratorium eines grossen Industriewerkes mutet die Centralküche im Forlanini-Institut an, von der aus die Speisen mittels Schwebebahnen (die Schienen sieht man an der Decke) auf einer Strecke von 3,5 km durch den ganzen Gebäudekomplex rollen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.047 B : photo 12]
- Reportage: Ontspanningoord voor moeders in de bergen van Kärnten van het NSV, 1933-1938. - 7 foto's
- Reportage: Oorlogshuwelijk, Oostenrijk, 1941. - 4 foto's
- Reportage: Oorlogstaken voor fascistische vrouwen ( tekst), 27/07/1942. - 8 foto's
- Beeld 160290 : Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
1. Der Bahnofsdienst des Fascio Femminile. - Kein Soldat braucht während der Fahrt um sein leibliches wohl Sorge zu haben, auf jedem Bahnhof findet er gastfreundliche Aufnahme bei den Donne Fasciste. Kommt ein deutscher Transport, si ist es für die Donna Fascista Ehrensache, Apfelsinen, Zigaretten und was sie sonst nur haben, auszuteilen.
Kriegseinsatz der Frau in Italien.
Eröffnung eines neuen Lehrkursus für Strassenbahnschaffnerinnen in Mailand vor Vertretern zahlreicher städtischer Behörden.
U.B.z.Die Teilnehmerinnen des neuen Kursus. FZ
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis-Photo]
[Serie 92.177 : photo 1]
Serie 1479.
Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
Italien, ein Land, in den die warme Sonne ganz bestimmt mehr zum dolce farniente, - dem süssen Nichtstun - verleitet, als es die herbe nordische Luft tut, ein Land, wo erst seit zwei Jahrzehnten die junge weibliche Generation mit dem Berufsleben und dem Sport in Berührung kam und aus dem eng begrenzten häuslichen Pflichtenkreis hinaustrat, ein Land schliesslich, in dem der Krieg den Arbeitseinsatz der Frau noch nicht in dem Mass notwendig gemacht hat, wie es in Deutschland der Fall ist.
Dies alles schliesst jedoch nicht aus, dass heute in diesem Italien ein unendlich grosses Arbeitsgebiet ausschliesslich von frauen, von den Frauen der faschistischen Partei, bewältigt werden muss und wird.
Jeder Provinzgruppe der Frauenschaft steht eine Fiduciaria dei Fasci Femminili (F F) vor eine einflussreiche Persönlichkeit, die dem Segretario Federale, dem Provinzgruppenleiter der Partei unmittelbar untersteht. Oft hört man Namen, die einen historischen Klang haben und sieht Gesichter, wie sie ein Andrea Mantegna gemalt hat : kluge Stirnen, klarer Blick und klassische Nasen. Immer waren es energische, zielbewusste Persönlichkeiten, die auf der kleidsamen schwarzen Uniform das goldene "M" - Mussolini - mit den verschiedenen Gradabstufungen trugen. Der Fiduciaria zur Seite teht die Vicefiduciaria und mehrere Collaboratrici sowie die Vicecommandante der GIL, also der weiblichen Jugendorganisationen. Häufig versehen die Frauen des Präfekten und des Podestà, des Bürgermeisters, ein Amt innerhalb der Frauenschaft.
Welches sind nun die Aufgaben und vor allem die Kriegsaufgaben dieser Frauen in Uniform? In ihren Händen liegt die Vorbereitung der zivilen Mobilmachung der weiblichen Bevölkerung, d.h. sie haben die Karteien über alle berufsf¨¨anhigen Frauen zu führen und Kurse zur Ausbildung in gewissen Kriegsberufen einzurichten.
Eine wichtige Aufgabe der F.F. ist die Überwachung der sozialen Beihilfen. Seit dem Bestehen der FF werden auch Sachspenden verteilt, z.B. Ausstattungen für jedes neugeborene Kind einer bedürftigen donna fascista. Es sind zum grossen Teil ganz reizende Säuglingsausstattungen. In den Werkstuben der FF werden heute auch Brustwärmer, Handschuhe und änliches für die Soldaten an der Ostfront angefertigt, ebenso wie unermüdliche freiwillige Hände die Stricknadeln seit 2 Jahren klappern lassen, verwunderlicherweise mit festgeklemmter linker Nadel, während der Zeigelfinger der rechten Hand mit grosser Schnelligkeit die Schlinge legt, und tausende von Sockenpaaren herstellen.
Auf regelmässigen Rundgängen durch die Lazarette werden Liebesgäben verteilt. In den kleinen Landstädten sind Beratungsstellen der FF eingerichtet, die den Urlaubern sowie Angehörigen von im Felde Stehenden alle möchlichen Auskünfte geben über behördliche Fragen, Gefanenenfürsorge, Rentenansprüche, Freistellungsgesuche usw. Und von dem freundlichen Lächeln, mit dem die Frauen in Uniform den durchrollenden Truppen auf den Bahnhöfen Erfrischungen reichen, wissen auch die kakibraunen Afrikakämpfer zu erzählen.
Ein weiteres kriegsgemässes Arbeitsgebiet der donna fascista ist die Propagierung der Kleintierzucht. Bei Littoria, der Haupstadt des Agro Pontino, der ehemaligen pontibischen Sümofe , befindet sich eine Musterfarm für Kanichen, Hühner und Tauben. Sie lieferte die prüchtigen Zuchtexemplare, die die Fiduciaria der FF ihren massaie rurale, den Bauersfrauen zuteilte. Haltung und Pflege werden ständig überwacht und durch Prämien gefordert. In den ländlichen Gebieten nimmt diese Betätigung nicht wunder.
überraschend ist es dagegen, wenn auch die Römerinnen angeleitet werden, Hühner zu halten und Kaninchen zu züchten. Man muss die Konstreuktion der römischen Wohnhäuser kennen, um zu wissen, dass gewissermassen ein zweites Rom in der Höhe besteht, eine Gartenstadt von Terrassen, grossen und kleinen, mit glycinienberankten Pergolas, Blimentöpfen und Wäscheleinen. Warum sollten sich dieser Luft und Sonne nicht auch Kaninchen erfreuen, die hernach in der Bratpfanne des soundsovielten Stockwerks enden, oder Hünner herumgackern, die ab und an ein Ei legen, wenn man ihnen nur ausser dem notwendigen Futter etwas Sand zum Scharren auf den hochgelgenen "Hühnerhof" bringt ! In den Vorstädten sollen ausserdem Schafe und Ziegen Einzug halten.
Unendlich vielseitig ist das Arbeitsgebiet der italienischen Frau im Kriege, und die Donna fascista ist sich der Verantwortung und Tragweite ihrer Aufgaben, die sie mit Eifer und Grazie zu erfüllen weiss, durchaus bewusst.
Blida von Graefe.
- Beeld 160291 : Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
2. Amgehörige des Fascio besuchen regelmässig die Lazarette, wo sie den Soldaten Liebesgaben bringen, auch Besorgungen für sie übernehmen und ihre Korrespondenz erledigen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis-Photo]
[Serie 92.177 : photo 2]
Serie 1479.
Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
Italien, ein Land, in den die warme Sonne ganz bestimmt mehr zum dolce farniente, - dem süssen Nichtstun - verleitet, als es die herbe nordische Luft tut, ein Land, wo erst seit zwei Jahrzehnten die junge weibliche Generation mit dem Berufsleben und dem Sport in Berührung kam und aus dem eng begrenzten häuslichen Pflichtenkreis hinaustrat, ein Land schliesslich, in dem der Krieg den Arbeitseinsatz der Frau noch nicht in dem Mass notwendig gemacht hat, wie es in Deutschland der Fall ist.
Dies alles schliesst jedoch nicht aus, dass heute in diesem Italien ein unendlich grosses Arbeitsgebiet ausschliesslich von frauen, von den Frauen der faschistischen Partei, bewältigt werden muss und wird.
Jeder Provinzgruppe der Frauenschaft steht eine Fiduciaria dei Fasci Femminili (F F) vor eine einflussreiche Persönlichkeit, die dem Segretario Federale, dem Provinzgruppenleiter der Partei unmittelbar untersteht. Oft hört man Namen, die einen historischen Klang haben und sieht Gesichter, wie sie ein Andrea Mantegna gemalt hat : kluge Stirnen, klarer Blick und klassische Nasen. Immer waren es energische, zielbewusste Persönlichkeiten, die auf der kleidsamen schwarzen Uniform das goldene "M" - Mussolini - mit den verschiedenen Gradabstufungen trugen. Der Fiduciaria zur Seite teht die Vicefiduciaria und mehrere Collaboratrici sowie die Vicecommandante der GIL, also der weiblichen Jugendorganisationen. Häufig versehen die Frauen des Präfekten und des Podestà, des Bürgermeisters, ein Amt innerhalb der Frauenschaft.
Welches sind nun die Aufgaben und vor allem die Kriegsaufgaben dieser Frauen in Uniform? In ihren Händen liegt die Vorbereitung der zivilen Mobilmachung der weiblichen Bevölkerung, d.h. sie haben die Karteien über alle berufsf¨¨anhigen Frauen zu führen und Kurse zur Ausbildung in gewissen Kriegsberufen einzurichten.
Eine wichtige Aufgabe der F.F. ist die Überwachung der sozialen Beihilfen. Seit dem Bestehen der FF werden auch Sachspenden verteilt, z.B. Ausstattungen für jedes neugeborene Kind einer bedürftigen donna fascista. Es sind zum grossen Teil ganz reizende Säuglingsausstattungen. In den Werkstuben der FF werden heute auch Brustwärmer, Handschuhe und änliches für die Soldaten an der Ostfront angefertigt, ebenso wie unermüdliche freiwillige Hände die Stricknadeln seit 2 Jahren klappern lassen, verwunderlicherweise mit festgeklemmter linker Nadel, während der Zeigelfinger der rechten Hand mit grosser Schnelligkeit die Schlinge legt, und tausende von Sockenpaaren herstellen.
Auf regelmässigen Rundgängen durch die Lazarette werden Liebesgäben verteilt. In den kleinen Landstädten sind Beratungsstellen der FF eingerichtet, die den Urlaubern sowie Angehörigen von im Felde Stehenden alle möchlichen Auskünfte geben über behördliche Fragen, Gefanenenfürsorge, Rentenansprüche, Freistellungsgesuche usw. Und von dem freundlichen Lächeln, mit dem die Frauen in Uniform den durchrollenden Truppen auf den Bahnhöfen Erfrischungen reichen, wissen auch die kakibraunen Afrikakämpfer zu erzählen.
Ein weiteres kriegsgemässes Arbeitsgebiet der donna fascista ist die Propagierung der Kleintierzucht. Bei Littoria, der Haupstadt des Agro Pontino, der ehemaligen pontibischen Sümofe , befindet sich eine Musterfarm für Kanichen, Hühner und Tauben. Sie lieferte die prüchtigen Zuchtexemplare, die die Fiduciaria der FF ihren massaie rurale, den Bauersfrauen zuteilte. Haltung und Pflege werden ständig überwacht und durch Prämien gefordert. In den ländlichen Gebieten nimmt diese Betätigung nicht wunder.
überraschend ist es dagegen, wenn auch die Römerinnen angeleitet werden, Hühner zu halten und Kaninchen zu züchten. Man muss die Konstreuktion der römischen Wohnhäuser kennen, um zu wissen, dass gewissermassen ein zweites Rom in der Höhe besteht, eine Gartenstadt von Terrassen, grossen und kleinen, mit glycinienberankten Pergolas, Blimentöpfen und Wäscheleinen. Warum sollten sich dieser Luft und Sonne nicht auch Kaninchen erfreuen, die hernach in der Bratpfanne des soundsovielten Stockwerks enden, oder Hünner herumgackern, die ab und an ein Ei legen, wenn man ihnen nur ausser dem notwendigen Futter etwas Sand zum Scharren auf den hochgelgenen "Hühnerhof" bringt ! In den Vorstädten sollen ausserdem Schafe und Ziegen Einzug halten.
Unendlich vielseitig ist das Arbeitsgebiet der italienischen Frau im Kriege, und die Donna fascista ist sich der Verantwortung und Tragweite ihrer Aufgaben, die sie mit Eifer und Grazie zu erfüllen weiss, durchaus bewusst.
Blida von Graefe.
- Beeld 160292 : Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
3. Donne des "Fascio Femminile" bei der Auslosung von Kleintieren an die Bevölkerung Roms - es wird dafür gesorgt, dass nur erstklassiges Zuchtmaterial zur Verteilung kommt. Die Teilnehmer an der Verlosung zahlen nur einen Bruchteil des eigentlichen wertes des Tieres. So kommt es, dass das Interesse der Bevölkerung an diesen Verlosungnen riesengross ist, und der Zweck ist erreicht : auch die Städter lernen unter sachgemässer Aleitung wieder, Kleintieren zu halten.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis-Photo]
[Serie 92.177 : photo 3]
Serie 1479.
Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
Italien, ein Land, in den die warme Sonne ganz bestimmt mehr zum dolce farniente, - dem süssen Nichtstun - verleitet, als es die herbe nordische Luft tut, ein Land, wo erst seit zwei Jahrzehnten die junge weibliche Generation mit dem Berufsleben und dem Sport in Berührung kam und aus dem eng begrenzten häuslichen Pflichtenkreis hinaustrat, ein Land schliesslich, in dem der Krieg den Arbeitseinsatz der Frau noch nicht in dem Mass notwendig gemacht hat, wie es in Deutschland der Fall ist.
Dies alles schliesst jedoch nicht aus, dass heute in diesem Italien ein unendlich grosses Arbeitsgebiet ausschliesslich von frauen, von den Frauen der faschistischen Partei, bewältigt werden muss und wird.
Jeder Provinzgruppe der Frauenschaft steht eine Fiduciaria dei Fasci Femminili (F F) vor eine einflussreiche Persönlichkeit, die dem Segretario Federale, dem Provinzgruppenleiter der Partei unmittelbar untersteht. Oft hört man Namen, die einen historischen Klang haben und sieht Gesichter, wie sie ein Andrea Mantegna gemalt hat : kluge Stirnen, klarer Blick und klassische Nasen. Immer waren es energische, zielbewusste Persönlichkeiten, die auf der kleidsamen schwarzen Uniform das goldene "M" - Mussolini - mit den verschiedenen Gradabstufungen trugen. Der Fiduciaria zur Seite teht die Vicefiduciaria und mehrere Collaboratrici sowie die Vicecommandante der GIL, also der weiblichen Jugendorganisationen. Häufig versehen die Frauen des Präfekten und des Podestà, des Bürgermeisters, ein Amt innerhalb der Frauenschaft.
Welches sind nun die Aufgaben und vor allem die Kriegsaufgaben dieser Frauen in Uniform? In ihren Händen liegt die Vorbereitung der zivilen Mobilmachung der weiblichen Bevölkerung, d.h. sie haben die Karteien über alle berufsf¨¨anhigen Frauen zu führen und Kurse zur Ausbildung in gewissen Kriegsberufen einzurichten.
Eine wichtige Aufgabe der F.F. ist die Überwachung der sozialen Beihilfen. Seit dem Bestehen der FF werden auch Sachspenden verteilt, z.B. Ausstattungen für jedes neugeborene Kind einer bedürftigen donna fascista. Es sind zum grossen Teil ganz reizende Säuglingsausstattungen. In den Werkstuben der FF werden heute auch Brustwärmer, Handschuhe und änliches für die Soldaten an der Ostfront angefertigt, ebenso wie unermüdliche freiwillige Hände die Stricknadeln seit 2 Jahren klappern lassen, verwunderlicherweise mit festgeklemmter linker Nadel, während der Zeigelfinger der rechten Hand mit grosser Schnelligkeit die Schlinge legt, und tausende von Sockenpaaren herstellen.
Auf regelmässigen Rundgängen durch die Lazarette werden Liebesgäben verteilt. In den kleinen Landstädten sind Beratungsstellen der FF eingerichtet, die den Urlaubern sowie Angehörigen von im Felde Stehenden alle möchlichen Auskünfte geben über behördliche Fragen, Gefanenenfürsorge, Rentenansprüche, Freistellungsgesuche usw. Und von dem freundlichen Lächeln, mit dem die Frauen in Uniform den durchrollenden Truppen auf den Bahnhöfen Erfrischungen reichen, wissen auch die kakibraunen Afrikakämpfer zu erzählen.
Ein weiteres kriegsgemässes Arbeitsgebiet der donna fascista ist die Propagierung der Kleintierzucht. Bei Littoria, der Haupstadt des Agro Pontino, der ehemaligen pontibischen Sümofe , befindet sich eine Musterfarm für Kanichen, Hühner und Tauben. Sie lieferte die prüchtigen Zuchtexemplare, die die Fiduciaria der FF ihren massaie rurale, den Bauersfrauen zuteilte. Haltung und Pflege werden ständig überwacht und durch Prämien gefordert. In den ländlichen Gebieten nimmt diese Betätigung nicht wunder.
überraschend ist es dagegen, wenn auch die Römerinnen angeleitet werden, Hühner zu halten und Kaninchen zu züchten. Man muss die Konstreuktion der römischen Wohnhäuser kennen, um zu wissen, dass gewissermassen ein zweites Rom in der Höhe besteht, eine Gartenstadt von Terrassen, grossen und kleinen, mit glycinienberankten Pergolas, Blimentöpfen und Wäscheleinen. Warum sollten sich dieser Luft und Sonne nicht auch Kaninchen erfreuen, die hernach in der Bratpfanne des soundsovielten Stockwerks enden, oder Hünner herumgackern, die ab und an ein Ei legen, wenn man ihnen nur ausser dem notwendigen Futter etwas Sand zum Scharren auf den hochgelgenen "Hühnerhof" bringt ! In den Vorstädten sollen ausserdem Schafe und Ziegen Einzug halten.
Unendlich vielseitig ist das Arbeitsgebiet der italienischen Frau im Kriege, und die Donna fascista ist sich der Verantwortung und Tragweite ihrer Aufgaben, die sie mit Eifer und Grazie zu erfüllen weiss, durchaus bewusst.
Blida von Graefe.
- Beeld 160293 : Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
4. Schulung im Telegrafendienst für die italienische wehrmacht durch die Organisation des Fascio Femminile.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis-Photo]
[Serie 92.177 : photo 4]
Serie 1479.
Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
Italien, ein Land, in den die warme Sonne ganz bestimmt mehr zum dolce farniente, - dem süssen Nichtstun - verleitet, als es die herbe nordische Luft tut, ein Land, wo erst seit zwei Jahrzehnten die junge weibliche Generation mit dem Berufsleben und dem Sport in Berührung kam und aus dem eng begrenzten häuslichen Pflichtenkreis hinaustrat, ein Land schliesslich, in dem der Krieg den Arbeitseinsatz der Frau noch nicht in dem Mass notwendig gemacht hat, wie es in Deutschland der Fall ist.
Dies alles schliesst jedoch nicht aus, dass heute in diesem Italien ein unendlich grosses Arbeitsgebiet ausschliesslich von frauen, von den Frauen der faschistischen Partei, bewältigt werden muss und wird.
Jeder Provinzgruppe der Frauenschaft steht eine Fiduciaria dei Fasci Femminili (F F) vor eine einflussreiche Persönlichkeit, die dem Segretario Federale, dem Provinzgruppenleiter der Partei unmittelbar untersteht. Oft hört man Namen, die einen historischen Klang haben und sieht Gesichter, wie sie ein Andrea Mantegna gemalt hat : kluge Stirnen, klarer Blick und klassische Nasen. Immer waren es energische, zielbewusste Persönlichkeiten, die auf der kleidsamen schwarzen Uniform das goldene "M" - Mussolini - mit den verschiedenen Gradabstufungen trugen. Der Fiduciaria zur Seite teht die Vicefiduciaria und mehrere Collaboratrici sowie die Vicecommandante der GIL, also der weiblichen Jugendorganisationen. Häufig versehen die Frauen des Präfekten und des Podestà, des Bürgermeisters, ein Amt innerhalb der Frauenschaft.
Welches sind nun die Aufgaben und vor allem die Kriegsaufgaben dieser Frauen in Uniform? In ihren Händen liegt die Vorbereitung der zivilen Mobilmachung der weiblichen Bevölkerung, d.h. sie haben die Karteien über alle berufsf¨¨anhigen Frauen zu führen und Kurse zur Ausbildung in gewissen Kriegsberufen einzurichten.
Eine wichtige Aufgabe der F.F. ist die Überwachung der sozialen Beihilfen. Seit dem Bestehen der FF werden auch Sachspenden verteilt, z.B. Ausstattungen für jedes neugeborene Kind einer bedürftigen donna fascista. Es sind zum grossen Teil ganz reizende Säuglingsausstattungen. In den Werkstuben der FF werden heute auch Brustwärmer, Handschuhe und änliches für die Soldaten an der Ostfront angefertigt, ebenso wie unermüdliche freiwillige Hände die Stricknadeln seit 2 Jahren klappern lassen, verwunderlicherweise mit festgeklemmter linker Nadel, während der Zeigelfinger der rechten Hand mit grosser Schnelligkeit die Schlinge legt, und tausende von Sockenpaaren herstellen.
Auf regelmässigen Rundgängen durch die Lazarette werden Liebesgäben verteilt. In den kleinen Landstädten sind Beratungsstellen der FF eingerichtet, die den Urlaubern sowie Angehörigen von im Felde Stehenden alle möchlichen Auskünfte geben über behördliche Fragen, Gefanenenfürsorge, Rentenansprüche, Freistellungsgesuche usw. Und von dem freundlichen Lächeln, mit dem die Frauen in Uniform den durchrollenden Truppen auf den Bahnhöfen Erfrischungen reichen, wissen auch die kakibraunen Afrikakämpfer zu erzählen.
Ein weiteres kriegsgemässes Arbeitsgebiet der donna fascista ist die Propagierung der Kleintierzucht. Bei Littoria, der Haupstadt des Agro Pontino, der ehemaligen pontibischen Sümofe , befindet sich eine Musterfarm für Kanichen, Hühner und Tauben. Sie lieferte die prüchtigen Zuchtexemplare, die die Fiduciaria der FF ihren massaie rurale, den Bauersfrauen zuteilte. Haltung und Pflege werden ständig überwacht und durch Prämien gefordert. In den ländlichen Gebieten nimmt diese Betätigung nicht wunder.
überraschend ist es dagegen, wenn auch die Römerinnen angeleitet werden, Hühner zu halten und Kaninchen zu züchten. Man muss die Konstreuktion der römischen Wohnhäuser kennen, um zu wissen, dass gewissermassen ein zweites Rom in der Höhe besteht, eine Gartenstadt von Terrassen, grossen und kleinen, mit glycinienberankten Pergolas, Blimentöpfen und Wäscheleinen. Warum sollten sich dieser Luft und Sonne nicht auch Kaninchen erfreuen, die hernach in der Bratpfanne des soundsovielten Stockwerks enden, oder Hünner herumgackern, die ab und an ein Ei legen, wenn man ihnen nur ausser dem notwendigen Futter etwas Sand zum Scharren auf den hochgelgenen "Hühnerhof" bringt ! In den Vorstädten sollen ausserdem Schafe und Ziegen Einzug halten.
Unendlich vielseitig ist das Arbeitsgebiet der italienischen Frau im Kriege, und die Donna fascista ist sich der Verantwortung und Tragweite ihrer Aufgaben, die sie mit Eifer und Grazie zu erfüllen weiss, durchaus bewusst.
Blida von Graefe.
- Beeld 160294 : Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
5. Auch in Italien regen sich allerorts fleissige Frauenhände, um Liebesgaben zu sammeln und den Soldaten an die Front schicken.
Donne Fasciste beim Packen von Päckchen für die Soldaten an der Ostfront.
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[Serie 92.177 : photo 5]
Serie 1479.
Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
Italien, ein Land, in den die warme Sonne ganz bestimmt mehr zum dolce farniente, - dem süssen Nichtstun - verleitet, als es die herbe nordische Luft tut, ein Land, wo erst seit zwei Jahrzehnten die junge weibliche Generation mit dem Berufsleben und dem Sport in Berührung kam und aus dem eng begrenzten häuslichen Pflichtenkreis hinaustrat, ein Land schliesslich, in dem der Krieg den Arbeitseinsatz der Frau noch nicht in dem Mass notwendig gemacht hat, wie es in Deutschland der Fall ist.
Dies alles schliesst jedoch nicht aus, dass heute in diesem Italien ein unendlich grosses Arbeitsgebiet ausschliesslich von frauen, von den Frauen der faschistischen Partei, bewältigt werden muss und wird.
Jeder Provinzgruppe der Frauenschaft steht eine Fiduciaria dei Fasci Femminili (F F) vor eine einflussreiche Persönlichkeit, die dem Segretario Federale, dem Provinzgruppenleiter der Partei unmittelbar untersteht. Oft hört man Namen, die einen historischen Klang haben und sieht Gesichter, wie sie ein Andrea Mantegna gemalt hat : kluge Stirnen, klarer Blick und klassische Nasen. Immer waren es energische, zielbewusste Persönlichkeiten, die auf der kleidsamen schwarzen Uniform das goldene "M" - Mussolini - mit den verschiedenen Gradabstufungen trugen. Der Fiduciaria zur Seite teht die Vicefiduciaria und mehrere Collaboratrici sowie die Vicecommandante der GIL, also der weiblichen Jugendorganisationen. Häufig versehen die Frauen des Präfekten und des Podestà, des Bürgermeisters, ein Amt innerhalb der Frauenschaft.
Welches sind nun die Aufgaben und vor allem die Kriegsaufgaben dieser Frauen in Uniform? In ihren Händen liegt die Vorbereitung der zivilen Mobilmachung der weiblichen Bevölkerung, d.h. sie haben die Karteien über alle berufsf¨¨anhigen Frauen zu führen und Kurse zur Ausbildung in gewissen Kriegsberufen einzurichten.
Eine wichtige Aufgabe der F.F. ist die Überwachung der sozialen Beihilfen. Seit dem Bestehen der FF werden auch Sachspenden verteilt, z.B. Ausstattungen für jedes neugeborene Kind einer bedürftigen donna fascista. Es sind zum grossen Teil ganz reizende Säuglingsausstattungen. In den Werkstuben der FF werden heute auch Brustwärmer, Handschuhe und änliches für die Soldaten an der Ostfront angefertigt, ebenso wie unermüdliche freiwillige Hände die Stricknadeln seit 2 Jahren klappern lassen, verwunderlicherweise mit festgeklemmter linker Nadel, während der Zeigelfinger der rechten Hand mit grosser Schnelligkeit die Schlinge legt, und tausende von Sockenpaaren herstellen.
Auf regelmässigen Rundgängen durch die Lazarette werden Liebesgäben verteilt. In den kleinen Landstädten sind Beratungsstellen der FF eingerichtet, die den Urlaubern sowie Angehörigen von im Felde Stehenden alle möchlichen Auskünfte geben über behördliche Fragen, Gefanenenfürsorge, Rentenansprüche, Freistellungsgesuche usw. Und von dem freundlichen Lächeln, mit dem die Frauen in Uniform den durchrollenden Truppen auf den Bahnhöfen Erfrischungen reichen, wissen auch die kakibraunen Afrikakämpfer zu erzählen.
Ein weiteres kriegsgemässes Arbeitsgebiet der donna fascista ist die Propagierung der Kleintierzucht. Bei Littoria, der Haupstadt des Agro Pontino, der ehemaligen pontibischen Sümofe , befindet sich eine Musterfarm für Kanichen, Hühner und Tauben. Sie lieferte die prüchtigen Zuchtexemplare, die die Fiduciaria der FF ihren massaie rurale, den Bauersfrauen zuteilte. Haltung und Pflege werden ständig überwacht und durch Prämien gefordert. In den ländlichen Gebieten nimmt diese Betätigung nicht wunder.
überraschend ist es dagegen, wenn auch die Römerinnen angeleitet werden, Hühner zu halten und Kaninchen zu züchten. Man muss die Konstreuktion der römischen Wohnhäuser kennen, um zu wissen, dass gewissermassen ein zweites Rom in der Höhe besteht, eine Gartenstadt von Terrassen, grossen und kleinen, mit glycinienberankten Pergolas, Blimentöpfen und Wäscheleinen. Warum sollten sich dieser Luft und Sonne nicht auch Kaninchen erfreuen, die hernach in der Bratpfanne des soundsovielten Stockwerks enden, oder Hünner herumgackern, die ab und an ein Ei legen, wenn man ihnen nur ausser dem notwendigen Futter etwas Sand zum Scharren auf den hochgelgenen "Hühnerhof" bringt ! In den Vorstädten sollen ausserdem Schafe und Ziegen Einzug halten.
Unendlich vielseitig ist das Arbeitsgebiet der italienischen Frau im Kriege, und die Donna fascista ist sich der Verantwortung und Tragweite ihrer Aufgaben, die sie mit Eifer und Grazie zu erfüllen weiss, durchaus bewusst.
Blida von Graefe.
- Beeld 160295 : Ktiegsaufgaben der Donna Fascista.
6. Das Sozialwerk des Fascio Femminile : an Bedürftigen und Schwangere wird Babywäsche und überhaupt alles, was zur Säuglingspflege gehört, verteilt. Vor alleù werden dabei die Frauen der Soldaten berücksichtigt.
[Sipho]
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[Serie 92.177 : photo 6]
Serie 1479.
Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
Italien, ein Land, in den die warme Sonne ganz bestimmt mehr zum dolce farniente, - dem süssen Nichtstun - verleitet, als es die herbe nordische Luft tut, ein Land, wo erst seit zwei Jahrzehnten die junge weibliche Generation mit dem Berufsleben und dem Sport in Berührung kam und aus dem eng begrenzten häuslichen Pflichtenkreis hinaustrat, ein Land schliesslich, in dem der Krieg den Arbeitseinsatz der Frau noch nicht in dem Mass notwendig gemacht hat, wie es in Deutschland der Fall ist.
Dies alles schliesst jedoch nicht aus, dass heute in diesem Italien ein unendlich grosses Arbeitsgebiet ausschliesslich von frauen, von den Frauen der faschistischen Partei, bewältigt werden muss und wird.
Jeder Provinzgruppe der Frauenschaft steht eine Fiduciaria dei Fasci Femminili (F F) vor eine einflussreiche Persönlichkeit, die dem Segretario Federale, dem Provinzgruppenleiter der Partei unmittelbar untersteht. Oft hört man Namen, die einen historischen Klang haben und sieht Gesichter, wie sie ein Andrea Mantegna gemalt hat : kluge Stirnen, klarer Blick und klassische Nasen. Immer waren es energische, zielbewusste Persönlichkeiten, die auf der kleidsamen schwarzen Uniform das goldene "M" - Mussolini - mit den verschiedenen Gradabstufungen trugen. Der Fiduciaria zur Seite teht die Vicefiduciaria und mehrere Collaboratrici sowie die Vicecommandante der GIL, also der weiblichen Jugendorganisationen. Häufig versehen die Frauen des Präfekten und des Podestà, des Bürgermeisters, ein Amt innerhalb der Frauenschaft.
Welches sind nun die Aufgaben und vor allem die Kriegsaufgaben dieser Frauen in Uniform? In ihren Händen liegt die Vorbereitung der zivilen Mobilmachung der weiblichen Bevölkerung, d.h. sie haben die Karteien über alle berufsf¨¨anhigen Frauen zu führen und Kurse zur Ausbildung in gewissen Kriegsberufen einzurichten.
Eine wichtige Aufgabe der F.F. ist die Überwachung der sozialen Beihilfen. Seit dem Bestehen der FF werden auch Sachspenden verteilt, z.B. Ausstattungen für jedes neugeborene Kind einer bedürftigen donna fascista. Es sind zum grossen Teil ganz reizende Säuglingsausstattungen. In den Werkstuben der FF werden heute auch Brustwärmer, Handschuhe und änliches für die Soldaten an der Ostfront angefertigt, ebenso wie unermüdliche freiwillige Hände die Stricknadeln seit 2 Jahren klappern lassen, verwunderlicherweise mit festgeklemmter linker Nadel, während der Zeigelfinger der rechten Hand mit grosser Schnelligkeit die Schlinge legt, und tausende von Sockenpaaren herstellen.
Auf regelmässigen Rundgängen durch die Lazarette werden Liebesgäben verteilt. In den kleinen Landstädten sind Beratungsstellen der FF eingerichtet, die den Urlaubern sowie Angehörigen von im Felde Stehenden alle möchlichen Auskünfte geben über behördliche Fragen, Gefanenenfürsorge, Rentenansprüche, Freistellungsgesuche usw. Und von dem freundlichen Lächeln, mit dem die Frauen in Uniform den durchrollenden Truppen auf den Bahnhöfen Erfrischungen reichen, wissen auch die kakibraunen Afrikakämpfer zu erzählen.
Ein weiteres kriegsgemässes Arbeitsgebiet der donna fascista ist die Propagierung der Kleintierzucht. Bei Littoria, der Haupstadt des Agro Pontino, der ehemaligen pontibischen Sümofe , befindet sich eine Musterfarm für Kanichen, Hühner und Tauben. Sie lieferte die prüchtigen Zuchtexemplare, die die Fiduciaria der FF ihren massaie rurale, den Bauersfrauen zuteilte. Haltung und Pflege werden ständig überwacht und durch Prämien gefordert. In den ländlichen Gebieten nimmt diese Betätigung nicht wunder.
überraschend ist es dagegen, wenn auch die Römerinnen angeleitet werden, Hühner zu halten und Kaninchen zu züchten. Man muss die Konstreuktion der römischen Wohnhäuser kennen, um zu wissen, dass gewissermassen ein zweites Rom in der Höhe besteht, eine Gartenstadt von Terrassen, grossen und kleinen, mit glycinienberankten Pergolas, Blimentöpfen und Wäscheleinen. Warum sollten sich dieser Luft und Sonne nicht auch Kaninchen erfreuen, die hernach in der Bratpfanne des soundsovielten Stockwerks enden, oder Hünner herumgackern, die ab und an ein Ei legen, wenn man ihnen nur ausser dem notwendigen Futter etwas Sand zum Scharren auf den hochgelgenen "Hühnerhof" bringt ! In den Vorstädten sollen ausserdem Schafe und Ziegen Einzug halten.
Unendlich vielseitig ist das Arbeitsgebiet der italienischen Frau im Kriege, und die Donna fascista ist sich der Verantwortung und Tragweite ihrer Aufgaben, die sie mit Eifer und Grazie zu erfüllen weiss, durchaus bewusst.
Blida von Graefe.
- Beeld 160296 : Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
7. überall in Italien organisiert der Fascio Femminile Ausbildungskurse in der Kleintierzucht, die jetzt in Italien sehr propagiert wird.
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[Serie 92.177 : photo 7]
Serie 1479.
Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
Italien, ein Land, in den die warme Sonne ganz bestimmt mehr zum dolce farniente, - dem süssen Nichtstun - verleitet, als es die herbe nordische Luft tut, ein Land, wo erst seit zwei Jahrzehnten die junge weibliche Generation mit dem Berufsleben und dem Sport in Berührung kam und aus dem eng begrenzten häuslichen Pflichtenkreis hinaustrat, ein Land schliesslich, in dem der Krieg den Arbeitseinsatz der Frau noch nicht in dem Mass notwendig gemacht hat, wie es in Deutschland der Fall ist.
Dies alles schliesst jedoch nicht aus, dass heute in diesem Italien ein unendlich grosses Arbeitsgebiet ausschliesslich von frauen, von den Frauen der faschistischen Partei, bewältigt werden muss und wird.
Jeder Provinzgruppe der Frauenschaft steht eine Fiduciaria dei Fasci Femminili (F F) vor eine einflussreiche Persönlichkeit, die dem Segretario Federale, dem Provinzgruppenleiter der Partei unmittelbar untersteht. Oft hört man Namen, die einen historischen Klang haben und sieht Gesichter, wie sie ein Andrea Mantegna gemalt hat : kluge Stirnen, klarer Blick und klassische Nasen. Immer waren es energische, zielbewusste Persönlichkeiten, die auf der kleidsamen schwarzen Uniform das goldene "M" - Mussolini - mit den verschiedenen Gradabstufungen trugen. Der Fiduciaria zur Seite teht die Vicefiduciaria und mehrere Collaboratrici sowie die Vicecommandante der GIL, also der weiblichen Jugendorganisationen. Häufig versehen die Frauen des Präfekten und des Podestà, des Bürgermeisters, ein Amt innerhalb der Frauenschaft.
Welches sind nun die Aufgaben und vor allem die Kriegsaufgaben dieser Frauen in Uniform? In ihren Händen liegt die Vorbereitung der zivilen Mobilmachung der weiblichen Bevölkerung, d.h. sie haben die Karteien über alle berufsf¨¨anhigen Frauen zu führen und Kurse zur Ausbildung in gewissen Kriegsberufen einzurichten.
Eine wichtige Aufgabe der F.F. ist die Überwachung der sozialen Beihilfen. Seit dem Bestehen der FF werden auch Sachspenden verteilt, z.B. Ausstattungen für jedes neugeborene Kind einer bedürftigen donna fascista. Es sind zum grossen Teil ganz reizende Säuglingsausstattungen. In den Werkstuben der FF werden heute auch Brustwärmer, Handschuhe und änliches für die Soldaten an der Ostfront angefertigt, ebenso wie unermüdliche freiwillige Hände die Stricknadeln seit 2 Jahren klappern lassen, verwunderlicherweise mit festgeklemmter linker Nadel, während der Zeigelfinger der rechten Hand mit grosser Schnelligkeit die Schlinge legt, und tausende von Sockenpaaren herstellen.
Auf regelmässigen Rundgängen durch die Lazarette werden Liebesgäben verteilt. In den kleinen Landstädten sind Beratungsstellen der FF eingerichtet, die den Urlaubern sowie Angehörigen von im Felde Stehenden alle möchlichen Auskünfte geben über behördliche Fragen, Gefanenenfürsorge, Rentenansprüche, Freistellungsgesuche usw. Und von dem freundlichen Lächeln, mit dem die Frauen in Uniform den durchrollenden Truppen auf den Bahnhöfen Erfrischungen reichen, wissen auch die kakibraunen Afrikakämpfer zu erzählen.
Ein weiteres kriegsgemässes Arbeitsgebiet der donna fascista ist die Propagierung der Kleintierzucht. Bei Littoria, der Haupstadt des Agro Pontino, der ehemaligen pontibischen Sümofe , befindet sich eine Musterfarm für Kanichen, Hühner und Tauben. Sie lieferte die prüchtigen Zuchtexemplare, die die Fiduciaria der FF ihren massaie rurale, den Bauersfrauen zuteilte. Haltung und Pflege werden ständig überwacht und durch Prämien gefordert. In den ländlichen Gebieten nimmt diese Betätigung nicht wunder.
überraschend ist es dagegen, wenn auch die Römerinnen angeleitet werden, Hühner zu halten und Kaninchen zu züchten. Man muss die Konstreuktion der römischen Wohnhäuser kennen, um zu wissen, dass gewissermassen ein zweites Rom in der Höhe besteht, eine Gartenstadt von Terrassen, grossen und kleinen, mit glycinienberankten Pergolas, Blimentöpfen und Wäscheleinen. Warum sollten sich dieser Luft und Sonne nicht auch Kaninchen erfreuen, die hernach in der Bratpfanne des soundsovielten Stockwerks enden, oder Hünner herumgackern, die ab und an ein Ei legen, wenn man ihnen nur ausser dem notwendigen Futter etwas Sand zum Scharren auf den hochgelgenen "Hühnerhof" bringt ! In den Vorstädten sollen ausserdem Schafe und Ziegen Einzug halten.
Unendlich vielseitig ist das Arbeitsgebiet der italienischen Frau im Kriege, und die Donna fascista ist sich der Verantwortung und Tragweite ihrer Aufgaben, die sie mit Eifer und Grazie zu erfüllen weiss, durchaus bewusst.
Blida von Graefe.
- Reportage: Oostenrijkers emigreren naar Zuid-Amerika, 04/01/1932. - 3 foto's
- Reportage: Oostenrijkse nieuwste internationale radiozender, 1930-1938. - 3 foto's
- Reportage: Op fazantenjacht met prins Ratibors in het Donau district (Landkreis), 20/12/1931. - 12 foto's
- Beeld 171170 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3341. A SHY COUPLE POSING FOR THE CURIOUS PHOTOGRAPHER. Gustersheim, Styria, Austria : - On the estates of Prince Schwarzenberg in Styria, chamois hunting is still the noble sport of the Austrian huntsmen. Picture shows :- a most unusual study made of the shyest animals of the moutains. A chamois doe with her fawn feeding on a Winter day. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3341.] [PHOTO CHAMPROUX. 20 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Beeld 171171 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3342. "TO BE OR NOT TO BE". CHAMOIS RUN FOR THEIR LIFE. Gustersheim, Styria, Austria : - On the estates of Prince Schwarzenberg in Styria, chamois hunting is still the noble sport of the Austrian huntsmen. Picture shows :- 3 chamois bucks racing down a steep hill frightend by the first shot of a hunter. In the background a high moutain range can be seen typical of the Styrian moutains. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3342.] [PHOTO CHAMPROUX. 20 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Beeld 171172 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3344. WADING ITS WAY THROUGH DEEP SNOW. Gustersheim, Styria, Austria : - On the estates of Prince Schwarzenberg in Styria, chamois hunting is still the noble sport of the Austrian huntsmen. Picture shows :- A chamois wading its way through knee deep snow, which, by the way, is nothing unusual in the Styrian moutains where winter is very severe. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3344.] [PHOTO CHAMPROUX. 20 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Beeld 171173 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3347. OUT FOR A DAYS SHOOTING. PRINCE HOHENLOHE AND PRINCE RATIBOR LIKE HUNTING. Danube district, Austria :- The Danube district with its large forests and moors gives shelter to many a wild animal. It is particularly stag that can be found on the hunting estates of Prince Ratibor, but also many rare birds live in the moors near the Danube. Picture shows :- Prince Hohenlohe and Prince Ratibor leaving the latter's country house out for a days shooting. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3347.] [PHOTO CHAMPROUX. 19 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Beeld 171174 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3348. AWAITING THE GAME. AUSTRIAN PRINCE ENTERTAINS SHOOTING PARTY ON HIS ESTATE. Danube District, Austria :- The Danube district with its large forests and moors gives shelter to many a wild animal. It is particularly stag that can be found on the hunting estates of Prince Ratibor, but also many rare birds live in the moors near the Danube. Picture shows :- Prince Ratibor, sitting on a camp chair, behind him his game keeper, awaiting the game in his hunting estates in the Danube district. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3348.] [PHOTO CHAMPROUX. 20 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Beeld 171175 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3349. ENJOING LIFE. A PRINCELY STAG BREAKS THROUGH THE BUSHES. Danube District, Austria :- The Danube district with its large forests and moors gives shelter to many a wild animal. It is particularly stag that can be found the hunting estates of Prince Ratibor, but also many rare birds live in the moors near the Danube. Picture shows :- A stag breaking through the bushes during the rutting season early on an Autumn morning. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3349.] [PHOTO CHAMPROUX. 20 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Beeld 171176 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3350. ROAMING THROUGH THE DANUBE WOODS. Danube district, Austria :- The Danube district with its large forests and moors gives shelter to many a wild animal. It is particularly stag that can be found the hunting estates of Prince Ratibor, but also many rare birds live in the moors near the Danube. Picture shows :- A fallow buck in the November, mist looking curiously at the photographer. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3350.] [PHOTO CHAMPROUX. 20 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Beeld 171177 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3360. ALMOST LIKE MOVIES. SIX STAGES OF A RUNNING FOX. Danube district, Austria :- The Danube district with its large forests and moors gives shelter to many a wild animal. Besides the stag, which is at home in the woods, many rare birds and small beasts of prey are to be found on the huge estates of Prince Ratibor in this district. Picture shows :- 6 different views of a fox running at full speed. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3360.] [PHOTO CHAMPROUX. 19 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Beeld 171178 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3361. PHEASANT SHOOTING ON PRINCE RATIBOR ESTATE. Danube district, Austria :- The Danube district with its large forests and moors gives shelter to many a wild animal. Besides the stag, which is at home in the woods, many rare birds and small beasts of prey are to be found on the huge estates of Prince Ratibor in this district. Picture shows :- The game keepers of the Prince Ratibor at a pheasant shooting with the famous Waimarauer setters. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3361.] [PHOTO CHAMPROUX. 20 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Beeld 171179 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3362. A HUNTING PRINCE. Danube District, Austria :- The Danube district with its large forests and moors gives shelter to many a wild animal. Prince Ratibor one of the most aristocratic families of old-Austria has large hunting estates there and big hunting parties are organized yearly in the Danube woods, where the aristocracy of pre-war Austria meets. Picture shows :- The Prince Ratibor (on the left) with his game-keepers on a shooting party in the Danube district on his estate. This photo is so much more interesting as the Prince seldom poses for photographs. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3362.] [PHOTO CHAMPROUX. 20 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Beeld 171180 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3364. A FINE BOOTY. PRINCE SCHWARZENBERG CHAMOIS SHOOTING. Gustersheim, Styria, Austria :- Chamois shooting has always been the noble sport of the Austrian aristocracy. Very few, however, have still the means to keep up this old traditional sport which wants much patience and ski. Prince Schwarzenberg who has large hunting estates in the Styrian moutains is one of the most renowned chamois hunters. Picture shows :- Prince Schwarzenberg (Second from the right) with his game-keepers after a successful chamois shooting party on his estate in Styria. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3364] [PHOTO CHAMPROUX. 19 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Beeld 171181 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3366. HAVING A WALK THROUGH THE FOREST. Danube district, Austria :- The Danube district with its large forests and moors gives shelter to many a wild animal. It is particularly stag that is at home on the huge hunting estates of the Prince Ratibor. Picture shows :- Stag and hinds coming out of the bushes. They seem to have noticed the photographer who, by the way, was quite near to them, as they are lifting their heads suspiciously. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3366.] [PHOTO CHAMPROUX. 20 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Reportage: Ostia antica, [1922-1929]. - 17 foto's
- Reportage: oud beeld van de Madonna in veiligheid gebracht, 04/1944. - 4 foto's
- Reportage over Andorra, [...-1945]. - 4 foto's
- Reportage over Arbeid in Oosterijk: Werkvrouwen herscholen zich, 1930-1945. - 5 foto's
- Reportage over Arbeid: Werkjugend in lucht en zon, 1941. - 6 foto's
- Beeld 171207 : Werkjugend in Luft und Sonne. Der Abend gehlrt der frohen Gemeinschaft. Lustige Erzählungen oder Geschichten, von denen Kameraden selbst vorgetragen, helfen die langen Abende verkürzen. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS PHOTO.] [Série N° 1746 A. Photo N° 6.]
- Beeld 171208 : Werkjugend in Luft und Sonne. In den neu eingegliederten Gebieten des Reiches war es die erste Aufgaeb der DAF, den am schwersten schaffenden Jungarbeitern (Lehrlingen) einen zusätzlichen Erholungsenlaub auf Kosten der DAF in Luft und Sonne zu ermöglichen. So wurden viele Wiener Jungarbeiter auf längere Zeit in Sanatorien und Hotels, welche fruher den Reichen nur zugänglich waren, in den schönsten Gegenden der Ostmark zur Erholunguntergebracht. B.Z. Wiener Jungarbeiter im Semmering auf einem Skiausflug in die herrlichen Berge. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS PHOTO.] [Série N° 1746 A. Photo N° 5.]
- Beeld 171209 : Werkjugend in Luft und Sonne. Während die Einen sich im Skilaufen erproben machen die Skikundigen Skiunterricht mit oder bewundern auf Wanderungen die Schönheiten des Semmerings. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS PHOTO.] [Série N° 1746 A. Photo N° 4.]
- Beeld 171210 : Werkjugend in Luft und Sonne. Jeden Tag der Erholungszeit verbringen die Jungen in der frischen Luft der heimatlichen Berge. Wanderungen von Fremdenführern geführt, lehren Sie die Schönheit ihrer Heimat kennen zu lernen. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS PHOTO.] [Série N° 1746 A. Photo N° 3.]
- Beeld 171211 : Werkjugend in Luft und Sonne. Derv Färberlehrling, tagsüber immer in der ungesunden Luft der Färberei beschäftigt, ist mit anderen Jungkameraden in die herrliche Luft winterlicher Berge geschickt worden. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS PHOTO.] [Série N° 1746 A. Photo N° 2.]
- Beeld 171212 : Werkjugend in Luft und Sonne. Rast vor der Abfahrt, in Höhensonne und der klaren Luft der Berge, ist für die werktätige Jugend ein besonders gesunder Aufenthalt. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS PHOTO.] [Série N° 1746 A. Photo N° 1.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Zensurstelle-Bildpresse. Brüssel, I.A.]
- Reportage over archeologische vondsten van 30000 jaar oud in Steiermark, 1944. - 14 foto's
- Reportage over de didactische activiteiten georganiseerd door een katholieke vereniging voor jeugdwerk te Nice (La cité des jeunes), [1940-1945]. - 12 foto's
- Reportage over de drooglegging van het Biwameer in Japan, 1944. - 4 foto's
- Reportage over de eerste kleurenfilm van Willi Forst, 27/01/1944. - 12 foto's
- Reportage over de Oostenrijkse kunstscholen: De nieuwe generatie podiumbouwers, 1930-1945. - 11 foto's
- Reportage over de opvoeding van de jeugd in Salzburg tijdens de oorlog, [1938-1944]. - 5 foto's
- Reportage over de politieassistenten (Police de l'enfance), 1944. - 5 foto's
- Reportage over de reacties van een vrouw tijdens een bokswedstrijd: Zesmaal Annette tijdens een bokswedstrijd, 21/07/1944. - 6 foto's
- reportage over de regio Bengalen en zijn bevolking, [...-1945]. - 9 foto's
- Reportage over de stichting van de Union nationaler Journalistenverbände in Wenen, 12/12/1941. - 3 foto's
- Reportage over de Vlaamse Oostfrontvrijwilligers : Bij de mannen van de Brigade Langemarck..., 1/1944. - 3 foto's
- Reportage over de Vlaamse Oostfrontvrijwilligers : De Stormbrigade graaft zich in ..., 1/1944. - 3 foto's
- Reportage over de Vlaamse Oostfrontvrijwilligers : Dorp B. opnieuw vast in onze handen..., 3/1944. - 5 foto's
- Beeld 23111 : Das flache, noch immer vom Schnee überzogene Gelände erschwert den Kampf. Unter dem Schutz von Sturmgeschützen und gepanzerten Artillerie arbeiten sich die flämischen SS-Freiwilligen sprungweise vorwärts.
- Beeld 23113 : Das flache, noch immer vom Schnee überzogene Gelände erschwert den Kampf. Unter dem Schutz von Sturmgeschützen und gepanzerten Artillerie arbeiten sich die flämischen SS-Freiwilligen sprungweise vorwärts.
- Beeld 23115 : Weit ausgeschwärmt versuchen die flämischen SS-Grenadiere das unter dem Feuer der Sturmgeschütze und gepanzerten Artillerie liegende Dorf zu umfassen. Greifbar nahe liegt bereits das Dorf vor den anstürmenden SS-Grenadieren. An der Bahnlinie entlang wird der Angriff vorgetragen. Noch wehren sich die Bolschewisten erbittert und zwingen die flämischen SS-Freiwilligen dauernd in Deckung. Sprungweise nun geht es an den Dorfrand heran.
- Beeld 23117 : Die Kampfführung im Osten verlangt oft den härtesten Einsatz um kleinst Geländestreifen oder unscheinbare Dörfer. Dorf B., eine nur aus wenigen Lehmkaten bestehende Ortschaft ist zum heissumrungenen Kampfplatz geworden. Am Rande des Dorfes führt eine Bahnlinie vorbei, welche die Bolschewisten uns immer wieder zu entreissen versuchen. Erneut ist es ihnen gelungen, in das Dorf einzudringen.
Flämische SS-Freiwillige sind zum Gegenstoss angesetzt. In einem von den voraufgegangenen Artilleriekämpfen qualmverhangenen Dorf sammeln sich die SS-Grenadiers. Die SS-Führer besprechen die letzten Einzelheiten des Angriffs. D., Ho., Belg., Flan., Fr. Lettl., Estl., Norw., Adria, Lebmg.
- Beeld 23118 : Weit ausgeschwärmt versuchen die flämischen SS-Grenadiere das unter dem Feuer der Sturmgeschütze und gepanzerter Artillerie liegende Dorf zu umfassen. Noch in Nebel getaucht sind bereits die ersten Lehmkaten des umkämpften Dorfes undeutlich zu erkennen. Immer näher schieben sich die Sturmgeschütze an das Dorf heran.
- Reportage over een Maison wallonne te Châtelet, 1940-1945. - 12 foto's
- Reportage over een Russisch reisgezelschap in Oostenrijk, 1930-1945. - 3 foto's
- Reportage over een schoenenmuseum in Wenen, 1930-1945. - 12 foto's
- Reportage over een wapenfabriek in Groot-Duitsland (Oostenrijk), 1938-1945. - 8 foto's
- Reportage over een 84 jarige vrouw die een hotelbedrijf leidt, [1930-1945]. - 11 foto's
- Reportage over enkele Weense vrouwen: De vrolijke 7 uit Wenen, 1930-1945. - 4 foto's
- Reportage over grafmonumenten in Oostenrijk, 1941. - 3 foto's
- Reportage over het dagelijks leven in Oostenrijk: Overdag mijnwerker, 's avonds violist, 16/08/1944. - 7 foto's
- Reportage over het filmgebeuren in Oostenrijk: Achter de schermen van de Film, 06/08/1944. - 10 foto's
- Reportage over het Franse theater te Parijs: "La maison Molière rouvre ses portes", 1940. - 13 foto's
- Reportage over Het goud van de Nationale Bank van België, [...-1939]. - 15 foto's
- Beeld 36353 : Encore de l'or pour la Banque Nationale de Belgique. Un arrivage de 46 barils d'or, de 75 Kgs chacun, provenant des Amériques, est arrivé à Anvers. Les barils déchargés avec mille précautions, ont été conduits au fourgon, à destination de la Banque Nationale de Belgique, à Bruxelles. Notre photo montre le déchargement à Anvers. Contrairement à ce qui a été dit, le chargement d'or du Belgenland n'était pas destiné à la Banque Nationale.
- Beeld 36355 : Encore de l'Or pour la Banque Nationale de Belgique. Les barils d'or destinés à la Banque Nationale sont déchargés du vapeur Carlier. Chacun de ces petits tonneaux contient une belle fortune, puisqu'ils pèsent 75 kg.
- Beeld 36357 : Précieusement enfouis à fond de cale, les 46 barils d'or sont déchargés avec d'infinies précautions.
- Beeld 36359 : Précieusement enfouis à fond de cale, les 46 barils d'or sont déchargés avec d'infinies précautions.
- Beeld 36361 : Un arrivage de 46 barils d'or, de 75 kgs chacun, provenant des Amériques, est arrivé à Anvers. Les barils déchargés avec mille précautions, ont été conduits au fourgon, à destination de la Banque Nationale de Belgique, à Bruxelles. Notre photo montre le déchargement à Anvers. Contrairement à ce qui a été dit, le chargement d'or du Belgenland n'était pas destiné à la Banque Nationale.
- Beeld 36364 : L'or dans les caves de la Banque Nationale de Belgique. Façade de la Banque Nationale de Belgique, à Bruxelles.
- Beeld 36366 : L'arrivée des barils d'or, venant des Amériques, à la Banque Nationale de Belgique à Bruxelles.
- Beeld 36368 : Arrivage d'or à la Banque Nationale. Les arrivages d'or venant de Paris & de Londres ont été très élevés ces jours-ci, plus de 100 millions. Notre photo montre des employés de la Banque Nationale sortant les lingots d'or de petits tonnelets : 8/4/1935.
- Beeld 36370 : Décidément les pièces de nickel remplaceront toujours les louis d'or. Notre photo représente des sacs remplis de nickel qu'on entasse dans les coffres-forts.
- Beeld 36373 : Vue d'une des caves où des fortunes fabuleuses sont entassées. A gauche, rangées de caisses de lingots d'or.
- Beeld 36376 : Parfois des particuliers achètent de l'or à la Banque de Belgique. Voici une petite quantité d'or destiné à un particulier.
- Beeld 36379 : A l'occasion de la dévaluation de 25 % du franc belge, il est intéressant de montrer ces photos prises à l'intérieur des caves du Trésor Public, à la Banque Nationale de Belgique. Un chargement d'or de 32 millions de francs belges.
- Beeld 36381 : Les lingots d'or sont soigneusement comptés. Et pour cause !
- Beeld 36384 : Avant d'être mise dans les caves, chaque pièce est rigoureusement pesée. Celle-ci d'un poids de 12 Kg 100 vaut environ 300.000 fr.
- Beeld 36386 : La frappe d'une nouvelle monnaie en Belgique.
A partir de cette fin d'année la Commission des Finances a résolu de mettre en circulation de nouvelles pièces de monnaie dont la frappe a donné lieu à une revalorisation des monnaies. Voici les nouvelles pièces de menue monnaie 0,25 - 0,10, 5 centimes : 9/12/1938.
- Reportage over het leven van oorlogsprofiteurs in de VS, 1944. - 3 foto's
- Reportage over het marionettentheater van de Oostenrijkse Richard Teschner, 15/02/1944. - 9 foto's
- Reportage over het Oostenrijks theater: Theaterkostuums, 18/06/1944. - 8 foto's
- Reportage over houtwinning in Oostenrijk: Drijvend hout in het hooggebergte, [1930-1945]. - 10 foto's
- Reportage over immigranten die aankomen in Ellis Island of "Het eiland der tranen" te New York, [1930-1940]. - 9 foto's
- Reportage over Italië, [...-1945]. - 6 foto's
- Reportage over Italie (92.780), [...-1945]. - 3 foto's
- Reportage over Italië (92.784), [...-1945]. - 4 foto's
- Reportage over Italie (92.784), [...-1945]. - 7 foto's
- Beeld 159057 : Die Campagna. Bild 1-12 In der "Campagna felice", wie der Römer von dieser schönen Landschaft spricht, spielen sich durch die Schuld der Verräterclique Italiens jetzt schwere Kämpfe ab. Die Campagna ist eine der fruchtbarsten Gegenden Europas und gehört zu den dichtest bevölkerten Landstrichen Italiens. Überall zeigen sich Baudenkmäler aus alter Zeit. Im Centrum des dortigen Kriegsgeschehens liegt das Flusstal des Volturno und die Stadt Capna. Bild 1 : Capna, das Casilinum der Alten, liegt wie ein Brückenkopf am Volturno. Hier kämpfte schon Hannibal 215 v Ch. Die heutige Stadt wurde 841 neu gegründet. Blick auf die Mitte der Stadt am Volturno. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [118/1] [Serie N° 92.784.1]
- Beeld 159058 : Bild 7. Caiazzo. Am Calore, einem Nebenfluss des Volturno, liegt Caiazzo, das römische Calatia, das noch schöne Bauten aus der Langobardenzeit bewahrt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Censure photographique] [118/7] [Serie N° 92.784.7]
- Beeld 159059 : Bild 8. Landschaftsbild bei Alife im Tal des Volturno. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Censure photographique] [118/8] [Serie N° 92.784.8]
- Beeld 159060 : Bild 9. Die annmutige Umgebung von Alife. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Censure photographique] [118/9] [Serie N° 92.784.9]
- Beeld 159061 : Bild 10. Die Bergruppe des Il Maltese, die von den Tälern des Volturno, des Calore und des Tamarco umschlossen wird. Das Maltesegebirge ist ein Karst ähnliches Massiv. Im Vordergrund der künstlich gebildete Maltese-See, deren Stauwasser zur Kraftstromerzeugung dienen. Im Hintergrund der Monte Miletto, 2050 m hoch. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Censure photographique] [118/10] [Serie N° 92.784.10]
- Beeld 159062 : Bild 11. Guardia Sanframondi, das Land behrrschende mittelalterliche Schloss in einem Nebental des Calore, an der Ostseite des Maltese-Gebirges. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [118/11] [Serie N° 92.784.11] [Censure photographique]
- Beeld 159063 : Bild 12. Das Panorama von Pontelandolfo, einem Städtchen am Zugang zum Tal des Tammaro, der in Richtung Campolasso fliesst. Auf einer Anhöhe gruppiert sich die Stadt um einen alten runden Felsenturn herum. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Censure photographique] [118/12] [Serie N° 92.784.12]
- Reportage over jeugdarbeid in Oostenrijk, 1930-1938. - 2 foto's
- Beeld 171191 : "Jugend am Werk" in Oesterreich. 1800 jugendliche Arbeitslose arbeiten in 84 Werkstätten der Aktion "Jugend am Werk". Trotz verschiedenen politischen Anschauungen herrscht der grösste Einklang zwischen den jugendlichen Arbeitern. 250.000 Schilling hat die Gemeinde Wien der Aktion zur Verfügung gestellt, von welchen bis heute 120.000 Schilling für Maschinen, Material, Nahrungsmittel ausgegeben wurden. Die arbeitslosen Jungarbeiter arbeiten 4 Stunden täglich in den Werkstätten, in welchen sie Schuhe, Kleidungsstücke Speilzeug anfertigen und reparieren die aber nicht verkauft werden, sondern für die Arbeitslosen und Ausgesteuerten verwendet werden. Dadurch kommt die Privatindustrie zu keinen Schaden. Die Baslter verraten unerhört viel Geschmack Schönheitssinn und moderne Richtung in ihrer Arbeit. Unser Bild zeigt : eine Schlosserwerkstätte. [Copyrigt by Photo "ACTUALIT".] [LEO ERNST - ABERT HILSCHER.]
- Beeld 171192 : "Jugend am Werk" in Oesterreich. 1800 jugendliche Arbeitslose arbeiten in 84 Werkstätten der Aktion "Jugend am Werk". Trotz verschiedenen politischen Anschauungen herrscht der grösste Einklang zwischen den jugendlichen Arbeitern. 250.000 Schillinge hat die Gemeinde Wien der Aktion zur Verfügung gestellt, von welchen bis heute 120.000 Schillinge für Maschinen, Material, Nahrungsmittel ausgegeben wurden. Die arbeitslosen Jungarbeiter arbeiten 4 Stunden täglich in den Werkstätten, in welchen sie Schuhe, Kleidungsstücke Speilzeug anfertigen und raprieren die aber nicht verkauft werden, sondern für die Arbeitslosen und Ausgesteuerten verwendet werden. Dadurch kommt die Privatindustrie zu keinen Schaden. Die Baslter verraten unerhört viel Geschmack Schönheitssinn und moderne Richtung in ihrer Arbeit. Unser Bild zeigt : eine Schuhmacher-Werkstätte. [Copyrigt by Photo "ACTUALIT".] [LEO ERNST - ABERT HILSCHER.]
- Reportage over Liechtenstein, [1939]. - 2 foto's
- Reportage over NSV kleuterscholen in Oostenrijk, 09/10/1943. - 4 foto's
- Reportage over oorlogsarbeid in Oostmark: Het vaderland arbeid voor het front, 1941. - 9 foto's
- Beeld 171193 : Die Heimat arbeitet für die Front. Ein ostmärkisches Flugzeugwerk, das mit zu den ersten Musterbetrieben der Ostamrk gehört, arbeitet in unermüdlichem Einsatz für die deutsche Luftwaffe. Unsere Bilderserie zeigt den Werdegang deutscher Jagdflugzeuge. U.B.z. : Für die Arbeitspausen stehen der Belegschaft Grünanlagn zur Verfügung. Aufnahme : Transocean/Röhrich. Nr. S 1517. 29.4.41. Frei OKW ; Frei Promi. [SIPHO.]
- Beeld 171194 : Die Heimat arbeitet für die Front. Ein ostmärkisches Flugzeugwerk, das mit zu den ersten Musterbetrieben der Ostamrk gehört, arbeitet in unermüdlichem Einsatz für die deutsche Luftwaffe. Unsere Bilderserie zeigt den Werdegang deutscher Jagdflugzeuge. U.B.z. : Den Zusammenbau der Flügel in einer der grossen Montagehallen. Aufnahme : Transocean/Röhrich. Nr. S 1521. 29.4.41. Frei OKW ; Frei Promi. [SIPHO.]
- Beeld 171195 : Die Heimat arbeitet für die Front. Ein ostmärkisches Flugzeugwerk, das mit zu den ersten Musterbetrieben der Ostamrk gehört, arbeitet in unermüdlichem Einsatz für die deutsche Luftwaffe. Unsere Bilderserie zeigt den Werdegang deutscher Jagdflugzeuge. U.B.z. : In der Propeller-Abteilung wird eine Propeller-Serie vermessen. Aufnahme : Transocean/Röhrich. Nr. S 1527. 29.4.41. Frei OKW ; Frei Promi. [SIPHO.]
- Beeld 171196 : Die Heimat arbeitet für die Front. Ein ostmärkisches Flugzeugwerk, das mit zu den ersten Musterbetrieben der Ostamrk gehört, arbeitet in unermüdlichem Einsatz für die deutsche Luftwaffe. Unsere Bilderserie zeigt den Werdegang deutscher Jagdflugzeuge. U.B.z. : Das Herz der Flugzeuge, die Motoren, werden montiert. Aufnahme : Transocean/Röhrich. Nr. S 1528. 29.4.41. Frei OKW ; Frei Promi. [SIPHO.]
- Beeld 171197 : Die Heimat arbeitet für die Front. Ein ostmärkisches Flugzeugwerk, das mit zu den ersten Musterbetrieben der Ostamrk gehört, arbeitet in unermüdlichem Einsatz für die deutsche Luftwaffe. Unsere Bilderserie zeigt den Werdegang deutscher Jagdflugzeuge. U.B.z. : Den Einbau der Motoren in der Fertig-Montagehalle. Aufnahme : Transocean/Röhrich. Nr. S 1531. 29.4.41. Frei OKW ; Frei Promi. [SIPHO.]
- Beeld 171198 : Die Heimat arbeitet für die Front. Ein ostmärkisches Flugzeugwerk, das mit zu den ersten Musterbetrieben der Ostamrk gehört, arbeitet in unermüdlichem Einsatz für die deutsche Luftwaffe. Unsere Bilderserie zeigt den Werdegang deutscher Jagdflugzeuge. U.B.z. : Noch eine letzte Duchsicht und das Jagdflugzeug steht zum Verlassen der Halle bereit. Aufnahme : Transocean/Röhrich. Nr. S 1532. 29.4.41. Frei OKW ; Frei Promi. [SIPHO.]
- Beeld 171199 : Die Heimat arbeitet für die Front. Ein ostmärkisches Flugzeugwerk, das mit zu den ersten Musterbetrieben der Ostamrk gehört, arbeitet in unermüdlichem Einsatz für die deutsche Luftwaffe. Unsere Bilderserie zeigt den Werdegang deutscher Jagdflugzeuge. U.B.z. : Montage der Flugzeugrümpfe.. Aufnahme : Transocean/Röhrich. Nr. S 1542. 29.4.41. Frei OKW ; Frei Promi. [SIPHO.]
- Beeld 171200 : Die Heimat arbeitet für die Front. Ein ostmärkisches Flugzeugwerk, das mit zu den ersten Musterbetrieben der Ostamrk gehört, arbeitet in unermüdlichem Einsatz für die deutsche Luftwaffe. Unsere Bilderserie zeigt den Werdegang deutscher Jagdflugzeuge. U.B.z. : Frauen beim bearbeiten gestanzter Flugzeugteile. Aufnahme : Transocean/Röhrich. Nr. S 1547. 29.4.41. Frei OKW ; Frei Promi. [SIPHO.]
- Beeld 171201 : Die Heimat arbeitet für die Front. Ein ostmärkisches Flugzeugwerk, das mit zu den ersten Musterbetrieben der Ostamrk gehört, arbeitet in unermüdlichem Einsatz für die deutsche Luftwaffe. Unsere Bilderserie zeigt den Werdegang deutscher Jagdflugzeuge. U.B.z. : den Flächenbau. Aufnahme : Transocean/Röhrich. Nr. S 1520. 29.4.41. Frei OKW ; Frei Promi. [SIPHO.]
- Reportage over Oostenrijkse steden: Almsee, 1930-1945. - 8 foto's
- Reportage over Oostenrijkse steden: Een straat in het eewige ijs, 1930-1945. - 12 foto's
- Reportage over Oostenrijkse steden: Grunan, 1930-1945. - 3 foto's
- Reportage over Oostenrijkse steden: Grundslee, 1930-1945. - 5 foto's
- Reportage over Oostenrijkse steden: Het mooie oude Rattenberg, 19/09/1943. - 17 foto's
- Reportage over Oostenrijkse steden: St. Wolfgang, 1930-1945. - 13 foto's
- Reportage over Oostenrijkse types, 1930-1945. - 8 foto's
- Reportage over Richard Wagner (+ tekst), 22/05/1938. - 5 foto's
- Reportage over San Marino, [...-1945]. - 12 foto's
- Reportage over skisport: Flieger über Kitzbühel, 1930-1940. - 11 foto's
- Reportage over Visserij in de Verenigde Staten: Der Wandorfisch Lachs – der Leckerbissen des Ozeans, [1930-1940]. - 5 foto's
- Reportage over Visserij in de Verenigde Staten: Rijkere visvangst nabij de stuwdam, [1930-1940]. - 8 foto's
- Reportage: Paardenkeuring (hengsten) in Wels, 27/11/1944. - 10 foto's
- Reportage: Paradijs van de schilders in Italië, [...-1945]. - 20 foto's
- Beeld 159079 : 1. Das Paradies der Maler. Mario Toppi, einer aus der berühmten Familie der Toppi, die den Ruhm Anticolis als Malerparadies begründet haben. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis - Photo] [A restituer après publication] [Serie N° 92.705 B : photo n° 1] * [Serie N° 92.705 A : photo n° 1]
- Beeld 159080 : 2. Das Paradies der Maler. Spätnachmittag auf dem Marktplatz von Anticoli - Corrado. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis - Photo] * [Serie N° 92.705 B : photo n° 2] [Serie N° 92.705 A : photo n° 2]
- Beeld 159081 : 3. Das Paradies der Maler. Kleiner Schwatz der Weiber unter einem der vielen Torbögen, die die Gässchen von Anticoli überspinnen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis - Photo] [Serie N° 92.705 B : photo n° 3] * [Serie N° 92.705 A : photo n° 3]
- Beeld 159082 : 4. Das Paradies der Maler. Blick auf Anticoli Corrado, das hoch auf dem Berg über dem Tal des Aniene gelegen ist. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis - Photo] [Serie N° 92.705 B : photo n° 4] [A restituer après publication]
- Beeld 159083 : 5. Das Paradies der Maler. Eine Alte aus Anticoli, der man es heute freilich nicht mehr ansieht, das sie in ihrer Jugend ein begehrtes Modell der Maler war. Im kleinem Museum des Orts hängt ein Bild von ihr damals einer üppigen, glutäugigen jungen Frau, mit dem Wasserkrug auf dem kopf und einem Strauss roter Nelken im Mieder. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis - Photo] [Serie N° 92.705 A photo n° 5]
- Beeld 159084 : 6. Das Paradies der Maler. Die Menschen leben hier noch heute wie vor hunderten von Jahren in übereinander getürmten und ineinander verfilzten Hausern, mit dicken Mauern und winzigen Fenstern. Die Familie sitzt abends am ehrwürdigen Kamin, in dem auch gekocht wird, und erzählt sich Geschichten. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis - Photo] [Serie N° 92.705 B : photo n° 6]
- Beeld 159085 : 7. Das Paradies der Maler. Einer der vielen malerischen Winkel in Anticoli - malerisch, aber mit seinem übereinander getürmten Mauerwerk schwer für die Kamera des Fotografen zu erfassen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B photo n° 7]
- Beeld 159086 : 8. Das Paradies der Maler. Männer von Anricoli bei einer Siesta nach dem Mittagessen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 8]
- Beeld 159087 : 9. Das Paradies der Maler. Anticoli Corrado ist heute noch ein Stück lebendigen Mittelalters - nichts hat die Neuzeit daran geändert und noch heute sieht es aus, wie ein an dem Berg geklebter Bienenstock. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 9]
- Beeld 159088 : 10. Das Paradies der Maler. Auf dem Heimwege von Feld hoch auf einem der Berge um Anticoli. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 10]
- Beeld 159089 : 11. Das Paradies der Maler. Excellenz Pietro Gaudenzi, Mitglied der Akademie Italiens, einer der anerkanntesten Maler der älteren Generation. Er ist verheiratet mit einer der Töchter des berûhmten Toppi und heute Podestà - Bürgermeister - von Anticoli. Er wohnt recht wie ein Fürst im alten Kastell der Grafen Corrado di Antiochia, das hoch über dem ineinanderverflochtenen Häusergewirr von Anticoli thront. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo]
[Série 92.705.B / Photo 11]
- Beeld 159090 : 12. Das Paradies der Maler. Reimkehr vom Felde. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication][Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 12]
- Beeld 159091 : 13. Das Paradies der Maler. Kahl sind wie meist auch hier, die Berge der Apenninen, aber von einem unsagbaren eignen Reiz. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 13]
- Beeld 159092 : 14. Das Paradies der Maler. Anticoli Corrado ist auch wegen seiner trefflichen Schweinezucht berühmt selbst im Krieg hat sich daran nichts geändert. Über alle Gässchen und Treppen des Ortes laufen die Borstentiere lustig herum und benehmen sich zutraulich wie sonstwo die Hunde, laufen sogar mit dem Bauer aufs Feld und zotteln friedlich neben ihm, der seinem Esel teitet, am Abend wie der mit heim. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 14]
- Beeld 159093 : 15. Das Paradies der Maler. Das Leben in so einem kleinen Bergnest ist nicht leicht. Jeder Gang aufs Feld, in den Garten, zum Bach, wo gewaschen wird - immer muss man erst klettern und kraxeln, um herab eren brennt die heisse südliche Sonne. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 15]
- Beeld 159094 : 16. Das Paradies der Maler. "Mädchen mit Vogel" - Ölstudie von Margherita Oswald-Toppi in Zürich. Bild aus der Sammlung des Baron Werner von der Schulenburg, Roma. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 16]
- Beeld 159095 : 17. Das Paradies der Maler. " Mädchen mit Krug" - Ölstudie von Margherita Oswald-Toppi in Zürich. Bild aus der Sammlung des Baron Werner von der Schulenburg, Roma. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 17]
- Beeld 159096 : 18. Das Paradies der Maler. "Weinlese" von Mario Toppi in Anticoli-Corrado, Bild aus der Sammlung des Baron von der Schulenburg, Roma. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 18]
- Beeld 159097 : 19. Das Paradies der Maler. Aktstudie vom Exzellenz Selva - Anticoli - Corrado, Aus der Sammlung des Baron von de Schulenburg,Roma. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 19]
- Beeld 159098 : 20. Das Paradies der Maler. "Kreuzabnahme Christi" von dem Bildhauer Exzellenz Selva Anticoli-Corrado. Aus der Sammlung des Baron Werner von der Schulenburg, Roma. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 20] * [Série 92.705.A / Photo 20]
- Reportage: Praktisch onderwijs voor duikbootbemanning in Italië, 26/08/1943. - 5 foto's
- Reportage: Rome 1944, 21/04/1944. - 13 foto's
- Beeld 159189 : Fr. 1290. Wolfgang Weber schildert. Rom 1944. 1) Bomben fallen auf Rom. Menschen flüchten vor den Splittern. 5 Minuten braucht der Terrorbomber von der Front bis Rom. Die Angloamerikaner begründen ihre Angriffe mit der Anwesenheit deutscher Truppen. In Wirklichkeit... [Sipho] [Serie 2477 : photo 1] [A restituer après publication] [Censure photographique 24/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Beeld 159190 : Nr. 1290. 2) ... kein deutscher Soldat darf nach Rom ! Der Posten am 9. Kilometerstein der Via Cassis (Rom-Florenz) hält jedes Auto an. Rom ist offene Stadt. Deutsche Soldaten dürfen die italienische Hauptstadt weder betreten noch passieren. [Sipho] [Serie 2477 : photo 2] [A restituer après publication] [Censure photographique 24/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Beeld 159191 : Nr. 1290. 3) Auf der Fahrt nach Rom : Überrall Schilder, die vor feindlichen Tieffliegern warnen. Den geregelten warnen. Den geregelten Nachschub vermögen die Anglo-Amerikaner auf diese Weise allerdings nicht zu stören. [Sipho] [Serie 2477 : photo 3] [A restituer après publication] [Censure photographique 24/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Beeld 159192 : Nr. 1290. 5) Das "Fliegerzeigen" am Colosseum. Die gelb-weiss-schwarzen Dreiecke sind auf allen historischen Bauten deutlich angebracht, um sie vor feindlichen Fliegern zu schützen... mit welchem Erfolg zeigen San Lorenzo und Monte Cassino. [Sipho] [Serie 2477 : photo 5] [A restituer après publication] [Censure photographique 24/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Beeld 159193 : Nr 1290. Die "Hauptgefahrenzeit" Roms beginnt... ein Menschenstrom ergiesst sich auf die Peterskirche zu. Gegen Mittag packen viele ihre Koffer und begeben sich in die Nähe der Peterskirche oder des Laterans, wo man sich vor Luftangriffen am sichersten fühlt. [Sipho] [Serie 2477 : photo 6] [A restituer après publication] [Censure photographique 24/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Beeld 159194 : Nr. 1290. 7) Mittags vor der Peterskirche : Eine riesige Menschenmenge sucht vor den anglo-amerikanischen Angriffen Schutz auf dem Boden der Vatikanstadt. Von den weissen Granitquadern, die die Grenze des Vatikanstaates markieren, bis zu den Stufen vor der Peterskirche ist der päpstliche Boden jedem zugänglich. Hier wartet man die gefährlischste Zeit des Tages ab. Frauen in kostbaren Pelzmänteln sitzen neben den in Lumpen gehüllten Flüchtlingen aus den Albaner Bergen und dem Kampfgebiet. [Sipho] [Serie 2477 : photo 7] [A restituer après publication] [Censure photographique 21/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Beeld 159195 : Nr. 1290 8) Der grosse Augenblick in Rom : die Mittagzeitung erscheint. Auch die Geistlichkeit nimmt regen Anteil am Zeitgeschehen. [Sipho] [A restituer après publication] [Serie 2477 : photo 8] [Censure photographique 21/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Beeld 159196 : Nr. 1290. 9) Der allmorgendliche Gang zum Brunnen... Manche Wasserleitungen sind zerstört worden - das erstemal, seit sie die Römer bauten. Rom hat Wassermangel. Man holt das Wasser mit der Korbflasche am Brunnen. [Sipho] [Serie 2477 : photo 9] [A restituer après publication] [Censure photographique 21/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Beeld 159197 : Nr. 1290. 10) Die Gegenmassnahmen : Künstliche Quellen. Sofort haben die Behörden in den tiefergelegenen Stadtteilen Wasserquellen erschlossen. Wasser ist überall auf der Strasse zu haben. [Sipho] [Serie 2477 : photo 10] [A restituer après publication] [Censure photographique 21/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Beeld 159198 : Nr. 1290. 12) Versorge für alle Fälle. Römerinnen züchten auf ihren Dachgärten Kanninchen als eisernen Bestand, auf das sie im Rotfall zurückgreifen können. [Sipho] [Serie 2477 : photo 12] [A restituer après publication] [Censure photographique 21/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Beeld 159199 : Nr. 1290. 13) Die Oper ist aus. Es wird ohne Unterbrechung gespielt, auch wenn draussen die Fliegerbomben krachen. [Sipho] [Serie 2477 : photo 13] [A restituer après publication] [Censure photographique 21/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Beeld 159200 : Nr. 1290 14) Der Dreirad-Missetäter. Es ist Kriegsbrauch, in Frontnähe der Zivilbevölkerung des Radfahren zu verbieten, um dunklen Elementen die Flucht zu erschweren. Nur die langsamen Dreiräder zu Transportzwecken sind in dem noch erlaubt. So das Kriegsgesetz und - [Sipho] [Serie 2477 : photo 14] [A restituer après publication] [Censure photographique 21/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Beeld 159201 : Nr. 1290. Gehört zur Serie : Rom 1944. 15) Vor einem der von der päpstlichen Schweizergarde bewachten Eingänge zum Vatikan. [Sipho] [Serie 2477 : photo 15] [A restituer après publication] [Censure photographique 21/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Reportage rond arbeid in Oostenrijk: Smeedwerk, 1930-1945. - 5 foto's
- Reportage rond arbeid in Oostenrijk: Vrijwilligers van de Arbeidsdienst leggen een bergweg aan, 1930-1945. - 4 foto's
- Beeld 171337 : Freiwilliger Arbeitsdienst baut Höhenstrasse. 2800 Arbeitswillige zählt der Oesterreichische Arbeitsdienst, welcher um zwei Schillinge Taglohn pro Mann, eine nahrhafte Kost, Liegestatt, das Gespenst der Arbeitslosigkeit bannen will. Die Arbeitskolonie baut derzeit eine Höhenstrasse über den Kreuzberg bei Krems. Eine einheitliche Uniform, eine Wimpel mit Spaten und Aehren im Wappen sind die äusseren Zeichen der "Arbeitssoldaten". Es ist dies die erste Vereinigung, die durch das Beispiel des freiwilligen "Oesterreichischen Arbeitsdienst" das Problem der Kriese lösen will. Unser Bild zeigt :- Eine Parade der Schiebtruhen. Lössbergwände werden abgetragen. [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.]
- Beeld 171338 : Freiwilliger Arbeitsdienst baut Höhenstrasse. 2800 Arbeitswillige zählt der Oesterreichische Arbeitsdienst, welcher um zwei Schillinge Taglohn pro Mann, eine nahrhafte Kost, Liegestatt, das Gespenst der Arbeitslosigkeit bannen will. Die Arbeitskolonie baut derzeit eine Höhenstrasse über den Kreuzberg bei Krems. Eine einheitliche Uniform, eine Wimpel mit Spaten und Aehren im Wappen sind die äusseren Zeichen der "Arbeitssoldaten". Es ist dies die erste Vereinigung, die durch das Beispiel des freiwilligen "Oesterreichischen Arbeitsdienst" das Problem der Kriese lösen will. Unser Bild zeigt :- Tagesbefehl des "Oesterreichischen Arbeitsdienst" in Arbeitsunifom. Geschultert ist das Gewehr des Friedens, Schaufel und Krampen, die Fahne der Arbeit zwei Aehren mit Spaten im hellen Kreis begleiten begleitet den Zug. [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.]
- Beeld 171339 : Freiwilliger Arbeitsdienst baut Höhenstrasse. 2800 Arbeitswillige zählt der Oesterreichische Arbeitsdienst, welcher um zwei Schillinge Taglohn pro Mann, eine nahrhafte Kost, Liegestatt, das Gespenst der Arbeitslosigkeit bannen will. Die Arbeitskolonie baut derzeit eine Höhenstrasse über den Kreuzberg bei Krems an der Donau. Eine einheitliche Uniform, eine Wimpel mit zwei Aehren und Spaten im weissen Kreis sind die äusseren Zeichen der "Arbeitssoldaten". Es ist dies die erste Vereinigung, die durch das Beispiel des freiwilligen Arbeitsdienstes das Problem der Kriese lösen will. Unser Bild zeigt :- Die Höhenstrasse am Kreuzeberg wird gebaut. Im Tale liegt Krems an der Donau. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.]
- Beeld 171340 : Freiwilliger Arbeitsdienst baut Höhenstrasse. 2800 Arbeitswillige zählt der Oesterreichische Arbeitsdienst, welcher um zwei Schillinge Taglohn pro Mann, eine nahrhafte Kost, Liegestatt, das Gespenst der Arbeitslosigkeit bannen will. Die Arbeitskolonie baut derzeit eine Höhenstrasse über den Kreuzberg bei Krems an der Donau. Eine einheitliche Uniform, eine Wimpel mit zwei Aehren und Spaten im weissen Kreis sind die äusseren Zeichen der "Arbeitssoldaten". Es ist dies die erste Vereinigung, die durch das Beispiel des freiwilligen Arbeitsdienstes das Problem der Kriese lösen will. Unser Bild zeigt :- Die Höhenstrasse am Kreuzberg wird gebaut. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.]
- Reportage rond het dagelijks leven in Wenen, [1930-1945]. - 8 foto's
- Reportage: Roomse schermacademie in Italië, [1922-1939]. - 12 foto's
- Reportage: Salzburg, een betoverende stad, 08/11/1943. - 6 foto's
- Reportage: Salzburg en de schatten van Mozart, 17/08/1941. - 21 foto's
- Reportage: Salzburgse Model, 1940-1944. - 3 foto's
- Reportage: Sant'Alesso: Landbouw Hogeschool voor vrouwen in Italië (+ tekst), 09/09/1942. - 10 foto's
- Beeld 162658 : Italiens Landwirtschaftliche Frauenhochschule.
2. Wie ein kleiner Festsaal sieht der offense Hof aus, auf dem die Kaninchenzucht der Landwirtschaftschule sich befindet. Nach zwei Gesichtspunkten werden hier die Kaninchen gezüchtet : Rassen, die wegen ihres Felles und andere die wegen ihres Fleisches mützlich sind.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.247 A - photo 2]
Italiens landwirtschaftliche Frauenhochschule.
Scuola Superiore di Agraria in St.Alesso.
Nur wenige werden wissen, dass man, wenn man einige Kilometer über die ehrwürdige Via Appia in die Campagna fährt, zu einer jungen und sehr lebensvollen Siedlung gelangt : der Scuola Superiora di Agraria von St. Alessio. Alljährlich werden hier etwa 25 junge Mädchen, die z.T. bereits ihr Dr. Examen in Agrar-und Naturwissenschaft bestanden haben, mit der Praxis der Landwirtschaft vertraut gemacht. Auf einem Stückchen Erde von ca.100 Norgen üben sich die eifrigen Elevinnen in allen erdenklichen ländlichen Verrichtungen. Das Hauptgewicht liegt selbstverständlich in Gartenbau und Kleintierzucht. Die jungen, hier ausgebildeten Mädchen sind dazu bestimmt, später die "massaie rurale", das sind die Siedler- und Bauersfrauen, zu schulen, es ist ein wichtiger Faktor im Autarkie-Programm Italiens, dass die Landfrauen Kleintierzucht rationell betreiben. Deshalbt erlernen auch die Schülerinnen der Landwirtschaftlichen Frauenhochschule jeden Handgriff von der Pike auf.
Wir sehen sie in Alessio an ihren Kaninchenställen, die luftig unddoch sonnengeschützt einen glycinienüberrankten Hof umrahmen. Die kostbaren Pelzlieferanten schlafen auf Maschendraht, um stets trocken zu liegen, ihr duftig weisses Angorahaar bezeugt die liebevolle Pflege. Und während die Elevinnen, die den Hühnerdienst versehen , ihre Musterhennen vorführen, stellt man fest, dass die Fallnester einen Drahtklappenverschluss haben. Weiter ergötzt man sich an der originellen Imkerhaube, die wie ein moderner Hut anmutet. Ein winziges Kleintier, das sich auch in Deutschland wachsender Beliebtheit erfreut, gehört ebenfalls zu den Schulungsobjekten von Alessio : der unscheinbare Seidenwurm, der mit Maulbeerblättern gefüttert wird. Weiter steht die Gewinnung von Spinnstoff aus den verschiedensten Fasergewächsen auf dem Arbeitsprogramm.
Dazu gehören auch Baumwollkulturen, wie sie mit Erfolg in dem Agro Pontino, den ehemaligen Pontinischen Sümpfen, angelegt wurden. aen Faden erzeugt, soll auch verstehen, ihn zu verarbeiten, ihn zu spinnen, zu stricken und zu weben. Und so sehen wir die Mädels am Webstuhl sitzen und das Schiffchen schwingen.
Oft sind es alte Vorlagen, die als webmuster dienen. Immer aber sind die Streifen und Karos Farbig, heiter und geschmackvoll.
Eines ist sicher, dass wenn die Glocke zum Schlafengehen schlägt, die Mädschen von St. Alessio sehr müde geworden sind. Denn wer kennt sie nicht, die gesunde Müdigkeit nach einem Tag ländlicher Arbeit? Und unter der intensiven Sonne des Südens oder gar während des gefürchteten Schirocco, dem wüstenwind, bedeutet dieser Grad von Aktivität für die jungen Mädchen einen Energieaufwand, der Bewunderung einflösst. Die Signorina im weissen Kittel hat zweifellos recht, wenn sie sagt : es gehört viel Idealismus dazu !
B.V.G.
- Beeld 162659 : Italiens landwirtschaftliche Frauenhochsdule.
3. Sie sind so stolz auf die Ausbeute an Eiern von den ihnen zur Pflege anvertrauten Hühnern.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.247 A - photo 3]
- Beeld 162660 : Italiens landwirtschaftliche Frauenhochschule.
4. Professoren der Universität in Rom erteilen den theoretischen Unterricht an die Schülerinnen der Landwirtschaftlichen Hochschule S. Alessio. Die Fräulein Doktoren wundern sich, was man über eine Kuh alles wissen muss.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.247 A - photo 4]
- Beeld 162661 : Italiens landwirtschaftliche Frauenhochschule.
5. Imkerinnen mit Schutzkappen - nicht ohne "Schick".
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.247 A - photo 5]
- Beeld 162662 : Italiens landwirtschaftliche Frauenhochschule.
6. Auch der Seidenraupenzucht wird grösste Aufmerksamkeit geschenkt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.247 A - photo 6]
- Beeld 162663 : Italiens landwirtschaftliche Frauenhochschule.
7. Auch in Italien wird viel getan, um die Hausweberei zu beleben.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.247 A - photo 7]
- Beeld 162664 : Italiens landwirtschaftliche Frauenhochschule.
8. Von der Hand eines Fräulein Doktor der Naturwissenschaft serviert schmeckt es den Schweinen der Landwirtschaftlichen Hochschule bestimmt besonders gut.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.247 A - photo 8]
- Beeld 162665 : Italiens landwirtschaftlige Frauenhochschule.
9. Eine Studentin der landwirtschaftlichen Hochschule beim Anschirren der malerischen Campagna Ochsen zur Feldarbeit.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.247 A - photo 9]
- Beeld 162666 : Italiens landwirtschaftlige Frauenhochschule.
10. Auch die einfachsten Mahlzeiten des Tages werden grundsätzlich nur am gedeckten Tisch mit schönem Geschirr gereicht und immer müssen die jungen Mädchen, die jeweils diesen Dienst ausüben, auf sorgfältig hergerichteten Platten selbst servieren.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.247 A - photo 10]
- Beeld 162667 : Italiens landwirtschaftlige Frauenhochschule.
11. Verdiente Mittagspause.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.247 A - photo 11]
- Reportage: Sardinië, [1922-1945]. - 4 foto's
- Reportage: Schaduwen van Florence, [...-1945]. - 4 foto's
- Reportage: Te voet op "de koninklijke weg" (+ tekst), 07/09/1942. - 13 foto's
- Beeld 159927 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 12. Wie ein gigantischer Meilenstein liegt dieses zerfallene römische Grabdenkmal an der Via Appia Antica. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 12] [Censure photographique] Serie 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Beeld 159928 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 11. Ein typisches Bild am Wege der Via Appia Antica; feierliche Ruhe und stille Grösse. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 11] Serie 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Beeld 159929 : Römische Brunnen. 10. Nicht weit von der Piazza Barberini erhebt sich der herrliche Palazzo Barberini, an dem alle grossen Barockmeister gearbeitet haben. (C. Maderno, Borromini, Bernini). Vor dem Palast einer der herrlichen Pomischen Brunnen, die ganz auf das Spiel der Wasser hin gebaut sind. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.236 B : photo 10] Série 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Beeld 159930 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 10. Friedlich weiden am Rande der Via Appia die Schafe der römischen Campagna. [Sipho] [Frei gegegben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 10] Serie 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Beeld 159931 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 9. Das noch sehr gut erhaltene Tor der Via Appia Antica, durch das die römischen Legionen auf ihre welterobernden Züge hinausmarschierten. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 9] Série 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Beeld 159932 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 8. Rechts und links von Pinien, Zypressen und ehrwürdigen Ruinen eingerahmt, zieht sich die Via Appia durch die Campagna zum Gebirge hin. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 8] Serie 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Beeld 159933 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 7. Wolken über der endlosen Campagna. Einsam steht nahe der königlichen Strasse, seit über 2000 Jahren, die Figur eines alten Römers. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 7]
Serie 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Beeld 159934 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 6. In einer der alten Trattorien an der Via Appia, die jetzt während des Krieges besonders von Radfahrern gern als Ausflugsziel erkoren wird. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 6] Serie 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Beeld 159935 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 5. Die meist so ernst und düster aussehende Via Appia schaut an dieser Stelle fast lieblich aus. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 5] Serie 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Beeld 159936 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 4. Die Basilika des heiligen Sebastian, errichtet auf einer Stelle, die getränkt ist mit Märtyrerblut aus der Zeit der Christenverfolgung. Hier ruhen auch die sterblichen Reste des heiligen Sebastian. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 4] Serie 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Beeld 159937 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 3. Auf der Via Appia. Im Hintergrund der Monte Cavo, höchste Erhebung des Albaner Gebirges. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 3] Serie 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Beeld 159938 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 2. Die Via Appia bricht durch die Stadtmauer Roms swischen zwei herrlichen, mittelalterlichen Türmen. Von hier verläuft sie sich in die weite Ebene der Campagna. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 2] Serie 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Beeld 159939 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 1. Die Via Appia Antica innerhalb der römischen Stadtmauern - eine von fröhlichen Radfahrern belebte, und von alten Parks eingerahmte Strasse. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 1] Série 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Reportage: Tien jaar radio - Oostenrijk, 1930-1938. - 3 foto's
- Reportage: Traditionele Oostmarkse Kleding, 09/12/1944. - 8 foto's
- Reportage: über den Dächern von Florenz, [...-1945]. - 7 foto's
- Reportage van Hugo A. Bernatzik (van Wenen) over de bevolking van Mailu in Nieuw Guinea, [...-1945]. - 20 foto's
- Beeld 152547 : 3. Zwei Doppelkanus mit aufgesetzten Wellenbrechern, dazwischen eine festgebundene Plattform, bilden den Bootskörper des "Orou".
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Beeld 152548 : 4. Einholen der Grosschot. Da die Eingeborenen keine Flaschenzüge kennen, erfordert das Einholen einen starken Krafteinsatz der ganzen Besatzung.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Beeld 152549 : 5. Der Kapitän des "Orou", links neben ihm sind die Wanten aus eingedrechten Rotanglianen sichtbar, die den schweren Mast zu stützen und dem Winddruck stanzuhalten haben.
[5/12/19.?.]
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Beeld 152550 : 6. Sorgfältig isolierter Feuerplatz an Bord eines Orou. Da die Eingeborenen auf ihren Fahrten manchmal wochenlang kein festes Land betreten, muss der Feuerplatz als Küche dienen.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Beeld 152551 : 7. Der Steuermann. Er drückt während der Fahrt das mächtige Brett, das das Steuer bildet, mit den Füssen unter Wasser.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Beeld 152552 : 8. ...und dirigiert es gleichzeitig mit Hilfe einer Stange, die er in der Rechten lält.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Beeld 152553 : 10. Bootsmann beim Erklettern der Takelage. Man sieht deutlich, wie das Segel aus geflochtenen Palmblattstreifen zusammengestellt ist.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Beeld 152554 : 12. Wenden des "Orou". Man lässt die Grossschot los, dass das Segel flattert und trägt das Steuerruder auf die entgegengesetzte Seite des Bootes, um es hier von neuem festzubinden.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Beeld 152555 : 2. Melanesier in leichten Doppelkanus. Die beiden Einbäume sind durch eine Plattform miteinander verbunden. Diese Fahrzeuge dienen zum Befahren der Flüsse.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Beeld 152556 : 5. Kunstvoll geschnitzte Decke im unteren Wohnzimmer eines Mailuhauses. Krokodile und Schlangen herrschen als Motive vor.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Beeld 152557 : 8. Kleine Mailumädchen in der gleichen Tracht wie die Erwachsenen.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Beeld 152558 : 9. Mailukrieger zum Tanz geschmückt. Er trägt Opossumfelstreifen über der Stirn und mehrere Federnkronen über dem Kopf, dazwischen Muschelbänder. Zwischen den Zähnen hält er mächtige Schweinszähne.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Beeld 152559 : 10. Mailufrau mit Federnkrone, über dem Ohr Hibiscusblüten. Das Gesicht ist bemalt.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Beeld 152560 : 11. Aeltere Mailufrau zum Tanz geschmückt, in der Hand hält sie eine Tanzkeule.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Beeld 152561 : 12. Mailukrieger beim Tanz. Der Paradiesvogelkopfschmuck flattert rückwärts herab.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Beeld 152562 : 14. Eine Reihe tanzender und die Sanduhrtrommel schlagender Mailikrieger.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Beeld 152563 : 1. Wie lebende Stare sehen die holzgeschnitzten Vögel auf den vorstehenden Firstbalken der Mailuhäuser aus.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Beeld 152564 : Die fleissigen Frauen von Mailu
2. Hölzerner Hund auf dem Giebelbalken eines Hauses.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Beeld 152565 : 6. Die Unterkiefer von Opferschweinen sind um den Eckpfeiler eines Hauses gestapelt und festgebunden.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Beeld 152566 : 9. Oft schlagen während der Fahrt die Wogen über das Verdeck und drohen die beiden Einbäume des Doppelkanus zu füllen. Dann steigen die Eingeborenen in die Einbäume und schöpfen sie aus.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Reportage: Via Margutta (kunstenaarswijk), 1943. - 6 foto's
- Beeld 159895 : 1007 Die Via Margutta. Ein Besuch im Künstlerviertel Roms. 1. Still und verträumt zieht sich am Fusse des Pincio in Rom eine schmale Strasse entlang. Zu beiden Seiten beranden sie bescheidene Häuser in jenem braun-roten Anstrich, der den alten Bauten in Rom besonderen Reiz gibt. Es ist die Via Margutta. Man dehnte den Namen auf das ganze Stadtviertel aus, das Quartier der Maler und solcher, die es werden wollen. (Sipho) (2410.1) [Deutscher Verlag, Bilderzentrale] [Censure photographique]
- Beeld 159896 : 1007 2. So gelangt der Besucher in eines der vielen Ateliers, die sich um weite Höfe gruppieren. überall findet man reizvolle Durchblick auf den Pincio mit seinen Gärten. FZ. (Sipho) (2410.2) [Deutscher Verlag]
- Beeld 159897 : 1107 3. Mit der Zigarre im Mund geht es noch mal so gut. Pericle Fazzini ist einer der meist beachteten jungen Bildhauer des Viertels. Vor allem arbeitet er in Holz. Seine toskanische Zigarre im Mund, ist er stolz auf die Künstlertradition der Via Margutta, die hier schon ein Jahhundertlang besteht. F.Z. (Sipho) (2410.3) [Deutscher Verlag]
- Beeld 159898 : 1007 4. Eine Kunstkennerin der Praxis. Hat der junge Maler sein Bild beendet, so eilt er zu Signora Anna Giosi, die ihr grosses Rahmengeschäft gleichfalls in der Via Margutta hat. Hier fällt die erste Kritik, denn Frau Giosi hat mit der Zeit guten Blick bekommen. (Sipho) (2410.4) [Deutscher Verlag]
- Beeld 159899 : 1007 5. Wohlbeschirmt bei Studien im Freien. Über das instensive Licht in Rom und seine Wirkung haben schon die berühmtesten Meister geschrieben. Dieser junge Maler wusste sich zu helfen. Wie seine grossen Vorgänger wird auch er nicht müde, neue Winkel und Durchblicke als Motive zu entdecken. F.Z. (Sipho) (2410.5) [Deutscher Verlag]
- Beeld 159900 : 1007 6. Der Arbeitstisch eines uralten Handwerks. Weit bekannt über die Grenzen Italiens hinaus ist das Handwerk der Gipsgiesser, das um 1300 bereits in hoher Blüte stand. Hier kommen die Bildwerke aller Stile und Techniken zusammen. Auch in der Via Margutta werden solche Abgüsse sorgfältig hergestellt und dann : Herein mit den Käufern! (Sipho) (2410.6) [Deutscher Verlag]
- Reportage: Vrijetijdsbesteding in Grinzing, 4/12/1944. - 10 foto's
- Reportage: Wanneer goudzoekers Duitsland doorkruisen, 16/04/1944. - 9 foto's
- Reportage: Weefschool voor boerinnen van Steiermark, [1930-1940]. - 10 foto's
- Beeld 171580 : Bäuerliche Webschule in der Steiermark. Dies freundliche Bild ist keineswegs vom Fotographen gestellt, sondern es wird wirklich noch sehr viel in der Steiermark gesponnen. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1794 A. Photo N° 8.]
- Beeld 171581 : Bäuerliche Webschule in der Steiermark. Typisch ist dieses Häuschen für die Steiermark. Die Lehrerin der Webschule bewohnt es. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1794 A. Photo N° 9.]
- Beeld 171582 : Bäuerliche Webschule in der Steiermark. Auch sehr hübsche Stoffe für Haushaltszwecke werden hier gewebt, vom Küchenhandtuch bis zum figuralen Wandteppich. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1794 B. Photo N° 10.]
- Beeld 171583 : Bäuerliche Webschule in der Steiermark. Die Leiterin der Schule lässt kein Stück aus ihrer Schule hinausgehen, das die nicht einer eingehenden Kontrolle unterzogen hat. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1794 A. Photo N° 1.]
- Beeld 171584 : *Bäuerliche Webschule in der Steiermark. Mädchen beim Mittagsmahl in ihren verschiedenen Trachten. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1794. Photo N° 7.]
- Beeld 171585 : *Bäuerliche Webschule in der Steiermark. Die Mädchen auf dem Rasen das selbstgewebte Leinen. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1794 A. Photo N° 4.]
DIE BÄUERLICHE WEBSCHULE IN DER STEIERMARK. Bild 9. Die Mädchen auf dem Rasen das selbstgewebte Leinen. [Copyright by SIPHO.] [EUROPA-BILD. Spezial-Pressedienst. Orbis Photo.] [Série N° 92.479. Photo N° 4.]
- Beeld 171586 : *Bäuerliche Webschule in der Steiermark. Hier wird die Wolle gekämmt. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1794. Photo N° 6.]
Die bäuerliche Webschule in der Steiermark. Bild 6-10. Die Steiermark ist wohl die Banschaft unter den deutschen Bauen, deren Bevölkerung am bewegtesten an ihren alten Sitten und Gebräuchen festhält und daher ihre heimatlichen Trachten in Stadt und Land pflegt und lebendig erhält. In Weitz bei Graz befindet sich die Webschule für Mädchen aus bäuerlichen Kreisen, die in Anschaunng und Belehrung dafür sorgt, dass die alte Steiermärkische Tracht in ihrer besonderen Herbheit und farblichen Strehge erhalten bleibt, wie sie einmal ist. Ausserdem wird in 8 wöchigen Kursen alles den Mädchen gelehrt, um sich ihre Kleider selbst nähen zu können. Ebenso erhalten sie von Grund auf jede Kenntniss vom Weben, von der Behandlung der Naturwolle bis zum fertigen Stoff. Bild 6. Hier wird die Wolle gekämmt. [Copyright by SIPHO.] [EUROPA-BILD. Spezial-Pressedienst. Orbis Photo.] [Série N° 92.479. Photo N° 1.]
- Beeld 171587 : *Bäuerliche Webschule in der Steiermark. Garnspulen ist nicht nur eine wichtige, sondern auch eine fröhliche Arbeit. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1794 A. Photo N° 3.]
DIE BÄUERLICHE WEBSCHULE IN DER STEIERMARK. Bild 7. Garnspulen ist nicht nur eine wichtige, sondern auch eine fröhliche Arbeit. [Copyright by SIPHO.] [EUROPA-BILD. Spezial-Pressedienst. Orbis Photo.] [Série N° 92.479. Photo N° 2.]
- Beeld 171588 : *Bäuerliche Webschule in der Steiermark. Das ist ja nun allerdings der aufregendste Raum für die Schülerinnen : die Schneiderei ! [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1794. Photo N° 5.]
DIE BÄUERLICHE WEBSCHULE IN DER STEIERMARK. Bild 10. Das ist ja nun allerdings der auregenste Raum für die Schülerin : die Schneiderei ! [Copyright by SIPHO.] [EUROPA-BILD. Spezial-Pressedienst. Orbis Photo.] [Série N° 92.479. Photo N° 5.]
- Beeld 171589 : *Bäuerliche Webschule in der Steiermark. Blick in den Websaal. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1794. Photo N° 2.]
DIE BÄUERLICHE WEBSCHULE IN DER STEIERMARK. Bild 8. Blick in den Websaal [Copyright by SIPHO.] [EUROPA-BILD. Spezial-Pressedienst. Orbis Photo.] [Série N° 92.479. Photo N° 3.]
- Reportage: Weense hoeden, 08/08/1944. - 4 foto's
- Reportage: Weense Kunstateliers tijdens de oorlog, 04/04/1943. - 33 foto's
- Reportage: Weense mode, 04/1944. - 12 foto's
- Reportage: Weense voorjaarsmodellen voor de export, [1944]. - 6 foto's
- Reportage: Weven in Italië (+ tekst), 1943-1944. - 11 foto's
- Beeld 159325 : [Aucune indication] [Porry - Pastorel]
- Beeld 159326 : Spinnrad im Wettbewerb. In Venedig wurde dieser Tage ein Wettspinnen italienischer Bäuerinnen veranstaltet. Wie unser Bild zeigt, nahmen Jung und Alt daran teil. 4922 E.M. Orbis [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [17/12/1943] [Censure photographique 16.12.1942]
- Beeld 159327 : N. 1338 La mostra nazionale di coniglicoltura a Torino. La filatura, fatta da artigiani italiani, che rende un prodotto più morbido della lana. [Sipho] [Censure photographique] [4127]
- Beeld 159328 : Altmaterial-Verwertung in Italien. Die Bemühungen Italiens schon vor Kriegsbeginn sich von der Einfuhr fremder Rohstoffe unabhängig zu machen, erfahren gerade jetzt eine grosse zweckmässige Bedeutung. U.B.z. : Italienische Arbeiterinnen am Webstuhl beim Hers eller von Stoffen aus Altmaterial. 5075 E.M. Orbis photo [Sipho] [Censure photographique : 31/12/1943] [01.01.1944] * Kunstgewebe, die auf Handwebstühlen geschaffen werden. Das Weben. Orbis E.M. [Orbis] [Série N° 92.873.B Photo N° 1]
- Beeld 159329 : Kunstgewebe, die auf Handwebstühlen geschaffen werden. Die fertigen Modelle. [Orbis photo] [Serie 92.873 B : photo 2]
- Beeld 159330 : Kunstgewebe, die auf handwebstühlen geschaffen werden. Das Einreihen der Kettenfäden. [Sipho] [Orbis photo] [Serie 92.873 B : photo 3]
- Beeld 159331 : Kunstgewebe, die auf Handwebstühle geschaffen werden. Die Anzettelung. [Sipho] [Orbis photo] [Serie 92.873 B : photo 4]
- Beeld 159332 : Kunstgewebe, die auf Handwebstühlen geschaffen werden. Das Weben. [Sipho] [Orbis photo] [Serie 92.873 B : photo 5]
- Beeld 159333 : Kunstgewebe, die auf Handwebstühlen geschaffen werden. Das Haspel-Spinnen. [Sipho] [Orbis photo] [Serie 92.873 B : photo 6]
- Beeld 159334 : Kunstgewebe, die auf Handwebestühlen geschaffen werden. Das Haspel-Spinnen. [Sipho] [Orbis photo] [Serie 92.873 B : photo 7]
- Beeld 159335 : Kunstgewebe, die auf Handwebstühle gschaffen werden. Die Weberschiffchen. [Sipho] [Orbis photo] [Serie 92.873 B : photo 8]
- Reportage ziekenhuizen in Oostenrijk: Herenherstellingsoord Ehrwald, 1930-1945. - 12 foto's
- Reportage: Ziekenzorg in Oostenrijk, 16/08/1944. - 11 foto's
- Reportage: Zomerpullover uit Wenen, [1944]. - 9 foto's
- Reportage: “Zoologischen Station” in Napels, [1922-1939]. - 14 foto's
- Beeld 162668 : Prof. Dr. Reinhold Dhrn, der sohn des Begründers u. heutige Leiter des Zoologischen Station.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1934 - photo 14]
- Beeld 162669 : Giacomo Fiorillo, Präparator der Station, fürht die Konservierungen der wertvollen Tiermaterialien aus und leitet die Versandabteilung deren Erzeugnisse in die ganze Welt gehen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 13]
- Beeld 162670 : Der interessanteste Versuch : es soll festgestellt werden, wieweit das Unterscheidungsvermögen des Tintenfisches geht. Zwei Futterbehählter, durch ein grosses u. kleines Quadrat gekennzeichnet, sind für diesen Zweck angefertigt. Wird der Tintenfisch es lernen die beiden Quadrate zu unterscheiden ?
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 12]
- Beeld 162671 : Sofort wird das Interesse des Tintenfisches wach. Es verlässt die Ecken seiner Behausung.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 11]
- Beeld 162672 : Der Tintenfisch schiesst mit grosser Schnelligkeit durch das Wasser, wie die Unschärfe der Aufnahme deutlich zeigt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 10]
- Beeld 162673 : Auch Angriffe auf Menschen sind gut bezeugt. Der berühmte Naturforscher Ernst Häckel schildert in seinen Reisebriefen ein solches Erlebnis in der Nähe einem alten amerikanischen Stich, zeigt wie alt solche Berichte sind.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 9]
- Beeld 162674 : 3. Langsam schiebt er sich vorwärts, die Augen auf die ersehnte Nahrung gerichtet.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 8]
- Beeld 162675 : 7. Langsam scheibt er sich vorwärts, die Augen auf die ersehnte Nahrung gerichtet.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 7]
- Beeld 162676 : Fette Beute aus dem Golf von Neapel, ein grosser Octopus.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 6]
- Beeld 162677 : 5. Die ersehnte Beute ist erreicht. Die hundertfach wiederholten Versuche beweisen, dass der Tintenfisch es gelernt hat die beiden Quadrate zu unterscheiden. Niemals nimmt er den Behälter mit dem grösseren Quadrat an, er weiss, dass er leer ist.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 5]
- Beeld 162678 : Ein Riesenkrake der ein Segelschiff umklammert. Die Aufnahme ist nach einem alten Stich gemacht worden. Da die Kraken Fangarme bis zu 14 m Länge haben, ist der Vorfall durchaus denkbar.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 4]
- Beeld 162679 : Die Zoologische Station in Neapel.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 3]
- Beeld 162680 : Fräulein Fischer (Berlin) arbeitet an Gewebekulturen "der Wirbellosen". Die hierbei notwendige Sterilhaltung erfordert äusserte Konzantration.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 2]
- Beeld 162681 : Plakette des Begründers Prof. Anton Dohrn am Eingang des Aquariums. Der 100 jährige Geburtstag wurde in diesen Tagen gefeiert.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 1]
- Reportage: 20ste verjaardag van de dood van Eleonora Duse (1858-1924), 1944. - 10 foto's
- Beeld 160144 : Nr. 1288
"Immer aber ist die Liebende grösser als der geliebte"
Vor 20 Jahren starb Italiens grösser Schauspielerin : Eleonora Duce.
"Man hat zwischen dem Nerzen und der Vernunft zu wahlen. Ich gehorche dem Herzen."
1) Das Antlitz der jungen Tragödin- "...vom Griffel des rastlostrauervollen Lebens gezeichnet." "Von meines vierten Lebensjahr an verdiente ich mir mein leben; ich weiss Bescheid." Die harten Wonderjahre mit der Truppe des Vaters legen den Grund zu jener "schwermütig grübelnden Wehmut", die der Kunst Eleonora Duses das entscheidende Gepräge gibt. Aus dieser Stimmung schafft sie ihre unvergesslichen Gestalten der "grossen Liebenden doch sie wächst in eine Haltung, die das Leben selbst die Duse lehrte : eine den Mann überragende stolze Bejahung des Leides.
[Sipho]
[Censure photographique]
- Beeld 160145 : Nr. 1288
2) Man hat das Gefühl, als spiele sie die Liebe selbst. "Mit sparsamen und ganz persönlichen Mitteln gibt sie der Marguerite Gautier in Dumas" Cameliendame eine Gestaltung, die frühere Darstellerinnen und das Werk selbst weit hinter sich lässt : und - die Zuschauer schluchzen.
Eine deutscheititalienische Sportfoto Ausstellung in Rom eröffnet. 3.
Ein Teil der von den deutschen Sportfotografen gezeihte Arbeiten. 13183/34
[Sipho]
[Deutscher Verlag]
[A restituer après publication]
[Censure photographique 16/04/1944]
- Beeld 160146 : Nr. 1288
3) Sie enthüllt selbst das Geheimnis ihrer Kunst : "Die armen Weseh aus meinen Stücken sind ganz in mein Herz und mein Bewustsein übergegangen. Ich schaue nicht darauf, ob sie gesündigt haben, wenn ich nur spüre, dass sie litten um Verrat oder um die Liebe."
[Sipho]
[Deutscher Verlag]
[A restituer après publication]
[Censure photographique 16/04/1944]
- Beeld 160147 : Nr. 1288
4) Die Italienerin spielt die nordische "Hedda Gabler". Eine seltsame Ergriffenheit befällt die reifere Duse gegenüber den Frauen gestalten Ibsens. Man streitert sich darüber, ob sie "echten Ibsen" spiele. Doch sie verkeiht diesen Gestalten ein packendes Eigenleben, gibt ihnen "mehr, als der Dichter von ihnen weiss."
[Sipho]
[Deutscher Verlag]
[A restituer après publication]
[Censure photographique 16/04/1944]
- Beeld 160148 : Nr. 1288
5) Ein sensationeller Abschied von der Bühne. Niemand ahnt, als sie 1909 in Wien a&ls Rebekke West in "Rosmershelm" die Zuschauer begeistert, dass sie mit dieser Barstellung stillschweigend den Schmusstrich unter ihre triumphale Bühnenlaufbahn zieht.
Sie flieht in die geliebte Einsamkeit.
[Sipho]
[Deutscher Verlag]
[A restituer après publication]
[Censure photographique 16/04/1944]
- Beeld 160149 : Nr. 1288
6) Das letzte Bild der grossen Tragödin aus dem Todesjahr 1924.
Durch äussere Umstände gezwungen, betritt Eleonora Duse 1921 die Bühme wieder. Das Turiner Publikum bereited der fast schon legendär gewordenen grossen Künstlerin, deren "demütiges, wundervolles Antlitz" schneeweisses Baar umkränzt, einen überwältigende Empfang. Auf einer Gastspielreise durch Amerika erliegt sie in Pittsburg am 21. April 1924 in ihrem 65. Lebensjahrden Folgen einer Erkältung. In Asolo ruht sie nach einem Leben, Über das sie selbst das Motto setzte : "Begnadet, verzweifelnd, vertrauend.
[Sipho]
[Deutscher Verlag]
[A restituer après publication]
[Censure photographique 16/04/1944]
- Beeld 160150 : Nr. 1288
7) Tebaldo Checchi, der Gatte. Es ist eine "Kameradschaftsehe", die die 22 jährige Eleonora mit ihrem Kollegen nach einem schmerzvollen Liebersleben eingeht. Sie steht als Schauspielerin an der Schwelle des Ruhmes. Tebaldo ist voll guten Willens und voll Anhänglichkeit an mich, schreibt sie dem Vater. Vier Jahre später löst sie sich aus dieser Ehe, an der ihr Herz unbeteiligt ist.
[Sipho]
[Deutscher Verlag]
[A restituer après publication]
[Censure photographique 16/04/1944]
- Beeld 160151 : Nr. 1288
8) Flavio Ando, der ideale Partner durch ein Jahrzehnt. Er scheint dazu geschraffen, Eleonara "in Jugend, Schönheit und Schauspielerischer Genialität zu ergänzen". Gegen die wie nach einem ehernen Naturgesetz zwischen ihnen aufflammende Liebe umgibt Ando sich um Checchis willen lit Schweigen. Doch die ursprüngliche Natur Eleonoras findet den sittlichen Mut zur Klaren Entscheidung. Und Checchi gibt sie frei.
[Sipho]
[Deutscher Verlag]
[A restituer après publication]
[Censure photographique 16/04/1944]
- Beeld 160152 : Nr. 1288
9) Arrigo Boito. Eine Freundschaft des Verzichtes. "Ihre Freund schaft und ihr Instinkt für Liebe füllen sein Leben mit unverhofftem Glanz. "Sein Einfluss bewirkt bei Eleonora eine geistige Wandlung, die sie gegenüber seinem mit Rücksicht auf ein ihm ergebenes Wesen schliesslich ausgesprochenen Verzicht wehrlos macht. Die geistige Freundschaft währt bis zum Tode Boitos.
[Sipho]
[Deutscher Verlag]
[A restituer après publication]
[Censure photographique 16/04/1944]
- Beeld 160153 : Nr. 1288
10) Gabriele d'Annunzio der "geliebteste Freund". "Habe ich nicht all meine Jahre hindurch auf diese grosse Liebe geharn die mich retten soll und mich zerstören ?"
Wessen Eleonora Duse an opferbereiter Hingabe fähing ist, das häuft sie in grandioser Steigerung und ohne Dank zu begehren auf diesen Mann, der bekennt : "Niemals kam unendliche Liebe in einem irdischen Wesen zu mächtigerem Ausdruck."
[Sipho]
[Deutscher Verlag]
[A restituer après publication]
[Censure photographique 16/04/1944]
- Reportage: 400 Boekbanden Krijgswetenschap, 1930-1938. - 2 foto's
- Reportage:De Italiaanse vooruitgang in Abyssinia, 1935-1936. - 6 foto's
- Represailles Waalse SS te Ciney : 28/8/1944. - 6 foto's
- Repressie en terechtstelling van collaborateurs, 1944. - 54 foto's
- Beeld 28291 : Esneux. On les tond.
- Beeld 28292 : Kaalscheren van een Duitsgezinde.
- Beeld 28294 : Mont-sur-Marchienne (4/9/44). Les femmes qui ont eu des relations avec l'ennemi arrêtées, certaines ont les cheveux coupés.
- Beeld 28296 : Kaalscheren van een "Duitsgezinde" op de Plantijn Moretuslei door leden van het Nederlands verzet.
- Beeld 28300 : Wervik - Bevrijding (sept. 1944). Gift Leopold Boelen (april 1977).
- Beeld 28301 : Repressie.
- Beeld 28304 : Kaalgeschoren collaborateurs.
- Beeld 28307 : Antwerpen - kollaborateurs aangehouden door het Verzet.
- Beeld 28314 : de Keyserlei voor station Antwerpen, 6 september 1944.
- Beeld 28317 : Antwerpen.Sint-Jozefskerk - Stadspark, 4/9/1944.
- Beeld 28318 : Gevangenname van voetbalspeler Pierre Braine (Beerschot) wegens handelvoering met de Duitsers - Dierentuin 4/9/1944.
- Beeld 28336 : Instrumenten die door de Gestapo als foltertuigen werden gebruikt (rechts op de foto).
- Beeld 28350 : Antwerpen. Wegvoering van collaborateurs Loosplaats (Stadspark) 4/9/1944.
- Beeld 28352 : La population détruit et brûle ce qui rappelle l'occupant ou lui a servi.
- Beeld 28354 : Antwerpen.Wegvoering van collaborateurs Loosplaats (Stadspark) 4/9/1944.
- Beeld 28356 : Vlaamse SS-er die door het Verzet wordt opgeleid 4/9/44.
- Beeld 28357 : St. Niklaas.
- Beeld 28360 : Antwerpen - arrestatie van kollaborateurs door het Verzet.
- Beeld 28361 : Antwerpen - aanhouding van kollaborateurs door het Verzet.
- Beeld 28362 : Des arrestations individuelles sont également opérées, certains collaborateurs surpris par la rapidité de la libération cherchant à s'enfuir à pied et sous un déguisement.
- Beeld 28366 : Repressie.
- Beeld 28367 : Repressie.
- Beeld 28370 : Kollaborateurs in Antwerpse Zoo.
- Beeld 28380 : La foule devant le commissariat de police rue du Collège qui attend les inciviques arrêtés (Verviers) (Photo A. Ruwet).Copyrigh CEGES
- Beeld 28382 : In de streek van Charleroi worden in september 1944 de eerste verraders door de Partizanen opgeleid.
- Beeld 28383 : Ambiance de victoire à Verviers (Photo A. Ruwet).Copyright CEGES
- Beeld 28385 : La foule devant le commissariat de police rue du Collège qui attend les inciviques arrêtés (Verviers) (Photo A.. Ruwet). Copyright CEGES
- Beeld 28390 : Vlaams DMS meisje Tessenderlo oktober 1944.
- Beeld 28392 : "Moi, MP avec un gestap belge à genoux".
- Beeld 28393 : Antwerpen.Wachtkot op S.D. Elisabethlaan.
- Beeld 28395 : Kollaborateurs (rechts, Walter Lampaert)"aan het werk".
- Beeld 28397 : Foto R.P Bonmariage. "Des inciviques belges retrouvés en Allemagne demandent pardon".
- Beeld 28399 : Terechtstelling van collaborateurs [De bende Duquesne (?), Trésigniskazerne Charleroi, 14.VI.1948].
- Beeld 28401 : Terechtstelling van collaborateurs. [De bende Duquesne (?), Trésigniskazerne Charleroi, 14.VI.1948].
- Beeld 28403 : Antwerpen.Aanhouding van collaborateurs in de Pelikaanstraat 4/9/1944.
- Beeld 28406 : Avance sur la Hollande. L'aspirateur Patriote - Maison de collaborateur vidée par les patriotes à Tongres.
- Beeld 28411 : Avance sur la Hollande. Hasselt. Ketels, Chef de jeunesse hitlérienne du Limbourg, arrêté par les patriotes.
- Beeld 28413 : Antwerpen.Sint-Jozefskerk - Stadspark 4/9/1944.
- Beeld 28414 : Antwerpen. Vernieling van een winkel van een collaborateur in de Isabellalei.
- Repressie van de voedselfraude te Parijs : [...-1939]. - 5 foto's
- Beeld 49286 : Répression des fraudes alimentaires.
Les caisses de marchandises à vérifier, qui sont expédiées au ministère de l'agriculture, sont cachetées soigneusement.
Vue sur les caisses.
S.151
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Beeld 49290 : Répression des fraudes alimentaires.
L'inspecteur fait un petit prélèvement, afin de voir sur place, après un examen hâtif, la qualité du lait.
S.151
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Beeld 49291 : Répression des fraudes alimentaires.
Examen de la densité du lait.
S.151
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Beeld 49293 : Répression des fraudes alimentaires.
L'état exerce un contrôle des plus sévéres sur le marché alimentaire. De tous les temps on essaie d'introduire des aliments défectueux, au détriment du consommateur, et si la crainte du contrôle n'existait pas, il y aurait des véritables abus; aussi tous les états organisant une surveillance très stricte sur le marché des aliments.
Notre photo montre un inspecteur de la préfecture partant en tournée de contrôle d'aliments, fournis par la campagne environnant Paris, et sur la route, arrétant à l'improviste un laitier et faisant un prélèvement de lait aux fins d'examens dans les laboratoires.
S.151
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Beeld 49295 : Répression des fraudes alimentaires.
Le laboratoire, où toutes les consommations douteuses susceptibles d'être examinées, aussi bien confitures, beurre, alcool, etc. sont scupuleusement vérifiées.
S.151
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Repressie van de weerstand: arrestatie van weerstanders in Bretagne door de militie, 1944. - 3 foto's
- Repressie van de weerstand in Frankrijk, [1941]. - 2 foto's
- Repressie van de weerstand: ontdekking van een verzetsbeweging in Lyon door de troepen van Joseph Darnand, 1944. - 4 foto's
- Repressie van de weerstand: operatie van politie in Hoog-Savoie (Glières), 1944. - 6 foto's
- Beeld 92211 : * Les opérations de police en Haute Savoie. Une colonne de miliciens se dirige à la pointe du jour vers un petit village à visiter.
* De bedrijvidheid der politie in Hoog Savooie. Een kolon van de militie begeeft zich in de vroegte naar een de bezoeken dorp.
[Sipho]
11375
[3 MARS 1944]
[Frei gegeben durch Zensur]
F 3844
- Beeld 92213 : * Les opérations de police en Haute Savoie. Chacun a pris ses positions. Le village est cerné et personne ne pourra échapper aux forces de l'ordre qui maison par maison effectuent leurs recherches.
* De bedrijvigheid der politie in Hoog Savooie. Idereen is op zijn post, het dorp is omsigneld n niemand zal aan de manne der wet ontsnappen die huis voor huis hun opzoekingen voorzetten.
[Sipho]
[3 MARS 1944]
F 3844
- Beeld 92214 : * Les opérations de police en Haute Savoie. Chacun a pris ses positions. Le village est cerné et personne ne pourra échapper aux forces de l'ordre qui maison par maison effectuent leurs recherches.
* De bedrijvigheid der politie in Hoog Savooie. Idereen is op zijn post, het dorp is omsigneld n niemand zal aan de manne der wet ontsnappen die huis voor huis hun opzoekingen voorzetten.
[Sipho]
[3 MARS 1944]
F 3844
- Beeld 92215 : * Les opérations de police en Haute Savoie. N.P.M... En dehors d'un grand nombre de bandits qui ont été aussitôt arrêtés, un important butin a été capturé: vin, alcool, beurre, etc...
* De bedrijvigheid der politie in Hoog Savooie. O.F.T... Buiten het groote aantal bandienen die zoogau in arrest genomen werden, werd nog een belangrijke buit aangeslagen: wijn, alcohol, boter et alzook verschillende dokumenten.
[Sipho]
[3 MARS 1944]
F 3844
- Beeld 92216 : La fin des opérations de polic en Haute Savoie.
La Comandine ou P.C. de l'A.S. sur le plateau des Glières.
[Agence de presse Fawa]
11375
[Autorisé à la publication sous réserve de rappel. Brüssel 19 APRIL 1944]
F 3844
- Beeld 92218 : * La découverte de la fosse tragique de St. Laurent en Haute Savoie. N.P.M. à gauche: Menottes aux mains "Jacques" est conduit vers la fosse sanglante où il assistera à l'exhumation des corps des policiers assassinés. A droite: Les corps sont remontés de la fosse. 7-3-44
* De ontdekking van het gemeen fraf te St. Laurent in Hoog ,Savooie. O.F.T. Links: Goed imringd de handboeien aan de polsen, word "Jacques" naar den kuil geleidt waar hy de identificatie der lyken zal bywonen. Rechts: De lyken worden uit den kuil gehaald. 7-3-44
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Exclusivité]
- Republikeins leger en nationalistisch leger in Talavera, 1936. - 3 foto's
- Republikeins leger, nationalistisch leger en republikeinse gevangenen in Saragossa, 1936-1938. - 7 foto's
- Republikeinse afweerslag en nationalistische overwinning in Belchite, [1937-1938]. - 9 foto's
- Republikeinse betoging in Madrid tegen Alfonso XIII, [...-4/1931]. - 3 foto's
- Republikeinse milities in Madrid, [1936-1937]. - 18 foto's
- Republikeinse vrouwenbond in Spanje, [...-1936]. - 1 foto
- Rerum-Novarumoptocht : mei 1945. - 1 foto
- Residence Palace : [...-1939]. - 3 foto's
- Residentiële woningen in Stockholm, [...-1945]. - 7 foto's
- Résistance FI - Tueries de Bourg-Léopold, photo de Schelfhout Bernard., 6/9/1944. - 1 foto
- Restauratie van de publieke monumenten in Parijs, 1941-1944. - 9 foto's
- Retrospectieve koetsententoonstelling (Parijs) : [...-1939]. - 2 foto's
- Beeld 43828 : Exposition retrospective des équipages.
L'Union des Artistes vient d'organiser une Exposition de Tableaux, à la gloire du bon vieil équipage français, à l'époque où l'automobile était encore inconnue, et où la rue appartenait aux chevaux attelés.
N.P.M.: 1.- En route: la berline, attelée de quatre chevaux alezans, s'élance vers le grand air. 2.- L'équipage en campagne. Aucune fumée n'obscurcit encore l'horizon.
[2]
[copyright by Universal Press Agency] [copyright by Photos "Actualit"]
- Beeld 43830 : Exposition retrospective des équipages. L
'Union des Artistes vient d'organiser une Exposition de Tableaux, à la gloire du bon vieil équipage français, à l'époque où l'automobile était encore inconnue, et où la rue appartenait aux chevaux attelés.
N.P.M.: 1.- En route : la berline, attelée de quatre chevaux alezans, s'élance vers le grand air. 2.- L'équipage en campagne. Aucune fumée n'obscurcit encore l'horizon.
[1]
[copyright by Universal Press Agency] [copyright by Photos "Actualit"]
- Retrospectieve Servaes in Gent, 25/4/1943. - 3 foto's
- Retrospectieve tentoonstelling over Frans aardewerk (Parijs) : 1932. - 2 foto's
- Réunions du Verdinaso, [1940-1945]
- Reus gedurende de Spaanse burgeroorlog, [1938-1939]. - 1 foto
- Reuzenfeesten, 1940-1945. - 18 foto's
- Revues en inspecties van de Japanse troepen en verschillende militaire parades, 1932-1942. - 63 foto's
- Rex - Frameries : [1940-1945]. - 1 foto
- Rex - Gebouwen : [1940-1945]. - 5 foto's
- Rex - Varia : [1940-1945]. - 3 foto's
- Rex - Verviers : [1940-1945]. - 5 foto's
- Rexistische manifestaties, 1936-1937. - 32 foto's
- Reynaert, leider van de Vlaamse landdienstvrijwilligers, 1940-1945. - 1 foto
- Ribbentrop, Ullrich Friedrich Willy Joachim von (1893-1946) verlaat London, 13/03/1938. - 1 foto
- Richard Jungclaus, SS-generaal, chef van de Germanische Leitstelle-Aussenstelle Flandern, 1942-1943. - 23 foto's
- Richard Raoul : [...-1939]. - 1 foto
- Riethakker : december 1943. - 11 foto's
- Rieviervissers in Frankrijk : [...-1939]. - 3 foto's
- Rijbewijs te Parijs, [...-1939]. - 5 foto's
© Ceges
- Rijkspartijdagen : 1938. - 7 foto's
- Rijkswachtscholen te Vottem, Tervuren en Antwerpen, 1943. - 17 foto's
- Beeld 9211 : Ecole de gendarmerie d'Anvers.
- Beeld 9212 : Instructiecentrum van het gendarmeriekorps te Antwerpen. Om ons land van een gendarm-keurkorps te voorzien, werden twee instructiecentrums geschapen; het een Vlaams, het ander Waals, waar speciaal gekozen mannen een zeer strenge instructie krijgen. De mannen tijdens de oefening op het maneuverplein.
- Beeld 9213 : Instructiecentrum voor het gendarmeriekorps te Antwerpen. Om ons land van een gendarmkeurkorps te voorzien; werden twee instructiecentrums geschapen; het een Vlaams, het ander Waals, waar speciaal gekozen mannen een zeer strenge instructie krijgen. Naast een fysieke oefening, krijgen de mannen ook theoretische lessen.
- Beeld 9214 : Centre d'instruction de gendarmerie à Vottem.
- Beeld 9215 : Centre d'instruction de gendarmerie à Vottem lez Liège.
- Beeld 9216 : Centre d'instruction de gendarmerie à Vottem lez Liège.
- Beeld 9217 : Centre d'instruction de gendarmerie à Vottem lez Liège.
- Beeld 9218 : Centre d'instruction de Vottem du corps de gendarmerie. Centre d'instruction de Vottem du corps de gendarmerie.d'élite. Il a été crée deux centres d'instruction, l'un flamand, l'autre wallon, où des hommes spécialement choisis, reçoivent une instruction très sévère. A côté d'un entrainement physique, très poussé, les hommes reçoivent aussi des cours théoriques.
- Beeld 9219 : Centre d'instruction de gendarmerie. à Vottem lez Liège.
- Beeld 9220 : Centre d'instruction de gendarmerie à Vottem lez Liège.
- Beeld 9221 : Centre d'instruction de gendarmerie à Vottem lez Liège.
- Beeld 9222 : Centre d'instruction de Vottem du corps de gendarmerie. Pour doter notre pays d'un corps de gendarmerie d'élite il a été créé deux centres d'instruction, l'un flamand, l'autre wallon où des hommes spécialement choisis reçoivent une instruction sur le champ de manoeuvre.
Instructiecentrum van Vottem dvn een gendarmeriekorps. Om ons land van een Gendarmerie-keurkorps te voorzien werden er twee instructiecentrums geschapen, het een Vlaams, het andere Waals, waar speciaal aangeduide mannen een zeer strenge onderrichting krijgen.
De mannen tijdens de instructielessen op het plein der manoeuvers.
- Beeld 9223 : Centre d'instruction de gendarmerie à Vottem lez Liège.
- Beeld 9224 : Centre d'instruction de gendarmerie à Vottem lez Liège.
- Beeld 9225 : Ecole d'Officiers de Gendarmerie de Tervuren.
- Rijstteelt : 1941. - 13 foto's
- Rijstvelden en voorraden van rijst in Sumatra en Java, [...-1945]. - 5 foto's
- Rik Wijckmans, algemeen zaakleider van de Deutsch Vlämische Arbeitsgemeinschaft (DeVlag), 1940-1945. - 3 foto's
- Rino Corso Fougier, generaal en stafchef van de Italiaanse luchtmacht van 1941 tot 1943, op bezoek in België, 1940. - 1 foto
- Rio Sangonera : markt : [1939-...]. - 8 foto's
- Rioolwerkers te Parijs : 1941. - 5 foto's
- Ritmische dansen van de Andrée Joly - school in Frankrijk : [1933]. - 7 foto's
- Beeld 51977 : La démonstration annuelle de l'école de danses rythmiques d'Andrée Joly.
Le finale de la représentation.
2312 - s
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Beeld 51980 : Paris 26 mars 1933. Répétition du gala de danse par les élèves de Mlle Andrée Joly.
Une danse rythmique.
R813
[Sipho]
- Beeld 51982 : Gala de l'école Andrée Joly.
Les jeunes filles qui prennent part à ce gala répétant une de leurs danses.
21.1.38. SP.
[copyright by Agence Trampus] [Sipho]
- Beeld 51984 : La démonstration annuelle de l'école de danses rythmiques d'Andrée Joly.
Devant un public de choix, Andrée Joly, cette animatrice extraordinaire de danses rythmiques a donné sa représentation annuelle.
Un joli mouvement: au centre, debout: Andrée Joly.
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Beeld 51987 : L'ouverture du Congrès mondial de la danse.
La danse au cerceau, par Madame Andrée Joly.
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Beeld 51989 : Danse rythmique au grand air.
La danse rythmique entre de plus en plus dans nos moeurs, et qui de nous ne subit pas la séduction que donne la grâce ailée des mouvements de danse rytmique ?
De nombreuses écoles se sont formées, et parmi celles qui a le plus d'adaptes, il faut compter celle d'Andrée Joly, qui par sa méthode personnelle et gracieuse, obtient le plus vif succès.
Ce saut en plein air, n'exprime-t-il pas la joie de vivre ?
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Beeld 51992 : Une fête de printemps.
La Ligue Française de rythmique et Education Physique a donné aujourd'hui sous la direction de Mme Andrée Joly son animatrice, une fête de printemps.
N.p.m.: un joli ensemble de danse rythmique présenté à cette fête.
Sipho
[copyright by Agence Trampus] [Sipho]
- Rivier Liar: artillerie en geniekorps, 13/01/1932-18/01/1932. - 2 foto's
- Rivier Liar: Japanse troepen, 13/01/1932-18/01/1932. - 1 foto
- Riviercruisers te Parijs : [1938]. - 4 foto's
- Beeld 50532 : Un coche d'eau arrive à Paris.
Venant d'Amsterdam, battant pavillon du Yacht club de New-York, un coche d'eau, tels ceux qui sont employés en Hollande comme diligence sur les canaux, est arrivé à Paris et s'est amarré près du Pont de la Concorde.
A son bord se trouve un jeune américain et sa maman, accompagnés d'un matelot, qui se servent pour un beau voyage de ce plaisible moyen de transport, qui déjà fut employé par Descartes lors de son voyage au pays des tulipes.
P.S.P. 23.8.38.
[copyright by Agence Trampus] [Sipho]
- Beeld 50533 : Un port pour yachts de plaisance en plein coeur de Paris.
Le Touring Club de France vient d'aménager près du pont Alexandre un port pour yachts et canoés, remplissant ainsi une grave lacune dans le tourisme fluvial parisien. Les yachtmen et canoéistes pourront ainsi débarquer en plein Paris au lieu de devoir abandonner leurs bateaux en banlieue.
N.p.m.: La gare du port pour bateaux de plaisance, aménagée dans une grande péniche; elle contient un restaurant, des salons de repos, de lecture, un bureau de postes, etc. 12.4.39.
[copyright by "Fulgur"]
- Beeld 50535 : Un port pour yachts de plaisance en plein coeur de Paris.
Le Touring Club de France vient d'aménager près du pont Alexandre un port pour yachts et canoés, remplissant ainsi une grave lacune dans le tourisme fluvial parisien. Les yachtmen et canoésiens pourront ainsi débarquer en plein Paris au lieu de devoir abandonner leurs bateaux en banlieue.
Le premier yacht est venu s'ancrer hier dans le nouveau port aménagé par le Touring Club. 12.4.39.
[copyright by "Fulgur"]
- Beeld 50536 : On vient d'inaugurer à Paris un bateau spécialement aménagé pour les croisières fluviales qui seront entreprises cet été sur la Seine, l'Oise et la Marne.
Photo Meurisse
[Sipho]
- Rivierscheepvaart: divers, [1936]. - 4 foto's
- Rivierscheepvaart: vervoer van een boot per spoor over een heuvel, [...-1939]. - 5 foto's
- Robert Carrein, dienstleider van het Vlaams Nationaal Verbond (VNV), 2/1943. - 1 foto
- Robert Destrait, hoofd van het kamp van Caparica in Portugal, 1940-1945. - 1 foto
- Robert Everts, Belgisch gezant in Berlijn en ambassadeur in Madrid : [...-1939]. - 5 foto's
- Robert Fransman, commissaris voor de wederopbouw van Tessenderlo, 1942. - 1 foto
- Robert Gaden, dirigent, 1941. - 4 foto's
- Robert Gillon, voorzitter van de Senaat, 1940-1945. - 6 foto's
- Robert Heger, gastdirigent in België, 1942. - 10 foto's
- Robert Ley, leider van het Deutsche Arbeitsfront, 1940. - 4 foto's
- Robert Moreau, commissaris-generaal, intendant Economische Zaken in Rouen : 1944. - 3 foto's
- Robert Van Roosbroek, historicus, hoogleraar aan de Université catholique de Louvain, schepen van onderwijs van Antwerpen vanaf 1942, 1941-1944. - 10 foto's
- Beeld 7515 : Prof. Robert Van Roosbroeck
- Beeld 7516 : Inauguration de l'expositon du livre allemand, à Anvers, le 20 juin 1942. Le professeur Dr Van Roosbroeck, prononçant son allocution.
- Beeld 7517 : Officiële openingszitting der provinciale cultuurdagen in het teken van de Jan Frans Willems-herdenking, in de raadszaal van het provinciaal hotel te Antwerpen. Toespraak door prof. Dr. R. Van Roosbroeck.
- Beeld 7518 : La remise du prix Rembrandt à Felix Timmermans.
Vue générale de la salle.
- Beeld 7520 : "Deutschland, Deutschland über alles !" - Jahrhundertfeier des Deutschland-Liedes.
Den Tag, an dem August Heinrich Hoffmann v. Fallersleben vor 100 Jahren auf Helgoland das Deutschland-Lied gedichtet hat, liess seine Heimatstadt, nach der er seinen Namen trägt,, nicht ohne eine Reihe festlicher Veranstaltungen vorübergehen. Nach der Morgenfeier der HJ schloss sich eine Feierstunde "100 Jahre Deutschland", in der neben Gauleiter Telschow der flämische Professor Robert van Roosbroeck das Wort ergriff. Der flämische Gast, der über das Thema "Hoffman v. Fallersleben und Flandern" sprach, gab einen interessanten Einblick in den Austausch geistigen Gutes zwischen Deutschland und Flandern.
27.8.1941
- Beeld 7521 : Prof. Dr. Robert Van Roosbroeck tijdens de Kultuurdagen van DeVlag. Werkzitting 28/8/1943.
- Beeld 7522 : Kultuurdagen der Vlaamse-Duitse arbeidsgemeenschap, Brussel. Jaarvergadering, in de grote zaal, Paleis voor Schone Kunsten, zondag de 29/8/1943. Een zicht van de zaal.
- Beeld 7523 : Vilvoorde 5.5.44.
- Beeld 7524 : Kultuurdagen der Vlaams-Duitse Arbeidsgemeenschap. Opening der Vlaams-Duitse Kultuurdagen in de Senaatzaal van het Parlementsgebouw. 28.8.1943. Prof. Rob. Van Roosbroeck spreekt.
- Beeld 7525 : Kultuurdagen der Vlaams-Duitse arbeidsgemeenschap. Opening in de Senaatzaal van het Parlementsgebouw. 2.8.1943. Algemeen zicht van de zaal (Van Roosbroeck - uiterst links).
- Robert Vekemans, ingenieur, verzetsman, 1944. - 2 foto's
- Robert Verbelen, SS-officier, stafleider van de Deutsch Vlämische Arbeitsgemeinschaft (DeVlag), 1940-1945. - 3 foto's
- Robrecht De Rijck : [...-1940]. - 1 foto
- Rocketts girls te Parijs : 1937. - 4 foto's
- Rode Jeugddag in Neder-Oostenrijk, [1930-1938]. - 1 foto
- Rode kruis : aan het Oostfront : 1943. - 5 foto's
- Rode kruis : vertrek van vrijwilligers naar het Oostfront : 1942. - 3 foto's
- Rode Kruis in Noorwegen : [1944]. - 1 foto
- Rode Kruis te Parijs : 1939. - 2 foto's
- Rode Kruis-tehuis voor moeders te Argenteuil : 1943. - 2 foto's
- Rode Kruis-trein van het Belgisch leger, [...-1939]. - 3 foto's
- Rode Valkens : [...-1939]. - 6 foto's
- Roeicriterium te Parijs : 1941. - 2 foto's
- Roeien : Criterium van de Ile de France te Parijs : 1943. - 3 foto's
- Roeien : de dag van de stichters te Parijs : 1943. - 2 foto's
- Roeien : doortocht van Parijs : 1943. - 2 foto's
- Roeien : Frans kampioenschap te Parijs : 1942. - 4 foto's
- Roeien : Nationale sport- en roeidag te Vichy : 1941. - 2 foto's
- Roeien, [...-1939]. - 36 foto's
- Beeld 39196 : Les championnats d'Europe d'aviron à Liège. Quatre rameurs de pointe avec barreur. Le Danemark vainqueur, suivi de l'Italie et de la Hollande.
- Beeld 39198 : [Zonder beschrijving/Sans légende]
- Beeld 39200 : Spiessen en Andersen (Belge) qui, malgré une belle course, ne sont pas parvenus à se classer en finale.
- Beeld 39201 : [Zonder beschrijving/Sans légende]
- Beeld 39203 : The international row competitions in Maastricht (Holland) between Dutch and Belgian rowers had an enormous success. Style-rowing for ladies.
- Beeld 39204 : Championnats d'Europe d'aviron à Liège. Victoire du Pennsylvania Rowing Crew U.S.A. en huit rameurs de pointe avec barreur devant l'Italie et le Danemark. Notre photo montre l'arrivée des Américains suivis par les Italiens. 17.VIII.1930.
- Beeld 39206 : A Wynegem au Canal Albert. Régates internationales et nationales: match Belgique-France.
Une vue générale montrant l'arrivée des huit juniors en pointe qui fut gagné par le Cercle des Régates de Bruxelles. Dans le fond, l'on remarque le grand pont de Wynegem. 18.VI.1939.
- Beeld 39207 : Ostende. A l'occasion de l'inauguration d'une plaque offerte par la Société royale Touring Club de Belgique à l'Ecole de Marine de l'Etat pour commémorer le passé glorieux de la Compagnie d'Ostende, s'est disputée la finale de la 2e manche du Challenge national des Jeunes Marins (équipes de 10 rameurs - distance 2.000 mètres). Photo: l'équipe gagnante. 7.VII.1934.
- Beeld 39209 : La traversée de Bruxelles en kayak a été gagnée par deux frères, Joseph et Pierre Massy du Kayak Club de Courtrai (?). 7.V.1939.
- Beeld 39210 : La traversée de Bruxelles en kayak. Un joli passage en pleine action. 7.V.1939.
- Beeld 39212 : Sur le canal de Vilvorde.
- Beeld 39213 : A Wynegem au Canal Albert. Régates internationales et nationales: match Belgique-France.
En huit seniors en pointe avec barreur, c'est à l'équipe française que revient la première place, le Club nautique de la Bourse de Paris. Petitjean, Beaudet, Lewkovitz, Durand, Desgres, Launay, Bellon, Guillemot barreur Bloch... 18.VI.1939.
- Beeld 39215 : A Wynegem au Canal Albert. Régates internationales et nationales: match Belgique-France.
En deux de pointe seniors avec barreurs, l'équipe du Royal Sport Nautique de Gand emporte la victoire. G. Van Driessche, Uyterhaegen et De Proot barreur... 18.VI.1939.
- Beeld 39217 : A Wynegem au Canal Albert. Régates internationales et nationales.
En skiff senior, Piessens B du Sport Royal Nautique d'Anvers qui gagne le Ier Prix, plaquette en argent. 18.VI.1939.
- Beeld 39218 : Ostende, régates internationales: 2e journée.
En skiff senior, l'Anglais Warren H. gagne le Prix du Roi (Warren set du Trinity Hall, Cambridge).
- Beeld 39220 : L'Olympiade des rameurs 1933 à Budapest. Les Belges s'entraînent.
- Beeld 39221 : The international row competitions in Maastricht (Holland) between Dutch and Belgian rowers had an enormous success. The four-oars at the start.
- Beeld 39223 : Championnats d'Europe d'aviron à Liège. L'équipe du Pennsylvania Rowin Crew de Philadelphie, vainqueur en huit rameurs de pointe. Les voici photographiés avec leur petite mascotte. 17.VIII.1930.
- Beeld 39225 : The international row competitions in Maastricht (Holland) between Dutch and Belgian rowers had an enormous success. The numer style-rowing for ladies.
- Beeld 39226 : Les Régates internationales d'Ostende. L'équipe de dames "Alpha Ladies Amateur Rowing Club" de Londres, qui se distingua particulièrement.
De internationale roeiwedstrijden te Oostende. Het Londense damesteam "Alpha Ladies Amateur Rowing Club" dat zich door zijn flink werk bijzonder op de wedstrijd onderscheidde.
- Beeld 39228 : Les Régates internationales de Terdonck, près de Gand. Course en huit rameurs de pointe seniors, gagnée par Union nautique universitaire de Louvain. 25V.1933.
- Beeld 39230 : Les Régates internationales de Bruxelles se sont déroulées ce 12 juin au Pont-Brûlé. L'équipe "S.R.S.N. Gand": gagnante la 1ère course de huit rameurs de pointe débutants, avec barreur.
- Beeld 39232 : Les Régates internationales de Bruxelles se sont déroulées ce 12 juin au Pont-Brûlé. L'équipe française "S.N. Marne" gagnante la 8e course (huit rameurs de pointe seniors avec barreur).
- Beeld 39234 : Les Régates internationales de Bruxelles se sont déroulées ce 12 juin [?] au Pont-Brûlé. L'équipe "La Marne" Paris: gagnante la 2e course de quatre rameurs de pointe seniors, avec barreur.
- Beeld 39235 : Les Régates internationales de Terdonck, près de Gand. Course en un rameur de coupe senior, gagnée par Horwood de la Chisurch General de Londres. 25.V.1933.
- Beeld 39237 : Les Régates internationales de Terdonck, près de Gand. Course quatre rameurs de pointe seniors, gagnée par Sport Nautique de Gand. 25.V.1933.
- Beeld 39239 : Les Régates internationales de Bruxelles se sont déroulées ce 12 juin [?] au Pont-Brûlé. Monsieur Dekens de la R.S.N. Bruxelles (Petit Eugène) gagnant la course de skiff junior.
- Beeld 39241 : Les Régates internationales de Bruxelles se sont déroulées ce 12 juin [?] au Pont-Brûlé. Régates à voile.
- Beeld 39243 : [Zonder beschrijving/Sans légende]
- Beeld 39244 : [Zonder beschrijving/Sans légende]
- Beeld 39246 : Les Régates internationales de Terdonck, près de Gand. Course en deux rameurs de couples seniors, gagnée par le Sport Nautique de Bruges. 25.V.1933.
- Beeld 39248 : Les Régates internationales de Terdonck, près de Gand. Course de quatre rameurs de pointe débutants, gagnée par la Société nautique d'Encouragement de Paris. 25.V.1933.
- Beeld 39250 : Les Régates internationales de Bruxelles se sont déroulées ce 12 juin [?] au Pont-Brûlé. L'arrivée de l'équipe française "S.N. Marne", gagnante la course de 8 rameurs de pointe seniors avec barreur.
- Beeld 39252 : Les Régates internationales de Terdonck, près de Gand. Course quatre rameurs de pointe seniors, gagnée par Sport nautique de Gand. 25.V.1933.
- Beeld 39254 : Les Régates internationales de Terdonck, près de Gand. Course de quatre rameurs de pointe débutants, gagnée par Société nautique d'encouragement de Paris. 25.V.1933.
- Roemeense bezetting van Bessarabië : 1941-1942. - 8 foto's
- Beeld 66151 : Jubel in den Dörfern Bessarabiens.
Überall, wo die rumänischen Brüder einziehen, zeigen die Bewohner der bessarabischen Dörfer und Ortschaften unbeschreibliche Freude, dass nun endlich wieder die vor einem Jahr gewaltsam errichtete Grenze fällt, und dass der bolschewistische Terror ein Ende hat.
20.II.19[?].
- Beeld 66153 : Het feest te Bukarest der bevrijding der roemeensche provincies Bessarabie en Bucovine door de roemeensche en duitsche leger.
Het uitzicht der Roemeensche hoofdstad ter gelegenheid der plechtigheid.
- Beeld 66155 : Deutsch-rumänische Zusammenarbeit.
Rumänische und deutsche Soldaten werden in Bessarabien von der Bevölkerung willkommen geheissen.
- Beeld 66156 : Bessarabien. Am Dniestr wachte die rumänische Grenztruppe. Der Dniestr war die einsamste und verschlossenste Grenze zwischen Europa und den Sowjets.
- Beeld 66157 : La tour de la libération.
Sur une colline à 8 km de la capitale de Bessarabie Kishinew, se trouve le nouveau signe roumain de la délivrance de la Bessarabie. De cet endroit le maréchal Antonescu donna l'ordre d'attaquer Kishinew. Comme symbole de ce glorieux fait d'arme, et de la libération de la Bessarabie du bolchevisme, ce monument fut érigé. Le 31 octobre 1942, cette tour fut inaugurée en présence du roi et des représentants du ministre président Mihaïl Antonescu.
Photo: la Tour de la Libération a 30 m. de haut. De son sommet, on a une magnifique vue sur le pays doucement ondulé de collines, et riche en cultures.
- Beeld 66159 : La Tour de la Libération.
Des milliers de paysans sont venus assister à cette fête.
- Beeld 66161 : Il est un des commissaires judéo-communistes qui terrorisaient Kishinew et qui sont responsables du" dérobement" et de l'assassinat de milliers de Roumains.
- Beeld 66163 : In Balti in Nordbessarabien stehen noch die Gräber der rumänischen Soldaten, die seinerzeit in den Kämpfen mit den Bolschewisten Truppen um Bessarabien gefallen sind.
- Roemeense folklore : 1938. - 5 foto's
- Beeld 65888 : Arrivée à cheval d'une famille au sommet du Muntea Gaina sis à 1.486 m. d'altitude dans un massif montagneux des Carpates.
- Beeld 65890 : Les rudes accents des "Tulnics", qu'embouchent garçons et filles inaugurent le pittoresque "Marché" de Muntea Gaina.
- Beeld 65892 : Le pope inaugure le "Marché aux filles" par une messe au pied de la croix de Muntea Gaina.
- Beeld 65894 : Un jeune paysan roumain et l'heureuse fiancée, dont il vient de demander la main, s'isolent dans un coin solitaire des Carpates.
- Beeld 65896 : Folk dancing brings nations together in London.
Dancers who are to take part in the Silver Jubilee Festival of the English Folk Dance and Song Society at the Royal Albert Hall, London, to-morrow (Saturday), rehearsed at the Society's headquarters, Cecil Sharp House, Regent's Park, London.
A number of foreign teams are participating.
Photo shows: Two Manx girl dancers (from the Isle of Man) looking at one of the Rumanian team's Kobsa, a musical instrument.
8.I.1937.
- Roemeense kunstvoorwerpen, ...-1940. - 1 foto
- Roemeense legerhospitalen aan het Oostfront, 1942. - 3 foto's
- Roemeense luchtmacht aan het Oostfront, 1942-1944. - 29 foto's
- Beeld 66586 : Bucarest. Le serment des recrues.
20.IV.19[?].
- Beeld 66589 : Rumänische Luftwaffe an der Seite der deutschen Wehrmacht.
In vielen Einsätzen haben sich Angehörige der im Osten stationierten rumänischen Luftwaffe bewährt.
U.B.z.: eine angetretene rumänische Stukagruppe, deren Abngehörige von dem Luftflottenchef mit dem EK ausgezeichnet werden.
12.X.1943.
- Beeld 66590 : Rumänische Luftwaffe an der Seite der deutschen Wehrmacht.
In vielen Einsätzen haben sich Angehörige der im Osten stationierten rumänischen Luftwaffe bewährt.
U.B.z.: die Auszeichnung tapferer rumänischer Stuka-Flieger durch den Luftwaffenchef.
12.X.1943.
- Beeld 66591 : Sur un champ d'aviation roumain du front de l'Est.
Un chameau pris aux Bolchevistes ramène l'aviateur dans son cantonnement.
23.XII.1942.
Op een roemeinsch vliegveld aan het Oostfront.
Een kameel, die afgenomen werd aan de Bolsjewisten brengt den vliegenier terug in zijn cantonnement.
- Beeld 66592 : Rumänische Flugzeuge vor dem Start zum Einsatz an der Ostfront.
14.III.1943.
- Beeld 66593 : Deutsche und rumänische Jäger im gemeinsamen Abwehrkampf.
Ein wichtiger Einsatz ist befohlen. Sofort stürzen die Flugzeugbesatzungen zu den startbereiten Maschinen. Das Spiel, das die Wartezeit verkürzen sollte, wird in Stich gelassen.
7.I.1944.
- Beeld 66594 : Ein rumänischer Flieger der Ostfront.
[?].1943.
- Beeld 66596 : Rumänische Kampfflieger auf Ju 88 im Einsatz.
Vor der Maschine noch einmal kurze Besprechung zwischen Flugzeugführer und Beobachter. Rechts der Flugzeugführer Hauptmann d.Res. M.J. im Zivilleben Volksschullehrer im Saraiu, ein kleines Dorf in der Donau Niederung. Der 33 jährige zählt mit seinen fast loo Feindflügen zu den erfolgreichsten Männern seiner Gruppe, wurde zweimal brennend abgeschossen und ist Inhaber der höchsten rumänischen Fliegerauszeichnung, der Virtutea Aeronautica, des Goldenen Kreuzes cruseo de aur) und des deutschen Eisernen Kreuzes Die gleichen Auszeichnungen trägt der Beobachter Leutnant F. der in seinem Flugbuch nur einige Flüge weniger verzeichnet hat.
20.X.1943.
- Beeld 66597 : Rumänische Kampfflieger auf "Ju 88", die im südlichen Abschnitt der Ostfront im tapferen Einsatz neben ihren deutschen Kameraden stehen, besprechen vor dem Start den Feindflug.
4.XII.1943.
- Beeld 66598 : Rumänische Kampfflieger auf Ju 88 im Einsatz.
Dazwischen machen sich Bordmechanikar und Bordfunker zum Feindflug fertig.
20.X.1943.
- Beeld 66599 : Rumänischer Einsatz an der Ostfront.
In dem für die Zukunft Europas entscheidenden Ringen hat das rumänische Volk durch seine tapferen Soldaten einen wichtigen Beitrag geleistet. Die wiederholten Erwähnung ihres Einsatzes in den Berichten des OKW hat die Bedeutung u. die Tapferkeit der rum. Infanterie, Artillerie, der Marine- u. Luftwaffensoldaten gewürdigt Rumänische Bombenflugzeuge werden für den Start vorbereitet.
24.I.1944.
- Beeld 66600 : Bombe pentru bolsevici.
- Beeld 66601 : Auf einem rumänischen Flugplatz, machen die Männer vom Bodenpersonal die Flugzeuge einer bewährten rumänischen Kampffliegergruppe vom Typ JU88 startklar.
25.VIII.1943.
Sur un champ d'aviation roumain.
Le personnel de terre prépare le départ d'un groupe d'avions de combat type Ju88.
- Beeld 66602 : Rumänische Kampfflieger auf Ju 88 im Einsatz und mit Bomben aller Kaliber belade.
Bei einem rumänischen Geschwader.
Grosse und kleine Bomben werden an das rumänische Flugzeug angebracht, das startklar für den nächsten Feindflug auf einem Flugplatz im Osten gemacht wird.
13.IX.1943.
- Beeld 66603 : Bei der rumänischen Luftwaffe.
Bomben schwersten Kalibers werden zur Kampfflugzeug gebracht.
25.I.1944.
- Beeld 66604 : Leutnant F. einer der erfolgreichsten Männer einer rumänischen Kampffliegergruppe im Südabschnitt der Ostfront.
Fast hundert Mal flog er gegen den Feind und ist Träger des Goldenen Kreuzes und des Fliegerkreuzes und des deutschen Eisernen Kreuzes.
27.VIII.1943.
- Beeld 66605 : Jäger am Schwarzen Meer.
Seite an Seite mit Männern der deutschen Luftwaffe stehen hier rumänischje Flieger im zähen und verbissenen Kampf mit den Sowjets.
U.B.z.: das gutgeschulte und geübte Auge des rumänischen Jägers peilt den Feind an.
13.I.1944.
- Beeld 66606 : Rumänische Soldaten.
Flugzeugführer und Beobachter bei Ausführung ihres Auftrages.
20.IV.1943.
- Beeld 66608 : Mitraliorii de bord, in timpul misiumil, cerceteaza ou vigilenta cerul inamic.
He III H-6 Roumain.
- Beeld 66609 : Auf einem Feldflugplatz im Osten warten rumänische Flieger auf neue Befehle.
9.I.1943.
- Beeld 66610 : Trotz schlechten Wetters sind die rumänischen Kampfflugzeuge startbereit.
9.I.1943.
- Beeld 66611 : Sur le front russo-roumain.
Les avions roumains au-dessus des lignes ennemies.
- Beeld 66612 : Luftkampf im rumänischen Raum.
Wieder griffen anglo-amerikanische Terrorverbände Städte und Dörfer im rumänischen Raum an. Deutsche und rumänische Jäger und Schlachtflieger warfen sich den feindlichen Maschinen entgen und brachten zahlreiche zum Absturz.
Zwei Schlachtflieger vom Typ "FW 190" kommen vom erfolgreichen Einsatz zurück. Sie überfliegen die Aufschlagstellen ihrer vernichteten Gegner.
22.VIII.19[?].
- Beeld 66613 : Über dem Ziel werden die Bombenschächte des rumänischen Bombers geöffnet.
2.II.1943.
- Beeld 66614 : Aviatia romana bombardeaza, cu aficacitate, cheiurile Stalingradului. Plajile au fost levite, iar fumul incendiilor se ridica. peste ostroavele Volgei, pana la mari inaltimi.
23.XII.1942.
- Beeld 66615 : Erfolgreiche rumänische Flak.
Auf einem Feldflugplatz an der sowjetischen Südostfront, der mit rumänischen Verbänden belegt ist, hält dieses Geschütz mit rumänischer Bedieunung Wacht. Die vielen Abschussringe am Geschützrohr künden von stolzen Erfolgen.
18.XI.1943.
- Beeld 66616 : Rumänische Kampfflugzeuge warten auf einem Feldflugplatz auf Einsatzbefehl.
14.I.1943.
- Beeld 66617 : Rumänische Flieger an der Ostfront.
14.I.1943.
- Beeld 66618 : Männer am rumänischen Geschütz
Klug und schnell, aber auch kräftig muss der Ladekanonier sein, an diesem Geschütz der 23-jährige Kaufmann Gregore C. aus Bukarest. Über ein Jahr steht der junge Sergent an der Ostfront und lud auch sein Geschütz, als am Flugplatz Tazinskaja 4 Sowjetpanzer aus nächster Nähe abgeschossen wurden.
25.VII.1943.
- Beeld 131706 : Zwei alte Kriegskameraden begrüssen sich.
Einer der erfolgreichsten rumänischen Jagdflieger begrüsst einen alten Kriegskameraden von einer rumänischen Gebirgsjägereinheit. Der Jagdflieger war früher selbst Gebirgsjäger und hat heute noch engen Kontakt mit den Kameraden der Erdtruppe.
16.VI.1944.
- Roemeense marine aan het Oostfront, 1942-1944. - 29 foto's
- Roemeense pantsers aan het Oostfront, 1941-1944. - 5 foto's
- Roemeense studenten in Duitsland. - 1 foto
- Roemeense troepen aan de Azovzee aan het Oostfront, 1942. - 3 foto's
- Roemeense troepen aan de Don aan het Oostfront, 1942-1943. - 6 foto's
- Roemeense troepen aan de Zwarte Zee aan het Oostfront, 1943-1944. - 13 foto's
- Roemeense troepen aan het Kubanfront (Oostfront), 1942-1943. - 10 foto's
- Beeld 66451 : Rumänische Brückenwache an der Kuban-Niederung.
In treuer Waffenbrüderschaft stehen rumänische Truppen gemeinsam mit den deutschen Grenadieren in Osten im Kampf, um den Bolschewismus von Europa fernzuhalten.
6.IX.1943.
- Beeld 66453 : An der Kubanfront.
Rumänische Infanterie überquert Flussperre im Angesicht der Bolschewisten.
13.VII.1943.
- Beeld 66455 : Mit Korkbooten setzen Rumänen über einen Kubankanal.
18.IX.1942.
Sur des bateaux de liège, les troupes roumaines traversent le canal de Kouban.
- Beeld 66457 : Soldaten sind erfinderisch. Ein typisches Bild aus dem östlichen Lagunengebiet.
Undurchdringlich ist das weite, versumpfte und mit dichtem Schilf bewachsene Lagunengebiet am Kuban. Vor Feindüberraschungen sind unsere Soldaten jederzeit geschützt, andererseits sind sie aber auch ständig auf der Wacht.
Die Eigenart des Geländes stellen an die Truppen höchste Anforderungen, denen sie aber immer begegnen können. Hier ist es eine selbsterfundene Fähre, die den "Verkehr" von einem Teil zum anderen Teil des Inselgebietes vermittelt.
5.VIII.1943.
- Beeld 66459 : Kuban-Brückenkopf.
Blick auf eine rumänische Erdstellung am Kuban-Brückenkopf-, wo in den letzten Wochen erbitterte Kämpfe stattfanden.
13.V.1943.
- Beeld 66461 : An der Kubanfront.
Rumänische Maschinengewehre auf einer beherrschenden Höhe.
13.V.1943.
- Beeld 66467 : Rumänische Artillerie im Kampf an der Kubanfront.
3.X.1942.
- Beeld 66469 : Rumänische Panzereinheiten am Kubanbrückenkorpf.
Gemeinsam mit den deutschen Truppen kämpfen im Osten rumänische Einheiten, die sich durch ihren Schneid und Tpferkeit gerade während der jetzigen heissen Gefechte besonders ausgezeichnet haben, was im Bericht des Oberkommandos der Deutschen Wehrmacht ja auch öfters zum Ausdruck gekommen ist.
In langer Reihe rollen rumänische Panzer am Kubanbrückenkorpf zur Front.
13.VIII.1943.
- Beeld 66470 : Pausenloser Verkehr von und zum Kuban-Brückenkorpf.
Neben dem Anlegeplatz benutzt eine rumänische Einheit die Wartezeit zum Kaffeekochen.
- Beeld 66472 : Camarad german hilft mit.
Am Kubanbrückenkopf liegen dicht nebeneinander deutsche und rumänische Truppen, Rumänische Gebirgsjäger hauen eine Reservestellung. Selbstverständlich helfen ihnen die deutschen Kameraden.
8.VII.1943
- Roemeense troepen aan het Oostfront (algemeen), 1942-1944. - 103 foto's
- Beeld 66478 : Rumänischer Infanterie-Spähtrupp östlich des Donez.
14.VIII.19[?].
- Beeld 66479 : Die Weite der Landschaft an den Ufern des Pruth.
Rumänische Truppen überqueren den Fluss.
15.[?].19[?].
- Beeld 66480 : Deutsche Frontarbeiter im Osteinsatz.
Das Werk einer Viertelstunde: Ein Wolkenbruch hat die Felder überschwennt, den schmalen Vormarschweg aufgeweicht, die Bäche zu reissenden Strömen werden lassen. Die Frontarbeiter packen zu. Mit Hilfe rumänischer Kameraden wird das Steinmaterial herbeigeschafft, damit deutsche Truppen auf den ausgefahrenen, sumpfigen Pfaden weiterkommen.
- Beeld 66482 : L'Armée roumaine sur le front russe.
Tank soviétique détruit par nos chasseurs, sur le front du Dnièper.
19.X.19[?].
- Beeld 66483 : Char de lutte bolschevik, effondré en même temps qu'un pont miné.
28.[?].19[?].
- Beeld 66484 : Deutsche Frontarbeiter im Osteinsatz.
Frontarbeiter räumen das Flussbett von Resten einer Eisenbetonbrücke, die die Sowjets vor ihrem Rückzug sprengten.
- Beeld 66485 : Verfolgung der Russen in Bessarabien.
Die Sowjets sprengten die Bahnbrücke öber den Dienstr bei ATACI auf ihrer Flucht vor den rumänischen Truppen.
La poursuite des Russes en Bessarabie.
Les Soviets ont fait sauter le pont de chemin de fer sur le Dniester près d'Antaci en se retirant devant la poussée des troupes roumaines.
- Beeld 66486 : Küstenschutz bei Noworossijsk.
Zur täglich Lagebesprechung ist der deutsche Verbindungsoffizier aus dem Nachbarabschnitt bei Noworossijsk eingetroffen, um mit dem rumänischen Abteilungskommandeur die Lage durchzusprechen.
22.VIII.1943.
- Beeld 66487 : Rumänischer Nachrichtenposten wird verlegt.
5.IV.1943.
- Beeld 66488 : In Staub und Hitze zichen die rumänischen Nachschubkolonnen durch das bergige Land.
21.V.1944.
- Beeld 66489 : ?arme Kleidung für rumänische Soldaten auf einem Bahnhof der Ostfront.
1.III.1943.
- Beeld 66490 : An der Rumänische Front im Osten.
Deutsche Infanteristen haben mit rumänischen Kameraden einen feindlichen Unterstand ausgemacht. Die Aufforderung zur Aufgabe der Stellung nutzte nichts, da fliegt eine Handgranate in den Eingang, der in den Stollen führt. Weisser Rauch steigt langsam hoch. Jetzt zeigt sich Leben: Ein Bolschewist nach dem anderen kreicht auf.
- Beeld 66491 : Rumänischer Einsatz an der Ost.?.
In dem für die Zukunft Europas entscheiden dem grossen Ringen im Osten hat auch das rumänische Volk durch seine tapferen Soldaten seinen Betriag geleistet. Die wiederholte Erwähnung ihres Einsatzes in den Berichten des Oberkommandos der Wehrmacht hat die Bedeutung und die Tapferkeit der rumänischen Infanterie, Artillerie, der Marine- und Luftwaffen-Soldaten gewürdigt.
U.B.z.: Rumänische Artillerie während des Kampfes gegen sowjetische Panzer.
27.I.1944.
- Beeld 66492 : Kurz hinter der Hauptkampflinie.
Rumänische Soldaten, die die ersten Frühlingssonnenstrahlen wahrnehmen.
9.V.1943.
- Beeld 66493 : Wie am Atlantik- auch am Schwarzen Meer.
Deutsche und rumänische Einheiten stehen Seite an Seite auf Küstenwacht am Schwarzen Meer.
22.IX.1943.
- Beeld 66494 : Küstenschutz am Schwarzen Meer.
Rumänische Flak beim Geschützreinigen.
5.VI.1943.
- Beeld 66495 : Eine vorgehende Einheit rumänischer Infanterie rastet im Schutz eines deutschen Sturmgeschützes.
3.III.1943.
- Beeld 66496 : Langsam aber zuverlässig bewähren sich die eigentümlichen Ochsengespanne der rumänischen Truppen in der trockenen Steppe.
5.X.1942.
- Beeld 66497 : Gemeinsam werden sie zerschlagen.
Deutsche Sturmgeschütze mit rumänischer Infanterie.
21.VI.1944.
- Beeld 66498 : Deutsch-rumänische Waffenbrüdersch
Kameradschaft uinter Verwundeten.
[?].VIII.1944.
- Beeld 66499 : Das Geschoss der "Panzerfanst".
Rumänische Infanterieverbände wurden jetzt mit dieser vielfach bewährten deutschen Abwehrwaffe gegen Feindpanzer gerüstet. Ein rumänischer Oberleutnant erklärt seinen Männern den Aufbau des Geschosses.
12.VII.1944.
- Beeld 66500 : Gut getarnter vorgeschobener Posten.
Der vorgeschobene Beobachter einer rumänischen schweren Granatwerfer-Abteilung verfolgt am Scherenfernrohr aus geschickt getarnten Loch heraus, die Wirkung des Feuers der Werfer.
4.VI.1944.
- Beeld 66501 : Feuerüberfall auf Sowjetansammlungen.
"Focque" Feuer, Schuss um Schuss verlässt die Rohre.
3.VIII.1944.
- Beeld 66502 : Deutsch-rumänische Waffenbrüderschaft.
Ein deutscher Panzerspähwagen ist Befehlsgemäss in die rumänischen Stellungen gefahren, um Einzeltheiten über den Verlauf der Front in einem Abschnitt der Süd-Ost-Linie einzuholen. Der Kommandeur des rumänischen Gebirgsjäger-Regiments, ein Oberst, zeichnet dem deutschen Unteroffizier die Lage in die Karte ein.
- Beeld 66503 : Rumänischer Gebirgsjäger auf Wacht in seinem Schützenloch, nur wenige hundert Meter von den Sowjets entfernt.
6.VI.1944.
- Beeld 66504 : Rumänischer Schwertertanz.
9.II.1944.
- Beeld 66505 : Getarntes rumänisches Geschütz.
14.III.1943.
- Beeld 66506 : Von der Ostfront.
Rumänische Soldaten auf dem Beobachtungsbaum.
14.IV.1943.
- Beeld 66507 : Auf den Vormärschen der deutschen Truppen ist auch stets Trinkwasservorrat vorhanden.
Denn nur allzuleicht kann es vorkommen, dass rote "Kulturträger" die Brunnen vergiften.
- Beeld 66508 : Rumänisches Geschütz wird in Stellung gebracht.
26.IX.19[?]
- Beeld 66509 : Feuerüberfall auf Sowjetansammlungen.
Die Kanoniere in den Munitionsbunkern naben den Geschützen haben zu tun, und mitzukommen.
- Beeld 66510 : Feuerüberfall auf Sowjetansammlungen.
"Der Überfall hat gesessen!" Freudig nimmt der Batterieoffizier am Fernspr.?. die Meldung entgegen.
3.VIII.1944.
- Beeld 66511 : Feuerüberfall auf Sowjetansammlungen.
"Alarm" die Bedienung eilt an die in Schutze des spärlichen Baumwuchses aufgefahrenen Geschütze.
- Beeld 66512 : Sur le front russo-roumain.
Le canon antichar, bien camouflé, assure la sécurité d'une route sur laquelle avance l'infanterie roumaine.
- Beeld 66513 : Küstenschutz bei Noworossijsk.
Auf seinem Rundgang hat der rumänische Posten am letzten Geschützbunker besonders die vorspringende Landzunge zu beachten, hinter der die vordersten Linien des Feindes anfangen.
23.VIII.1943.
- Beeld 66514 : Auch aus Rumänien rollt ununterbrochen der Nachschub.
Transportzug auf dem Wege zur Südostfront.
29.III.1942.
- Beeld 66515 : Mit einigen deutschen Brocken macht sich der rumänische Soldat dem deutschen Kameraden verständlich.
12.I.1943.
- Beeld 66516 : Feuerüberfall auf Sowjetansammlungen.
Granate auf Granate verschwindet im R.?.
- Beeld 66517 : Rumänische Gebirgsjäger beim Bau von Panzersperren.
21.VII.1944.
- Beeld 66518 : Gemeinsam werden sie zuschlagen.
Deutscher Panzerabwehroffizier instruiert rum. Batteriebedienung über die neuen sowjetischen Panzertypen.
27.VI.1944.
- Beeld 66519 : Das Gesicht des rumänischen Infanteristen.
Sergeant (Uffz) Sp.... 28 Jahre alt, im Zivilberuf Beamter.
30.VI.1944.
- Beeld 66520 : Rumänische Reiter verfolgen Sowjets.
5.II.1943.
- Beeld 66521 : Rumänische Infanterie im Osten.
27.XI.19[?].
- Beeld 66522 : Willkommene Erfrischung.
Ein rumänischer Meldegänger hat auf dem Rückweg einen Kanister voll Brunnenwasser nach vorn gebracht. Seine Kameraden steigen aus ihren Schützenlöchern an der Strassenböschung und eilen zu ihm. Ein Trunk Wasser wird ihre ausgetrockneten Kehlen erfrischen.
21.VIII.1944.
- Beeld 66523 : Es geht in den Kampf.
Der Kommandeur einer rumänischen Artillerie-Abteilung bespricht mit einem deutschen Artillerie-Offizier die Feuervorbereitung des Gegenstrosses.
15.I.1944.
- Beeld 66524 : Deutsch-rumänische Waffenbrüderschaft.
Der Kommandeur der rumänischen Truppen und deutsche Offiziere bei der Lagebesprechung im Osten.
17.IV.1942.
- Beeld 66525 : Rumänische Verstärkung auf dem Marsch in die Kampfstellung.
5.VI.1942.
- Beeld 66526 : Rumänischer Infanterist mit der charakteristischen Lammfellmütze.
12.III.1943.
- Beeld 66527 : Sie zogen von Rumänien her bis zum Sal.
Diese eigentümliche Ochsengespanne der rumänischen Truppen sind zwar langsam, aber gerade in der trockenen weiten Steppe besonders zuverlässig.
20.X.1942.
- Beeld 66528 : Gefallenenehrung und Gottesdienst bei einer rumänischen Gebirgsdivision.
Der rumänische Divisionspfarrer spricht das Gebet und knieend beten die Soldaten mit ihm.
2.X.1942.
- Beeld 66529 : Rumänische Gebirgsjäger mit Tragtieren zum Appell angetreten.
19.X.1942.
- Beeld 66530 : Rumänische Soldaten führen Nationaltänze in einem Kampfabschnitt im Osten von Neujährstanz (Bärentanz).
8.II.1944.
- Beeld 66531 : Rumänische Soldaten führen Nationaltänze in einem Kampfabschnitt im Osten von Rumänische Soldaten bei Neujahrstänzen.
9.II.1944
- Beeld 66532 : Rumänische 7.5 cm Flak.
Das breite Entfernungsmessgerät fasst die Maschine auf. Am Kommandogerät vorne werden die genauen Werte ermittelt und sofort an die feuerbereiten Geschütze gegeben.
20.V.1944.
- Beeld 66533 : Feuerüberfall auf Sowjetansammlungen.µ
Im Augenblick ist das Tarnnetz entfernt.
3.VIII.1944.
- Beeld 66534 : Deutsche und rumänische Nachrichtenmänner bei der Verlegung eines schweren Feldkabels.
5.VI.1944.
- Beeld 66535 : In una stazione della Romania: cordiale incontre fra soldati romeni e truppe italiane diretta al fronte ruseo.
11.VIII.19[?].
Dans une gare de Roumanie, rencontre cordiale entre soldats roumains et italiens partant pour le front russe.
- Beeld 66536 : Rumänische Infanterie in ihrer verdersten Frontstellung.
14.VII.19[?].
- Beeld 66537 : Rumänische Infanteristen setzen einen Riegel vor den feindlichen Angriff. Blutige Verluste sind wieder das Ergebnis der sowjetischen Massen, die immer aufs Neue in den Tod getrieben werden.
- Beeld 66538 : Rumänische Gebirgsjäger-Kolonne marschiert zur Front.
20.VII.1944.
- Beeld 66539 : Feindliches Sochiff in Sicht.
Die Tarnkkappe wird vom Geschütz gezogen um einsatzbereit zu sein.
5.VI.1944.
- Beeld 66540 : Rumänischer Einsatz an der Ostfront.
Im dem für die Zukunft Europas entscheidendem grossen Ringen im Osten hat auch das rumänische Volk durch seine tapferen Soldaten seinen Betriag geleistet. Die wiederholte Erwähnung ihres Einsatzes in den Berichten des Oberkommandos der Wehrmacht hat die Bedeutung und die Tapferkeit der rumänischen Infanterie, Artillerie, der Marine- und Luftwaffen-Soldaten gewürdigt.
U.B.z.: Rumänische Artillerie während des Kampfes gegen sowjetisches Panzer.
29.I.1944.
- Beeld 66541 : Rumänische Truppen im Abwehrkampf im Osten.
Rumänische Granatwerferbatterie unterstützt den Angriff. Wurfgranaten werden abgefeuert.
15.I.1944.
- Beeld 66542 : Rumänische Truppen im Abwehrkampf im Osten.
Rumänische Granatwerferbatterien unterstützen den Angriff.
17.I.1944.
- Beeld 66543 : Rumänische Soldaten im Kampf gegen den Bolschewismus.
Rumänen bei Wachablösung in einem Kampfabschnitt des Ostens.
5.II.1944.
- Beeld 66544 : Feuerüberfall auf Sowjetansammlungen.
Der Batterieoffizier, ein Oberleutnant gibt die Feuerkommandos durch.
3.VIII.1944.
- Beeld 66545 : Feuerüberfall auf Sowjetansammlungen.
Granate auf Granate verschwindet im Front.
3.VIII.1944.
- Beeld 66546 : Deutsche-rumänische Kameradschaft.
Vor einer rumänischen Granatwerferstellung.
27.XII.1943.
- Beeld 66548 : Die grosse Abwehrschlacht.
Der Nachschub stösst auch bei den Verbündeten auf grosse Schwierigkeiten, die aber alle überwunden werden. Der Nachschub geht über den Fluss. Auch die rumänischen Soldaten wissen sich zu helfen. Sie führen die Boote in Form einer Fähre verbunden antgespannten Seilen hinüber und zurück.
9.VIII.1943.
- Beeld 66549 : Deutsch-rumänische Kameradschaft.
Ein rumänischer Offizier erstattet über die Verteidigungsmassnahmen seines Abschnittes Bericht.
Rudolf Konrad.
27.XII.1943.
- Beeld 66550 : Deutsch-rumänische Kameradschaft.
Rudolf Konrad.
27.XII.1943.
- Beeld 66551 : Waffenkameradschaft!
Deutsche, ungarische und rumänische Offiziere, die einen deutschen General bei einer Frontreise begleiteten.
17.X.1941.
- Beeld 66552 : Auszeichnung des Obersten Radu Korne mit dem Ritterkreuz des Eisernen Kreuzes an der Ostfront.
31.I.1942.
- Beeld 66553 : Treue Waffenbrüderschaft.
Drei Kameraden: Ein Rumäne, ein Italiener und ein deutscher Soldat.
- Beeld 66554 : Rumänische Granatwerferstellung an der Front. Die Granaten werden schussfortig gemacht.
7.V.1943.
- Beeld 66555 : Eine rumänische Granatwerferstellung an der Kampffront. Es handelt sich dabei um einen erbeuteten 12 cm sowjetischen Granatwerfer.
30.IV.1943.
- Beeld 66556 : Rumänische Soldaten führen Nationaltänze in einem Kampfabschnitt im Osten von.
Die rumänischen Soldaten kommen zum Tanz aus den Unterkünften.
9.II.1944.
- Beeld 66557 : Sie werden aufgeklärt.
Nach Beendigung eines Vortrages steht der Hiwi-Offizier (Hilfswilligen) dann erst noch seinen Landsleuten zur Beantwortung von Fragen zur Verfügung.
13.IV.1944.
- Beeld 66558 : Sie werden aufgeklärt.
Und dann gibt's zum Abschluss wieder Musik. Die kurze Veranstaltung ist vorbei, die Arbeiterschaft verstreut sich, nun nach Ablauf der Werkpause wieder ihre Arbeit aufzunehmen.
14.IV.1944.
- Beeld 66559 : Sie werden aufgklärt zuerst gibt's Musik. Volksweisen ertönen. Der Soldat, der den Lautsprecher bedient, gibt Auskunft über seinen technischen Betrieb.
13.IV.1944.
- Beeld 66560 : Alarma la o baterie de A.C.A. Tunarii sunt gata de a promi cu proectile formatia bolsevica.
6.XII.19[?].
- Beeld 66561 : Rumänische Artillerie geht in Stellung.
Der hohe Ausbildungsstand der rumänischen Truppen und ihre in vielen Schlachten bewährte Tapferkeit, hat schon in zahllosen Kämpfen Seite an Seite mit den deutschen Soldaten den Sowjets immer wieder grosse Verluste zugefügt. Die deutsche und die rumänische Wehrmacht werden auch in Zukunft die bolschewistischen Unterjochungsabsichten zu verhindernwissen.
23.III.1944.
- Beeld 66562 : 30.V.1944.
- Beeld 66563 : Bei einem rumänischen Gebirgsjäger-Sturmbataillon.
Ein deutscher Offizier in einer vorgeschobenen Beobachtungsstelle gibt der rumänischen Artillerie Schiessbefehle.
30.XII.1942.
- Beeld 66564 : Bei einem rumänischen Gebirgsjäger-Sturmbataillon.
Es ist kurz vor dem Angriff des rumänischen Sturmbataillons. Noch einmal werden die Uhren verglichen.
Deutscher Oberleutnant!
30.XII.1942.
- Beeld 66565 : Artilleriebeobachter bei Festellung der Wirkung rumänischer Kanonen.
3.I.1943.
- Beeld 66566 : Männer am rumänischen Geschütz.
Dieser Kanonier stellt das Geschütz der Seite nach ein. Es ist der 33-jährige Bauer Mariu R. aus Süd-Athenia. Über ein Jahr an der Ostfront, ist er heute Korpural.
25.VII.1943.
- Beeld 66567 : Schwere Kal...
Auch in der Inse... ... zerklüfteten Kü... ... im Schutzwall ... ... werke überwind... ... ...rumänischen Soldaten ... ...rigkeiten.
Mit vereinten... ... ...Lafette auf d... ... ...zum Fundament...
7.VIII.1943.
- Beeld 66568 : Flak geht nach vorn.
Ein 3,7 Flakgeschütz auf Selbstfahrerlafette auf dem Marsch zu einer Durchbruchsstelle. Sie überholt rumänische Nachschubkolonnen.
20.XII.1943.
- Beeld 66569 : Deutsch-rumänische Waffenbrüderschaft.
Deutsche Aufklärungsflieger fliegen das Kampfgebiet ab. Rumänische Soldaten beobachten die Flugzeuge.
13.I.1943.
- Beeld 66570 : Die härtesten Anforderungen werden hier an jeden Soldaten gestellt.
U.B.: vermittelt uns einen eindrucksvollen Blick auf einen Kampfabschnitt an der Ostfront. Wie im Daschungelgebiet mutet hier die Gegend an, die an die kämpfende Truppe die härtesten Anforderungen stellt. Nach einem erfolgreichen Spähtrupp geht es schwimmend über den Fluss, der einem Sumpfwasser gleicht zurück zur Ausgangsstellung. Waffen und Munition, die vor Nässe zu schützen sind, werden zeitweise von den mutigen und tapferen Soldaten, in diesem Falle sind es verbündete Rumänen, mit den Zähnen gehalten.
4.VIII.1943.
- Beeld 66571 : Rumänischer Reiterspähtrupp.
15.X.1942.
- Beeld 66572 : Der rumänische Angriff ist gut gekommen. Verwundete werden zurück-... Reservegruppen finden in den richtern Deckung.
6.I.1944.
- Beeld 66573 : Einheit der rumänischen Kavallerie auf dem Marsch zur Ostfront.
18.II.1943.
- Beeld 66574 : Vorsichtig im unbekannten Gebiet, jederzeit Überraschungen gewärtig, bewegt sich ein rumänischer Spähtrupp.
3.I.1943.
- Beeld 66575 : Ein rumänischer Wachtposten gibt einem deutschen Soldaten Auskunft.
19.I.1943.
- Beeld 66576 : Markante Gesichter unserer Verbündeten
Offiziere einer rumänischen Aufklärerstaffel.
10.VI.1943.
- Beeld 66577 : Zwischen den Kämpfen im Osten.
Fröhliche deutsch-rumänische Kameradeschaft.
16.VI.1944.
- Beeld 66578 : Bei einem rumänischen Gebirgsjäger-Sturmbataillon.
Ein Spähtruppführer erstattet in einem deutsch-rumänischen Bataillonsgefechtsstand dem Oberleutnant eine wichtige Meldung.
30.XII.1942.
- Beeld 66579 : Bei einem rumänischen Gebirgsjäger-Sturmbataillon.
Trotz der schwierigen Verständigung zwischen Deutschen und Rumänen gibt es immer einen Ausweg. Hier wird die Gefechtslage im Sande klargelegt.
30.XII.1942.
- Beeld 66580 : Ruhig und fest steht der rumänische Soldat am M.G.
3.I.1943.
- Beeld 66581 : Zerstörtes Kriegsschiff
Erfolg rumänischer Artillerietätigkeit bei Temrjick.
11.XI.1942.
- Roemeense troepen bij en in Odessa aan het Oostfront, 1941. - 20 foto's
- Roemeense troepen bij Jassy aan het Oostfront, 1944. - 6 foto's
- Roemeense troepen bij Stalingrad aan het Oostfront, 1942. - 7 foto's
- Roemeense troepen in de Kaukasus aan het Oostfront, 1942-1943. - 26 foto's
- Beeld 66396 : Rumänische Kavallerie auf dem Wege zur Kaukasusfront.
18.X.1942.
- Beeld 66397 : Rumänische Kavallerie auf dem Wege zur Kaukasusfront.
24.X.1942.
- Beeld 66398 : Auf der Vormarschstrasse nach Ordshonikidse im Kaukasus.
In langen Kolonnen marschieren die rumänischen Gebirgsjärer auf der Vormarschstrasse.
11.XII.1942.
- Beeld 66400 : Waffenbrüder der Berge.
Eine Kompanie rumänischer Gebirgsjärer geht zur Ablösung auf eine kaukasische Höhenstellung vor.
1.X.1942.
- Beeld 66402 : An der Kaukasusfront.
Rumänische Jäger und schwere Batterien setzen den geschlagenen Sowjets nach.
17.XII.1942.
- Beeld 66403 : Rumänische Truppen an der Kaukasusfront.
30.XII.1942.
- Beeld 66405 : Sturm auf Naltschik.
Nach hartem Kampf dringen rumänische Gebirgsjäger, unterstüzt von deutschen Gebirgsjägern und Sturmgeschützen in die kaukasische Stadt ein, die als wichtiges Verkehrszentrum nach schweren Strassenkämpfen genommen wurde.
12.XI.[?].
- Beeld 66407 : Bewährte rumänische Gebirgsjäger-Sturmbataillone.
Zwei Züge eines rumânischen Gebirgsjäger-Sturmbataillons, die sich in den schweren Kämpfen an den Hochpässen des Kaukasus bewährt haben. Sie sind angetreten, um von ihrem Kommandeur den Dank zu empfangen.
1.X.1942.
- Beeld 66409 : Der Angriff einer rumänischen Gebirgs-Division auf eine Stadt im Kaukasus.
Die ersten Häuser der Stadt sind erstürmt. Noch können aber Sowjetsoldaten verborgen sein, deshalb muss jedes Haus einzeln durchsucht werden.
6.XI.1942.
- Beeld 66412 : Der Angriff einer rumänischen Gebirgs-Division auf eine Stadt im Kaukasus.
Die ersten Häuser der Stadt sind erstürmt. Noch können aber Sowjetsoldaten verborgen sein, deshalb muss jedes Haus einzeln durchsucht werden.
12.XI.1942.
- Beeld 66414 : Sturm auf Naltschik.
Nach hartem Kampf dringen rumänische Gebirgsjäger, unterstützt von deutschen Gebirgsjägern und Sturmgeschützen, in die kaukasische Stadt ein, die als wichtiges Verkehrszentrum nach schweren Strassenkämpfen genommen wurde.
12.XI.[?].
- Beeld 66416 : Sturm auf Naltschik.
Rumänische Gebirgsjäger verhalen am Rande des wichtigen kaukasischen Verkehrszentrums, das mit Unterstützung deutscher Gebirgsjäger und rumänischer Schützen nach schweren Strassenkämpfen genommen wurde.
12.XI.1942.
- Beeld 66420 : Rumänische Infanterie auf dem Vormarsch im Kaukasus.
28.IX.1942.
- Beeld 66422 : Rumänischer Beobachtungsposten an der Kaukasusfront.
5.XII.1942.
- Beeld 66424 : Waffenbrüderschaft im Kaukasus.
Deutsche und rumänische Offiziere leiten von einer Beobachtungsstelle aus das Artilleriefeuer auf eine Berghöhe.
9.I.1943.
- Beeld 66426 : Rumänische Infanterie im Kampf an der Kaukasusfront.
7.X.19[?].
- Beeld 66428 : Deutsch-rumänische Waffenbrüderschaft.
Abschuss - Einschlag.
Rumänische Artilleristen haben ihr Geschütz in Stellung gebracht und belegen die Feldstellungen der Bolschewisten in den Kaukasusbergen mit Feuer.
13.I.1943.
- Beeld 66430 : Deutsch-rumänische Waffenbrüderschaft.
Bei der rumänischen Artillerie ! Alarm !
Die rumänische Soldaten laufen zu ihren Geschützen und nehmen die kampfstände der Bolschewisten in den nahen Kaukasusbergen unter Feuer.
13.I.1943.
- Beeld 66432 : Rumänische Flakartillerie im Hochgebirge des Kaukasus. Im Hintergrund der Elbrus.
16.X.1942.
- Beeld 66434 : Rumänische Soldaten in vorderster Kaukasusfront.
27.XI.1942
- Beeld 66436 : Rumänische Kavallerie an der Kaukasusfront.
21.XI.19[?].
- Beeld 66439 : Sturm auf Naltschik.
Nach hartem Kampf dringen rumänische Gebirgsjäger, unterstützt von deutschen Gebirgsjägern und Sturmgeschützen, in die kaukasische Stadt ein, die als wichtiges Verkehrszentrum nach schweren Strassenkämpfen genommen wurde.
12.XI.1942.
- Beeld 66441 : An der Ostfront.
Rumänische Soldaten im Kampf um ein Werk an der Kaukasusfront.
26.XI.1942.
- Beeld 66443 : Kampf rumänischer Truppen um ein Werk an der Kaukasusfront.
22.XI.1942.
- Beeld 66445 : Nach dem Sturm auf Naltschik.
Rumänische Gebirgsjäger, die mit Unterstützung deutscher Gebirgsjäger und Panzer das wichtige kaukasische Verkehrszentrum in harten Häusenkämpfen nahmen, bereiten sich auf einem provisorischen Herd eine Mahlzeit.
18.XI.1942.
- Beeld 66447 : Rumänischer Hauptverbandsplatz im Kaukasus.
Ein Leichtverwundeter schreibt seinen angehörigen in der Heimat.
1.X.1942.
- Roemeense troepen in Transnistrië aan het Oostfront, 1941. - 2 foto's
- Roemeense troepen op de Krim aan het Oostfront, 1941-1944. - 25 foto's
- Beeld 66399 : Rumänische Soldaten schützen die Krim-Küste.
Im Kampf gegen den bolschewistischen Ansturm steht auch die rumänische Wehrmacht, die ihre Kampfstärke immer wieder unter Beweis gestellt hat, Seite an Seite mit den deutschen Grenadieren. Rumänische Infanterie in Tarnkleidung an der Schwarzmeerküste. West-Tauriens.
18.III.1944.
- Beeld 66401 : Rumänische Soldaten schützen die Krim-Küste.
Im Kampf gegen den bolschewistischen Ansturm steht auch die rumänische Wehrmacht, die ihre Kampfstärke immer wieder unter Beweis gestellt hat, Seite an Seite mit den deutschen Grenadieren. Rumänische Pak auf einem vereisten See an der befestigten Liman-Küste West-Tauriens.
18.III.1944.
- Beeld 66404 : Rumänische Truppen auf der Krim.
In Schnee und Sturm marschieren rumänische Gebirgsjäger gegen Sewastopol.
14.XII.1941.
- Beeld 66406 : Im Schneesturm auf dem Marsch bei Sewastopol.
Seit einer Reihe von Tagen ist, wie der OKW-Bericht kürzlich meldete, der Angriff auf Sewastopol im Gange.
U.B.z.: rumänische Truppen in Schnee und Sturm beim Marsch gegen Sewastopol.
3.I.1942.
- Beeld 66408 : In eisigen Schneestürmen marschieren rumänische Gebirgsjäger gegen Sewastopol.
Von "sonniger Krim" ist nichts mehr zu bemerken.
13.XII.19[?].
- Beeld 66410 : Im Operationsgebiet von Sewastopol.
Von der "sonnigen Krim" verspüren diese rumänischen Gebirgsjäger nichts mehr.
11.XII.1941.
- Beeld 66411 : Rumänen auf der Krim.
Neben den deutschen Verbänden haben sich auch rumänische Einheiten bei der Sicherung der Krim gegen sowjetische Landeversuche wiederholt bewährt.
Ein Widerstandsnest ist sturmreif geschossen. Die Rumänen sind aus ihrer Bereitstellung zum Angriff angetreten.
16.I.1944.
- Beeld 66413 : Les troupes roumaines pendant une avance sur le front de Crimée.
28.12.19[?].
- Beeld 66415 : Rumänischer Einsatz an der Ostfront.
In dem für die Zukunft Europas entscheidenden Ringen hat das rumänische Volk durch seine tapferen Soldaten einen wichtigen Beitrag geleistet. Die wiederholte Erwähnung ihres Eibsatzes in den Berichten des Oberkommandos der Wehrmacht hat die Bedeutung und die Tapferkeit der rumänischen Infanterie, Artillerie, der Marine- und Luftwaffen-Soldaten gewürdigt.
Von den Kämpfen auf der Krim.d Ein rumänischer Spähtrupp geht gegen sowjetische Linien vor.
24.I.1944.
- Beeld 66418 : Angriffsschlacht auf der Halbinsel Kertsch.
Unterstützt von starken Kräften der Luftwaffe haben deutsche und rumänische Truppen auf der Halbinsel Kertsch weitere grosse Erfolge zu verzeichnen. Überall, wo sich der Feind zeigt, wird der Widerstand gebrochen.
Dunkler Rauch und Sprengwolken am Horizont künden weithin von der vernichtenden Wirkung der Stukabomben und des deutschen Artilleriefeuers.
14.V.1942.
- Beeld 66419 : Infanterie roumaine, en marche continuelle, avance toujours en Crimée.
28.12.19[?].
- Beeld 66421 : Rumänische Kradschützen auf dem Vormarsch auf der Halbinsel Kertsch.
24.V.1942.
- Beeld 66423 : An der Ostfront bei Sewastopol.
Die rumänischen Waffenbrüder kämpfen treu und hart mit den deutschen Infanteristen Schulter an Schulter.
- Beeld 66425 : Rumänen auf der Krim.
Neben den deutschen Verbänden haben sich auch rumänische Einheiten bei der Sicherung der Krim gegen sowjetische Landeversuche wiederholt bewährt.
12.I.1944.
- Beeld 66427 : Rumänischer Posten an der Küste der Krim.
Deutsche und rumänische Posten halten längs der Küste auf der Krim ständig Ausschau nach dem Feind. Deutsche Pioniere kommen soeben von einer Übung am Strand und marschieren in die ihre Quartiere zurück.
Postes de gardes roumaines sur la côte de Crimée.
La garde est montée tout le long de la côte par des Allemands et des Roumains. Dans le fond, les hommes du génie regagnant leur cantonnement.
5.VIII.1943.
- Beeld 66429 : Un canon lourd soviétique capturé sur le front de Crimée, est transporté sur une nouvelle position.
28.12.19[?].
- Beeld 66431 : La célébration du jour des héros roumains sur le front de Sébastopol.
Après la cérémonie au cimetière, le défilé des troupes roumaines.
27.IV.1942.
- Beeld 66433 : Rumänischen Offiziere und Soldaten, die sich beim Einsatz auf Kertsch ausgezeichnet haben, wird das Eiserne Kreuz verliehen.
5.VI.1942.
- Beeld 66435 : Parade in Sewastopol.
Auf dem ehemaligen Lenin-Platz in Sewastopol fand eine Parade der deutschen und rumänischen Truppen statt.
22.VIII.1942.
- Beeld 66437 : Im Hafen von Balaklawa.
Erfrischendes Fussbad der rumänischen Truppen im Hafen von Balaklawa, der am 1.7. durch kühnen Handstreich genommen wurde.
20.VII.1942.
- Beeld 66438 : Am Brückenkopf Kertsch.
Soldaten der rumänischen Armee in Kampf für ein freies Europa.
Deutsche und rumänische Soldaten bedienen gemeinsam die Geschütze, die an der Küste des Schwarzen Meeres in Stellung gegangen sind.
[?].III.1944.
- Beeld 66440 : Am Brückenkopf Kertsch.
Soldaten der rumänischen Armee in Kampf für ein freies Europa.
Ständig beobachten rumänische Posten das Meer. Sobald sich ein bolschewistische Landungsfahrzeug der Küste nähert, wird Alarm gegeben.
[?].III.1944.
- Beeld 66442 : Le siège de Sébastopol.
Une position fortifiée de Sébastopol prise par les forces germano-roumaines, malgré la résistance acharnée des Russes.
22.VI.1942.
Den zetel van Sebastepol.
Een versterkte stelling van Sebastepol, ingenomen door de Germaansch-Romeinsche machten, niettegenstaande den verwoeden tegenstand der Russen.
- Beeld 66446 : Am Brückenkopf Kertsch.
Soldaten der rumänischen Armee in Kampf für ein freies Europa.
Immer stärker werden die Stellungen von den rumänischen Soldaten ausgebaut.
In den Strassen von Kertsch werden Stacheldrahtsperren zur Sicherung errichtet.
[?].III.1944.
- Beeld 66448 : Zum Kampf auf der Krim.
Die auf der Krim einegsetzten deutschen und rumänischen Einheiten haben im Kampf gegen gelandete Sowjets bisher fast alle Brückenköpfe wieder zerschlagen können. Sie stehen auch weiterhin bereit, hier keinen Feind eindringen zu lassen.
U.B.z.: Der Nachschub in den Krim-Häfen spregt laufend für die Kampfkraft der eingesetzten Truppen.
4.I.1944.
- Roemenië levert humanitaire hulp te Montreuil : 1944. - 3 foto's
- Roemenië tijdens het interbellum, 1935-1938. - 5 foto's
- Beeld 65972 : Cuisinier-chef pour la visite du roi de Roumanie à Londres.
M. Alfredo Loré, qui est venu spécialement de Bucarest à Londres pour diriger la préparation des repas que le roi Carol offrira aux souverains britanniques, à la légation roumaine.
4.XI.1938 (?).
- Beeld 65974 : Le sportif le plus grand de Roumanie, Gogea Mitu, surnommé le "Carnera roumain", se rendant à un match de football, où il doit donner le premier coup d'envoi.
8.V.1935.
- Beeld 65976 : Les tribulations d'un homme grand (M. Mittu, roumain). Quelle misère d'être obligé de se baisser pour pénétrer chez soi.
- Beeld 65978 : Les tribulations d'un homme grand (M. Mittu, roumain). Quel travail de cirer ses chaussures lorsqu'elles atteignent cette dimension...
- Beeld 65980 : Les tribulations d'un homme grand (M. Mittu, roumain). Ouf, un peu de repos bien mérité... Monsieur Mittu s'installe sur son lit (fait sur mesure) et semble, allongé, encore plus grand.
- Roger Janssens, Belgische bankier, 1935. - 1 foto
- Roger Mequillet, voorzitter Fédération française du cyclisme : 1944. - 1 foto
- Roken van zalm in Noorwegen, 1943. - 1 foto
- Roland JV-880 Sessue Haayakawa, Japans toneelactrice, [1940-1945]. - 1 foto
- Rolland, Voorzitter van de federatie van radiohandelaars : [...-1940]. - 1 foto
- Rolschaatsen : koers 'Madeleine-Bastille' te Parijs : 1942. - 2 foto's
- Rolschaatsen : verschillende koersen te Parijs : 1942-1943. - 4 foto's
- Roman Novarro, Amerikaanse filmacteur : 15/6/1933. - 1 foto
- Romantisch bal te Parijs : [...-1939]. - 2 foto's
- Rombaux, Belgische uitvinder - uurwerkmaker : 10/5/1933. - 1 foto
- Romeinse fonteinen in Italië, [1943]. - 12 foto's
- Beeld 159959 : Römische Brunnen. 3. Die Brunnenfiguren der "Fontana di Trevi". [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.236 A : photo 3]
- Beeld 159960 : Römische Brunnen. 4. Die Fontana del Moro, einer der drei wunderbaren Brunnen auf der Piazza Navona, nach Entwürfen Berminis ausgeführt. "Der Moro" erfreut sich beim Römer grösster Beliebtheit. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.236 A : photo 4]
- Beeld 159961 : Römische Brunnen. 1. Einer der schönen, 14 m hohen Brunnen auf dem Platz vor der Peterskirche. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.236 A : photo 1]
- Beeld 159962 : Römische Brunnen. 2. Einer der bekanntesten römische Brunnen ist die Fontana di Trevi, vielleicht der schönste Barockbrunnen. Die Wasser der Acqua Vergine liess schon Agrippa im Jahre 19 v. Chr. über 20 km weit nach Rom leiten. Sie speisen noch heute zahlreiche Brunnen und Wohnquartiere. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.236 A : photo 2]
- Beeld 159963 : Römische Brunnen. 6. Dieser Triton ist weniger bekannt beim grossen Publikum, um so bekannter bei allen Liebespaaren, die in der Villa Borghese die Einsamkeit suchen. Auf einem von Steineichen verwachsenen Platz sitzt er im Gebüsch und sein sanft plätschernder Strahl übertönt Nacht für Nacht das zärtliche Geflüster auf den Bänken ringsum. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.236 A : photo 6]
- Beeld 159964 : Römische Brunnen. 7. Der vielleicht bekannteste Brunnen Roms ist die "Barcaccia" die Barke des Barockmeisters Pietro Bernini, wirklich ein barocker Einfall dieses Meisters. In hellen Sommernächten, wenn die Wasserstrahlen silbern im Glanze des Mondes leuchten, scheint es fast, als ob die kleine Barke davonschwimmen möchte. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.236 A : photo 7]
- Beeld 159965 : Römische Brunnen. 5. Auf dem Campo di Fiori, auf dem von früh bis spät ein ewiges Gekribbel zahlloser Menschen herrscht, steht, von Blumen-und Obstständen verborgen, dieser edle und kostbare Brunnen, dessen Oberbau eine antike Wanne ist, aus der das Wasser in das weite Rund des Unterbaues rieselt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.236 A : photo 5]
- Beeld 159966 : Römische Brunnen. 9. Der berühmteste Spazierweg Roms, wo man alle Sprachen der Welt reden hört, führt über die Spanische Treppe am Palazzo Medici vorbei auf den Pincio. Vor dem Medici-Palast steht dieser wunderbare Brunnen. Wer einmal gegen Abend davor stand, wird das majestätische Rund der Riesenschale nie vergessen und eben so wenig den Blick auf die Silhouette des Peterdomes. Es gibt keinen Brunnen in der Welt, der an einem schöneren Ort stände. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.236 A : photo 9]
- Beeld 159967 : Römische Brunnen. 11. Brunnen vor dem Palazzo Barberini. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.236 A : photo 3]
- Beeld 159968 : Römische Brunnen. 8. Ein häufig wiederkehrendes römischesn Brunnenmotiv : streng gegliederter antiker Unterbau mit barockem Schmuck an der Hauswand. Dieser Brunnen steht an einem Palazzo in der Via Flaminia. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.236 A : photo 8]
- Beeld 159969 : Römische Brunnen. 12. In einem kleinen Seitengässchen des Palazzo Farnese steht die Fontana del Mascherone. Das marmorne Haupt hebt sich geisterhaft vom grauen Travertinstein der Wand ab. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.236 A : photo 12]
- Beeld 159970 : Römische Brunnen. 13. Die Maske an der "Fontana del Mascherone". [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.236 A : photo 13]
- Romeprijs voor muziek te Fontainebleau : 1936-1939. - 3 foto's
- Roncq (bij Rijsel) brand van het kasteel waarin in mei 40 Duitse troepen verbleven : 1940. - 4 foto's
- Ronda gedurende de Spaanse burgeroorlog, [1936]. - 2 foto's
- Rondetafelconferentie over de onafhankelijkheid van Kongo : 1960. - 11 foto's
- Beeld 7642 : [Herkomst:: Jean Van Lierde]
Arrivée des leaders congolais.
Les chefs de la coalition des partis congolais ABAKO-MNC-PSA, MM. ADOULA, KALONJI, GIZENGA, KAMITATU, KASA-VUBU et NZEZA-LANDU sont arrivés jeudi matin à Bruxelles.
Notre photo montre Mr KASA-VUBU entouré par les journalistes à la descente d'avion.
(Belga 3/12/59)
- Beeld 7643 : [Herkomst:: Jean Van Lierde]
La fin de la Conférence de la Table Ronde.
Samedi matin a eu lieu au Palais des Congrès à Bruxelles, la dernière réunion de la Conférence de la Table Ronde, qui réunissait les délégués congolais et belges, et qui portait sur l'avenir du Congo. On sait que la principale décision est la proclamation de l'Indépendance de l'Etat Congolais. Voici Mr Guston Eyskens, premier ministre, dans son discours de cloture de la conférence.
Photo Publi Press 20/2/60
- Beeld 7644 : [Herkomst:: Jean Van Lierde]
Ouverture de la Table Ronde à Bruxelles.
Mercredi, au Palais des Congrès s'est ouvert la conférence de la Table Ronde, où se décidera le sort futur du Congo. Voici une vue générale de la salle, pendant le discours de Mr Eyskens, premier ministre, entouré de Mr De Schryver, ministre du Congo, et de Mr Lilar, qui présidera la conférence.
Photo Publi Press 20/01/60
- Beeld 7645 : [Herkomst:: Jean Van Lierde]
Ouverture de la Table Ronde à Bruxelles.
Mercredi, au Palais des Congrès, s'est ouverte la conférence de la Table Ronde, où se décidera le sort futur du Congo. Voici une vue générale de la salle, où nous voyons au premier plan Mr Eyskens, Premier ministre et Mr De Schryver, ministre du Congo.
Photo Publi Press 20/01/60
- Beeld 7646 : [Herkomst:: Jean Van Lierde]
Un groupe de douze délégués congolais à la conférence de la Table Ronde, comprenant notamment Mr Patrice Lumumba, s'est embarqué samedi soir à Bruxelles-National à destination de Léopoldville.
Les voici photographiés au moment de l'embarquement.
PHOTO BELGA 27/02/60
- Beeld 7647 : [Herkomst:: Jean Van Lierde]
Table Ronde à Bruxelles.
Mercredi matin s'est réunie à Bruxelles, au Palais des Congrès, la "Table Ronde" qui groupe vingt délégués belges, dont plusieurs membres du Gouvernement, et quarante-quatre délégués représentant les principaux partis congolais.
Voici une attitude de Mr KASA-VUBU, leader de l'Abako, avant l'ouverture des débats.
(Belga 20/01/60)
- Beeld 7648 : [Herkomst:: Jean Van Lierde]
RETOUR DE L'ENFANT PRODIGUE...?
Mercredi matin, à la conférence de la Table Ronde, Mr Joseph Kasavubu a fait sa rentrée après une absence de plus de 15 jours. Le voici passant devant le tableau annonçant la séance de ce mercredi.
Photo Publi Press 10/02/60
- Beeld 7649 : [Herkomst:: Jean Van Lierde]
Arrivée des leaders congolais.
Les chefs de la coalition des partis congolais ABAKO-MNC-PSA, MM. Adoula, Kalonji, Gizenga, Kasa-Vubu et Nzeza-Landu, sont arrivés jeudi matin à Bruxelles. Notre photo montre les leaders congolais à leur descente d'avion; au premier plan, MM. Kasa-Vubu (à gauche) et Kalaonji (à droite).
(Belga 3/12/59)
- Beeld 7650 : [Herkomst:: Jean Van Lierde]
Ouverture de la Table Ronde.
Mercredi, au Palais des Congrès à Bruxelles, s'est ouverte la conférence de la Table Ronde, où se décidera le sort futur du Congo. Voici Mr Kasavubu, président de la délégation de l'Abako.
Photo Publi Press 20/01/60
- Beeld 7651 : [Herkomst:: Jean Van Lierde]
Ouverture de la Table Ronde à Bruxelles.
Mercredi, au Palais des Congrès à Bruxelles, s'est ouverte la conférence de la Table Ronde, où se décidera le sort futur du Congo. Voici une photo de la délégation du Mouvement National Congolais (M.N.C.) tendance Kalonji, que l'on voit à droite, et à gauche Mr Ileo.
Photo Publi Press 20/01/60.
- Beeld 7652 : [Herkomst:: Jean Van Lierde]
La photo officielle de la Table Ronde.
A l'issue de la réunion plenière de samedi matin qui cloturait les travaux de la Conférence de la Table Ronde, les ministres et délégués belges et congolais ont posé pour la photo officielle de la conférence. Voici les délégués avec au premier rang au centre Mr Lilar, président de la conférence, entouré de MM. De Schryver et Scheyven, respectivement ministre du Congo et des Affaires Economiques du Congo.
Photo Publi Press 20/02/60
- Rondreizende bibliotheken in Spanje, [...-1936]. - 1 foto
- Rondreizende tentoonstelling over de vooruitgang in de landbouw (filiale van de tentoonstelling Europees Frankrijk te Parijs) : 1942. - 6 foto's
- Beeld 72987 : La Caravane du Progrès Agricole s'installe sur l'Esplanade des Invalides. Une vue prise cet après-midi, sur l'esplanade des invalides, des préparatifs de l'exposition du progrès agricole. 12/03/1942.
- Beeld 72988 : On prépare aux Invalides l'Exposition de la France Européenne, Exposition du progrès agricole qui doit faire le Tour de France.
- Beeld 72990 : Paris - Demain, sur l'esplanade des Invalides, s'ouvrira l'Exposition ambulante du Progrès agricole. Ce matin on procédait aux derniers préparatifs. 17/03/1942.
- Beeld 72993 : La Caravane du Progrès Agricole s'installe sur l'Esplanade des Invalides. Bientot l'Inauguration de cette filiale de l'Exposition de la France Européenne qui sous la forme de caravane, parcourra le pays après un court séjour à Paris.
- Beeld 72994 : Inauguration de la Caravane du Progrès Agricole à l'Esplanade des Invalides. Voici pendant l'inauguration : M. De Lesdain, Président de la France Européenne et M. Breibant organisteur de la caranvane. 18/03/1942.
- Beeld 72996 : Ce matin a eu lieu sur l'esplanade des Invalides, l'inauguration de l'expédition ambulant du Progrès Agricole. Voici une vue prise au cours de l'inaugaration, pendant le discours de M. Braibant, derrière qui on reconnait M. de Lesdain. 18/03/1942.
- Rosa De Guchtenaere, lerares, 1940-1945. - 1 foto
- Rosemann, ambtenaar van de Duitse administratie in België, 1942. - 2 foto's
- Rouwhulde door DeVlag (Deutsch-Vlämische Arbeitsgemeinschaft) aan gevallen vrijwilligers te Willebroek, 18/1/1943. - 2 foto's
- Rudolf Gillis, hoofd van de Dienst voor organizatie van de Vrijwillige Arbeidsdienst voor Vlaanderen (VAVV) en leider van de opleidingsschool te Brecht, 1940-1945. - 1 foto
- Rugby : Match Côte d'argent/Littoral-Provence te Parijs : 1942. - 2 foto's
- Rugby : Match Perpignan/Bayonne te Parijs : 1944. - 5 foto's
- Rugby : Match Racing/A.S. Limoges te Parijs : 1943. - 2 foto's
- Rugby : Match Toulouse/Agen te Parijs : 1944. - 3 foto's
- Rugby : Match, varia te Frankrijk : 1941-1944. - 16 foto's
- Ruil van koper tegen wijn te Parijs : 1942. - 3 foto's
- Ruilbeurzen in Nederland, 1943-1944. - 3 foto's
- Ruimtevaart in de Verenigde Staten, 20/05/1963. - 3 foto's
- Ruitenwasser : 1940-1945. - 1 foto
- Ruiterij (Cadiz) : [1939-...]. - 6 foto's
- Ruiz Funes, Ambassadeur van Spanje te Brussel : 2/12/1938. - 1 foto
- Ruoff, lid van de Duitse ministerraad, 1942. - 1 foto
- Russisch-Britse plechtigheid in de Russische ambassade van Teheran, [7/12/1943]. - 1 foto
- Russische bezetting : 1939-1941. - 21 foto's
- Russische bezetting : [1940-1945]. - 1 foto
- Russische bezetting van Bessarabië (Roemenië) : 1940. - 9 foto's
- Russische bezetting van Letland : 1940. - 2 foto's
- Russische en Mongoolse krijgsgevangenen te Doornik. - 1 foto
- Russische krijgsgevangenen in Finland, 1941-1942. - 6 foto's
- Russische krijgsgevangenen te Genk. - 170 foto's
- Russische oorlogsgevangenen in Nederland, 3/12/1942. - 1 foto
- Russische persoonlijkheden (VRT)
- Russische piloten aan het Finse front, [...-1945]. - 1 foto
- Russische school - Libau : juni 1944. - 7 foto's
- Russische tanks, [1939]. - 3 foto's
- Russische vluchtelingen in Litouwen : 1944. - 3 foto's
- Russisch-Finse front, 1941-1944. - 79 foto's
- Rust, Duits minister van onderwijs in Bulgarije, 1940. - 1 foto
- Rutger P. Everaert, dienstleider van de Nationaal-socialistische Jeugd Vlaanderen (NSJV), 1941. - 1 foto