R
- R. Tonus, journaliste de La Légia, 1940-1945. - 1 photo
- Racisme envers les juifs en France, 1940-1942. - 4 photos
- Racommodage de sacs à grains aux Pays-Bas, 22/6/1944. - 2 photos
- R.A.D. : Participation à la construction du mur atlantique : 1942-1943. - 14 photos
- R.A.D. : Participation à la fortification des côtes méditerranéennes : 1943-1944. - 13 photos
- RAD en Espagne : 1943. - 1 photo
- R.A.D. en France : 1940-1944. - 4 photos
- Radiesthésie en France : [1935]. - 13 photos
- Image 51932 : Congrès des sourciers à Paris.
Vue générale sur le congrès.
S907
[Sipho]
- Image 51934 : La fin de la légende de Hertain.
(voir article ci-joint)
Monsieur Faure, assistant du Docteur Moineau indiquant au moyen d'une boussole spéciale les oscillations provoqués par certaines radiations.
[Ooriginal Foto Leihweise !]
[Gregor Kutschuk. Agentur für Presse] [Sipho[
- Image 51935 : A Cornieilles en Parisis. Le problème des sourciers.
Pendant les expériences de l'Abbé Lambert.
73775
[Photos N.Y.T. The New York Times. Wide World Photos]
- Image 51937 : L'Abbé Lambert donnant une leçon pour devenir sourcier à Léo Poldis.
73776
[Photos N.Y.T. The New York Times. Wide World Photos]
- Image 51938 : Sourciers en action.
82.230
[Photos N.Y.T. The New York Times. Wide World Photos]
- Image 51940 : Sourciers en action à Haut-Isles (S. et Oise).
82.229
[Photos N.Y.T. The New York Times. Wide World Photos]
- Image 51941 : La fin de la légende de Hertain.
(voir article ci-joint)
Monsieur le Docteur Moineau procédant aux expériences courantes de sourcier. Il tient en main le coudrier.
[Sipho]
- Image 51942 : La fin de la légende de Hertain.
(voir article ci-joint)
Docteur Moineau aux prises avec les forces rayonnantes. On remarque par terre les appareils nécessaires aux expériences.
[Sipho]
- Image 51944 : La fin de la légende de Hertain.
(voir article ci-joint)
Docteur Moineau aux prises avec les forces rayonnantes.
[Orignal Foto Leihweise !]
[Gregor Kutschuk. Agentur für Press] [Sipho]
- Image 51945 : Rayon de radiesthésie dans un grand magasin.
Il faut croire que les adeptes de cette nouvelle science sont assez nombreux, pour qu'il y ait un rayon spécial dans un grand magasin pour satisfaire les demandes en baguettes et des pendules sensibles aux radiatations mystérieuses.
[Société générale de la Presse] [Sipho]
- Image 51947 : [Photos N.Y.T. The New York Times. Wide World Photos]
- Image 51949 : A l"aide d'un pendule perfectionné, un Américain aurait découvert un énorme trésor à Vallauris. (Alpes Maritimes).
M. Lewis Palen bien connu aux Etats-Unis est théologien et radiesthésiste. Il poursuit actuellement à Vallauris sur la propriété d'une de ses amies et compatriotes, Mrs Katherine Ingervoll des recherches qui selon lui aboutiront à la découverte d'un trésor, remontant au temps des Romains voire de la colonisation grecque. C'est muni d'un pendule perfectionné, que M. Palen sourcier convaincu affirme avoir découvert, au fond d'un puits, un tunnel souterrain à 13 mètres sous terre et menant également à un chambre également sous-terraine, elle-même donnant sur plusieurs tavernes. Ce trésor se trouverait derrière un mur très épais que des ouvriers ont déjà attaqué. M. Palen a déjà découvert un squelette d'enfant sans tête et un crâne humain.
Voici la villa "Lockwood" située en plein bois.
Phot.NYT. Vallauris le 10/7/35. PL.GL.35
[Photo NYT Photo. The New York Times. Wide World Photos]
- Image 51950 : A l"aide d'un pendule perfectionné, un Américain aurait découvert un énorme trésor à Vallauris. (Alpes Maritimes).
M. Lewis Palen bien connu aux Etats-Unis est théologien et radiesthésiste. Il poursuit actuellement à Vallauris sur la propriété d'une de ses amies et compatriotes, Mrs Katherine Ingervoll des recherches qui selon lui aboutiront à la découverte d'un trésor, remontant au temps des Romains voire de la colonisation grecque. C'est muni d'un pendule perfectionné, que M. Palen sourcier convaincu affirme avoir découvert, au fond d'un puits, un tunnel souterrain à 13 mètres sous terre et menant également à un chambre également sous-terraine, elle-même donnant sur plusieurs tavernes. Ce trésor se trouverait derrière un mur très épais que des ouvriers ont déjà attaqué. M. Palen a déjà découvert un squelette d'enfant sans tête et un crâne humain.
Voici l'entrée du puits.
Phot.NYT. Vallauris le 10/7/35. PL. GL.95
[Photo NYT Photo. The New York Times. Wide World Photos]
- Radio : [...-1939]. - 63 photos
- Image 38788 : La police de l'Ether. Le contrôle permanent des longueurs d'onde au laboratoire de l'Union Internationale de Radiophonie, à Bruxelles. Ce laboratoire fondé à Uccle, près de Bruxelles, par M. Raymond Braillard, fonctionne sans arrêt depuis 1926. Une collaboration serrée avec de nombreux laboratoires de contrôle et de stations d'émission, un laboratoire doté d'appareils les plus perfectionnés permettent à M. Braillard d'approfondir le problème de la radiophonie et de l'élimination des parasites industriels. Aspect du laboratoire de contrôle de l'Union Internationale de Radiodiffusion, à Bruxelles : M. Raymond Braillard, président de la Commission Technique et directeur du Laboratoire de Contrôle de l'.U.I.R. étudiant la stabilité d'une station de radiodiffusion.
- Image 38792 : La police de l'Ether. Le contrôle permanent des Longueurs d'onde au laboratoire de l'Union Internationale de Radiophonie, à Bruxelles. Ce laboratoire fondé à Uccle, près de Bruxelles, par M. Raymond Braillard, fonctionn sans arrêt depuis 1926. Une collaboration serrée avec de nombreux laboratoires de contrôle et de stations d'émission, un laboratoire doté d'appareils les plus perfectionnés permettent à M. Braillard d'approfondir le problème de la radiophonie et de l'élimination des parasites industriels. Aspect du laboratoire de contrôle de l'Union Internationale de Radiodiffusion, à Bruxelles : Dispositif d'enregistrement continu de l'intensité de réception pour l'étude du "fading".
- Image 38795 : Au Centenaire. Le Ministre Marc a inauguré cet après midi le salon de la T.S.F. Une vue d'ensemble : 3/9/1938.
- Image 38797 : Un des postes de réception équipé pour auto par le Réseau des Amateurs Emetteurs de Belgique, qui suivra l'ascenssion de Cosijns, en restant en rapport constant avec lui.
- Image 38826 : I.N.R. Détail du circuit oscillant final.
- Image 38829 : Une salle d'accumulateurs. I.N.R.
- Image 38830 : I.N.R. Le condensateur du circuit oscillant final.
- Image 38832 : I.N.R. 2me étage d'amplification (1ère amplification à 10.000 volte à refroidissement à l'air).
- Image 38833 : I.N.R. La machine à faire le vent.
- Image 38834 : Le poste d'Etat de Ruyssel
- Image 38835 : I.N.R. Monsieur Dammans, chef de poste à Velthem.
- Image 38836 : I.N.R. A droite le dernier étage d'amplification.
- Image 38837 : I.N.R. Vue d'ensemble du grand hall de la double station de Velthem.
- Image 38838 : A gauche le panneau de redresseur 3000 Volt. A droite oscillateur et séparateur en dessous la lampe sous modulatrice, la modulatrice et la première modulée.
- Image 38839 : I.N.R. Les panneaux de la station d'amplification à Velthem.
- Image 38840 : I.N.R. Amplifications, de lignes basse fréquence.
- Image 38841 : Vue d'ensemble des panneaux d'amplification et du panneau de commande.
- Image 38842 : I.N.R. Salle des machines. A droite un groupe de courant de chauffage des filaments - au fond un transformateur 20.000 Volts et un filtre haute tension.
- Image 38845 : I.N.R. Quelques lampes au magasin.
- Image 38846 : I.N.R. Petit orchestre (conducteur Pierre Leemans).
- Image 38847 : I.N.R. La sous-station de force motrice.
- Image 38848 : I.N.R. Arrivée des câbles radiophoniques spéciaux (Bruxelles-Velthem).
- Image 38849 : I.N.R. Contrôle de l'émission à l'arrivée 1ère étage d'amplification.
- Image 38850 : Monsieur Guery, secretaire de presse de I.N.R.
- Image 38851 : L'explosion à distance. Gand. Un amateur de T.S.F. (Télégraphie sans fil) de Gand, M. Vander Stegen a devant différentes personnalités, prouvé que l'on pouvait provoquer une explosion ou un incendie à distance. A l'aide d'un dispositif très simple, branché sur un poste récepteur de T.S.F, il fit éclater une charge de poudre à une distance de 12 km par émission d'une longueur d'onde de 42 mètres. Il prouva ainsi que dans une simple valise contenant un petit poste récepteur et des matières explosives, l'inflammation pouvait se faire soit au moment de l'entrée en action d'un grand poste d'émission (et sans que celui-ci se douta le moins du monde que ses ondes pouvaient créer une catastrophe), soit par émission sur courtes longueurs d'ondes, d'un poste clandestin qui déclancherait l'explosion à l'heure choisie. Ces expériences ont particulièrement intéressé le commandant Schoofs du paquebot "Atlantique". M. Vander Stegen avec son appareil.
- Image 38852 : Bruxelles. Place Sainte-Croix. On commence les fondations du bâtiment de l'I.N.R.
- Radio amateur au Japon, [...-1945]. - 1 photo
- Radio aux Etats-Unis : Aspects techniques, 1930-1940. - 12 photos
- Radio aux Etats-Unis : diverses applications et inventions, 1930-1940. - 10 photos
- Radio aux Etats-Unis : Diverses émissions de radio, 1930-1938. - 9 photos
- Radio aux Etats-Unis : National Broadcasting Company, 1938-1939. - 4 photos
- Radio aux Etats-Unis : Station de radio WJZ, 24/10/1932. - 4 photos
- Radio belge à Londres, 1941-1945. - 11 photos
- Image 1150 : [Aucune indication]
- Image 1151 : [Aucune indication]
- Image 1152 : [Aucune indication]
- Image 1153 : BBC European Service: Belgian Section. September 1944.
Victor de Laveleye, editor of BBC Belgian Service, dictating a News Commentary to his secretaries.
[de Laveleye died 15 dec. 1945]
- Image 1154 : BBC Flemish Service. 4 december 1945.
W.J.P. Hayes, of the BBC, interviewing M.C.J. Koettlitz (from Antwerp), a Belgian member of the W.A.A.F., during the lunch-hour at a Belgian Air Force Training Camp in Great Britain. The interview was part of a feature programme on the Belgian Air Force in Britain, broadcast in the BBC Flemish Service, December 1945. [BBC PHOTOGRAPH]
- Image 1155 : Belgian Soldiers' Home. 19 Nov. 1941.
A new home for Belgian Soldiers who have escaped to this country has been opened at Highgate, and the BBC Mobile Recording Unit made a recording of the opening speech by M. Camille Gutt (left), Belgian Minister for Defence. On the right, next to the microphone, is M. Fernand Geersens, Flemish Programme organiser at the BBC.
[BBC PHOTOGRAPH]
- Image 1156 : Looking at the map of Belgium. Mr de Laveleye (left) was a barrister and a Deputy in Parliament in Brussels; M. Geersens worked for the Belgian broadcasting company and was previously a professor at the Belgian College for Arts and Crafts.
[Passed by Censor] [Pictorial Press]
- Image 1157 : [Aucune indication]
- Image 1158 : Eaton Place.
- Image 1271 : [Aucune indication]
- Image 1272 : September 1944. Victor de Laveleye and professor Nand Geersens, who were editors of the French and Flemish Sections of the BBC Belgian Service from September 1940, until the Liberation of Belgium in September 1944, when M. de Laveleye returned to his country. Professor Geersens went back to Belgium early in 1945. Mr de Laveleye (died 15 december 1945) was the originator of the "V" Campaign. [Passed by Censor] [BBC PHOTOGRAPH]
- Radio club portugues : [1940-1945]. - 1 photo
- Radio, divers, [1932]. - 3 photos
- Radio, divers, [1944]. - 15 photos
- Radio en Autriche : divers, 1929-1945. - 34 photos
- Radio en France : 1930-1938. - 7 photos
- Image 51851 : 1003 / 2390.
Trompeten am Grabe des unbekannten Soldaten - ein Zeichen der Zeit.
Anlässlich des Aufenhalts amerikanischer Legionäre in Paris wurden am Grabe des unbekannten Soldaten Trompetensignale gegeben, die durch Radio über alle Welt verbreitet wurden.
[Sipho]
4039
- Image 51853 : Un film sur la naissance des ondes.
Le speaker est un des principaux personnages de la TSF !
Photo montre Mr. Laporte ou Radiolo devant le micro.
S354
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Image 51855 : Bruits de TSF.
Tous les soirs, les nouvelles intéressantes de la journée sont annoncées par TSF.
S570
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Image 51857 : Miracle de notre temps... et de la radio.
Les Américains de Paris ont attendu avec impatience, l'élection présidentielle qui s'est deroulée cette nuit. Partout, dans des bars, et à l' American Legion de Paris, les résultats étaient annoncé par radio !.
Notre photo montre la mise au point des appareils de radio à l'American Legion.
[copyright Service général de la Presse]
- Image 51860 : "Un poste mondial d'écoute" construit en quatre jours dans un fort désaffecté de Bicêtre.
Le ministère des P.T.T. vient de faire construire "un poste mondial d'écoute" dans une casemate ruinée du Fort de Bicêtre. Une vingtaine d'écouteuses officielles prendront en sténographie les émissions faites en langue étrangère quelles qu'elles soient.
Voici une vue de l'entrée du poste d'écoute et des antennes, celles-ci sont installées au-dessus du vieux fort de Bicêtre. Bicêtre.
Phot. NYT. Bicetre le 6/9/35. Ber. GL100
[Photos N.Y.T. The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Image 51862 : Pour sauver les skieurs en détresse dans la montagne, des expériences de T.S.F. ont eu lieu entre les skieurs munis de petits appareils et des avions en vol.
Saint-Cergues. - Des expériences de sauvetage de caravanes en détresse ont eu lieu en Haute Savoie. Les skieurs munis au préalable d'appareils T.S.F. portatifs ont pu entrer en communication avec un avion en plein vol muni d'un poste émetteur. L'avion a pu renseigner ainsi les skieurs perdus sur le chemin et la direction à prendre.
Une skieuse munie de son appraeil et de son bâton lui servant de pilier d'antenne écoute la communication que lui transmet l'avion en vol.
Photo NYT CRO 21/2/38 RB 120.
[Photos N.Y.T. The New York Times. Wide World Photos]
- Image 51864 : WW. Mont Blanc. 320621. GL.125.
Première radiodiffusion mondiale de Haute Altitude.
Mont Blanc. - La première radiodiffusion mondiale de haute altitude a été réalisée ces jour-ci par la station d'état français de Lyon - La Doua avec le concours des Guides Alfred Couttet et Roger Frison Roche, de Chamonix, depuis le sommet du Mont Blanc, 4.810 mètres.
Voici au cours de la première liaison, Alfred Couttet (avec le casque) et Roger Frison (parlant au micro) se mettant en liaison avec la vallée.
[The New York Times. Wide World Photos]
- Radio en Italie, 1935. - 10 photos
- Image 158995 : Rome hears war news through loudspeakers. Big loudspeakers have been installed in all the main streets and squares of Rome and other Italian cities so that the population can be kept in touch with the latest war news. Photo shows : loudspeakers to broadcast war news in the Piazza del Popolo, Rome. VE October 13 th 1935 PN.r. [Actualit]
- Image 158996 : M. Mussolini inaugure aujourd'hui la station italienne "Radio Impériale" près de Rome.
N.P.M. : les ouvriers finissant le montage des innombrables pylônes de "Radio-Impériale" 2.XI.3 [Les Actualités Belges : Gregorius]
- Image 158997 : Die Eröffnung der Radio Messe in Mailand unter Teilnahme des Italienischen Verkehrsministers. U.B.z. : einen Stand der Eiar.F.7. [Sipho] [Censure photographique]
- Image 158998 : Die Eröffnung der Radio Messe in Mailand unter Teilnahme des Italienischen Verkehrsministers. U.B.z. : die Behörden besuchen verschiedene Stände der Eiar. F.Z. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur]
- Image 158999 : Le conflit Italo-Ethiopien. Au Milieu de la galerie de Milan, à Milan, a été placée une grande carte en relief de l'Afrique Orientale, sur laquelle, les Milanais viennent suivre l'avance des troupes italiennes en Ethiopie. Photo NYT Milan 21/11/1935 Bru.LB.80 [Actualit]
- Image 159000 : Die Eröffnung der Radio Messe in Mailand unter Teilnahme des Italienischen Verkehrsministers. U.B.z. : einen Stand der Eiar.F. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur]
- Image 159001 : Milano, 19 sttembre 1936 XIV° L'inaugurazione dell' VIII Mostra della Radio Particolare di apparechische serviranno per audiziani in Africa Orientale. [Actualit]
- Image 159002 : Der Papst kann jetzt auch bildtelegrafieren. Die neue Funkanlage des Vatikans ist soeben durch den Papst eingeweiht worden. Die Radio-Station der Papstes beabsichtigt, künftig eine regelmässige Bildfunk-Uebertragung einzuführen. Eine Radio-Photographie des Papstes wurde in diesen Tagen bereits vom Vatikan nach Paris übermittelt. Cardinal Verdier in Paris besichtigt den Vorgang der Uebertragung und die Apparate. [Sipho]
- Image 159003 : Die Eröffnung der Radio Messe in Mailand unter Teilnahme des italienischen Verkehrministrers. U.B.z. : zwei besonders schöne Modelle auf der Radio Messe in Mailand. F.Z. [Sipho] [Censure photographique]
- Image 159004 : Bru. Rome. -320915 - CK. La quatrième exposition de la radio à Milan. Milan = actuellement, à Milan se tient le 4ème Exposition de la Radio. On y voit des essais de télévision. Voici une photo prise dans la cabine de réception de l'Exposition une expérience de télévision qui, du reste, parrait très réussie. [Actualit] [Wide World Photos]
- Radiodiagnostie dans les hopitaux français, [...-1939]. - 7 photos
© Ceges.
- Radiodiffusion : [...-1945]. - 1 photo
- RAF en norvège : 1942. - 5 photos
- Image 120918 : LA GUERRE EN NORVEGE.
Un aspect de la région au-dessus de laquelle les avions anglais, dans de très mauvaises conditions atmosphériques, ont à faire leurs observations, à prendre des photographies et à attaquer les bateaux de ravitaillement ennemis.
- Image 120919 : R.A.F. "CLOSE UP" OF GERMANY'S GIANT BATTLESHIP "TIRPITZ" LYING IN NORWEGIAN FJORD.
A recent photograph of the Nazi Battleship "Tirpitz" obtained by an R.A.F. reconnaissance aircraft in Aas Fjord, Norway. She is protected by an anti-torpedo boom, stretching from amidships on the starboard side aft, and towards the adjacent shore. Floating camouflage lies on both sides of het-r bow and stern, while heavy white camouflage material is spread over the barrels of the 15"guns.
- Image 120920 : GERMANY'S GIANT BATTLESHIP "TIRPITZ" IN TRONDHEIM FJORD: A RECENT R.A.F. RECONNAISSANCE PHOTOGRAPH.
A recent R.A.F. reconnaissance photograph of the German battle "Tirpitz" steaming a speed in a north=easterly direction in Trondheim Fjord.
- Image 120921 : LE BOMBARDEMENT DE L'AERODROME DE STAVANGER.
Une salve de cinq bombes tombant sur la piste de lancement de l'aérodrome de Stavanger. Ces bombes sont lancées par un avion britannique.
La croix que nous voyons en)dessous de la photo nous montre la piste du lancement.
Une photo prise quelques secondes plus tard nous montre que les bombes ont touché leur but.
Cette photo laqisse également voir que l'aérodrome a été fort endommagé par les divers raids anglais. Il est parsemé d'entonnoirs causés par les bombes.
- Image 120922 : L'ATTAQUE AERIENNE DE L'AERODROME DE STAVANGER.
Une attaque de la R.A.F. sur STAVANGER.
La photo marquée II prise à 1300 mètres d'altitude montre clairement la chute de 2 bombes. L'autre marquée 10 montre l'éclatement de ces deux mêmes bombes a quelques mètres d'un avion ennemi.
Une troisième bombe, elle éclate à l'extrelité de la piste de roulage. Sur cette photo, l'on voit parfaitement trois avions de transport Ju 52 endommagés, un He III avec l'aile détruite et un Ju 88 dont le bout de l'aile git sur le sol.
- Raf van Hulse, dirigeant SS a.i. pour la Flandre, correspondant de guerre, 1942-1944. - 6 photos
- Image 7481 : Raf Van Hulse.
- Image 7482 : Raf Van Hulse, links op de foto, inspecteert een sectie van het Flandern-Korps
- Image 7483 : Départ des volontaires flamands pour le front de l'est, le 29/8/42.
Mr. Raf Van Hulse, chef des SS. Flandres, pendant son allocution.
Vertrek der Vlaamse vrijwilligers naar het Oostfront op 29/8/42.
Mr Raf Van Hulse, Chef der SS-Vlaanderen tijdens zijn redevoering.
- Image 7484 : Ingericht door de DeVlag Brussel....
... had heden, 8.7.44, een plechtige 11 Juli-viering plaats waar SS Kriegsberichter R. v. Hulse het woord voerde
- Image 7485 : Départ des volontaires flamands pour le front de l'Est, le 29/8/42.
Monsieur Raf Van Hulse, chef des SS Flandres pendant son allocution.
Vertrek der Vlaamse vrijwilligers voor het Oostfront op 29/8/42.
Mijnheer Rafh Van Hulse, chef der SS Vlaanderen tijdens zijn redevoering.
- Image 7486 : Raf Van Hulse, leider van de SS. Standaard Vlaanderen heeft zich eveneens gemeld.
- Raid anglais sur Saint-Nazaire (Opération chariot) : 28/3/1942. - 7 photos
- Raid anglo-canadien sur Dieppe (Opération jubilee) : soldats alliés prisonniers, blessés, tués : 18/8/42-19/8/1942. - 16 photos
- Raid anglo-canadiens sur Dieppe (Opération jubilee) : matériel allié détruit, récupéré : 18/8/1942-19/8/1942. - 17 photos
- Raids alliés sur les côtes françaises : 1942. - 5 photos
- Raids anglo-canadiens sur Dieppe (Opération jubilee) : soldats allemands repoussant l'attaque alliée : 18/8/1942-19/8/1942. - 5 photos
- Ramassage de braises à Bruxelles, [1940-1945]. - 1 photo
- Ramassage des huîtres par des jeunes d'un centre de formation (La Temblade), 1943. - 5 photos
- Ramassage du bois dans les parcs de Bruxelles : 1940-1945. - 2 photos
- Rameaux à Paris, 1941-1944. - 12 photos
- Ramoneurs : 1941-1943. - 3 photos
- Ramoneurs aux Pays-Bas, 22/9/1943. - 1 photo
- Raoul Balligand, commandant national de l'Armée belge des partisans, 1940-1945. - 1 photo
- Rapatriement à Lisbonne des allemands résidant à l'étranger et de prisonniers de guerre allemands : 1944. - 7 photos
- Image 59068 : Heimkehr nach Deutschland.
Im Rahmen der vom Auswärtigen Amt durchgeführten Heimkehr-Aktion für Auslandsdeutsche, sind dieser Tage Reichsdeutsche aus Nord-, Mittel- und Südamerika sowie schwerverwundete deutsche Kriegsgefangene aus USA und Kanada in Lissabon eingetroffen. Bei ihrer Ankunft an Bord des schwedischen Schiffes "Gripsholm" wurden sie vom deutschen Gesandten in Portugal, von Hoyne-Hüningen im Namen des Reichsaussenministers begrüsst.
U.B.z.: die Ankunft der "Gripsholm" in Lissabon, mit den schwerverwundeten deutschen Kriegsgefangenen und den Reichsdeutschen aus Nord-, Mittel- und Südamerika an Bord.
6.III.1944.
- Image 59070 : Heimkehr nach Deutschland.
Im Rahmen der vom Auswärtigen Amt durchgeführten Heimkehr-Aktion für Auslandsdeutsche, sind dieser Tage Reichsdeutsche aus Nord-, Mittel- und Südamerika sowie schwerverwundete deutsche Kriegsgefangene aus USA und Kanada in Lissabon eingetroffen. Bei ihrer Ankunft an Bord des schwedischen Schiffes "Gripsholm" wurden sie vom deutschen Gesandten in Portugal, von Hoyne-Hüningen im Namen des Reichsaussenministers begrüsst.
U.B.z.: der deutsche Marineattaché in Lissabon, Konteradmiral Henning, begrüsst die Soldaten an Bord der "Gripsholm" im Hafen von Lissabon.
6.III.1944.
- Image 59071 : Verwundete Kriegsgefangene und Auslandsdeutsche kehren heim.
Im Rahmen der vom Auswärtigen Amt durchgeführten Heimkehreraktion für Auslandsdeutsche sind Ende Februar die Mitglieder des ehemaligen deutschen Generalkonsulats in Algier, sowie Reichsdeutsche aus Nord-, Mittel- und Südamerika und mehrere schwerverwundete deutsche Kriegsgefangene aus dem USA und Kanada in Lissabon eingetroffen. In Sonderzügen werden die Kriegsgefangenen und Heimkehrer ihre Heimreise in das Reich antreten.Vom deutschen Marine-Attaché in Lissabon werden die mit Blumen geschmückten deutschen Kriegsgefangenen herzlich begrüsst.
16.III.1944.
- Image 59073 : Heimkehr nach Deutschland.
Im Rahmen der vom Auswärtigen Amt durchgeführten Heimkehr-Aktion für Auslandsdeutsche, sind dieser Tage Reichsdeutsche aus Nord-, Mittel- und Südamerika sowie schwerverwundete deutsche Kriegsgefangene aus USA und Kanada in Lissabon eingetroffen. Bei ihrer Ankunft an Bord des schwedischen Schiffes "Gripsholm" wurden sie vom deutschen Gesandten in Portugal, von Hoyne-Hüningen im Namen des Reichsaussenministers begrüsst.
U.B.z.: der stellvertretende Landesgruppenleiter der NSDAP in Portugal, Pankow, gibt an Bord der "Gripsholm" einem ausgetauschten Kriegsgefangenen Feuer.
6.III.1944.
- Image 59075 : Heimkehr nach Deutschland.
Im Rahmen der vom Auswärtigen Amt durchgeführten Heimkehr-Aktion für Auslandsdeutsche, sind dieser Tage Reichsdeutsche aus Nord-, Mittel- und Südamerika sowie schwerverwundete deutsche Kriegsgefangene aus USA und Kanada in Lissabon eingetroffen. Bei ihrer Ankunft an Bord des schwedischen Schiffes "Gripsholm" wurden sie vom deutschen Gesandten in Portugal, von Hoyne-Hüningen im Namen des Reichsaussenministers begrüsst.
U.B.z.: Eine Schwester des Deutschen Roten Kreuzes verteilt an Bord der "Gripsholm" Liebesgaben an die Soldaten.
6.III.1944.
- Image 59076 : Verwundete Kriegsgefangene und Auslandsdeutsche kehren heim.
Im Rahmen der vom Auswärtigen Amt durchgeführten Heimkehreraktion für Auslandsdeutsche sind Ende Februar die Mitglieder des ehemaligen deutschen Generalkonsulats in Algier, sowie Reichsdeutsche aus Nord-, Mittel- und Südamerika und mehrere schwerverwundete deutsche Kriegsgefangene aus dem USA und Kanada in Lissabon eingetroffen. In Sonderzügen werden die Kriegsgefangenen und Heimkehrer ihre Heimreise in das Reich antreten.
U.B.z.: verwundete deutsche Kriegsgefangenen und Heimkehrer warten auf dem neutralen Schiff. Während der Überfahrt wurde schnell Freundschaft geschlossen.
16.III.1944.
- Image 59078 : Verwundete Kriegsgefangene und Auslandsdeutsche kehren heim.
Im Rahmen der vom Auswärtigen Amt durchgeführten Heimkehreraktion für Auslandsdeutsche sind Ende Februar die Mitglieder des ehemaligen deutschen Generalkonsulats in Algier, sowie Reichsdeutsche aus Nord-, Mittel- und Südamerika und mehrere schwerverwundete deutsche Kriegsgefangene aus dem USA und Kanada in Lissabon eingetroffen. In Sonderzügen werden die Kriegsgefangenen und Heimkehrer ihre Heimreise in das Reich antreten. Die deutschen schwerverwundeten Kriegsgefangenen verlassen das Schiff und betreten so wieder europäischen Boden.
16.III.1944.
- Rapatriement d'Allemands de la Baltique : 13/12/1939. - 5 photos
- Rapatriement d'Allemands de Wolhynie : 25/1/1940. - 10 photos
- Image 71333 : Bei den rückgekehrten Wolhynien-Deutschen in Lodsch.
In Lodsch wurde ein grosses Lager errichtet, um die aus Ostpolen heimkehrenden Deutschen zunächst aufzunehmen und vor ihrer Weiterfahrt zu verpflegen.
U.B. zeigt die Ankunft eines Zuges mit Rückwanderern in Lodsch. Nach der kalten Reise werden sie sofort mit wärmenden Getränken erfrischt.
- Image 71335 : Abschluss der Heimkehr der Wolhyniendeutschen.
In diesen Tagen kehren die letzten wolhyniendeutschen Umsiedler in die Heimat zurück und überschreiten an den vorgesehenen Punkten die russisch-deutsche Interessengrenze. Damit ist die grosse Rückführungsaktion, die rund 135.000 deutsche Menschen aus den jetzt unter russischer Hoheit stehenden ostpolnischen Gebieten umfasst, beendet.
U.B. zeigt die Ankunft von Wolhyniendeutschen am Grenzübertritt Hrubieszow. Mit erhobenem rechten Arm grüssen die Umsiedler die ersten deutschen Grenzposte.
25.I.1940.
- Image 71337 : Sanitäre Betreuung der Wolhyniendeutschen durch das motorisierte Bereitschaftslazarett des DRK in Lodsch.
Diese 50 Feldbetten, zusammen kaum 2m hoch nehmen beim Transport nur einen äusserst geringen Raum im Anspruch.
12.II.1940.
- Image 71340 : Sanitäre Betreuung der Wolhyniendeutschen durch das motorisierte Bereitschaftslazarett des DRK in Lodsch.
U.B. zeigt eine Helferin des Bereitschaftslazaretts, die sich gegen die grosse Kälte durch Strohschuhe geschützt hat.
- Image 71342 : Sanitäre Betreuung der Wolhyniendeutschen durch das motorisierte Bereitschaftslazarett des DRK in Lodsch.
Hier eine Uebersicht über die Reihen der Karacken des Bereitschaftslazaretts am Stadtrand von Lodsch.
12.II.1940.
- Image 71344 : Sanitäre Betreuung der Wolhyniendeutschen durch das motorisierte Bereitschaftslazarett des DRK in Lodsch.
U.B. gibt einen Ausschnitt aus der Operationsbaracke des Bereitschaftslazaretts während einer Operation.
12.II.1940.
- Image 71347 : Sanitäre Betreuung der Wolhyniendeutschen durch das motorisierte Bereitschaftslazarett des DRK in Lodsch.
Das Rückrat für die sanitäre Betreuung der deutschen Umsiedler aus Wolhynien, die das Deutsche Rote Kreuz mit fast tausend Hilfskräften wahrnimmt, bildet das motorisierte Bereitschaftslazarett des DRK, das zum ersten Mal jetzt in Lodsch eingesetzt ist und fast 400 Kranke aufnehmen kann. Das Lazarett besteht aus 24 Wagen und Krafträdern, die die Einzelteile sowie die vollständige Inneneinrichtung für 32f Baracken mit sich führen. - Diese Aufnahme unseres Bildberichts über das motorisierte Bereitschaftslazarett gewährt einen Blick in eine der transportablen Krankenbaracken.
12.II.1940.
- Image 71350 : Abschluss der Heimkehr der Wolhyniendeutschen.
In diesen Tagen kehren die letzten wolhyniendeutschen Umsiedler in die Heimat zurück und überschreiten an den vorgesehenen Punkten die russisch-deutsche Interessengrenze. Damit ist die grosse Rückführungaktion, die rund 135.000 deutsche Menschen aus den jetzt unter russischer Hoheit stehenden ostponischen Gebieten umfasst, beendet.
U.B. zeigt den Grenzübertritt bei Hrubieszow. Die Tracks passieren die von deutschen Pionieren errichteten Holzbrücke über den Bug, der die Grenze bildet.
25.I.1940.
- Image 71352 : Gemeinschaftslager der Wolhyniendeutschen in Berlin.
Eine grössere Anzahl Frauen und Kinder der heimgekehr ten Wolhyniendeutschen wurde in einem Gemeinschaftslager in Berlin - Köpenick untergebracht, wo sie bis zum Eintreffen der Männer in der neuen endgültigen Heimat verbleiben. In bestmöglichster Weise wird hier für die Frauen und Kinder der deutschen Volksgenossen gesorgt.
U.B.z. die unermüdliche Lagerleiterin, die ueberall eingreift, um den Wolhyniendeutschen das Sicheinfinden in die neuen Verhältnisse zu erleichtern.
26.I.1940.
- Image 71355 : Bei den rückgekehrten Wolhyniendeutschen in Lodsch.
In Lodsch wurde ein grosses Lager errichtet, um die aus Ostpolen heimkehrenden Deutschen zunächst aufzunehmen und vor ihrer Weiterfahrt zu verpflegen.
U.B. zeigt die Ausgabe der Kennkarten an die Rückwanderer im Lager.
- Rapatriement de prisonniers de guerre belges : 1940. - 58 photos
- Image 2891 : Place du Trône. Défilé des marins belges prisonniers.
- Image 2892 : Place du Trône. Défilé des marins belges prisonniers.
- Image 2893 : [Aucune indication]
- Image 2894 : Les marins belges internés en Espagne et rapatriés par les soins de l'autorité allemande, à leur arrivée à Bruxelles. Aussitôt démobilisés, ils ont rejoint leurs foyers.[Belgapress]
- Image 2895 : Gare du Nord. Retour de prisonniers. La marchande offre des oranges.
- Image 2896 : [Hersleven]
- Image 2897 : Une lettre de remerciements adressée au Chancelier Hitler par une mère d'un prisonnier libéré. [Belgapress]
- Image 2898 : (RKB) [3253]
- Image 2899 : Assistance aux prisonniers de guerre: Rapatriement des prisonniers de guerre - déclarés inaptes - par les trains sanitaires de la Croix-Rouge de Belgique. (RKB) [3257]
- Image 2900 : (RKB) [3254]
- Image 2901 : Hôpital auxiliaire n° 5. 1941. (RKB) [3264]
- Image 2902 : Les prisonniers délivrés arrivent de partout (centre d'accueil St-Claire) et défilent dans la rue accueillis par la population (Verviers). [A. Ruwet]
- Image 2903 : Les prisonniers délivrés arrivent de partout (centre d'accueil St-Claire) et défilent dans la rue accueillis par la population (Verviers). [A. Ruwet]
- Image 2904 : Les prisonniers délivrés arrivent de partout (centre d'accueil St-Claire) et défilent dans la rue accueillis par la population (Verviers) [A. Ruwet]
- Image 2905 : Les prisonniers délivrés arrivent de partout (centre d'accueil St-Claire) et défilent dans la rue accueillis par la population (Verviers) [A. Ruwet]
- Image 2906 : Les prisonniers délivrés arrivent de partout (centre d'accueil St-Claire) et défilent dans la rue accueillis par la population (Verviers) [A. Ruwet]
- Image 2907 : Les prisonniers délivrés arrivent de partout (centre d'accueil St-Claire) et défilent dans la rue accueillis par la population (Verviers) [A. Ruwet]
- Image 2908 : Les prisonniers délivrés arrivent de partout (centre d'accueil St-Claire) et défilent dans la rue accueillis par la population (Verviers). [A. Ruwet]
- Image 2909 : Les prisonniers délivrés arrivent de partout (centre d'accueil St-Claire) et défilent dans la rue accueillis par la population (Verviers). [A. Ruwet]
- Image 2910 : Les prisonniers délivrés arrivent de partout (centre d'accueil St-Claire) et défilent dans la rue accueillis par la population (Verviers). [A. Ruwet]
- Image 2911 : (RKB) [3263]
- Image 2912 : La petite salle d'opération d'un train sanitaire de la Croix-Rouge de Belgique qui ramènera sous peu un grand nombre de prisonniers grands malades et blessés d'Allemagne. [Sipho]
- Image 2913 : Un soldat belge de retour, tout heureux de se retrouver dans sa capitale, 8 décembre 1940. [Censure photographique] [Sipho]
- Image 2914 : Le retour de prisonniers de Suisse. Ce matin à la gare du Nord sont arrivés 500 internés belges du camp d'Aadorf. Groupe de prisonniers traversant la place Rogier à Bruxelles.
Aankomst van krijgsgevangenen uit Zwitserland. Deze morgen zijn 500 Belgische krijgsgevangenen in het Noordstation teruggekeerd uit het kamp van Aadorf. OFT een groep krijgsgevangenen de Rogierplaats te Brussel overstekend. [Frei gegeben durch zensur] [Sipho]
- Image 2915 : Hier 2 mai, un important contingent de prisonniers belges rentrant d'Allemagne est arrivé à Anvers.
Gisteren 2 mei is er een belangrijk contingent Belgische gevangenen in Duitsland te Antwerpen aangekomen. [Frei gegeben durch zensur] [Sipho] [4 mai 1944]
- Image 2916 : La pharmacie d'un train sanitaire de la Croix-Rouge de Belgique qui ramènera sous peu un grand nombre de prisonniers grands malades et blessés d'Allemagne.
[Sipho]
- Image 2917 : La cuisine d'un train sanitaire de la Croix-Rouge de Belgique qui ramènera sous peu un grand nombre de prisonniers grands malades et blessés d'Allemagne.
[Sipho]
- Image 2918 : Le wagon-couchette d'un train sanitaire de la Croix-Rouge de Belgique qui ramènera sous peu un grand nombre de prisonniers grands malades et blessés d'Allemagne. [Sipho]
- Image 2919 : L'arrivée d'un nouveau contingent de prisonniers belges à la gare du Nord à Bruxelles.[Sipho]
- Image 2920 : Dezen morgen zijn 500 Belgische soldaten in het noordstation uit het kamp Aadorf aangekomen. Een moeder haar zoon omhelzend na een verblijf in Zwitzerland na 1 jaar. [Frei gegeben durch zensur] [Sipho]
- Image 2921 : (RKB) [3255]
- Image 2922 : Accueil à la gare d'Anvers des prisonniers de guerre rapatriés par trains sanitaires.
(RKB) [3260]
- Image 2923 : Assistance aux prisonniers de guerre: Distribution de boissons chaudes dans les gares. (RKB) [3265]
- Image 2924 : (RKB) [3279]
- Image 2925 : (RKB) [3294]
- Image 2926 : Assistance aux prisonniers de guerre: Distribution de boissons chaudes dans les gares. (RKB) [3295]
- Image 2927 : [Aucune indication]
- Image 2928 : [Aucune indication]
- Image 2929 : [Aucune indication]
- Image 2930 : [Aucune indication]
- Image 2931 : [Aucune indication]
- Image 2932 : La lingerie d'un train sanitaire de la Croix-Rouge de Belgique qui ramènera sous peu un grand nombre de prisonniers grands malades et blessés d'Allemagne. [Sipho]
- Image 2933 : Le personnel qui assurera le service pendant le voyage d'un train sanitaire de la Croix-Rouge de Belgique qui ramènera sous peu un grand nombre de prisonniers grands malades et blessés d'Allemagne. [Sipho]
- Image 2934 : Le personnel qui assurera le service pendant le voyage d'un train sanitaire de la Croix-Rouge de Belgique qui ramènera sous peu un grand nombre de prisonniers grands malades et blessés d'Allemagne. [Sipho]
- Image 2935 : Le wagon-couchette d'un train sanitaire de la Croix-Rouge de Belgique qui ramènera sous peu un grand nombre de prisonniers grands malades et blessés d'Allemagne. [Sipho]
- Image 2936 : 840 prisonniers sont arrivés à la gare du Nord ce matin. Un prisonnier retrouve sa famille. [9/3/1943] [Frei gegeben durch zensur] [DNP] [Sipho]
- Image 2937 : Een Belgische gewonde, maandag uit Duitsland thuisgekomen per ambulance-trein, wordt zorgzaam verpleegd in een ziekenhuis. [Belgapress]
- Image 2938 : Aus der Gefangenschaft heimgekehrte belgische Soldaten in Antwerpen.
Sie wissen der Zivilbevölkerung vieles und gutes über die Behandlung durch die Deutschen zu berichten, die ganz im Gegensatz zu den Ankündigungen einer fanatischen Hetzpropaganda stand. 10 August 1940. [Sipho]
- Image 2939 : Een groep gewonde, Belgische soldaten die verleden maandag per ambulance-trein uit Duitsland weergebracht zijn en op het ogenblik in een Brussels ziekenhuis worden verpleegd. [Belgapress]
- Image 81164 : Stalag 1A, fin juin 1945, le retour "en re-traversant la Pologne".
- Image 81165 : Stalag 1A, fin juin 1945, le retour "en re-traversant la Pologne".
- Image 81167 : Stalag 1A - le train du retour, fin juin, début juillet 1945.
- Image 81169 : Stalag 1A, - le train du retour, fin juin, début juillet 1945,
- Image 81170 : Stalag 1A, - le train du retour, fin juin, début juillet 1945,
- Image 81172 : Stalag 1A, fin juin, sur la route de Gumbinnen à Insterburg.
- Image 81173 : GUMBINNEN - 1 mai 1945 aux mains des Soviétiques.
- Image 81175 : Gumbinnen, 1 mai 1945 aux mains des Soviétiques.
- Image 81176 : Gumbinnen - 1 mai 1945 aux mains des Soviétiques.
- Rapatriement d'enfants espagnols trouvés en Union soviétique : 1943. - 1 photo
- Rapatriement des réfugiés espagnols en Grande-Bretagne, [1937-1938]. - 3 photos
- Rapatriement en France des ressortissants étrangers d'Espagne : 1936-1939. - 2 photos
- Rapatriement et centres de rapatriement de la Croix-Rouge de Belgique, 1940-1945. - 18 photos
- Rapatriés dans le 'Train de la libération' : juin 1945. - 3 photos
- Rappel des réservistes à Paris : 1938. - 21 photos
- Image 44337 : La France a rappelé ses réservistes.
N.p.m.: la foule silencieuse et calme devant les affiches de rappel des réservistes. 24.9.38
[copyright by "Fulgur"] [Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Image 44338 : La France rappelle des réservistes.
N.p.m.: les Parisiens lisant les nouvelles graves devant les immeubles des journaux, ce matin. 24.?.
[copyright by "Fulgur"] [Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Image 44340 : La France rappelle des réservistes.
Hommes et femmes de Paris ce matin devant les affiches de rappel. 24.9.[1938].
[copyright by "Fulgur"]
- Image 44341 : La France rappelle ses réservistes.
N.P.M.: les affiches de "rappel immédiat de certaines catégories de réservistes", apposées sur les murs de Paris. 24.9.38
[copyright by "Fulgur"] [Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Image 44343 : Dès ce matin, les abords de la Gare de l'Est étaient de nouveau encombrés, à cause des départs continuels de réservistes.
[copyright by "Fulgur"]
- Image 44344 : La France rappelle ses réservistes.
N.p.m.: la foule immense des réservistes et leurs familles massés cet après-midi devant la Gare de l'Est, à Paris. 24.9.38
[copyright by "Fulgur"] [Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Image 44346 : La France rappelle ses réservistes.
N.p.m.: vue prise d'un immeuble en face de la Gare de l'Est, montrant la foule des réservistes dans la cour de la Gare de l'Est.
[copyright by "Fulgur"] [Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Image 44348 : A la Gare de l'Est, des chants patriotiques éclatent au départ des réservistes.
]1938]
[copyright by "Fulgur"]
- Image 44349 : French reservists leave for Maginot Line.
With the calling of reservists, France now has more than a million men under arms in case peace efforts should fail in the Czechoslovak crisis and she has to fulfil her treaty obligations.
Large numbers of the reservists are being despatched tot posts on the Maginot Line, the great fortifications on the eastern frontier.
Photo shows: The busy scene at the Gare de l'Est as reservists waited to entrain for the Maginot Line.
September 25th 1938 PN.r.
[copyright by Planet News Ltd] [Sipho]
- Image 44351 : Ce soir, discours décisif d'Hitler au congrès de Nuremberg... mais à en croire les dernières informations, le Führer sera plus modéré que son impulsif lieutenant Goering.
N.p.m.: à la Gare de l'Est, ce matin, des réservistes quittaient Paris pour aller accomplir une période sous le drapeau. 12.9.38
[copyright by "Fulgur"] [Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Image 44352 : French reservists called up, despatched to Maginot Line.
As a result of the Czechoslovak crisis and as a counter-move to Germany's virtual mobilisation, thousands of French reservists have been called to the colours as a precautionary measure and are being entrained for posts on the famous Maginot Line. France's bulwark on the eastern frontier.
Photo shows: Reservists outside the Gare de l'est in Paris as they waited to entrain for the frontier.
Paris September 9th 1938 PN.r.
[copyright by Planet News Ltd] [Sipho]
- Image 44353 : Les réservistes du "2" et "3" échellons sont rappelés.
La foule stationne devant l'Ecole Militaire où certains de ces réservistes ont "rejoint".
P.S.P. 24.9.38
[copyright by Agence Trampus] [Sipho]
- Image 44355 : La France a rappelé des réservistes.
N.p.m.: scène devant une grande caserne de Paris ce matin, où le réservistes affluaient... 24.9.38
[copyright by "Fulgur"] [Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Image 44356 : Les camions "civils" sont réquisitionnés à Paris...
N.p.m.: colonne de camions industriels rangés le long d'un Boulevard extérieur à Paris, cet après-midi. 28.9.38
[copyright by "Fulgur"] [Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Image 44358 : Autobus parisiens réquisitionnés.
N.p.m.: plusieurs centaines d'autobus parisiens viennent d'être réquisitionnés pour le transport des réservistes. Chacun peut contenir environ 50 voyageurs. 26.9.38
[copyright by "Fulgur"] [Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Image 44360 : Dans la bonne humeur, les réservistes "touchent" leur habillement...
N.p.m.: dans ce grand garage des Champs-Elysées, réquisitionné hier, les réservistes choisissent leurs vêtements militaires. 26.9.38
[copyright by "Fulgur"]
- Image 44361 : Dans la bonne humeur, les "réservistes touchent" leur habillement, dans un grand garage réquisitionné.
N.p.m.: tandis que les uns portent déjà l'uniforme choisi "dans le tas", les autres continuent leurs recherches. 26.9.38
[copyright by "Fulgur"] [Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Image 44363 : Dans la bonne humeur, les réservistes "touchent" leur habillement...
N.p.m.: dans ce grand garage des Champs-Elysées, réquisitionné hier, les réservistes choisissent leurs vêtements militaires. 26.9.38
[copyright by "Fulgur"] [Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Image 44365 : Dans la bonne humeur, les "réservistes" "touchant" leur habillement, dans un grand garage réquisitionné.
N.p.m.: tandis que les uns portent déjà l'uniforme choisi "dans le tas", les autres continuent leurs recherches. 26.9.1938
[copyright by "Fulgur"] [Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Image 44366 : Dans la bonne humeur, les "reservistes" "touchant" leur habillement, dans un grand garage réquisitionné.
N.p.m.: tandis que les uns portent déjà l'uniforme choisi "dans le tas", les autres continuent leurs recherches. 26.9.38
[copyright by "Fulgur"] [Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Image 44367 : Dans la bonne humeur, les "réservistes" "touchant" leur habillement, dans un grand garage réquisitionné.
N.p.m.: tandis que les uns portent déjà l'uniforme choisi "dans le tas", les autres continuent leurs recherches. 26.9.38
[copyright by "Fulgur"]
- Rappel des réservistes à Strasbourg : 1938. - 6 photos
- Raqui Meller, Artiste : [...-1940]. - 1 photo
- Raskin, officier SS, 1942. - 1 photo
- Rassemblement à Graz de la Compagnie de Flandre des volontaires flamands du front de l'Est, 1940-1945. - 9 photos
- Rassemblement de DeVlag (Communauté du Travail germano-flamande) à Antwerpen, 1/5/1941. - 1 photo
- Rassemblement de DeVlag (Communauté du Travail germano-flamande) au Palais des Sports de Gent, 2/5/1943. - 25 photos
- Rassemblement de la Jeunesse national-socialiste de Flandre (NSJV) à Mechelen, 6/4/1942. - 10 photos
- Ravens, administrateur social, 1943. - 3 photos
- Ravitaillement de travailleurs belges en route pour l'Allemagne, 1940-1945. - 2 photos
- Ravitaillement des batteries allemandes sur le front finlandais par des conducteurs de bateau finnois, 1942. - 1 photo
- Ravitaillement des soldats sur le front, 1939-1944. - 11 photos
- Ravitaillement des troupes allemandes en Norvège, [1940-1945]. - 4 photos
- Ravitaillement par la DRK dans les gares belges des troupes allemandes, 1940-1945. - 24 photos
- Raymond De Becker : [1940-1945]. - 1 photo
- Razzias effectuées par les Allemands dans la rue des Radis à Bruxelles et marché noir, 1943. - 16 photos
- Image 28431 : Radijzenstraat - Brussel.
- Image 28432 : Zwarte markt.
- Image 28436 : La rafle est terminée. Nous voyons ici une toute petite partie du butin : pain blancs, café, lait condensé... Le tout est déposé devant la maison qui cachait ces richesses. Une camionette viendra enlever le tout qui sera distribué aux hospices.
- Image 28437 : Jonge vrouw koopt brood op zwarte markt.
- Image 28439 : In eimem Augenblick ist die ganze Ware verschwunden.
Alerte ! En un clin d'oeil toute la marchanidse a disparu.
- Image 28442 : Du chocolat.
- Image 28444 : Et nous voici au bout de la rue... ici ce sont les gueteurs qui sont au travail, prêt à signaler toute intervention des services de contrôle ou de la brigade mobile de police. Il semble n'être que des flaneurs mais pour cette pègre leur rôle est important.
Hir sind wir am Ende der Strasse... - hier sind die Aufpasser, die das Herankommen des Kontrolldienstes oder der fliegenden Polizeibrigarde anzeigen. Es scheinen nur Spaziergänger zu zin, aber für diese Gaunerwelt ist ihre Rolle eine sehr bedeutende.
- Image 28445 : Dieser hier hat in einem Kellerloch den Verkauf von Kartoffel organisiert zu 10 Frank das Kilo, und er kann der Nachfrage nicht genügen.
Celui installé dans un soupiral vend des pommes de terre à 10 Frs le kg et il ne peut suffire aux demandes.
- Image 28446 : Das ganze Viertel ist in Aufruhr...
Tout le quartier est ameuté...
- Image 28448 : Hier schnappt man einige Verbrecher..... aber gehen Sie morgen wieder durch die Radieschenstrasse und Sie finden genug Verkäufer, genug Kunden und genug Ware.
Et l'on enmène au poste quelques délinquants... mais repassez demain, Rue des Radis, il y aura toujours autant de vendeurs, autant de clients et autant de marchandise.
- Image 28449 : Rafle, rue des Radis. Mais celui-ci a beau discuter, il ne pourra justifier la provenance de l'importante somme d'argent trouvée sur lui.
- Image 28450 : Rafle rue des Radis. ... pendant que, sous bonne garde, les délinquants seront transportés au poste de police.
- Image 28451 : Celui-ci n'a pas la conscience tranquille semble-t-il... pour cette fois-ci il échappera aux rigueurs de la justice.
- Image 28452 : Longtemps encore la rue des Radis restera agitée. La police continuera à monter une garde vigilante sous l'oeil encore surpris des habitants, étonnés de voir qu'enfin l'on fait la chasse à tous les mercantis qui étaient devenus rois du pavé de ce quartier.
- Image 28453 : Grand émoi, rue des Radis, rendez-vous du dimanche de tous les "smokkeleers" de la capitale...
La police a cerné le quartier, la fuite est éperdue mais il est trop tard et pour passer le cordon il faut décliner son identité. Sous l'oeil amusé de la foule, l'on procède aux premières opérations d'identification.
- Razzias effectuées par les Allemands dans les Halles de Bruxelles, 1940-1945. - 5 photos
- Réalisation de la frontière commune entre la Pologne et la Hongrie : mars 1939. - 1 photo
- Recensement obligatoire des jeunes en France, 1942-1944. - 5 photos
- Réception avant le départ de Bruxelles pour le front de l'Est de volontaires de la Croix-Rouge allemande (DRK), 4/10/1943. - 16 photos
- Réception de correspondants de guerre du front de l'Est à l'hôtel de Londres à Antwerpen, 9/8/1943. - 16 photos
- Réception offerte aux volontaires de la Croix-Rouge allemande (DRK) par Elias, chef du VNV, 24/11/1943. - 3 photos
- Réception organisée avant le départ pour le front de l'Est de volontaires de la Croix-Rouge allemande (DRK), 1/10/1943. - 3 photos
- Recherche de victimes dans les ruines de bombardements : [1940-1945]. - 30 photos
- Recherche et expérimentation scientifique au Danemark : 1941-1942. - 7 photos
- Image 117945 : Mit diesem medizinischen Gerät, das als ein Spezielbad nzusprechen ist, werden in dänischen Kliniken Krampfadern zur Heilung gebracht. Die Stellen der unangenehmen Stauungen erleiden so kräftige Zusammenziehungen, dass sie allmälich eintrocknen.
3136 a
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[17 jan. 1942]
- Image 117946 : Hier werden Weltraumstrahlen gemessen.
Dieser geheimnisvole Apparat befindet sich in einem Kopenhagener wissenschaftlichen Institeet und dient zur Ermittlung kosmischer Strahlungsenergie.
2518
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[4 dec. 1941]
[Autorisé à la publication sous réserve de rappel ultérieur. Censure photographique. Brüssel 3/12/41]
- Image 117947 : 1 Eine Abschälung von iner Krebsgeschwulst in nur 1/2000 mm Dicke, schwimmend in einer Glasschale.
[Conti-Press]
- Image 117950 : 119/8
8 Der Mäusestall des Krebsinstitues.
[Conti-Press]
- Image 117951 : 17 Dr. Engelbreth Holm und eine Assistentin untersuchen Krebsgeschwülte in einem sauerstoffreien Behälter.
[Conti-Press]
E119-17
- Image 117952 : 24 Bei einer krebskranken Maus wird die Temperatur gemessen. Dies geschieht auf elektrotrmostatischen Wege. Der Zeiger auf dem Apparat, zeigt die Temperatur, wenn der Leitungsdraht in den Mastdarm eingeführt ist.
[Conti-Press]
E119-24
- Image 117953 : 27 Dr. Engelbretch Holm, der auf eine Maus zeigt, die aufgeschlitzt ist und deren Gebärmutterkrebsgeschwult ausgeweitet wurde, so dass diese grösser erscheint, als die Maus selbst.
[Conti-Press]
E114-27
- Recherche scientifique en Bulgarie : 1942. - 7 photos
- Image 60135 : Untersuchung auf Vollwertigkeit.
Mit dem Polarisationsapparat untersucht der Chemiker die Konzentration und andere Eigenschaften des öles, das arzneilichen Zwecken - gegen Bronchitis und Asthme z.B. - zugeführt werden soll.
- Image 60137 : Das Medikament in der Ampulle.
Eine Mischung aus Kampfer, Chinin und Rosenöl wird von der bulgarischen Medizin als Heilmittel gegen Erkrankungen der Luftwege gegeben. Men berichtet von ermutigenden Resultaten.
- Image 60139 : Eine mit Rosenöl behandelte Lunge heilte aus.
Ein namhafter bulgarischer Arzt veröffentlichte diese Röntgenaufnahme, die einen Krankheitsherd im rechten oberen Lungenteil zeigt. Der Kranke wurde mit Einspritzungen des neuen Mittels behandelt, und...
- Image 60142 : ...nach mehrwöchiger Behandlung scheint der Prozess, wie die Röntgenaufnahme rechts zeigt, zur Ausheilung gekommen zu sein. Es wäre verfrüht, hieraus allgemeine Schlüsse zu ziehen, aber es wird sich bestimmt verlohnen, die einzelnen Bestandteile des Rosenöls und ihre Wirkungen näher zu erforschen.
- Image 60143 : Auf besonders schonende Weise gewinnt man das Rosendestillet, das als Medikament verwendet weren soll. Hier wird eine grössere Menge des kostberen Stoffes durch Bestrahlung mit ultravioletten Quarzlicht gereinigt.
- Image 60145 : Rosen gegen Frankheit.
Das Rosenöl tötet würmer und Parasiten. Universitätsdozent Dr. Nikoloff machte folgenden Versuch: in eine Flasche mit frischen wasser wurden fünf lebende Regenwürmer getan. Sodann liess der Arzt einen Tropfen Rosenöl in das wasser der Flasche fallen - die würmer wurden "ausserordentlich lebhaft" und machten tolle Sprünge in ihrer Flasche. Schon nach kurzer Zeit aber erlahmten ihre Bewegungen und nach einer Stunde waren sie tot. Mit Fischen und Blutegeln sind diese Versuche ebenfalls angestellt worden.
- Image 60147 : Grundsteinlegung des Deutsch-Bulgarischen Instituts für Landwirtschaftsforschung bei Sofis.
Der Festakt, dem Ministerpräs. Prof. Filov der Präs. der Sobranje Kalkov, der bulg. Landwirtschaftsminister Ing. Petrov, sowie weitere Mitglieder der bulgarischen Regierung und deutscherseits Gesandter SA-Obergruppenführer Beckerle, Gesandter von Twardowski der Direktor der Kaiser-Wihelm-Gesellschaft Prof.Dr. Vögler Ministerialdirektor Menzel vom Reicherziehungsministerium, Landesgruppenleider Dr. Drechsel, der Oberbürgermeister von Sofia, Ing. Iwanow und zahlreiche Vertreter der Wissenschaft beiwohnten, wurde durch den Metropoliten von Sofis, Stefan, eingeleitet.
U.B.z.: die feierliche Einmauerung der Urkunden. Am Tisch: Gesandtschaftsrat Mohramnn, Gesandter von Twardowski, der deutsche Gesandte Beckerle, Landesgruppenleiter Dr. Drechsel.
24.IX.1942.
- Recherches postales à Paris : [...-1939]. - 3 photos
- Recherches scientifiques : reportage sur des forages écologiques effectués dans la campagne allemande, [...-1945]. - 8 photos
- Récital de chants à Bruxelles organisé par le NSDAP-AO (Auslandsorganisation), 19/1/1944. - 8 photos
- Récital M. Berg : 28/4/1944. - 1 photo
- Récital Simone Redent (Danse et Ballet) : 1940-1945. - 2 photos
- Récolte de betteraves : 21/10/1943. - 14 photos
- Récolte de céréales, 1943. - 45 photos
- Récolte de châtaignes aux Pays-Bas, 11/1943. - 1 photo
- Récolte de la tourbe pour le chauffage aux Pays-Bas, 1944. - 3 photos
- Récolte de sang en France, 1941-1943. - 3 photos
- Récolte des foins : 1941-1944. - 9 photos
- Récolte du chanvre : 1942-1943. - 5 photos
- Récolte du lin aux Pays-Bas, 1943-1944. - 6 photos
- Récoltes de céréales : 1940-1944. - 36 photos
- Reconstitution du tirage au sort des conscrits à Antoing, 9/10/1940. - 4 photos
- Reconstitution historique de la Révolution à Paris : [...-1939]. - 2 photos
- Reconstruction / retour à l'activité normale : mise au travail des prisonniers alliés : 1940. - 8 photos
- Reconstruction / retour à l'activité normale : reconstruction des ponts par l'armée allemande : 1940. - 50 photos
- Image 72854 : Die von deutschen Pionieren wiederhergestellte Eisenbahnbrücke über die Seine wird der deutschen Reichsbahn zum Verkehr übergeben. K.G. © ?
- Image 72856 : Eine Eisenbahnüberführung wurde gesprengt.
Pioniere beseitigen zunächst die Trümmer, um den Eisenbahnverkehr wieder zu ermëgllichen.
25/05/1940. © ORBIS.
- Image 72858 : "Hau-ruck" erschallt an der Loire.
Pionieree bei der Arbeit an einer Loire-Brücke. Im Hintergrund die von den Franzosen durch Brandgranaten zerstörte Stadt, die jetzt wieder hergerichtet wird.
Pionniers au travail sur la Loire.
A l'arrière plan une ville française démolie par les français eux-mêmes. © CEGES.
- Image 72859 : Eisenbahnpioniere im Westen.
Träger auf Träger wird aufgesetzt. © ORBIS ou CEGES.
- Image 72861 : Ein Werk deutscher Pioniere.
Eine von den Franzosen im besetzten Gebied zerstörte Eisenbahnbrücke ist wieder hergestellt, der grosse Moment ist gekommen, der erste Zug fährt gerade über die Brücke. 06/08/1940. © ORBIS.
- Image 72862 : Brückenbau.
02/08/1940. © CEGES.
- Image 72864 : Eine Eisenbahnbrücke wird wieder hergestellt. Die erste Lokomotive fährt Ûber die brücke. © CEGES.
- Image 72865 : Ueber einer zerstörten Dammbrücke wurde eine stabile Ersatzorücke geschlagen.
02/08/1940. © CEGES ou ATLANTIC.
- Image 72867 : Ueber einer zerst...? Dammbrücke wurde eine stabile Ersatzbrücke geschlagen. 02/08/1940. © ATLANTIC.
- Image 72868 : Remmise en état des ponts en territoire occupé.
Un pont de chemin de fer qui vient d'être reconstruit et qui permet la reprise du trafic.
© CEGES.
- Image 72870 : Deutsche Brücken entstehen in Frankreich.
Auch die schwierigsten Bauten werden von unseren Pionieren ausgeführt.
09/09/1940. © CEGES.
- Image 72871 : Eine Eisenbahnbrücke wird wiederhergestellt. Die erste Lokomotive fährt über die Brücke. © CEGES.
- Image 72873 : Eine Eisenbahnbrücke wird wieder hegestellt. Der lokomotive Zug fährt über die Brücke.
© ATLANTIC.
- Image 72874 : Loire-Brückenbogen von deutschen Pionieren insta...? gezetzt.
Auch jetzt, während der Besetzungszeit, helfen unsere Soldaten mit, die durch den Krieg entstandenen Schäden zu beheben und Brücke und Wege instandzusetzen. So is dieser von den Franzosen auf ihren Rückmarsch gespren...? Loire-Brückbogen in unwahrscheinlich kurzer Zeit wie behelfsmässig ausgebessert worden. Am Ufer haben bere... wieder Angler ihre beliebte Beschäftigung aufgenommen.
An arch of a bridge over the Loire repaired by G...?man engineers.
Even now, during the time of occupation, our soldiers are helping to clear away the damages of the war and t...? repair bridges and roads. This arch of a bridge over t...? Loiore, wich was blown up the retreating Fresch, has been repaired in an unikzly short time. At the banks, anglers have already begun their belived sport.
19/07/1940. © ATLANTIC.
- Image 72875 : Eine eisenbahnbrücke wird wiederergestellt. Die erste Lokomotive fährt über die Brücke. © CEGES.
- Image 72876 : Deutsche Pioniere bei der Wiederherstellung der von den Franzpsen gesprengten Wasserleitung von Orléans. © CEGES.
- Image 72877 : Eine Eisenbahnbrücke wird wieder hergestellt. Der l. Eisenbahnzug fährt die Brücke.
© ATLANTIC.
- Image 72878 : Gemeinsam arbeiten Pioniere und französische Gefangene, die Scäden der Sprengüng einer Brücke über die Loire zu beheben. 03/09/1940. © ATLANTIC.
- Image 72879 : Von der Aufbauarbeit der deutschen Pioniere in den besetzten französischen Gebieten. © CEGES.
- Image 72880 : Aufräumungsarbeiten in Rouen.
Der 65 Meter hohe Stützpfeiler der von den Franzosen gesprengten Zugbrücke in Rouen wurde von der Deutschen Technischen Nothilfe sachgemäss umgelegt und zerschnitten. 10/08/1940. © CEGES.
- Image 72881 : Unsere Eidenbahnpioniere haben eine gesprengte Seinbrücke wieder hergestellt.
© CEGES.
- Image 72882 : Eine Eisenbahnbrücke wird wieder hergestellt. © ATLANTIC.
- Image 72883 : Wird die Brücke halten ?
Diese Frage von unseren Pionieren gar nicht erst gestellt, was sie einmal bauen, das hält Diese Eisenbahnbrücke wurde in kürzester Frist neben der gesprentten errichtet, der erste Zug fährt gerade über die Brücke, ein Kunstwerk der Pioniere.
Le premier train passe sur un pont rétabli par les allemands.
21/07/1940. © CEGES.
- Image 72884 : Irgendwo an der Loire.
WÄhrend die Pioniere eines deutschen Bau-Bataillons eine kurze Pause beim Bau von Behelsbrücken eingelegt haben, regen sich am Ufer der Loire fleissige Hände.
Somewhere at the Loire.
Wilst the engineers of a German constructing bataillon are making a rest during the building of provisional bridges, busy,hands are working on the banks of the Loire.
01/08/1940. © ATLANTIC.
- Image 72885 : Eine Eisenbahnbrücke wird wieder herstellt.
© ?
- Image 72886 : Eine Eisenbahnbrûcke wird wieder hergestellt. Der l. Zug fährt über die Brücke.
© ?
- Image 72887 : Eine Eisenbahnbrücke wird wieder hergestellt.
© ATLANTIC.
- Image 72888 : Eine Eisenbahnbrücke wird wieder hergestellt. © ATLANTIC.
- Image 72889 : Eine Eisenbahnbrücke wird wieder hergestellt. © CEGES.
- Image 72890 : Eine Eisenbahnbrûcke wird wieder hergestellt. Der l. Zug fährt über die Brücke. © ATLANTIC.
- Image 72891 : Pioniere beim Bau einer Behelfsbrücke über die Trümmer einer gesprengten Loire-Brücke. © ATLANTIC.
- Image 72892 : Technische Kommandos.
Bei der Wiederinstandse tzung der Stomund Wasserleitung im Besetzten Gebiet. © ATLANTIC.
- Image 72893 : Beim Wiederaufbau.
Völlig zerstörte Schienen werden entfernt und durch neue ersetzt, die deutschen Aufbaukommandos werden bald das Nötigste wieder hergestellt haben. © CEGES.
- Image 72894 : La réfection des ponts dans la région parisienne.
Soldats allemands occupés à réparer le pont de Poissy.
© CEGES.
- Image 72895 : En campagne.
A Chateau-Thierry, pont en bois construit par le Génie allemand. Au fond l'église intacte. © CEGES.
- Image 72896 : Inauguration d'un nouveau pont dans la région Parisienne.
Un nouveau pont, contruit en 15 jour pour remplacer celui détruit par la guerre a été inauguré hier à Gournay en Brie. Immédiatement après l'inauguration les premiers passants empruntent le pont.
Die Einweihung einer neue Brücke in der Umgebung von Paris. © CEGES.
- Image 72897 : Rouen pendant l'occupation allemande.
Le pont Corneille vu de la rive droite. Las Allemands ont commencé son déblaiement en vue de sa reconstruction. Remarquer la passerelle à flotteurs permettant l'accès des piles. © CEGES.
- Image 72898 : Les communications se rétablissent.
Le viaduc de Moret-sur Loing, près de Saint-Mammès, va bientôt pouvoir être rendu à la circulation. On peut voir les travaux de réparation déjà assez avancés. © CEGES.
- Image 72899 : Passage d'un canal au dessus de la Loire que l'armée française fit sauter dans sa retraite. © CEGES.
- Image 72900 : En Champagne.
A Château-Thierry, le Génie allemand procède à la reconstruction d'un pont. © CEGES.
- Image 72901 : Le rétablissement des communications.
Le "Pont du Général Jacob" à Briare, pont en bois sur pilotis, construit par les Allemands pour supléer à l'indisponibilité provisoire du "Pont-Canal" de Briare endommagé. © CEGES.
- Image 72902 : On rétablit les communications.
Des réfugiés cyclistes rentrent chez eux sur un pont édifié par les allemands à Meulin.
© CEGES.
- Image 72903 : L'aide de secours technique allemande rend d'énormes services pour la remise en état des usines d'utilité publique et des ponts.
Des hommes remettant en état le mécanisme d'un pont tournant démoli par l'armée française.
Bei den Aufräumungsarbeiten in den von den deutschen Truppen besetzten Westgebieten vollbringt die Technische Nothilfe erstaunliche Leistungen. Entsprechend ihrer hervorragenden Ausrüstung und ihren hochqualifizierten Arbeitskräften wird sie besonsders zur Bewältigung komplizierter technischer Aufgaben eingesetzt, wie z.B. sie Instandsetzung lebenswichtiger Werke und das Wegräumen gesprengter Brücken.
Männen bringen das Drehwerk einer französischen Drehbrücke wieder in Ordnung.
© CEGES.
- Image 72904 : Gesprengte Brücken werden weggeräumt.
Die Aufräumungsarbeit der Technischen Nothilfe im besetzten französischen Gebiet.
Zunächst muss die Strassendecke der Brücke entfernt werden. Zahreiche Pressluftmeissel sind zu diesem Zweck an der Arbeit. © CEGES.
- Image 72905 : Gesprenkte Brücken werden weggeräumt.
Die aufräumungsarbeit der Technischen Nothilfe im besetzten französischen Gebiet.
Die vom Taucher vorbereite Sprengur geht los. Im Hintergrund wartet der Kran auf das Hochwinden der abgesprenten Stücke. © CEGES.
- Image 72906 : Gesprenkte Brücken werden weggeräumt.
Die aufräumungsarbeit der Technischen Nothilfe im besetzten franz¨sischen Gebiet. $Stück für Stück werden die Einzelteile zerschnitten und dann aus dem Wasser gezogen. © CEGES.
- Image 72907 : Gesprenkte Brücken werden weggeräumt.
Die Aufraumungsarbeit der Technischen No Hilfe im besetzten französischen Gebiet.
In solchen kleinen Einzelteilen wird die Brücke aus dem Wasser gezogen.
© CEGES.
- Image 72908 : Gesprenkte Brücken der Technischen Nothilfe im besetzten französischen Gebiet.
Wirr liegen die gesprenkten Teile der schweren Brücke herum. © CEGES.
- Image 72909 : Gesprenkte Brücken werden weggeräumt.
Die Aufbauarbeit der Technischen Nothilfe im besetzten französischen Gebiet.
Die Kinder sind interessierte Zuschauer bei den Aufräumungsarbeiten. © CEGES.
- Image 83949 : Männer der OT und deutsche Eisenbahnpioniere bauen eine zerstörte Eisenbahnbrücke wieder auf. © CEGES.
- Reconstruction / retour à l'activité normale : remise en activité de l'industrie : 1940. - 5 photos
- Reconstruction / retour à l'activité normale : retour d'exode des ministres à Paris : 1940. - 3 photos
- Reconstruction / retour à l'activité normale : travaux de déblaiement et de reconstruction : 1940. - 28 photos
- Image 72811 : Gewandheit in luftiger Höhe.
Ein Pionier der Luftnachrichtentruppe bei der Herstellung einer Fernsprechleitung.
© CEGES ou ATLANTIC.
- Image 72812 : La reconstruction du home démoli.
Avec courage les habitants se sont remis à reconstruire leur maison démolie par une bombe d'avion. © CEGES.
- Image 72814 : La reconstruction de la France.
Il faut reconstruire ce que la guerre a anéanti. Des troupes spécialisées remettent en état les routes démolies par les bombes et les obus.
Der Kampf in Frankreich ist zu Ende, ein neues Werk des Aufbaues beginnt. Bautrupps bessern die noch vorhandenen Bomben-und Sprengtrichter auf den Strassen des Kampf... © CEGES.
- Image 72815 : Dans une ville française où la guerre a passé.
Des ouvriers ont commencé à déblayer et à reconstruire les immeubles.
© CEGES.
- Image 72817 : Wehrmacht baut Wasserleitung.
ERdarbeiten zum Bau eines Staubeckens im besetzten Gebiet als Ersatz für die zerstörten Wasserleitungen.
02/08/1940. © ATLANTIC.
- Image 72818 : Die Waffe mit dem Spaten vertaucht.
Aufräumungsarbeiten in Frankreich, in der Stadt Château-Porcien.
09/08/1940. © ATLANTIC.
- Image 72820 : Am Strand von Dünkirchen wird aufgeräumt.
An einer Stahltrosse wird ein Taucher auf den Grund gelassen. © CEGES.
- Image 72821 : Das Nationalheiligrum Frankreiche wird freigelegt. Mit sandsäcken hatte die französische Reierung den roten Marmorsarkophag Napoleone I im Invalidendom zu Paris vor Fliegerbomben schützen lassen. Eine der Ersten Massnahmen der Deutschen war die Freilegung des Grabes.
La sanctuaire National Français est libéré de ses sacs de sable.
Les français avaient protégé avec des sacs de sable le tombeau de Napoléon sous le dôme des Invalides. Une des premières mesures des allemands fut d'enlever ces sacs.
© CEGES.
- Image 72823 : Aufräumungsarbeit in Frankreich.
Deutsche Pioniere gehen daren, die Hauptverkehrsstrassen von Boulogne von den trümmen zu befreien.
24/08/1940. © ATLANTIC.
- Image 72824 : Franzosen bei Auräumungsarbeiten in Sully. © CEGES.
- Image 72826 : Organisation Todt im besetzten Gebiet.
Bei der Ausbesserung der vom Krieg zerstörten Strassen.
L'organisation Todt en territoire occupé.
La remise en état des routes détruites par la guerre. © CEGES.
- Image 72828 : Curieuse réparation d'un immeuble démoli.
Photo prise dans le Nord français. Le toit a été recouvert d'une toile de tente abandonnée par les armées, ceci protège l'intérieur contre les intempéries, et comme protection contre le vent quelques sacs de sable. Une réparation simple et cependant pratique.
So flickte man ein zerschossenes Dach.
Irgwendwo in Frankreich sah unser Bildberichter dieses Motiv. Das zerschossene Dach ist mit einer Zeltbahne gegen Wetter und Regen bedeckt und mit Sandsaecken gegen den Wind gesichtert. Eine einfache und Praktische Reparatur. © CEGES.
- Image 72829 : Franzosen bei Aufräumungsarbeiten in Sully. © CEGES.
- Image 72831 : Franzosen bei Aufräumungsarbeiten in Sully. © CEGES.
- Image 72832 : Das grosse Aufräumen beginnt.
Unsere Pioniere beim Bergen von ...?..., die eine Hafeneinfahrt sperren.
The great clearing has begun.
Our engineers saving wretchs, wich formed an obstacle of the harbour entrance.
© CEGES
- Image 72834 : Französische Arbeiter bei der Wiederherstellung von zerstörten Eisenbahnbrücken unter der leitung von deutschen Eisenbahnpionieren und Ingenieuren. © CEGES.
- Image 72836 : Le dragage du fond de la Seine.
Les sapeurs du Génie allemand draguent le fond de la Seine à Sartrouville pour le débarrasser des débris des ponts. 11/10/1940. © CEGES.
- Image 72837 : Le rétablissement des communications ferroviaires.
Après une réparation provisoire, le pont du chemin de fer de Juvisy est rendu à la circulation. Pendant qu'un train de marchandises passe sur le pont, les ouvriers en bas continuent leur travail. © CEGES.
- Image 72839 : Les communications se rétablissent.
Dans son discours radiodiffusé, le Chef de l'Etat français a déclaré que désormais presque tous les ponts qui ont souffert de la guerre sont rendus à la circulation. Voici les travaux de réparation du pont du chemin de fer entre Sartrouville et Maison Lafitte ( ligne Paris-Le Havre) battant leur plein.
11/10/1940. © CEGES.
- Image 72840 : Les communications autour de Paris.
Le pont de chemin de fer de Pontoise avair été détruit. Nous voyons ici un train empruntant ce même pont après la réparation provisoire. 05/10/1940. © CEGES.
- Image 72842 : La circulation dans la région parisienne.
Une vue de la passerelle assurant le passage du Pont de Chatou endommagé. © CEGES.
- Image 72843 : Avec les troupes de transmission allemandes.
C'est avec rapidité que la nouvelle ligne est établie de mât en mât. © CEGES.
- Image 72845 : En Champgne.
A Château-Thierry on récupère la ferraille des autos abandonnées. © CEGES.
- Image 72846 : Die verbindungen werden hergestellt.
Die Bezons Brücke welche repariert wurde, ist wieder zum frei Verkehr geoffnet. © CEGES.
- Image 72848 : La circulation dans la région parisienne.
Une vue du trafic sur la passerelle assurant le passage du Pont de Chatou endommagé. Au premier plan, des ouvriers travaillant à la réparation du pont. © CEGES.
- Image 72849 : Französische Eisenbahner nehmen an der Loire Ihre Tätigkeit wieder auf.
Les ouvriers des chemins de fer français recommencent à travailler sur le Loire. © CEGES.
- Image 72851 : Aufräumingsarbeiten in Rouen.
Ein Schiffskran beseitigt die Trümmer der von den Franzosen gesprengten Seinbrücke in Rouen. Im Hintergrund die unbeschädigt gebliebene Kathedrale.
Clearing works in Rouen.
A ships crane is removing the rests of the bridge over the Seine, destroyed by the Frenchs. In the background the unhurted cathedral. © CEGES ou Atlantic.
- Image 72852 : On rétablit les communications.
A Sartrouville; les ouvriers commencent à déblayer le pont du chemin de fer de la ligne Paris-le Havre, en vue de sa reconstruction.
Die Verbindungen werden hergestellt.
In Sartrouville sind die Arbeiter zùr Räùmung der streke Paris-Le Havre beschäftigt, die denn wieder gebaut wird. © CEGES.
- Reconstruction / retour à l'activité normale après la capitulation : Reportage allemand sur la vie parisienne "ça c'est Paris... von Heute" : 1940. - 9 photos
- Reconstruction de la Finlande à l'arrière du front, 1942. - 2 photos
- Reconstruction de la Pologne de l'est : 1941. - 2 photos
- Reconstruction de ponts aux Pays-Bas, [...-1945]. - 2 photos
- Reconstruction des ponts en Finlande, [...-1945]. - 2 photos
- Reconstruction du pont de Balgerhoeke : 9/10/1940. - 20 photos
- Reconstruction du pont de Gellik : 1941. - 18 photos
- Image 2250 : GELLIK (Lanaken). Opruimen van vernielde spoorwegbrug en opbouw van voorlopige spoorwegbrug over Albertkanaal. Aannemer: La Brugeoise et Nivelles et Delcuve. Onderaannemer: Alphonse Janssens.
3 september 1941. Florimond Persine, Tekenaar van Onderaannemer. [Jose Caron]
- Image 2251 : GELLIK (Lanaken). Opruimen van vernielde spoorwegbrug en opbouw van voorlopige spoorwegbrug over Albertkanaal. Aannemer: La Brugeoise et Nivelles et Delcuve. Onderaannemer: Alphonse Janssens.
3 september 1941. Florimond Persine, tekenaar van onderaannemer. Ir. José Caron, afgevaardigde NMBS. [Jose Caron]
- Image 2252 : GELLIK (Lanaken). Opruimen van vernielde spoorwegbrug en opbouw van voorlopige spoorwegbrug over Albertkanaal. Aannemer: La Brugeoise et Nivelles et Delcuve. Onderaannemer: Alphonse Janssens.
4 september 1941.[Jose Caron]
- Image 2253 : GELLIK (Lanaken). Opruimen van vernielde spoorwegbrug en opbouw van voorlopige spoorwegbrug over Albertkanaal. Aannemer: La Brugeoise et Nivelles et Delcuve. Onderaannemer: Alphonse Janssens.
19 september 1941. [Jose Caron]
- Image 2254 : GELLIK (Lanaken). Opruimen van vernielde spoorwegbrug en opbouw van voorlopige spoorwegbrug over Albertkanaal. Aannemer: La Brugeoise et Nivelles et Delcuve. Onderaannemer: Alphonse Janssens.
3 september 1941. Florimond Persine, tekenaar van onderaannemer. [Jose Caron]
- Image 2255 : GELLIK (Lanaken). Opruimen van vernielde spoorwegbrug en opbouw van voorlopige spoorwegbrug over Albertkanaal. Aannemer: La Brugeoise et Nivelles et Delcuve. Onderaannemer: Alphonse Janssens.
3 september 1941. [Jose Caron]
- Image 2256 : GELLIK (Lanaken). Opruimen van vernielde spoorwegbrug en opbouw van voorlopige spoorwegbrug over Albertkanaal. Aannemer: La Brugeoise et Nivelles et Delcuve. Onderaannemer: Alphonse Janssens.
29 augustus 1941. [Jose Caron]
- Image 2257 : GELLIK (Lanaken). Opruimen van vernielde spoorwegbrug en opbouw van voorlopige spoorwegbrug over Albertkanaal. Aannemer: La Brugeoise et Nivelles et Delcuve. Onderaannemer: Alphonse Janssens.
25 april 1941.
Ir. José Caron, afgevaardigde NMBS.
Yvonne Eerdekens, secretaresse van onderaannemer.
[Jose Caron]
- Image 2258 : GELLIK (Lanaken). Opruimen van vernielde spoorwegbrug en opbouw van voorlopige spoorwegbrug over Albertkanaal. Aannemer: La Brugeoise et Nivelles et Delcuve. Onderaannemer: Alphonse Janssens.
25 april 1941.
Ir. Edouard Genicot, bij onderaannemer.
Yvonne Eerdekens, secretaresse van onderaannemer. [Jose Caron]
- Image 2259 : GELLIK (Lanaken). Opruimen van vernielde spoorwegbrug en opbouw van voorlopige spoorwegbrug over Albertkanaal. Aannemer: La Brugeoise et Nivelles et Delcuve. Onderaannemer: Alphonse Janssens.
25 april 1941.
Yvonne Eerdekens, secretaresse van onderaannemer. [Jose Caron]
- Image 2260 : GELLIK (Lanaken). Opruimen van vernielde spoorwegbrug en opbouw van voorlopige spoorwegbrug over Albertkanaal. Aannemer: La Brugeoise et Nivelles et Delcuve. Onderaannemer: Alphonse Janssens.
15 maart 1941.
Ballings, opzichter NMBS & Reeckmans, pointeur NMBS. [Jose Caron]
- Image 2261 : GELLIK (Lanaken). Opruimen van vernielde spoorwegbrug en opbouw van voorlopige spoorwegbrug over Albertkanaal. Aannemer: La Brugeoise et Nivelles et Delcuve. Onderaannemer: Alphonse Janssens.
15 maart 1941. [Jose Caron]
- Image 2262 : GELLIK (Lanaken). Opruimen van vernielde spoorwegbrug en opbouw van voorlopige spoorwegbrug over Albertkanaal. Aannemer: La Brugeoise et Nivelles et Delcuve. Onderaannemer: Alphonse Janssens.
15 maart 1941. [Jose Caron]
- Image 2263 : GELLIK (Lanaken). Opruimen van vernielde spoorwegbrug en opbouw van voorlopige spoorwegbrug over Albertkanaal. Aannemer: La Brugeoise et Nivelles et Delcuve. Onderaannemer: Alphonse Janssens.
23 januari 1941. [Jose Caron]
- Image 2264 : GELLIK (Lanaken). Opruimen van vernielde spoorwegbrug en opbouw van voorlopige spoorwegbrug over Albertkanaal. Aannemer: La Brugeoise et Nivelles et Delcuve. Onderaannemer: Alphonse Janssens.
23 januari 1941. [Jose Caron]
- Image 2265 : GELLIK (Lanaken). Opruimen van vernielde spoorwegbrug en opbouw van voorlopige spoorwegbrug over Albertkanaal. Aannemer: La Brugeoise et Nivelles et Delcuve. Onderaannemer: Alphonse Janssens.
23 januari 1941. [Jose Caron]
- Image 2266 : GELLIK (Lanaken). Opruimen van vernielde spoorwegbrug en opbouw van voorlopige spoorwegbrug over Albertkanaal. Aannemer: La Brugeoise et Nivelles et Delcuve. Onderaannemer: Alphonse Janssens.
4 september 1941. [Jose Caron]
- Image 2267 : GELLIK (Lanaken). Opruimen van vernielde spoorwegbrug en opbouw van voorlopige spoorwegbrug over Albertkanaal. Aannemer: La Brugeoise et Nivelles et Delcuve. Onderaannemer: Alphonse Janssens.
19 september 1941. [Jose Caron]
- Reconstruction du pont de Huy, 1940-1945. - 21 photos
- Reconstruction du pont de Vilvoorde, 1940. - 7 photos
- Reconstruction en Belgique, 1940. - 40 photos
- Image 2190 : Deutsche Eisenbahnpioniere am Werk.
Mit allen technischen Rüstzeug arbeiten unsere Eisenbahnpioniere an der Wiederherstellung der von den Engländern gesprengten Eisenbahnbrücke über die flanderischen Kanäle. [Atlantic] [Sipho] [10/09/1940]
- Image 2191 : Canal Bruxelles Charleroi. Les écluses ont été réparées, nous voyons une allège dans les écluses. [Censure photographique] [Sipho]
- Image 2192 : En Belgique, pour aider à la résorption du chômage, des travaux de réfection des routes sont entrepris en maints endroits. Photo: un chantier dans le pays de Charleroi. [Frei gegeben durch Zensur] [Sipho]
- Image 2193 : Wiederherstellungsarbeiten im Belgien.
Das von den Feinden zerstörte Belgien wird von deutschen Baukompanien wieder hergestellt.
24.8.1940 [Atlantic]
- Image 2194 : Taucher im flanderischen Häfen.
Taucher der T-N. haben die Strengkörper unter Wasser befestigt und zur Entzündung gebracht. Wie eine Fontäne springt das Wasser auf und das gesprengte feindliche Wrack im flanderischen Hafen kann gebergen werden.
19.8.1940 [Atlantic]
- Image 2195 : Renflouement sur le canal. Deux péniches qui avaient été coulées au mois de mai 1940 et qui viennent d'être renflouées. [Frei gegeben durch Zensur] [Sipho]
- Image 2196 : La construction d'une bouche d'égout. [Frei gegeben durch Zensur] [Sipho]
- Image 2197 : Reprise de l'activité dans le port d'Anvers: Le pont rétabli par le génie allemand et réouvert à la circulation sur le canal Albert à Anvers. Au premier plan à droite, les débris de l'ancien pont que fit sauter l'armée belge en retraite. [Sipho]
- Image 2198 : Travaux de reconstruction en Flandre occidentale: Les travaux de reconstruction de l'Eglise de Meulebeke dans leur état actuel. [Sipho]
- Image 2199 : Tauch in flandrischen Häfen. Ein Taucher der T-N befestigt eine Sprengladung an einem feindlicher Wrack. [17/09/1940] [Atlantic] [Sipho]
- Image 2200 : Travaux de reconstruction en Flandre orientale: Etat actuel de l'Eglise de Beveren dont la reconstruction va être commencée. [Sipho]
- Image 2201 : Travaux de reconstruction en Flandre occidentale: Les travaux de reconstruction de l'Eglise d'Oyghem (Ooigem) dans leur état actuel. [Sipho]
- Image 2202 : Travaux de reconstruction en Flandre occidentale: L'Eglise de Vive Saint-Bavon (Sint-Baafs-Vijve) dans l'état actuel des travaux. [Sipho]
- Image 2203 : Travaux de reconstruction en Flandre occidentale: L'Eglise de Waarmaarde dont la reconstruction est sur le point d'être terminée. [Sipho]
- Image 2204 : Travaux de reconstruction en Flandre occidentale: L'Eglise de Vive Saint-Bavon (Sint-Baafs-Vijve) dans l'état actuel des travaux. [Sipho]
- Image 2205 : Travaux de reconstruction en Flandre occidentale: L'Eglise d'Oostrozebeke dont la reconstruction est sur le point d'être terminée. [Sipho]
- Image 2206 : Reprise de la vie normale à Anvers: Le trafic a repris au tunnel sous l'Escaut sous la surveillance d'un policier belge et d'un gendarme allemand, car un seul côté du tunnel est accessible. [Sipho]
- Image 2207 : Travaux de la zone d'Ivry: D'importants travaux ont lieu actuellement pour l'aménagement de la zone d'Ivry. Une belle avenue est en cours d'aménagement. [Censure photographique] [Photo Lapi] [Sipho]
- Image 2208 : Bedienen einer Luftdruckramme beim Bau einer Flussbrücke.[Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Sipho]
- Image 2209 : Dauerbehelfsbrücke der T.N. über den modernsten belgischen Kanal mit beachtlicher riesiger Spannweite. Für alle Schiffe ist die Durchfahrt möglich. [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Sipho]
- Image 2210 : Sur le canal Albert: Le plus grand pont d'une seule travée d'Europe qui avait été démoli lors des événements de mai 1940, est remplacé par un nouveau pont métallique lequel sera complètement terminé vers le 1er juin prochain. [Sipho]
- Image 2211 : Taucher an der Kanalküste kurz vor dem Tauchen. [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Sipho]
- Image 2212 : Eine von der T.N. geschaffene und bediente Anlage zum Vorwärmen von Schiffsmaschinen.[Orbis] [Sipho]
- Image 2213 : Arbeiten an einer Dauerbehelfsbrücke über einen belgischen Kanal. [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Sipho]
- Image 2214 : Schwere Arbeit im Reichsgarten in Brüssel.
4.4.1941: Kruidtuin. Noord-Zuidverbinding [Het Laatste Nieuws] Fotograf Edw. Cluytens 4/4/1941]
- Image 2215 : Die technische Nothilfe in einem vom Krieg heimgesuchten Werk bei der Prüfung und beim Ausbau von verwendbarer Teile zur Wiederherstellung anderer lebenswichtiger Betriebe. [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Sipho]
- Image 2216 : Flusstaucher der T.N. bei der Arbeit unter Wasser. Bohren, Brennschneiden, Zerlegen von Schiffswracks, Sprengungen unter Wasser gehören zu den Arbeiten des Tauchers. [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Sipho]
- Image 2217 : Renflouement sur le canal: Deux péniches qui avaient été coulées au mois de mai 1940 et qui viennent d'être renflouées. [Censure photographique] [Sipho]
- Image 2218 : Taucher in flandrischen Häfen. Sorgfältig wird der Taucher der T-N, der unter Wassersprengungen vornehmen soll, "eingekleidet", jedes Häckchen und Schräubchen muss sitzen. [17/09/1940] [Atlantic] [Sipho]
- Image 2219 : Sur le canal de Bruxelles des ponts provisoires construits par le génie allemand permettent de rétablir la circulation normale: Un de ces nouveaux ponts réouverts à la circulation récemment. [Sipho]
- Image 2220 : Die Docks der grossen Kanalhäfen werden von der T.N. betrieben. Versenkte und schwerbeschädigte Schiffe können so wieder in Stand gesetzt werden. [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Sipho]
- Image 2221 : Bruxelles.
- Image 2222 : Bruxelles.
- Image 2223 : [Aucune indication]
- Image 2224 : [Aucune indication]
- Image 2225 : [Aucune indication]
- Image 2226 : [Aucune indication]
- Image 2227 : [Aucune indication]
- Image 2228 : Un pont sur le canal de Bruxelles vient d'être réouvert à la circulation normale grâce au labeur des hommes du secours technique allemand. [Sipho]
- Image 2229 : Der Kommandeur einer T.N.- Einsatzgruppe weiht eine von der T.N. hergestellte Behelfs-Dauerbrücke über den modernsten belgischen Kanal. [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Sipho]
- Reconstruction en Norvège, 1940. - 3 photos
- Image 120824 : Die durch den Krieg verwüsteten Gebiete in Norwegen
werden jetzt wieder aufgebaut und es wird mit voller Kraft gearbeitet, um so viele Häuser wie möglich fertig zu haben, bevor der Winter einsetzt.
In ganz Norwegen wird gezimmert und getischlert an Wohnhäusern, Ställen und Scheunen. Olft liegen die neuen Gebäude unmittelbar neben den vom Krieg zerstörten, wodurch ein in die Augen fallender Kontrast geschaffen wird.
Dieses Bild ist aus der Stadt Elverum geholt. Die Plakate erzählen, wo die verschiedenen Geschäftsleute, Aerzte u.s.w. ihre vorläufigen Zelte aufgeschlagen haben, bis ihre Häuser wieder aufgebaut sind.
19.9.1940.
- Image 120826 : Die durch den Krieg verwüsteten Gebiete in Norwegen.
werden jetzt wieder aufgebaut und es wird mit voller Kraft gearbeitet, um so viele Häuser wie m¨glich fertig zu haben, bevor der Winter einsetzt.
In ganz Norwegen wird gezimmert und getischlert an Wohnungen, Ställen und Scheunen. Oft liegen die neuen Gebäude unmittelbar neben den vom Krieg zerstörten, wodurch ein in die Augen fallender Kontrast geschaffen wird.
Hier ist ein Bild aus dem Gudbrandstal, van der zimmermann seinen Arbeitsplatz mitten in den Ruinen eines zerstörten Hauses angelegt hat.
19.9.1940.
- Image 120828 : Die durch den Krieg verwüsteten Gebiete in Norwegen.
werden jetzt wieder aufgebaut und es wird mit voller Kraft gearbeitet, um so viele Häuser wie möglich fertig zu haben, bevor der Winter einsetzt. In ganz Norwegen wird gezimmert und getischlert an Wohnhäusern, Ställen und Scheunen. Oft liegen die neuen Gebäude unmittelbar neben den vom Krieg zerstörten, wodurch ein in die Augen fallender Kontrast geschaffen wird.
Dieses Bild ist in dem Dorfe Haugsbyrd nördlich van Oslo aufgenommen.
28.9.1940.
- Reconstruction en Pologne : 1939-1940. - 8 photos
- Image 68686 : Arbeitsdienst beim Wiederaufbau in Polen.
Polnische Wirtschaft im wahrsten Sinne des Wortes ! - Der "Brahehafen" in der Nähe von Bromberg voller Baumstämme, die von den Polen seit Jahren nicht mehr abgeflosst wurden und über die bereits Gras und Unkraut gewachsen ist. - Jetzt sind Abteilungen des Reichsarbeitsdienstes dabei, sie notwendigen Aufbauarbeiten zuzuführen. 21.X.1939.
- Image 68689 : Le déblaiement des décombres à Varsovie.
Aufräumungsarbeiten in Warschau.
In Warschaus Strassen wird viel gebaut, denn der Polenfeldzug im Jahre 1939 hat böse Spuren hinterlassen. Die angetragenen Steine, die noch bei Neubauten zu verwenden sind, werden gesondert verladen und zur weiteren Verarbeitung abtransportiert.
- Image 68690 : Les armées allemandes réparent ce que les armées polonaises ont détruit.
Des soldats allemands en traint de réparer un pont que les Polonais ont fait sauter en se retirant.
- Image 68692 : Zerstörte Brücken mussten in kürzester Zeit wieder hergestellt werden. Sie sind heute kängst wieder Träger der Verbindung nach dem Osten.
- Image 68695 : Deutscher Wiederaufbau in den besetzten Gebieten.
Am Anfang der deutschen Wiederaufbauarbeiten in den besetzten Gebieten steht die Wiederherstellung der Verkehrswege, die mit aller Energie in Angriff genommen wurde. Unser Bild zeigt Männer der Organisation Todt bei dem Ausbessern einer gesprengten Brücke.
- Image 68698 : Eröffnung der Reichsadlerbrücke über den San.
Die San-Brücke mit den stromaufwärts deutlich erkennbaren Eisbrechern.
- Image 68701 : Die Eröffnung der Reichsadlerbrücke über den San.
Unser Bild zeigt den Kommandeur des Brückenbau - Bataillons, der dem Kommandierendem General die Vollendung der Brücke über den San meldet. 29.XI.1940.
- Image 68704 : Pioners bauen neue Fussgängerbrücke in Posen.
Um die bereits von deutschen Pionieren provisorisch fertiggetsellte Wallischeibrücke über die Warthe bei Posen von dem grossen Fussgängerverkehr zu entlasten, sind jetzt deutsche Pioniers dabei, noch eine zweite Brücke zu bauen, wie u.B. zeigt. 12.XI.1939.
- Recontruction de Rotterdam, [1940]. - 12 photos
- Records en Espagne, [...-1936]. - 2 photos
- Records, exploits et événements pittoresques au Canada, 1930-1944. - 9 photos
- Image 153005 : Bénédiction de skis au Val Dorin, Canada.
Spectacle unique et pittoresque que celui de la messe des skieurs dans la petite église catholique du Val Dorin au début de la saison.
Il fallut une autorisartion toute spéciale pour faire cette photographie.
Phot. NYT. N-Y le 27-12-34. MB. 90
[photo NYT] [copyright by Photo "Actualit"]
- Image 153006 : Not that way !
Photo shows: Lochinvar (Irela of Glamis), America's champion collie dog, seems to be appealing to his mistress, Cherry Osborne, for a share in the game of billiards she is playing at Banff Springs, Canada.
Lochinvar is valued at £1,000 and earns £10 a day as a film dog in Hollywood.
US PN.g.
[21 mai 1944]
[copyright by Sipho]
- Image 153007 : Mass illness follows mass wedding in Montreal. 200 Guests taken to hospital.
Following the mass wedding of 106 French-Canadian couples at the Baseball Stadium in Montreal, Canada, about 200 of the several thousand guests were taken to hospital.
They began collapsing towards the end of a strenuous day of merrymaking under a hot sun and at first it was thought food poisoning might be the cause.
Doctors finally decided that long hours under the sun and drinking of cold beverage was reponsible.
Photo shows: A view of the mass weddings in the Stadium at Montreal.
US July 29th 1939 PN.g.
Picture by "Clipper"
[copyright Planet News Ltd]
- Image 153008 : His Pet -
26 - Foot Python that is 200 years old is forcibly fed.
Eight strong men were required to forcibly feed a 26-foot python when it was brought from its winter quarters at Hamilton, Ontario.
The snake had not eaten for three months and its first meal consisted of 20 pounds of sausage, two dozen eggs, a quart of citrate of magnesia, and a quard of olive oil.
Two hundred years old, the snake weighs 380 pounds.
Photo shows: Owen Dauphinee, the keeper, fondles his 26-foot pet before beginning the risky job of forcibly feeding the python.
US PN.g.
[copyright by Sipho]
- Image 153009 : Watch your Credit Line:
Photo from Wide World Photos:
699692 - this proves that mountain horses are immune to surprise.
Alberta, Canada. - A young lady from the East who was bashful about giving her name tries the tatest thing in mountain travel. A "Horse Howdah", invented by Fred Brewster, veteran trailsman of Jasper Park, Alberta.
7-17-30.
[Photograph from Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Image 153010 : Lynched - but only as a trick.
Joseph Ovette of Ottawa allowed himself to be lynched by a crowd of Fort Erie, Canada, but only to demonstrate one of his latest "stunts" - for he is a professional magician.
Ovette allowed himself to be tied in a chair, then a noose was slipped round his neck and his body drawn into the air.
From this dangerous position he released himself from the noose and the bonds and dropped safely to the ground.
Photo shows: A girl places the noose around the neck of the bound Joseph Ovette.
US PN.g.
[copyright by Sipho]
- Image 153011 : Lynched - but only as a trick.
Joseph Ovette of Ottawa allowed himself to be lynched by a crowd of Fort Erie, Canada, but only to demonstrate one of his latest "stunts" - for he is a professional magician.
Ovette allowed himself to be tied in a chair, then a noose was slipped round his neck and his body drawn into the air.
From this dangerous position he released himself from the noose and the bonds and dropped safely to the ground.
Photo shows: Ovette freeding his neck from the noose after releasing the bonds which bound him to the chair.
US PN.g.
[copyright by Sipho]
- Image 153012 : Surprise entry in Canada's Baby Derby.
Has Leading Position.
Although separated from her husband in 1931, a ruling that unwed mothers and those separated from their husbands are eligible to compete has made Mrs. Pauline Mae Clarke a surprise entrent in the unusual £100,000 Canadian baby "derby". Mrs. Clarke is declared to be the mother of 10 children, born since 1926, all said to be properly registered.
She is now a leading contender for the fortune left by Charles Vince Miller, who left £100,000 to the woman giving to the most children in the first ten years after his death. Photo: Mrs Pauline Mae Clarke walking in a Toronto street with one of her sons.
US September 28th 1936 PN.g.
[copyright by Sipho]
- Image 153013 : Canadian and his nurse in England before flying round the world.
Mr. Henry F. McLean, a wealthy 56-year-old Canadian contractor of Merrickville, Ontario, and his nurse, 25-year-old Inez Atkinson, are in London after having suddenly decided when travelling over on the liner "Carinthia" to fly round the world. Mr. McLean proposed the flight to Nurse Atkinson, who agreed, and then he asked the purser to map out a route.
This will take them to France, Italy, Egypt, India, Siam and Singapore, Hongkong, the Philippines, Honolulu, San Fransisco, Dallas (Texas) and New York. The trip for two starting from Southampton, will cost Mr. McLean £1,000 or more.
Mr. McLean left his home intending to come to England for a week or two's holiday - he has been suffering from nerves.
He is very fond of flying and has three planes of his own In Canada.
Photo shows: Mr. Henry F. McLean and Nurse Inez Atkinson leaving their hotel in London.
AP May 16th 193(9?) PN.g.
[copyright Planet News Ltd]
- Recrutement dans l’armée japonaise, 1935-1942. - 7 photos
- Recrutement de monitrices auxiliaires couturières et lingères à l'Ecole professionnelle de Paris : 1941. - 2 photos
- Recrutement et départ de travailleurs belges pour la France, 1941-1942. - 5 photos
- Récupération de matières premières : 1941-1943. - 9 photos
- Récupération de matières premières pour les besoins de l'armement : [1940]. - 2 photos
- Récupération de métaux non-ferreux : [1941]. - 3 photos
- Récupération de vieilles voitures : 1940-1942. - 5 photos
- Recyclage de produits au profit de l’économie de guerre, 1939-1940. - 8 photos
- Recyclage des ordures aux Pays-Bas, 14/9/1940. - 6 photos
- Image 137386 : In navolging van Duitsland wordt in Utrecht niets meer weggegooid of vernietigd, want alles heeft waarde. Er is niets dat ui de vuilnisemmer gaat in de kar, dat niet wordt gebruikt. Lomen en papier gaannaar de balatumfabrieken, metalen zijn voor de smeltkroes en wat helemaal geen waarde meer heeft, gaat naar Montfoort voor landophoging.
En Hollande. A l'exemple de l'Allemagne on utilise tout à Utrecht. Rien ne sort du bac qui ne soit réutilisé. Les déchets de papiers vont à la fabrique de balatum les résidus de métaux à la fonderie, rien ne se perd et chaque chose se dirige sur Montfoert pour le ré-emploi.
- Image 137387 : Een van de afdelingen van de afvaldienst te Utrecht welke perfect werkt is de "schillendienst". Een veertigtal schillenophalers heeft een gementevergunning en alleen zij halen de schillen op. Deze gaan naar de schillencentrale op de veemarkt. Het lossen van de kar.
Enlevement des épluchures à Utrecht. Ce service crée tout récemment fonctionne à la perfection. Une quarantaine de récolteurs sont autorisés à parcourir la ville et recueillent les épluchures, qui sont conduite à la Centrale, située au Marché au Bétail. Voici le chargement.
- Image 137388 : Afvaldienst te Utrecht. De boeren weten precies de tijd dat de schillen gehaald kunnen worden. Netjes in zakken verpakt gaat de zending naar de boerderij. In Utrecht mogen geen schillen meer in de vuilnisbak terechtkomen.
L'enlèvement des épluchures à Utrecht. Les paysans savent pendant combien de temps elles peuvent être conservées. Mises en sacs, elle sont expédiées à la ferme, et il a été interdit de les jeter.
- Image 137389 : Schillencentrale te Utrecht. Na aankomst van de ophalers worden de schillen gestort en in zakken verpakt. La centrale des epluchures à Utrecht. A leur arrivée, les épluchures sont mises en sacs.
- Image 137390 : Voorbeeldige afvaldienst te Utrecht. Met vorken wordt de vuilnis gesorteerd, waarna alles zijn bestemming krijgt.
En Hollande. Le service des imnmondices à Utrecht. Avec des fourches on remue le immondices dans lesquelles on trouve toutes sortes.
- Image 137391 : Utrechtse afvaldienst. Per schuit wordt na de sortering het afval vervoerd. Bovenste verdieping het metaal voor de smeltkroes en onder de lompen die bij de balatumfabriek worden afgeleverd.
En Hollande. Le service des ordures à Utrecht. N.p.m. : Les débris de métal et les objets de fer abandonnés, destinés aux fonderies. En dessous les déchets de papiers qui iront à la fabrique de balatum.
- Rédaction et Imprimerie de Het Algemeen Nieuws, 1/1944. - 11 photos
- Rédaction et imprimerie de L'Indépendance Belge à Londres, 1940-1945. - 10 photos
- Reddition de l’Allemagne aux Pays-Bas, 4/1945. - 1 photo
- Redressement économique de la Belgique, 1940. - 6 photos
- Référendum Haute-Silézie : avril 1921-mai 1921. - 6 photos
- Refonte des statues à Paris : 1941. - 2 photos
- Réfugiés / Rapatriés, [1939]. - 4 photos
- Réfugiés : 1940. - 10 photos
- Réfugiés allemands des Sudètes : septembre 1938. - 18 photos
- Réfugiés allemands et italiens de Yougoslavie : avril 1941. - 3 photos
- Réfugiés belges de l'exode, 5/1940. - 64 photos
- Image 887 : La Croix-Rouge veille sur les enfants. Des relais sont dressés en plein vent.
- Image 888 : Après l'invasion de la Belgique. Voici une triste scène de l'exode de la population belge vers la France. [Meurisse - Mondial - Rol] [Visa de censure]
- Image 889 : Réfugiés. [Foto Van Eyck]
- Image 890 : Marchand appareil, d'où photo. [Photo Achille] (Don Delattre - Houdeng)
- Image 891 : Réfugiés devant la gare de Bruges en 1940. [Foto Van Eyck]
- Image 892 : Quo vadis ! Notre fuite en 1940 en France. (A. Fognoul - Faymonville)
- Image 893 : [Aucune indication]
- Image 894 : "Solitude" à Grez-Doiceau. Nuit d'épouvante du 15 au 16 mai 1940. Solitude détruite. Papa & Maman Levy-Moncheur dans la cave pendant le bombardement, miraculeusement échappés à la mort. (Léon Levy-Moncheur)
- Image 895 : Bruxelles. De nombreux réfugiés des régions frontières arrivent dans la capitale.
[Photo Le Lynx]
- Image 896 : [Imperial War Museum]
- Image 897 : Vlucht mei 40.
- Image 898 : Vlucht mei 40. (K Legermuseum)
- Image 899 : Vlucht mei 1940. (K. Legermuseum)
- Image 900 : Exode de la population belge. [Trampus] [Sipho]
- Image 901 : Exode de la population belge. [Sipho]
- Image 902 : Bombardement. On 15 May the B.E.F. evacuated Louvain, Which was subjected to terrific shell fire. The picture is only one of hundreds similar scenes as the exhausted refugees hurriedly left their homes taking with them just what they could snatch of their personal belongings.
- Image 903 : Vluchtelingen mei 40. (K. Legermuseum)
- Image 904 : Exodus 1940.
- Image 905 : Après l'invasion de la Belgique. Voici la population belge sous le bombardement allemand durant l'exode vers la France.
[Meurisse - Mondial - Rol] [Visa de censure] [Sipho]
- Image 906 : Flüchtlinge kehren in einem franz. Grenzort nach dem Einmarsch deutscher Truppen wieder zurück. [PK - Huschee - Atlantic] [Sipho]
- Image 907 : Femmes et enfants de Belgique, fuyant l'invasion allemande, arrivent à Paris par la voie ferrée et par la route.
- Image 908 : [Meurisse - Mondial - Rol]
- Image 909 : Mai 1940: une grande partie de la population civile fuit l'envahisseur (photographie prise à Ostende). [Institut Belge d'Information et de Documentation]
- Image 910 : Von Engländern zerschossener Flüchtlingswagen an der Oyne-Brücke vor Gravelines. / Une voiture de réfugiés belges comme on en vit des milliers le long des grands-routes, près du pont d'Oye près de Graveline. [Atlantic] [Sipho]
- Image 911 : The pictures show refugees leaving a shattered French town carrying their belongings
- Image 912 : [Commission des Publications de des Spectacles - Ministère de l'Intérieur] (refusé)
- Image 913 : German bombs on Belgium. Belgian soldiers and refugees well down in a dirch during enemy air attacks on one of the roads.
- Image 914 : La tasse de café et la tartine de la Croix-Rouge. [Commission des Publications de des Spectacles - Ministère de l'Intérieur] (refusé)
- Image 915 : Un aveugle dans les ruines d'une ville belge. [Agence Trampus - Paris]
- Image 916 : Belgische Flüchtlinge nach der Kapitulation in einem Dorf bei Gent. [PK - v.Mausen - Atlantic] [Sipho]
- Image 917 : Vluchtelingentrein in station van Moeskroen (mei 1940). (Photo Gregorius)
- Image 918 : Exodus 1940 (Terugkeer vluchtelingen).
- Image 919 : En colonnes sans fin, les populations civiles en fuite.
- Image 920 : Terugkeer naar België. (Photo Gregorius)
- Image 921 : [Aucune indication]
- Image 922 : Exodus 1940.
- Image 923 : Vlucht mei 40: Rogierplein te Brussel. (AMSAB)
- Image 924 : [Atlantic] [Sipho]
- Image 925 : [Aucune indication]
- Image 926 : Grote Markt te 's Gravenbrakel. Tijdens de doortocht van de Franse troepen verschijnt een Duits vliegtuig dat het konvooi onder schot neemt (mei 1940).
(Foto Gregorius)
- Image 927 : Réfugiés, mai 1940
- Image 928 : Grote markt te 's Gravenbrabel. De auto van de fotograaf die ternauwernood aan de vernieling door brandbommen ontsnapte. Op de voorgrond enkele brandende sintels afkomstig van een van de door het Duitse vliegtuig afgeworpen brandbommen (mei 1940). (Photo Gregorius)
- Image 929 : Dans la fuite éperdue, bébé n'a pas été trop malmené.
[Commission des Publications de des Spectacles - Ministère de l'Intérieur] (refusé)
- Image 930 : [Imperial War Museum]
- Image 931 : Barbaran en France, 27 juillet 1940. (Charles Reumont)
- Image 932 : Barbaran en France, 21 juillet 1940. (Charles Reumont)
- Image 933 : Charles Reumont avec trois malades du sauna de... à Barbaran en France. (Charles Reumont)
- Image 934 : Sur une charrette, quelques hardes, des enfants... [Commission des Publications de des Spectacles - Ministère de l'Intérieur] (refusé)
- Image 935 : Des touristes? Si ce n'était les visages crispés et le chien que l'on n'a pas voulu abandonner
- Image 936 : Un pauvre sourire encore [Publication autorisée]
- Image 937 : [Commission des Publications de des Spectacles - Ministère de l'Intérieur] (refusé) [Actualit]
- Image 938 : Barbaran en France, 21 juillet 1940. (Charles Reumont)
- Image 939 : Funérailles d'un réfugié belge à Barbaran en France (juillet 1940). (Charles Reumont)
- Image 940 : Réfugiés belges en France en 1940. (Archives journal "Le Soir")
- Image 941 : Sur ce camion sont réfugiés tous les habitants d'un petit village de Belgique. (Match 23/5/1940)
- Image 942 : [Commission des Publications de des Spectacles - Ministère de l'Intérieur] (refusé)
- Image 943 : [Aucune indication]
- Image 1055 : Enghien 16 mai 1940. Extrémité de la Rue de Bruxelles après le bombardement
- Image 1056 : [Aucune indication]
- Image 1057 : Vluchtelingen keren huiswaarts, let op de witte vlag op het Belgisch bevoorradingsgetrek. (Foto Stefaan De Meyer)
- Image 1058 : Belgische Flüchtlinge, die in die Heimat zurückkehren, warten auf dem Marktplatz von Gent auf eine Möglichkeit mitzufahren. [PK - Portsche - Atlantic] [Sipho]
- Image 1522 : [Aucune indication]
- Image 1523 : [Aucune indication]
- Image 7452 : Gift G. Jansseune (Oostduinkerke). Foto G. Mortier (Westende).
- Réfugiés belges et Service central des Réfugiés en Grande-Bretagne, 1942. - 8 photos
- Réfugiés en Roumanie : personnes de souche allemande de Bessarabie au camp de Galatz, 1940. - 10 photos
- Réfugiés espagnols accueillis en Belgique en vacances à Sète, [1939]. - 6 photos
- Réfugiés espagnols aux Pays-Bas, [1937]. - 3 photos
- Réfugiés espagnols dans différents pays, [1937-1939]. - 8 photos
- Réfugiés espagnols en France : [1933]. - 2 photos
- Réfugiés espagnols en Italie, [1937]. - 2 photos
- Réfugiés et immigrés en France : 1932-1937. - 4 photos
- Image 51715 : Canadien reaches Paris after capture by Spanish Rebels - two killed in attack. Mr. James Minifis, a Canadien, is now safe in Paris after having been captured in No Man's Land outside Madrid by Spanish rebel forces. Mr. Minifie was making a tour of inspection of the uncertain front line when ha was attacked by insurgent troops. The chauffeur of his car and another Spaniard were killed by the hail of bullots. Photo shows : Mr. James Minifie on his return to Paris. [Sipho].
- Image 51717 : Mrs. Edith Dahl, wife of the American airman who was sentenced to death in Spain and then reprieved by General Franco's orders, is to travel to Salamanca by car in the hope of seeing General Franco and the bringing her husband away. Mrs. Dahl will not avail herself of Jim Mollison's offer to fly her to Salamanca, as she thinks it is wiser to go by car. Mrs. Dahl is now waiting in Paris for a visa for Spain. Photo shows : Mrs. Edith Dahl photographed in Paris. Paris. October 12th 1937. [Sipho].
- Image 51719 : Les chinois de Paris. Aux portes de Paris sur les bords de la Seine ou les bâteaux mouches prennetn à leurs yeux reveurs la silhouette des jonques de leur pays, des chinois vivant en communauté. Les fils du celeste emoire sont ordonnés, paisibles et laborieux. Ils ont crée près de Paris un véritable village chinois, même une école avec un instituteur chinois qui permet aux enfants de rester de vrais chinois. Tout près est l'usine ou ils travaillent, une véritable babylone industrielle ou l'on rencontre des représentants de différentes patries et ou l'on entend parler divers dialectes. Ce sont des exiles, heureux, car, ils conservent jalousement leurs coutumes et leurs moeurs. La classe des petits. Paris. [© Actualit].
- Image 51721 : Un mariage gitan sur la "Zone" Parisienne... Les fils d'un diamantaire du Cap, John Schmidt (19 ans) a épousé belon le rite gitan une jeune romani de 17 ans; Valentine Valdès, aux beaux yeux noirs. La cérémonie s'est déroulée sur la "zône" de Paris au domicile des parents de la jeune mariée, qui sont chaudronniers. La jeune Mme. John Schmidt (au centre) photographiée avec sa famille après le mariage. Paris. 2.2.1939. [The New York Times].
- Réfugiés grecs en Bulgarie. - 1 photo
- Réfugiés hongrois de Yougoslavie : 1941. - 2 photos
- Réfugiés juifs au camp de Diepoldsau, 25/8/1938. - 2 photos
- Réfugiés juifs (Belgique) : 1933. - 4 photos
- Réfugiés juifs en Belgique, 1938-1939. - 19 photos
- Image 36389 : La fin du voyage des "Juifs errants" sur le St. Louis. Ce navire qui depuis 2 mois vogue à travers le monde avec son chargement de réfugiés juifs est arrivé ce matin à Anvers. Le "Saint-Louis" prêt à l'accostage : 17/6/1939.
- Image 36391 : La fin du voyage des "Juifs errants" sur le St. Louis. Le navire qui depuis 2 mois vogue à travers le monde avec son chargement de réfugiés juifs est arrivé ce matin à Anvers. Des membres de l'équipage font la salut hitlérien : 17/6/1939.
- Image 36396 : Le "Saint-Louis" à Anvers. Une petite famille bien heureuse de pouvoir prendre pied à terre de la Belgique hospitalière. 18/6/1939
- Image 36398 : Le "Saint-Louis est amarré à Anvers". Hissés sur le plu haut des ponts les passagers par signent mais sans un cri agitent leurs mouchoirs ou la main, en reconnaissant un compatriote dans la foule massée dans les vieilles rues du Port au-delà des Hangars : 18/6/1939.
- Image 36399 : Le "Saint-Louis" à Anvers. Après, 4 heures d'attente le sort est décidé pour les 250 passagers qui seront reçus en Belgique, mais pendant les longues heures d'attente jeunes et vieux attendent patiemment leur tour et leur sort : 18/6/1939.
- Image 36402 : La fin du voyage des "Juifs errants" sur la St. Louis. Le navire qui depuis 2 mois vogue à travers le monde avec son chargement de réfugiés juifs est arrivé ce matin à Anvers. Des membres de l'équipage font la salut hitlérien : 17/6/1939.
- Image 36403 : Le Saint-Louis à Anvers.
L'on prépare la passerelle par où les 250 réfugiés qui seront agréés par le comités Belge et après accord entre eux les conduira à terre pour y passer encore bon nombre de formalités telles que la douane et le transport à Bruxelles par chemin de fer : 18/6/1939.
- Image 36406 : Les premier débarquement commence comme le montre notre photo sous la vigilance de la Police d'Anvers et des gendarmes et douaniers : 18/6/1939.
- Image 36409 : Le "Saint-Louis" à Anvers. Les petits bagages emportés avec eux sont visités par les douaniers complaisants, après ils sont dirigés en groupes vers le train qui les emportera vers Bruxelles ou ils attendront leur nouveau sort : 18/6/1939.
- Image 36412 : Le "Saint-Louis" à Anvers. Une compatriote venu expressément d'Allemagne, pour causer à un parent est gentiment invité à vider les lieux par un garde de la marée-Chaussée Belge : 18/6/1939.
- Image 36414 : Le "Saint-Louis" à Anvers. Tous les bagages des passagers sont descendus à terre, la raison étant que le "Saint-Louis" devra appareiller le lendemain pour New-York. ... au moyen de grand filet les bagages sont descendus à terre : 18/6/1939.
- Image 36417 : Le "Saint-Louis" à Anvers. Les bagages sont entreposées sous le hangar 18, et cela par groupe, ceux pour la Belgique pour la Hollande pour la France et l'Angleterre sont mis en ordre pour être remontés à bord des bateaux qui les transporteront avec leurs propriétaires pour la destination qui leurs sera donnée. Bon nombre de bagages portent encore les étiquette de séjour à la Riviera : 18/6/1939.
- Image 36420 : Le "Saint-Louis" à Anvers. Sous l'oeil des gendarmes et de la police belges les refugiés montent en voiture à destination de Bruxelles : 18/6/1939.
- Image 36422 : Les réfugiés israélites du "St-Louis" en Belgique. Le bâtiment principal du domaine de Marneffe, ancienne propriété des Jésuites français où seront hébergés les Israélites allemands, pour y apprendre un métier manuel. Le personnel d'aménagement y est déjà installé, (trente personnes).
- Image 36424 : Le problème des refugiés israélites. L'aide apportée par la Belgique se fait aussi active qu possible. Notamment il a été mis à la disposition des réfugiés 2 pavillons à la Colonie de Rééducation de Merkxplas. Un des pavillons mis à la disposition des réfugiés : 1/12/1938.
- Image 36427 : Le problème des réfugiés Israélites. L'aide apportée par la Belgique se fait aussi active qu possible. Notamment il a été mis à la disposition des réfugiés 2 pavillons de la Colonie de Rééducation de Merksplas. L'école fermière, la leçon d'épandage du fumier : 1/12/1938.
- Image 36429 : Le problème des refugiés israélites. L'aide apportée par la Belgique se fait aussi active que possible. Notamment, il a été mis à la disposition des réfugiés deux pavillons de la Colonie de Rééducation de Merksplas. Les réfugiés apprenant la menuiserie : 1/12/1938.
- Réfugiés Lituaniens : [1940-1945]. - 1 photo
- Réfugiés norvégiens à la frontière suédoise : [...-1945]. - 1 photo
- Réfugiés polonais : octobre 1939. - 6 photos
- Image 68648 : En Pologne, la population qui avait fuit devant l'ennemi regagne ses pénates.
La guerre est passée par là, il ne reste plus qu'un tas de ruines.
Une famille de paysans polonais retrouvant leur ferme; ce ne sont plus que des murs calcinés. Le cheptel est mort. Toute vie de labeur est annihilée. 25.X.1939.
- Image 68653 : Von Polen zerstört. Volksdeutscher kehrt zurück und findet sein Anwesen als Trümmerhaufen.
Das war einmal das Innere eines Bauernhauses. Jetzt stehen die Bewohner vor Ruinen.
Destroyed by the Poles. Returning German Inhabitant is finding his home in ruins.
This was once the interior of a farm house, now there are only ruins. 21.XI.1939.
- Image 68655 : Englünder besuchten deutsche Flüchtlinge.
Einige englische Journalisten hatten Gelegenheit, die Flüchtlingslager, in denen die Aus Polen vor Mord und Totschlag geflüchteten Volksdeutschen vorläufig untergebracht sind, zu besucher. Mit eigenen Augen konnten sich die Briten von dem polnischen Terrors, der mit grösster Rohheit an unschuldigen Frauen und Kindern verübt wurde, überzeugen. Gleichzeitig konnten sie sich einen Einblick in die Glaubwürdigkeit ihres Premierministers verschaffen, der bekanntlich in seiner letzten Parlamentsrede die polnischen Greuel glatt abgeleugnet hat. Man darf gespannt sein, ob die englischen Journalisten nun den Mut haben, ihre Eindrücke aus den Flüchtlingslagern wahrheitsgetreu zu schildern oder ob wenigstens diese Aufnahmen in der englischen Presse erscheinen. Aber wahrscheinlich wird keines von beiden eintreten, wenn sich auch England auf seine vielgerühnte Pressefreiheit eine Menge einbildet.
U.B. zeigt einen englischen Journalisten im Gesprach mit einer aus Polen geflüchteten volksdeutschen Frau. 2.IX.1939.
- Image 68657 : Gnesen German again.
German fugitives from Gnesen, returning to their homes, are welcoming with enthusiasm their liberators.
- Image 68659 : Les membres des minorités allemandes de Pologne regagnent leur foyer.
Une famille quittant la gare de Charlottenburg.
- Réfugiés russes en Lituanie : 1944. - 3 photos
- Réfugiés, sinistrés, victimes civiles : divers : 1944. - 42 photos
- Image 74443 : Höhlenmenschen von USA.-Gängsters-Gnaden. In dieser nicht mehr als Behausung anzusprechenden Schutthütte übernachteten vier überlebende in der ersten Woche. [S.S.P.K. - LANGNER - 22.7.1944. [Sipho].
- Image 74445 : Höhlenmenschen von USA.-Gängsters-Gnaden. Bombentrichter an Bombentrichter bis zum Eisenbahndamm und im Hintergrund die durch 2 Treffer beschädigte Eisenbahnbrücke über die Seine. [S.S.P.K. - LANGNER]. [Gesperrt ? ].
- Image 74448 : Höhlenmenschen von USA.-Gängsters-Gnaden. Bombentrichter an Bombentrichter bis zum Eisenbahndamm und in Hintergrund die durch 2 Treffer beschädigte Eisenbahnbrücke über die Seine.
Sipho.
- Image 74450 : Höhlenmenschen von USA.-Gängsters-Gnaden. Mühsam werden aus den Häusertrümmern brauchbare Holz- und Eisenteile herausgeklaubt. [GESPERRT. F.-Luftgaukdo. Belg./Nordfr. 21.7.1944].
- Image 74452 : Höhlenmenschen von USA.-Gängsters-Gnaden. Die überlebende Bevölkerung versucht aus den Trümmern soviel wie möglich an Baumaterial zur Ausstattung ihrer Felsenunterkunft herauszuarbeiten. [S.S.P.K. - LANGNER - 22.7.1944]. [SIPHO].
- Image 74454 : Nouveau bombardement de la région Parisienne par les anglo-américains. Quelques instants après le bombardement une vieille ferme est dégagée des décombres et reçoit l'assistance des jeunes des équipes nationales. D.N.P. R.H. 1.8.1944. [Sipho].
- Image 74457 : La population des villes cotières de la Normandie fuit devant l'envahisseur.
De bevolking van de kuststeden van Normandië vluchten de aanvaller. [Sipho]. 17.6.1944.
- Image 74459 : La population des villes côtières de la Normandie fuit devant l'envahisseur.
De bevolking van de kuststeden van Normandië vluchten voor de aanvallers. [Sipho].
- Image 74461 : La population des villes côtières de la Normandie fuit devant l'envahisseur. De bevolking van de kuststeden van Normandië vluchten voor de aanvallers. [Sipho].
- Image 74463 : La population des villes cotières de la Normandie fuit devant l'envahisseur.
De bevolking van de kuststeden van Normandië vlucht voor de aanvallers. [Sipho].
- Image 74466 : Sous de des "liberateurs". Cette image nous montre la soufirance dans les villes françaises détruites par l'invasion.
Onder de Geesel der "Bevrijders". Dit beeld toont het lijden in de door de invasie verwoeste streken. [Sipho].
- Image 74467 : Auf der Flucht vor den Engländern und Amerikanern. Die Zivilbevölkerung und die Nonnen verlassen mit ihren Habseligkeiten eine Stadt an der Invasionsküste. PK-Aufn., Kriegsber. : Hähle/Atl., 10.6.1944/Schu. E.M. [Atlantic]. [Sipho].
- Image 74468 : Sur la fuite devant les "libérateurs". La population des villes cotières normandes quitte ses habitations avec quelque hardes afin de se mettre en sécurité vers l'arrière. Photo D.N.P. PARC. 13.6.1944. [Sipho].
- Image 74469 : La population des villes de la côté noramnde cherche à se sauver de la zone des combats et à trouver un peu de sécurité vers l'arrière. Photo D.N.P. ? 12.8.1944. [Sipho].
- Image 74470 : Sur la tête de Poet anglo-américaine de l'embouchure de l'Orne. Sauvant le pau qui leur reste, devant leurs envahisseurs les populations normandes fuient vers l'intérieur du pays.
Op het anglo-amerikaanse bruggehoofd van de Ornemonding. De normandische bevolking die voor de aanvallers vlucht redt het weinige dat van haar bezit overblijft. [Sipho].
- Image 74471 : A l'Est de l'embouchure de l'Orne. Les habitants de la côté Normande fuient les "libérateurs";
Ten Oosten van de Ohne monding. De bewoners van de kuststreek verlaten hun woningen en vluchten voor de "bevrijders". [Sipho].
- Image 74472 : L'invasion en Normandie. Les paysans normands, dont les fermes et les hangars ne forment plus que des tas de ruines souvent calcinées, essayent de sauver ce qu'ils peuvent et acheminent leur bétail vers l'intérieur du pays.
De invasie in Normandië. De normandische boeren, wier hoeve nog slechts verkoolde puinhopen zijn, trachten te redden wat nog te redden is, en drijven hun vee naar veiliger oorden. 25.6.1944.
- Image 74473 : Mord und Terror über den besetzten westgebieten. Statt den westeuropäischen Völkern die ? , versprochene "Befreiung" zu bringen, schickte der anglo-amerikanische Feind Europas seine Mordbomber über französische, belgische und holländische Städte und Dörfer. Er mordete hier Frauen, Kinder, zerstörte Wohnugen und vernichtete unsersetzliche Kulturwerte. Hilfsmannschaften eilen herbei, um Tote und Verwundete zu bergen. PK-Kurth - A 129 619 Orbis E. M. [Sipho].
- Image 74474 : Sous le des "libérations". Cette image nous montre la souffrance dans les villes détruites par l'invasion.
Onder de gesel der "bevrijders". Dit beeld toont het lijden in de door de invasie verwoeste streken. 29.6.1944. [Sipho].
- Image 74475 : En Normandie. La normandie est redevenu un champ de bataille où villes et villages ne ont plus qu'un tas de ruines que fuient la population avec ce qu'elle a pu sauver.
In Normandië. Normandië is een gevechtsveld geworden waar steden en dorpen nog slechts eenhoop puinen zijn, de welke de bevolking verlaat met hetgeen zij nog kon redden. [Sipho]. 28.6.1944.
- Image 74476 : En Normandie. Ceux-ci ne sauvent devant l'invasion et ont hissé un drapeau blanc sur leur charette espérant ainsi se proteger des attaques en piqué des aviateurs anglais.
In Normandië. Deze vluchten voor de invasieen hebben een witte vlag op hun kar gestoken, hopende zich aldus voor een aanval in duikvlucht van de engelse vliegers te beschermen. [Sipho]. 28.6.1944.
- Image 74477 : Kampfraum Carentan. Alle Dörfer und Städte des Kampfabschittes liegen unter dem Feuer enlgischer Schiffsgeschütze oder Bomben. Die wehrlose Zivilbevölkerung flüchtet aus den Zonen der Küste, um zich in das von deutschen Truppen gesichen Hinterland zu retten. SS-PK-Moscidlo - Orbis E. M. [Sipho]. 26.6.1944.
- Image 74478 : Sous le joug des "liberateurs". Cette image nous montre la souffrance dans les villes françaises détruits par l'invasion.
Onder de geesel van de "bevrijders". Dit beeld toont het lijden in de door de invasie verwoeste streken. [Sipho]. 27.6.1944.
- Image 74479 : Sur la ? . Le travail de destruction des "Libérateurs" anglo-américaine. La barbarie et la des anglo-américains ont atteint leur plus haut point lors des raids terroristes contre les populations civiles au cours du combat qui se déroule en Normandie durent les bombardements quotidiens ? des villes de la cote ont été réduites en grande partie en reines et au cendres et la population par centaines enfouis sous les déconbres. Photo D.N.P. PARC. 21.6.1944.
- Image 74484 : "Les libérateurs" étaitent la ? Toutes les mains emballent pour sauver ce qui reste encore a sauver. Photo D.N.P. PAR 25644. 2.7.1944.
- Image 74485 : Le sort des refugiés en Normandie. Ils ne connaissent pas encore leur but définitif et attendent au milieu de leurs quelques hardes qu'ils ont pu sauve par bonheur. Il s'y trouve quelques poules.
Het lot van de vluchtelingen in Normandië. Zij hebben nog geen bepaald doel, en wachten te midden van het geen zij konden redden, waar zich per geluk enige kiekens bevinden. [Sipho].
- Image 74487 : Die "Bereier" und die Befretien (dazu Wortbericht) Bild 4
Mit einer Schiebkarre können viele Bewohner der Normandie das wagfahren, was die Bomben der Anglo-Amerikaner, ihrer "Befreier", ihnen von der langen Arbeit eines Lebens übrig liessen. Wenne es noch soviel ist, haben sie noch Glück gehabt. Foto : PK-Kempe/Transocean-Europapress (G). 13.7.1944.
Sipho
- Image 74488 : Mord und Terror über den besetzten Westgebieten. Statt den westeuropaïschen Völkern die heuchlerischversprochene "Befreiung" zu bringen, schickte der anglo-amerikanische Feind Europas seine Mordbomber über französische, belgische und holländische Städte und Dörfer. Er mordete hier Frauen, Kinder, zerstörte Wohnungen und vernichtete unsersetzliche Kulturwerte. Der Brister aus der betroffenen Gemeinde schaufelt mit einer ganzen Kolonne die Gräber für die vielen Todesopfer des feind. Luftangriffes. PK-Müller - A 129 620 Orbis E. M. [Sipho]. [Propaganda Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. 18.7.1944.
- Image 74489 : Die Schlacht in der Normandie. Die Landstrassen in der Normandie sind bevölkert von ausgebombten Franzosen. Sindlos haben die engl. und amerik., Terrorbmber die militärische belanglosen Städte zerstört, tausende von Franzosen gemordet und abertausen obdachlos und bettelarm gemacht. DK-Rieder - Orbis 5 E.M. [Sipho]. [Propaganda Abteilung Belgien : Zenzurstelle Bildpresse]. 27.7.1944.
- Image 74490 : Allierte Legitimationen an die Zivilverbevölkerung in Frankreich. Alle fransösischen Civilpersonen in den von den allieerten Truppen eroberten Gebieten in Frankreich erhalten zwecks besserer Kontrolle besondere Legitimationen. Bild zeigt Zivilpersonen, auch Jugendliche, beim Empfang ihrer Ausweise. PHOTO PRESSENS BILD A.B., STOCKHOLM 1, SCHWEDEN. [Sipho].
- Image 74491 : Des relais sont établis sur les routes où les réfugiés trouvent écrits à la main des nouvelles des disparus et des renseignements sur des réfugiés passés précédement dans la localité.
D.N.P. René Henry. 24.7.1944 N° 21. [Sipho]. 3.8.1944.
- Image 74492 : Un sinistré blessé sur la route vient de succomber. Il est mené au cimetière d'un petit village de Normandie.
Een gekwetste vluchteling is onderweg gestorven. Hij wordt naar het kerkhof van een klein normandisch dorpje gebracht. [Sipho].
- Image 74494 : Auf der Flucht vor den "Befreiern". Tausende von Fluchtlingen ziehen mit ihrer Habe aus de Kampfgebiet ins Hinterland. PK-Koll - Orbis E.M. [Orbis]. 16.8.1944. [Sipho].
- Image 74495 : Dans les départements de repliement nos réfugiés recoivent partout ? . Voici une famille d'Eure-et-Loir. D.N.P. René Henry N° 43. 17.8.1944.
- Image 74496 : Normandische Tragödie. Die blühenden Städte und Dörder der Normandie sanken unter den vielen tausend Tonnen Bomben und Granten der Anglo-Amerikaner in Schutt und Asche und mit ihnen viele tausend Menschen der französischen Zivilbevölkerung. Die Flüchtlinge geistern durch die Trümmer und fluchen ihren "Befreiern". Foto: PK-Zimmerman/Transocean-Europapress (G). 22.7.1944.
[Sipho].
19.8.1944.
- Image 74498 : Sur le front de Normandie. Ces réfugiés d'Avranches ont quitté leur ville dévastée et rendue inhabitable par suite des violents bombardements de l'aviation anglo-américaine et se sont installés dans une étable, dans la campagne environnante. [Sipho].
- Image 74499 : Ostwärts der Orne. Wie in den meisten europaäischen Städten, vernichteten die Lufthunnen auch hier, wo sie als "Befreier" kommen wollen, wahlos alle Bauten, mögen es Wohnhäuser oder Kirchen sein. Mit den letzten Einwohern einer Gemeinde zieht dieser französische Priester nach den südlichen Provinzen, nach dem auch seine Kirche Opferder anglo-amerikanischen Bomben wurde.
[Veröffentlichung nur unter SS-Kriegsberichter Mielke]. [Sipho]. [Orbis-Photo].
- Image 74500 : Anglo-amerik. Luftterror über Nordfrankreich. Seit Beginn der Invasion wird der angl-amerikanische Bombenterror über Nordfrankreich in och gesteigertem Kasse fortgesetzt. Die Folgen hat in erster Linie die französische Zivilbevölkerung zu tragen. Unmählige Tote werden aus den Trümmern geborgen. Foto : PK-Casper/Transocean-Europapress (G) 5.7.1944. EM.
[Sipho].
- Image 74501 : Mord und Terror gegen die Zivilbevölkerung. So sieht die "Befreiung" durch die Agressoren aus. Sie brchten über französischen, belgischen und ? Land nur Elend und Zerstörung mit ihren Mordbombern und ernteten so nur Wass und Verachtung.
Deutsche Soldaten, Greise und Priester alle helfen gemeinsam Verschüttete aus den Trümmern zu bergen. PK.-Aufn.-Kriegsber. Müller/Atl. 12.7.1944. [Sipho].
- Image 74502 : BRITISH OFFICIAL PHOTOGRAPH No. B. 6248 (XT)
WAR OFFICE, PHOTO - CROWN COPYRIGHT RESERVED.
Picture ussued July 1944.
French A.T.S. arrive in Normandy. Among the first contingent of French A.T.S. to return to their country are many who had left France after the armistice, others, from all pants of the world, have come back as a part of the civil affairs staff to assist in the welfare and care of french refusées and sick. Another of their jobs will be arranging new homes for these who have suffered by the war.
Picture shows : Miss G. Vabre, who was in the West Indies in 1940, joined the French A.T.S. in 1942. She is seen embracing a little girl she wet in the grounds of her billet at Bayeux. [Keystone Press Agency].
- Image 74503 : Nord und Terror gegen die Zivilbevölkerung. so sieht die "Befreiung" durch die Agressoren aus. Sie brachten über französischen, belgischen und -Land nur Elend und Zerstörung mit ihren Mordbombern und ernteten so nur Wass und Verachtung. Deutsche Soldaten, Graise und Priester alle helfen gemeinsam Verschüttete aus dem Trümmern zu bergen.
PK.-Aufn.-Kriegsber. Müller/Atl., 12.7.1944.
[Atlantic]. [Sipho].
- Image 74597 : Passed by Censor No. 325894.
In the town of Isigny. 16.6.1944.
Photo shows : Children playing with debris blown out of City Hall. U.S. POOL/LIFE/SCHERSCHEL/HEL. 480299.
[Keystone].
- Réfugiés slovaques : septembre 1938. - 1 photo
- Réfugiés tchèques : 1938. - 10 photos
- Réfugiés tchèques à Paris : 1939. - 3 photos
- Réfugiés venant de l'est de la France à Paris : 1938. - 1 photo
- Réfugiés yougoslaves pendant le combat des partisans, 11/1943. - 4 photos
- Image 64449 : Flucht vor den "Befreiern".
"Freiheit des Volkes". Unter dieser Parole geben die Banditen vor zu kämpfen. Die Bevölkerung, die am meisten unter dem Terror der plündernden und mordenden Banden zu leiden hat, verlässt Haus und Hof und begibt sich in die von deutschen Soldaten besetzten Gebiete.
[?].XI.1943.
- Image 64450 : Flucht vor den "Befreiern".
"Freiheit des Volkes". Unter dieser Parole geben die Banditen vor zu kämpfen. Die Bevölkerung, die am meisten unter dem Terror der plündernden und mordenden Banden zu leiden hat, verlässt Haus und Hof und begibt sich in die von deutschen Soldaten besetzten Gebiete.
[?].XI.1943.
- Image 64451 : Flucht vor den "Befreiern".
"Freiheit des Volkes". Unter dieser Parole geben die Banditen vor zu kämpfen. Die Bevölkerung, die am meisten unter dem Terror der plündernden und mordenden Banden zu leiden hat, verlässt Haus und Hof und begibt sich in die von deutschen Soldaten besetzten Gebiete.
Das Vieh wird mitgefährt.
[?].XI.1943.
- Image 64452 : Flucht vor den "Befreiern".
"Freiheit des Volkes". Unter dieser Parole geben die Banditen vor zu kämpfen. Die Bevölkerung, die am meisten unter dem Terror der plündernden und mordenden Banden zu leiden hat, verlässt Haus und Hof und begibt sich in die von deutschen Soldaten besetzten Gebiete.
Diese Frau sagte: Lieber ohne Haus unter deutschen Schutz, als im ausgeplünderten (?? sohnsitz bei den "Befreiern", den Banden ??).
[?].XI.1943.
- Regulares dans la zone nationaliste, 1937-1939. - 3 photos
- Regulares de la force terrestre en Espagne, [1931]. - 3 photos
- Rehenier, professeur à l'université de Bruxelles : [...-1940]. - 1 photo
- Reich Arbeitsdienst : Sport, 1939. - 3 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmaiden : Aide sociale : Divers, 1941-1944. - 18 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmaiden : Aide sociale : Reportage sur une arbeitsmaid donnant des cours dans une école de campagne, 1943. - 13 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmaiden : Assistance à l’agriculture : Divers, 1940-1944. - 62 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmaiden : Assistance à l’agriculture : Reportage sur les chapeaux de paille portés par les Arbeitsmaiden, 1942-1944. - 8 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmaiden : Assistance à l’agriculture : Reportage sur une arbeitsmaid travaillant pour un meunier, 1944. - 8 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmaiden : Camps d’hébergement des arbeitsmaiden, [1940-1945]. - 30 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmaiden : Contribution à l’effort de guerre dans l’industrie, 1943-1944. - 15 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmaiden : Divers, 1942-1944. - 12 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmaiden : Loisirs, [1944]. - 11 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmaiden : Sport, 1940-1944. - 24 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmaiden : Travaux d’utilité publique : Divers, [1941]. - 2 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmaiden : Travaux d’utilité publique : Luftwaffehelferinnen, [1944]. - 7 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmänner : Assistance à l’agriculture, 1940-1944. - 6 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmänner : Divers, 1940-1944. - 53 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmänner : Entraînement : Divers, 1942-1944. - 11 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmänner : Entraînement : Ecolage pour conducteurs de camions, 1943. - 5 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmänner : Entraînement : Ecole de ski, 1944. - 7 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmänner : Entraînement : Reportage sur la construction d’un Igloo, 1944. - 4 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmänner : Entraînement : Reportage sur l’école ‘Neuen Palas’ (Postdam), 1943. - 10 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmänner : Entretiens des cimetières militaires, [1941]. - 2 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmänner : Loisirs, 1943-1944. - 7 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmänner : Présence dans les territoires occupés en Europe occidentale, 1943-1944. - 34 photos
- Reichsarbeitdienst (RAD) : Arbeitsmänner : Sport, divers, 1942-1944. - 24 photos
- Reichsarbeitsdienst en Estonie : 1943. - 1 photo
- Reimond Speleers, ophtalmologue, professeur d'université, membre du conseil de direction du Vlaams Nationaal Verbond (VNV), 1940-1945. - 2 photos
- Reimond Tollenaere, chef de la propagande de la Ligue nationale flamande (VNV), commandant de la Milice thioise-Brigade noire (DM-ZB), officier dans la Légion flamande, 1941-1942. - 7 photos
- Reine de la Moto : [...-1939]. - 3 photos
- Reines de beauté : [...-1939]. - 26 photos
- Image 38161 : International beauty queens at Hastings. Beauty Queens from all over the Continent are gathered at Hastings in connection with carnival Week which will terminate next Saturday with the election of "Miss Europe". Photo shows : left to right , Miss Belgium, Miss France, Miss Denmark, Miss Italy, Miss Finland, Miss England, Miss Poland, Miss Spain, Miss Holland, Miss Russia, Miss Siberia, Miss Norway, Miss Germany, Miss Hungary and Miss Roumania, taking a walk along the Hastings front today. On Saturday next they will compete for the title of "Miss Europe 1934" : 3/9/1934.
- Image 38166 : Le concours mondial de beauté. Les miss américaines viennent d'arriver à Ostende venant de Douvres ou la malle prince Charles est allée les chercher. Notre photo prise en rade de Douvres nous montre de droite à gauche :
miss Costa Rica, Carmen de Peralta; miss Mexique, Beatrix Dolorès del Campo; miss Argentine, Alejandrina del Carmen Goni; miss Brésil, Yeda Telles de Meneze; Miss Pérou, Luzmilia Ribeyro; Miss Etats Unis, Helen Cant; Miss Canada, Clara Lockner; miss Panama, Nelli Misteli; miss Colombie, Aurora Gutteriez Villa; miss Antiles, Marie-Louise Armelin : 18/7/1932
- Image 38168 : Les reines de beauté, de passage à Ostende, se promènent sur la digue pendant la distribution des prix du concours d'élégance automobile : 17/7/1932.
- Image 38187 : Dans un restaurant de Paris se sont réunies les plus belles filles du monde pour un déjeuner offert par un grand quotidien. Les reines de beauté de l'Europe.
- Image 38189 : Une brochette de beautés belges en robe de printemps. Au cours d'un lunch au Claridge les miss Anvers, Liège, Bruxelles et Belgique ont été photographiées par notre opérateur.
- Image 38192 : Le mystère du Paquebot "Paris". Miss Angleterre 1935 mêlée à la disparition de l'acteur Vosper sur le paquebot Paris, participa en 1935 au titre européen de Beauté à l'Exposition de Bruxelles. Voici à cette époque de gauche à droite : miss France, miss Angleterre Muriel Oxford, miss Tchécoslovaquie, miss Espagne devenue depuis miss Europe et miss Italie : mars 1937.
- Image 38195 : Les beautés américaines sont arrivées à Ostende venant de Douvres. Notre photo montre miss Canada sur le pont de la malle "Prince Charles" avec le commandant du navire : miss Canada Clara Lockner de Montréal. 18/7/1932
- Image 38197 : Le concours mondial de beauté. Arrivée des miss américaines à Ostende. Notre photo nous montre miss Etats-Unis Helen Cant, juchée sur ses bagages et arrivant en vue d'Ostende, sur la malle "Prince Charles" : 18/7/1932.
- Image 38198 : Arrivée à Bruxelles des reines de beauté pour le concours international de beauté. Russie, Hongrie-Danube, Amérique et Mexique.
- Image 38201 : Les diverses reines de beauté élues en Europe sont actuellement à Paris, où va avoir lieu sous peu l'élection de miss Europe. Pour le moment, les gracieuses souveraines visitent la capitale. 1. Miss Belgique 1932, et miss Univers . 1931
- Image 38203 : Les reines de beauté à Ostende. Toutes les reines de beauté ont assisté ce jour au Corso fleuri d'Ostende organisé en leur honneur. Miss Allemagne se rendant au Corso fleuri.
- Image 38209 : Les reines de beauté à Ostende. Toutes les reines de beauté ont assisté ce jour au Corso fleuri à Ostende organisé en leur honneur. Une vue d'ensemble au Corso fleuri.
- Image 38211 : Les reines de beauté à Ostende. Toutes les reines de beauté ont assisté ce jour (le 20.7.1932) au Corso fleuri d'Ostende organisé en leur honneur. Le char des miss Mexique, Algérie et Antilles.
- Image 38220 : Les reines de beauté à Ostende. Toutes les reines de beauté ont assisté ce jour (le 20.7.1932) au Corso fleuri d'Ostende organisé en leur honneur. Miss France (à droite) et miss Canada (au milieu) dans leur char merveilleusement decoré.
- Image 38223 : Les reines de beauté à Ostende. Toutes les reines de beauté ont assisté ce jour (le 20.7.1932) au Corso fleuri d'Ostende organisé en leur honneur. Le char pittoresque des miss Allemagne, Danemark, Hongrie, Pérou et Panama.
- Image 38227 : Les reines de beauté à Ostende. Toutes les reines de beauté ont assisté ce jour (le 20.7.1932) au Corso fleuri d'Ostende organisé en leur honneur. Une vue d'ensemble du Corso fleuri.
- Relations diplomatiques entre la Russie et les Pays-Bas à Londres, [...-1945]. - 1 photo
- Rélations entre l'Andorre et la France pendant la guerre civile espagnole, 1936-1938. - 3 photos
- Religie in Oostenrijk: Bedevaart naar de schutpatroon van de automobilist, 1930-1945. - 2 photos
- Religion : Bouddhiste, divers, [1932]. - 2 photos
- Religion : Bouddhiste, mission bouddhiste à Frohnau, 1930. - 9 photos
- Religion : Catholique : Intronisation de Dr Jäger, archevêque de Paderborn, 1941. - 6 photos
- Religion : Catholique : Reportage sur le monastère de Ursberg, [...-1945]. - 9 photos
- Religion : Catholique : Reportage sur un couvent baroque, [...-1945]. - 6 photos
- Religion : Catholique : Reportage sur un couvent de diaconesses à Bethanien (Berlin), [...-1945]. - 13 photos
- Religion : Catholique, divers, 1930-1939. - 20 photos
- Religion : Catholique, processions, 1932-1937. - 5 photos
- Religion : Catholique, 71ème rassemblement des catholiques d'Allemagne à Essen, 1932. - 7 photos
- Religion : Découverte de catacombes sous une église viennoise, 08/12/1931. - 2 photos
- Religion : Divers, [...-1945]. - 3 photos
- Religion : Musulmane : Divers, 1942-1943. - 8 photos
- Religion : musulmane, divers, 1930. - 2 photos
- Religion : Protestante, confirmations pascales, 1931. - 4 photos
- Religion : Protestante, divers, 1931-1935. - 9 photos
- Religion : [1940-1944]. - 7 photos
- Image 71255 : La vie religieuse dans les régions ouest du Reich.
Dans les territoires libérés de la domination polonaise, la vie religieuse s'exerce sans aucune contrainte...
Photo: La foule se rendant à l'Eglise dans le village de Gnesen, Warthegau.
1944/Blühendes religiöses Leben in den Ostgauen.
Auch in den zum Reich zurückgekehrten Gebieten kann sich jetzt nach der Befreiung von den Unterdrückungsmassnahmen der Polen ein reiches religiöses Leben entfalten.
U.B. zeigt hier den Andrang zum Kirchgang in Gnesen, Warthegau. 18.III.1940.
1944/Religious life in the Eastern districts.
Eaven in the districts returned to Germany after the oppression by the Poles, a rich religious life is developping.
Church time in Gnesen, Warthegau. 18.III.1940.
- Image 71257 : Generalgouverneur Dr. Frank empfängt den ukrainischen Metropoliten.
Le général gouverneur Dr. Frank reçoit les Métropolites ukrainiens.
23.X.1943
- Image 71259 : Life in present-day Poland.
Photo shows: the interior of the famous Church of St. Mary in Krakau during services.
- Image 71260 : Life in present-day Poland.
Photo shows: the entrance to the Albertine Cloister near Zakopane. This cloister, situated amidst moutain forests, is built entirely fo wood and is evn surrounded by a wall made of wood.
- Image 71261 : Landtag der Goralen.
Hinten eine Schwebebahn, die die grossen Baumstämme von den Höhen herunterbringt - eine Haupteinnahme der Goralen.
- Image 71263 : Landtag der Goralen.
Die Männer, die die kleine Kirche nicht mehr fasst, knien während der Gebete vor der Tür nieder.
- Image 71264 : Die Oberhäupter und Bischöfe der orthodoxen Kirche protestieren gegen die Ermordnung des Exarchen von Litauen und Livland, Metropoliten Sergius, durch die Bolschewisten. Sie verlasen Erklarungen der heiligen Bischofskonzile ihrer Kirchen gegen die christentumsfeindliche Politik und verbrecherischen Methoden Moskaus.
Die Oberhäupter und Bischöfe der autokephalen orthodoxen Kirche im Generalgouvernement, der autokephalen orthodoxen Kirche in der Ukraine und der autonomen Kirche begeben sich zum Empfang bei Generalgouverneur Dr. Frank in Krakua.
21.V.1944.
- Religion antoiniste à Paris : 1930. - 2 photos
- Religion au Danemark : 1945. - 8 photos
- Image 117894 : Bild A; Der daenische Pfarrer erfreut sich im ganzen Lande grosser Beliebtheit, da er mi dem Volke lebt und seine Sitten teilt. Die Daenen sind ein volkder radfahrer, sagt man doch, dass sie schon mit dem Fahrrad geboren werden. Und jeder, ganz gleich welchen Standes er ist, benutzt das Fahrrad, um seiner Arbeitsstaette zu komen. So faehrt der Richter am Morgen mit dem Rade zum Gericht, der Schornsteinfeger zu seiner Arbeit, und selbst der daenische Koenig hat frueher auch dem Radfahr sportegehuldigt. Selbstverstaenlich benutzt nun auch der daenische Geitlihe das Rad, wenn er zu seiner geistlichen Handlung faehrt.
Sipho
300012/1
3144A
2066 42
[Autorisé pour la publication sous réserve de rappel ultérieur. Brüssel]
[A restituer après publication]
[Terug te zenden na publikatie]
[Sven Türck]
- Image 117896 : Hier faehrt der daenische Pfarrer mit dem Auto vor der schoenen Grundvigskirche in Kopenhagen vor, die man in ihrer herrlichen und echt daenischen Architektur im Hintergrunde sieht. Wahrscheinlich soll er eine Trauung vollsiehen, und der glueckliche Brautvater hat ihn aus diesem Anlass mit dem Auto abholen lassen.
Sipho
300012/2
2066 42
3/52A
[Autorisé pour la publication sous réserve de rappel ultérieur. Brüssel]
[A restituer après publication]
[Terug te zenden na publikatie]
[Sven Türck]
- Image 117897 : Bild 3. Ernsten Gedankens erwartet der XXX zum Xriedhof die Ankunft der Trauergaeste X Ursprung nicht geistlichen sondern voellig XXX ist in direkter Abkoemmling der mittelalterlX XXX steife Zylinderhut zeigt die Anpassung an die XXX
Sipho
300082/3
3/5/A
2U6642
[Autorisé pour la publication sous réserve de rappel ultérieur. Brüssel]
[A restituer après publication]
[Terug te zenden na publikatie]
[Sven Türck]
- Image 117901 : Bild 4. Hier steht der Pfarrer in stillem Gebote an dem Gebete an dem Grabe einer schon in fruehel Alter verstorbene jungen Daenin, die in der Grabstaette der Famil zur ewigen Ruhe gebettet ist.
300012/4
3153A
2066 42
[Autorisé pour la publication sous réserve de rappel ultérieur. Brüssel]
[A restituer après publication]
[Terug te zenden na publikatie]
[Sven Türck]
- Image 117902 : Bild 5. Indem er ueber den geht der daenische Pfarrer tannenumsaeumten Friedhofs
Sipho
300012/5
3/54A
[Autorisé pour la publication sous réserve de rappel ultérieur. Brüssel]
[A restituer après publication]
[Terug te zenden na publikatie]
[Sven Türck]
- Image 117904 : Bild 6. Der Konfirmantenuntericht gehoaert mit zu den wichtigsten Aufgaben des Plarrers. In Danemark finden zweimal im Jahre Konfirmationen statt, undzwar zu Ostern un im Herbst. Und hier erklaert der Pfarrer die Symbolik der Bibel unserem modernen Leben so weit wie moeglich anzugleichen.
Sipho
300012/6
[Autorisé pour la publication sous réserve de rappel ultérieur. Brüssel]
[A restituer après publication]
[Terug te zenden na publikatie]
[Sven Türck]
- Image 117906 : Bild 7. Mit allen ihren Sorgen und Freuden kommt die daenische Jugend gern zu ihren Pfarrer, der Fuer sie nicht nur der Geistliche sondern weit mehr auch ein guter Freund und Berater ist. "Auch mit diesem Problem wirst Du schon nocht fertig werden, mein Kind", sagt er hier zu dem sorgenvollen jungen Maedchen, "denn Gott verlaesst die Seinen nicht."
300012/7
[Autorisé pour la publication sous réserve de rappel ultérieur. Brüssel]
[A restituer après publication]
[Terug te zenden na publikatie]
[Sven Türck]
- Image 117907 : Bild 8. Die Konfirmation in der scho ihrem Bau der ST. Paterskirche in XXX Marmorplatten belegt ist, gehoert mit XXX kirchlichen Leben der daenischen HauX XXX.
300012/8
8 2066 42
[Autorisé pour la publication sous réserve de rappel ultérieur. Brüssel]
[A restituer après publication]
[Terug te zenden na publikatie]
[Sven Türck]
- Religion aux Etats-unis : divers, 1930-1940. - 19 photos
- Religion aux Etats-unis : Diverses églises, 1930-1940. - 7 photos
- Religion aux Etats-unis : Diverses personnalités religieuses, [1930-1940]. - 9 photos
- Religion aux Etats-unis : Festival religieux de la communauté noire à Memphis, [1930-1940]. - 3 photos
- Religion aux Etats-unis : Fêtes de Noël, 1930-1940. - 18 photos
- Religion aux Etats-unis : Membres féminins de la Légion de Dieu, [1930-1940]. - 4 photos
- Religion aux Etats-unis : Prophète américaine, Aimée Semple McPherson, 1938. - 10 photos
- Religion catholique, bénédiction du transept et du portail Saint-Eubert de la Basilique Notre-Dame de la Treille à Lille : 1938. - 3 photos
- Religion catholique en France : 1931-1939. - 35 photos
- Image 48960 : La Sainte Tunique d'Argenteuil.
Avec l'autorisation du Pape Pie XI et afin de clôturer dignement l'année sainte. La Sainte tunique sui se trouve dans l'église d'Argenteuil a été exposée dans l'église. La Sainte tunique de Trèves, Allemagne, et celle de Turin, Italie, sont les deux autre tuniques Saintes, authentiques qui existent et qui ont été exposées dans leur cathédrale respective en 1933.
Celle d'Argenteuil aurait été tissée par la Vierge Marie. Faite de laine, de couleur pourpre, elle porte encore des taches de sang et de sueur. Elle est sans couture et serait celle, dont il est parlé dans les Ecritures. Elle a été portée par le Christ sur le chemin du calvaire. Des experts de la tapisserie des Gobelins ont examiné cette tunique qu'ils ont soumise à une analyse chimique et ils estiment qu'elle a dû être tissée durant une periode qui s'étend entre l'an 200 avant Jésus-Christ et l'an 200 de notre ère.
D'après le chanoine Louis Breton, de l'église d'Argenteuil, cette tunique aurait été découverte par Sainte Hélène en l'an 300 de notre ère. Celle-ci resta à Constantinople jusqu'au 9ème siècle, lorsque l'impératrice Irène ayant besoin de soldats pour combattre le calife la présenta à Charlemagne qui, à son tour, en fit don à sa fille. Celle-ci la remit au prieuré d'Argenteuil où elle a été conservée depuis.
La Sainte tunique d'Argenteuil n'a pas été exposée depuis 1892. On lui attribue de nombreux miracles.
Les fidèles défilent devant la Sainte Tunique exposée dans une chasse.
Phot. NYT. Argenteuil le 30/3/34. Par. GL10
[Photo NYT Photo. The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Image 48961 : Le cardinal Verdier archevèque de Paris a célébré le cinquantenaire de Notre-Dame-du-Rosaire, rue de Vanves, à Paris.
Vue générale pendant la messe, à gauche Mgr. Verdier.
Phot.NYT. Paris le 10/2/35. Par. GL.15
[Photo NYT Photo. The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Image 48963 : Mgr. Pierre Riviere, nouvel évêque de Monaco est sacré à Notre-Dame de Paris.
N.p.m.: après la cérémonie; de dr. à g. le Comte de Malleville, Ministre de Monaco à Paris; Mgr. Pierre Riviere, le nouvel évêque; le Prince de Monaco; Mgr. Verdier; Cardinal, Archevêque de Paris; Mgr. Baudrillart, Recteur de l'Institut Catholique.
Photo NYT Paris Frez. 31/3/36. LB40
[Photos NYT. The New York Times. Wide World Photos]
- Image 48965 : Le dimanche des Rameaux à Paris.
N.p.m.: La bénédiction du buis à l'extérieur de l'Eglise de la Madeleine à Paris.
Photo NYT. Paris. Cam. 5/4/36. 40JL.
[Photos N.Y.T. The New York Times. Wide World Photos]
- Image 48969 : 735a
[Agence en France] [Sipho]
- Image 48971 : La première messe de la radio.
Vue générale sur l'assemblée assistant à l'office.
[Sipho]
- Image 48973 : La consécration de la Basilique élevée à la gloire de Sainte-Thérèse.
Le Cardinal Pacelli dit la première Messe après la Consécration de la Basilique.
P.S.P. 11.7.37.
[copyright by Agence Trampus] [Sipho]
- Image 48975 : A Notre-Dame de Paris: ordination sacerdotale de 69 nouveaux prêtres.
Voici une photo prise pendant la prostration au cours de la cérémonie d'ordination qui fut conférée aux nouveaux prêtres par S.E. le Cardinal Verdier.
50 de ces nouveaux prêtres exerceront leur ministère à Paris.
Trampus PSP 29.6.39.
[copyright by Agence Trampus] [Sipho]
- Image 48976 : Ordination d'hiver à St.Sulpice.
Ce matin en l'église St.-Sulpice, S.E. le Cardinal Verdier a ordonné 71 nouveaux prêtres.
N.p.m.: Une vue générale de cette imposante cérémonie pendant la prostration.
PSP 17.12.36.
[copyright by Agence Trampus] [Sipho]
- Image 48978 : Chez les chevaliers du St. Sépulcre.
Les chevaliers du St. Sépulcre de France ont célébré ce matin leur messe annuelle dans leur paroisse St. Leu - St. Gilles.
La messe a été suivie de l'intronisation de trois nouveaux chevaliers du St. Sépulcre.
Notre photo montre la remise de son épée à un nouveau chevalier.
Trampus P.R. 6.6.39.
[copyright by Agence Trampus] [Sipho]
- Image 48979 : Les chevaliers du Saint Sépulcre pour leurs oeuvres de Palestine.
Une grande cérémonie de Charité s'est tenue dans ce but en l'Eglise de la Madeleine sous la présidence de S.E. Mgr Valério Valéri.
N.P.M.: l'arrivée de S.E. Mgr. Valério Valéri reçu par les Chevaliers du Saint Sépulcre.
Trampus P.R. 20.5.37.
[copyright by Agence Trampus] [Sipho]
- Image 48981 : Le Nonce Mgr. Valerio Valéri a présidé ce matin à Argenteuil la quatrième et dernière solennité en l'honneur de la Sainte Tunique.
Mgr. Valerio Valeri bénit le groupe tchéco-slovaque qui a assisté à cette cérémonie.
21.11.37.
[copyright by Agence Trampus] [Sipho]
- Image 48983 : Lille a fêté les 10 ans de cardinalat de son évêque Mgr. Liénart... en présence du nonce apostolique, qui a également béni le transept et un splendide portail de la nouvelle cathédrale lilloise. Lille est devenu évéché il y a 25 ans.
N.p.m.: à gauche le Cardinal Liénart, nommé il y a 10 ans, plus à droite, tête nue, Mgr. Valério Valéri, nonce à Paris, devant le portail de la Basilique-Cathédrale de Notre-Dame de la Treille, aujourd'hui à Lille. 24.X.38.
[copyright by "Fulgur"]
- Image 48985 : Paris. Parn. NYT. 30/9/33 GL. 60
Fête de Sainte-Thérèse de l'Enfant Jésus à Auteuil.
Paris.- Pendant trois jours des fêtes religieuses se sont déroulées à Auteuil en l'honneur de Sainte-Thérèse de l'Enfant Jésus.
Celle d'aujourd'hui le 30 septembre est la dernière, de nombreux prélats y assistaient parmi lesquels on reconnaissait Mgr. Feltin archevêque de Sens, Mgr. Crepin, le chanoine Audoin et de nombreux prélats chinois.
Défilé des prélats dans les jardins de l'Oeuvre des apprentis d'Auteuil. Au centre (la mître sur la tête) on reconnaît l'archevêque de Sens, Mgr. Feltin.
UR.20
Phot. NYT.
[The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Image 48987 : Poésie des premières communiantes.
Photo Meurisse
[Sipho]
- Image 48988 : 1093 b / 24435
Sie müssen zwei Jahre dienen !
Frankreichs Rekruten für 1936 werden eingezogen.
Einsegnung der eingezogenen Rekruten vor ihrer Abfahrt in die Garnison.
[Atlantic] [Sipho]
- Image 48990 : Le jubilé sacerdotal de Pierre l'Ermite... (Mgr. Loutil) est célébré aujourd'hui. Le Cardinal Verdier a présidé la messe solennelle qui a été dite à cette occasion en l'Eglise Saint-Francçois de Sales.
N.P.M.: Pierre l'Ermite (au milieu pendant la messe). A genoux, le Cardinal Verdier.
11.12.38.
[copyright by "Fulgur"]
- Image 48992 : La consécration de l'église Saint-Pierre de Chaillot.
Cet après-midi a eu lieu la consécration de Saint-Pierre de Chaillot en présence du Cardinal Verdier.
A sa droite: Monseigneur Gaston curé de la paroisse.
Photo Meurisse
[Sipho]
- Image 48993 : La messe des artistes de cinéma et de la radio.
Vue pendant la cérémonie, dans l'église de la Madeleine.
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Image 48994 : [.?. Agency Photo] [Sipho]
- Image 48996 : Ceux ci, grâce à une oeuvre normande, porteront la foi et la civilisation dans nos possessions lointaines.
On a célébré hier, à Caen, le cinquantenaire de l'Oeuvre Pontificale de Saint Pierre l'Apôtre, pour les séminaires indigènes, fondée à Caen en 1889, par Stéphanie et Jeanne Bigard.
Voici au cours de ces cérémonies Mgr. Chappoulie, président des Oeuvres Pontificales Missionnaires, s'entretenant avec des jeunes prêtres formés par l'oeuvre.
Trampus PSP 20.3.39.
[copyright by Agence Trampus] [Sipho]
- Image 48997 : Mgr Chappoulie protonotaire apostolique.
[copyright by Agence Trampus] [Sipho]
- Image 48999 : PAR 140103 311106
Franziskanermönch, der im Kriege beide Beine verlor, bekommt das Kreuz der Ehrenlegion.
Eine einfache und dennoch eindrucksbolle Zaremonie fans anlässlich der Verleihung des Kreuzes der Ehrenlegion an den Franziskanermönch Martial Bayart in Paris statt.
A.P.Bild zeigt Cardinal Verdier, der Bischof von Paris, überreicht dem Franziskanermönch Bayart das Kreuz der Ehrenlegion.
Text ohne Gewähr !
[copyright "Associated Press Photo"] [copyright by Photo "Actualit"] [Photo Champroux 7 nov 1931]
- Image 49000 : Une messe de minuit dans un garage de la "zone rouge" de Paris transformé en chapelle.
[Jacques Boyer – Paris] [Sipho]
- Image 49002 : Enfant introduisant une pièce de monnaie afin de déclancher le dispositif électrique de la crèche.
50.078 - 3
23.389
[Jacques Boyer – Paris] [Sipho]
- Image 49004 : M. l'Abbé Amploux actionnant le clavier de commande électrique du carillon des cloches de l'église Saint-François de Sales de Lyon.
50.078 - 4
[Jacques Boyer – Paris] [Sipho]
- Image 49005 : Le Carème à Notre-Dame.
Le révérand Père Chevrot qui préchera cette année le carême à Notre-Dame.
Trampus Ps 21.2.39.
[copyright by Agence Trampus] [Sipho]
- Image 49007 : Pendant la réception des Cendres.
Peut-être, dans son amère philosophie, Willette a-t-il voulu, par ce geste symbolique, contraindre d'éventuels "oublieux" à un souvenir pieux... et annuel...
[International Photo Presse] [copyright by Photo "Actualit"]
- Image 49008 : Le clergé à l'honneur.
L'abbé Jalber, ancien sergent du 109ème R.I. actuellement vicaire à l'Eglise de la Madeleine à Paris mutilé 100 %: promu dans l'ordre de la Légion d'honneur (Journal Officiel du 21 dec.)
P.R. 29.12.38.
[copyright by Agence Trampus] [Sipho]
- Image 49010 : A Notre Dame a eu lieu la bénédiction abbatiale du Père Dom Olphe Gaillart en présence de Mgr. Cardinal Verdier.
Photo Meurisse
[Sipho]
- Image 49011 : (Cin.-Swatow 2108 A/36)
Toute une vie, 58 ans, en Chine.
Le P. Vacquerel, des Missions Etrangères de Paris, né à Bayeux, en Chine depuis 58 ans, est mort à l'âge de 83 ans le 20 octobre 1936, sans avoir jamais remis les pieds sur le sol natal.
Le champ que ce vaillant missionnaire défricha dans le Kwangtung occidental est maintenant confié aux Missionnaires de Maryknoll. (Fides Foto)
(19.12.36)
[Sipho]
- Image 49013 : Text ohne Gewähr !
7099 / 1112.
Feierliche Consecration von Mgr. P.J. Verriet O.P. in Venray.
In Venray fand soeben die feierliche Consecration von Exc. Mgr. P.J. Verriet O.P. als Missionsbischof statt.
U.B. zeigt den Bisschof nach seiner Weihe beim Verlassen der Kirche.
9168
[Sipho]
- Image 49014 : Les cérémonies du Vendredi-Saint à Paris.
Cet après-midi Vendredi Saint une énorme foule a assisté au Chemin de Croix qui a été fait dans la pittoresque église de Saint-Pierre de Montmartre et dans les jardins y attenant.
N.P.M.: La foule en prières devant le calvaire, terme du chemin de croix, dans les jardins de l'Eglise Saint-Pierre de Montmartre. 7.4.939.
[copyright by "Fulgur"]
- Image 49016 : Les artistes parisiens ont reçu les cendres, à St. Gemain l'Auxerrois.
N.p.m.: Mgr. Sudour imposant les cendres aux artistes hommes et femmes, ce matin. 22.2.39.
[copyright by "Fulgur"]
- Image 49017 : Une messe au Pavillon Pontifical pour les catholiques des Beaux-Arts.
Une Messe a été célébrée ce matin au Pavillon Pontifical à l'Exposition par le R.P. De Reviers de Mauny, Commissaire Général au Pavillon Pontifical, en l'honneur des artistes des Beaux-Arts.
[copyright by Agence Trampus] [Sipho]
- Religion catholique en France, 1942-1943. - 5 photos
- Religion catholique, journée des malades au Sacré Coeur de Montmartre à Paris : 1934-1939. - 5 photos
- Image 48951 : La journée des malades au Sacré Coeur de Montmartre.
Cette touchante cérémonie qui a lieu tous les ans, est exclusivement réservée aux grands malades, ceux-ci assistent à la messe et communient à volonté, couchés sur des brancards.
Une vue générale des malades pendant l'office religieux à la basilique.
Phot.NYT. Paris le 14/3/34. Ave. GL.110
[Photo NYT Photo. The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Image 48953 : La journée des malades à l'église du Sacré Coeur de Montmartre.
Aujourd'hui, a eu lieu, à l'église du Sacré Coeur, sous la présidence du cardinal Verdier, la journée des malades. Des nombreux allongés incapables de ce mouvoir sont venus entendre la messe, et communier. Ces malades étaient portés, pars des infirmiers bénévoles, faisant partie du meilleur monde.
Vue d'ensemble dans l'église, pendant l'office.
[copyright Service général de la Presse]
- Image 48954 : La journée des malades à l'église du Sacré Coeur.
Tel à Lourdes, les malades nombreux se recueillent à l'église.
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Image 48956 : La journée annuelle des malades au Sacré-Coeur.
Chaque année une messe est célébrée en la Basilique du Sacré-Coeur pour les malades sous la présidence d'honneur du Cardinal Verdier Archevêque de Paris.
Voici une vue générale prise pendant la cérémonie.
Photo NYT Paris le 22/5/38. Ber. R.I.
[Photos N.Y.T. The New York Times. Wide World Photos]
- Image 48958 : La journée de malades à l'église de Sacré Coeur.
Les malades arrivent à l'église.
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Religion catholique, messe pour la paix à Paris : 1938. - 3 photos
- Religion catholique, Réception du cardinal Verdier à l'occasion du jour de l'An à Paris : 1933. - 2 photos
- Image 48942 : Paris 2 janvier 1933. A l'occasion du Jour de l'An, S.E. le cardinal Verdier a reçu aujourd'hui les membres du clergé.
Photo prise pendant la réception qui a eu lieu au siège des oeuvres diocésaines, rue des Saints-Pères. A droite, Mr. L'abbé Schaeffer, curé de Saint-Lambert de Vaugirard, présente les vouex d'heureuse année au nom de ses confrères.
Au centre, S.E. le cardinal Verdier, ayant a sa droite Mgr. Baudrillart, et, à sa gauche, Mgr. Chaptel et Mgr. Crépin.
R631
[Agence Rol] [Sipho]
- Image 48945 : Paris 2 janvier 1933. A l'occasion du Jour de l'An, S.E. le cardinal Verdier a reçu aujourd'hui les membres du clergé.
Photo prise pendant la réception qui a eu lieu au siège des oeuvres diocésaines, rue des Saints-Pères. A droite, Mr. L'abbé Schaeffer, curé de Saint-Lambert de Vaugirard, présente les voeux d'heureuse année au nom de ses confrères.
Au centre, S.E. le cardinal Verdier, ayant à sa droite Mgr. Baudrillart, et, à sa gauche, Mgr. Chaptel et Mgr. Crépin.
R631
[Agence Rol] [Sipho]
- Religion en Autriche : fête de la Sainte Elisabeth, 21/11/1931. - 3 photos
- Religion en Autriche : Nuit de Noël, 1930-1945. - 3 photos
- Religion en Autriche : Procession, sur l'eau, du Corpus Christi, 1930-1945. - 4 photos
- Religion en Autriche : vieux fragments de la Bible au musée de Vienne, 1935. - 2 photos
- Religion en Autriche : Visite au Christ de Erl, 1930-1945. - 2 photos
- Religion en France : 1934-1939. - 3 photos
- Religion et catholicisme, [...-1939]. - 15 photos
- Religion juive en France : 1936-1939. - 4 photos
- Religion musulmane en France : 1934-1938. - 9 photos
- Image 48962 : La fête de l'Aid El Kebir à la moqsuée de Paris.
Comme chaque année cette fête a amenée à la Mosquée de nombreux musulmans heureux de retrouver dans la Capitale les rites et coutumes de leur région. Soldats, marchande de tapis, marchands de cacahuètes, riches commerçants, personnalités officielles se sont retrouvés réunis à cette cérémonie.
[Photos N.Y.T. The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Image 48964 : Fête de l'Ait-El-Kebir s'est deroulée ce matin, à la mosquée de Paris.
N.P.M.: Les moutons destinés au sacrifice.
Ph. NYT. Paris, le 26/3/34. 120. Ave. MP.
[Photo NYT Photo. The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Image 48966 : La fête d'Aid-El-Kebir à la mosquée de Paris.
Les moutons sont amenés pour le sacrifice.
S230
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Image 48967 : La fin du Ramadan fêtée à la Mosquée de Paris.
N.P.M.: Si Kaddour ben Gabbritt, le Général Noguès, Si Fakry Pacha, ministre d'Egypte à Paris, après la cérémonie de l'Ait el Seghir à la Mosquée, aujourd'hui.
23.XI.38.
[copyright by "Fulgur"] [Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Image 48968 : A la mosquée de Paris.
La fête de L'Abb-Del-Kair a réunie les grands dignitaires. Au centre on aperçoit Ben Gabrit, à sa droite Fakri Ambassadeur d'Egypte et le deuxième à sa g. Docteur Kadri représentant de l'Irak à Paris.
Photo Meurisse
2891 - j n
[Sipho]
- Image 48970 : La fin du Ramadan, a été fêté à la mosquée de Paris.
La fin du jeûne des Musulmans, a été fêté en grand pompe, à la mosquée de Paris.
Les hauts dignitaires musulmans, pendant la cérémonie.
798 - j.n
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Image 48972 : La fête de 'Ait-El-Bebir s'est deroulée ce matin, à la Mosquée de Paris.
N.P.M.: Si Kadour Ben Kabrit, chef du protocol des Affaires du Maroc et directeur de la Mosquée en France, entouré des fidèles. On remarque à sa droite Moulay Afid, ancien sultan du Maroc.
Ph. NYT. Paris, le 26/3/34. Ave. 130. MP.
[Photo NYT Photo. The New York Times. Wide World Photos] [copyright by Photo "Actualit"]
- Image 48974 : La fête d'Aid-El-Kebir à la mosquée de Paris.
La descente des moutons.
S230
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Image 48977 : Une princesse se convertit à l'Islamisme.
Photo montre la princesse, femme du prince héritier Saranak, état du nord de Bornéo, dans l'Inde à son arrivée à Paris.
La princesse après avoir été chrétienne, et protestante, s'est convertie a la religion de Mahomet; la cérémonie a eu lieu en avion à 500 m. au dessus de la Manche, dans le courrier d'Angleterre.
S127
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Religion musulmane en France, [1940-1945]. - 3 photos
- Religion orthodoxe en Espagne : [1930-1945]. - 2 photos
- Religion orthodoxe en France : [1936]. - 3 photos
- Religion orthodoxe en France, 1941-1942. - 2 photos
- Remise à l'Administration militaire allemande (MV) de Bruxelles de vêtements d'hiver récoltés pour le front de l'Est par la Communauté de Travail germano-flamande (DeVlag), 3/2/1942. - 4 photos
- Remise à l'Administration militaire allemande (MV) de Bruxelles de vêtements d'hiver récoltés pour le front de l'Est par le Parti ouvrier national-socialiste allemand-Organisation pour l'étranger (NSDAP-AO), 14/1/1942. - 2 photos
- Remise de chars à la gendarmerie belge: octobre 1944 : octobre 1944. - 11 photos
- Remise de décorations à la Sorbonne (Paris) : 1932. - 3 photos
- Image 42973 : Paris 4 mai 1932. Remise de récompenses aux sauveteurs de la mer par la Société Nationale de sauvetage.
Un groupe de nouveaux décorés.
Au Ier rang de gauche à droite: Georges Thomas et Mignot de Fécamp, Pullion de St-Nazaire, Cavalini de Pornic, Berthoni et Raimondi des Sables d'Olonne, Brunet.
Au 2° rang de gauche à droite: A Thomas et Tournatez de Fécamp, Le Pollès, Guichette, le boy scout Scholle, l'aspirant Le Borgne, Roquefort et Pensée des Douanes et Hersant de Granville.
[Agence Rol] [Sipho]
- Image 42974 : Sauveteurs à l'honneur.
Un sauveteur reçevant sa décoration.
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Image 42976 : Sauveteurs à l'honneur.
Les sauveteurs de la vie humaine, les matelots et le patron de barques sont à l'honneur à la Sorbonne.
Vue générale sur tous les sauveteurs (dans l'hémicycle) attendant leur tour à être décoré, on remarque tout en haut 2 femmes décorées également.
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Remise de décorations à la Sorbonne (Paris) : 1934. - 2 photos
- Remise de décorations à l'Ecole des Mines (St. Etienne) : 1933. - 2 photos
- Remise de décorations en France / Don des anciens combattants du Limousin au Président Roosevelt : 1938. - 2 photos
- Image 42984 : Les Anciens Combattants du Limousin ont remis un splendide service en Porcelaine de Limoges au Président Roosevelt... pour effets en faveur de la Paix. La remise a eu lieu cet après midi à l'ambassade des U.S.A. à Paris, entre les mains du chargé d'affaires M. Edwin Wilson. M. Wilson regarde une grande photo du "service"; à gauche M. Henri Chavin, Préfet de la Haute-Vienne, à droite, tenant la photo, M. Bellule, Sénateur et M. Roche, député. 30.12.1938. [© Les Actualités Belges. L. V. Gregorius].
- Image 42986 : Un précieux cadeau français au Président Roosevelt... Les anciens combattants de la Haute-Vienne, dans un geste d'émouvante reconnaissance, ont décidé d'offrir au Président Roosevelt douze précieux dessous de couverts ou douze grande assiettes en porcelaine bleue de four chacune d'un motif différend avec incrustations double dorure agrémentée de motifs en relief en pâte d'or ornés de perles... Trois des précieux plats offerts au Président Roosevelt, sortis des ateliers Rastaud à Limoges. 30.12.1938. [Exclusivité Fulgur]. [© Les Actualités Belges. L.V. Gregorius].
- Remise de décorations par l'armée à "Les rues des vignes" dans le Nord de la France : 1933. - 2 photos
- Image 44268 : 27 février 1933. Aujourd'hui a eu lieu à Les Rues des Vignes (Nord) la remise de la croix de chevalier de la Légion d'honneur au grand mutilé de guerre Camille Bréan.
Ce grand mutilé ne pouvant se rendre à Cambrai le colonel Lhéritier du Ier Regt d'Infanterie avait décidé que, au cours d'une marche, les troupes iraient musique en tête rendre les honneurs à ce brave. Mobilisé le 2 Août 1914, Camille Bréan fut affecté au 369e puis au 161e d'infanterie, blessé quatre fois; le 25 sept. 1915, en Champagne à St.-Hilaire le Grand, il eut les jambes criblées de balles alors qu'il était à la tête de sa section.
[Vue générale pendant la cérémonie]
[Agence Rol] [Sipho]
- Image 44270 : 27 février 1933. Aujourd'hui a eu lieu à Les Rues des Vignes (Nord) la remise de la croix de chevalier de la Légion d'honneur au grand mutilé de guerre Camille Bréan.
Ce grand mutilé ne pouvant se rendre à Cambrai le colonel Lhéritier du Ier Régt d'Infanterie avait décidé que, au cours d'une marche, les troupes iraient musique en tête rendre les honneurs à ce brave. Mobilisé le 2 Août 1914, Camille Bréan fut affecté au 369e puis au 161e d'infanterie, blessé quatre fois; le 25 sept. 1915, en Champagne à St.-Hilaire le Grand, il eut les jambes criblées de balles alors qu'il était à la tête de sa section.
[La remise de la Légion d'honneur]
[Agence Rol] [Sipho]
- Remise de décorations pour le Concours Lépine (Paris) : 1935. - 2 photos
- Remise de diverses décorations en France : 1930-1938. - 20 photos
- Image 42985 : Paris 6 mai 1933. La Société Centrale de sauvetage des naufragés va tenir son assemblée générale demain dans le Grand Amphithéâtre de la Sorbonne et procéder à la distribution solennelle des récompenses, sous la présidence du vice-amiral Lacaze.
Le groupe de sauveteurs qui seront décorés.
[Agence Rol] [Sipho]
- Image 42987 : Paris. La remise solennelle des récompenses aux sauveteurs de la mer aura lieu demain à la Sorbonne.
De gauche à droite: M. Gildas Bihan, qui sera fait officier de la Légion d'Honneur le jeune Jean Bernard, qui recevra une Médaille d'argent et M. Jules Imbert, qui sera fait chevalier de la Légion d'Honneur.
5.5.37.
[Sipho]
- Image 42989 : Navigatrice française. Virginie Heriot.
[PK A 4389]
[copyright by The New York Times] [copyright by Photo "Actualit"]
- Image 42991 : Un enfant de neuf ans est décoré pour avoir sauvé son chien qui allait être écrasé par un rapide à Philadelphie.
Au cours du sauvetage le petit Edward Allen sauva son chien, mais eut les deux jambes coupées.
N/P/M/ l'enfant que Mrs Clifford Jones vient de décorer.
Phot.NYT. Philadelphie 13/4/34. GL. 95
[Photo NYT Photo. Wide World Photos. The New York Times] [copyright by Photo "Actualit"]
- Image 42992 : Le président de la République a remis au général Rydz Smigly le grand cordon de la légion d'honneur, au camp de Suippes.
N.P.M. M. Albert Lebrun décorant le Général Rydz Smigly.
Photo NYT. Suippes.Ber. 2/9/36. JL.
[Wide World Photos. The New York Times. Photos N.Y.T.] [copyright by Photo "Actualit"]
- Image 42994 : Paris, 11-5-33 Prise d'Armes aux Invalides. Au cours d'une prise d'armes, le Gal Gouraud, commandant la Place de Paris, a décoré l'Abbé Gillet, amputé des deux bras.
N.P.M. 1.- L'accolade. 2.- La revue des troupes.
[copyright by Universal Press Agency] [copyright by Photo "Actualit"]
- Image 42995 : Au cours d'une émouvante prise d'armes aux Invalides le radiologue vaillant a reçu la cravate de commandeur de la légion d'honneur.
Photo Meurisse
[Sipho]
- Image 42997 : Paris 23 novembre 1932. Ce matin a eu lieu à l'Hospice de la Salpêtrière la remise de la croix de Chevalier de la Légion d'Honneur à Mme Sarrazin et Mlle Grenier.
Monsieur Durand, de l'Assistance Publique, décorant Mme Sarrazin, surveillante à l'Hospice de la Salpêtrière.
[Agence Rol] [Sipho]
- Image 42998 : 5 infirmières de l'hôpital Saint-Louis, se sont vues remettre ce matin la récompense de leur magnifique dévouement et de leur courage.
N.P.M.: De g. à dr.: Mmes Crépon, Gerke (qui embrassa un lépreux qui le lui demandait), André, Le Neck, Décréau, les bras chargés de fleurs, après avoir reçu leur récompense. 16.12.38
[copyright by "Fulgur"] [copyright Les Actualités belges L.V. Gregorius]
- Image 42999 : La remise de l'épée d'académicien au docteur Jean-Louis Faure.
De gauche à droite: MM. JL Faure, Souza Dantas, ambassadeur du Brésil, docteur Dartigues.
Mention obligatoire Photo Meurisse
[Sipho]
- Image 43001 : Distribution des prix de l'union des sociétés d'éducation physique à la maison du jeune français.
Photo Meurisse mention obligatoire
[Sipho]
- Image 43002 : L'académie de médecine fête le jubilé du professeur d'Arsonval.
M. de Besançon, Président de l'académie de Médecine remet au cour de cette cérémonie au Professeur d'Arsonval la médaille frappée à l'occasion de ses cinquante ans d'académicien.
P.S.P. 7.5.38
[copyright Agence Trampus] [Sipho]
- Image 43004 : Paris 27 février 1933. Attribution du Prix Murray Dyke.
Monsieur Cahen Salvador remet le diplôme à Mlle Berthe Bellendy.
[Agence Rol] [Sipho] [Service Photographique Belge BEFOT]
- Image 43005 : Promotion dans la légion d'honneur.
N.P.M. M. Mugniot, directeur général honoraire de la Compagnie des Chemins de fer du P.L.M. qui vient d'être élevé à la dignité de Grand Officier de la Légion d'Honneur.
Photo NYT. Archives. 1/2/38. JL.
[Wide World Photos. The New York Times. Photos N.Y.T.]
- Image 43006 : On vient de décerner la médaille militaire à M. Jacques Motte, qui fut pendant la guerre le plus jeune soldat. Il avait alors 14 ans.
Originaire du Pas-de-Calais, il s'engagea dans la Légion Etrangère, en se donnant comme sujet belge, né à Bruxelles, le 9 décembre 1896, alors qu'il n'était en réalité, qu'un gamin de 14 ans, mais ayant l'aspect d'un garçon beaucoup plus âgé. Au front, le jeune légionnaire, se comporta vaillamment et fut promu caporal et ce ne fut qu'après sa blessure qu'il reçut en Champagne en 1915 qu'on découvrit sa véritable identité. Renvoyé dans ses foyers, il attendit l'âge réglementaire puis s'engagea à nouveau dans l'aviation, cette fois une chute d'avion le rendit invalide. M. Jacques Motte est actuellement inspecteur à Marseille dans une grande compagnie d'assurance.
N/photo montre Jacques Motte.
Phot.NYT. Marseille le 10/6/35. PP. GL95
[copyright by Photo "Actualit"]
- Image 43008 : G.R. Minot. Prix Nobel.
[24 avril 1935]
- Image 43009 : Madame Lierce. Héroïne de guerre française.
[.?.] [copyright by Photo "Actualit"]
- Image 43011 : WW. Wal.Gil. 300928. Concarneau.
Un mousse héroïque de 16 ans est nommé chevalier du mérite maritime.
A titre exceptionnel, Marcel Rioual, âgé de 16 ans, mousse sur le thonier Bon Retour, est nommé chevalier du mérite maritime.
Le 19 septembre 1930, au cours d'une tempête terrible, les lames ayant balayé le pont et jeté à la mer deux hommes sur cinq, Rioual apercevant la barre abandonnée s'y cramponne et s'y maintient pendant 24 heures contre une mer déchaînée et sauve ainsi le navire en péril.
N/photo montre le petit mousse héroïque qui vient d'être décoré, à côté de lui le ministre de la marine marchande. M. Louis Rollin.
[Wide World Photos. The New York Times]
- Image 43012 : Une cultivatrice de 77 ans promue chevalier de la légion d'honneur.
Madame veuve Bochaton, que montre notre photo, 77 ans, vient d'être promue chevalier de la légion d'honneur au titre du ministère de l'Agriculture. Pendant la guerre, ses fils mobilisés, elle fit marcher seule une ferme.
Mme Bochaton de Larringues, près d'Evian est 52 fois grand-mère.
Photo NYT. Thonon. 5/8/36. JL.
[Wide World Photos. The New York Times. Photos N.Y.T.]
- Image 43014 : Die Ehrenlegion für einen hundertjährigen Fischer.
In dem kleinen bretonischen städtchen Penvenan wurde ein Küstenfischer 100 Jahre alt. Da er an Rheumatismus leidet muss er sich zwar ins Boot tragen lassen, aber auf den offen. Meere nimmt er es mit jedem zwanzigjährigen an Mut und Geschicklichkeit auf. Seinen unermüdlichen Arbeitseifer had der französische Staat kürzli... durch die Verleinung des Bandes der Ehrenlegion belohrn.
Porträt des 100 jährigen Fischers Yves Nicolas.
[Sipho]
- Remise de drapeau à l'Armée Secrète à Anvers : [1945-...]. - 1 photo
- Remise de drapeaux à la Hitlerjugend Flandern à Gent, 30/4/1944. - 44 photos
- Remise de drapeaux à la Hitlerjugend Flandern à Schoten, 20/4/1944. - 48 photos
- Remise de la couronne albanaise au Roi d'Italie : avril 1939. - 4 photos
- Remise du drapeau de la Force aérienne à Bruxelles : [1945-...]. - 1 photo
- Remise du drapeau de la Milice thioise-Brigade noire (DM-ZB) aux gardes fabrique à Gent, 31/10/1942. - 2 photos
- Remise du prix Rembrandt à Felix Timmermans : juin 1942. - 3 photos
- Remise d'un drapeau belge aux porteurs de la Victoria Cross : 16/5/1943. - 9 photos
- Image 81801 : Old contemptibles parade and service at St. Paul's cathedral, also presentation of belgian flag to british contemptibles. M. De Fosse, Minister of Information for Belgium, and Baron Cartier de Marchienne, Belgian Ambassador, on steps of St. Paul's : 16/5/1943. [Sport & General Press Agency, Limited] [Inbel - London]
- Image 81803 : Baron Cartier de Marchienne, Belgian Ambassador, adressing the cathering before presenting a flag to British soldiers : 16/5/1943. [Sport & General Press Agency, Limited] [Inbel - London]
- Image 81804 : M. Delfosse, Handing over the Belgian Government flag to British Soldiers, who won the V.C. in the last war. [Sport & General Press Agency, Limited] [Inbel - London]
- Image 81806 : Baron Cartier de Marchienne, the Belgian Ambassador, about to go into the Cathedral : 16/5/1943. [Sport & General Press Agency, Limited] [Inbel - London]
- Image 81807 : Baron Cartier de Marchienne, the Belgian Ambassador, being received by officers on the steps of St. Pauls's Cathedral : 16/5/1943. [Sport & General Press Agency, Limited] [Inbel - London]
- Image 81809 : M. Delfosse, Minister of Information, and Baron Cartier de Marchienne, Belgian Ambassador, leaving the Cathedral after the service for dedication of colours : 16/5/1943. [Sport & General Press Agency, Limited] [Inbel - London]
- Image 81810 : Belgian officers at the presentation and flag ceremony : 16/5/1943. [Sport & General Press Agency, Limited] [Inbel - London]
- Image 81811 : Belgian officers at the presentation and flag ceremony : 16/5/1943. [Sport & General Press Agency, Limited] [Inbel - London]
- Image 81812 : Baron Cartier de Marchienne, Belgian Ambassador, taking the salute at Ludgate Hill : 16/5/1943. [Sport & General Press Agency, Limited] [Inbel - London]
- Remise d'une médaille de reconnaissance à Mgr Nève de Mèvergnis (Abbaye de st-André à Bruges) pour avoir sauvé des drapeaux de l'armée belge en mai 1940 : 1945. - 2 photos
- Remise par DeVlag (Communauté du Travail germano-flamande) d'une collecte de vêtements et de jouets à l'Assistance publique national-socialiste (NSV), 10/1943. - 10 photos
- Remorqueurs dans le port d'Anvers, 1940-1945. - 16 photos
- Remy Magermans, fermier, homme de lettres et acteur, 1940-1945. - 12 photos
- Image 32341 : Remy Magermans, fermier, écrivain et acteur.
Sa ferme à Amonimes, près de Durbuy.
- Image 32343 : Remy Magermans, fermier - écrivain et acteur.
Le retour à la ferme. Mais la journée n'est pas encore terminée...
- Image 32346 : Remy Magermans, fermier, écrivain et acteur.
En dehors des livres et du théâtre, les chevaux sont sa grande passion, et parmi ceux-ci la jument Rosette est sa préférée; c'est avec elle qu'il se prépare à aller labourer ses champs.
- Image 32348 : Il est occupé aux durs travaux de labour.
- Image 32351 : Et maintenant, une autre de ses occupations de fermier... semer.
- Image 32354 : Il faut traire les vaches.
- Image 32356 : Il vaque à tous les travaux de ferme, sa forte constitution lui permettant d'accomplir les ouvrages les plus pénibles.
Casser du bois et pour lui un plaisir plutôt qu'une tâche rebutante.
- Image 32358 : Le côté intellectuel de sa vie... A sa table de travail, il met la dernière main au manuscrit de son premier roman "La maladie dans la tour".
- Image 32360 : Le côté intellectuel de sa vie... A sa table de travail, il met la dernière main au manuscrit de son premier roman "La maladie dans la tour".
- Image 32362 : Dans son intérieur, nous le voyons ici entre sa mère et ses soeurs après une journée de dur labeur.
- Image 32364 : Et enfin... le théatre.
Acteur sur une scène bruxelloise bien connue, il incarne le rôle d'un jeune paysan dans la pièce "Le cocu magnifique". Avant d'entrer en scène, une dernière retouche au maquillage.
- Image 32366 : ... le voici affrontant les feux de la rampe.
- Renaat Grassin, alias 't Ketje, artiste de variétés, 1943. - 2 photos
- Renaat Van Thillo, chef du Service du Travail volontaire pour la Flandre (VAVV), 1942-1943. - 12 photos
- Image 7571 : Feest van de VAVV te Antwerpen. Van Thillo met gestrekte arm en naast hem Gerard Romsée, secretaris-generaal van Binnenlandse Zaken
- Image 7572 : Vlnr: Gerard Romsée, Verhulst en Van Thillo
- Image 7573 : De Leider van de V.A.V.V. door de leider van de Duitse Reichsarbeitsdienst, Hierl, ontvangen.
De leider van de Vlaamse Vrijwillige Arbeidsdienst voor Vlaanderen, R. Van Thillo, is door de de leider van de Reichsarbeitsdienst Hierl te Berlijn ontvangen, aan het einde van een leergang voor de vorming van kaders (juli 1942)
- Image 7574 : Feest VAVV te Antwerpen. Van Thillo (links) Romsée (rechts).
- Image 7576 : Inhuldiging te Zandvliet van een planting van drie hectaren colza op een aan de Schelde herwonnen Polder, Deze plechtigheid had in België geen plaats meer gegrepen sinds de 17de eeuw. De personaliteiten bezichtigen de bouwwerken van de dijk.
Inauguration à Zandvliet d'une plantation de 3 hectares de colza, dans un Polder reconquis sur l'Escaut. Cette cérémonie n'avait plus eu lieu en Belgique depuis le 17ième siècle. Les personnalités inspectant les travaux de construction de la digue.
- Image 7577 : Van Thillo.
- Image 7578 : Sportfeest van de VAVV in het Berchem-stadion op 15.8.1943. Van Thillo tijdens zijn toespraak
- Image 7579 : Leider Dr. Elias op bezoek bij de Arbeidsdienst.
- Image 7580 : Van Thillo (VAVV).
- Image 7581 : Van Thillo, rechts gevolgd door Verhulst, Dienstleider van het VAVV
- Image 7582 : Tocht der Vlaamse Vrijwillige arbeiders voor Vlaanderen door de stad Antwerpen de 15 oogst 1943. De overheden tijdens het feest in de Dierentuin.
- Image 7584 : Van Thillo. Kerstfeest VAVV s.d.
- Renatus (René) Lagrou, fondateur de l'Algemene SS-Vlaanderen, membre de la Vlaamse landsleiding en Allemagne, 1941. - 4 photos
- Rencontre des enfants flamands dans les colonies de vacances de Ivenack, 8/1941. - 2 photos
- René Lambrichts, chef de Défense du Peuple, 1942. - 4 photos
- Renforcement des digues aux Pays-Bas, 2/5/1944. - 3 photos
- Renforcement des troupes françaises à la frontière franco-espagnole, [1939]. - 6 photos
- Renforcement des troupes suisses aux frontières avec l'Autriche, 14/3/1938. - 1 photo
- Rentrée des classes dans l'enseignement en France : 1941-1943. - 21 photos
- Rentrées juridiques au Portugal : 1944. - 1 photo
- Réouverture des frontières suisses en Savoie, 5/2/1944. - 1 photo
- Réouverture du port d'Anvers par les alliés. - 19 photos
- Image 29992 : The first Allied liberty ship to reach freed Antwerp, Belgium, the greatest supply port of Northwestern Europe, puts into the harbor loaded with supplies for the battlefronts. In the background is part of the city of Antwerp, which is linked with one of the finest inland waterways systems in the world as well as being a road and railways communications center. The Nazis did nothing to prevent the first Allied supply convoy from sailing up the Scheldt Channel into the British troops on the Maas River line. Weither enemy planes nor naval guns harassed Allied supply vessels putting into the port which, in peacetime, could handle 80.000 tons of cargo a day.
- Image 29993 : A British tanker discharging a cargo of gasoline at an oil berth in Antwerp harbor, Belgium. Installations for discharing bulk oil are intact after the Nazi evacuation.
- Image 29995 : Army supplies being unloaded at Antwerp. The greatest single factor in the improved supply situation was the port of Antwerp which became operational on 27 November. Despite heavy attacks from the German "V" weapons the port discharged cargo which was badly needed by the forces fighting along the German frontier. Utah and Omaha Beaches ceased operations in November and then only the larger port cities were used as supply ports of entry.
- Image 29996 : Army rations are hoisted by crane from the hold of an American ship in Antwerp Harbor, Belgium, and loaded directly into freight cars which will carry them to distribution centers. Belgian dock workers assit in the operation.
- Image 29999 : A checker of a U.S. Army Port Bn. watches a shipment of blankets needed at the front being loaded into boxcars at Antwerp. The volume of supplies for the Allies on the Western Front is fast making Antwerp one of the world's busiest ports.
- Image 30001 : Rolles of wire mesh, used in surfacing airstrip runways, are unloaded at a U.S. Army engineering depot in Belgium, awaiting shipment by plane, train or truck. More than five million tons of military supplies have been moved up to the front since "D-Day" (June 6, 1944). Allied transport and movement officers announced March 19, 1945. Of this cargo discharged on the Continent, 685 000 tons were unloaded on open beaches. Much of the remaining tonnage poured through the great port of Antwerp, Belgium, and over the famous inland waterways almost directly to the front.
- Image 30003 : U.S. Army engineering supplies are sorted, boxed and loaded into trucks at this large U.S. depot in Belgium. Belgian civilians assist U.S. soldiers in the work. More than five million tons of military supplies have been moved up to the front since "D-Day" (June 6, 1944). Allied transport and movement officers announced March 19, 1945. Of this cargo discharged on the Continent, 685.000 tons were unloaded on open beaches. Much of the remaining tonnage poured through the great port of Antwerp, Belgium, and over the famous inland waterways almost directly to the front.
- Image 30006 : Belgian civilians watch Sergeant Byard T. Brown of Philadelphia, Pennsylvania, grease his ABC tractor truck at a check-up point on the convoy route. He is hauling supplies from a Belgian port to an inland marshalling yard.
- Image 30008 : A U.S. soldier (right) stands guard over Belgian barges in Antwerp harbor where they are used to ferry American war cargo. Antwerp, Belgium, the greatest supply port of Northwest Europe, serves the Allies as a gateway for war supplies being poured to front line areas. Most of the city's dock installations, which in peacetime had a capacity of 80 000 tons a day, were left intact by the routed Nazis. Belgian and Dutch seamen, many of whem returned to their homes when Allied soldiers liberated Antwerp, are piloting ships up the treacherous Scheldt channels loading from the harbor mouth.
- Image 81369 : Operations at the port of Antwerp, Belgium.
Norbert Hust rides on the stern of a U.S.Army J-boat used in patrolling the harber of Antwerp. Antwerp is fast becoming one of the world's busiest ports handling supplies for the Allies on the Western Front.
- Image 81371 : Allied supplies flow through liberated port of Antwerp.
Antwerp, greatest port of Northwest Europe, was liberated by Allied forces September 4, 1944, and materiel for the battle areas is already streaming forward. Dutch tugs entering a lock in Antwerp harbor, Belgium. They will tow Allied supplies loaded on Dutch and Belgian barges through tthe inland waterways toward the fighting areas in Belgium.
- Image 81373 : Allied supllies flow through liberated port of Antwerp. Antwerp, greatest port of Northwest Europe, was liberated by Allied forces September 4, 1944, and materiel for the battle areas is already streaming forward. Dutch tugs lined up four abreast waiting to proceed through a lock in Antwerp harbor, Belgium. They will tow barges filled with Allied supplies through the elaborate system of inland waterways of Belgium toward the battle zones.
- Image 81375 : Plechtigheid naar aanleiding van het eerste schip in de bevrijde haven van Antwerpen (?).
- Image 81377 : U.S. Corn for European civilians unloaded at Antwerp. A Belgian worker levels corn in a barge at Antwerp Harbor for transport inland into Europe over the canal of Belgium. Shipped from the United States on a Liberty Shirp, the corn is for civilian use under the lend-lease program. U.S. Signal Corps Photo ETO-HQ-45-56761.
- Image 81380 : Antwerp Harbor crew unloads bedding for U.S. Troops. U.S. soldiers of a port company in Antwerp, Belgium, work with civilians to unload a cargo of blankets and sleeping bags from the hold of a newly-arrived ship. The baled equipment is for Allied front line troops. U.S. Signal Corps photo ETO-HQ-45-242.
- Image 81383 : U.S. Army Warehouse in Belgium. Belgian civilians work with American soldiers at this U.S. Army warehouse at the Antwerp docks. U.S. Signal Corps Photo ETO-HQ-44-21810. Reserved by London OWI (files). Certified as passed by Shaef Censor.
- Image 81385 : Wheat from U.S. arrives in Antwerp. A Belgian woman and man employed by the U.S. Army sack loose wheat unloaded from an American Liberty ship in the port of Antwerp, Belgium, during July, 1945. Each ship carries a cargo of 10.000 tons. OWI Stafff Photo by George Greb.
- Image 81388 : Dans le port d'Anvers, du charbon américain est arrivé pour les belges (I.I.S.-U.S.A. Reproduction libre).
- Image 81390 : Work goes forward simultaneously on several sections of the oil port being built at Antwerp with the help of Marshall Plan loan funds. The steamshevel at at the left is working on the edge of the entranceway through which oil tankers will pass from the Hanse basin. The one in the foreground and the one to the right in the rear are excavating an area where a road and rail bridge will link the port and an oil refinery with the rost of Antwerp's port area.
- Réouverture du Sabor (parlement croate), 2/1942. - 2 photos
- Repas offert aux enfants au Charly's Club à Bruxelles, 10/2/1943. - 4 photos
- Repas offert aux enfants dans un restaurant bruxellois, 5/1944. - 1 photo
- Repas offert par les Bienfaiteurs et Sauveurs à Bruxelles, 1944. - 3 photos
- Repas organisés par DeVlag, 1940-1945. - 70 photos
- Repas organisés par le Secours d'Hiver, 1940-1945. - 8 photos
- Repas pour personnes âgées dans une Maison wallonne, 1940-1945. - 1 photo
- Repas servis aux enfants d’Amsterdam, [1940-1945]. - 2 photos
- Repatriement de Belgique des enfants espagnols, [1939]. - 4 photos
- Répétitions des "Comédiens routiers" : 20/11/1943. - 8 photos
- Reportage : arsenal national à Gaz, 1938-1945. - 6 photos
- Reportage : artisanat dans des ruelles de Salzbourg, [1930-1945]. - 9 photos
- Reportage : ateliers d'art viennois pendant la guerre, 04/04/1943. - 33 photos
- Reportage : Baroque le long du Danube, 1930-1945. - 12 photos
- Image 171385 : Barock an der Donau. Blick in die wunderbare Barockkirche des Dürnsteiner Klosters. [SIPHO.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Zensurstelle-Bildpresse. Brüssel, I.A.] [Série N° 1786 B. Photo N° 1.]
- Image 171386 : Barock an der Donau. Eingang zum Kloster in Dürnstein. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 2.]
- Image 171387 : Barock an der Donau. Besonders schöner und prunkender Ofen im Barockstil in eimen Saal des Rathauses in Stein a.d. Donau. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 3.]
- Image 171388 : Barock an der Donau. Detail ais einer barocken Kirchenfassade in ST.Pölten. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 4.]
- Image 171389 : Barock an der Donau. Karyatide, ein beliebtes Barockmotiv, an einem Portal des Dürnsteiner Klosters. [SIPHO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 5.]
- Image 171390 : Barock an der Donau. Gemütlich und kompakt steht diese kleine Madonna wie eine Lebkuchenfigur da. [SIPHO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 6.]
- Image 171391 : Barock an der Donau. Anbetende Putte über in dem Eingang einer Kirche in St.Pölten. [SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 7.]
- Image 171392 : Barock an der Donau. Fast in allen Städten und Städtchen längs der Donau finden wir diese herrlichen und überreichen Denkmäler der Barockzeit, seien es Pest-oder Dreifaltigkeitssäulen. Überraschend wie das gleiche Thema immer mit neuer Erfindungsgabe und Formenfülle von den Barockmeistern gestaltet wurde. [SIPHO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 8.]
- Image 171393 : Barock an der Donau. Fats überbarock ist der Schwung der Pestsäule auf dem Markplatz in St.Pölten, im Hintergrund die sehr viel ruhigere aber wunderschöne Fassade der St.Franziskus-Kirche. [SIPHO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 9.]
- Image 171394 : Barock an der Donau. Mutet nicht auch das den kühlen Nordländer wie süddeutscher Barock an, wenn der Bürger nach getaner Arbeit, ehe er zum Abendschoppen geht, sich seien Zubis beim Bäcker durchs Fenster kauft. [SIPHO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 10.]
- Image 171395 : Barock an der Donau. Ein Leckerbissen für den Kenner des Barocks, eine eigenartige Lösung eines Barockfensters, das nicht wie meist glatt oder nur aufgeteilt farblos in Bleifassungen ist, sondern aufgeteilt in reiches Gitterwerk und ausserdem noch gelbe Sonnen hineinkomponiert, die warme Lichteffekt im Innern der Kirche hervorrufen. [SIPHO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 11.]
- Image 171396 : Barock an der Donau. Eine besonders schöne und schwungvolle Barockkanzel im Kloster von Dürnstein. [SIPHO.] [Série N° 1786 B. Photo N° 12.]
- Reportage : bâtiments historiques de Wasserburg, 1930-1945. - 4 photos
- Reportage : Chapeaux viennois, 08/08/1944. - 4 photos
- Reportage : Chapellier à Florence (+ texte), 03/04/1943. - 8 photos
- Image 159308 : 1. Florentiner Hüte. Ein Florentiner Hut - höchst apart ! Am Strand wird er der grosse Modeschlager sein. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie 92.592 A : photo 1]
- Image 159309 : 2. Florentiner Hüte. Mitten in der Altstadt von Florenz, nahe bei der berühmten Ponte Vecchio der Goldschmiedebrücke über dem Arno, liegt der Mercato Vecchio. Unter seinem Dach, das von Riesensäulen getragen wird, drängen sich die Verkaufsbuden für Strohwaren - und dort kann man die schönsten und billigsten Florentinerhüte erwerben. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie 92.592 A : photo 2]
- Image 159310 : 3. Florentiner Hüte. Wirklich "am laufenden Band" flechten diese Mädchen in hübschen Farben Gürtel aus Stroh. Die Florentinerinnen haben einen sicheren Farbsinn und sie sind stolz darauf, wenn ihnen neue und gute Zusammenstellungen gelingen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie 92.592 A : photo 3]
- Image 159311 : 4. Florentiner Hüte. Zu Hause wird der neu gekeufte Florentiner Hut noch einmal gründlich in Augenschein genommen, denn nun erhebt sich die Frage : "Wie putze ich ihn " - mit Blumen oder Band. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie 92.592 A : photo 4]
- Image 159312 : 5. Florentiner Hüte. Auch in die modernen Arbeitersiedlungen haben die Florentinerinnen ihre alte Tradition : "das Hutflechten" mit hinübergenommen. Freundliche, nachbarliche Gespräche gehen dabei von Wohnung zu Wohnung - und Konkurrenzneid ist hier unbekannt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie 92.592 A : photo 5]
- Image 159313 : 6. Florentiner Hüte. Die alte Verkäuferin im Hintergrunde des Bildes weiss sehr wohl, dass die Damen nicht eher kaufen werden, als bis sie sämtliche Hüte durchprobiert haben - um dann doch den Hut zu nehmen, den die schon mit sicherem Griff gleich als ersten beiseite gelegt haben. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie 92.592 A : photo 6]
- Image 159314 : 7. Florentiner Hüte. Ein farbenprächtiges Bild bietet der Mercato Vecchio in Florenz mit seinen dicht gedrängt stehenden "Strohständen". Hier kann man alles finden, was nur irgendwie aus Stroh für eine Frau hergestellt wird. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur][Orbis photo] [Serie 92.592 A : photo 7]
- Image 159315 : 8. Florentiner Hüte. Junge Florentinerinnen bei der Herstellung von Handtaschen aus weiss gebleichtem Stroh. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie 92.592 A : photo 8]
- Reportage : Chasse au faisan dans le district de Donau (Landkreis) avec le Prince Ratibors, 20/12/1931. - 12 photos
- Image 171170 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3341. A SHY COUPLE POSING FOR THE CURIOUS PHOTOGRAPHER. Gustersheim, Styria, Austria : - On the estates of Prince Schwarzenberg in Styria, chamois hunting is still the noble sport of the Austrian huntsmen. Picture shows :- a most unusual study made of the shyest animals of the moutains. A chamois doe with her fawn feeding on a Winter day. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3341.] [PHOTO CHAMPROUX. 20 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Image 171171 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3342. "TO BE OR NOT TO BE". CHAMOIS RUN FOR THEIR LIFE. Gustersheim, Styria, Austria : - On the estates of Prince Schwarzenberg in Styria, chamois hunting is still the noble sport of the Austrian huntsmen. Picture shows :- 3 chamois bucks racing down a steep hill frightend by the first shot of a hunter. In the background a high moutain range can be seen typical of the Styrian moutains. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3342.] [PHOTO CHAMPROUX. 20 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Image 171172 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3344. WADING ITS WAY THROUGH DEEP SNOW. Gustersheim, Styria, Austria : - On the estates of Prince Schwarzenberg in Styria, chamois hunting is still the noble sport of the Austrian huntsmen. Picture shows :- A chamois wading its way through knee deep snow, which, by the way, is nothing unusual in the Styrian moutains where winter is very severe. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3344.] [PHOTO CHAMPROUX. 20 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Image 171173 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3347. OUT FOR A DAYS SHOOTING. PRINCE HOHENLOHE AND PRINCE RATIBOR LIKE HUNTING. Danube district, Austria :- The Danube district with its large forests and moors gives shelter to many a wild animal. It is particularly stag that can be found on the hunting estates of Prince Ratibor, but also many rare birds live in the moors near the Danube. Picture shows :- Prince Hohenlohe and Prince Ratibor leaving the latter's country house out for a days shooting. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3347.] [PHOTO CHAMPROUX. 19 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Image 171174 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3348. AWAITING THE GAME. AUSTRIAN PRINCE ENTERTAINS SHOOTING PARTY ON HIS ESTATE. Danube District, Austria :- The Danube district with its large forests and moors gives shelter to many a wild animal. It is particularly stag that can be found on the hunting estates of Prince Ratibor, but also many rare birds live in the moors near the Danube. Picture shows :- Prince Ratibor, sitting on a camp chair, behind him his game keeper, awaiting the game in his hunting estates in the Danube district. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3348.] [PHOTO CHAMPROUX. 20 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Image 171175 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3349. ENJOING LIFE. A PRINCELY STAG BREAKS THROUGH THE BUSHES. Danube District, Austria :- The Danube district with its large forests and moors gives shelter to many a wild animal. It is particularly stag that can be found the hunting estates of Prince Ratibor, but also many rare birds live in the moors near the Danube. Picture shows :- A stag breaking through the bushes during the rutting season early on an Autumn morning. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3349.] [PHOTO CHAMPROUX. 20 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Image 171176 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3350. ROAMING THROUGH THE DANUBE WOODS. Danube district, Austria :- The Danube district with its large forests and moors gives shelter to many a wild animal. It is particularly stag that can be found the hunting estates of Prince Ratibor, but also many rare birds live in the moors near the Danube. Picture shows :- A fallow buck in the November, mist looking curiously at the photographer. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3350.] [PHOTO CHAMPROUX. 20 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Image 171177 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3360. ALMOST LIKE MOVIES. SIX STAGES OF A RUNNING FOX. Danube district, Austria :- The Danube district with its large forests and moors gives shelter to many a wild animal. Besides the stag, which is at home in the woods, many rare birds and small beasts of prey are to be found on the huge estates of Prince Ratibor in this district. Picture shows :- 6 different views of a fox running at full speed. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3360.] [PHOTO CHAMPROUX. 19 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Image 171178 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3361. PHEASANT SHOOTING ON PRINCE RATIBOR ESTATE. Danube district, Austria :- The Danube district with its large forests and moors gives shelter to many a wild animal. Besides the stag, which is at home in the woods, many rare birds and small beasts of prey are to be found on the huge estates of Prince Ratibor in this district. Picture shows :- The game keepers of the Prince Ratibor at a pheasant shooting with the famous Waimarauer setters. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3361.] [PHOTO CHAMPROUX. 20 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Image 171179 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3362. A HUNTING PRINCE. Danube District, Austria :- The Danube district with its large forests and moors gives shelter to many a wild animal. Prince Ratibor one of the most aristocratic families of old-Austria has large hunting estates there and big hunting parties are organized yearly in the Danube woods, where the aristocracy of pre-war Austria meets. Picture shows :- The Prince Ratibor (on the left) with his game-keepers on a shooting party in the Danube district on his estate. This photo is so much more interesting as the Prince seldom poses for photographs. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3362.] [PHOTO CHAMPROUX. 20 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Image 171180 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3364. A FINE BOOTY. PRINCE SCHWARZENBERG CHAMOIS SHOOTING. Gustersheim, Styria, Austria :- Chamois shooting has always been the noble sport of the Austrian aristocracy. Very few, however, have still the means to keep up this old traditional sport which wants much patience and ski. Prince Schwarzenberg who has large hunting estates in the Styrian moutains is one of the most renowned chamois hunters. Picture shows :- Prince Schwarzenberg (Second from the right) with his game-keepers after a successful chamois shooting party on his estate in Styria. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3364] [PHOTO CHAMPROUX. 19 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Image 171181 : EXCLUSIVE : THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS. WIDE WORLD PHOTOS VIENNA BUREAU. ABB 3366. HAVING A WALK THROUGH THE FOREST. Danube district, Austria :- The Danube district with its large forests and moors gives shelter to many a wild animal. It is particularly stag that is at home on the huge hunting estates of the Prince Ratibor. Picture shows :- Stag and hinds coming out of the bushes. They seem to have noticed the photographer who, by the way, was quite near to them, as they are lifting their heads suspiciously. [COPYRIGHT BY THE NEW YORK TIMES WIDE WORLD PHOTOS.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [ABB 3366.] [PHOTO CHAMPROUX. 20 DEC 1931. BRUXELLES.]
- Reportage : Commémoration du bicentenaire de la mort du Prince Eugen von Savoyen, 21/04/1936. - 3 photos
- Reportage : compagnie de ballet en voyage, 1942. - 5 photos
- Image 171377 : Ein Ballett auf Reisen. Das Pfundmayr-Ballett aus Wien tanzt vor Fliegern. 1. Die Stimmung des Künstlervökchens während der langen Autobusfahrten ist sehr verschieden. Übermütige Ausgelassenheit wechselt oft mit Gewitterstimmung, besonders wenn sich “Nicht” – und “Raucher" unter den “Sonnenstrahlen” in die Wolle kriegen. Differenzen, die am Abend überhaupt nicht mehr existieren, denn dann halten alle fest zusammen. Ein Bild wiederholt sich aber stets : Toni kuschelt sich in ihren dicken Pelz und schläft Vorrat, während Gerti, die Jüngsten, ununterbrochen isst, und immer wieder die schönsten markenfreien Sachen organisiert. [Copyright by SIPHO.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Zensurstelle-Bildpresse. Brüssel, I.A.] [Série N° 817. Photo N° 1.]
- Image 171378 : Ein Ballett auf Reisen. Das Pfundmayr-Ballett aus Wien tanzt vor Fliegern. 2. Grosse Kissenschlacht im Hotelzimmer : Maria, die Langschläferin wird von Nadia und Willy “veranlasst” aufzustehen. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 817. Photo N° 2.]
- Image 171379 : Ein Ballett auf Reisen. Das Pfundmayr-Ballett aus Wien tanzt vor Fliegern. 5. Mitglieder des Pfundmayr-Balletts in ihrem rassigen Zigeunertanz. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 817. Photo N° 5.]
- Image 171380 : Ein Ballett auf Reisen. Das Pfundmayr-Ballett aus Wien tanzt vor Fliegern. 6. Edith Kliemstein vom Wiener Pfundmayr-Ballett in einer rassigen Polka. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 817. Photo N° 6.]
- Image 171381 : Ein Ballett auf Reisen. Das Pfundmayr-Ballett aus Wien tanzt vor Fliegern. 7. Mit lautem, herzlichem Beifall danken die Flieger dem Pfundmayr-Ballett für seine Darbietungen. Diese Wiener Mädel, die gewohnt sind, beim Film und an den grossen Varietébühnen dor Weltstädte zu arbeiten, nehmen alle Strapazen der Wanderbühne gern auf sich, wern es gilt, unserer Wehrmacht auch in den kleinsten Orten Freude zu bereiten. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 817. Photo N° 7.]
- Reportage : Costume autrichiens, 20/10/1940. - 2 photos
- Reportage : Curiosité à Graz, une citadelle impériale, 08/09/1941. - 3 photos
- Reportage : Curiosités historiques militaires dans un musée de l'armée à Vienne, 1930-1945. - 5 photos
- Reportage : défilé de mode dans une maison de la mode à Vienne, 29/10/1943. - 8 photos
- Reportage : développement en 100 ans des techniques de la guerre, 1930-1945. - 4 photos
- Reportage : Ecole d'agriculture au Tyrol, 25/05/1944. - 12 photos
- Reportage : Ecole d'art textile pour paysannes de Steiermark, [1930-1940]. - 10 photos
- Image 171580 : Bäuerliche Webschule in der Steiermark. Dies freundliche Bild ist keineswegs vom Fotographen gestellt, sondern es wird wirklich noch sehr viel in der Steiermark gesponnen. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1794 A. Photo N° 8.]
- Image 171581 : Bäuerliche Webschule in der Steiermark. Typisch ist dieses Häuschen für die Steiermark. Die Lehrerin der Webschule bewohnt es. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1794 A. Photo N° 9.]
- Image 171582 : Bäuerliche Webschule in der Steiermark. Auch sehr hübsche Stoffe für Haushaltszwecke werden hier gewebt, vom Küchenhandtuch bis zum figuralen Wandteppich. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1794 B. Photo N° 10.]
- Image 171583 : Bäuerliche Webschule in der Steiermark. Die Leiterin der Schule lässt kein Stück aus ihrer Schule hinausgehen, das die nicht einer eingehenden Kontrolle unterzogen hat. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1794 A. Photo N° 1.]
- Image 171584 : *Bäuerliche Webschule in der Steiermark. Mädchen beim Mittagsmahl in ihren verschiedenen Trachten. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1794. Photo N° 7.]
- Image 171585 : *Bäuerliche Webschule in der Steiermark. Die Mädchen auf dem Rasen das selbstgewebte Leinen. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1794 A. Photo N° 4.]
DIE BÄUERLICHE WEBSCHULE IN DER STEIERMARK. Bild 9. Die Mädchen auf dem Rasen das selbstgewebte Leinen. [Copyright by SIPHO.] [EUROPA-BILD. Spezial-Pressedienst. Orbis Photo.] [Série N° 92.479. Photo N° 4.]
- Image 171586 : *Bäuerliche Webschule in der Steiermark. Hier wird die Wolle gekämmt. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1794. Photo N° 6.]
Die bäuerliche Webschule in der Steiermark. Bild 6-10. Die Steiermark ist wohl die Banschaft unter den deutschen Bauen, deren Bevölkerung am bewegtesten an ihren alten Sitten und Gebräuchen festhält und daher ihre heimatlichen Trachten in Stadt und Land pflegt und lebendig erhält. In Weitz bei Graz befindet sich die Webschule für Mädchen aus bäuerlichen Kreisen, die in Anschaunng und Belehrung dafür sorgt, dass die alte Steiermärkische Tracht in ihrer besonderen Herbheit und farblichen Strehge erhalten bleibt, wie sie einmal ist. Ausserdem wird in 8 wöchigen Kursen alles den Mädchen gelehrt, um sich ihre Kleider selbst nähen zu können. Ebenso erhalten sie von Grund auf jede Kenntniss vom Weben, von der Behandlung der Naturwolle bis zum fertigen Stoff. Bild 6. Hier wird die Wolle gekämmt. [Copyright by SIPHO.] [EUROPA-BILD. Spezial-Pressedienst. Orbis Photo.] [Série N° 92.479. Photo N° 1.]
- Image 171587 : *Bäuerliche Webschule in der Steiermark. Garnspulen ist nicht nur eine wichtige, sondern auch eine fröhliche Arbeit. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1794 A. Photo N° 3.]
DIE BÄUERLICHE WEBSCHULE IN DER STEIERMARK. Bild 7. Garnspulen ist nicht nur eine wichtige, sondern auch eine fröhliche Arbeit. [Copyright by SIPHO.] [EUROPA-BILD. Spezial-Pressedienst. Orbis Photo.] [Série N° 92.479. Photo N° 2.]
- Image 171588 : *Bäuerliche Webschule in der Steiermark. Das ist ja nun allerdings der aufregendste Raum für die Schülerinnen : die Schneiderei ! [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1794. Photo N° 5.]
DIE BÄUERLICHE WEBSCHULE IN DER STEIERMARK. Bild 10. Das ist ja nun allerdings der auregenste Raum für die Schülerin : die Schneiderei ! [Copyright by SIPHO.] [EUROPA-BILD. Spezial-Pressedienst. Orbis Photo.] [Série N° 92.479. Photo N° 5.]
- Image 171589 : *Bäuerliche Webschule in der Steiermark. Blick in den Websaal. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1794. Photo N° 2.]
DIE BÄUERLICHE WEBSCHULE IN DER STEIERMARK. Bild 8. Blick in den Websaal [Copyright by SIPHO.] [EUROPA-BILD. Spezial-Pressedienst. Orbis Photo.] [Série N° 92.479. Photo N° 3.]
- Reportage : Ecole d'arts et métiers de Vienne, 05/11/1941. - 13 photos
- Reportage : Ecole de dressage de chevaux espagnols à Vienne, 1930-1940. - 8 photos
- Reportage : Ecole de mode du Deutsche Arbeitsfront à Vienne, 1940-1944. - 12 photos
- Reportage : Ecole supérieure de diététique à Berlin, 22/10/1931. - 9 photos
- Image 171700 : Die Hochschule für Diät. Diätschule und Diätküche des Augusta-Hospitals, Berlin. (Siehe beiliegenden Artikel). Die abgeteilten Diätmengen werden schon in der Küche für jeden Kranken in Menagen angerichtet und im Wärmekästen, mit Namen versehen, den Kranken gebracht. Mö. Copyright by Presse-Photo G.m.b.H., Berlin SW. 68. Markgrafenstr. 87. TEXT OHNE GEWAEHR. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [PHOTO CHAMPROUX. 22 OCT 1931. BRUXELLES.]
- Image 171701 : Die Hochschule für Diät. Diätschule und Diätküche des Augusta-Hospitals, Berlin. (Siehe beiliegenden Artikel). Der Facharzt für Diätetik erteilt den theoretischen Unterricht. Mö. Copyright by Presse-Photo G.m.b.H., Berlin SW. 68. Markgrafenstr. 87. TEXT OHNE GEWAEHR. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [PHOTO CHAMPROUX. 22 OCT 1931. BRUXELLES.]
- Image 171702 : Die Hochschule für Diät. Diätenschule und Diätenküche des Augusta-Hospitals, Berlin. (Siehe beiliegenden Artikel). Mehrere Arbeitsgruppen mit vielen Hilfskräften sind nötig, um individuelle Diätetik durch ühren. Mö. Copyright by Presse-Photo G.m.b.H., Berlin SW. 68. Markgrafenstr. 87. TEXT OHNE GEWAEHR. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [PHOTO CHAMPROUX. 22 OCT 1931. BRUXELLES.]
- Image 171703 : Die Hochschule für Diät. Diätenschule und Diätenküche des Augusta-Hospitals, Berlin. (Siehe beiliegenden Artikel). Frühmorgens werden die Diätenforderungen besprochen und die Tagesaufgaben verteilt. Mö. Copyright by Presse-Photo G.m.b.H., Berlin SW. 68. Markgrafenstr. 87. TEXT OHNE GEWAEHR. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [PHOTO CHAMPROUX. 22 OCT 1931. BRUXELLES.]
- Image 171704 : Die Hochschule für Diät. Diätenschule und Diätenküche des Augusta-Hospitals, Berlin. (Siehe beiliegenden Artikel). Nun werden die auf dem Arbeitsplan übertragen Anforderungen nach Vorschrift in Angriff genommen. Mö. Copyright by Presse-Photo G.m.b.H., Berlin SW. 68. Markgrafenstr. 87. TEXT OHNE GEWAEHR. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [PHOTO CHAMPROUX. 22 OCT 1931. BRUXELLES.]
- Image 171705 : Die Hochschule für Diät. Diätschule und Diätküche des Augusta-Hospitals, Berlin. (Siehe beiliegenden Artikel). (?)nmittag laufen von den (?)ationen die Diätverordnun-(?) (?)and werden auf die Arbeits-(?) (?)betragen. Mö. Copyright by Presse-Photo G.m.b.H., Berlin SW. 68. Markgrafenstr. 87. TEXT OHNE GEWAEHR. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [PHOTO CHAMPROUX. 22 OCT 1931. BRUXELLES.]
- Image 171706 : Die Hochschule für Diät. Diätenschule und Diätenküche des Augusta-Hospitals, Berlin. (Siehe beiliegenden Artikel). Vorbereitete Gemüse werden maschinell zerkleinert. Mö. Copyright by Presse-Photo G.m.b.H., Berlin SW. 68. Markgrafenstr. 87. TEXT OHNE GEWAEHR. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [PHOTO CHAMPROUX. 22 OCT 1931. BRUXELLES.]
- Image 171707 : Die Hochschule für Diät. Diätschule und Diätküche des Augusta-Hospitals, Berlin. (Siehe beiliegenden Artikel). Die Einzelportionen müssen vielfach nach Gewicht verabreicht werden. Mö. Copyright by Presse-Photo G.m.b.H., Berlin SW. 68. Markgrafenstr. 87. TEXT OHNE GEWAEHR. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [PHOTO CHAMPROUX. 22 OCT 1931. BRUXELLES.]
- Image 171708 : Die Hochschule für Diät. Diätenschule und Diätenküche des Augusta-Hospitals, Berlin. (Siehe beiliegenden Artikel). Frischgemüse ist zu putzen. Mö. Copyright by Presse-Photo G.m.b.H., Berlin SW. 68. Markgrafenstr. 87. TEXT OHNE GEWAEHR. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [PHOTO CHAMPROUX. 22 OCT 1931. BRUXELLES.]
- Reportage : Enseignement primaire pour filles et garçons à Burgenland, 04/01/1932. - 3 photos
- Reportage : Entreprise modèle en Autriche, 30/04/1941. - 29 photos
- Reportage : examen de chevaux (étalons) à Wels, 27/11/1944. - 10 photos
- Reportage : Expédition scientifique sur le corail aux Bahamas, [1930-1940]. - 8 photos
- Reportage : Fabrication de timbres artistiques dans une imprimerie viennoise., 1942. - 11 photos
- Image 171477 : 1. Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. Erich Meerwald, der "Vater" der Sonderbriefmarken, der sich auch seit vielen Jahren durch seine künstlerischen Plakate einen Namen gemacht hat, bei der Ausarbeitung eines neuen Sonderbriefmarke-Entwurfs. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92843 B. Photo N° 1.]
- Image 171478 : 2. Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. Der Künstler beim "Quellenstudium". Ehe er seine neue Sondermarke entwirft, erarbeitet er aus Archiven, Fachbüchern und Atlanten die notwendigen Unterlagen für die stoffliche Gestaltung. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92843 B. Photo N° 2.]
- Image 171479 : 11. Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. Fertig gedruckte Markenserien in der Perforiermaschine. Die kleinen Kunstwerke können nun ihren Weg in die weite Welt antreten. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92843 B. Photo N° 3.]
- Image 171480 : 10. Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. In der Reichsdruckerei und der Wiener Staatsdruckerei wird nach der Vorlage des Graphikers, der Stahl- oder Kupferstich von künstlerischer Hand erzeugt, der die Grundlage für den Druck der Marken bildet. Die Konturen werden, wie hier, mit dem Pantographen übertragen, der eigentliche Inhalt des Entwurfs wird freihändig gestochen. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° Photo N°]
- Image 171481 : 3. Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. Eine Rohskizze wird gefertigt. Sie wird jedoch meist der endgültigen Ausführung des Entwurfs zugrundegelet - ein Beweis für die hohe graphische Begabung Meerwalds. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92843 B. Photo N° 4.]
- Image 171482 : 8. Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. Erich Meerwald ist nicht nur der Schöpfer neuer kunstvoller Serien von Sonderbriefmarken, wozu ihm die Deutsche Reichspost immer wieder Aufträge erteilt, sondern auch selbst eifriger und erfolgreicher Sammler. Seine Belgienkollektion staht einzig da und wird auch in Fachkreisen entsprechend bewertet. In seiner Gattin, die sich hier mit ihm über einen "Zugang" freut, besitzt der Künstler eine verständnisvolle und eifrige Helferin. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92843 B. Photo N° 5.]
- Image 171483 : 9. Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. Seine grosse Liebe gehört den Briefmarken, eine kleine Leidenschaft zieht ihn daneben zur Mineralogie. Erich Meerwald nennt eine beachtliche Gesteinsammlung sein eigen, unter der besonders die Versteinerungen gut vertreten sind. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92843 B. Photo N° 6.]
- Image 171484 : Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. An bereits erschienenen Marken unterrichtet sich der Künstler über die gebräuchlichen Formate und die Drucktechnik. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92843 B. Photo N° 7.]
- Image 171485 : 5. Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. Ein neuer Entwurf kurz vor der endgültigen Fertigstellung. Die Vorlage wird in achtfacher Vergrösserung des Originalformats der Sonderbriefmarken an die Druckereien geliefert. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92843 B. Photo N° 8.]
- Image 171486 : 6. Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. Ein letzter kritischer Blick. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92843 B. Photo N° 9.]
- Image 171487 : 7. Beim "Vater" der Sonderbriefmarken. Alle diese Sonderbriefmarken, die der Künstler in vergrösserten Format zu einer Sammlung vereinigt hat, stammen von seiner Hand. Jede ist ein kleines Kunstwerk. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92843 B. Photo N° 10.]
- Reportage : fête semestrielle de la province du Tyrol, 13/07/1944. - 10 photos
- Reportage : "Gestalte en wezen van de Weense vrouw" : portraits de femmes viennoises à travers des artistes autrichiens, [1930-1945]. - 4 photos
- Reportage : Gitans, mariage et enterrements, [1938-1945]. - 10 photos
- Reportage : Gubbio, petit village d'Umbrie, niché dans les montagnes, [...-1945]. - 9 photos
- Image 159118 : Gubbio - ein umbrisches Bergnest. 1. Hoch über der Gubbio schwebt die säulenumgärtete Terrasse der Signoria. Der Blick von ihr über die weite umbrische Landschaft ist eins der vielen Geschenke, die dies Städtchen so freigiebig macht. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 92.279 A. photo 1]
- Image 159119 : Gubbio - ein umbrisches Bernest. 2. Jeder Italienreisende kennt diese kleinen Strassenausschnitte und liebt sie. Diese sind es, die es einen nicht müde werden lassen, durch die kleinen Gassen zu schlendern. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 92.279 A. photo 2]
- Image 159120 : Gubbio - ein umbrisches Bergnest. 3. Über dem Palazzo der Marquesi Brancaleoni-Ranghiacci, einem alten Adelsgeschlecht aus Gubbio, erhebt sich der Dom. Es liegt an der Enge dieser alten Bergstadt, dass ihre Bauter wie ineinandergeschachtelt erscheinen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 92.279 A. photo 3]
- Image 159121 : Gubbio - ein umbrisches Bergnest. 4. Fast verblüffend wirkt der plötzliche Blick auf die hochschwebende Signoria. Ihr Unterbau ist eine architektonische Sehenswürdigkeit. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 92.279 A. photo 4]
- Image 159122 : Gubbio - ein umbrisches Bergnest. 5. Kleiner winkel in Gubbio, seine Stille und sein Frieden werden unterstrichen vom gleichmässigen Rauschen des Wassers im Brunnebecken. Hier holen noch heute die Bürger ihr kühles Trinkwasser. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 92.279 A. photo 5]
- Image 159123 : Gubbio - ein umbrisches Bergnest. 6. Auch der kleinste Weg führt in Gubbio unweigerlich über eine Treppe. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 92.279 A. photo 6]
- Image 159124 : Gubbio - ein umbrisches Bergnest. 7. Die Massigkeit der Signoria wird ins heiter-elegante abgebogen durch den Säulenumgang und die wunderbare Zackung der Zinnen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 92.279 A. photo 7]
- Image 159125 : Gubbio - ein umbrisches Bergnest. 9. Der Platz vor der Signoria - dem Palazzo dei Senatori in Gubbio. Sowohl von aussen wie von innen gleich wunderbar, ist der Palast ein Juwel mittelalterlicher Baukunst. Er beherbergt heute ein stadtgeschichtliches Museum. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 92.279 A. photo 9]
- Image 159126 : gubbio - ein umbrisches Bergnest. 8. Am alten Palazzo, aber auch an Bürgerhäusern in der Toscana und in Umbrien finden sich diese originellen Mauerringe. Daran band und bindet man seinen Maulesel oder das Pferd an, während man seinen Besorgungen nachgeht. Die Ringe hängen an schmiedeeisernen Haken, die in tausend Formen abgewandelt durch ihre humorvolle Art überraschen. Meist sind es Tier- oder Menschenfratzen, die nachgebildet wurden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 92.279 A. photo 8]
- Reportage : Habitation d'artisans viennois détruites pendant les bombardements, 21/03/1944. - 3 photos
- Reportage : Images d'Alaska, [1930-1940]. - 7 photos
- Reportage : Institut d'acoustique architecturale, [1930-1945]. - 7 photos
- Reportage : Ischia contre des Ischias, [...-1945]. - 15 photos
- Image 159103 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Lava scura und am heissen Strand von Maronti. Das ist die Cava scura oder Dunkle Schlucht, die man ein paar hundert Meter durchschreiten muss, ehe man zu den zweitausend Jahre alten Felsenbädern gelangt, die von griechischen Kolonisten aus den Felsen herausgemeisselt wurden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 1]
- Image 159104 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Die eine der Quellen tritt mit 98 C. an die Oberfläche, so heiss, dass man Eier kochen kann. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 2]
- Image 159105 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Luigi, der Pächter der Felsenbäder, ist ein Ziegenhirte, der sich nicht viel um die Bäder kümmert-. Meist sitzt er am Wegrand und fragt die Vorübergehenden : "Hast Du Gebadet ?" Und wenn man bejacht, muss man eine Lira bezahlen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 3]
- Image 159106 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Eine halbe Stunde von San Angelo entfernt kiegen die Felsenbäder in der Cava scura, die man auf schmalen Küstenweg zwischen Agaven un Aloen erreicht. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 4]
- Image 159107 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Jeder sein eigener Badenmeister. Das Bad mischt man sich selbst, bis es die gewünchte Temperatur hat. Links die heisse Quelle mit 98 C. in der Mitte Wasser von Lufttemperatur und rechts die lauwarme Quelle mit 25 C. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 5]
- Image 159108 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Bad im heissen heilkräftigen Sand am Strand von Maronti. Man gräbt sich selbst in den glühend heissen Sand ein oder lässt sich dabei von einem Fischer helfen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 6]
- Image 159109 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Köpfe rollen.... Gegen Rheumatismus, Gicht und Ischias ein heilkräftiges Sandbad am heissen Strand von Maronti. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 9]
- Image 159110 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Ein Bad in dem heissen heilkräftigen Sand am Strand von Maronti. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 10]
- Image 159111 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Bad im heissen heilkärftigen Sand am Strand von Maronti. Man gräbt sich selbst in den glühend heissen Sand ein oder lässt sich dabei von einem Fischer helfen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 12]
- Image 159112 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Das Sonderbarste der Cava scura oder Dunklen Schlucht sind die Felsenbäder, jene Badelkammern, die vor zwei Jahrtausenden griechische Kolonisten aus den Felsen herausmeisselten und die auch heute noch gelegentlich benutzt werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 8]
- Image 159113 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Eine warme Dusche. Primitiv, wie vor zweitausend Jahren einer hilft dem anderen. In diesen Badekammern meisselte man einfach die vertieften Wannen aus den Felsgestein heraus und führte in offenen Rinnen das heisse Quelwasser zu. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 13]
- Image 159114 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Romantisch wie die Felsenbäder ost der Zugang in die Cava scura Dunkle Schlucht. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 14]
- Image 159115 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Das Sonderbarste der Cava scura oder Dunklen Schlucht sind die Felsenbäder, jene Badekammern, die vor zwei Jahrtausenden griechische Kolonisten aus den Felsen herausmeisselten und die auch heute noch gelegentlich benutzt werden. Die Badekammern rechts oben im Bild sind unzugänglich und stammen aus einer Zeit als die Schlicht noch nicht die heutige Tiefe hatte. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 11]
- Image 159116 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. Das Sonderbarste der Cava scura oder Dunklen Schlucht sind die Felsenbäder, jene Badekammern, die vor zwei Jahrtausenden griechische Kolonisten aus den Felsen herausmeisselten und die auch heute noch gelegentlich benutz werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 7]
- Image 159117 : Ischia gegen Ischias. In den zweitausend Jahre alten Felsenbädern der Cava scura und am heissen Strand von Maronti. San Angelos, ein kleiner afrikanisch anmutender Ort an der Südküste von Ischia mit weissschimmernden, flachgedeckten Häusern, in dessen Nähe sich die Cava scura mit den Felsenbädern befindet. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Serie 1857 B : photo 15]
- Reportage : La cathédrale Saint-Etienne à Vienne, 30/12/1943. - 7 photos
- Reportage : La maison de la mode à Vienne dit ..., 30/03/1944. - 3 photos
- Reportage : La nouvelle Semmelweis-Frauenklinik à Vienne, [1930-1940]. - 16 photos
- Image 171709 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/1. Der Retter der Mütter : Glückliche Mütter, die ihre Kinder in der neuen Wiener Semmelweis-Frauenklinik zur Weltbrachten, vor dem im Garten der Anstalt errichteten Denkmal für Ignaz Semmelweis. Schon 1847 führte Prof. Semmelweis als Erster den Nachweis, dass nicht, wie man glaubte, Erkältungen, sondern die fehlende desinfektion das Kindbettfieber verursachte, dem früher Hunderttausende junger Mütter zum Opfer fielen. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 1.]
- Image 171710 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/2. Eine mustergültige Anlage : Neugeborene Kinder in übersichtlichen Glasboxen, wo sie bis zur Entlassung der Mütter in bester Pflege gehalten weredn. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 2.]
- Image 171711 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/4. Besondere Wasch- und Wickeltische erleichtern die vorbildliche pflegliche Behandlung der Neugeborenen in der Semmelweis-Frauenklinik in Wien. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 3.]
- Image 171712 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/7. Blick in den vorbildlich eingerichteten Kreisssaal der Wiener Semmelweis-Frauenklinik. Durch Wände voneinander getrennt, liegen die Wöchnerinnen in dem grossen, hellen und freundlichen Raum, dessen graublaue Tönung eine erprobte psychologisch beruhigende Wirkung erzielt. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 4.]
- Image 171713 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/8. Besonders praktisch konstruiert : schnell teilbare Betten ermöglichen in kürzester Zeit zweckmässige Behandlung der Wöchnerinnnen. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 5.]
- Image 171714 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/9. Während im Hintergrund Professor und Schwester am Bett der jungen Mutter stehen, wird vorn ein junger Erdenbürger von der Schwester zum ersten Mal betreut. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 6.]
- Image 171715 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/11. Liebevollste Pflege und eingehendste Behandlung der Neugeborenen ist für die Schwester der Semmelweis-Frauenklinik höchste Pflicht. Auch Schädelmessungen nach Umfang und Form gehören zu ihren Aufgaben. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 7.]
- Image 171716 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/13. Nur Schaupackung - der glückliche Vater muss noch warten, bis er sein Kind auf den Arm nehmen kann. Reizvoll ist die durch künstliches Licht erhellte Besuchernische gebaut und ausgestattet. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 8.]
- Image 171717 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/17. Neben jedem Kreisssaal befindet sich ein Operationssaal, dessen Einrichtung den modernsten Ansprüchen genügt.. Hier ist der Leiter, Prof. Dr. Siegmund, mit einer gynäkologischen Operation beschäftigt, wobei die Patientin auf einem in jede Lage verstellbarem Bett ruht. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 9.]
- Image 171718 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/18. Um Betten, Wäsche und Gerätchaften peinlichst sauber und keimfrei halten zu können, arbeiten in der Semmelweis-Frauenklinik in Wien Batterien von Kesseln zum Sterilisieren. Sie können wahlweise mit Dampf oderelektrischem Strom betrieben werden. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 10.]
- Image 171719 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/19. Zu den mustergültigen Anlagen der Semmelweis-Frauenklinik gehören auch besondere Belüft(?)sanlagen, die die Zufuhr gefilterter Frischluft ermöglicht, ohne die Fenster öffnen zu müssen. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 11.]
- Image 171720 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/22. Während der Operation bei der Bedienung des deutschen Einheitssterilisators. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 12.]
- Image 171721 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/24. Im Unterrichtssaal der Semmelweis-Frauenklinik, in der 40 Hebammenschülerinnen in 18 monatiger Schulung und 5 weitere zur Nachschulung ausgebildet werden. Hier ist ein erfahrener Gynäkologe und Geburtenhelfer bei der Arbeit, den Hebammenschülerinnen neue Erkenntnisse zu vermitteln. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 13.]
- Image 171722 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/27. Hebammenschülerinnen der Semmelweis-Frauenklinik in Wien angeschlossenen Hebammen-Lehranstalt beim Mittagessen. In eineinhalbjähriger Schulung werden sie zu tüchtigen Helferinnen ausgebildet, die das Gebiet der Geburtenhygiene und Geburtsheilkunde auf Grund der Erkenntnis und Erfolge des Arztes Semmelweis beherrschen. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 14.]
- Image 171723 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/29. Eine besondere Röntgen Einrichtung für gynäkologische Zwecke in der Semmelweis-Frauenklinik in Wien. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 15.]
- Image 171724 : Die neue Semmelweis-Frauenklinik in Wien, ein Symbol ewigen deutschen Lebenswillens. 2990/30. Der Eingang zur Semmelweis-Frauenklinik der Stadt Wien, ein Musterinstitut für Geburtshygiene und Geburtsheilkunde. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1432. Photo N° 16.]
- Reportage : Le Grand Glockner le Roi des montagnes Allemandes, 14/08/1944. - 12 photos
- Reportage : le long du Danube, de Passau à Vienne, 1943. - 12 photos
- Image 171309 : An der Donau. Von Passau bis Wien. Eine Donaufahrt von Passau nach Wien führt durch zauberisch schöne Landschaften und vorbei an tiefernsten Wäldern, an wilden Felsenszenerien und alten Burgen und Schlössern. Es gibt viele Menschen sogar, die eine solche Donaufahrt schöner und besinnlicher finden als die Rheinfahrt von Mainz bis Köln.
Bild 1. Abtei Engelszell a.D.Von Passau kommend liegt inmitten gepflegter Gärten das Kloster Engels zell, das lange verweist dastand, bis es 1925 von aus dem Elsass vertriebenen Trappisten wieder bezogen wurde. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 1.] [119/1.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Image 171310 : Bild 2. Abteikirche Engelszell. Blick auf den Hochaltar der Stiftskirche. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 2.] [119/2.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Image 171311 : Bild 3. Der Eingang zur schönsten Rokokokirche Grossdeutschlands der Stiftskirche in Wilhering, mit den prachtvollen Schauenberger Gräbern. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 3.] [119/3.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Image 171312 : Bild 4. Stift St. Florian bein Linz. St. Florian ist das älteste Kloster der Ostmark. Der grossartige Barokbau gilt als einer der schönsten dieser Stilperiode. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 4.] [119/4.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Image 171313 : Bild 5. St. Florian bein Linz. Inneres der Stiftskirche mit der berühmten Orgel der zweitgrössten Europas an der Anton Bruckner viele Jahrelang gewirkt und geschaffen hat. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 5.] [119/5.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Image 171314 : Bild 6. Stift Melk/Niederöstereich. Das grösste und berühmteste der geistlichen Stiftschlösser. Die herrliche Prunkfassade (von Meister Prandthauer) ist nach Westen gerichtet, Einst war hier eine Grenzbestung, dann wurde Melk herzogsschloss der Babenberger, bis es um die Jahrhundertwende geistliches Stift wurde. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 6.] [119/6.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Image 171315 : Bild 7. Wachau : Schloss Schönbühl, wo die Donau in eine waldige Enge eintritt. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 7.] [119/7.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Image 171316 : Bild 8. Ruine Greifenstein an der Donau/Niederösterreich. An den Hängen des Wiener Waldes gelegen, geniesst man von der Ruine Greifenstein einen herrlichen Blick über den immer breiten werdenden Donaustrom. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 8.] [119/8.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Image 171317 : Bild 9. Wachau : Spitz an der Donau, im Herzen der wachau gelegen, den Wienern durch die dort gern genossenen Weine wohlbekannt. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 9.] [119/9.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Image 171318 : Bild 10. Wachau. Donaudampfer bei Dürnstein. Stadt und Burg Dürnstein ist idyllisch an der Donau gelegen. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 10.] [119/10.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Image 171319 : Bild 11. Klosterneuburg. Blick auf Klosterneuburg. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 11.] [119/11.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Image 171320 : Bild 12. Stift Klosterneuburg. Markt in Klosterneuburg an der Donau mit der Stiftskirche im Hintergrund. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.791. Photo N° 12.] [119/12.] [EUROPA-BILD - Spezial-Pressedienst. Nachdruksrechte durch. Orbis Photo.]
- Reportage : Le petit Lotto, [1932]. - 8 photos
- Image 171642 : Das kleine Lotto. - Die Spielbank des kleinen "Mannes". In Oesterreich gibt es ein Glückspiel unter staatlichem Monopol, welches mit ganz kleinen Einsätzen und zwar Mindesteinsatz von 30 Groschen aufwärts ermöglicht, Aussicht auf einen Gewinn zu haben. An bestimmten Tagen werden von 90 Nummern fünf Gewinnrummern gezogen alle übrigen Nummern verlieren. Der Gewinn beträgt ein Vielfaches des Einsatz. Speziell arme Leute die durch den geringen Einsatz die Möglichkeit zu glauben sehen, rasch dadurch zu Reichtum zu kommen sind die häufgisten Spieler des Lottos. Es wird desshalb immer wieder darauf gedrungen die Lotterie einzustellen, doch scheitert dies an den Spielem selbst die mit Leidenschaft an ihren Glücksspiel hängen. Häufig genug setzen diess Leute ihre letzten Ersparnisse auf einige Nummern um dann vor dem leeren Nichts zu stehen. Unser Bild zeigt : Drei gewählte Nummern. Unter der Hand sind die Lotterielose zu sehen. [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".]
- Image 171643 : Das kleine Lotto. - Die Spielbank des kleinen "Mannes". In Oesterreich gibt es ein Glückspiel unter staatlichem Monopol, welches mit ganz kleinen Einsätzen und zwar Mindesteinsatz von 30 Groschen aufwärts ermöglicht, Aussicht auf einen Gewinn zu haben. An bestimmten Tagen werden von 90 Nummern fünf Gewinnrummern gezogen alle übrigen Nummern verlieren. Der Gewinn beträgt ein Vielfaches des Einsatz. Speziell arme Leute die durch den geringen Einsatz die Möglichkeit zu glauben sehen, rasch dadurch zu Reichtum zu kommen sind die häufgisten Spieler des Lottos. Es wird desshalb immer wieder darauf gedrungen die Lotterie einzustellen, doch scheitert dies an den Spielem selbst die mit Leidenschaft an ihren Glücksspiel hängen. Häufig genug setzen diess Leute ihre letzten Ersparnisse auf einige Nummern um dann vor dem leeren Nichts zu stehen. Unser Bild zeigt : Mittwoch und Samstag sind Ziehungstage. An diesen Tagen erwarten vor den Lottokollekturen die Leute das Ziehungsergebnis. Die eingeringelten Nummern zeigen an, dass diese Nummern gezogen wurden. [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".]
- Image 171644 : Das kleine Lotto. - Die Spielbank des kleinen "Mannes". In Oesterreich gibt es ein Glückspiel unter staatlichem Monopol, welches mit ganz kleinen Einsätzen und zwar Mindesteinsatz von 30 Groschen aufwärts ermöglicht, Aussicht auf einen Gewinn zu haben. An bestimmten Tagen werden von 90 Nummern fünf Gewinnrummern gezogen alle übrigen Nummern verlieren. Der Gewinn beträgt ein Vielfaches des Einsatz. Speziell arme Leute die durch den geringen Einsatz die Möglichkeit zu glauben sehen, rasch dadurch zu Reichtum zu kommen sind die häufgisten Spieler des Lottos. Es wird desshalb immer wieder darauf gedrungen die Lotterie einzustellen, doch scheitert dies an den Spielem selbst die mit Leidenschaft an ihren Glücksspiel hängen. Häufig genug setzen diess Leute ihre letzten Ersparnisse auf einige Nummern um dann vor dem leeren Nichts zu stehen. Unser Bild zeigt : Andrerg zur Gewinnkasse. Der erste Tag nach der Ziehung. Jeder kann nicht früh genug seinen Treffer einkassieren. [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".]
- Image 171645 : Das kleine Lotto. - Die Spielbank des kleinen "Mannes". In Oesterreich gibt es ein Glückspiel unter staatlichem Monopol, welches mit ganz kleinen Einsätzen und zwar Mindesteinsatz von 30 Groschen aufwärts ermöglicht, Aussicht auf einen Gewinn zu haben. An bestimmten Tagen werden von 90 Nummern fünf Gewinnrummern gezogen alle übrigen Nummern verlieren. Der Gewinn beträgt ein Vielfaches des Einsatz. Speziell arme Leute die durch den geringen Einsatz die Möglichkeit zu glauben sehen, rasch dadurch zu Reichtum zu kommen sind die häufgisten Spieler des Lottos. Es wird desshalb immer wieder darauf gedrungen die Lotterie einzustellen, doch scheitert dies an den Spielem selbst die mit Leidenschaft an ihren Glücksspiel hängen. Häufig genug setzen diess Leute ihre letzten Ersparnisse auf einige Nummern um dann vor dem leeren Nichts zu stehen. Unser Bild zeigt : Ein Körbchen mit 90 Nummern (Von 1 - 90) ladet zum Spiel ein. Wer eine glücklichen Hand hat kann sich sein Glück ziehen. Gewöhnlich wissen die "Profielottospieler" selbst ihre Nummern und verschmähen das Nummernkörbchen. Aus Träumen seltsame Ereigniss usw. könen Sachverständige Nummern herauslesen, die oft zu Treffer führen sollen. [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".]
- Image 171646 : Das kleine Lotto. - Die Spielbank des kleinen "Mannes". In Oesterreich gibt es ein Glückspiel unter staatlichem Monopol, welches mit ganz kleinen Einsätzen und zwar Mindesteinsatz von 30 Groschen aufwärts ermöglicht, Aussicht auf einen Gewinn zu haben. An bestimmten Tagen werden von 90 Nummern fünf Gewinnrummern gezogen alle übrigen Nummern verlieren. Der Gewinn beträgt ein Vielfaches des Einsatz. Speziell arme Leute die durch den geringen Einsatz die Möglichkeit zu glauben sehen, rasch dadurch zu Reichtum zu kommen sind die häufgisten Spieler des Lottos. Es wird desshalb immer wieder darauf gedrungen die Lotterie einzustellen, doch scheitert dies an den Spielem selbst die mit Leidenschaft an ihren Glücksspiel hängen. Häufig genug setzen diess Leute ihre letzten Ersparnisse auf einige Nummern um dann vor dem leeren Nichts zu stehen. Unser Bild zeigt : In der "Spielbank" oder Lotterie genannt. Die Spielerin gibt die gewünschten Nummern auf welche von der Lotteriebeamtin eingetragen und auf ein Los-Riskonto-genannt vermerkt wird. Die mit Kreide geschriebenen Nummern geben Gewinnsttyps den Spielern bekannt. [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".]
- Image 171647 : Das kleine Lotto. - Die Spielbank des kleinen "Mannes". In Oesterreich gibt es ein Glückspiel unter staatlichem Monopol, welches mit ganz kleinen Einsätzen und zwar Mindesteinsatz von 30 Groschen aufwärts ermöglicht, Aussicht auf einen Gewinn zu haben. An bestimmten Tagen werden von 90 Nummern fünf Gewinnrummern gezogen alle übrigen Nummern verlieren. Der Gewinn beträgt ein Vielfaches des Einsatz. Speziell arme Leute die durch den geringen Einsatz die Möglichkeit zu glauben sehen, rasch dadurch zu Reichtum zu kommen sind die häufgisten Spieler des Lottos. Es wird desshalb immer wieder darauf gedrungen die Lotterie einzustellen, doch scheitert dies an den Spielem selbst die mit Leidenschaft an ihren Glücksspiel hängen. Häufig genug setzen diess Leute ihre letzten Ersparnisse auf einige Nummern um dann vor dem leeren Nichts zu stehen. Unser Bild zeigt : Ziehung im "Kleinen Lotto". Ein Waisenknabe zieht die fünf Nummern aus dem Glücksrad. [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".]
- Image 171648 : Die erste Millionen-Ziehung der Trefferanleihe. Wien, Austria. - Am 1. März fand die erste Ziehung der österr. Trefferanleihe statt. Der höchste Treffer ö.S. 1,000.000.-- der je in Oesterreich aus einem Glücksrad gekommen ist wurde mit der Nummer 159.632 gezogen. Bisher ist der glückliche Gewinner noch nicht bekannt. Unser Bild zeigt : Die Ziehung des Millionen-Treffers der österreichischen Trefferanleihe. [COPYRIGHT BY : Leo Ernst - Albert Hilscher.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".]
- Image 171649 : Das kleine Lotto. - Die Spielbank des kleinen "Mannes". In Oesterreich gibt es ein Glückspiel unter staatlichem Monopol, welches mit ganz kleinen Einsätzen und zwar Mindesteinsatz von 30 Groschen aufwärts ermöglicht, Aussicht auf einen Gewinn zu haben. An bestimmten Tagen werden von 90 Nummern fünf Gewinnrummern gezogen alle übrigen Nummern verlieren. Der Gewinn beträgt ein Vielfaches des Einsatz. Speziell arme Leute die durch den geringen Einsatz die Möglichkeit zu glauben sehen, rasch dadurch zu Reichtum zu kommen sind die häufgisten Spieler des Lottos. Es wird desshalb immer wieder darauf gedrungen die Lotterie einzustellen, doch scheitert dies an den Spielem selbst die mit Leidenschaft an ihren Glücksspiel hängen. Häufig genug setzen diess Leute ihre letzten Ersparnisse auf einige Nummern um dann vor dem leeren Nichts zu stehen. Unser Bild zeigt : Typische Lotteriegestalten. Links diskutieren zwei Frauen über die letzten Nummern welche gezogen wurden. Aus der Lotterie kommt gerade voll Zuversicht die Frau mit den "totsicheren" Nummern. Im Geiste hat sie bereits den höchtsen Treffer gezogen. Dies währt jedoch immer nur bis zum Ziehungstage. [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.] [Copyright by Photo "ACTUALIT".]
- Reportage : le premier gratte-ciel viennois, 1930-1945. - 3 photos
- Reportage : l'école viennoise de ballet, 04/12/1944. - 5 photos
- Image 171352 : Szene aus Nestroys Posse "Das Mädl aus der Vostadt", die im AkademieTheater in Wien neuaufgeführt wurde. In den Hauptrollen Philipp Zeska, Paul Hörbiger, Alma Seidler,Ferd. Maierhofer. K.G. [Copyright by SIPHO.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Zensurstelle-Bildpresse. Brüssel, I.A.] [Série N° 1260 b. Photo N° 3.]
- Image 171353 : Die Schule des Wiener Balletts. Besuch im Studio Hedy Pfundmayr. Hedy Pfundmayr hat nicht nur in Wien, als Tanzsolistin an der Staatsoper, ihr Publikum, sie ist durch ihr hervorragendes Ballett auch ausserhalb ihrer Heimatstadt überall bekannt, ja, gehört zu den ersten Vertretern des Wiener Balletts überhaupt. - Wie ihre Mädel arbeiteten, davon hier ein kleiner Ausschnitt in Bildern. Page und Ritterfräulein. - Szene aus einem neuen Tanz des Balletts Pfundmayr "Ein Minnelied", das in gotischen Kostümen getanzt wird. K/G. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1254 b. Photo N° 1.]
- Image 171355 : Die Schule des Wiener Balletts. Besuch im Studio Hedy Pfundmayr. Page und Ritterfräulein. - Szene aus einem neuen Tanz "Ein Minnelied", der in gotischen Kostümen getanzt wird. K/G. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1254 b. Photo N° 2.]
- Image 171356 : *Die Schule des Wiener Balletts. Besuch im Studio Hedy Pfundmayr. "Narrentanz". - Szene aus "Ein Minnelied", einem Ballett in gotischen Kostümen. K/G. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1254 b. Photo N° 3.]
- Image 171357 : Die Schule des Wiener Balletts. Besuch im Studio Hedy Pfundmayr. Wiener Scharm, gute Laune und ein schönes Kostüm aus "Deutscher Bauerntanz" (Schubert). K/G. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 1254 b. Photo N° 4.]
- Reportage : l'emploi de la faux en Autriche, 1938-1945. - 2 photos
- Reportage : Les autrichiens émigrent vers l'Amérique du Sud, 04/01/1932. - 3 photos
- Reportage : Les futures générations d'acteurs de théâtre de Vienne, 1930-1945. - 19 photos
- Reportage : Lieu de délassement pour les mères dans les montagnes de Kärnten du NSV, 1933-1938. - 7 photos
- Reportage : Loisirs à Grinzing, 4/12/1944. - 10 photos
- Reportage : Lucas von Hildebrandt, maître du baroque allemand, 15/01/1944. - 5 photos
- Reportage : maison de la mode à Vienne, 1942. - 20 photos
- Reportage : Maison de la mode à Vienne, [1944]. - 3 photos
- Reportage : manteaux lodens de Steiermark, 1930-1945. - 10 photos
- Reportage : Mariage pendant guerre au château Mirabell à Salzbourg, 01/05/1940. - 5 photos
- Reportage : Mobilier allemand : exposition du Deutsche Arbeitsfront à Vienne, [1933-1945]. - 14 photos
- Image 171461 : Deutscher Hausrat. Ständige Ausstellung der DAF in Wien. Fach- und Aufklärungsschriften für Siedlung, Heimstätten und Wohnkultur geben den Besuchern wertvolle Hinweise über die Möglich keiten tieferer Information. K/G. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 B. Photo N° 3.]
- Image 171463 : *Deutscher Hausrat. Eine ständige Ausstellung der DAF in Wien. Blick über einen Teil der Ausstellung. K/G. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306. Photo N° 4.]
- Image 171464 : Deutscher Hausrat. Ausstellung der DAF in Wien. So wird der Duschraum in der kommenden Volkswohnung aussehen. K/G. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 a. Photo N° 5.]
- Image 171465 : Deutscher Hausrat. Ausstellung der DAF in Wien. Kochnische hinter dem Wohnraum eines Siedlungshauses. - Entwurf : Prof. Franz Schuster, Wien. 1 Küchenkasten RM 66, - Herd mit geschlossenem Tellerwarmer 149, - Spülbecken mit Tropfbrett 82,45 - 1 Küchenwandregal 82,-. K/G. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 a. Photo N° 6.]
- Image 171466 : Deutscher Hausrat. K/G. Ausstellung der DAF in Wien. Einbettschlafzimmer, Entwurf : Kom-Rat Heimrich Irmler, Wien. 1 Bett, 1 Kasten (zweitür.) 1 Nachtkästchen, 1 Kommmode mit Spiegel, zus. RM 290, - 1 Tischchen RM 41, - 1 Sessel RM 7, -. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 a. Photo N° 7.]
- Image 171467 : Deutscher Hausrat. K/G. Ständige Ausstellung der DAF in Wien. Der Schlafraum eines Siedlungshauses, nach einem Entwurf von Prof. Franz Schuster, Wien. 2 Betten, 2 Nachtkästen, 1 Kommode mit Spiegel, 1 dreitür. Kasten zus. RM 420, - 1 Hocker mit Holzsitz 8,50. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 B. Photo N° 8.]
- Image 171468 : Deutscher Hausrat. Ausstellung der DAF in Wien. Schlfzimmer einer Volkswohnung entsprechend den Raumabmessungen der kommenden Volkswohnung. Entwurf : Prof. Franz Schuster, Wien. 2 Betten 2 Nachtkästen 1 zweitur. Schrank 1 Wäscheschrank 1 Frisiertisch 1 langer Spiegel RM 440, - 1 Hocker mit Holzsitz 1é, -. K/G. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 a. Photo N° 9.]
- Image 171469 : Deutscher Hausrat. Ausstellung der DAF in Wien. Wohnraum einer Volkswohnung, entsprechend den Abmessungen der kommenden Volkswohnung. Entwurf : Prof. Franz Schuster, Wien. 1 dreiteil. Wohnzimmerschrank, 1 Schreibschrank, 1 Esstisch, 4 Sessel mit Rohrsitz RM 375, - 1 Teetisch 44, - 1 Bank mit Holzsitz 30, - 1 Polster, m. Bezug, o. Stoff 21, - 1 Lehnsessel mit Bast- 28, - bzw. Holzsitz 18,50. K/G. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 B. Photo N° 10.]
- Image 171470 : Deutscher Hausrat. Ständige Ausstellung der DAF. Wohnraum einer Volkswohnung, Entwurf : Prof. Franz Schuster, Wien. 1 dreiteil. Wohnzimmerschrank, 1 Schreibschrank, 1 Esstisch, 4 Sessel mit Rohrsitz zus. RM 375, - 1 Teetisch 44, - 1 Bank mit Holzsitz 30, - 1 Polster hierzu, mit Bez. jed. ohne Stoff 21, - 1 Lehnsessel mit Bast- 28, - bzw. Holzsitz 18,50. K/G. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 a. Photo N° 11.]
- Image 171471 : Deutscher Hausrat. Ausstellung der DAF in Wien. Wohnraum einer Volkswohnung, Entwurf : Prof. Franz Schuster, Wien. 1 dreiteil. Wohnzimmerschrank, 1 Schreibschrank, 1 Esstisch, 4 Sessel mit Rohrsitz zus. RM 375, - 1 Teetisch 44, - 1 Bank mit Holzsitz 30, - 1 Polster hierzu mit Bez. jed. ohne Stoff 21, - 1 Lehnsessel mit Bast- 28, - bzw. Holzsitz 18,50. K/G. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 a. Photo N° 12.]
- Image 171472 : Deutscher Hausrat. K/G. Ausstellung der DAF in Wien. Eine Wohnküche, Entwurf : Prof. Witzmann, Wien. 1 Küchenschrank, 1 Anbauschrank, 2 Sitzbänke, 1 Tisch, 1 Wandbord zus. RM 350, - 2 Sessel RM 15,20 - Fichte natur, gewichst, Füllungen Elfenbeinlack, matt geschliffen. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 a. Photo N° 14.]
- Image 171473 : Deutscher Hausrat. K/G. Ausstellung der DAF in Wien. Wohnraum eines Siedlungshauseshauses Entwurf : Prof. Franz Schuster, Wien. 1 dreiteiliger Kasten 1 Ausziehtisch, 1 Esstisch, 4 Sessel mit Holzsitz, zus. RM 280, -. [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 a. Photo N° 13.]
- Image 171578 : [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306 a. Photo N° 1.]
- Image 171579 : [COPYRIGHT BY SIPHO.] [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Série N° 1306. Photo N° 2.]
- Reportage : mode allemande en Autriche, 08/01/1942. - 18 photos
- Reportage : mode viennoise, 04/1944. - 12 photos
- Reportage : Modèle de Salzbourg, 1940-1944. - 3 photos
- Reportage : nouvelle radio internationale autrichienne, 1930-1938. - 3 photos
- Reportage : Nouvelle station de radio en Autriche, 1930-1938. - 6 photos
- Reportage : Ouverture d'un pont de cheminde fer, 1930-1936. - 6 photos
- Reportage : Panniers tressés à Steiermark, 28/11/1944. - 9 photos
- Reportage : Petits chapeaux, les plus récents de Vienne, [1940-1944]. - 6 photos
- Reportage : politique nationale d'éducation (NSDAP), 1936. - 9 photos
- Reportage : Production du lait en Autriche, 1930-1945. - 9 photos
- Reportage : Pull d'été de Vienne, [1944]. - 9 photos
- Reportage : Salzbourg et les trésors de Mozart, 17/08/1941. - 21 photos
- Reportage : Soins médicaux en Autriche, 16/08/1944. - 11 photos
- Reportage : théâtre populaire de Vienne, 27/03/1944. - 8 photos
- Image 171501 : Nr. 1276. Burgtheater bleibt Burgtheater. 1) Achtzehn Theater spielen, die "Burg" steht im Spielplan obenan. (Sipho) [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 27 MARZ 1944. I. A.]
- Image 171502 : 9) Nur die Gestelle erinnern an den Krieg. Die Plastiken der Aussenwand sollen in sichere Keller gebracht werden. Neugefallener Schnee hat sie vorläufig vermummt. (Sipho) [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 27 MARZ 1944. I. A.]
- Image 171503 : 8) Die Vorstellung ist aus. Über die grosse Freitreppe des Hauses, das 1886 im Spätrenaissane stil erbau wurde, strömen die Zuschauer hinab. Auch die ständigen Zuschauer gehören mit den Bühnenstücken und den Darstellern zur un verwechselbaren Tradition der "Burg". Die geistige Luft des Hauses bewahrte seit 1776, seit der Gründung des Hoftheaters durch Josef II unvermindert ihre formende Kraft. (Sipho) [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 27 MARZ 1944. I. A.]
- Image 171504 : 9) Wer zur Burg gehört, ist hier zu Hause. Die Burgschauspieler, wie ihr Titel lautet, behalten ihre festen Garderoben, auch wenn sie eine Zeitlang anderswo spielen. Inzwischen ziehen Gäste in ihre Klause ein - aber nur als Gäste. (Sipho) [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 27 MARZ 1944. I. A.]
- Image 171505 : 6) Zwei Königinsen trinken Kaffee. In der Garderobe von Kainz treffen sich Liselotte Schreiner und Hedwig Bleibtreu in einer Spielpause. Die Garderobe gehört jetzt des Bltesten Burgschauspieler, Bofrst Fressler, der sie 1910 bezog, nachden Jozef Kainz sie für immer verlassen hatte. Die rotenmaske, die über dem rischehen hängt, hat Fressler selbst abgenommen. (Sipho) [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 27 MARZ 1944. I. A.]
- Image 171506 : Nr. 1276. 5) Darstellerinnen von Morgen auf der Galerie. Tief erregt schauen sie in den Schlund des Theaters hinunter, wo grosse Tragödinnen auf der Bühne stehen. Auch die Bleibtreu, die heute die Königin Ute spielt, hat einst als Schauspielschülerin auf dem "Olymp" das Spiel grosser Vorgängerinnen studiert. Tagsüber sind jetzt viel der jungen Mädchen im Büro beschäftigt, abends besuchen sie die Schauspielschule. (Sipho) [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 27 MARZ 1944. I. A.]
- Image 171507 : 4) Die Bretter, die eine Welt für sich bedeuten. Dort, wo Hedwig Bleibtreu und Maria Eis “Der Nibelungen not” nach der neues Auffassung von Max Mell gestalten, haben sie auch schon in den “Nibelungen” von Friedrich Hebbel unvergessene Erfolge errungen. Erfolge freilich, die nicht in Vorhängen gezahlt werden denn die Tradition des Hauses verbietet ihren Mitgliedern, für den Beifall des Parketts zu danken. (Sipho) [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 27 MARZ 1944. I. A.]
- Image 171508 : 2) Prunkvolle Fassade im Bogenlicht. Noch zwei Stunden nach Einbruch der Dunkelheit liegt ein Abglanz der früheren Lichtfülle über Wien. Hinter den verdunkelten Fenstern der "Burg" aber strahlt die altgewohnte Pracht. (Sipho) [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 27 MARZ 1944. I. A.]
- Reportage : traitement moderne des déchets à Vienne, 1930-1945. - 7 photos
- Reportage : Travail en Autriche, travailleurs jouant une pièce de théâtre pour d'autres travailleurs camarades, 1944. - 4 photos
- Image 171182 : Arbeitskameraden spielen für Arbeitskameraden. Ausländische Arbeiter in Deutschland gestalten ihre Freizeit. Ein Blick hinter die Kulissen einige Minuten vor dem Aufreten. Das sich in dem weiblichen Wesen, das gerade dabei ist den Clown zu schminken, ein Mann verbirgt, vermutet man wohl kaum. Die Verwandlung ist ausgezeichnet gelungen. Rd/Le. EM. K 8763/1 ab. [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 13 Marz 1944. I. A.]
- Image 171183 : Arbeitskameraden spielen für Arbeitskameraden. Ausländische Arbeiter in Deutschland gestalten ihre Freizeit.
Nachdem es aus der Flasche getrunken hat, eine ziemlich grosse allerding und einer Weinflasche nicht unähnlich, wird das Riesen-Baby schlafen gelegt. Rd/Le. EM. K 8763/6b. [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 13 Marz 1944. I. A.]
- Image 171184 : Arbeitskameraden spielen für Arbeitskameraden. Ausländische Arbeiter in Deutschland gestalten ihre Freizeit. Der "indische Fakir" (ein Franzose) lässt unter Beschwörungsworten und Zauberformeln Hosenträger zu Schlangen werden, und unter dem Flötenspiel des Beschwörers beginnt der Korb sich langsam zu drehen. Rd/Le. EM. K 8763/12. [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 13 Marz 1944. I. A.]
- Image 171185 : Arbeitskameraden spielen für Arbeitskameraden. Ausländische Arbeiter in Deutschland gestalten ihre Freizeit. Die "Baby-Imitation" erregt bei den Zuschauern allergrösste Heiterkeit. Rd/Le. EM. K 8763/7. [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 13 Marz 1944. I. A.]
- Reportage : Un théâtre populaire à Vienne, [1938-1945]. - 9 photos
- Reportage : Une fabrique de cuir en Autriche, 30/04/1941. - 6 photos
- Reportage : Une laiterie à Salzbourg, 1938-1945. - 10 photos
- Reportage : Vêtements traditionnels Autrichiens, 09/12/1944. - 8 photos
- Reportage : "vieille sculpture de madonne mise en sécurité", 04/1944. - 4 photos
- Reportage : 10 ans de radio - Autriche, 1930-1938. - 3 photos
- Reportage : 200ème anniversaire de Joseph Haydn, 1932. - 13 photos
- Reportage : 400 livres concernant la science de la guerre, 1930-1938. - 2 photos
- Reportage à la S.A.R. et L'Illustré : 6/3/1944. - 1 photo
- Reportage: À pied sur la "route royale" (+ texte), 07/09/1942. - 13 photos
- Image 159927 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 12. Wie ein gigantischer Meilenstein liegt dieses zerfallene römische Grabdenkmal an der Via Appia Antica. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 12] [Censure photographique] Serie 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Image 159928 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 11. Ein typisches Bild am Wege der Via Appia Antica; feierliche Ruhe und stille Grösse. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 11] Serie 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Image 159929 : Römische Brunnen. 10. Nicht weit von der Piazza Barberini erhebt sich der herrliche Palazzo Barberini, an dem alle grossen Barockmeister gearbeitet haben. (C. Maderno, Borromini, Bernini). Vor dem Palast einer der herrlichen Pomischen Brunnen, die ganz auf das Spiel der Wasser hin gebaut sind. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.236 B : photo 10] Série 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Image 159930 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 10. Friedlich weiden am Rande der Via Appia die Schafe der römischen Campagna. [Sipho] [Frei gegegben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 10] Serie 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Image 159931 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 9. Das noch sehr gut erhaltene Tor der Via Appia Antica, durch das die römischen Legionen auf ihre welterobernden Züge hinausmarschierten. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 9] Série 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Image 159932 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 8. Rechts und links von Pinien, Zypressen und ehrwürdigen Ruinen eingerahmt, zieht sich die Via Appia durch die Campagna zum Gebirge hin. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 8] Serie 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Image 159933 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 7. Wolken über der endlosen Campagna. Einsam steht nahe der königlichen Strasse, seit über 2000 Jahren, die Figur eines alten Römers. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 7]
Serie 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Image 159934 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 6. In einer der alten Trattorien an der Via Appia, die jetzt während des Krieges besonders von Radfahrern gern als Ausflugsziel erkoren wird. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 6] Serie 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Image 159935 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 5. Die meist so ernst und düster aussehende Via Appia schaut an dieser Stelle fast lieblich aus. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 5] Serie 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Image 159936 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 4. Die Basilika des heiligen Sebastian, errichtet auf einer Stelle, die getränkt ist mit Märtyrerblut aus der Zeit der Christenverfolgung. Hier ruhen auch die sterblichen Reste des heiligen Sebastian. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 4] Serie 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Image 159937 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 3. Auf der Via Appia. Im Hintergrund der Monte Cavo, höchste Erhebung des Albaner Gebirges. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 3] Serie 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Image 159938 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 2. Die Via Appia bricht durch die Stadtmauer Roms swischen zwei herrlichen, mittelalterlichen Türmen. Von hier verläuft sie sich in die weite Ebene der Campagna. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 2] Serie 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Image 159939 : Zu Fuss über die "königliche Strasse". 1. Die Via Appia Antica innerhalb der römischen Stadtmauern - eine von fröhlichen Radfahrern belebte, und von alten Parks eingerahmte Strasse. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.242 B : photo 1] Série 1475. * Zu Fuss über die "Konigliche Strasse". Die Wunder der Via Appia. Es kam ein Tag, an dem wir mitten im dicksten Menschengewühl, eingekeilt zwischen Filobussen und Radfahrern, in der lastenden Mittagshittze plötzlich genug hatten von der Stadt Rom - so undankbar ist der Mensch - und den festen Entschluss fassten, uns einige Tage zu erholen. Dass der Weg über die Via Appia gehen müsste, war selbstverständlich, und wir beschlossen sogar, die Reise zu Fuss zu unternehmen. Wer ein fremdes Land gründlich kennen lernen will, der muss seine Landstrassen wandern. Und nun diese einmalige Strasse der Welt ! Die Mutter aller Landstrassen unseres Erdteiles, die Jahrhunderte vor der Zeitwende gebaut wurde, von der aus die römischen Legionen ihre welterobernden Züge antraten, und auf der seit Jahrtausenden Menschen Wandern. Auch hat sie die richtigen Landstrassenlaunen - von ihr haben es sicher die anderen gelernt - wir mussten erst ihre Launenhaftigkeit über uns ergehen lassen, ehe sie uns belohnte mit ihrer unvergleichlichen Schönheit.
Fast mitten in Rom, am Abhang der Palatins, neben dem Circus Maximus, fängt die "königliche Strasse" an. Artig schlängelt sie sich am Monte Celio und am prunkhaften Villen mit alten Parks vorbei; malerische Mauern engen sie ein, über die dicke Glyzinien und Rosenbüschel herabhängen. Diese nehmen lange kein Ende -endlich bright aber die Strasse durch einen herrlichen, antiken Bogen der Aurelanischen Mauer, um sich in kühnem Schwunge hinab in die Ebenen zu stürzen. Da wird sie dann eine ganz ehrbare Landstrasse. Zu ihrer Seite liegen bebaute Felder und primitive Bauernhöfe, ausserdem nette, urwüchsige Trattorien, vor denen Fuhrleute Brot, Ziegenkäse und frischen, harmlosen Campagnawein frühstücken. Wieder wandelt die Strasse ihr Bild, man kommt zu den Orten der berühmten Katakomben und Columbarien. Rührung erfasst den Fremden, wenn er die armselige, kleine Quovadis-Kirsche besucht, wo noch die "Fussstapfen Christi" zu sehen sind. - Schliesslich gelangt man zur Endhaltesstelle der Autobusse. Hier stehen auch die letzten "Carozellen". Eine ganze Reihe eindladender Trattorien bietet Gelegenheit, ausgezeichnet zu essen und zu trinken. Dann ändert die Strasse wieder völlig ihr Gesicht - und es kam uns vor, als ob sie nun erst richtig anfinge sie wird einsam, verengt sich, auf beiden Seiten sind schmale Gehsteige gebaut, und man wandert auf Pflaster, das die "alten Römer" anlegten. Wie gut geht es sich doch auf diesen Steinen, und bei jeder neuen Wegkrümmung erlebt man Überraschungen. Grabmäler wechseln mit ragenden Zypressen und ausladenden Pinien. In der weiten Campagna treten die alten Bögen der Aquädukte in Erscheinung, immer mehr nähern sich die Albanerberge. Die Ruinen, wie ganz anders wirken sie doch auf dieser Strasse, als alle auch noch so wunderbaren Trümmerfelder in Rom. Sie haben nichts Museales an sich und stehen nicht wohlbehütet hinter Gittern, sondern sind mit der Strasse und der Natur verwachsen. Mit der Umrahmung von Efeu-und Brombeergestrüpp sind die schon fast wieder ein Stück Natur geworden. Dr. P. Weller
- Reportage: "Abyssinie", [1930-1939]. - 25 photos
- Image 161275 : I. Le pays et ses habitants - en Afrique Orientale italienne.
1. Le destin de l'Abyssinie se décida dans la vallée de Mai Ceu.
Ici eut lieu la dernière bataille de la campagne. Le nouveau chemin de fer de Massaua - Addis Abeba traverse aujourd'hui cette vallée, dont le caractère alpin est typique pour l'Abyssinie.
[Sipho]
- Image 161276 : 2. Tel était l'aspect des rues et des villes abyssines du temps du Négus. Une photo de Vieille-Harrar, l'une des villes exemplaires de l'Abyssinie de l'époque.
[Sipho]
- Image 161277 : 3. Au coeur de l'Abyssinie, l'agriculture fleurit depuis qu'on peut penser. Tiré de boeufs, la charrue y sillonne le sol fertile, dont les produits font vivre la population.
[Sipho]
- Image 161278 : 4. Sur une large échelle, on a commencé la culture du coton dans de vastes régions du nord de l'Empire, et les résultats ont été prometteurs. Tels que des rosiers, les plantes de cotons se dressent, agés d'un an.
[Sipho]
- Image 161280 : 6. Le pays du café. Le café de Harrar est connu dans le monde entier. Ce café doit d'abord servir à l'exportation à l'étranger, pour des raisons de devises.
[Sipho]
- Image 161281 : 7. Des barres de sel qui ont la même valeur d'achat que l'argent lui-même. Les indigènes extraient eux-mêmes ce sel de l'eau de la mer et le transportent à l'intérieur du pays.
[Sipho]
- Image 161282 : 13. Il porte l'ancien costume des lions. Seuls ceux qui ont tué un lion à coups de lance sont dignes de ce costume. Tout Abyssinien à l'ambition de pouvoir porter cette robe orgueilleuse.
[Sipho]
- Image 161283 : 14. L'orgeuil de l'homme du nord de l'Eritrée, ce sont ses cheveux, qui lui donnent un aspect farouche. Cette coiffure se fait à l'aide de beurre fort.
[Sipho]
- Image 161284 : 15. Symboles des Chrétiens noirs : Saint-Michel et La Vierge....en noir. Les images rappellent en beuacoup l'art européen du Moyen-Age.
[Sipho]
- Image 161285 : 16. Photo d'une fenêtre dans le château de Gondar, par un artiste abyssin, montrant le gibier du pays qu'on peut chasser : des lions, des éléphants, des rhinocéros er des giraffes.
[Sipho]
- Image 161286 : 17. On trouve les giraffes surtout au nord, au Soudan et en Somalie. Telle qu'une créature préhistorique, cet animal se promène dans la steppe.
[Sipho]
- Image 161287 : 18. Les serpents vénimeux ne sont pas rares en Abyssinie. Voici l'animal le plus dangereux de l'Afrique, la "Mamba Rouge" légendaire.
Une morsure par ce serpent belliqueux, et la mort ne se fait pas attendre. La vipère est aussi vénimeuse qu'elle. elle vit surtout dans les régions sablonneuses et chaudes de l'Empire.
[Sipho]
- Image 161288 : 2. A tout instant prêt au combat : la légion "Arnaldo Mussolini" défile devant le vice-roi, elle se compose d'hommes dont la plupart aidait à la conquête du pays. Maintenant ils exécutent leurs différentes professions et sont tous menbre d'une union militaire ou de la milice fasciste.
[Sipho]
[Censure photographique]
- Image 161289 : 4. Des soldats indigènes avec leurs officiers italiens. Ils travaillent à la représentation d'une "fantasia". Les officiers italiens entretiennent de bonnes relations avec leurs hommes indigènes. C'est qu'ils sont choisis parmi les meilleurs officiers de l'Italie. Ce sont des hommes audacieux, entrainés au service colonial et sportif, de vrais types de chef.
[Sipho] [Censure photographique]
- Image 161290 : 5. Qui sont les colonisateurs ? Des combattants du front, de l'armée ou de la milice; la plupart d'eux sont membre du parti fasciste. Eux seuls y sont admis, et on les secourent largement dans leur traveil constructif. Ces hommes qui ont donné leur sang pour conquérir cette terre se sont vite enracinés dans le sol de leur nouvelle patrie qu'ils ont rendu fertile pour leurs enfants et les enfants de leurs enfants.
[Sipho]
[Censure photographique]
- Image 161291 : Tels que les hommes sont aussi leurs chef qui sont à la tête de l'Empire. Il y a Jacobo Gasparini, ex-gouverneur d'Eritrée.
Il a renoncé au service de l'Etat pour travailler à l'oeuvre de sa vie, l'initiation d'une économie dans l'Eritrée Occidentale par la culture de coton. Ce grand pionnier colonial, déjà aujourd'hui surnommé le roi du coton de Tessenei, travaille avec succès à l'un des plus importants projets coloniaux de l'Empire.
[Sipho] [Censure photographique]
- Image 161292 : 8. Des villes et des villages naissent. L'Etat prend soin aussi des soldats indigènes. Voici un coup d'oeil sur les habitations des Askaris de la garnison de Cheren : les Askaris et leurs familles vivent dans de petites maisons agréables.
[Sipho] [Censure photographique]
- Image 161293 : 9. Gondar, la capitale de Amhara, est un exemple excellent de la vitesse dont progresse la construction italienne. A droite, sur la photo, on voit le vieux quartier indigène, à gauche la nouvelle ville italienne qui est en train de naître, au milieu : les vieux châteaux.
[Sipho] [Censure photographique]
- Image 161294 : 10. [Aucune indication]
[Sipho]
[Censure photographique]
- Image 161295 : 11. Il y a peu de temps il y avait ice des villes de tentes; maintenant elles ont dû céder la place à de larges rues commerciales, à de grands édifices des autorités, à des hôtels, des cinémas, etc.
Notre correspondant nous écrit à ce sujet : on a envie de retenir ou ralentir le développement de ces villes.
[Sipho]
[Censure photographique]
- Image 161296 : 12. A Addis-Abeba, les automobiles décident le trafic, ce qui n'étonne pas si l'on pense que le diamètre de la ville est de plus de 10 km. Tel est l'aspect matinal sur le Viale Tevere, de l'axe ouest-est de la ville. Le trafic rappelle une métropole européenne.
[Sipho]
[Censure photographique]
- Image 161297 : 13. La construction des rues, voici la première devise de l'oeuvre italienne. Ainsi, partout dans le pays, on voit des hommes, des Européens surtout, qui travaillent à la construction des rues. Sous des difficultées inimaginables et sous un climat des plus défavorables, l'oeuvre progresse continuellement. L'Italie a payé des millions innombrables pour la construction de ces rues.
[Sipho]
[Censure photographique]
- Image 161298 : 15. La culture de coton demandait des travaux énormes de défrichage. Le problème le plus difficile concernait l'irrigation, condition essentielle de toutes les cultures. Dans la steppe déserte et épineuse on construit, au cours des dernières années, un réseau de canaux : des canaux, dont le toral surpasse 100 km, traversent maintenant la région, formant la base d'une irrigation bien réglée. Cette installatin est encore un achèvement des plus gigantesques de l'Empire. Notre photo montre le dernier canal d'irrigation, celui de Tessenei, d'une longueur de 18 km, avant son achèvement.
[Sipho]
[Censure photographique]
- Image 161299 : 17. Les faisceaux à l'océan Indien : symbole du jeune Empire fasciste, pleine de forces et de puissances futures. La Somalie italienne, qui s'étend du golfe d'Aden jusqu'au Kenya, la colonie britanique de l'Afrique Orientale, produit depuis longtemps des produits agricoles d'une grande valeur pour la métropole italienne.
[Sipho]
[Censure photographique]
- Image 161525 : 5. Des enfants indigènes recueillent les capsules mûries trop tôt des plantes dans leurs pagnes.
[Sipho]
- Reportage: "Académie allemande à Rome", 1939. - 11 photos
- Image 162604 : Die Deutsche Akademie in Rom.
6. Schwer ist die deutsche Sprache ! Der ältere Herr vorn ist ein römischer Universitätsprofessor, der morgens vor vielen Hörern seine Vorlesungen hält und sich abends in der deutschen Akademie auf die Schulbank setzt, um deutsch zu lernen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.190 B - photo 6]
- Image 162605 : Die Deutsche Akademie in Rom.
9. In einer Lehrpause. Die Schüler unterhalten sich über ihre Eindrücke aus dem Unterricht, helfen sich bei schwierigen Arbeiten oder hören Vokabeln ab.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.190 B - photo 9]
- Image 162606 : Die deutsche Akademie in Rom.
3. Links ein römischer Universitätsprofessor, rechts ein junger italienischer Komponist. In den Abendkursen der deutschen Akademie treffen sich beide mit dem gleischen Bemühen um deutsche Sprache und Kultur.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.190 B - photo 3]
- Image 162607 : Die Deutsche Akademie in Rom.
5. Aus einem der drei Jahre dauernden Vormittagskurse für junge Mädchen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.190 B - photo 5]
- Image 162608 : Die Deutsche Akademie in Rom.
7. Die Schallplatte im Unterricht der deutschen Akademie.
Hier werden den Kursteilnehmern deutsche Volkslieder vorgespielt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.190 B - photo 7]
- Image 162609 : Die Deutsche Akademie in Rom.
4. Ein italienischer Fliegeroffizier an der Schultafel.
Kritischen Blicks beobachtet die Lehrerin seine Leistung.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.190 B - photo 4]
- Image 162610 : Die Deutsche Akademie in Rom.
8. Die deutschen unregelmässigen Verben haben es "in sich".
In freundlicher Verzweiflung ringt die Lehrerin die Hände. Signorina Puricelli hat schon wieder einmal gehen, gung, gegangen, geschrieben...
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.190 B - photo 8]
- Image 162611 : Die Deutsche Akademie in Rom.
1. Am Eingang der deutschen Akademiebefindet sich eingemeisselt dieses Schild auf fast unbehauenen Travertin.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.190 B - photo 1]
- Image 162612 : Die Deutsche Akademie in Rom.
2. Der Leiter der deutschen Akademie in Rom, Studienrat Stocken, bei einem Vortrag in deutscher Sprache über deutsche Musik.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.190 B - photo 2]
- Image 162613 : 6952 a
Zehn Jahre Deutsche Akademie in Rom.
In diesem Jahr kann die Deutsche Akademie in Rom auf eine zehnjährige Wirksamkeit zurückblicken. Die Akademie, die alljährlich einer Anzahl bewährter deutscher Künstler Gastfreundschaft gewährt und ihnen so die Begegnung mit der südlichen Landschaft und Kultur ermöglicht, ist Deutschlands einziges künstlerisches Auslandsinstitut.
Hier das Gebäude der Deutschen Akademie in Rom.
Atlantic-Photo, 19.1.1939. C.
[Sipho]
- Image 162614 : Die Deutsche Akademie in Rom.
10. Das Diplom, das nach bestandenem Examen den Kursteilnehrn, meist vom deutschen Botschafter persönlich überreicht wird.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.190 A - photo 10]
- Reportage: "Académie romaine des armes en Italie", [1922-1939]. - 12 photos
- Reportage allemand concernant les sinistrés et victimes d'un bombardement allié (Bombenangriff auf eine Franzosische stadt) : 1944. - 6 photos
- Reportage allemand concernant l'exode des réfugiés en Normandie (Fluchtlingslos in der Normandie) : 1944. - 8 photos
- Reportage allemand concernant un concert organisé au profit du Secours national à Amiens : 1943. - 3 photos
- Reportage allemand sur des peintres de Montmartre : 1944. - 11 photos
- Reportage allemand sur la déportation de juifs étrangers depuis Paris vers des camps de concentration dans la région d'Orléans, 1941. - 10 photos
- Reportage allemand sur la descente et la mise en caisse d'un ballon anti-aérien, 1944. - 5 photos
- Reportage allemand sur la fabrication de chapeaux pour dames à Paris : [1940-1945]. - 4 photos
- Reportage allemand sur la location de voiliers destinés aux enfants jouant dans le Jardin du Luxembourg à Paris : 1943. - 11 photos
- Reportage allemand sur la vente aux enchères de Bourgogne à Beaune : 1943. - 25 photos
- Reportage allemand sur la vie des Parisiens dans le quartier latin : 1944. - 14 photos
- Reportage allemand sur le déblaiement d'un pont détruit à Rouen par l'aviation alliée (Der Nachschub uber die Seine rollt trotzdem) : 1944. - 7 photos
- Reportage allemand sur le départ d'un train de volontaires de la Relève pour l'Allemagne, [1940-1945]. - 8 photos
- Reportage allemand sur le dessinateur Jean Effel, [1940-1945]. - 4 photos
- Reportage allemand sur les auxiliaires de la police féminine, 1944. - 13 photos
- Reportage allemand sur les chantiers de la côte atlantique ("Die Atlantikküste wird immer mehr ein Stahlgespickter wall") : [1940-1944]. - 7 photos
- Image 75149 : Die Atlantikküste wird immer mehr ein stahlgespickter Wall. Gute Deckung der neuen Verteidigungsanlagen im Küstengelände, wo Kampfanlagen in den "natürlichen Beton" des Felsens eingebaut sind. Manche harmlose Felsennase wird sich im Ernstfall als ein gefährlicher Geschützstand entpuppen. [Frei gegeben durch Zensur] [Série n° 1481. Photo n° 1] [SIPHO]
- Image 75152 : Die Atlantikküste wird immer mehr ein stahlgespickter Wall. Ein Zug mit Splitt bringt neues Baumaterial für den Atlantikwall. Die Parade der Materialzüge und Lastkraftwagen, die Baumaterial und Baumaschinen, Kriegsgerät und Truppen heranbringen, reisst nicht ab und bringt immer neue Bewegung in die anscheinend schläfrige Ruhe der Westgebiete. [Frei gegeben durch Zensur] [Série n° 1481. Photo n° 2] [SIPHO]
- Image 75155 : Die Atlantikküste wird immer mehr ein stahlgespickter Wall. Wieder ging eine Batterie Betonmischmaschinen in Stellung - nun wird sie in Tag und Nacht währender Arbeit Baustoff mahlen und zum Guss fertig ausspeien. [Frei gegeben durch Zensur] [Série n°1481. Photo n° 3] [SIPHO]
- Image 75158 : Die Atlantikküste wird immer mehr ein stahlgespickter Wall. Hier entsteht eine neue Kette tiefgestaffelter Bunker, die bis weit in das Landesinnere liegen und von denen jeder eine Festung für sich sein wird. Diese Stützpunkte stehen in ständigem Kontakt miteinander und können sich notfalls auch lange Zeit selbständig halten. [Frei gegeben durch Zensur] [Série n° 1481. Photo n° 4] [SIPHO]
- Image 75165 : Die Atlantikküste wird immer mehr ein stahlgespickter Wall. Der im Atlantikwall verwirklichte Wille des Führers : "Der Soldat und seine Waffe durch Beton und Stahl geschützt..." wird im Ernstfall auch durch diese getarnte Abwehranlage bewiesen. [Frei gegeben durch Zensur] [Série n° 1481. Photo n° 5] [SIPHO]
- Image 75167 : Die Atlantikküste wird immer mehr ein stahlgespickter Wall. Wieder ist ein Kampfstand fertig und der Maler streicht die Ausschussöffnung mit Tarnfarbe. Ruhend in ihrer Kraft und drohend in ihrer gesammelten Angriffsmächtigkeit ist auch diese neue Wehranlage bereit, jeden Angriff abzuweisen. Auch die Männer dieses Kampfständes, der zu einer Wand von Granit gehört, werden dazu beitragen, dass jeder Angreifer sich die Zähne ausbeisst. [Frei gegeben durch Zensur] [Série n° 1481. Photo n° 6] [SIPHO]
- Image 75170 : Die Atlantikküste wird immer mehr ein stahlgespickter Wall. Ein fertiger Bunker, dessen vorschriftsmässige Tarnung durch eigene Landschaftsdirektoren geleitet wird. Auch dieser neue Stützpunkt steht gut getarnt, jeden Gegner zu empfangen. Zum Abschluss des Baues hat hier der Gärtner das Wort. [Frei gegeben durch Zensur] [Série n° 1481. Photo n° 9] [SIPHO]
- Reportage allemand sur les coiffes en dentelle des femmes bretonnes, 1944. - 9 photos
- Reportage allemand sur les communautés turques et nord-africaines installées à Paris, 1943. - 9 photos
- Reportage allemand sur les petits métiers parisiens : 1942. - 9 photos
- Reportage allemand sur l'état d'esprit de quelques Parisiens après l'armistice : 1940. - 5 photos
- Reportage allemand sur un concours de pêche en étang : 1943. - 13 photos
- Reportage allemand sur un cours de pêche au bord de la Seine à Paris : [1940-1945]. - 6 photos
- Reportage allemand sur un cyclo-cross à Montmartre : 1944. - 16 photos
- Reportage allemand sur un marché de coiffes en dentelle, [1940-1945]. - 8 photos
- Reportage allemand sur un marché de Normandie où le public peut se procurer les succès musicaux du film 'On danse à Mexico' : 1944. - 6 photos
- Reportage allemand sur une compétition de pétanque à Toulouse : 1944. - 9 photos
- Reportage allemand sur une fabrique de pain : 1943. - 5 photos
- Reportage allemand sur une fête enfantine à Nice en faveur des enfants des travailleurs français en Allemagne : 1943. - 6 photos
- Reportage allemand sur une fête populaire dans une ville du Nord de la France : 1943. - 18 photos
- Reportage allemand sur une manicure parisienne pendant ses heures de travail et de loisirs à Paris : 1943. - 12 photos
- Reportage américain : Appareil pour effectuer des coupes microscopiques des cheveux, 1935. - 8 photos
- Reportage américain : Bonneville stuwdam pour pêcher, [1930-1940]. - 14 photos
- Reportage américain : Culture de nouvelles terres aux Etats-Unis, 1937. - 14 photos
- Reportage américain : Fête traditionelle chinoise d'exorcisme de démons, [1930-1940]. - 3 photos
- Reportage américain : Les jardins suspendus de New York, [1930-1940]. - 8 photos
- Reportage américain : Publicité vivante aux Etats-Unis, [1930-1940]. - 2 photos
- Reportage américain : Sélection de jeunes-filles par Charles B. Cochran "Young Ladies", [1930-1940]. - 10 photos
- Reportage américain : Soviet Trading Representatives, 19/09/1930. - 3 photos
- Reportage américain concernant Deadwood-Damm, [1930-1940]. - 12 photos
- Reportage américain sur l'accroissement agricole, [1930-1940]. - 10 photos
- Reportage: "Après le victoire italienne à Makalle", 1935-1936. - 3 photos
- Reportage: “Aspekte” et “Veduten” à Rome, [1943]. - 11 photos
- Image 159948 : "Aspekte" und "Veduten" in Rom. 3. Veduta des Tibers, der Brücke zum Castell S. Angelo, der Engelsburg selbst und von S. Peter von Gianbattista Piranesi. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 3]
- Image 159949 : "Aspekte" und "Veduten" in Rom. 1. Veduta von der Piazza del Popolo des Gianbattista Piranesi. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 1]
- Image 159950 : "Aspekte" und "Veduten" in Rom. 2. Veduta des Platzes von S.Peter und des Domes von S. Peter von Gianbattista Piranesi. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 2]
- Image 159951 : "Aspekte" und "Veduten" in Rom. 10. Piazza della Rotonda (oder del Pantheon). Rechts die Säule des Pantheon; inmitten des Platzes ein wunderbarer Brunnen aus dem Jahre 1573, den Clemens XL. im Jahre 1711 aufstellen liess. Die Häuser, die den Platz umsäumen, stammen aus dem Rom des Settecento. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 10]
- Image 159952 : "Aspekte" und "Veduten" in Rom. 9. Blick auf das Foro Romano von der Via del Impero (der neuen Prachtstrasse Mussolinis) aus. Rechts im Hintergrund das Capitol. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 9]
- Image 159953 : "Aspekte" und "Veduten" in Rom. 7. Piazza Navona, noch heute in der Form erinnernd an das Stadion des Domizian, auf dessen Stelle dieser Platz errichtet wurde. Im mittelalterlichen Rom fanden hier Märkte und grosse Feste statt. Krönung des Platzes sind die drei Brunnen, Barocke Prachtwerke des Bernini, von denen der Moro die ganz besondere Sympathie der Römer geniesst. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 7]
- Image 159954 : "Aspecte" und "Veduten" in Rom. 8. Piazza di Campo dei Fiori - einer der populärsten Plätze Roms. Bis vor kurzem fanden hier die berühmten Mittwochsmärkte statt, Anziehungspunkt für alle Kunstliebhaber. In der Mitte ein Denkmal Girodano Brunos, der im Jahre 1600 an dieser Stelle verbrannt wurde. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 8]
- Image 159955 : "Aspekte" und "Veduten" in Rom. 11. Blick über den Platz Bocca della Verità. Im Vordergrund der wunderschöne barocke Brunnen mit zwei Tritonen (von Maratta), im Hintergrund der Triumphbogen des Giano. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 11]
- Image 159956 : "Aspekte" und "Veduten" in Rom. 5. Veduta der Fontana di Trevi von Gianbattista Piranesi. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 5]
- Image 159957 : "Aspekte" und "Veduten" in Rom. 6. Blick über das Foro Romano auf Rom vom Palatin aus. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 6]
- Image 159958 : "Aspekte" und "Veduten" in Rom. 4. Veduta der Piazza Navona des Gianbattista Piranesi. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.233 B : photo 4]
- Reportage: "Assistance pour les plus petits en Italie" (+ texte), [...-1945]. - 15 photos
- Image 159658 : 2. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Gleich kommt die Tante Kindergärtnerin mit dem Essen; man wartet leidlich brav, bis es soweit ist. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 2] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Image 159659 : 15. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Eine Sonderattraktion des Heims - das Kinderkarussel. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 15] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Image 159660 : 14. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Im Wartezimmer der ärztlichen Beratungsstelle. Zweimal in der Woche werden die Kinder und, falls nöttig, auch die Mütter auf ihren Gesundheitzustand untersucht. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 14] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Image 159662 : 13. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Niemals kommen die Strampelbeinchen zur Ruhe.[Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 13] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Image 159663 : 12. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Wie ist die Welt voller Wunder. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 12] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Image 159664 : 11. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Ein Kleiner Epikuräer.[Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 11] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Image 159665 : 10. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Weltschmerz... [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 10] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Image 159666 : 9. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Das Esstischen mit der Glasplatte, die immer rasch wieder gesäubert werden kann, hat sich als praktisch erwiesen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 9] [A restituer après publication] [Censure photographique] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Image 159667 : 8. Fürsorge für die Kleinen in Italien. Ordnung muss sein - Gewisse "Geschäfte" sind immer an dieselbe Stunde gebunden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 8] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Image 159668 : 6. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Bei schönem Wetter ist man in dem grossen Garten des Heims bestens untergebracht. Spielzeug der verschiedenen Art steht zur Verfügung. Am begehrtesten ist dieser Miniaturtank mit der Aufschrift : "Vincere" - "siegen". [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 6] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Image 159669 : 7. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Ein kleiner Nachzügler. -Während die anderen schön brav in ihren Betten liegen, muss hier die Tante Kindergärtnerin noch eingreifen. Gleich wird sie kommen, und da liegt man auch in seinem weichen Bettchen mit der schönen warme Decke. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 7] [A restituer après publication] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Image 159670 : 3. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Sie lässt sich schon jetzt gern fotografieren und hört zu löffeln auf, so gut das Breichen auch schmeckt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 3] [A restituer après publication]* Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Image 159671 : 5. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Drei Temperamente - im Laufgitter. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 5] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Image 159672 : 4.Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Nach dem Essen der Verdauungsschlaf. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 B : photo 4] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Image 159673 : 1. Fürsorge für die Kleinsten in Italien. Eine Stunde der Freude für die fleissige Mütter; sie kommt von Ihrer Arbeit zum Essen ins Heim, stillt aber vorher das Jüngste und vergisst in diesem Augenblick alles Schwere des Existenskampfes. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.552 A : photo 1] * Seine Majestat "Il Bambino". Kinderfürsorge im faschistischen Italien. Von jeher hatten die Italiener eine fanatische Liebe zu kleinen Kindern, die, wie der starke Zusammenhalt innerhalb der Familie, zweifellos altes Erbgut aus der Antike ist. Trotzdem war in Italien bis zur Jahrhundertwende wenig getan worden, um dem Kind und der jungen Mutter aus ärmeren Bevökerungschichten tatkräftig zu helfen. Es ist der Verdienst des faschistischen Regimes, hier Wandlung geschaffen zu haben. In allen Städten Italiens sind "Häuser für Mutter und Kind" eröffnet worden. In ihnen finden sich Beratungsstellen und Betreuungsämter für werdende Mütter, ärtzliche Überwachungsstellen für Säuglinge und Kleinkinder und sogenannte "Nestheime", d.h. Räume, in denen die Kinder, deren Mütter einen Beruf ausüben, bis zum dritten Lebensjahr unter Aufsicht und Pflege von geschulten Kräften und Lehrkindergärtnerinnen stehen. Diese vom "Nationalen Hilfswerk zum Schutze von Mutter und Kind" geschaffenen Einrichtungen sind mustergültig. Durch hohe Fenster, die mit Puppen, Märchenszenen und sonstigen Glasmalereien geschmückt sind, sieht man eifrig sich bewegende Kinderköpfchen. Tritt man durch eine der aufschiebbaren Fenstertüren hindruch, so steht man in einem kleinen Kinderparadies. Hier regiert "Seine Majestät 'Il Bambino' ". Heller Marmor, bunte Kacheln und lichtfarbener Linoleumsbelag sind die Materialien, die in dieser Kinderwelt aus praktischen und hygienischen Gründen am meisten Verwertung gefunden haben. Früh am Morgen, bevor die Mütter zur Arbeit gehen, bringen sie ihre Kleinen in das Heim. Die Kinder werden zunächst umgekleidet. Alle ziehen helle Kittelchen an, die stets sauber gehalten werden können, da die Nestheime eigene Wäschereien und Bügeleien haben. Der Vormittag gehört je nach der Witterung dem Spiel im Freien oder im geschlossenen Raum. Hierbei bewähren sich die jungen Mädel, die einmal Kindergärtnerinnen und Säuglingsschwester werden wollen, aufs beste. Das alles richtig und gut gemacht wird, bewacht die Oberaufsicht, eine ausgebildete Heimleiterin, die diese Aufgabe beruflich oder ehrenamtlich ausfüllt. Mit zärtlicher Liebe hängen die Kleinen an ihren Betreuerinnen. Mit allen ihren Sorgen kommen sie zu ihnen, da sie fühlen, dass ihnen mit weitgehendem Verständnis geholfen wird. Stets herrscht eifriges Treiben im grossen Spielsaal, und nur die Allerkleinsten, die weder laufen noch sitzen können, liegen ruhig und froh in ihren rosafarbenen Himmelbettchen. Gegen Mittag kommen die meisten Mütter zum Essen in das Heim. Sie stillen erst ihre Säuglinge und setzen sich dann an die blankgescheuerten Tische zur Mahlzeit, die ihnen kostenlos gereicht wird. Durch die grossen Glasscheiben, die den Speisesaal vom eigentlichen Kinderheim trennen, können sie die Zimmer übersehen, in denen die Kleinen, die dann schon abgefüttert sind, Mittagsruhe halten. Abends schliesst das Kinderheim seine Pforten, und sobald das letzte Kind umgekleidet und von der Mütter abgeholt worden ist, beginnt ein unheimliches Schrubben und Putzen im Hause. Alle helfen mit, um wieder tadellose Ordnung und Sauberkeit herzustellen. Strahlend und blitzend wie am Tage der Eröffnung, erwartet das Nestheim am mächsten Morgen wieder den Einzug Ihrer Majestäten, der Bambini. Dr. Peter Weller.
- Reportage au sujet d'une compagnie de voyage russe en Autriche, 1930-1945. - 3 photos
- Reportage autrichien : avec la moto à 2000 mètres de hauteur, 1930-1945. - 4 photos
- Reportage autrichien : concours d'orgue, [1930-1945]. - 5 photos
- Reportage autrichien : dressage de chevaux, 16/01/1943. - 6 photos
- Reportage autrichien : fête traditionnelle : "Der Brixentaler Flurenritt", 1930-1940. - 8 photos
- Reportage autrichien : formation professionnelle, 1930-1940. - 9 photos
- Image 171672 : 1. Dein Weg in den Beruf. Wer hiermit zurecht kommt, hat die Anlage des technisch-funktionellen Denkens. Die Aufgabe lautet, einen endlosen Riemen so in die Rillen von Riemenscheiben einzulegen, dass schliesslich mittels Kurbelantriebes ein Aggregat von Achsen und drehbaren Teilen in sinnvolle Bewegung versetzt wird. Zu Begin des Versuches sind die gegeneinander verstellbaren Teile des Maschinchens in ungeordneter Lage. Im schnellsten kommt zum Ziel, wer zunächst die theoretische Regel sucht und auf Grund dieser dann die Maschinenteile in die richtige Lage bringt. Das gelingt dem einen sehr schnell, jenem nur langsam, manchen garnicht. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.706.B. Photo N° 1.]
- Image 171673 : 2. Dein Weg in den Beruf. Auch hier werden technische Überlegungen verlangt und zwar bereits höhere Fähigkeiten, da der Gegenstand der Untersuchung nicht mehr greifbar ist, sondern nur in der Zeichnung vor Augen steht. Welches ist die Bewegungsrichtung der Zahnräder und wie wirkt sie sich auf die Arbeitsweise der ganzen Anlage aus, wenn das Antriebsrad im entgegengesetzten Uhrzeigersinne bewegt wird? So lautet eine der Fragen, die jeder der Untersuchten fehlerlos beantworten soll. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.706.B. Photo N° 2.]
- Image 171674 : 3. Dein Weg in den Beruf. Die Befähigung zu Handgeschicklichkeitsleistungen, die ja nicht zuletzt die Grundlage gelungener Handwerkerarbeit bilden, wird ermittelt. Die "Drahtbiegeprobe", in ihrer Einfachheit und Untrüglichkeit altbewährt, sondert rasch und zuverlässig die Geschickten von den Tolpatschen. Machen. Sie selbst den Versuch, einen etwa 40 cm langen dünnen Draht mit einer kleinen Drahtzange in die auf den Vorlagen sichtbare Form zu bringen? Auch Sie werden auf diese Weise Ihr Handgeschick beurteilen können. Es handelt sich hierbei nicht nur um eine blosse Geschicklichkeitsprobe. In der Arbeitsweise der Hand offenbart sich weitgehend die Gesamtpersönlichkeit, deren einzelne charakterliche Züge dabei zutage treten. Denn betrachten wir Bild 4..... [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.706.B. Photo N° 3.]
- Image 171675 : 4. Dein Weg in den Beruf. Dieses Bild zeigt die Ergebnisse der Drahtbiegeprobe und (inder Mitte oben) die Vorlage. Begutachten wir die vier Einzelleistungen : Die Leistung links oben lässt auf eine durchschnittliche Anlage schliessen. Die Handgeschicklichkeit des Untersuchten ist aber zweifellos übungsfähig. -Rechts oben : Übereiltheit und geringe Einfühlungsfähigkeit ergaben bei unzureichender Planung dieses mässige Resultat. Übungsfähigkeit scheint auch hier vorhanden zu sein, wird aber dennoch kaum zu einer mehr als durchschnittlichen Leistung führen. Präzisionsarbeiten können diesen Händen nicht anvertraut werden. -Die links unten sichtbare Probe verrät offenbar eine grobe Hand, dazu aber auch gewisse verkrampfte Züge der Gesamtpersönlichkeit. Es ist aber nicht gesagt, dass diese Hände für Grob und Krafarbeiten nicht recht gut zu gebrauchen wären. Rechts unten schliesslich das Ergebnis der Biegearbeit einer etwas ängstlichen, aber mit dem Willem zur peinlichen Genauigkeit arbeitenden Person. Es kommt nur zu einem mässigen Ergebnis da es an Lockerheit, Flüssigkeit und Wagemut fehlt. Fasst der Untersuchte aufgrund von Berufserfolgen Vertrauen zu sich selbst, so wird er die Leistung von 1 im Beruf sehr warsheinlich übertreffen. Er muss deshalb in die richtigen Hände genommen werden. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.706.B. Photo N° 4.]
- Image 171676 : 5. Dein Weg in den Beruf. Dieser Probe unterzieht sich jeder besonders gern, weil sie dem Untersuchten selbst ohne weiteres ein eindeutiges Bild von seiner "Zweihandleistung" gibt. Der Apparat entspricht dem Kreuzsupport der Dreherpraxis. Die Aufgabe besteht darin, mit beiden Händen gleichzeitig zwei Kurbeln so zu drehen, dass ein Zeichenstift auf einer Kurvenlinie bleibt, während diese auf dem beweglichen Tischchen unter ihm hinweg geführt wird. Auch hierbei ergeben sich erstaunliche Differenzierungen. Die Probe lässt bei wiederholter Anwendung auch die Übungsfähigkeit zur Zweihandleistung erkennen. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.706.B. Photo N° 5.]
- Image 171677 : 6. Dein Weg in den Beruf. Ein Geduldsspiel? - Nun ja, wenn man so will, denn was ist denn "Geduld"? Nervös unruhige und Kontitutionell erregbare Menschen passen nicht zu gewissen Arbeiten, wie sie z.B. als Dauerbeanspruchung der Persönlichkeit bein einer Feinmontage verlangt werden. Der Volksmund spricht ja hier von einer "Typischen Geduldarbeit". Der Untersuchte soll Ringe mit kleinster Toleranz über die Nagelkuppen der im Bilde sichtbaren "Fakirbretter" stülpen und die Aufgabe möglichst rasch lösen. Nicht nur das Arbeitsergebniss, sondern die ganze Arbeitsweise gestatten dem psychologischen Fachmann wertvolle Rückschlüsse auf die Gesamtpersönlichkeit. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.706.B. Photo N° 6.]
- Image 171678 : 7. Dein Weg in den Beruf. Mit einfachen, aber sehr erprobten Mitteln wird hier die Umstellungsfähigkeit auf wechselnde Inhalte erforscht. Vor dem Untersuchten liegt eine Tafel, in deren Fächern Nummernschildchen zu sehen sind. Aus der Gruppe der in der Hand gehaltenen Nummernschildchen sind so schnell und zielsicher wie möglich diejenigen auf das entsprechende Feld der Tafel zu legen, die die gleiche Nummer tragen. Eine funktion der Aufmerksamkeit wird also untersucht, eine Anlage, die die Voraussetzung besonders für viele bürotechnische Arbeiten bildet. Ergebnisse der psychologischen Forschung weisen darauf hin, dass die "Aufmerksamkeitsanlage" höchst wahrscheinlich angeboren ist. Die verschiedenen Aufmerksamkeitstypen lassen sich, zumal bei Bewertung der benötigten Zeit, mittels dieser Probe gut unterscheiden. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.706.B. Photo N° 7.]
- Image 171679 : 8. Dein Weg in den Beruf. Ein Mittel zur Untersuchung von Art und Höhe der Denkbegabung ist der "Lückentext", bei welchem Wortlücken in einem zusammenhängenden Text ausgefüllt werden müssen. Die sinngemässe Ergänzung des Textes gelingt nurndem, der dem Gesa, tzusammenhang folgen kann. Bei dieser Probe werd en weder besondere Sprachgeläufigkeit, noch erworbenes Wissen vorausgesetzt. Die Texte sind vielmehr so gestaltet, dass die reine Denkbegabung untersucht werden kann. Auch die verschiedenen Denktypen sind auf diese Weise erforschbar, z.B. der sachnahe Denker, der abstrakte Kopf, das bildhafte Denken usw. - Art und Höhe der Denkbegabung sind für den Arbeitseinsatz von ausschlaggebender Bedeutung. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.706.B. Photo N° 8.]
- Image 171680 : 9. Dein Weg in den Beruf. Der nach Schwierigkeitstufen aufgebaute Lückentext wird an einem einfachen Beispiel erklärt. Die Untersuchungsräume sind störungsfrei und hell. Die schulmässige Umgebung ist nur scheinbar. Der Psychologe muss es verstehen, für die einzelnen Untersuchungsstadien die psychologisch ergiebigste Situation zu schaffen. Hier, wo es auf Kontentration ankommt, ist eine mehr schulmässige Atmosphäre durchauss von Nutzen. Bei manchen praktischen Arbeitsproben passt man den Untersuchungsraum dem Werkstattmilieu an. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92.706.B. Photo N° 9.]
- Reportage autrichien : Leoding, village d'Hitler, 1938. - 20 photos
- Reportage autrichien : musée populaire animé, 1930-1945. - 9 photos
- Reportage autrichien ; pédaler, un passe-temps utile, 12/03/1943. - 6 photos
- Reportage autrichien : Voiture de soins médicaux dans un village de montagne, [1930-1938]. - 6 photos
- Reportage autrichien sur la danse populaire : Im Steirer-Tanz die Röcke fliegen, [1930-1945]. - 14 photos
- Reportage autrichien sur la vie ancienne et moderne : au-dessus l'historique - en dessous le moderne, 11/11/1943. - 3 photos
- Reportage autrichien sur l'hygiène dans les écoles viennoises, [1930-1934]. - 8 photos
- Reportage autrichien, village de montagne au soleil, 4/08/1944. - 13 photos
- Image 171488 : 1975/2. Bergdorf in der Sonne. Zwei Wahrzeichen geben dem Bergdörfchen seinen besonderen Reizder Berg, in dessen Majestät seine liebliche Schönheit gebettet liegt und das Kapellchen, das ihm durch seine Kunstwerke Ewigkeitswert verleiht. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92901 A. Photo N° 2.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 4 AUG. 1944. I. A.]
- Image 171489 : 1975/3. Bergdorf in der Sonne. Grosswäsche! [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92901 A. Photo N° 3.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 4 AUG. 1944. I. A.]
- Image 171490 : 1975/4. Bergdorf in der Sonne. Der schmale Bergsattel zwang zu dichtem Aneinanderbauen der wenigen Häuser, doch die Sonne findet den Weg in die engen Gassen. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92901 A. Photo N° 4.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 4 AUG. 1944. I. A.]
- Image 171491 : 1975/5. Bergdorf in der Sonne. Frohes Spiel der Jugend am Dorfbrunnen. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92901 A. Photo N° 5.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 4 AUG. 1944. I. A.]
- Image 171492 : 1975/6. Bergdorf in der Sonne. Wenn "Er" noch lange auf sich warten lässt, läuft der Eimer über. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92901 A. Photo N° 6.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 4 AUG. 1944. I. A.]
- Image 171493 : 1975/7. Bergdorf in der Sonne. In alle Gassen und Fenster sieht der Grimming und den Menschen ist er ein treuer Wetterwart. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92901 A. Photo N° 7.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 4 AUG. 1944. I. A.]
- Image 171494 : 1975/8. Bergdorf in der Sonne. Der Rohrmoser, ein kerniger Pürgger Erbhofbauer. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92901 A. Photo N° 8.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 4 AUG. 1944. I. A.]
- Image 171495 : 1975/9. Bergdorf in der Sonne. Sonnige Dorfjugend. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92901 A. Photo N° 9.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 4 AUG. 1944. I. A.]
- Image 171496 : 1975/10. Bergdorf in der Sonne. Die Schule ist aus. Die freien Nachmittagsstunden gehören der Mithilfe auf dem väterlichen Hof. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92901 A. Photo N° 10.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 4 AUG. 1944. I. A.]
- Image 171497 : 1975/11. Bergdorf in der Sonne. Es wird angespannt zur Feldarbeit. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92901 A. Photo N° 11.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 4 AUG. 1944. I. A.]
- Image 171498 : 1975/12. Bergdorf in der Sonne. Eine handfeste "Jause" erhält die Arbeitskraft. Die Bäuerin selbst bringt sie auf das entlegene Feld. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92901 A. Photo N° 12.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 4 AUG. 1944. I. A.]
- Image 171499 : 1975/13. Bergdorf in der Sonne. Feierabend. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92901 A. Photo N° 13.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 4 AUG. 1944. I. A.]
- Image 171500 : 1975/1. Bergdorf in der Sonne. Über dem 1000 jährigen Bergdörchen Pürgg ragt das mächtige Bergmassiv des Grimming wie ein gewaltiger Wächter, der es in seinen starken Schutz genommen hat, empor. [Copyright by ORBIS-PHOTO.] [Copyright by SIPHO.] [Série N° 92901 A. Photo N° 14.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 4 AUG. 1944. I. A.]
- Reportage autrichiens : travailleurs d'usines d' armes en vacances au Tyrol, 18/06/1943. - 3 photos
- Reportage: "Avec les Italiens en Ethiopie", 1935-1936. - 6 photos
- Image 161623 : Avec les Italiens en Ethiopie. La photo montre des soumis, habillés et équipés, pendant la revue passée par le Raz Guska avant le départ pour le front de Makallé. [Actualit]
- Image 161624 : Avec les Italiens en Ethiopie. La photo montre le Raz Guska, à gauche, passant en revue les troupes, parmi lesquelles se trouvent des soumis, avant de partir pour le front de Makallé. [Actualit]
- Image 161625 : Avec les Italiens en Ethiopie. La photo montre un nouveau soumis, entouré des médecins, qui reçoit quelques soins étant malade. (Sud d'Adigrat) [Actualit]
- Image 161626 : Avec les Italiens en Ethiopie. La photo montre le Ras Guska, à cheval, passant en revue les troupes parmi lesquelles les nouveaux soumis, avant de partir pour Makallé. [Actualit]
- Image 161627 : Avec les Italiens en Ethiopie (sud d'Adigrat). La photo montre un enfant qui vient d'être opéré par un Major médecin Italien. [Actualit]
- Image 161628 : (Au Sud d'Adigrat) Avec les Italiens en Ethiopie. La photo montre un enfant qui vient pour être soigné par les médecins italiens. [Actualit]
- Reportage: "Biennale de Venise", 1937-1943. - 8 photos
- Image 160034 : Deutsche Filmkünstler auf der Biennale in Venedig. Elli Parvor, die bekannte italienische Darstellerin vieler italienischer Filme ist das erste Mal in Deutschland in dem Bavaria-Film "Sieben Jahre Glück" zu sehen, dessen Regie in den Händen Ernst Marischka's liegt und in dem wir mit Hans Moser und Theo Lingen Wiedersehen feiern können. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.344 A : photo 18]
- Image 160035 : Deutsche Filmkünstler auf der Biennale in Venedig. Ilse Meudtner, die Solotänzerin der Staatsoper in Berlin hat ihr Training für die neue Wintersaison für einige Zeit an den Lido von Venedig verlegt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.344 A : photo 13]
- Image 160036 : Deutsche Filmkünstler auf der Biennale in Venedig. Ilse Meudtner, die Solotänzerin der Staatsoper in Berlin hat ihr Training für einige Zeit an den Lido von Venedig verlegt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.344 A : photo 15]
- Image 160037 : Deutsche Filmkünstler auf der Biennale in Venedig. Die bekannte italienische Darstellerin Elli Parvo wurde erstmals für einem deutschen Film verpflichtet, der "Sieben Jahre Glück" heisst und bei der Bavaria unter Spielleitung von Ernst Marischka gedreht wurde. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.344 A : photo 19]
- Image 160038 : Deutsche Filmkünstler auf der Biennale in Venedig. Der Spielleiter von Baky, der Produktionschef Schmidt und Hans Albers fahren zu Aussenaufnahmen des neuen Ufa-Farb-Films "Die Abenteuer des Baron von Münchhausen", der zum Teil in Venedig gedreht wird und dessen Titelrolle Hans Albers übertragen wurde. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.344 A : photo 6]
- Image 160039 : Deutsche Filmkünstler auf der Biennale in Venedig. Lustige Unterhaltung unter Venedigs geflügeltem Löwen. Hans Albers und Werner Scharf weilen zur Zeit in der Lagunestadt zu Aussenaufnahmen des neuen Ufa-Farbfilms "Die Abenreuer des Baron von Münchhausen", dessen Titelrolle Hans Albers übertragen wurde. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.344 A : photo 8]
- Image 160040 : Deutsche Filmkünstler auf der Biennale in Venedig. Olga Tschechowa, die bekannte und beliebte Künstlerin von Bühne und Film besuchte Venedig während der Biennale zur Uraufführung des "Andreas Schlüter" -Films, der unter der Regie von Herbert Maisch enstand und in den sie die weibliche Hauptrolle als Partnerin von Heinrich George inne hat. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.344 A : photo 5]
- Image 160041 : Deutsche Filmkünstler auf der Biennale in Venedig. Olga Tschechowa besuchte Venedig zur Biennale, um sich bei der Uraufführung des Terra-Films "Andreas Schlüter", in den sie die weibliche Hauptrolle innehat, den italienischen Publikum vorzustellen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.344 A : photo 1]
- Reportage: céramique en Italie, [...-1945]. - 1 photo
- Reportage: "Chez les Verriers De Murano" (+ texte), [...-1945]. - 15 photos
- Image 159293 : Chez les verriers de Murano. Dans une grande se trouvent les fours dans lesquels le verre est soumis à la fusion. Les ouvriers travaillent munis de longues barres de fer creuses ou cannes à souffler. Le maître ouvrier est assis dans une sorte de fauteuil à très larges accoudoirs horizontaux sur lesquels il fait rouler d'un mouvement de va et vient le tube de soufflage, imprimant ainsi à la masse du verre mou un vif mouvement de rotation. La force centrifuge provoque des élargissements de la masse qui varient avec la direction du mouvement et avec la vitesse de la rotation. [Actualit]
- Image 159294 : Chez les verriers de Murano. II Un des ouvriers souffle la goutte de verre encore rouge de la fusion tandis qu'un autre approche une petite pièce du four pour la ramollir et la façonner à son gré. [Actualit]
- Image 159295 : Chez les verriers de Murano. La masse de verre que vous voyez va devenir un superbe plat. Un ouvrier applique une canne rougie contre la partie qui sera le dessous du plat (à gauche) et le maître ouvrier, d'une main sure, va trancher tout autour la masse de verre rattachée à la canne de droite. [Actualit]
- Image 159296 : Chez les verriers de Murano. L'ouvrier a tranché le verre qui était encore attaché à la canne. De cette façon il a obtenu une sorte de corolle de verre à moitié fermée. Par suite du mouvement giratoire imprimé à cette masse encore malléable, celle-ci s'est ouverte complètement formant le joli plat que voici. [Actualit]
- Image 159297 : Chez les verriers de Murano. V Le maître ouvrier receuille sur un vase en partie terminé, la goutte de verre qui en formera le pied. Il s'agit de travailler vite car le verre se refroidit rapidement et la moindre erreur ou retard rend la pièce inutilisable et bonne à jeter, ce qui arrive assez souvent et explique les prix élevés des verres de Murano. [Actualit]
- Image 159298 : Chez les verriers de Murano. A midi, les petits apprentis verriers de Murano mangent leur plat de spaghettis, assis en plein soleil, face à la lagune miroitante et merveilleuse. [Actualit]
- Image 159299 : [aucune indication] [Actualit]
- Image 159300 : Chez les verriers de Murano. L'ouvrier qui a trempé la canne dans le verre en fusion aplatit d'abord légèrement la masse de verre mou avant d'y souffler. [Actualit]
- Image 159301 : [Aucune indication]
- Image 159302 : [Aucune indication] [Actualit]
- Image 159303 : Verrerie soufflée. Murano.
- Image 159304 : [Aucune indication]
- Image 159305 : Verre Murano gravé. [Giacomo Brogi]
*Chez les Verriers de Murano VII. Modèle de verrerier taillée moderne de Murano. [Actualit]
- Image 159306 : S.A.L.J.R. Murano. Vaso inciso : "Antifride" [Giacomo Brogi]
*Chez les Verriers de Murano VII. Modèle de verrerier taillée moderne de Murano. [Actualit]
- Image 159307 : Chez les verriers de Murano. Dans le musée des verres de Murano sur le "Canal Grande" à Venise, figurent des pièces uniques. Celles que reproduisent notre photo sont très anciennes et valent quelque dizaine de mille £. Certaines ont été taillées à même une masse de verre multicolore et il a fallu deux et trois ans de travail précaire pour obtenir ces coupes d'une splendeur et d'un coloris prestigieux. [Actualit]
- Reportage: "Combinaisons de bain allemandes sur la plage en Italie", 1941. - 2 photos
- Reportage concernant le travail en Autriche : Fer forgé, 1930-1945. - 5 photos
- Reportage concernant le travail en Autriche : volontaires du service du travail, construisant une route de montagne, 1930-1945. - 4 photos
- Image 171337 : Freiwilliger Arbeitsdienst baut Höhenstrasse. 2800 Arbeitswillige zählt der Oesterreichische Arbeitsdienst, welcher um zwei Schillinge Taglohn pro Mann, eine nahrhafte Kost, Liegestatt, das Gespenst der Arbeitslosigkeit bannen will. Die Arbeitskolonie baut derzeit eine Höhenstrasse über den Kreuzberg bei Krems. Eine einheitliche Uniform, eine Wimpel mit Spaten und Aehren im Wappen sind die äusseren Zeichen der "Arbeitssoldaten". Es ist dies die erste Vereinigung, die durch das Beispiel des freiwilligen "Oesterreichischen Arbeitsdienst" das Problem der Kriese lösen will. Unser Bild zeigt :- Eine Parade der Schiebtruhen. Lössbergwände werden abgetragen. [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.]
- Image 171338 : Freiwilliger Arbeitsdienst baut Höhenstrasse. 2800 Arbeitswillige zählt der Oesterreichische Arbeitsdienst, welcher um zwei Schillinge Taglohn pro Mann, eine nahrhafte Kost, Liegestatt, das Gespenst der Arbeitslosigkeit bannen will. Die Arbeitskolonie baut derzeit eine Höhenstrasse über den Kreuzberg bei Krems. Eine einheitliche Uniform, eine Wimpel mit Spaten und Aehren im Wappen sind die äusseren Zeichen der "Arbeitssoldaten". Es ist dies die erste Vereinigung, die durch das Beispiel des freiwilligen "Oesterreichischen Arbeitsdienst" das Problem der Kriese lösen will. Unser Bild zeigt :- Tagesbefehl des "Oesterreichischen Arbeitsdienst" in Arbeitsunifom. Geschultert ist das Gewehr des Friedens, Schaufel und Krampen, die Fahne der Arbeit zwei Aehren mit Spaten im hellen Kreis begleiten begleitet den Zug. [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.]
- Image 171339 : Freiwilliger Arbeitsdienst baut Höhenstrasse. 2800 Arbeitswillige zählt der Oesterreichische Arbeitsdienst, welcher um zwei Schillinge Taglohn pro Mann, eine nahrhafte Kost, Liegestatt, das Gespenst der Arbeitslosigkeit bannen will. Die Arbeitskolonie baut derzeit eine Höhenstrasse über den Kreuzberg bei Krems an der Donau. Eine einheitliche Uniform, eine Wimpel mit zwei Aehren und Spaten im weissen Kreis sind die äusseren Zeichen der "Arbeitssoldaten". Es ist dies die erste Vereinigung, die durch das Beispiel des freiwilligen Arbeitsdienstes das Problem der Kriese lösen will. Unser Bild zeigt :- Die Höhenstrasse am Kreuzeberg wird gebaut. Im Tale liegt Krems an der Donau. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.]
- Image 171340 : Freiwilliger Arbeitsdienst baut Höhenstrasse. 2800 Arbeitswillige zählt der Oesterreichische Arbeitsdienst, welcher um zwei Schillinge Taglohn pro Mann, eine nahrhafte Kost, Liegestatt, das Gespenst der Arbeitslosigkeit bannen will. Die Arbeitskolonie baut derzeit eine Höhenstrasse über den Kreuzberg bei Krems an der Donau. Eine einheitliche Uniform, eine Wimpel mit zwei Aehren und Spaten im weissen Kreis sind die äusseren Zeichen der "Arbeitssoldaten". Es ist dies die erste Vereinigung, die durch das Beispiel des freiwilligen Arbeitsdienstes das Problem der Kriese lösen will. Unser Bild zeigt :- Die Höhenstrasse am Kreuzberg wird gebaut. [Copyright by Photo "ACTUALIT".] [LEO ERNST - ALBERT HILSCHER.]
- Reportage concernant l'Italie, [...-1945]. - 3 photos
- Reportage concernant l'Italie, [...-1945]. - 4 photos
- Reportage concernant l'Italie, [...-1945]. - 6 photos
- Reportage concernant l'Italie, [...-1945]. - 7 photos
- Image 159057 : Die Campagna. Bild 1-12 In der "Campagna felice", wie der Römer von dieser schönen Landschaft spricht, spielen sich durch die Schuld der Verräterclique Italiens jetzt schwere Kämpfe ab. Die Campagna ist eine der fruchtbarsten Gegenden Europas und gehört zu den dichtest bevölkerten Landstrichen Italiens. Überall zeigen sich Baudenkmäler aus alter Zeit. Im Centrum des dortigen Kriegsgeschehens liegt das Flusstal des Volturno und die Stadt Capna. Bild 1 : Capna, das Casilinum der Alten, liegt wie ein Brückenkopf am Volturno. Hier kämpfte schon Hannibal 215 v Ch. Die heutige Stadt wurde 841 neu gegründet. Blick auf die Mitte der Stadt am Volturno. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [118/1] [Serie N° 92.784.1]
- Image 159058 : Bild 7. Caiazzo. Am Calore, einem Nebenfluss des Volturno, liegt Caiazzo, das römische Calatia, das noch schöne Bauten aus der Langobardenzeit bewahrt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Censure photographique] [118/7] [Serie N° 92.784.7]
- Image 159059 : Bild 8. Landschaftsbild bei Alife im Tal des Volturno. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Censure photographique] [118/8] [Serie N° 92.784.8]
- Image 159060 : Bild 9. Die annmutige Umgebung von Alife. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Censure photographique] [118/9] [Serie N° 92.784.9]
- Image 159061 : Bild 10. Die Bergruppe des Il Maltese, die von den Tälern des Volturno, des Calore und des Tamarco umschlossen wird. Das Maltesegebirge ist ein Karst ähnliches Massiv. Im Vordergrund der künstlich gebildete Maltese-See, deren Stauwasser zur Kraftstromerzeugung dienen. Im Hintergrund der Monte Miletto, 2050 m hoch. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Censure photographique] [118/10] [Serie N° 92.784.10]
- Image 159062 : Bild 11. Guardia Sanframondi, das Land behrrschende mittelalterliche Schloss in einem Nebental des Calore, an der Ostseite des Maltese-Gebirges. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [118/11] [Serie N° 92.784.11] [Censure photographique]
- Image 159063 : Bild 12. Das Panorama von Pontelandolfo, einem Städtchen am Zugang zum Tal des Tammaro, der in Richtung Campolasso fliesst. Auf einer Anhöhe gruppiert sich die Stadt um einen alten runden Felsenturn herum. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Censure photographique] [118/12] [Serie N° 92.784.12]
- Reportage: "Connaissez-vous déjà la Rome moderne", 1942. - 12 photos
- Image 159993 : Kennen Sie schon Roma moderna? 11. Wie der Kiel eines Ozeandampfers stösst diese Hausecke an der Ponte Milvio gegen den Tiber vor. Unterstützt wird die kühne Wirkung des Baues durch die sehr geschickt abgesetzten Balkonstreifen. [Sipho] [Série 92.218 B photo 11] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [A restituer après publication] [Série N° 244 Photo N° 11]
- Image 159994 : 1473/10 Kennen sie schon Roma moderna ? Wohnhaus in einer der neuen römischen Vorstädte. Atlantic/Weller [Sipho] [Série 92.218 A : photo 10] [Série 244 : Photo 10] [Frei gegeben durch Zensur] [Censure photographique]
- Image 159995 : 1473/9 Kennen Sie schon Roma moderna? 9. Solche Mietshäuser kann man im Quartier um die Plazza Bologna, d.h. in der Nähe des neuen Universitätsviertels, häufig finden. Und immer wieder muss man feststellen, dass diese Bauart gut unter den heiteren römischen Himmel passt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.218 A : photo 9] [Série 244 : Photo 9] [Restituer après publication]
- Image 159996 : 1473/8 Kennen sie schon Roma moderna? Hinterfront eines modernen römischen Wohnblocks. Die Wohnungen sind hier sehr preiswert. Von den oberen Stockwerken hat man die herrlichste Aussicht über Rom und die weite Campagne bis zum Gebirge. Atlantic/Weller [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.218 A : photo 8] [Restituer après publication] [Série 244 : Photo 8] [Censure photographique]
- Image 159997 : 1473/7 Kennen sie schon Roma moderna? Eine der typischen neuen Wohn- und Geschäftsstrassen an der Peripherie Roms. Obwohl es billige Wohnblocks sind, sind die Wohnungen mit verhältnismässig viel Luxus ausgestattet und tragen vor allem dem Lufthunger des Römers Rechnung. Atlantic/Weller [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.218 A : photo 7] [Série 244 : Photo 7] [Restituer après publication] [Censure photographique]
- Image 159998 : Kennen sie schon Roma moderna? 6. Neues Häuserviertel hinter der Via Nomenta, in der das Palais des Duce steht. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.218 A : photo 6] [Restituer après publication]
- Image 159999 : 1473/6 Kennen Sie schon Roma moderna? 2. Auf den Dächern der modernen römischen Stadtrandwohnblocks feiert die Liebe des Römers zu Luft, Sonne und Blumen wahre Orgien. Die Baumeister kennen diese Leidenschaft und bauen oft auf Kosten des Gesamteindrucks so viel Terrassen und Balkons wie nur möglich an und auf die Mietspaläste, denn je mehr Balkons und Terrassen, desto begeisterter stürzt sich das Publikum auf die Wohnungen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.218 A : photo2] [Restituer après publication] [Censure photographique] [Série 244 : Photo 6]
- Image 160000 : 1473/5 Kennen Sie schon Roma moderna? 5. Blick von Celio auf ein neues Wohnviertel Roms. Es spricht für diese neuen Whonviertel, dass ihr Anblick über die Mauer so eines alten, mit Geschichte und Tradition geladenen Parkes nicht störend wirkt. Atlantic/Weller [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.218 A : photo 5] [Restituer après publication] [Censure photographique]
- Image 160001 : 1473/4 Kennen Sie schon Roma moderna? Blick auf eines der typischen, sehr eleganten Wohnhäuser am Stadtrande Roms (Im Quartier Pairoli auf den Höhen des Tiber mit dem Blick auf die Ebene). In diesen Häusern werden die Wohnungen nicht vermietet, sondern nach römischen System gekauft. Atlantic/Weller [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.218 A : photo 4]
[Censure photographique]
- Image 160002 : 1473/3 Kennen Sie schon Roma moderna? 3. Ein wenig südamerikanisch muten Häuser wie diese an - aber sie passen in das römische Klima und sind ausserdem mit allen modernen Bequemlichkeiten versehen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.218 A : photo 3] [A restituer après publication]
- Image 160003 : 1473/1 Kennen Sie schon Roma moderna? Eines der Wohnhäuser, wie sie allerorts an der Peripherie Roms aus dem Boden schiessen. Man kann zu dem Baustil stehen wie man will, unter dem grellen Himmel Roms wirkt es keineswegs störend. Atlantic/Weller [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 244 : photo 1] [Censure photographique]
- Image 160004 : 1473/6 Kennen Sie schon Roma moderna? Neues Häuserviertel hinter der Via Nomentana, in der das Palais des Duce steht. Atlantic/Weller [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 244 : photo 6] [Censure photographique]
- Reportage de Hugo A. Bernatzik (de Vienne) sur la population de Mailu en Nouvelle Guinée, [...-1945]. - 20 photos
- Image 152547 : 3. Zwei Doppelkanus mit aufgesetzten Wellenbrechern, dazwischen eine festgebundene Plattform, bilden den Bootskörper des "Orou".
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Image 152548 : 4. Einholen der Grosschot. Da die Eingeborenen keine Flaschenzüge kennen, erfordert das Einholen einen starken Krafteinsatz der ganzen Besatzung.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Image 152549 : 5. Der Kapitän des "Orou", links neben ihm sind die Wanten aus eingedrechten Rotanglianen sichtbar, die den schweren Mast zu stützen und dem Winddruck stanzuhalten haben.
[5/12/19.?.]
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Image 152550 : 6. Sorgfältig isolierter Feuerplatz an Bord eines Orou. Da die Eingeborenen auf ihren Fahrten manchmal wochenlang kein festes Land betreten, muss der Feuerplatz als Küche dienen.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Image 152551 : 7. Der Steuermann. Er drückt während der Fahrt das mächtige Brett, das das Steuer bildet, mit den Füssen unter Wasser.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Image 152552 : 8. ...und dirigiert es gleichzeitig mit Hilfe einer Stange, die er in der Rechten lält.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Image 152553 : 10. Bootsmann beim Erklettern der Takelage. Man sieht deutlich, wie das Segel aus geflochtenen Palmblattstreifen zusammengestellt ist.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Image 152554 : 12. Wenden des "Orou". Man lässt die Grossschot los, dass das Segel flattert und trägt das Steuerruder auf die entgegengesetzte Seite des Bootes, um es hier von neuem festzubinden.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Image 152555 : 2. Melanesier in leichten Doppelkanus. Die beiden Einbäume sind durch eine Plattform miteinander verbunden. Diese Fahrzeuge dienen zum Befahren der Flüsse.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Image 152556 : 5. Kunstvoll geschnitzte Decke im unteren Wohnzimmer eines Mailuhauses. Krokodile und Schlangen herrschen als Motive vor.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Image 152557 : 8. Kleine Mailumädchen in der gleichen Tracht wie die Erwachsenen.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Image 152558 : 9. Mailukrieger zum Tanz geschmückt. Er trägt Opossumfelstreifen über der Stirn und mehrere Federnkronen über dem Kopf, dazwischen Muschelbänder. Zwischen den Zähnen hält er mächtige Schweinszähne.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Image 152559 : 10. Mailufrau mit Federnkrone, über dem Ohr Hibiscusblüten. Das Gesicht ist bemalt.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Image 152560 : 11. Aeltere Mailufrau zum Tanz geschmückt, in der Hand hält sie eine Tanzkeule.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Image 152561 : 12. Mailukrieger beim Tanz. Der Paradiesvogelkopfschmuck flattert rückwärts herab.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Image 152562 : 14. Eine Reihe tanzender und die Sanduhrtrommel schlagender Mailikrieger.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Image 152563 : 1. Wie lebende Stare sehen die holzgeschnitzten Vögel auf den vorstehenden Firstbalken der Mailuhäuser aus.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Image 152564 : Die fleissigen Frauen von Mailu
2. Hölzerner Hund auf dem Giebelbalken eines Hauses.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Image 152565 : 6. Die Unterkiefer von Opferschweinen sind um den Eckpfeiler eines Hauses gestapelt und festgebunden.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Image 152566 : 9. Oft schlagen während der Fahrt die Wogen über das Verdeck und drohen die beiden Einbäume des Doppelkanus zu füllen. Dann steigen die Eingeborenen in die Einbäume und schöpfen sie aus.
[copyright by Dr. Hugo A. Bernatzik] [Sipho]
- Reportage: Ecole d’art pour enfants a Vienne, 16/04/1944. - 10 photos
- Reportage: "Ecole supérieure d'agriculture pour femmes en Italie" (+ texte), 09/09/1942. - 10 photos
- Image 162658 : Italiens Landwirtschaftliche Frauenhochschule.
2. Wie ein kleiner Festsaal sieht der offense Hof aus, auf dem die Kaninchenzucht der Landwirtschaftschule sich befindet. Nach zwei Gesichtspunkten werden hier die Kaninchen gezüchtet : Rassen, die wegen ihres Felles und andere die wegen ihres Fleisches mützlich sind.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.247 A - photo 2]
Italiens landwirtschaftliche Frauenhochschule.
Scuola Superiore di Agraria in St.Alesso.
Nur wenige werden wissen, dass man, wenn man einige Kilometer über die ehrwürdige Via Appia in die Campagna fährt, zu einer jungen und sehr lebensvollen Siedlung gelangt : der Scuola Superiora di Agraria von St. Alessio. Alljährlich werden hier etwa 25 junge Mädchen, die z.T. bereits ihr Dr. Examen in Agrar-und Naturwissenschaft bestanden haben, mit der Praxis der Landwirtschaft vertraut gemacht. Auf einem Stückchen Erde von ca.100 Norgen üben sich die eifrigen Elevinnen in allen erdenklichen ländlichen Verrichtungen. Das Hauptgewicht liegt selbstverständlich in Gartenbau und Kleintierzucht. Die jungen, hier ausgebildeten Mädchen sind dazu bestimmt, später die "massaie rurale", das sind die Siedler- und Bauersfrauen, zu schulen, es ist ein wichtiger Faktor im Autarkie-Programm Italiens, dass die Landfrauen Kleintierzucht rationell betreiben. Deshalbt erlernen auch die Schülerinnen der Landwirtschaftlichen Frauenhochschule jeden Handgriff von der Pike auf.
Wir sehen sie in Alessio an ihren Kaninchenställen, die luftig unddoch sonnengeschützt einen glycinienüberrankten Hof umrahmen. Die kostbaren Pelzlieferanten schlafen auf Maschendraht, um stets trocken zu liegen, ihr duftig weisses Angorahaar bezeugt die liebevolle Pflege. Und während die Elevinnen, die den Hühnerdienst versehen , ihre Musterhennen vorführen, stellt man fest, dass die Fallnester einen Drahtklappenverschluss haben. Weiter ergötzt man sich an der originellen Imkerhaube, die wie ein moderner Hut anmutet. Ein winziges Kleintier, das sich auch in Deutschland wachsender Beliebtheit erfreut, gehört ebenfalls zu den Schulungsobjekten von Alessio : der unscheinbare Seidenwurm, der mit Maulbeerblättern gefüttert wird. Weiter steht die Gewinnung von Spinnstoff aus den verschiedensten Fasergewächsen auf dem Arbeitsprogramm.
Dazu gehören auch Baumwollkulturen, wie sie mit Erfolg in dem Agro Pontino, den ehemaligen Pontinischen Sümpfen, angelegt wurden. aen Faden erzeugt, soll auch verstehen, ihn zu verarbeiten, ihn zu spinnen, zu stricken und zu weben. Und so sehen wir die Mädels am Webstuhl sitzen und das Schiffchen schwingen.
Oft sind es alte Vorlagen, die als webmuster dienen. Immer aber sind die Streifen und Karos Farbig, heiter und geschmackvoll.
Eines ist sicher, dass wenn die Glocke zum Schlafengehen schlägt, die Mädschen von St. Alessio sehr müde geworden sind. Denn wer kennt sie nicht, die gesunde Müdigkeit nach einem Tag ländlicher Arbeit? Und unter der intensiven Sonne des Südens oder gar während des gefürchteten Schirocco, dem wüstenwind, bedeutet dieser Grad von Aktivität für die jungen Mädchen einen Energieaufwand, der Bewunderung einflösst. Die Signorina im weissen Kittel hat zweifellos recht, wenn sie sagt : es gehört viel Idealismus dazu !
B.V.G.
- Image 162659 : Italiens landwirtschaftliche Frauenhochsdule.
3. Sie sind so stolz auf die Ausbeute an Eiern von den ihnen zur Pflege anvertrauten Hühnern.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.247 A - photo 3]
- Image 162660 : Italiens landwirtschaftliche Frauenhochschule.
4. Professoren der Universität in Rom erteilen den theoretischen Unterricht an die Schülerinnen der Landwirtschaftlichen Hochschule S. Alessio. Die Fräulein Doktoren wundern sich, was man über eine Kuh alles wissen muss.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.247 A - photo 4]
- Image 162661 : Italiens landwirtschaftliche Frauenhochschule.
5. Imkerinnen mit Schutzkappen - nicht ohne "Schick".
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.247 A - photo 5]
- Image 162662 : Italiens landwirtschaftliche Frauenhochschule.
6. Auch der Seidenraupenzucht wird grösste Aufmerksamkeit geschenkt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.247 A - photo 6]
- Image 162663 : Italiens landwirtschaftliche Frauenhochschule.
7. Auch in Italien wird viel getan, um die Hausweberei zu beleben.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.247 A - photo 7]
- Image 162664 : Italiens landwirtschaftliche Frauenhochschule.
8. Von der Hand eines Fräulein Doktor der Naturwissenschaft serviert schmeckt es den Schweinen der Landwirtschaftlichen Hochschule bestimmt besonders gut.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.247 A - photo 8]
- Image 162665 : Italiens landwirtschaftlige Frauenhochschule.
9. Eine Studentin der landwirtschaftlichen Hochschule beim Anschirren der malerischen Campagna Ochsen zur Feldarbeit.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.247 A - photo 9]
- Image 162666 : Italiens landwirtschaftlige Frauenhochschule.
10. Auch die einfachsten Mahlzeiten des Tages werden grundsätzlich nur am gedeckten Tisch mit schönem Geschirr gereicht und immer müssen die jungen Mädchen, die jeweils diesen Dienst ausüben, auf sorgfältig hergerichteten Platten selbst servieren.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.247 A - photo 10]
- Image 162667 : Italiens landwirtschaftlige Frauenhochschule.
11. Verdiente Mittagspause.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.247 A - photo 11]
- Reportage: "Enseignement pratique pour l'équipage d'un sous-marin en Italie", 26/08/1943. - 5 photos
- Reportage: "erfolgreicher faschismus" (Sieg der Arbeit), 1942. - 11 photos
- Image 159454 : Sieg der Arbeit.
Entwässerung und Urbarmachung der Pontinischen Sümpfe. Blick von dem Turm Hauptverwaltungsgebäude auf Littoria. Links in der Mitte die Post. Es ist kaum glaublich, dass dieses alles in weniger als sechs Monaten erstanden ist. [Sipho]
*
Erfolgreicher Faschismus.
Mussolini und der Faschismus haben nicht nur auf politischem und militärischen Gebiete ausserodentliche Erfolge zu verzeichnen nicht minder gross sind die Erfolge auf dem innerpolitischen Gebiete der Urbarmachung unausgenutzen Landes.
Als leuchtendes Beispiel, die über Generationen hinauswirkenden Arbeitwird stets die Entwässerung und Urbamachung der Pontinischen Sümpfe sein.
U.B.z : Blick vom Turm des Hauptverwaltungsgebäudes der Stadt Littoria. Links in der Mitte die Post.
6449 d E.M. Orbis - Luce [Frei gegeben durch Zensur] [31.10.1942]
[Sipho]
- Image 159455 : Erfolgreicher Faschismus !
Mussolini und der Faschismus haben nicht nur auf politischem und militärischem Gebiete ausserordentliche Erfolge zu verzeichnen : nicht minder gross sind die Erfolge auf dem innenpolitischen Gebiete der Urbarmachung unausgenutzten Landes. Als leuchtendes Beispiel - die über Generationen hinauswirkende Arbeit wird stets die Entwässerung und Urbarmachung der Pontinischen Sümpfe anzusehen sein.
U.B.z. : die aus dem Nichts geschaffene "Littoria", vom Flugzeug gesehen. Sie stellt den Mittelpunkt der Verwaltung dar, während längs der Strassen in der Landschaft verteilt die eigentlichen Wohnhäuser sind.
6449 c E.M. Orbis - Luce [31.10.1942] [Censure de presse] [Sipho]
- Image 159456 : Sieg der Arbeit.
Entwässerung und Urbarmachung der Pontinischen Sümpfe. Sieg der Arbeit. Aus Sumpf und Wildnis wurde fruchtbares Ackerland, die jungfräuliche Scholle wartet auf den Sämann. [Série 92.219 : photo 8] [Sipho]
* Erfolgreicher Faschismus
Mussolini und der Faschismus haben nicht nur auf politischem und militärischem Gebiete ausserordentliche Erfolge zu verzeichnen; nicht minder gross sind die Erfolge auf dem innenpolitischen Gebiete der Urbarmachung unausgenutzten Landes. Als leuchtendes Beispiel - die über Generationen hinauswirkende Arbeit - wird stets die Entwässerung und Urbarmachung der Pontinischen Sümpfe anzusehen sein.
U.B.z. : Fruchtbares Ackerland, wo noch vor kurzem Sumpf und Wildnis war.
6449 a E.M. Orbis - Luce [31.10.1942] [02/11/1942] [Sipho]
- Image 159457 : Mussolini und der Faschismus haben nicht nur auf politischem und militärischem Gebiete ausserordentliche Erfolge zu verzeichnen; nicht minder gross sind die Erfolge auf dem innenpolitischen Gebiete der Urbarmachung unausgenutzten Landes. Als leuchtendes Beispiel - die über Generationen hinauswirkende Arbeit - wird stets die Entwässerung und Urbarmachung der Pontinischen Sümpfe anzusehen sein.
U.B.z. : auf ehemaligem Sumpfgelände ist ein Gehöft entstanden, gut gebautes Haus mit allem was zur Siedlung gehört mit einer Aufnahmefähigkeit für mindestens eine achtköpfige Familie.
6449 b E.M. Orbis - Luce [31/10/1942] [Frei gegeben durch Zensur] [Sipho]
- Image 159458 : 11559
I Giovanissimi agricoltori dell' Italia fascista al lavore : la semina a mano nel campo della 533° Legione Rurali dell' Opera Nazionale Balilla, in località Pietralata.
[Foto Vedo] [Actualit]
- Image 159459 : 11550
I Giovanissimi agricoltori dell' Italia fascista al lavoro : una lezione pratica di agricoltora impartita ai Balilla Rurali. [Actualit] [Foto Vedo]
- Image 159460 : Il Duce acclamato dai lavoratori di sabaudia premia mille rurali veterani della redenzione dell'agro Pontino.
Il Capo del Governo consegna i premi ai coloni. [Actualit]
- Image 159461 : Rovigo 16/3
Le départ de l'Italie de 30.000 travailleurs de la campagne qui se rendent en Allemagne selon une convention stipulée entre les gouvernements Fascista et du Reich. [Bruni Foto Agenzia]
- Image 159462 : Il Duce visita I grandiosi lavori della Bonifica Pontina. Entusiasticamente acclamato dai rurali.
Il Duce esamina la qualità del terreno dopo che l'aratro ha tracciato il solce nell' Agre Pontino. [Actualit] [Foto Vedo]
- Image 159463 : 9915/ Caprices of the Nature mastered by human hands.
Because the rocks are plumbing into the sea, the roads to the strand of the famous island of Capri had to be laid in numerous serpentines. Atlantic 13.10.1939
9915/ Launen der Natur vom Menschenhand bezwungen.
Weil die Felsen so steil ins Meer fallen, mussten die Wege zum Strand auf der berühmten Insel Capri in vielfachen Windungen angelegt werden. Atlantic 13.10.1939
[Sipho]
- Image 159464 : Sieg der Arbeit.
Entwässerung und Urbarmachung der Pontinischen Sümpfe.
Mit modernsten technischen Mitteln ist die Arbeit in Angriff genommen worden. Die gigantischen Baggermaschinen bringen in die Jahrtausende alte Öde die Silhouette unseren neuen heroischen Zeitalters der Arbeit. [Serie 92.219 : photo 10]
[Sipho]
- Reportage: Eté dans les Alpes, 12/07/1944. - 3 photos
- Reportage: "Ferri boot Scilla en Italie", [...-1945]. - 6 photos
- Reportage: "Formation de femme au foyer en Italie", [1922-1945]. - 11 photos
- Image 162630 : Neuzeitliche Hausfrauenschulung in Italien.
2. Im Chemieunterricht. - Hier haben die Mädchen Wollstoffe zur Untersuchung bekommen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 2]
- Image 162631 : Neuzeitliche Hausfrauenschulung in Italien.
10. Bei praktischer Gartenarbeit. Im Hintergrund das schöne alte Kloster, in dem die Schule untergebracht ist.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 10]
- Image 162632 : Neuzeitliche Hausfrauenschulung in Italien.
11. Fertig zum Ausgang. - Die Vorschriften sind äusserst streng. Auch im heissen Sommer ist scharze Uniform vorgeschrieben und nur gemeinsamer Ausgang gestattet.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 11]
- Image 162633 : Neuzeitliche Hausfrauenschulung in Italien.
4. "Man nehme..." Auch in Italien lernen die jungen Mädchen heute, gut und sparsam zu kochen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 4]
- Image 162634 : Neuzeitliche Hausfrauenschulung in Italien.
3. Vom Garten des herlichen Klosters, in dem die Schule untergebracht ist, geniesst man einen schönen Blick über das alte Rom.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 3]
- Image 162635 : Neuzeitliche Hausfrauenschulung in Italien.
1. Eine der Schülerinnen, die einen Bericht über ihre Erfahrungen in der sozialen Hilfe schreibt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 1]
- Image 162636 : Neuzeitliche Hausfrauenschulung in Italien.
9. Die jungen Mädchen werden praktisch in Sozialhilfe eingeführt. Jede Woche zweimal kommen aus allen Stadtgegenden Leute, um sich Rat zu holen. Die Mädels besuchen arme Familien in ihren wohungen, führen Karthotek über alles und machen Berichte. Sie sind glücklich, wenn sie es durchsetzen, das ihren Schützlingen geholfen wird.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 9]
- Image 162637 : Neuzeitliche Hausfrauenschulung in Italien.
8. Bei Untersuchungen aus dem Gebiet der Lebensmittelchemie.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 8]
- Image 162638 : Neuzeitliche Hausfrauenschulung in Italien.
7. Theoretischer Unterricht über das Thema : "Wie richtet sich eine Bäuerin auf kleinster Bodenfläche ein Hausgärtchen fur sich, den Mann und die fünf Kinder ein." Die Mädchen sollen ja später vor allem als hilfen für die Siedler in den neu Kultivierten Gebieten eingesetzt werden.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 7]
- Image 162639 : Neuzeitiche Hausfrauenschulung in Italien.
6. Wo vor einigen Jahren alte Mönchen hausten, wihnen jetzt hübsche junge Faschistinnen, die sich in Hauswirtschaft und Landwirtschaft ausbilden lassen.- Blick in einen der Schlafsäle.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 6]
- Image 162640 : Neuzeitliche Hausfrauenschulung in Italien.
5. Im Sozial-Unterricht. Die Mädel werden in das wegen der sozialen Hilfe praktisch eingeführt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Orbis-Photo]
[Série 92.191 B - photo 5]
- Reportage: “Gigli chez lui” conversation avec l'acteur Gigli (+ texte), 09/09/1942. - 10 photos
- Image 160024 : Gigli zu Hause. 1. Gigli beim Hokzhacken. Er ist fast stolzer auf die Kunst als auf das Singen. "Dass ich das kann" sagt er, "weiss ja jeder ...aber wie schön ich Holzhacken kann, das wissen die wenigsten". [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.248 A : photo 1] * Gigli - zu Hause - von Dr. Peter Weller. Eines Tages bekam ich aus Berlin einen Brief, in dem ich gebeten wurde, Gigli in Rom zu besuchen und ein paar nette Aufnahmen von ihm zu machen. Na, dachte ich, das kann ja nett werden! Mit so vielbeschäftigten Stars ist das meist sehr schwierig. Während ich noch darüber brütete, trat meine Wirtin in mein Zimmer. Ich klagte ihr mein Leid, und, wie immer, die Treffliche wusste Rat. "Ci penso io" - sagte sie - "das lassen Sie mich nur machen - meine Freundin hat eine Freundin, und die kennt den Schwager von Gigli". Sie ging resolut ans Telefon und nach einer Viertelstunde aufgeregtesten Sprechens stemmte sie triumphierend die Arme in die Hüften und sagte : "Che cosa do detto? - was habe ich ihnen gesagt?" - "Benjamino Gigli empfängt Sie übermorgen um 5 Uhr." Im Haus sprach es sich herum, dass ich zu Benjamino ginge, und alles nahm regsten Anteil. Der Zufall wollte, dass Gigli zwei Strassen von uns erntfernt wohnt, und ist er schon der Liebling aller Römer, nun - im Quartiere sind sie ganz besonders stolz auf ihn, lieben ihn und reden von ihm nur "per Benjamino". Als ich bei ihm eintraf, überraschte ich ihn in seinem Garten. Er stand in einem scheusslichen, viel zu kurzem und engen Overall und bespritzte mit gespannter Aufmerksamkeit seine Kohlbeete mit einem Riesenschlauch. Er liess sich denn auch garnicht aus der Fassung bringen, sondern meinte, ich solle ihn ruhig so knipsen, dann hätte ich wenigstens etwas Neues. Dann brachte ein junger Bursche eine Karaffe mit dunkelrotem Wein, und Gigli versäumte nicht, mich darauf aufmerksam zu machen, dass der von seinem Landgut bei Ancona sei, und ich möge ihn mit Verstand trinken. Ich tat es. Später begleitete ich den Maestro zum Hühnerstall, wo er in den schmelzendsten Giglitönen die Küken um sich lockte. Als er Holz hackte, hatte ich leise Zweifel, ob er das nicht vielleicht doch dem Fotografen zu lieb täte. Er merkte es und war entrüstet. "Fragen Sie meine Frau", sagte er, "ob ich das nicht jeden Tag mindestens eine halbe Stunde tue." Dann kam ein Telefonanruf einer Filmgesellschaft; sichtlich enttäuscht, dass er sich nun wieder fein machen müsse, verswand Gigli im Hause. Bevor er losfuhr - was ich rasch noch fotografierte, denn es war zu nett, mit welcher Leidensmiene er sich aufs Fahrrad klemmte - lud er mich ein, ihm im August auf seinem Lanagut bei Ancona zu besuchen. "Jedes Kind kennt mich dort", sagte er, "und das werde ich Ihnen zeigen, wie schön es bei mir ist und" - mit einem Blick nach der halbgeleerten Karaffe - "da habe ich dann noch einen ganz anderen Wein als den hier !"
- Image 160025 : Gigli zu Hause. 2. Eine rechte Erholung ist es, nach getaner Arbeit Arbeit im Garten und Hühnerstall seinen Vögeln etwas vorzupfeifen. Auch seinen Papagei pflegt er selbst - er spräche auch, behauptete er, aber leider nur, wenn er mit ihm allein sei. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.248 A : photo 2] * Gigli - zu Hause - von Dr. Peter Weller. Eines Tages bekam ich aus Berlin einen Brief, in dem ich gebeten wurde, Gigli in Rom zu besuchen und ein paar nette Aufnahmen von ihm zu machen. Na, dachte ich, das kann ja nett werden! Mit so vielbeschäftigten Stars ist das meist sehr schwierig. Während ich noch darüber brütete, trat meine Wirtin in mein Zimmer. Ich klagte ihr mein Leid, und, wie immer, die Treffliche wusste Rat. "Ci penso io" - sagte sie - "das lassen Sie mich nur machen - meine Freundin hat eine Freundin, und die kennt den Schwager von Gigli". Sie ging resolut ans Telefon und nach einer Viertelstunde aufgeregtesten Sprechens stemmte sie triumphierend die Arme in die Hüften und sagte : "Che cosa do detto? - was habe ich ihnen gesagt?" - "Benjamino Gigli empfängt Sie übermorgen um 5 Uhr." Im Haus sprach es sich herum, dass ich zu Benjamino ginge, und alles nahm regsten Anteil. Der Zufall wollte, dass Gigli zwei Strassen von uns erntfernt wohnt, und ist er schon der Liebling aller Römer, nun - im Quartiere sind sie ganz besonders stolz auf ihn, lieben ihn und reden von ihm nur "per Benjamino". Als ich bei ihm eintraf, überraschte ich ihn in seinem Garten. Er stand in einem scheusslichen, viel zu kurzem und engen Overall und bespritzte mit gespannter Aufmerksamkeit seine Kohlbeete mit einem Riesenschlauch. Er liess sich denn auch garnicht aus der Fassung bringen, sondern meinte, ich solle ihn ruhig so knipsen, dann hätte ich wenigstens etwas Neues. Dann brachte ein junger Bursche eine Karaffe mit dunkelrotem Wein, und Gigli versäumte nicht, mich darauf aufmerksam zu machen, dass der von seinem Landgut bei Ancona sei, und ich möge ihn mit Verstand trinken. Ich tat es. Später begleitete ich den Maestro zum Hühnerstall, wo er in den schmelzendsten Giglitönen die Küken um sich lockte. Als er Holz hackte, hatte ich leise Zweifel, ob er das nicht vielleicht doch dem Fotografen zu lieb täte. Er merkte es und war entrüstet. "Fragen Sie meine Frau", sagte er, "ob ich das nicht jeden Tag mindestens eine halbe Stunde tue." Dann kam ein Telefonanruf einer Filmgesellschaft; sichtlich enttäuscht, dass er sich nun wieder fein machen müsse, verswand Gigli im Hause. Bevor er losfuhr - was ich rasch noch fotografierte, denn es war zu nett, mit welcher Leidensmiene er sich aufs Fahrrad klemmte - lud er mich ein, ihm im August auf seinem Lanagut bei Ancona zu besuchen. "Jedes Kind kennt mich dort", sagte er, "und das werde ich Ihnen zeigen, wie schön es bei mir ist und" - mit einem Blick nach der halbgeleerten Karaffe - "da habe ich dann noch einen ganz anderen Wein als den hier !"
- Image 160026 : Gigli zu Hause. 3. Sitzt der Ton? Gigli spielt sich neue eigene Platten vor. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.248 A : photo 3] * Gigli - zu Hause - von Dr. Peter Weller. Eines Tages bekam ich aus Berlin einen Brief, in dem ich gebeten wurde, Gigli in Rom zu besuchen und ein paar nette Aufnahmen von ihm zu machen. Na, dachte ich, das kann ja nett werden! Mit so vielbeschäftigten Stars ist das meist sehr schwierig. Während ich noch darüber brütete, trat meine Wirtin in mein Zimmer. Ich klagte ihr mein Leid, und, wie immer, die Treffliche wusste Rat. "Ci penso io" - sagte sie - "das lassen Sie mich nur machen - meine Freundin hat eine Freundin, und die kennt den Schwager von Gigli". Sie ging resolut ans Telefon und nach einer Viertelstunde aufgeregtesten Sprechens stemmte sie triumphierend die Arme in die Hüften und sagte : "Che cosa do detto? - was habe ich ihnen gesagt?" - "Benjamino Gigli empfängt Sie übermorgen um 5 Uhr." Im Haus sprach es sich herum, dass ich zu Benjamino ginge, und alles nahm regsten Anteil. Der Zufall wollte, dass Gigli zwei Strassen von uns erntfernt wohnt, und ist er schon der Liebling aller Römer, nun - im Quartiere sind sie ganz besonders stolz auf ihn, lieben ihn und reden von ihm nur "per Benjamino". Als ich bei ihm eintraf, überraschte ich ihn in seinem Garten. Er stand in einem scheusslichen, viel zu kurzem und engen Overall und bespritzte mit gespannter Aufmerksamkeit seine Kohlbeete mit einem Riesenschlauch. Er liess sich denn auch garnicht aus der Fassung bringen, sondern meinte, ich solle ihn ruhig so knipsen, dann hätte ich wenigstens etwas Neues. Dann brachte ein junger Bursche eine Karaffe mit dunkelrotem Wein, und Gigli versäumte nicht, mich darauf aufmerksam zu machen, dass der von seinem Landgut bei Ancona sei, und ich möge ihn mit Verstand trinken. Ich tat es. Später begleitete ich den Maestro zum Hühnerstall, wo er in den schmelzendsten Giglitönen die Küken um sich lockte. Als er Holz hackte, hatte ich leise Zweifel, ob er das nicht vielleicht doch dem Fotografen zu lieb täte. Er merkte es und war entrüstet. "Fragen Sie meine Frau", sagte er, "ob ich das nicht jeden Tag mindestens eine halbe Stunde tue." Dann kam ein Telefonanruf einer Filmgesellschaft; sichtlich enttäuscht, dass er sich nun wieder fein machen müsse, verswand Gigli im Hause. Bevor er losfuhr - was ich rasch noch fotografierte, denn es war zu nett, mit welcher Leidensmiene er sich aufs Fahrrad klemmte - lud er mich ein, ihm im August auf seinem Lanagut bei Ancona zu besuchen. "Jedes Kind kennt mich dort", sagte er, "und das werde ich Ihnen zeigen, wie schön es bei mir ist und" - mit einem Blick nach der halbgeleerten Karaffe - "da habe ich dann noch einen ganz anderen Wein als den hier !"
- Image 160027 : Gigli zu Hause. 4. Wo früher Blumen standen, wachsen heute nahrhafte Gemüse. Hat der Künstler einmal Zeit, so ist es ihm ein Hauptspass, selbst darin zu werkeln. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.248 A : photo 4] * Gigli - zu Hause - von Dr. Peter Weller. Eines Tages bekam ich aus Berlin einen Brief, in dem ich gebeten wurde, Gigli in Rom zu besuchen und ein paar nette Aufnahmen von ihm zu machen. Na, dachte ich, das kann ja nett werden! Mit so vielbeschäftigten Stars ist das meist sehr schwierig. Während ich noch darüber brütete, trat meine Wirtin in mein Zimmer. Ich klagte ihr mein Leid, und, wie immer, die Treffliche wusste Rat. "Ci penso io" - sagte sie - "das lassen Sie mich nur machen - meine Freundin hat eine Freundin, und die kennt den Schwager von Gigli". Sie ging resolut ans Telefon und nach einer Viertelstunde aufgeregtesten Sprechens stemmte sie triumphierend die Arme in die Hüften und sagte : "Che cosa do detto? - was habe ich ihnen gesagt?" - "Benjamino Gigli empfängt Sie übermorgen um 5 Uhr." Im Haus sprach es sich herum, dass ich zu Benjamino ginge, und alles nahm regsten Anteil. Der Zufall wollte, dass Gigli zwei Strassen von uns erntfernt wohnt, und ist er schon der Liebling aller Römer, nun - im Quartiere sind sie ganz besonders stolz auf ihn, lieben ihn und reden von ihm nur "per Benjamino". Als ich bei ihm eintraf, überraschte ich ihn in seinem Garten. Er stand in einem scheusslichen, viel zu kurzem und engen Overall und bespritzte mit gespannter Aufmerksamkeit seine Kohlbeete mit einem Riesenschlauch. Er liess sich denn auch garnicht aus der Fassung bringen, sondern meinte, ich solle ihn ruhig so knipsen, dann hätte ich wenigstens etwas Neues. Dann brachte ein junger Bursche eine Karaffe mit dunkelrotem Wein, und Gigli versäumte nicht, mich darauf aufmerksam zu machen, dass der von seinem Landgut bei Ancona sei, und ich möge ihn mit Verstand trinken. Ich tat es. Später begleitete ich den Maestro zum Hühnerstall, wo er in den schmelzendsten Giglitönen die Küken um sich lockte. Als er Holz hackte, hatte ich leise Zweifel, ob er das nicht vielleicht doch dem Fotografen zu lieb täte. Er merkte es und war entrüstet. "Fragen Sie meine Frau", sagte er, "ob ich das nicht jeden Tag mindestens eine halbe Stunde tue." Dann kam ein Telefonanruf einer Filmgesellschaft; sichtlich enttäuscht, dass er sich nun wieder fein machen müsse, verswand Gigli im Hause. Bevor er losfuhr - was ich rasch noch fotografierte, denn es war zu nett, mit welcher Leidensmiene er sich aufs Fahrrad klemmte - lud er mich ein, ihm im August auf seinem Lanagut bei Ancona zu besuchen. "Jedes Kind kennt mich dort", sagte er, "und das werde ich Ihnen zeigen, wie schön es bei mir ist und" - mit einem Blick nach der halbgeleerten Karaffe - "da habe ich dann noch einen ganz anderen Wein als den hier !"
- Image 160028 : Gigli zu Hause. 9. auch Gigli fährt jetzt wieder Rad - - aber anscheined ohne rechte Begeisterung. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.248 A : photo 9] * Gigli - zu Hause - von Dr. Peter Weller. Eines Tages bekam ich aus Berlin einen Brief, in dem ich gebeten wurde, Gigli in Rom zu besuchen und ein paar nette Aufnahmen von ihm zu machen. Na, dachte ich, das kann ja nett werden! Mit so vielbeschäftigten Stars ist das meist sehr schwierig. Während ich noch darüber brütete, trat meine Wirtin in mein Zimmer. Ich klagte ihr mein Leid, und, wie immer, die Treffliche wusste Rat. "Ci penso io" - sagte sie - "das lassen Sie mich nur machen - meine Freundin hat eine Freundin, und die kennt den Schwager von Gigli". Sie ging resolut ans Telefon und nach einer Viertelstunde aufgeregtesten Sprechens stemmte sie triumphierend die Arme in die Hüften und sagte : "Che cosa do detto? - was habe ich ihnen gesagt?" - "Benjamino Gigli empfängt Sie übermorgen um 5 Uhr." Im Haus sprach es sich herum, dass ich zu Benjamino ginge, und alles nahm regsten Anteil. Der Zufall wollte, dass Gigli zwei Strassen von uns erntfernt wohnt, und ist er schon der Liebling aller Römer, nun - im Quartiere sind sie ganz besonders stolz auf ihn, lieben ihn und reden von ihm nur "per Benjamino". Als ich bei ihm eintraf, überraschte ich ihn in seinem Garten. Er stand in einem scheusslichen, viel zu kurzem und engen Overall und bespritzte mit gespannter Aufmerksamkeit seine Kohlbeete mit einem Riesenschlauch. Er liess sich denn auch garnicht aus der Fassung bringen, sondern meinte, ich solle ihn ruhig so knipsen, dann hätte ich wenigstens etwas Neues. Dann brachte ein junger Bursche eine Karaffe mit dunkelrotem Wein, und Gigli versäumte nicht, mich darauf aufmerksam zu machen, dass der von seinem Landgut bei Ancona sei, und ich möge ihn mit Verstand trinken. Ich tat es. Später begleitete ich den Maestro zum Hühnerstall, wo er in den schmelzendsten Giglitönen die Küken um sich lockte. Als er Holz hackte, hatte ich leise Zweifel, ob er das nicht vielleicht doch dem Fotografen zu lieb täte. Er merkte es und war entrüstet. "Fragen Sie meine Frau", sagte er, "ob ich das nicht jeden Tag mindestens eine halbe Stunde tue." Dann kam ein Telefonanruf einer Filmgesellschaft; sichtlich enttäuscht, dass er sich nun wieder fein machen müsse, verswand Gigli im Hause. Bevor er losfuhr - was ich rasch noch fotografierte, denn es war zu nett, mit welcher Leidensmiene er sich aufs Fahrrad klemmte - lud er mich ein, ihm im August auf seinem Lanagut bei Ancona zu besuchen. "Jedes Kind kennt mich dort", sagte er, "und das werde ich Ihnen zeigen, wie schön es bei mir ist und" - mit einem Blick nach der halbgeleerten Karaffe - "da habe ich dann noch einen ganz anderen Wein als den hier !"
- Image 160029 : Gigli zu Hause. 8. Im Garten seiner Villa in Rom, der früher ein Blumenwundergarten war, wächst jetzt nur noch nahrhaftes Gemüse. Mit Stolz zeigt er seinen "Orto di guerra", seinen Kriegsgarten, aber dass er sogar selbst darin arbeitet und grossen Spass daran hat - das war eine Neuigkeit. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.248 A : photo 8] * Gigli - zu Hause - von Dr. Peter Weller. Eines Tages bekam ich aus Berlin einen Brief, in dem ich gebeten wurde, Gigli in Rom zu besuchen und ein paar nette Aufnahmen von ihm zu machen. Na, dachte ich, das kann ja nett werden! Mit so vielbeschäftigten Stars ist das meist sehr schwierig. Während ich noch darüber brütete, trat meine Wirtin in mein Zimmer. Ich klagte ihr mein Leid, und, wie immer, die Treffliche wusste Rat. "Ci penso io" - sagte sie - "das lassen Sie mich nur machen - meine Freundin hat eine Freundin, und die kennt den Schwager von Gigli". Sie ging resolut ans Telefon und nach einer Viertelstunde aufgeregtesten Sprechens stemmte sie triumphierend die Arme in die Hüften und sagte : "Che cosa do detto? - was habe ich ihnen gesagt?" - "Benjamino Gigli empfängt Sie übermorgen um 5 Uhr." Im Haus sprach es sich herum, dass ich zu Benjamino ginge, und alles nahm regsten Anteil. Der Zufall wollte, dass Gigli zwei Strassen von uns erntfernt wohnt, und ist er schon der Liebling aller Römer, nun - im Quartiere sind sie ganz besonders stolz auf ihn, lieben ihn und reden von ihm nur "per Benjamino". Als ich bei ihm eintraf, überraschte ich ihn in seinem Garten. Er stand in einem scheusslichen, viel zu kurzem und engen Overall und bespritzte mit gespannter Aufmerksamkeit seine Kohlbeete mit einem Riesenschlauch. Er liess sich denn auch garnicht aus der Fassung bringen, sondern meinte, ich solle ihn ruhig so knipsen, dann hätte ich wenigstens etwas Neues. Dann brachte ein junger Bursche eine Karaffe mit dunkelrotem Wein, und Gigli versäumte nicht, mich darauf aufmerksam zu machen, dass der von seinem Landgut bei Ancona sei, und ich möge ihn mit Verstand trinken. Ich tat es. Später begleitete ich den Maestro zum Hühnerstall, wo er in den schmelzendsten Giglitönen die Küken um sich lockte. Als er Holz hackte, hatte ich leise Zweifel, ob er das nicht vielleicht doch dem Fotografen zu lieb täte. Er merkte es und war entrüstet. "Fragen Sie meine Frau", sagte er, "ob ich das nicht jeden Tag mindestens eine halbe Stunde tue." Dann kam ein Telefonanruf einer Filmgesellschaft; sichtlich enttäuscht, dass er sich nun wieder fein machen müsse, verswand Gigli im Hause. Bevor er losfuhr - was ich rasch noch fotografierte, denn es war zu nett, mit welcher Leidensmiene er sich aufs Fahrrad klemmte - lud er mich ein, ihm im August auf seinem Lanagut bei Ancona zu besuchen. "Jedes Kind kennt mich dort", sagte er, "und das werde ich Ihnen zeigen, wie schön es bei mir ist und" - mit einem Blick nach der halbgeleerten Karaffe - "da habe ich dann noch einen ganz anderen Wein als den hier !"
- Image 160030 : Gigli zu Hause. 7. Manchmal will der mit Treibgas betriebene Wagen nicht so wie er soll. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.248 A : photo 7] * Gigli - zu Hause - von Dr. Peter Weller. Eines Tages bekam ich aus Berlin einen Brief, in dem ich gebeten wurde, Gigli in Rom zu besuchen und ein paar nette Aufnahmen von ihm zu machen. Na, dachte ich, das kann ja nett werden! Mit so vielbeschäftigten Stars ist das meist sehr schwierig. Während ich noch darüber brütete, trat meine Wirtin in mein Zimmer. Ich klagte ihr mein Leid, und, wie immer, die Treffliche wusste Rat. "Ci penso io" - sagte sie - "das lassen Sie mich nur machen - meine Freundin hat eine Freundin, und die kennt den Schwager von Gigli". Sie ging resolut ans Telefon und nach einer Viertelstunde aufgeregtesten Sprechens stemmte sie triumphierend die Arme in die Hüften und sagte : "Che cosa do detto? - was habe ich ihnen gesagt?" - "Benjamino Gigli empfängt Sie übermorgen um 5 Uhr." Im Haus sprach es sich herum, dass ich zu Benjamino ginge, und alles nahm regsten Anteil. Der Zufall wollte, dass Gigli zwei Strassen von uns erntfernt wohnt, und ist er schon der Liebling aller Römer, nun - im Quartiere sind sie ganz besonders stolz auf ihn, lieben ihn und reden von ihm nur "per Benjamino". Als ich bei ihm eintraf, überraschte ich ihn in seinem Garten. Er stand in einem scheusslichen, viel zu kurzem und engen Overall und bespritzte mit gespannter Aufmerksamkeit seine Kohlbeete mit einem Riesenschlauch. Er liess sich denn auch garnicht aus der Fassung bringen, sondern meinte, ich solle ihn ruhig so knipsen, dann hätte ich wenigstens etwas Neues. Dann brachte ein junger Bursche eine Karaffe mit dunkelrotem Wein, und Gigli versäumte nicht, mich darauf aufmerksam zu machen, dass der von seinem Landgut bei Ancona sei, und ich möge ihn mit Verstand trinken. Ich tat es. Später begleitete ich den Maestro zum Hühnerstall, wo er in den schmelzendsten Giglitönen die Küken um sich lockte. Als er Holz hackte, hatte ich leise Zweifel, ob er das nicht vielleicht doch dem Fotografen zu lieb täte. Er merkte es und war entrüstet. "Fragen Sie meine Frau", sagte er, "ob ich das nicht jeden Tag mindestens eine halbe Stunde tue." Dann kam ein Telefonanruf einer Filmgesellschaft; sichtlich enttäuscht, dass er sich nun wieder fein machen müsse, verswand Gigli im Hause. Bevor er losfuhr - was ich rasch noch fotografierte, denn es war zu nett, mit welcher Leidensmiene er sich aufs Fahrrad klemmte - lud er mich ein, ihm im August auf seinem Lanagut bei Ancona zu besuchen. "Jedes Kind kennt mich dort", sagte er, "und das werde ich Ihnen zeigen, wie schön es bei mir ist und" - mit einem Blick nach der halbgeleerten Karaffe - "da habe ich dann noch einen ganz anderen Wein als den hier !"
- Image 160031 : Gigli zu Hause. 6. Kummervoll betrachtet Gigli seine Tubetti, d.h. die Treibgasröhren auf dem Wagen. Irgendetwas funktioniert nicht, und da er jetzt auch ohne Fahrer ist, legt er selbst Hand an. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.248 A : photo 6] * Gigli - zu Hause - von Dr. Peter Weller. Eines Tages bekam ich aus Berlin einen Brief, in dem ich gebeten wurde, Gigli in Rom zu besuchen und ein paar nette Aufnahmen von ihm zu machen. Na, dachte ich, das kann ja nett werden! Mit so vielbeschäftigten Stars ist das meist sehr schwierig. Während ich noch darüber brütete, trat meine Wirtin in mein Zimmer. Ich klagte ihr mein Leid, und, wie immer, die Treffliche wusste Rat. "Ci penso io" - sagte sie - "das lassen Sie mich nur machen - meine Freundin hat eine Freundin, und die kennt den Schwager von Gigli". Sie ging resolut ans Telefon und nach einer Viertelstunde aufgeregtesten Sprechens stemmte sie triumphierend die Arme in die Hüften und sagte : "Che cosa do detto? - was habe ich ihnen gesagt?" - "Benjamino Gigli empfängt Sie übermorgen um 5 Uhr." Im Haus sprach es sich herum, dass ich zu Benjamino ginge, und alles nahm regsten Anteil. Der Zufall wollte, dass Gigli zwei Strassen von uns erntfernt wohnt, und ist er schon der Liebling aller Römer, nun - im Quartiere sind sie ganz besonders stolz auf ihn, lieben ihn und reden von ihm nur "per Benjamino". Als ich bei ihm eintraf, überraschte ich ihn in seinem Garten. Er stand in einem scheusslichen, viel zu kurzem und engen Overall und bespritzte mit gespannter Aufmerksamkeit seine Kohlbeete mit einem Riesenschlauch. Er liess sich denn auch garnicht aus der Fassung bringen, sondern meinte, ich solle ihn ruhig so knipsen, dann hätte ich wenigstens etwas Neues. Dann brachte ein junger Bursche eine Karaffe mit dunkelrotem Wein, und Gigli versäumte nicht, mich darauf aufmerksam zu machen, dass der von seinem Landgut bei Ancona sei, und ich möge ihn mit Verstand trinken. Ich tat es. Später begleitete ich den Maestro zum Hühnerstall, wo er in den schmelzendsten Giglitönen die Küken um sich lockte. Als er Holz hackte, hatte ich leise Zweifel, ob er das nicht vielleicht doch dem Fotografen zu lieb täte. Er merkte es und war entrüstet. "Fragen Sie meine Frau", sagte er, "ob ich das nicht jeden Tag mindestens eine halbe Stunde tue." Dann kam ein Telefonanruf einer Filmgesellschaft; sichtlich enttäuscht, dass er sich nun wieder fein machen müsse, verswand Gigli im Hause. Bevor er losfuhr - was ich rasch noch fotografierte, denn es war zu nett, mit welcher Leidensmiene er sich aufs Fahrrad klemmte - lud er mich ein, ihm im August auf seinem Lanagut bei Ancona zu besuchen. "Jedes Kind kennt mich dort", sagte er, "und das werde ich Ihnen zeigen, wie schön es bei mir ist und" - mit einem Blick nach der halbgeleerten Karaffe - "da habe ich dann noch einen ganz anderen Wein als den hier !"
- Image 160032 : Gigli zu Hause. 5. Gigli füttert seine Hühner, nicht nur aus reiner Tierliebe; mit Augenzwinkern meinte er, wie seltsam es doch sei, dass sich gerade heutzutage die Hühner so leicht "verflögen" und seit er sie selbst füttere, seien sie bemerkenswert häuslicher geworden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.248 A : photo 5] * Gigli - zu Hause - von Dr. Peter Weller. Eines Tages bekam ich aus Berlin einen Brief, in dem ich gebeten wurde, Gigli in Rom zu besuchen und ein paar nette Aufnahmen von ihm zu machen. Na, dachte ich, das kann ja nett werden! Mit so vielbeschäftigten Stars ist das meist sehr schwierig. Während ich noch darüber brütete, trat meine Wirtin in mein Zimmer. Ich klagte ihr mein Leid, und, wie immer, die Treffliche wusste Rat. "Ci penso io" - sagte sie - "das lassen Sie mich nur machen - meine Freundin hat eine Freundin, und die kennt den Schwager von Gigli". Sie ging resolut ans Telefon und nach einer Viertelstunde aufgeregtesten Sprechens stemmte sie triumphierend die Arme in die Hüften und sagte : "Che cosa do detto? - was habe ich ihnen gesagt?" - "Benjamino Gigli empfängt Sie übermorgen um 5 Uhr." Im Haus sprach es sich herum, dass ich zu Benjamino ginge, und alles nahm regsten Anteil. Der Zufall wollte, dass Gigli zwei Strassen von uns erntfernt wohnt, und ist er schon der Liebling aller Römer, nun - im Quartiere sind sie ganz besonders stolz auf ihn, lieben ihn und reden von ihm nur "per Benjamino". Als ich bei ihm eintraf, überraschte ich ihn in seinem Garten. Er stand in einem scheusslichen, viel zu kurzem und engen Overall und bespritzte mit gespannter Aufmerksamkeit seine Kohlbeete mit einem Riesenschlauch. Er liess sich denn auch garnicht aus der Fassung bringen, sondern meinte, ich solle ihn ruhig so knipsen, dann hätte ich wenigstens etwas Neues. Dann brachte ein junger Bursche eine Karaffe mit dunkelrotem Wein, und Gigli versäumte nicht, mich darauf aufmerksam zu machen, dass der von seinem Landgut bei Ancona sei, und ich möge ihn mit Verstand trinken. Ich tat es. Später begleitete ich den Maestro zum Hühnerstall, wo er in den schmelzendsten Giglitönen die Küken um sich lockte. Als er Holz hackte, hatte ich leise Zweifel, ob er das nicht vielleicht doch dem Fotografen zu lieb täte. Er merkte es und war entrüstet. "Fragen Sie meine Frau", sagte er, "ob ich das nicht jeden Tag mindestens eine halbe Stunde tue." Dann kam ein Telefonanruf einer Filmgesellschaft; sichtlich enttäuscht, dass er sich nun wieder fein machen müsse, verswand Gigli im Hause. Bevor er losfuhr - was ich rasch noch fotografierte, denn es war zu nett, mit welcher Leidensmiene er sich aufs Fahrrad klemmte - lud er mich ein, ihm im August auf seinem Lanagut bei Ancona zu besuchen. "Jedes Kind kennt mich dort", sagte er, "und das werde ich Ihnen zeigen, wie schön es bei mir ist und" - mit einem Blick nach der halbgeleerten Karaffe - "da habe ich dann noch einen ganz anderen Wein als den hier !"
- Image 160033 : Gigli zu Hause. 10. Gigli füttert seine Hühner nicht nur aus reiner Tierliebe; mit Augenzwinkern meinte er, wie seltsam es doch sei, dass sich gerade heutzutage die Hühner so leicht "verflögen" und seit er sie selbst füttere, seien sie bemerkenswert häuslicher geworden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.248 A : photo 10] * Gigli - zu Hause - von Dr. Peter Weller. Eines Tages bekam ich aus Berlin einen Brief, in dem ich gebeten wurde, Gigli in Rom zu besuchen und ein paar nette Aufnahmen von ihm zu machen. Na, dachte ich, das kann ja nett werden! Mit so vielbeschäftigten Stars ist das meist sehr schwierig. Während ich noch darüber brütete, trat meine Wirtin in mein Zimmer. Ich klagte ihr mein Leid, und, wie immer, die Treffliche wusste Rat. "Ci penso io" - sagte sie - "das lassen Sie mich nur machen - meine Freundin hat eine Freundin, und die kennt den Schwager von Gigli". Sie ging resolut ans Telefon und nach einer Viertelstunde aufgeregtesten Sprechens stemmte sie triumphierend die Arme in die Hüften und sagte : "Che cosa do detto? - was habe ich ihnen gesagt?" - "Benjamino Gigli empfängt Sie übermorgen um 5 Uhr." Im Haus sprach es sich herum, dass ich zu Benjamino ginge, und alles nahm regsten Anteil. Der Zufall wollte, dass Gigli zwei Strassen von uns erntfernt wohnt, und ist er schon der Liebling aller Römer, nun - im Quartiere sind sie ganz besonders stolz auf ihn, lieben ihn und reden von ihm nur "per Benjamino". Als ich bei ihm eintraf, überraschte ich ihn in seinem Garten. Er stand in einem scheusslichen, viel zu kurzem und engen Overall und bespritzte mit gespannter Aufmerksamkeit seine Kohlbeete mit einem Riesenschlauch. Er liess sich denn auch garnicht aus der Fassung bringen, sondern meinte, ich solle ihn ruhig so knipsen, dann hätte ich wenigstens etwas Neues. Dann brachte ein junger Bursche eine Karaffe mit dunkelrotem Wein, und Gigli versäumte nicht, mich darauf aufmerksam zu machen, dass der von seinem Landgut bei Ancona sei, und ich möge ihn mit Verstand trinken. Ich tat es. Später begleitete ich den Maestro zum Hühnerstall, wo er in den schmelzendsten Giglitönen die Küken um sich lockte. Als er Holz hackte, hatte ich leise Zweifel, ob er das nicht vielleicht doch dem Fotografen zu lieb täte. Er merkte es und war entrüstet. "Fragen Sie meine Frau", sagte er, "ob ich das nicht jeden Tag mindestens eine halbe Stunde tue." Dann kam ein Telefonanruf einer Filmgesellschaft; sichtlich enttäuscht, dass er sich nun wieder fein machen müsse, verswand Gigli im Hause. Bevor er losfuhr - was ich rasch noch fotografierte, denn es war zu nett, mit welcher Leidensmiene er sich aufs Fahrrad klemmte - lud er mich ein, ihm im August auf seinem Lanagut bei Ancona zu besuchen. "Jedes Kind kennt mich dort", sagte er, "und das werde ich Ihnen zeigen, wie schön es bei mir ist und" - mit einem Blick nach der halbgeleerten Karaffe - "da habe ich dann noch einen ganz anderen Wein als den hier !"
- Reportage: "Hommes et femmes travaillant pour la victoire", 1940-1945. - 8 photos
- Reportage hôpitaux en Autriche : Lieux de convalescence Ehrwald, 1930-1945. - 12 photos
- Reportage: "Im zeichen des ‘Due Croci’", [...-1945]. - 11 photos
- Image 159613 : Im Zeichen der "Due Croci". Das schwierige Problem des Speisentransportes ist im Forlanini - Institut derart gelöst, dass von der Centralküche aus eine unterirdische Schwebebahn gebaut wurde, an der elektrisch angetriebene Karren auf einer Strecke von 3,5 km in Erdstollen dahinrollen. Diese Bahn hat Anschluss an die senkrechten Aufzüge; ausserdem können die Karren zur Erde niedergelassen und auf eigenen Rädern fortbewegt werden. Ein Küchenhelfer belädt gerade einen Karren der Schwebebahn. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Série 92.047 B : photo 2]
- Image 159614 : Im Zeichen der "Due Croci". Der Hundeauslauf über den Dächern Roms. Die für Versuchszwecke in dem Institut gehaltenen Hunde sind in dem höchstgelegenen Raum des Hauptgebäudes untergebracht und haben ihren Auslauf auf dem Dach, da man sie nicht täglich hinabbefördern kann. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.047 B : photo 3] [A restituer après publication]
- Image 159615 : Im Zeichen der "Due Croci". Die Leitung des Forlanini-Instituts liegt in den Händen von Professor Dr. Morelli, Leibarzt des Königs und des Duce, der seine Tätigkeit ehrenamtlich ausübt. Hier probiert Professor Morelli (links) einen neuen Schüttelapparat aus. Er ist der Schöpfer all der modernen technischen Einrichtungen des Instituts, in dem die elektrische Energie die Menschenkraft auch in unbedeutendsten Handgriffen ersetzt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.047 B : photo 4]
- Image 159616 : Im Zeichen der "Due Croci". Nachmittagsruhe auf der Veranda in dem Hotel der Lungenkranken. Viele hundert elektrisch angetriebene Rolljalousien halten die Sonnenglut ab und fahrbahre Glaswände schützen vor Regen und Wind. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.047 B : photo 5]
- Image 159617 : Im Zeichen der "Due Croci". Das ist nicht die Front eines ägyptischen Luxushotels, sondern eine der acht Südseiten der verschiedenen Sanatorien, an deren vorgebauten Veranden als Sonneschutz viele hundert elektrisch angetriebene Rolljalousien angebracht sind. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.047 B : photo 6] [A restituer après publication]
- Image 159618 : Im Zeichen der "Due Croci". Unter der südlichen Sonne Roms liegt an den Abhängen des Monteverde wie ein Luxushotel das Forlanini-Institut, eines der grössten Studienzentren der tuberkulösen Krankheiten und einer der umfangreichsten und grosszügigsten Anlagen von Kliniken und Sanatorien. [Sipho] [Orbis] [Série 92.047 B : photo 7]
- Image 159619 : Im Zeigen der "Due Croci". Keine Stätte des Leidens, sondern der Hoffnung.
Kleine Patienten beim Spiel in den Gärten und Parkanlagen des Institutes. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.047 B : photo 8]
- Image 159620 : Im Zeigen der "Due Croci". Symphonie in Licht und Glas. Blick in eins der grossen Centrallaboratorien. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.047 B : photo 9]
- Image 159621 : Im Zeichen der "Due Croci". Durch ein riesiges Fenster im Sterilisationssaal wurde ich Zeuge einer Operation. Die Einrichtung der Operationsräume ist modern, zweckmässig und schön. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.047 B : photo 10]
- Image 159622 : Im Zeigen der "Due Croci". Der Hundezwinger mit Störschutz. Der Stall, in dem die für Versuchszwecke gehaltenen Hunde untergebracht sind, liegt in dem höchstgelegenen Raum des Hauptgebäudes. Seine Decke besteht aus Glas und Beton, ist gewölbt und in der Mitte offen. Diese Konstruktion soll derart wirken, dass unter Garantie kein Hundegebell in die umliegenden Räume dringt und die Kranken stört. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.047 B : photo 11]
- Image 159623 : Im Zeichen des "Due Croci". Wie das Laboratorium eines grossen Industriewerkes mutet die Centralküche im Forlanini-Institut an, von der aus die Speisen mittels Schwebebahnen (die Schienen sieht man an der Decke) auf einer Strecke von 3,5 km durch den ganzen Gebäudekomplex rollen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.047 B : photo 12]
- Reportage: "in den Pagni di Trivoli", [...-1945]. - 10 photos
- Image 159215 : 1. In den Bagni di Trivoli. Die Schwefelduschen sind ein wichtiger Faktor bei der Behandlung von Hautkrankheiten. Gewöhnlich verschwinden schon nach drei Bädern auch die hartnäckigenen unter diesen Leiden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Serie 92.725 B: photo 1] [Orbis photo]
- Image 159216 : 2. In den Bagni di Trivoli. Auch Trinkkuren können in den Schwefelbädern von Aque Albule durchgeführt werden. Hierbei geht es den ganzen Tag lebhaft zu. Morgens kommen die "richtigen" Kranken, um die vorgeschriebene Ration zu sich zu nehmen vor dem Frühstück noch, wie es vorgeschrieben ist. Aber dann stellen sich die eingebildeten Kranken ein und auch die Gesunden. Sie nehmen es mit, denn -"schaden kann es nicht". [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Serie 92.725 B: photo 2] [Orbis photo]
- Image 159217 : 3. In den Bagni di Trivoli. Es ist ein reizvoller Anblick, alle die braungebrannten Kinder im opalisierend - milchigen Wasser des Kinderbassins herumspielen zu sehen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Serie 92.725 B: photo 3] [Orbis photo]
- Image 159218 : 4.In den Bagni di Trivoli. Aoha - das tut gut ! Ein junger italienischer Soldat aus der benachbarten Garnison hat in einer freien Stunde schnell einmal einen Hupfer ins kühle Schwefelwasser getan. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Serie 92.725 B: photo 4] [Orbis photo]
- Image 159219 : 5. In den Bagni di Trivoli. Eine römische Nutti bestreicht ihr Kindchen mit der heilenden Schwefelablagerung. Dabei geht es nicht ohne Protestgeschrei ab. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Serie 92.725 B: photo 5] [Orbis photo]
- Image 159220 : 6. In der Bagne di Trivoli. Am "Kinderwasserfall" von Aque Albule. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Serie 92.725 B: photo 6] [Orbis photo]
- Image 159221 : 7. In den Bagni di Trivoli. Das ist auch keine Kranke, sondern eine der vielen Römerinnen, die es dankbar mitnehmen, wenn sie sich mit den Schwefelablagerungen auf dem Wasser der Bäden eine Massage oder Gesichtsmaske verabfolgen lassen können - eine Wohltat für die überanstrengte Haut. [Sipho] [Serie 92.725 B: photo 7] [Orbis photo]
- Image 159222 : 8. In den Bagni di Trivoli. Etwas misstrauisch steht diese junge Dame am Rande des Schwimmbassins. Sie ist wohl das erste Mal hier und traut sich noch nicht recht in das milchige Wasser. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Serie 92.725 B: photo 8] [Orbis photo]
- Image 159223 : 9. In den Bagni di Trivoli. Eine typische Ansicht der schönen römischen Campagna mit Resten der Aquädukte des Claudio. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Serie 92.725 B: photo 9] [Orbis photo]
- Image 159224 : 10. In den Bagni di Trivoli. Aeskulap mit Igea, seiner jungenlichen Tochter, der das Altertum als Göttin der Gesundheit huldigte. Ihr zu Ehren wurden Tempel in der Nähe der heilkräftigen Wasser errichtet, so auch durch Kaiser Agrippa bei dem Termen von Aque Albuls Marmorgruppe aus dem Vatikanischen Museum. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Serie 92.725 B: photo 10] [Orbis photo]
- Reportage: "Instituts allemands de la culture à Rome" (+ texte), 31/02/1942. - 16 photos
- Image 159879 : Im Zeichen der "Duce Croci". Flugzeugaufnahme vom Forlanini - Institut, das an den Abhängen des Monteverde errichtet wurde und von wo man einen herrlichen Blick in die "Campa Romana" geniesst. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.047.A : photo 1] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Image 159880 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 2. Vom berühmten Giardino del Lago der Villa Borghese überblickt man die ganze Valle die Giulia, die von Mussolini im Bauplan Roms als Zentrum der ausländischen Institue und Akademien ausersehen worden ist. In diesem "Tal der schönen Künste und Wissenschaften" befindet sich auch an besonders reizvoller Stelle das "Deutsche historische Institut". [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 2] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Image 159881 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 3. Fast ägyptisch im Aufbau und Ausdruck sind die monumentalen Statuen, die den Eingang zum Deutschen historischen Institut in Rom, das in der Valle Giulia liegt, flankieren. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 3] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Image 159882 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 4. Fast ägyptisch im Aufbau und Ausdruck sind die monumentalen Statuen, die den Eingang zum Deutschen historischen Institut in Rom, das in der Valle Giulia liegt, flankieren. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 4] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Image 159883 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 5. Sehr beliebt sind in der deutschen Kolonie in Rom die wissenschaft lichen Führungen der verschiedenen deutschen Institute, die regelmässig am Sonntag stattfinden. Die Organisation liegt in den Händen der DAF. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 5] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Image 159884 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 6. Die Villa Massimo mit ihrem schönen grossen Park ist die Heimstätte der Maler und Bildhauer, die vom Deutschen Reich ein Jahresstipendium für einen Aufenthalt in der ewigen Stadt erhalten haben. Wohl jeder der Künstler hat den Ehrgeiz, sich bei dem Jahreswettbewerb um den "Rompreis" auszuzeichnen. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 6] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Image 159885 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 7. Bei einem Vortrag im Archäologischen Institut in Rom. In der ersten Reihe (Mitte) : der deutsche Botschafter in Rom, Frhr.v. Mackensen, links neben ihm die Gattin des deutschen Botschafters beim Vatikan Frau von Bergen. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 7] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Image 159886 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 8. Schnappschuss während der Arbeiten des Institutes für Kunstwissenschaft der Kaiser-Wilhelm-Gesellschaft. Prof. Bruhns mit seinem Assistenten bei Kunstwissenschaftlichen Aufnahmen am Baptisterium auf dem Lateran. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 8] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Image 159887 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 9. Im Hof des Deutschen Gynasiums in Rom. Den Kindern wird in der "Grossen Pause" ein warmes Frühstück - diesmal aus Spaghetti bestehend - verabfolgt; die Brotration wird dadurch geschont. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 9] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Image 159888 : Im Zeichen der "Due Croci". Synphonie in Licht und Glas. Blick in eins der grossen Centrallaboratorien. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.047 A : photo 9]
- Image 159889 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 10. Im Tagesraum des Internates an der Deutschen Schule in Rom. Die ganze Atmosphäre erinnert an Deutschland. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 10] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Image 159890 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 11. Das Eingangstor zum Palazzo Zuccari, der Ende des 16. Jahrhunderts erbaut wurde und heute neben dem Institut für Kunstwissenschaft das Institut für Kulturwissenschaft, das unter der Leitung von Prof. Hoppenstedt steht, in sich aufnimmt. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 11] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Image 159891 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 12. Büste Winckelmanns (von Emil Wolff) in der Villa Albani in Rom. Winckelmann, der "Vater der Archäologie", ist vom Deutschen Archäologischen Institut Rom zum Schutzherrn seines Hauses ernannt wirden. Seine Büste begrüsst jeden, der diese wissenschaftliche Arbeitsstätte aufsucht, von einem Sockel im Vestibül herab. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 12] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Image 159892 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 13. Büste Winckelmans (von Emil Wolff) im Vestibül des Deutschen Archäoligischen Institutes in Rom. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 13] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Image 159893 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 14. Büste Winckelmans (von Emil Wolff) im Vestibül des Deutschen Archäoligischen Institutes in Rom. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 14] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Image 159894 : Deutsche Kulturstätten in Rom. 1. Ein Fenster des Palazzo Zuccari, der Ende des 16. Jahrhunderts erbaut wurde, einer der bizarrsten der barocken Bauten Roms. Hier befindet sich neben dem Institut für Kunstwissenschaft das in Rom so populäre Institut für Kulturwissenschaft, das unter Leitung van Prof. Hoppenstedt steht. [Orbis] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.440 B : photo 1] * Deutsche Kulturinstitute in Rom. Wenn man eine Weile in Rom gelebt hat, Merkt man, dass dieser Satz, der so oft gebraucht wird : "Alle Wege führen nach Rom", tiefen Sinn und tiefe Berechtigung hat. Die alten republikanischen Römer hatten auf ihrem grossen Forum Romanum den "umbilicus Urbis", was man am besten mit "Nabel der Welt" übersetzen kann, denn von diesem Punkte aus massen sie alle Landstrassen, die Rom mit den eroberten Ländern verbaden. So kam es eigentlich auch dazu, dass Rom als Weltmittelpunkt angesehen wurde. Geschichte und Kultur ganz Europas sind dank dieser Vormachtstellung Roms im Altertum und Mittelalter mit der Geschichte und Kultur Roms verknüpft, wovon Deutschland keine Ausnahme bildet.
Daher haben sich auch schon frühzeitig etwa seit der Gründung des Bismarkreiches, die deutschen Wissenschaftler in Rom niedergelassen. Im Jahre 1888 wurde zum Beispiel im Rom das Deutsche Historische Institut gegründet. Seine Hauptaufgaben waren, die gewaltigen Schätze der Vatikanischen Archive, die im Jahre 1879 unter Leo XIII. der internationalen Wissenschaft zugänglich gemacht wurden, vom deutschen Standpunkt aus durchzuarbeiten. Nach vielen Wechselfällen ist dieses Institut in einem besonders schönen und modernem Haus in der Valle Giulia untergebracht worden; seine grossartige Bibliothek wird von den Gelehrten aller Länder viel benutzt. Von der Bedeutung das Institutes zeugt, dass es seit dem Jahre 1898 eine eigene und sehr bedeutende Zeitschrift herausgibt : "Quellen und Forschungen" aus italienischen Archiven und Bibliotheken von der bischer 32 Bände erschienen sind. Auch während des Krieges werden von dem Institut, das unter der Leitung von Prof. Dr. Bock steht, die Arbeiten fortgeführt. Einen ebenso grossen Ruf geniesst das Institut der "Kaiser Wilhelm-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften", das auf dem ehrwürdigen Pincio im Palazzo Zuccari untergebracht ist. Dieser edele Palazzo, der dicht neben der spanischen Treppe und der herrlichen Trinita dei Monti gelegen ist, ist seit seiner Erbauung gegen Ende des 16. Jahrhunderts immer aufs engste mit dem Leben der Deutschen im Rom verknüpft gewesen. Hier wohnte Winckelmann, hier verkehrte Goethe, die berühmte Angelica Kaufmann, die Gebrüder Humboldt gingen hier ein und aus und jene uns Deutschen so vertauten Fresken der Nazarener, die sich jetzt in der Berliner Nationalgalerie befinden, schmückten einst seine Wände und Decken. Das ältere der beiden in diesem Hause untergebrachten Institute ist das kunstgeschichtliche, heute unter Leitung von Prof. Bruhns. Seine Bibliothek mit 36 000 Bänden ist eine einzig dastehende Spezialbücherei für italienische Kunst. Das zweite in diesem Hause befindlichen Institut ist das für die Kulturwissenschaft, das kurz vor dem Kriege von Prof. Hoppenstedt gegründet wurde und auch heute noch unter seiner Leitung steht. Es gehört zu seinen vornehmsten Aufgaben, die geistigen Beziehungen Deutschlands und Italiens zu vertiefen und zu fördern. Im Palazzo Zuccari treffen sich fast allwöchentlich bei Vorträgen sowohl die von dem namhaftesten deutschen wie italienischen Wissenschaftler gehalten werden, die geistig interessierten Kreise der deutschen Kolonie und der römischen Gesellschaft. Vielleicht das älteste der Deutschen Institute in Rom ist das archäologische unter Leitung von Prof. von Gerkhahn. Die Gründungszeit fällt in das Jahr 1829, der geistige Vater ist Winckelmann und seine Büste steht wie die eines Schutzheiligen in der Eingangshalle der Bibliothek. Dass Männer wie Goethe, Schlegel, Wilhelm von Humboldt zu den ersten Mitgliedern gehörten, beweist, wie gross schon damals in Deutschland das archäologische Interesse war. Die Fachbibliothek dieses Institutes ist vielleicht die grösste und beste der ganzen Welt. Sie umfasst 60 000 Bände, hauptsählich über griechische und römische Altertumskunde, Kunst und Kultur der Antike und altchristliche Archäologie. Angegliedert ist eine Fotosammlung mit rund 120 000 Aufnahmen von Ausgrabungsstätten und Archäologischen Seltenheiten der ganzen Welt. Daneben steht die Deutsche Akademie, eine Schöpfung des dritten Reiches, die in fast allen italienischen Ländern Zweigstellen besitzt. Ihr Zweck ist es, die Italiener mit der deutschen Sprache, Kultur und Wissenschaft vertraut zu machen. Von ihrer Bedeutung mag Zeugnis ablegen, dass sich im letzten Semester allein in Rom 1800 Hörer für ihre Vorlesungen eingeschrieben hatten. Schliesslich verdient die deutsche Schule Hervorhebung, der ein grosses Internat angegliedert ist, und die deutsche Kunstakademie in der Villa Massimo, in der Bildhauer und Maler mit Jahresstipendien des Deutschen Reiches ihr Heim haben. Sie stellt gleichsam einen Filter dar, durch den die tausendfältigen und mächtigen Anregungen der ewigen Stadt in Werken des deutschen Kunstschaffens ihren Niederschlag finden.
- Reportage: "Italie éternelle" (+ texte), 31/10/1941. - 10 photos
- Image 160005 : Serie 1327/1 Ewiges Italien. In einem der grossen Museumssäle sah er eines guten Tages eine Malklasse, eine Reihe von Schülern und Schülerinnen beim Kopieren mittelalterlicher Plastiken. Ein kurzes Gespräch mit dem leitenden Professor - und wir sehen als überraschendes Ergebnis die heutige Generation konfrontiert mit ihren Urahnen - der Generation vor immerhin 500 Jahren! [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1729 A : photo 1] * Ewiges Italien. Eng gegeneinander abgeschlossene mittelalterliche Stadtstaaten, die durch stark beschränkten Raum, durch ein festes Bürgertum, ja meist durch einzelne Familien bestimmte Geschichte des Mittelalters haben in Italien, besonders im historisch und kulturgeschichtlich so reich gesegneten Nord Italien einen Zustand geschaffen, der jedem mit offenen Augen begabten Reisenden schon nach kurzen Aufenhalt in Italien auffällt : In der Strassenbahn glaubt er sich plötzlich Botticellis Masonnen und Robbias Kinderköpfen gegenüber, auf den Strassen sieht er Verrocchios, Raffaels oder Leonardos Vorbilder umherwandeln, und tritt er aus einer der Kirchen oder Gallerien ins Freie, so steht er plötzlich einem lebenden Donatello oder Michelangelo gegenüber : Überall sieht er heute noch Strassen, Kirche und Plätze mit den lebenden Ahnen der Renaissance bevölkert! Diese merkwürdige und nicht zu leugnende Tatsache veranlasste unsern Bildberichterstatter bei einem Aufenthalt in Florenz zu einem eigenartigen Experiment.
[Censure photographique]
- Image 160006 : Serie 1327/3 Ewiges Italien. Eine überraschende Ähnlichkeit : Der Urahn dieses jungen Schülers könnte vor 500 Jahren den Donatello zu dieser Plastik in St.Lorenzo Modell gestanden haben. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1729 A : photo 2] * Ewiges Italien. Eng gegeneinander abgeschlossene mittelalterliche Stadtstaaten, die durch stark beschränkten Raum, durch ein festes Bürgertum, ja meist durch einzelne Familien bestimmte Geschichte des Mittelalters haben in Italien, besonders im historisch und kulturgeschichtlich so reich gesegneten Nord Italien einen Zustand geschaffen, der jedem mit offenen Augen begabten Reisenden schon nach kurzen Aufenhalt in Italien auffällt : In der Strassenbahn glaubt er sich plötzlich Botticellis Masonnen und Robbias Kinderköpfen gegenüber, auf den Strassen sieht er Verrocchios, Raffaels oder Leonardos Vorbilder umherwandeln, und tritt er aus einer der Kirchen oder Gallerien ins Freie, so steht er plötzlich einem lebenden Donatello oder Michelangelo gegenüber : Überall sieht er heute noch Strassen, Kirche und Plätze mit den lebenden Ahnen der Renaissance bevölkert! Diese merkwürdige und nicht zu leugnende Tatsache veranlasste unsern Bildberichterstatter bei einem Aufenthalt in Florenz zu einem eigenartigen Experiment. [Censure photographique]
- Image 160007 : Serie 1327/4 Ewiges Italien. Ein anderer Donatello und sein heutiges Nachbild. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1729 A : photo 3] * Ewiges Italien. Eng gegeneinander abgeschlossene mittelalterliche Stadtstaaten, die durch stark beschränkten Raum, durch ein festes Bürgertum, ja meist durch einzelne Familien bestimmte Geschichte des Mittelalters haben in Italien, besonders im historisch und kulturgeschichtlich so reich gesegneten Nord Italien einen Zustand geschaffen, der jedem mit offenen Augen begabten Reisenden schon nach kurzen Aufenhalt in Italien auffällt : In der Strassenbahn glaubt er sich plötzlich Botticellis Masonnen und Robbias Kinderköpfen gegenüber, auf den Strassen sieht er Verrocchios, Raffaels oder Leonardos Vorbilder umherwandeln, und tritt er aus einer der Kirchen oder Gallerien ins Freie, so steht er plötzlich einem lebenden Donatello oder Michelangelo gegenüber : Überall sieht er heute noch Strassen, Kirche und Plätze mit den lebenden Ahnen der Renaissance bevölkert! Diese merkwürdige und nicht zu leugnende Tatsache veranlasste unsern Bildberichterstatter bei einem Aufenthalt in Florenz zu einem eigenartigen Experiment. [Censure photographique]
- Image 160008 : Serie 1327/5 Ewiges Italien. Innerhalb weniger Minuten waren diese Ähnlichkeiten zusammengestellt, und es könnten fast die gleichen Familienporträts sein! [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1729 A : photo 4] * Ewiges Italien. Eng gegeneinander abgeschlossene mittelalterliche Stadtstaaten, die durch stark beschränkten Raum, durch ein festes Bürgertum, ja meist durch einzelne Familien bestimmte Geschichte des Mittelalters haben in Italien, besonders im historisch und kulturgeschichtlich so reich gesegneten Nord Italien einen Zustand geschaffen, der jedem mit offenen Augen begabten Reisenden schon nach kurzen Aufenhalt in Italien auffällt : In der Strassenbahn glaubt er sich plötzlich Botticellis Masonnen und Robbias Kinderköpfen gegenüber, auf den Strassen sieht er Verrocchios, Raffaels oder Leonardos Vorbilder umherwandeln, und tritt er aus einer der Kirchen oder Gallerien ins Freie, so steht er plötzlich einem lebenden Donatello oder Michelangelo gegenüber : Überall sieht er heute noch Strassen, Kirche und Plätze mit den lebenden Ahnen der Renaissance bevölkert! Diese merkwürdige und nicht zu leugnende Tatsache veranlasste unsern Bildberichterstatter bei einem Aufenthalt in Florenz zu einem eigenartigen Experiment. [Censure photographique]
- Image 160009 : Serie 1327/6 Ewiges Italien. Es wurden immer Angehörige alteingesessener florentinischer Familien mit den alten florentinischen Bästen zusammengestellt. Hier eine Büste von Francesco Sassetti. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1729 A : photo 5] * Ewiges Italien. Eng gegeneinander abgeschlossene mittelalterliche Stadtstaaten, die durch stark beschränkten Raum, durch ein festes Bürgertum, ja meist durch einzelne Familien bestimmte Geschichte des Mittelalters haben in Italien, besonders im historisch und kulturgeschichtlich so reich gesegneten Nord Italien einen Zustand geschaffen, der jedem mit offenen Augen begabten Reisenden schon nach kurzen Aufenhalt in Italien auffällt : In der Strassenbahn glaubt er sich plötzlich Botticellis Masonnen und Robbias Kinderköpfen gegenüber, auf den Strassen sieht er Verrocchios, Raffaels oder Leonardos Vorbilder umherwandeln, und tritt er aus einer der Kirchen oder Gallerien ins Freie, so steht er plötzlich einem lebenden Donatello oder Michelangelo gegenüber : Überall sieht er heute noch Strassen, Kirche und Plätze mit den lebenden Ahnen der Renaissance bevölkert! Diese merkwürdige und nicht zu leugnende Tatsache veranlasste unsern Bildberichterstatter bei einem Aufenthalt in Florenz zu einem eigenartigen Experiment. [Censure photographique]
- Image 160010 : Serie 1327/8 Ewiges Italien. Überraschende Ähnlichkeit des gleichen Geschlechts über Jahrhunderte hinweg : der heutige Medici vor der Büste seines berühmten Vorfahren, des Renaissancefürsten Lorenzo, des Prächtigen (1449-1492). [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1729 A : photo 6] * Ewiges Italien. Eng gegeneinander abgeschlossene mittelalterliche Stadtstaaten, die durch stark beschränkten Raum, durch ein festes Bürgertum, ja meist durch einzelne Familien bestimmte Geschichte des Mittelalters haben in Italien, besonders im historisch und kulturgeschichtlich so reich gesegneten Nord Italien einen Zustand geschaffen, der jedem mit offenen Augen begabten Reisenden schon nach kurzen Aufenhalt in Italien auffällt : In der Strassenbahn glaubt er sich plötzlich Botticellis Masonnen und Robbias Kinderköpfen gegenüber, auf den Strassen sieht er Verrocchios, Raffaels oder Leonardos Vorbilder umherwandeln, und tritt er aus einer der Kirchen oder Gallerien ins Freie, so steht er plötzlich einem lebenden Donatello oder Michelangelo gegenüber : Überall sieht er heute noch Strassen, Kirche und Plätze mit den lebenden Ahnen der Renaissance bevölkert! Diese merkwürdige und nicht zu leugnende Tatsache veranlasste unsern Bildberichterstatter bei einem Aufenthalt in Florenz zu einem eigenartigen Experiment. [Censure photographique]
- Image 160011 : Serie 1327/9 Ewiges Italien. Der Jüngling von 1940 neben seinem Urahnen von 1440. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1729 A : photo 7] * Ewiges Italien. Eng gegeneinander abgeschlossene mittelalterliche Stadtstaaten, die durch stark beschränkten Raum, durch ein festes Bürgertum, ja meist durch einzelne Familien bestimmte Geschichte des Mittelalters haben in Italien, besonders im historisch und kulturgeschichtlich so reich gesegneten Nord Italien einen Zustand geschaffen, der jedem mit offenen Augen begabten Reisenden schon nach kurzen Aufenhalt in Italien auffällt : In der Strassenbahn glaubt er sich plötzlich Botticellis Masonnen und Robbias Kinderköpfen gegenüber, auf den Strassen sieht er Verrocchios, Raffaels oder Leonardos Vorbilder umherwandeln, und tritt er aus einer der Kirchen oder Gallerien ins Freie, so steht er plötzlich einem lebenden Donatello oder Michelangelo gegenüber : Überall sieht er heute noch Strassen, Kirche und Plätze mit den lebenden Ahnen der Renaissance bevölkert! Diese merkwürdige und nicht zu leugnende Tatsache veranlasste unsern Bildberichterstatter bei einem Aufenthalt in Florenz zu einem eigenartigen Experiment. [Censure photographique]
- Image 160012 : Serie 1327/10 Ewiges Italien. Das junge Mädchen von 1440 und 1940 : Die junge Theresa di Marche neben ihrer Urahne. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1729 A : photo 1] * Ewiges Italien. Eng gegeneinander abgeschlossene mittelalterliche Stadtstaaten, die durch stark beschränkten Raum, durch ein festes Bürgertum, ja meist durch einzelne Familien bestimmte Geschichte des Mittelalters haben in Italien, besonders im historisch und kulturgeschichtlich so reich gesegneten Nord Italien einen Zustand geschaffen, der jedem mit offenen Augen begabten Reisenden schon nach kurzen Aufenhalt in Italien auffällt : In der Strassenbahn glaubt er sich plötzlich Botticellis Masonnen und Robbias Kinderköpfen gegenüber, auf den Strassen sieht er Verrocchios, Raffaels oder Leonardos Vorbilder umherwandeln, und tritt er aus einer der Kirchen oder Gallerien ins Freie, so steht er plötzlich einem lebenden Donatello oder Michelangelo gegenüber : Überall sieht er heute noch Strassen, Kirche und Plätze mit den lebenden Ahnen der Renaissance bevölkert! Diese merkwürdige und nicht zu leugnende Tatsache veranlasste unsern Bildberichterstatter bei einem Aufenthalt in Florenz zu einem eigenartigen Experiment. [Censure photographique]
- Image 160013 : Serie 1327/13 Ewiges Italien. Drei Ähnlichkeiten auf einmal. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1729 A : photo 9] * Ewiges Italien. Eng gegeneinander abgeschlossene mittelalterliche Stadtstaaten, die durch stark beschränkten Raum, durch ein festes Bürgertum, ja meist durch einzelne Familien bestimmte Geschichte des Mittelalters haben in Italien, besonders im historisch und kulturgeschichtlich so reich gesegneten Nord Italien einen Zustand geschaffen, der jedem mit offenen Augen begabten Reisenden schon nach kurzen Aufenhalt in Italien auffällt : In der Strassenbahn glaubt er sich plötzlich Botticellis Masonnen und Robbias Kinderköpfen gegenüber, auf den Strassen sieht er Verrocchios, Raffaels oder Leonardos Vorbilder umherwandeln, und tritt er aus einer der Kirchen oder Gallerien ins Freie, so steht er plötzlich einem lebenden Donatello oder Michelangelo gegenüber : Überall sieht er heute noch Strassen, Kirche und Plätze mit den lebenden Ahnen der Renaissance bevölkert! Diese merkwürdige und nicht zu leugnende Tatsache veranlasste unsern Bildberichterstatter bei einem Aufenthalt in Florenz zu einem eigenartigen Experiment. [Censure photographique]
- Image 160014 : Serie 1327/15 Ewiges Italien. Unbekannter Meister des 15. Jahrhunderts. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1729 A : photo 10] * Ewiges Italien. Eng gegeneinander abgeschlossene mittelalterliche Stadtstaaten, die durch stark beschränkten Raum, durch ein festes Bürgertum, ja meist durch einzelne Familien bestimmte Geschichte des Mittelalters haben in Italien, besonders im historisch und kulturgeschichtlich so reich gesegneten Nord Italien einen Zustand geschaffen, der jedem mit offenen Augen begabten Reisenden schon nach kurzen Aufenhalt in Italien auffällt : In der Strassenbahn glaubt er sich plötzlich Botticellis Masonnen und Robbias Kinderköpfen gegenüber, auf den Strassen sieht er Verrocchios, Raffaels oder Leonardos Vorbilder umherwandeln, und tritt er aus einer der Kirchen oder Gallerien ins Freie, so steht er plötzlich einem lebenden Donatello oder Michelangelo gegenüber : Überall sieht er heute noch Strassen, Kirche und Plätze mit den lebenden Ahnen der Renaissance bevölkert! Diese merkwürdige und nicht zu leugnende Tatsache veranlasste unsern Bildberichterstatter bei einem Aufenthalt in Florenz zu einem eigenartigen Experiment. [Censure photographique]
- Reportage: "Kleine Operaballerinen von Tiberufer", 26/05/1943. - 13 photos
- Reportage: "La chasse à l'espadon dans la mer méditerranée", 26/03/1942. - 5 photos
- Image 159597 : Schwertfischjagd im Mittelmeer. (Bild 1) Im blauen Wasser des Mittelmeers, besonders in der Nähe Siziliens, findet man häuftig kleine Fischerboote mit ungewöhnlich hohen Masten. Es sind Fischerboote, in denen die Sizilianer mit der Harpune auf Schwertfischfang ausgehen, denn das Fleisch junger Schwertfische wird sehr geschätzt. Um die meist dicht unter dem Wasserspiegel schwimmenden Schwertfische schon von weitem auszumachen, steigt ein Besatzungsmitglied auf den bis zu 20 Meter hohen Mast und gibt von dort Anweisungen, in welcher Richtung er einen Fisch gesichtet hat. Aufnahme: Transosean (26/03/1942) Nr. S 2840 * Jagd auf den Schwertfisch. Gute Augen muss der Signalgast haben. Er sitzt auf der Mastspitze des Hauptbootes und muss vollkommeh schwindelfrei sein. Seine Aufgabe ist es beim Herannahen eines Schwertfisches seinen Leuten seine Beobachtungen zu melden und seine Anweisungen dem Harpunier zu geben. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série N° 1686 A Photo N° 3]
- Image 159598 : Schwertfischjagd im Mittelmeer (Bild 2) In Booten, oft nicht grösser als ein Ruderboot, gehen die Männer Siziliens auf Schwertfischjagd. Hier hat der Ausguck einen Fisch entdeckt. Vorsichtig schiebt sich das Boot in seine Nähe und wurfbereit steht der Harpunier an der Spitze des Bootes. Aufnahme: Transocean (26/03/1942) Nr, S 2841 [Sipho] * Jagd auf den Schwertfisch. Der Harpunier sticht auf Anweisung des Bootsführers auf den Schwertfisch, den dieser gesichtet hat, zu. FZ [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série N° 1686 A Photo N° 2]
- Image 159599 : Jagd auf den Schwertfisch. Schwertfischjagd an der Küste Siziliens. FZ [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1686 A : photo 1]
- Image 159600 : Jagd auf den Schwertfisch. Ein Schwertfisch kann bis zu 4 Meter lang und 300 Kilogramm schwer werden. Hier wird ein kapitaler Bursche vom Jagdboot auf was das Hauptschiff gezogen. FZ [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1686 A : photo 4]
- Image 159601 : Jagd auf den Schwertfisch. An Bord des Hauptschiffes wird gleich mit den Schlachten der Beute begonnen. * Schwertfischjagd im Mittelmeer. Die Harpune hat ihr Ziel gefunden. Freudig wird die Beute an Bord geholt. Ausgewachsene Schwertfische werden bis zu 5 Meter lang und bis zu 400 kg schwer. Sie nähren sich hauptsächlich von kleinen Fischen, greifen aber auch Thunfisch, schwimmende Menschen und Walfische an, denen sie ihr Schwert in de Leib stossen. Aufnahme: Transocean (26.3.1942) Nr. S 2842 [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1686 A : photo 5] [Censure photographique]
- Reportage: "La citadelle médiévale", 1942. - 2 photos
- Reportage: "La côte italienne est sans cesse plus dure", 05/1944. - 8 photos
- Image 162484 : Italiens Küste wird immer härter.
Das ist kein lauschiger Laubengang in einem süditalienischen Garten, sondern ein gut getarnter Laufgraben zwischen den einzelnen Maschinengewehrnestern, der seit seiner Anlage schon schön dicht bewaschsen ist.
PK-Dohm A 128 216 E.M. Orbis
[Sipho]
[27/05/1944]
- Image 162485 : Italiens Küste wird immer härter.
Wenn aber die Tarnnetze und ein paar Zeltbahnen vor die Bunkeröffnung gehängt werden, dann ist auf kurze Entfernung, auf jeden Fall aber für Feindauge, von dieser Artilleriestellung nichts mehr zu sehen.
PK-Dohm A 128 213 E.M. Orbis
[Sipho]
[27/05/1944]
- Image 162486 : Italiens Küste wird immer härter.
Das Goschützführer hat sich seine B.-Stelle zwischen den Geschützen in einem Felsloch eingerichtet, von wo er auch das Vorgelände einsehen kann. Und zu seiner Linken ist der Trichter einer Sprechrohrleitung.
PK-Dohm A 128 214 E.M. Orbis.
[Sipho]
[Censure photographique 26/05/1944]
- Image 162487 : Italien Küste wird immer härter.
Und zu seiner Linken ist der Trichter einer Sprechrohrleitung, die zwecks direkter und störangsfreier Befehlsübermittlung direkt zu seinem Geschützbunker hinführt. Diese Sprechrohrleitung ist eine eigene Erfindung des Geschätzführers und hat sich schon bei anderen Gelegenheiten bestens bewährt.
PK-Dohm A 128 215 E.M. Orbis
[Sipho]
[Censure photographique 26/05/1944]
- Image 162488 : Italiens Küste wird immer härter.
Demit aber auch der Teil des Labens nicht zu kurz kommt, der den knappen Feierstunden gewidmet ist, haben sich die Kanoniere eine prunkvolle "Sommervilla" gebaut.
PK-Dohm A 128 217 E.M. Orbis
[Sipho]
[27/05/1944]
- Image 162489 : Italien Küste wird immer härter.
Und am steinigen Strand steht der Posten, der Inbegriff für für die Wachsamkeit der deutschen Wehrmacht, die es auch an diesem Küstenstreifen dem Feind schwer machen wird, am Land Fuss zu fassen. So wird die italienische Küste, von Tag zu Tag und von Woche zu Woche härter und abwehrbereiter.
PK-Dom A 128 219 E.M. Orbis
- Image 162490 : Italien Küste wird immer härter.
Mur eine ganz unscheinbare Maueröffnung im Felsgestein zeigt dem Eingeweihten, dass hier etwas besonders vorgeht. Der Zivilist mag dies Mauerloch für ein zu gross geratenes Kellerfenster halten.
[Sipho]
[Censure photographique 26/05/1944]
- Image 162491 : Italien Küste wird immer härter.
Es schmeckt, wie man sieht, auch garmicht schlecht. Nach ihren Gesichtern zu urteilen, sind die Kameraden mit den Kochkünsten ihres Kochs vom Dienst durchaus zufrieden.
PK-Dohm A 128 218 E.M. Orbis
[Sipho]
[Censure photographique 26/05/1944]
- Reportage: La fabrication des chapeaux à Salzbourg, 01/02/1944. - 3 photos
- Reportage: La fabrication du chapeau de Salzbourg, 01/02/1944. - 2 photos
- Reportage: La fete des Chevaux au Tyrol, 1938-1945. - 8 photos
- Reportage: "La fête des 'Pionierswaffe’commence", 11/07/1943. - 9 photos
- Reportage: "La guerre en Afrique orientale", 1935-1936. - 4 photos
- Reportage: "La guerre Italo-ethiopienne, 1935-1936. - 24 photos
- Reportage La jolie Bruxelloise, 1940-1945. - 15 photos
- Reportage: La plus étrange habitation du monde, [...-1945]. - 10 photos
- Image 159064 : Die seltsamste Wohnung der Welt. Hie bei Positano, einer der wenigen paradiesischen Stätten, die es gibt, liegt am Golf von Salerno fie märchenhafte Besitzung des Herrn Clavel mit der seltsamsten Wohnung der Welt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie N° 1927 A 10]
- Image 159065 : Die seltsamste Wohnung der Welt. Der Torre di Fornillo, jenes eigenartige und phantastische Turmschloss am Golf von Salerno, das die seltsamste Wohnung der Welt enthält. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie N° 1927 A 9]
- Image 159066 : Die seltsamste Wohnung der Welt. Der Torre di Fornillo, jenes eigenartige und phantastische Turmschloss am Golf von Salerno, das die seltsamste Wohnung der Welt enthält. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie N° 1927 A 8]
- Image 159067 : Die Seltsamste Wohnung der Welt. Partie aus dem terrassenförming angelegten Park mit einem Blick auf Positano. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie N° 1927 A : Photo n° 7]
- Image 159068 : Die seltsamste Wohnung der Welt. Gemüse und Früchte für den Mittagstisch werden zum Torre di Fornillo gebracht. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie N° 1927 A : photo n° 6]
- Image 159069 : Die seltsamste Wohnung der Welt. In den Sirenenzimmer befindet sich an der Decke eine geheimnisvolle Öffnung, durch die man unbemerkt Blumen auf das darunterstehende Bett steuen kann. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie N° 1927 A : photo n° 4]
- Image 159070 : Die seltsamste Wohnung der Welt. Fliessendes Wasser aus der Felswand. Vielfach hat man die Räume aus dem Felsen herausgemeisselt und wie hier ein modernen Waschbecken einfach an der Felswand angebracht. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie N° 1927 A : photo n° 5]
- Image 159071 : Die seltsamste Wohnung der Welt. Wenn der Schlosscherr morgens erwacht, bietet wich ihm die schönste Aussicht auf die Kuppeln und die sich in den Himmel türmenden Felswände des fast 1500m hohen Monte St. Angelo. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie N° 1927 A : photo n° 3]
- Image 159072 : Die seltsamste Whonung der Welt. Das Wohn-und Arbeitszimmer des Herrn Clavel. Wuchtig und massig wie der Turn mit seinen zwei Meter dicken Mauern sind auch die Möbel. An der hinteren Schmalwand ist ein Kamin eingebaut, dessen Feuerdach aus übereinandergeschichteten Prismen besteht, die sich nach oben verjüngen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie N° 1927 A : photo n° 2]
- Image 159073 : Die seltsamste Wohnung der Welt. Der Torre di Fornillo, das Felsenschloss bei Positano, das sich Herr Clavel kostbar ausbauen liess, ist eine der grossartigsten Felsarchitekturen der Welt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Serie N° 1927 A : photo n° 1] [Censure photographique]
- Reportage: La poste à travers les âges, 1933. - 5 photos
- Reportage: "Laboratoire expérimental italien pour l'élevage", 05/04/1944. - 2 photos
- Reportage: L’Académie des arts graphiques à Vienne, 1944. - 6 photos
- Image 171164 : L'ACADEMIE DES ARTS GRAPHIQUES A VIENNE. L'académie des Arts graphiques à Vienne fondée depuis plus de 250 ans est la plus ancienne académie du Reich. Le batiment fut acheté en 1877 par Théophile Hans Hansen ; le plafond de la salle de fête est ornée d'une peinture d'Anselme Feuerbach "La chute des Titans". L'académie comprend des classes de peinture, de sculpture, d'architecture, d'arts décoratifs etc. L'ACADEMIE DES ARTS GRAPHIQUES A VIENNE. I - Vue de la salle de fête de l'académie de Vienne, ornée de la grande peinture d'Anselm Feuerbach "La chute des Titans". [Copyright by SIPHO.] [Série N° 100460. Photo N° 1.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 16 mai 1944. I. A.]
- Image 171165 : L'ACADEMIE DES ARTS GRAPHIQUES A VIENNE. 3 - Un professeur donne des indications aux élèves d'une classe de peinture de décors de théâtre. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 100460. Photo N° 3.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 16 mai 1944. I. A.]
- Image 171166 : L'ACADEMIE DES ARTS GRAPHIQUES A VIENNE. 4 - Jeune artiste au travail. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 100460. Photo N° 4.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 16 mai 1944. I. A.]
- Image 171167 : L'ACADEMIE DES ARTS GRAPHIQUES A VIENNE. 5 - Malgré la guerre l'académie est fréquentée par des éléments étrangers. Voici une jeune élève japonaise. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 100460. Photo N° 5.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 16 mai 1944. I. A.]
- Image 171168 : L'ACADEMIE DES ARTS GRAPHIQUES A VIENNE. 6 - Un élève sculpteur croate. [Copyright by SIPHO.] [Série N° 100460. Photo N° 6.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 16 mai 1944. I. A.]
- Image 171169 : L'ACADEMIE DES ARTS GRAPHIQUES A VIENNE. 8 - Le professeur Wilhelm Dael corrige le travail de ses élèves. [Copyright by Sipho.] [Série N° 100460. Photo N° 8.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Propaganda-Abteilung Belgien : Zensurstelle Bildpresse. Brüssel, 16 mai 1944. I. A.]
- Reportage: l’aria di Roma, 25/01/1943. - 8 photos
- Image 159940 : L'Aria di Roma. 3. Die in aller Welt bekannten Kolossalstatuen des Kastor und Pollux, der Dioskuren. Sie stammen aus spätkaiserlicher Zeit und haben öfter den Platz gewechselt. Bei der Neugestaltung des Kapitols unter Michelangelos fanden sie jedoch endgültige Aufstellung an den Flanken der berühmten Kapitoltreppe. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.452 A : photo 3]
- Image 159941 : L'Aria di Roma. 5. Wie gewaltig die Säulen der vierfachen Arkaden sind, die den Petersplatz säumen, erkennt man aus dem Vergleich mit der Körpergrösse der Römer, die sich in der Sonne aufwärmen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.452 B : photo 5]
- Image 159942 : L'Aria di Roma. 6. In dem grell weiss schimmernden Marmor stechen die mächtigen Bildwerke des Forum Mussolini in die blaue Luft. Da die Anlage dem Sport dient, sind zahllose nackte Jünglingsfiguren Symbole für die verschiedenen Sportarten. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.452 B : photo 6]
- Image 159943 : L'Aria di Roma. 8. Wie kleine Käfer, die eine geometrische Zeichnung laufen, sehen die Menschen aus, die man von der oberen Terrasse des Bernini, die Michelangelos S. Peter Kuppe vorgebaut ist, auf den gewaltigen Platz des Vatikans. [Sipho] [Frei gegegben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.452 B : photo 8]
- Image 159944 : L'Aria di Roma. 11. Wunderbar ist der Blick von den Hängen des Palatin über die alten Tempelreste hinweg, nach den Ruinen des gewaltigen Kolosseums. Er muss wirklich der damaligen Zeit wie ein Weltwunder erschienen sein, - ein Bau, der nur vier Jahre dauerte, in dem 60- bis 80 000 Menschen Platz fanden und der Jahrtausende überdauert hat. [Sipho] [Frei gegegben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.452 B : photo 11]
- Image 159945 : L'Aria di Roma. 12. Der Baugeist des Barock brachte es fertig, die Fontana Trevi so gewaltig zu gestalten, dass der Platz, den dieser einzigartige Brunnen schmückt, zur engen Strasse zusammengepresst worden ist. Der Eindruck diesser köstlichen Architektonischen Anlage ist umso stärker, als man vor ihr völlig unerwartet nach dem Durchsckreiten versteckter kleiner Gassen steht. [Sipho] [Frei gegegben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.452 B : photo 12]
- Image 159946 : L'Aria di Roma. 13. Vogelschaublick auf die Fontana Trevi, jene prachtvolle Brunnenanlage, die der Baugeist des Barock so gewaltig schuf, dass der Platz, auf dem sie steht, räumlich aufs engste zusammengepresst wurde. Man gelangt zu ihr durch verschiegene Gassen, so dass der plötzliche Eindruck ihrer Mächtigkeit um so mächtiger ist. [Sipho] [Frei gegegben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.452 B : photo13]
- Image 159947 : L'Aria di Roma. 14. Nahe der Parta Pinciana, jenem allen Fremden bekannten Turm wo die eleganteste Strasse Roms, die Via Veneto, in kühnem Schwung an der Villa Borghese mündet, steht dieser Kopf in der Mauer. Er wird von den Römern, "der Belisar" genannt. Wie gross mag erst die Gesamtstatue gesesen sein, die nach wissenschaftlichen Forschungen die Reste eines Bildwerks Alexander des Grossen darstellen soll. Dieser Kopf allein hat schon Übermannshöhe. [Sipho] [Frei gegegben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.452 B : photo 14]
- Reportage: "L’armée coloniale - Zapté", [1922-1945]. - 20 photos
- Image 160239 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Braune Soldaten lernen rechnen, denn die italienische Kolonialregierung sorgt für eine gute Allgemeinbildung ihrer eingeborenen Truppen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 1]
- Image 160240 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Zaptié - Truppen beim Ritt durch die Case.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 2]
- Image 160241 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
....... und hier dasselbe Trompeterkorps der Zaptié von räckwärts.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 3]
- Image 160242 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Löhnungsappell bei den Zaptié. Ob in Europa oder Afrika - dieser Appell ist überall gleich beliebt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 4]
- Image 160243 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Unser Mitarbeiter schreigt zu diesem Bild : "Einmal hatte ich Gelegenheit, an einer militärischen Veranstaltung teilzunehmen. Neben den Kraftwagen sprengten in langer Reihe eingeborene Soldaten auf feurigen Araberpferden einher. Es war ein selten schöner Anblick."
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 5]
- Image 160244 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Kopfstand auf dem Pferde im Galopp - die schwierigste und gefärlichste Figur bei der Phantasie. Beim Verlangsamen des Tempos ist ein Absturz sehr leicht möglich, der Sehr oft tëtlich verläuft, weil der Reiter beim Sturz das R¨ckgrat bricht.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 6]
- Image 160245 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Das Trompeterkorps der Zaptié in Galauniform, die Köpfe mit schneeweissen Tüchern dicht verhüllt, über den Schultern den prächtigen roten Umhang, - ein Bild, wie es sich farbenprächtiger und reicher kein Filmregisseur wünschen könnte.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 7]
- Image 160246 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Schauverführungen der Zaptié, bei denen ihre Freude an Pferd und Flinte zum Ausdruck kommt. Sie sind die erste Waffe der italienischen Kolonalarmee.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 8]
- Image 160247 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
In rasendem Galopp fegen sie bei ihren Phantasien über die Steppe, einzeln, zu Paaren und Gruppen und feuern unter dauerndem Schwenken der Gewehre fortgesetzt in die Luft.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 9]
- Image 160248 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Zum Reiten geboren. Araber im Baracan, dem weissen, wollenen Umhang vor Beginn der Phantasie, die für sie der höchste Inbegriff irdischen Glückes ist.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 10]
- Image 160249 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Braune Soldaten auf der Schulbank. Hier lernen die Zaptié neben Italienisch Lesen, Schreiben und Rechnen. Sie sind sehr lern-und wissbegierigm denn drei Dingen im Leben haben sie sich verschrieben, dem Buch, dem Gewehr und dem Pferd.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 11]
- Image 160250 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner kolonialarmee.
Die Zaptié stellen auch die Leibwache des Generalgouverneurs. Den Kopf mit weissen Tüchern verhüllt, über den Schultern den prächtigen roten Umhang, der ihnen ein Phantastisches Aussehen gibt, stehen sie bei festlichen Anlässen am Aufgang zu seinem Palais.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 12]
- Image 160251 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
In weniger als fünf Minuten liegen die arabischen Soldaten auf ihren selbstbereitetem Lager.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 13]
- Image 160252 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Nach der Übund werden die Pferde auf dem Kasernenhof getränkt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 14]
- Image 160253 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Ein kurzer Trompetenstoss, und schon jagen die Rosse der Zaptié in einer Wolke von Staub und Pulverdampf über die Steppe - die Phantasie beginnt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 15]
- Image 160254 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Wachposten vor dem Palais des Generalgouverneurs, den die Elitetruppe der Zaptié stellt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 16]
- Image 160255 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Mitten im vollen Galop bleiben die Pferde wie auf Kommando stehen und gehen zur Erde, der Zaptié springt ab........................
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 17]
- Image 160256 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
... nimmt hinter dem Pferdeleib Deckung und feuert, den Gewehrlauf auf den Hals des Pferdes gestützt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 18]
- Image 160257 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Kopfstand auf dem Pferde im Galopp - die schwierigste und gefährlichste Figur bei der Phantasie. Beim Verlangsamen des Tempos ist ein Absturz sehr leicht möglich, der sehr oft tötlich verläuft, weil der Reiter beim Sturz das Rückgrat bricht.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 19]
- Image 160258 : Zaptié.
Italiens erste Waffe seiner Kolonialarmee.
Mit schmetterndem Trompetenklang beginnt morgens der Ausritt zur Übung aus der Zaptiéschule.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis Photo]
[Série 92.513 B : photo 20]
- Reportage: "L'avance italienne en Abyssinie", 1935-1936. - 6 photos
- Reportage: "Le conflit Italo-Ethiopien", 1935-1936. - 40 photos
- Reportage: "Le front italien pendant le jour et la nuit", 1944. - 7 photos
- Image 162492 : Italien-Frontbei Tach und Nacht.
Die Fernkamera beobachtet eine Nattoria Feindliche Artillerie schiesst sich ein.
Um einzelne Gutshöfe entbrennen meist heftige Kämpfe, in deren Verlauf sie oft mehrmals den Besitzer wechseln. Um jeden Steinblock wird Sekämpft, schreiben die englischen Berichterstätter vom italienischen Kriegsschauplatz.
PK-Ohlenbostel A 130 186 Orbis E.M.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[11/08/1944]
- Image 162493 : Italien-Front bei Tach und Nacht.
Dieses Langrohrgeschütz, getarnt mi Bambusstäben, gleicht selbst einem Bambusrohr, unsichtbar für den feindlichen Aufklärer.
PK-Ohlenbostel A 130 188 Orbis E.M.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[10/08/1944]
- Image 162494 : Italien-Front bei Tag und Nacht.
Mündungsfeuer lässt die Nacht zum Tage werden. Feldhaubitzen auf Selbstfahrlafetten haben in den nächtlichen Kampf ein egraffe. Die alliierten Truppen verflichen jetzt den italienischen Somers, sagt der Daily Express. Das Gelände wird immer schwieriger, es sei ummöglich, die Deutschen zu überraschen.
PK-Ohlenbostel - A 130 192 Orbis E.M.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[10/08/1944]
- Image 162495 : Italien-Front bei Tag und Nacht.
Ist die Luft wieder rein ? Misstrauisch schaut der Funker den abziehenden "Sturen" nach, den ausser den Viermotorigen können noch Artiellerieflieger und Jagdbomber in der Luft sein.
PK-Ohlenbostel - 130 185 Orbis E.M.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
- Image 162496 : Italien-Front bei Tag und Nacht.
Ein Kagel, vom Licht gezeichnet. Leuchtspurgeschosse einer Batterie steigen mit glühenden Flugnahnen zum nächtlichen Himmel empor, um sich im Scheitelpunkt zu vereinigen Ihr Widerschein erleichtert dem Beobachter die schwierige Arbeit.
PK-Ohlenbostel - A 130 190 Orbis E.M.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[10/08/1944]
- Image 162498 : Italien-Front bei Tag und Nacht.
Feirige Finger suchen die Front. Auch nächtlichen Dunkel steht die Schlacht nischt still Leuchtkugeln erhellen das Schlachtfeld. Hier lässt der Feind hoch in der Luft Granaten Detonieren mit deran leuchtenden Sprengstücken er die deutschen Linien absucht.
PK-Ohlenbostel - A 130 189 Orbis E.M.
[Censure photographique]
- Image 163199 : Italien-Front bei Tag und Nacht.
Ein einzigartiges Bild : Nachthimmel über 500 m Front ... eine halbe Minute belichtet.
Die geraden Linien der Flammenschrift sind Leuchtspurbahnen der Infanteriewaffen, davon rechts aus dem gefürchteten MG 42 Die krummen Linien rähren von Phosphor- und Pulvarteilchen krepierander Granaten her.
PK-Ohlenbostel - A 130 191 Orbis E.M.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[10/08/1944]
- Reportage: Le marbre de Salzbourg, 30/06/1944. - 8 photos
- Reportage: Le Mozarteum a Salzbourg, 1930-1940. - 15 photos
- Image 171600 : LE MOZARTEUM A SALZBURG. Salzburg devient un centre musical des plus importants. Le Mozarteum et son université de musique occupe la première place parmi les instituts de formation musicale. Chaque été, à l’époque du grand festival, l’Institut de musique pour étrangers réunit les plus grands chefs d’orchestre, solistes et compositeurs d’Europe qui donnent des cours aux futurs grands musiciens. Beaucoup de musiciens ayant une grande renommée dans leur pays et dans le monde musical deviennent ici les élèves de grands maîtres. Les cours pour étrangers réunissent cette année quelques noms célèbres. Des cours sont donnés par Clemens Krauss comme chef d’orchestre, par Edwin Fischer au piano, ainsi que Wilhelm Kempf, Walter Gieseking, et Elly Ney. Des cours de violon sont donnés par Georg Kulenkampf et Vasa Prihoda ; Gunther Ramin joue de l’orgue et dirige les chœurs. 6.- Edwin Fischer entouré d’élèves allemands et étrangers donne des indications au sujet d’une sonate de Beethoven. [Eurofot. N° 73.6.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 6.]
- Image 171601 : LE MOZARTEUM A SALZBOURG. 8.- Après le prélude Edwin Fischer s'entretient avec l'élève au plus grand profit des assistants. [Eurofot. N° 73.8.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 8.]
- Image 171602 : LE MOZARTEUM A SALZBOURG. 7.- Une pianiste est interrompue par le Professeur Edwin Fischer qui lui montre comment il convient d'interpréter ce passage. [Eurofot. N° 73.7.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 7.]
- Image 171603 : LE MOZARTEUM A SALZBOURG. 9.- La grande artiste Elly Ney corrige le maintien d'une élève. [Eurofot. N° 73.9.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 9.]
- Image 171604 : LE MOZARTEUM A SALZBOURG. 11.- Elly Ney joue et tous écoutent avec attention son interprétation de Beethoven. [Eurofot. N° 73.11.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 11.]
- Image 171605 : LE MOZARTEUM A SALZBOURG. 12.- César Bresgen, le plus jeune professeur de musique allemand enseigne la composition et dirige les choeurs. Il s'est fait un nom en tant que compositeur de choeur et de cantates ; il est aussi l'auteur d'un opéra qui connait le plus grand succès. [Eurofot. N° 73.12.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 12.]
- Image 171606 : CONCERT AU MOZARTEUM. De toutes les universités de musique européennes l’Université allemande de musique, le Mozarteum, à Salzbourg occupe le 1er rang. La tradition de l’Université veut que les élèves étudient les oeuvres du grand compositeur Mozart. Les étudiants allemands et étrangers s’efforcent de se pénétrer de la technique et de la virtuosité de leurs professeurs. Une camaraderie s’est ainsi établie entre professeurs et élèves. Dans le but de faire connaître aux élèves tous les trésors musicaux allemands et européens, l’Université de musique organise des concerts auxquels les élèves participent. 13- Un concert Bach au Mozarteum, sous la direction du Dr. Willem van Hoogstraeten. Solistes : Professeurs Georges Steiner et Christa-Richter-Steine. [Eurofot. N° 66.13.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100263 B. Photo N° 13.]
- Image 171607 : LE MOZARTEUM A SALZBOURG. César Bresgen et ses élèves. [Eurofot. N° 73.13.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 13.]
- Image 171608 : LE MOZARTEUM A SALZBOURG. 14.- Le professeur Muller professeur de violon est professeur permanent au Mozarteum de Salzbourg. [Eurofot. N° 73.14.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 14.]
- Image 171609 : CONCERT AU MOZARTEUM. 15- Le public écoute le concert avec la plus grande attention. [Eurofot. N° 66.15.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100.263 B. Photo N° 15.]
- Image 171610 : LE MOZARTEUM A SALZBOURG. 15.- Maestro Vittorino Moratti, professeur à l'université de musique de Salzbourg. [Eurofot. N° 73.15.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 15.]
- Image 171611 : LE MOZARTEUM A SALZBOURG. 16.- Leçon de chant à Salzbourg. [Eurofot. N° 73.16.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 16.]
- Image 171612 : CONCERT AU MOZARTEUM. 16- Le professeur Elly Ney joue une oeuvre de Beethoven. [Eurofot. N° 66.16.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100.263 B. Photo N° 16.]
- Image 171613 : LE MOZARTEUM A SALZBOURG. 17- Pavel Ludikar natif du Protectorat se fît une carrière magnifique comme baryton des plus grands Théâtres du monde ; Vienne, Turin, Dresde, la Scala de Mailand. Il est actuellement professeur de chant à Salzbourg. [Eurofot. N° 73.17.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100287. Photo N° 17.]
- Image 171614 : CONCERT AU MOZARTEUM. 18- Le professeur Madame Elly Ney écoute une quartette pour violon de Haydn. A l'arrière-plan quelques élèves. [Eurofot. N° 66.18.] [Copyright by SIPHO.] [Série N°100.263 B. Photo N° 18.]
- Reportage: "Le plus bel endroit de guérison en Italie", [...-1945]. - 13 photos
- Image 159631 : Italiens schönste Heilstätte. 1. Man glaubt sich nach Davos versetzt, zumal die Terrassen einen unbeschreiblich schönen Blick auf die Appeninen und die Albaner Berge gewähren. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 1]
- Image 159632 : Italiens schönste Heilstätte. 2. Es gehört zu den grundsätzlichen Anordungen im Istitutio Forlalini, dass die leichtkranken einen tägligen kleinen Spaziergang auf den Sonnenterrassen der Klinik unternehmen. In der Zeichensprache unterhalten sie sich bei dieser Gelegenheit bisweilen mit den Patientinnen der benachbarten Frauenabteilung. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 2]
- Image 159633 : Italiens schönste Heilstätte. 3. Ein Patient erteilt seinen Kameraden Unterricht, in der sehr beliebt gewordenen Zeichensprache, in der man sich mit den getrennt liegenden Abteilungen gut verständigen kann. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 3]
- Image 159634 : Italiens schönste Heilstätte. 4. In einer Schulklasse für lungenleidende Kinder, die, soweit es der Gesundheitszustand erlaubt, regelmässigen Unterricht geniessen. [Sipho] [Orbis] [Frei gegeben durch Zensur] [Série 92.473 B : photo 4]
- Image 159635 : Italiens schönste Heilstätte. 5. Aufpumpen des rechten Lungenflügels mit Hilfe des von Prof. Marelli erfundenen und nach ihm benannten Apparates. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 5]
- Image 159636 : Italiens schönste Heilstätte. 6. Imponierend sind die Fronten der riesigen Sonnenterrassen, die jeweils den Gebäuden der Männer-, Frauen- und Kinderabteilung vorgebaut sind. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 6]
- Image 159637 : Italiens schönste Heilstätte. 7. Auf der Sponnenterrasse der Kinderabteilung: wohlbehütet liegen die Kinder hier in der frischen Luft, je nach dem Gesundheitszustand in der Sonne oder im Schatten. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 7]
- Image 159638 : Italiens schönste Heilstätte. 8. Eine Schwester in der Kinderabteilung, die während der Mahlzeit das wichtige Amt ausübt, die Salate zu mischen. Nach italienischer Sitte kommen die Salate ungemischt aus der Küche und werden erst kurz vor dem Verzehren mit Öl, Pfeffer und Salz usw. je nach Geschmack versetzt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 8]
- Image 159639 : Italiens schönste Heilstätte. 9. Eine Ecke in dem grossen Gemeinschaftsspeiseraum der Frauenabteilung für Leichtkranke. Das Servierbrett ist dadurch besonders praktisch, dass eine grosse Zahl von Tellern und Schüsseln gleichzeitig transportiert werden kann. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 9]
- Image 159640 : Italiens schönste Heilstätte. 10. Blick in einen der Räume des Tuberkulosemuseums, das ob seiner Übersichtlichkeit und Reichhaltigkeit internationalen Ruf besitzt. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 10]
- Image 159641 : Italiens schönste Heilstätte. 11. Eine kleine Sehenswürdigkeit für sich sind die Zentralküchen, wo für viele tausend Kranke die verschiedensten Diätmahlzeiten gleichzeitig zubereitet werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 11]
- Image 159642 : Italiens schönste Heilstätte. 12. Prof. Eugenio Morelli, der Leiter des berühmten Istituto Forlalini, der grössten medizinischen Arbeitsstätte Italiens im Kampf gegen die Tuberkulose. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 12]
- Image 159643 : Italiens schönste Heilstätte. 13. Luftaufnahme von der riesenhaften Anlage des Istituto Forlalini in Rom. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 92.473 B : photo 13]
- Reportage: "Le rêve d'une femme", [...-1945]. - 7 photos
- Reportage: "le soldat et les femmes en uniforme", [1922-1945]. - 12 photos
- Reportage: "Le thon est là", 09/05/1944. - 6 photos
- Image 159591 : Der Thunfisch ist da. Alljährlich um die Osterzeit, wenn der Thunfischfang an der Ligurischen Küste beginnt, wird in einem der kleinen Fischerdörfchen dieses für Alt und Jung bedeutsame Ereignis feierlich begangen. Der Priester steht bereit, um den ersten Fang durch seinen Segen zu weihen. A 127 976 E.M. Orbis-Photo [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [09/05/1944]
- Image 159592 : Der Thunfisch ist da. Tage zuvor waren die riesigen Stellnetze ausgebracht worden. Jetzt werden sie von den Booten aus unter Absingen alter eigentümlicher Fischerlieder wieder eingeholt. PK-Taureg A 127 977 E.M. Orbis [Sipho] [Censure photographique 08/05/1944] [09/05/1944]
- Image 159593 : Der Thunfisch ist da. Auch der deutsche Ortskommandant und sein Adjutant, ein Oberfähnrich, sind von der Bevölkerung eingeladen worden und warten auf die Ausbeute des ersten Fanges, dem man nach altem Glauben eine Bedeutung für die gesamte Fangzeit beimisst. PK-Taureg A 127 978 E.M. Orbis [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur]
- Image 159594 : Der Thunfisch ist da. Der schwere Fischsack erscheint an der Wasseroberfläche. Gespannt beobachtet alles, was einem Platz im Boot bekommen konnte, das Ergebnis des ersten Fanges. Die Gesichter beweisen, dass es erfreulich ist. PK-Taureg A 127 979 E.M. Orbis [19/05/1944] [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [09/05/1944] [Censure photographique 08/05/1944]
- Image 159595 : Der Thunfisch ist da. Auch der Vorsteher der Fischerzunft scheint zufrieden zu sein. Schmunzelnd setzt er das Glas Wein an die Lippen, das nach altem Brauch allen Gästen zum Abschluss dargeboten wird. PK-Taureg A 127 980 E.M. Orbis [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [09/05/1944]
- Image 159596 : Der Thunfisch ist da. Abends, wenn der Schwarm der Zuschauer schon längst wieder heimgerudert ist, sitzen die Fischer noch immer beisammen. Ein fröhlicher Umtrunk, zu dem übrigens herkommensgemäss die Frau des Zunftvorstehers einen Riesenkuchen zu backen hat, hält sie noch bis zum Sonnenuntergang zusammen. PK-Taureg A 127 981 E.M. Orbis [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Censure photographique 08/05/1944] [09/05/1944]
- Reportage: Le voyage du roi et empereur d'Italie en Sicile, 01/1943. - 7 photos
- Reportage: "Les enfants allemands dans les écoles italiennes", 28/09/1942. - 15 photos
- Image 162615 : 1490/2
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Palmen, Pinien und Zypressen, blaues Gewoge unter strahlendem Himmel, -das sind die optischen Eindrücke, die ein Blick aus dem Heim "Aurora-Lindenhof" auf Strand und Hafen von San Remo bietet. An solchen Stätten südlicher Pracht gewinnen reichsdeutsche Jungen und Mädel Unvergessliches für das ganze Leben.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 2]
[Censure photographique 28/09/42]
- Image 162616 : 1490/4
Deutsche Kinder erhlen sich in Italien.
Eine vergnügte Gruppe im Stadtpark von San Remo währen einer Ausflugspause.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 4]
[Censure photographique 28/09/1942]
- Image 162617 : 1490/1
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Die Flaggen beider Länder wehen vor dem Heim "Colonia Adria" in Riccione. Es ist Spielstunde am Strand. Eine künstliche Lagune haben die Jungen angelegt, wichtiger aber ist, dass die Körper unter der Strandsonne Italiens gesundgebräumt werden.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Censure photographique]
[Série 232 - photo 1]
- Image 162618 : 1490/3
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Während des ganzen Aufenhaltes werden die Kinder gewissenhaft ärztlich betreut. Es wird festgestellt, ob sie baden dürfen und sich der Sonne aussetzen, wie sie ernährt werden müssen und ob sie zu-oder abnehmen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 3]
[Censure photographique 28/09/1942]
- Image 162619 : 1490/10
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Bei der morgentlichen Singstunde unter den Palmen des Heimgartens.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 10]
[Censure photographique 28/09/1942]
- Image 162620 : 1490/7
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Diesen Wurfspiel ist italienischen Ursprungs. Die deutschen Jungen haben es chnell erlernt und betreiben es immer wieder mit Begeisterung.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 7]
[Censure photographique 28/09/1942]
- Image 162621 : 1490/6
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Die Gauzugehörigkeit sieht man den lachenden Gesichtern dieser badefrohen Mädel am Strand von Alassio natürlich nicht an. Es sei verraten, dass es Berlinerinnen und Thüringerinnen sind, die sich hier trafen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 6]
[Censure photographique]
- Image 162622 : 1490/5
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Wassernixen-aus Berlin-Moabit, Leipzig C1 und Stuttgart-Süd am Badestrand von Alassio.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 5]
[Censure photographique 28/09/1942]
- Image 162623 : 1490/12
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Überall an Italiens Küsten wird Fischerei betrieben. Da gibt es viel zu sehen und zu lernen. Hin und wieder bietet sich auch Gelegenheit, selbstverständlich unter Aufsicht, eine Ausfahrt der Fischer zum Fang mitzumachen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 12]
[Censure photographique 28/09/1942]
- Image 162624 : 1490/8
Deutscher Kinder erholen sich in Italien.
Begegnung mit italienischer Parkschönheit bei einem Spaziergang durch San Remo.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 8]
[Censure photographique 28/09/2007]
- Image 162625 : 1490/17
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Keiner ärgert sich, auch nicht bei-Mensch ärgere Dich nicht.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 14]
[Censure photographique 28/09/1942]
- Image 162626 : 1490/13
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Morgentliche Singstunde im Heim "Aurora-Lindenhof" von San Remo.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - 13]
[Censure photographique]
- Image 162627 : 1490/9
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Heute ist Kinotag-das bedeutet natürlich einen Höhepunkt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 9]
[Censure photographique 28/09/1942]
- Image 162628 : 1490/15
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Gute Kameradschaft der Heimleiterin mit ihren Schützlingen, gute Harmonie auch auf musikalischem Gebiet.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 15]
[Censure photographique]
- Image 162629 : 1490/11
Deutsche Kinder erholen sich in Italien.
Zu solchen Unternehmungen bietet sich in Berlin-Weissensee keine Gelegenheit.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 232 - photo 11]
[Censure photographique 28/09/1942]
- Réportage: les jardins italiens classiques, [...-1945]. - 5 photos
- Reportage: Les Marionettes de Salzbourg, 1930-1945. - 2 photos
- Reportage: "Les pêcheurs italiens trouvent des nouvelles techniques" (+ texte), 28/10/1941. - 11 photos
- Image 159602 : Serie 1326/2 Italiens Fischer finden neue Wege. Immer ist das ganze Dorf dabei, um beim Bergen des Netzes zu helfen. * Wie in keinem anderen Land sind in Italien Glück und Wohlstand des ganzen Volkes, in Krieg und Frieden, eng mit seiner geographischen Lage verknüpft. 4500 km Küste bei einem Gesamtflächeninhalt von rund 310 000 km müssen Blick und Lebenswillen der gesamten Bevölkerung automatisch auf das Meer ausrichten. Aber sind auch Meer und Küste (in Verbindung mit den durch sie bedingten klimatischen Verhältnissen) geeignet, Italien zu einem der glücklichstens Länder zu stempeln, so müssen sich gerade hier die Nachteile des Krieges in gesteigertem Masse auswirken : Italien leidet unter dem Kriege mehr als eine andere Nation. Eine ganze Nation sah sich plötzlich gezwungen (ganz abgesehen von den Schwierigkeiten seiner Besitzungen in Afrika) seine gesamte Verteidigungskraft auf eine umfangreiche Küste auszurichten, ein ganzes Volk, das bisher vom Meere lebte, muss heute auf den Segen des Meeres verzichten ! Bewundernswert, wie der Lebenswille dieses ewig jungen Volkes nun sofort neue Wege fand, um mit den neuartigen Verhältnissen fertig zu werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Série 1724 B : photo 1]
- Image 159603 : Serie 1326/4 Italiens Fischer finden neue Wege. Und das ist die ganze deprimierende Ausbeute für einen Tag. * Wie in keinem anderen Land sind in Italien Glück und Wohlstand des ganzen Volkes, in Krieg und Frieden, eng mit seiner geographischen Lage verknüpft. 4500 km Küste bei einem Gesamtflächeninhalt von rund 310 000 km müssen Blick und Lebenswillen der gesamten Bevölkerung automatisch auf das Meer ausrichten. Aber sind auch Meer und Küste (in Verbindung mit den durch sie bedingten klimatischen Verhältnissen) geeignet, Italien zu einem der glücklichsten Länder zu stempeln, so müssen sich gerade hier die Nachteile des Krieges in gesteigertem Masse auswirken : Italien leidet unter dem Kriege mehr als eine andere Nation. Eine ganze Nation sah sich plötzlich gezwungen (ganz abgesehen von den Schwierigkeiten seiner Besitzungen in Afrika) seine gesamte Verteidigungskraft auf eine umfangreiche Küste auszurichten, ein ganzes Volk, das bisher vom Meere lebte, muss heute auf den Segen des Meeres verzichten ! Bewundernswert, wie der Lebenswille dieses ewig jungen Volkes nun sofort neue Wege fand, um mit den neuartigen Verhältnissen fertig zu werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1724 B : photo 2]
- Image 159604 : Serie 1326/5 Italiens Fischer finden neue Wege. Was auf dem Markte erscheint, ist daher auch nur erbärmliches Kleinzeug : Muscheln, Polypen und kleinste Fische, alles muss heute zur Ernährung herhalten. * Wie in keinem anderen Land sind in Italien Glück und Wohlstand des ganzen Volkes, in Krieg und Frieden, eng mit seiner geographischen Lage verknüpft. 4500 km Küste bei einem Gesamtflächeninhalt von rund 310 000 km müssen Blick und Lebenswillen der gesamten Bevölkerung automatisch auf das Meer ausrichten. Aber sind auch Meer und Küste (in Verbindung mit den durch sie bedingten klimatischen Verhältnissen) geeignet, Italien zu einem der glücklichsten Länder zu stempeln, so müssen sich gerade hier die Nachteile des Krieges in gesteigertem Masse auswirken : Italien leidet unter dem Kriege mehr als eine andere Nation. Eine ganze Nation sah sich plötzlich gezwungen (ganz abgesehen von den Schwierigkeiten seiner Besitzungen in Afrika) seine gesamte Verteidigungskraft auf eine umfangreiche Küste auszurichten, ein ganzes Volk, das bisher vom Meere lebte, muss heute auf den Segen des Meeres verzichten ! Bewundernswert, wie der Lebenswille dieses ewig jungen Volkes nun sofort neue Wege fand, um mit den neuartigen Verhältnissen fertig zu werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1724 B : photo 3]
- Image 159605 : Serie 1326/11 Italiens Fischer finden neue Wege. Frauen beim Sortieren der fertiggeschiffenen Stücke. * Wie in keinem anderen Land sind in Italien Glück und Wohlstand des ganzen Volkes, in Krieg und Frieden, eng mit seiner geographischen Lage verknüpft. 4500 km Küste bei einem Gesamtflächeninhalt von rund 310 000 km müssen Blick und Lebenswillen der gesamten Bevölkerung automatisch auf das Meer ausrichten. Aber sind auch Meer und Küste (in Verbindung mit den durch sie bedingten klimatischen Verhältnissen) geeignet, Italien zu einem der glücklichsten Länder zu stempeln, so müssen sich gerade hier die Nachteile des Krieges in gesteigertem Masse auswirken : Italien leidet unter dem Kriege mehr als eine andere Nation. Eine ganze Nation sah sich plötzlich gezwungen (ganz abgesehen von den Schwierigkeiten seiner Besitzungen in Afrika) seine gesamte Verteidigungskraft auf eine umfangreiche Küste auszurichten, ein ganzes Volk, das bisher vom Meere lebte, muss heute auf den Segen des Meeres verzichten ! Bewundernswert, wie der Lebenswille dieses ewig jungen Volkes nun sofort neue Wege fand, um mit den neuartigen Verhältnissen fertig zu werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1724 B : photo 4]
- Image 159606 : Serie 1326/14 Italiens Fischer finden neue Wege. Die Nadelarbeiten der italienischen Fischerfrauen, besonders aus der Gegend von Neapel und Sorrent, sind seit jeher in der ganzen Welt geschätzt. Früher in den langen Wartezeiten des Fischfangs in künstlerisch vollendeter Form entstanden - dienen sie heute in erhöhtem Masse dazu, ganze Familien, ja, in Gemeinschaftsarbeit oft ganze Dörfer zu ernähren. * Wie in keinem anderen Land sind in Italien Glück und Wohlstand des ganzen Volkes, in Krieg und Frieden, eng mit seiner geographischen Lage verknüpft. 4500 km Küste bei einem Gesamtflächeninhalt von rund 310 000 km müssen Blick und Lebenswillen der gesamten Bevölkerung automatisch auf das Meer ausrichten. Aber sind auch Meer und Küste (in Verbindung mit den durch sie bedingten klimatischen Verhältnissen) geeignet, Italien zu einem der glücklichsten Länder zu stempeln, so müssen sich gerade hier die Nachteile des Krieges in gesteigertem Masse auswirken : Italien leidet unter dem Kriege mehr als eine andere Nation. Eine ganze Nation sah sich plötzlich gezwungen (ganz abgesehen von den Schwierigkeiten seiner Besitzungen in Afrika) seine gesamte Verteidigungskraft auf eine umfangreiche Küste auszurichten, ein ganzes Volk, das bisher vom Meere lebte, muss heute auf den Segen des Meeres verzichten ! Bewundernswert, wie der Lebenswille dieses ewig jungen Volkes nun sofort neue Wege fand, um mit den neuartigen Verhältnissen fertig zu werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1724 B : photo 5]
- Image 159607 : Serie 1326/14a Italiens Fischer finden neue Wege. Die Nadelarbeiten der italienischen Fischerfrauen, besonders aus der Gegend von Neapel und Sorrent, sind seit jeher in der ganzen Welt geschätzt. Früher in den langen Wartezeiten des Fischfangs in künstlerisch vollendeter Form entstanden - dienen sie heute in erhöhtem Masse dazu, ganze Familien, ja, in Gemeinschaftsarbeit oft ganze Dörfer zu ernähren. * Wie in keinem anderen Land sind in Italien Glück und Wohlstand des ganzen Volkes, in Krieg und Frieden, eng mit seiner geographischen Lage verknüpft. 4500 km Küste bei einem Gesamtflächeninhalt von rund 310 000 km müssen Blick und Lebenswillen der gesamten Bevölkerung automatisch auf das Meer ausrichten. Aber sind auch Meer und Küste (in Verbindung mit den durch sie bedingten klimatischen Verhältnissen) geeignet, Italien zu einem der glücklichsten Länder zu stempeln, so müssen sich gerade hier die Nachteile des Krieges in gesteigertem Masse auswirken : Italien leidet unter dem Kriege mehr als eine andere Nation. Eine ganze Nation sah sich plötzlich gezwungen (ganz abgesehen von den Schwierigkeiten seiner Besitzungen in Afrika) seine gesamte Verteidigungskraft auf eine umfangreiche Küste auszurichten, ein ganzes Volk, das bisher vom Meere lebte, muss heute auf den Segen des Meeres verzichten ! Bewundernswert, wie der Lebenswille dieses ewig jungen Volkes nun sofort neue Wege fand, um mit den neuartigen Verhältnissen fertig zu werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1724 B : photo 6]
- Image 159608 : Serie 1326/14b Italiens Fischer finden neue Wege. Die Nadelarbeiten der italienischen Fischerfrauen, besonders aus der Gegend von Neapel und Sorrent, sind seit jeher in der ganzen Welt geschätzt. Früher in den langen Wartezeiten des Fischfangs in künstlerisch vollendeter Form entstanden - dienen sie heute in erhöhtem Masse dazu, ganze Familien, ja, in Gemeinschaftsarbeit oft ganze Dörfer zu ernähren. * Wie in keinem anderen Land sind in Italien Glück und Wohlstand des ganzen Volkes, in Krieg und Frieden, eng mit seiner geographischen Lage verknüpft. 4500 km Küste bei einem Gesamtflächeninhalt von rund 310 000 km müssen Blick und Lebenswillen der gesamten Bevölkerung automatisch auf das Meer ausrichten. Aber sind auch Meer und Küste (in Verbindung mit den durch sie bedingten klimatischen Verhältnissen) geeignet, Italien zu einem der glücklichsten Länder zu stempeln, so müssen sich gerade hier die Nachteile des Krieges in gesteigertem Masse auswirken : Italien leidet unter dem Kriege mehr als eine andere Nation. Eine ganze Nation sah sich plötzlich gezwungen (ganz abgesehen von den Schwierigkeiten seiner Besitzungen in Afrika) seine gesamte Verteidigungskraft auf eine umfangreiche Küste auszurichten, ein ganzes Volk, das bisher vom Meere lebte, muss heute auf den Segen des Meeres verzichten ! Bewundernswert, wie der Lebenswille dieses ewig jungen Volkes nun sofort neue Wege fand, um mit den neuartigen Verhältnissen fertig zu werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1724 B : photo 7]
- Image 159609 : Serie 1326/14f Italiens Fischer finden neue Wege. Die Nadelarbeiten der italienischen Fischerfrauen, besonders aus der Gegend von Neapel und Sorrent, sind seit jeher in der ganzen Welt geschätzt. Früher in den langen Wartezeiten des Fischfangs in künstlerisch vollendeter Form entstanden - dienen sie heute in erhöhtem Masse dazu, ganze Familien, ja, in Gemeinschaftsarbeit oft ganze Dörfer zu ernähren.* Wie in keinem anderen Land sind in Italien Glück und Wohlstand des ganzen Volkes, in Krieg und Frieden, eng mit seiner geographischen Lage verknüpft. 4500 km Küste bei einem Gesamtflächeninhalt von rund 310 000 km müssen Blick und Lebenswillen der gesamten Bevölkerung automatisch auf das Meer ausrichten. Aber sind auch Meer und Küste (in Verbindung mit den durch sie bedingten klimatischen Verhältnissen) geeignet, Italien zu einem der glücklichsten Länder zu stempeln, so müssen sich gerade hier die Nachteile des Krieges in gesteigertem Masse auswirken : Italien leidet unter dem Kriege mehr als eine andere Nation. Eine ganze Nation sah sich plötzlich gezwungen (ganz abgesehen von den Schwierigkeiten seiner Besitzungen in Afrika) seine gesamte Verteidigungskraft auf eine umfangreiche Küste auszurichten, ein ganzes Volk, das bisher vom Meere lebte, muss heute auf den Segen des Meeres verzichten ! Bewundernswert, wie der Lebenswille dieses ewig jungen Volkes nun sofort neue Wege fand, um mit den neuartigen Verhältnissen fertig zu werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis] [Série 1724 B : photo 8]
- Image 159610 : Serie 1326/14g Italiens Fischer finden neue Wege. Die Nadelarbeiten der italienischen Fischerfrauen, besonders aus der Gegend von Neapel und Sorrent, sind seit jeher in der ganzen Welt geschätzt. Früher in den langen Wartezeiten des Fischfangs in künstlerisch vollendeter Form entstanden - dienen sie heute in erhöhtem Masse dazu, ganze Familien, ja, in Gemeinschaftsarbeit oft ganze Dörfer zu ernähren. * Wie in keinem anderen Land sind in Italien Glück und Wohlstand des ganzen Volkes, in Krieg und Frieden, eng mit seiner geographischen Lage verknüpft. 4500 km Küste bei einem Gesamtflächeninhalt von rund 310 000 km müssen Blick und Lebenswillen der gesamten Bevölkerung automatisch auf das Meer ausrichten. Aber sind auch Meer und Küste (in Verbindung mit den durch sie bedingten klimatischen Verhältnissen) geeignet, Italien zu einem der glücklichsten Länder zu stempeln, so müssen sich gerade hier die Nachteile des Krieges in gesteigertem Masse auswirken : Italien leidet unter dem Kriege mehr als eine andere Nation. Eine ganze Nation sah sich plötzlich gezwungen (ganz abgesehen von den Schwierigkeiten seiner Besitzungen in Afrika) seine gesamte Verteidigungskraft auf eine umfangreiche Küste auszurichten, ein ganzes Volk, das bisher vom Meere lebte, muss heute auf den Segen des Meeres verzichten! Bewundernswert, wie der Lebenswille dieses ewig jungen Volkes nun sofort neue Wege fand, um mit den neuartigen Verhältnissen fertig zu werden. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Série 1724 B : photo 9]
- Image 159611 : Pêcheur du gouffre de Naples qui reprise son filet. [Bruni Foto Agenzia]
- Image 159612 : Filets au soleil devant la mer de Siracusa. [Actualit] [Bruni Foto Agenzia]
- Reportage: Les petits chanteurs Viennois, 01/05/1944. - 6 photos
- Reportage: "Les prisonniers allemands retournent dans leur patrie", 1943. - 9 photos
- Reportage: "Les soldats blessés du Afrikacorps allemand se rétablissent dans un hôpital militaire en Italie du Sud", 17/04/1942-20/04/1942. - 4 photos
- Reportage: "Les tâches de guerre pour les femmes fascistes "(+ texte 2p.), 27/07/1942. - 8 photos
- Image 160290 : Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
1. Der Bahnofsdienst des Fascio Femminile. - Kein Soldat braucht während der Fahrt um sein leibliches wohl Sorge zu haben, auf jedem Bahnhof findet er gastfreundliche Aufnahme bei den Donne Fasciste. Kommt ein deutscher Transport, si ist es für die Donna Fascista Ehrensache, Apfelsinen, Zigaretten und was sie sonst nur haben, auszuteilen.
Kriegseinsatz der Frau in Italien.
Eröffnung eines neuen Lehrkursus für Strassenbahnschaffnerinnen in Mailand vor Vertretern zahlreicher städtischer Behörden.
U.B.z.Die Teilnehmerinnen des neuen Kursus. FZ
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis-Photo]
[Serie 92.177 : photo 1]
Serie 1479.
Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
Italien, ein Land, in den die warme Sonne ganz bestimmt mehr zum dolce farniente, - dem süssen Nichtstun - verleitet, als es die herbe nordische Luft tut, ein Land, wo erst seit zwei Jahrzehnten die junge weibliche Generation mit dem Berufsleben und dem Sport in Berührung kam und aus dem eng begrenzten häuslichen Pflichtenkreis hinaustrat, ein Land schliesslich, in dem der Krieg den Arbeitseinsatz der Frau noch nicht in dem Mass notwendig gemacht hat, wie es in Deutschland der Fall ist.
Dies alles schliesst jedoch nicht aus, dass heute in diesem Italien ein unendlich grosses Arbeitsgebiet ausschliesslich von frauen, von den Frauen der faschistischen Partei, bewältigt werden muss und wird.
Jeder Provinzgruppe der Frauenschaft steht eine Fiduciaria dei Fasci Femminili (F F) vor eine einflussreiche Persönlichkeit, die dem Segretario Federale, dem Provinzgruppenleiter der Partei unmittelbar untersteht. Oft hört man Namen, die einen historischen Klang haben und sieht Gesichter, wie sie ein Andrea Mantegna gemalt hat : kluge Stirnen, klarer Blick und klassische Nasen. Immer waren es energische, zielbewusste Persönlichkeiten, die auf der kleidsamen schwarzen Uniform das goldene "M" - Mussolini - mit den verschiedenen Gradabstufungen trugen. Der Fiduciaria zur Seite teht die Vicefiduciaria und mehrere Collaboratrici sowie die Vicecommandante der GIL, also der weiblichen Jugendorganisationen. Häufig versehen die Frauen des Präfekten und des Podestà, des Bürgermeisters, ein Amt innerhalb der Frauenschaft.
Welches sind nun die Aufgaben und vor allem die Kriegsaufgaben dieser Frauen in Uniform? In ihren Händen liegt die Vorbereitung der zivilen Mobilmachung der weiblichen Bevölkerung, d.h. sie haben die Karteien über alle berufsf¨¨anhigen Frauen zu führen und Kurse zur Ausbildung in gewissen Kriegsberufen einzurichten.
Eine wichtige Aufgabe der F.F. ist die Überwachung der sozialen Beihilfen. Seit dem Bestehen der FF werden auch Sachspenden verteilt, z.B. Ausstattungen für jedes neugeborene Kind einer bedürftigen donna fascista. Es sind zum grossen Teil ganz reizende Säuglingsausstattungen. In den Werkstuben der FF werden heute auch Brustwärmer, Handschuhe und änliches für die Soldaten an der Ostfront angefertigt, ebenso wie unermüdliche freiwillige Hände die Stricknadeln seit 2 Jahren klappern lassen, verwunderlicherweise mit festgeklemmter linker Nadel, während der Zeigelfinger der rechten Hand mit grosser Schnelligkeit die Schlinge legt, und tausende von Sockenpaaren herstellen.
Auf regelmässigen Rundgängen durch die Lazarette werden Liebesgäben verteilt. In den kleinen Landstädten sind Beratungsstellen der FF eingerichtet, die den Urlaubern sowie Angehörigen von im Felde Stehenden alle möchlichen Auskünfte geben über behördliche Fragen, Gefanenenfürsorge, Rentenansprüche, Freistellungsgesuche usw. Und von dem freundlichen Lächeln, mit dem die Frauen in Uniform den durchrollenden Truppen auf den Bahnhöfen Erfrischungen reichen, wissen auch die kakibraunen Afrikakämpfer zu erzählen.
Ein weiteres kriegsgemässes Arbeitsgebiet der donna fascista ist die Propagierung der Kleintierzucht. Bei Littoria, der Haupstadt des Agro Pontino, der ehemaligen pontibischen Sümofe , befindet sich eine Musterfarm für Kanichen, Hühner und Tauben. Sie lieferte die prüchtigen Zuchtexemplare, die die Fiduciaria der FF ihren massaie rurale, den Bauersfrauen zuteilte. Haltung und Pflege werden ständig überwacht und durch Prämien gefordert. In den ländlichen Gebieten nimmt diese Betätigung nicht wunder.
überraschend ist es dagegen, wenn auch die Römerinnen angeleitet werden, Hühner zu halten und Kaninchen zu züchten. Man muss die Konstreuktion der römischen Wohnhäuser kennen, um zu wissen, dass gewissermassen ein zweites Rom in der Höhe besteht, eine Gartenstadt von Terrassen, grossen und kleinen, mit glycinienberankten Pergolas, Blimentöpfen und Wäscheleinen. Warum sollten sich dieser Luft und Sonne nicht auch Kaninchen erfreuen, die hernach in der Bratpfanne des soundsovielten Stockwerks enden, oder Hünner herumgackern, die ab und an ein Ei legen, wenn man ihnen nur ausser dem notwendigen Futter etwas Sand zum Scharren auf den hochgelgenen "Hühnerhof" bringt ! In den Vorstädten sollen ausserdem Schafe und Ziegen Einzug halten.
Unendlich vielseitig ist das Arbeitsgebiet der italienischen Frau im Kriege, und die Donna fascista ist sich der Verantwortung und Tragweite ihrer Aufgaben, die sie mit Eifer und Grazie zu erfüllen weiss, durchaus bewusst.
Blida von Graefe.
- Image 160291 : Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
2. Amgehörige des Fascio besuchen regelmässig die Lazarette, wo sie den Soldaten Liebesgaben bringen, auch Besorgungen für sie übernehmen und ihre Korrespondenz erledigen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis-Photo]
[Serie 92.177 : photo 2]
Serie 1479.
Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
Italien, ein Land, in den die warme Sonne ganz bestimmt mehr zum dolce farniente, - dem süssen Nichtstun - verleitet, als es die herbe nordische Luft tut, ein Land, wo erst seit zwei Jahrzehnten die junge weibliche Generation mit dem Berufsleben und dem Sport in Berührung kam und aus dem eng begrenzten häuslichen Pflichtenkreis hinaustrat, ein Land schliesslich, in dem der Krieg den Arbeitseinsatz der Frau noch nicht in dem Mass notwendig gemacht hat, wie es in Deutschland der Fall ist.
Dies alles schliesst jedoch nicht aus, dass heute in diesem Italien ein unendlich grosses Arbeitsgebiet ausschliesslich von frauen, von den Frauen der faschistischen Partei, bewältigt werden muss und wird.
Jeder Provinzgruppe der Frauenschaft steht eine Fiduciaria dei Fasci Femminili (F F) vor eine einflussreiche Persönlichkeit, die dem Segretario Federale, dem Provinzgruppenleiter der Partei unmittelbar untersteht. Oft hört man Namen, die einen historischen Klang haben und sieht Gesichter, wie sie ein Andrea Mantegna gemalt hat : kluge Stirnen, klarer Blick und klassische Nasen. Immer waren es energische, zielbewusste Persönlichkeiten, die auf der kleidsamen schwarzen Uniform das goldene "M" - Mussolini - mit den verschiedenen Gradabstufungen trugen. Der Fiduciaria zur Seite teht die Vicefiduciaria und mehrere Collaboratrici sowie die Vicecommandante der GIL, also der weiblichen Jugendorganisationen. Häufig versehen die Frauen des Präfekten und des Podestà, des Bürgermeisters, ein Amt innerhalb der Frauenschaft.
Welches sind nun die Aufgaben und vor allem die Kriegsaufgaben dieser Frauen in Uniform? In ihren Händen liegt die Vorbereitung der zivilen Mobilmachung der weiblichen Bevölkerung, d.h. sie haben die Karteien über alle berufsf¨¨anhigen Frauen zu führen und Kurse zur Ausbildung in gewissen Kriegsberufen einzurichten.
Eine wichtige Aufgabe der F.F. ist die Überwachung der sozialen Beihilfen. Seit dem Bestehen der FF werden auch Sachspenden verteilt, z.B. Ausstattungen für jedes neugeborene Kind einer bedürftigen donna fascista. Es sind zum grossen Teil ganz reizende Säuglingsausstattungen. In den Werkstuben der FF werden heute auch Brustwärmer, Handschuhe und änliches für die Soldaten an der Ostfront angefertigt, ebenso wie unermüdliche freiwillige Hände die Stricknadeln seit 2 Jahren klappern lassen, verwunderlicherweise mit festgeklemmter linker Nadel, während der Zeigelfinger der rechten Hand mit grosser Schnelligkeit die Schlinge legt, und tausende von Sockenpaaren herstellen.
Auf regelmässigen Rundgängen durch die Lazarette werden Liebesgäben verteilt. In den kleinen Landstädten sind Beratungsstellen der FF eingerichtet, die den Urlaubern sowie Angehörigen von im Felde Stehenden alle möchlichen Auskünfte geben über behördliche Fragen, Gefanenenfürsorge, Rentenansprüche, Freistellungsgesuche usw. Und von dem freundlichen Lächeln, mit dem die Frauen in Uniform den durchrollenden Truppen auf den Bahnhöfen Erfrischungen reichen, wissen auch die kakibraunen Afrikakämpfer zu erzählen.
Ein weiteres kriegsgemässes Arbeitsgebiet der donna fascista ist die Propagierung der Kleintierzucht. Bei Littoria, der Haupstadt des Agro Pontino, der ehemaligen pontibischen Sümofe , befindet sich eine Musterfarm für Kanichen, Hühner und Tauben. Sie lieferte die prüchtigen Zuchtexemplare, die die Fiduciaria der FF ihren massaie rurale, den Bauersfrauen zuteilte. Haltung und Pflege werden ständig überwacht und durch Prämien gefordert. In den ländlichen Gebieten nimmt diese Betätigung nicht wunder.
überraschend ist es dagegen, wenn auch die Römerinnen angeleitet werden, Hühner zu halten und Kaninchen zu züchten. Man muss die Konstreuktion der römischen Wohnhäuser kennen, um zu wissen, dass gewissermassen ein zweites Rom in der Höhe besteht, eine Gartenstadt von Terrassen, grossen und kleinen, mit glycinienberankten Pergolas, Blimentöpfen und Wäscheleinen. Warum sollten sich dieser Luft und Sonne nicht auch Kaninchen erfreuen, die hernach in der Bratpfanne des soundsovielten Stockwerks enden, oder Hünner herumgackern, die ab und an ein Ei legen, wenn man ihnen nur ausser dem notwendigen Futter etwas Sand zum Scharren auf den hochgelgenen "Hühnerhof" bringt ! In den Vorstädten sollen ausserdem Schafe und Ziegen Einzug halten.
Unendlich vielseitig ist das Arbeitsgebiet der italienischen Frau im Kriege, und die Donna fascista ist sich der Verantwortung und Tragweite ihrer Aufgaben, die sie mit Eifer und Grazie zu erfüllen weiss, durchaus bewusst.
Blida von Graefe.
- Image 160292 : Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
3. Donne des "Fascio Femminile" bei der Auslosung von Kleintieren an die Bevölkerung Roms - es wird dafür gesorgt, dass nur erstklassiges Zuchtmaterial zur Verteilung kommt. Die Teilnehmer an der Verlosung zahlen nur einen Bruchteil des eigentlichen wertes des Tieres. So kommt es, dass das Interesse der Bevölkerung an diesen Verlosungnen riesengross ist, und der Zweck ist erreicht : auch die Städter lernen unter sachgemässer Aleitung wieder, Kleintieren zu halten.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis-Photo]
[Serie 92.177 : photo 3]
Serie 1479.
Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
Italien, ein Land, in den die warme Sonne ganz bestimmt mehr zum dolce farniente, - dem süssen Nichtstun - verleitet, als es die herbe nordische Luft tut, ein Land, wo erst seit zwei Jahrzehnten die junge weibliche Generation mit dem Berufsleben und dem Sport in Berührung kam und aus dem eng begrenzten häuslichen Pflichtenkreis hinaustrat, ein Land schliesslich, in dem der Krieg den Arbeitseinsatz der Frau noch nicht in dem Mass notwendig gemacht hat, wie es in Deutschland der Fall ist.
Dies alles schliesst jedoch nicht aus, dass heute in diesem Italien ein unendlich grosses Arbeitsgebiet ausschliesslich von frauen, von den Frauen der faschistischen Partei, bewältigt werden muss und wird.
Jeder Provinzgruppe der Frauenschaft steht eine Fiduciaria dei Fasci Femminili (F F) vor eine einflussreiche Persönlichkeit, die dem Segretario Federale, dem Provinzgruppenleiter der Partei unmittelbar untersteht. Oft hört man Namen, die einen historischen Klang haben und sieht Gesichter, wie sie ein Andrea Mantegna gemalt hat : kluge Stirnen, klarer Blick und klassische Nasen. Immer waren es energische, zielbewusste Persönlichkeiten, die auf der kleidsamen schwarzen Uniform das goldene "M" - Mussolini - mit den verschiedenen Gradabstufungen trugen. Der Fiduciaria zur Seite teht die Vicefiduciaria und mehrere Collaboratrici sowie die Vicecommandante der GIL, also der weiblichen Jugendorganisationen. Häufig versehen die Frauen des Präfekten und des Podestà, des Bürgermeisters, ein Amt innerhalb der Frauenschaft.
Welches sind nun die Aufgaben und vor allem die Kriegsaufgaben dieser Frauen in Uniform? In ihren Händen liegt die Vorbereitung der zivilen Mobilmachung der weiblichen Bevölkerung, d.h. sie haben die Karteien über alle berufsf¨¨anhigen Frauen zu führen und Kurse zur Ausbildung in gewissen Kriegsberufen einzurichten.
Eine wichtige Aufgabe der F.F. ist die Überwachung der sozialen Beihilfen. Seit dem Bestehen der FF werden auch Sachspenden verteilt, z.B. Ausstattungen für jedes neugeborene Kind einer bedürftigen donna fascista. Es sind zum grossen Teil ganz reizende Säuglingsausstattungen. In den Werkstuben der FF werden heute auch Brustwärmer, Handschuhe und änliches für die Soldaten an der Ostfront angefertigt, ebenso wie unermüdliche freiwillige Hände die Stricknadeln seit 2 Jahren klappern lassen, verwunderlicherweise mit festgeklemmter linker Nadel, während der Zeigelfinger der rechten Hand mit grosser Schnelligkeit die Schlinge legt, und tausende von Sockenpaaren herstellen.
Auf regelmässigen Rundgängen durch die Lazarette werden Liebesgäben verteilt. In den kleinen Landstädten sind Beratungsstellen der FF eingerichtet, die den Urlaubern sowie Angehörigen von im Felde Stehenden alle möchlichen Auskünfte geben über behördliche Fragen, Gefanenenfürsorge, Rentenansprüche, Freistellungsgesuche usw. Und von dem freundlichen Lächeln, mit dem die Frauen in Uniform den durchrollenden Truppen auf den Bahnhöfen Erfrischungen reichen, wissen auch die kakibraunen Afrikakämpfer zu erzählen.
Ein weiteres kriegsgemässes Arbeitsgebiet der donna fascista ist die Propagierung der Kleintierzucht. Bei Littoria, der Haupstadt des Agro Pontino, der ehemaligen pontibischen Sümofe , befindet sich eine Musterfarm für Kanichen, Hühner und Tauben. Sie lieferte die prüchtigen Zuchtexemplare, die die Fiduciaria der FF ihren massaie rurale, den Bauersfrauen zuteilte. Haltung und Pflege werden ständig überwacht und durch Prämien gefordert. In den ländlichen Gebieten nimmt diese Betätigung nicht wunder.
überraschend ist es dagegen, wenn auch die Römerinnen angeleitet werden, Hühner zu halten und Kaninchen zu züchten. Man muss die Konstreuktion der römischen Wohnhäuser kennen, um zu wissen, dass gewissermassen ein zweites Rom in der Höhe besteht, eine Gartenstadt von Terrassen, grossen und kleinen, mit glycinienberankten Pergolas, Blimentöpfen und Wäscheleinen. Warum sollten sich dieser Luft und Sonne nicht auch Kaninchen erfreuen, die hernach in der Bratpfanne des soundsovielten Stockwerks enden, oder Hünner herumgackern, die ab und an ein Ei legen, wenn man ihnen nur ausser dem notwendigen Futter etwas Sand zum Scharren auf den hochgelgenen "Hühnerhof" bringt ! In den Vorstädten sollen ausserdem Schafe und Ziegen Einzug halten.
Unendlich vielseitig ist das Arbeitsgebiet der italienischen Frau im Kriege, und die Donna fascista ist sich der Verantwortung und Tragweite ihrer Aufgaben, die sie mit Eifer und Grazie zu erfüllen weiss, durchaus bewusst.
Blida von Graefe.
- Image 160293 : Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
4. Schulung im Telegrafendienst für die italienische wehrmacht durch die Organisation des Fascio Femminile.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis-Photo]
[Serie 92.177 : photo 4]
Serie 1479.
Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
Italien, ein Land, in den die warme Sonne ganz bestimmt mehr zum dolce farniente, - dem süssen Nichtstun - verleitet, als es die herbe nordische Luft tut, ein Land, wo erst seit zwei Jahrzehnten die junge weibliche Generation mit dem Berufsleben und dem Sport in Berührung kam und aus dem eng begrenzten häuslichen Pflichtenkreis hinaustrat, ein Land schliesslich, in dem der Krieg den Arbeitseinsatz der Frau noch nicht in dem Mass notwendig gemacht hat, wie es in Deutschland der Fall ist.
Dies alles schliesst jedoch nicht aus, dass heute in diesem Italien ein unendlich grosses Arbeitsgebiet ausschliesslich von frauen, von den Frauen der faschistischen Partei, bewältigt werden muss und wird.
Jeder Provinzgruppe der Frauenschaft steht eine Fiduciaria dei Fasci Femminili (F F) vor eine einflussreiche Persönlichkeit, die dem Segretario Federale, dem Provinzgruppenleiter der Partei unmittelbar untersteht. Oft hört man Namen, die einen historischen Klang haben und sieht Gesichter, wie sie ein Andrea Mantegna gemalt hat : kluge Stirnen, klarer Blick und klassische Nasen. Immer waren es energische, zielbewusste Persönlichkeiten, die auf der kleidsamen schwarzen Uniform das goldene "M" - Mussolini - mit den verschiedenen Gradabstufungen trugen. Der Fiduciaria zur Seite teht die Vicefiduciaria und mehrere Collaboratrici sowie die Vicecommandante der GIL, also der weiblichen Jugendorganisationen. Häufig versehen die Frauen des Präfekten und des Podestà, des Bürgermeisters, ein Amt innerhalb der Frauenschaft.
Welches sind nun die Aufgaben und vor allem die Kriegsaufgaben dieser Frauen in Uniform? In ihren Händen liegt die Vorbereitung der zivilen Mobilmachung der weiblichen Bevölkerung, d.h. sie haben die Karteien über alle berufsf¨¨anhigen Frauen zu führen und Kurse zur Ausbildung in gewissen Kriegsberufen einzurichten.
Eine wichtige Aufgabe der F.F. ist die Überwachung der sozialen Beihilfen. Seit dem Bestehen der FF werden auch Sachspenden verteilt, z.B. Ausstattungen für jedes neugeborene Kind einer bedürftigen donna fascista. Es sind zum grossen Teil ganz reizende Säuglingsausstattungen. In den Werkstuben der FF werden heute auch Brustwärmer, Handschuhe und änliches für die Soldaten an der Ostfront angefertigt, ebenso wie unermüdliche freiwillige Hände die Stricknadeln seit 2 Jahren klappern lassen, verwunderlicherweise mit festgeklemmter linker Nadel, während der Zeigelfinger der rechten Hand mit grosser Schnelligkeit die Schlinge legt, und tausende von Sockenpaaren herstellen.
Auf regelmässigen Rundgängen durch die Lazarette werden Liebesgäben verteilt. In den kleinen Landstädten sind Beratungsstellen der FF eingerichtet, die den Urlaubern sowie Angehörigen von im Felde Stehenden alle möchlichen Auskünfte geben über behördliche Fragen, Gefanenenfürsorge, Rentenansprüche, Freistellungsgesuche usw. Und von dem freundlichen Lächeln, mit dem die Frauen in Uniform den durchrollenden Truppen auf den Bahnhöfen Erfrischungen reichen, wissen auch die kakibraunen Afrikakämpfer zu erzählen.
Ein weiteres kriegsgemässes Arbeitsgebiet der donna fascista ist die Propagierung der Kleintierzucht. Bei Littoria, der Haupstadt des Agro Pontino, der ehemaligen pontibischen Sümofe , befindet sich eine Musterfarm für Kanichen, Hühner und Tauben. Sie lieferte die prüchtigen Zuchtexemplare, die die Fiduciaria der FF ihren massaie rurale, den Bauersfrauen zuteilte. Haltung und Pflege werden ständig überwacht und durch Prämien gefordert. In den ländlichen Gebieten nimmt diese Betätigung nicht wunder.
überraschend ist es dagegen, wenn auch die Römerinnen angeleitet werden, Hühner zu halten und Kaninchen zu züchten. Man muss die Konstreuktion der römischen Wohnhäuser kennen, um zu wissen, dass gewissermassen ein zweites Rom in der Höhe besteht, eine Gartenstadt von Terrassen, grossen und kleinen, mit glycinienberankten Pergolas, Blimentöpfen und Wäscheleinen. Warum sollten sich dieser Luft und Sonne nicht auch Kaninchen erfreuen, die hernach in der Bratpfanne des soundsovielten Stockwerks enden, oder Hünner herumgackern, die ab und an ein Ei legen, wenn man ihnen nur ausser dem notwendigen Futter etwas Sand zum Scharren auf den hochgelgenen "Hühnerhof" bringt ! In den Vorstädten sollen ausserdem Schafe und Ziegen Einzug halten.
Unendlich vielseitig ist das Arbeitsgebiet der italienischen Frau im Kriege, und die Donna fascista ist sich der Verantwortung und Tragweite ihrer Aufgaben, die sie mit Eifer und Grazie zu erfüllen weiss, durchaus bewusst.
Blida von Graefe.
- Image 160294 : Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
5. Auch in Italien regen sich allerorts fleissige Frauenhände, um Liebesgaben zu sammeln und den Soldaten an die Front schicken.
Donne Fasciste beim Packen von Päckchen für die Soldaten an der Ostfront.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis-Photo]
[Serie 92.177 : photo 5]
Serie 1479.
Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
Italien, ein Land, in den die warme Sonne ganz bestimmt mehr zum dolce farniente, - dem süssen Nichtstun - verleitet, als es die herbe nordische Luft tut, ein Land, wo erst seit zwei Jahrzehnten die junge weibliche Generation mit dem Berufsleben und dem Sport in Berührung kam und aus dem eng begrenzten häuslichen Pflichtenkreis hinaustrat, ein Land schliesslich, in dem der Krieg den Arbeitseinsatz der Frau noch nicht in dem Mass notwendig gemacht hat, wie es in Deutschland der Fall ist.
Dies alles schliesst jedoch nicht aus, dass heute in diesem Italien ein unendlich grosses Arbeitsgebiet ausschliesslich von frauen, von den Frauen der faschistischen Partei, bewältigt werden muss und wird.
Jeder Provinzgruppe der Frauenschaft steht eine Fiduciaria dei Fasci Femminili (F F) vor eine einflussreiche Persönlichkeit, die dem Segretario Federale, dem Provinzgruppenleiter der Partei unmittelbar untersteht. Oft hört man Namen, die einen historischen Klang haben und sieht Gesichter, wie sie ein Andrea Mantegna gemalt hat : kluge Stirnen, klarer Blick und klassische Nasen. Immer waren es energische, zielbewusste Persönlichkeiten, die auf der kleidsamen schwarzen Uniform das goldene "M" - Mussolini - mit den verschiedenen Gradabstufungen trugen. Der Fiduciaria zur Seite teht die Vicefiduciaria und mehrere Collaboratrici sowie die Vicecommandante der GIL, also der weiblichen Jugendorganisationen. Häufig versehen die Frauen des Präfekten und des Podestà, des Bürgermeisters, ein Amt innerhalb der Frauenschaft.
Welches sind nun die Aufgaben und vor allem die Kriegsaufgaben dieser Frauen in Uniform? In ihren Händen liegt die Vorbereitung der zivilen Mobilmachung der weiblichen Bevölkerung, d.h. sie haben die Karteien über alle berufsf¨¨anhigen Frauen zu führen und Kurse zur Ausbildung in gewissen Kriegsberufen einzurichten.
Eine wichtige Aufgabe der F.F. ist die Überwachung der sozialen Beihilfen. Seit dem Bestehen der FF werden auch Sachspenden verteilt, z.B. Ausstattungen für jedes neugeborene Kind einer bedürftigen donna fascista. Es sind zum grossen Teil ganz reizende Säuglingsausstattungen. In den Werkstuben der FF werden heute auch Brustwärmer, Handschuhe und änliches für die Soldaten an der Ostfront angefertigt, ebenso wie unermüdliche freiwillige Hände die Stricknadeln seit 2 Jahren klappern lassen, verwunderlicherweise mit festgeklemmter linker Nadel, während der Zeigelfinger der rechten Hand mit grosser Schnelligkeit die Schlinge legt, und tausende von Sockenpaaren herstellen.
Auf regelmässigen Rundgängen durch die Lazarette werden Liebesgäben verteilt. In den kleinen Landstädten sind Beratungsstellen der FF eingerichtet, die den Urlaubern sowie Angehörigen von im Felde Stehenden alle möchlichen Auskünfte geben über behördliche Fragen, Gefanenenfürsorge, Rentenansprüche, Freistellungsgesuche usw. Und von dem freundlichen Lächeln, mit dem die Frauen in Uniform den durchrollenden Truppen auf den Bahnhöfen Erfrischungen reichen, wissen auch die kakibraunen Afrikakämpfer zu erzählen.
Ein weiteres kriegsgemässes Arbeitsgebiet der donna fascista ist die Propagierung der Kleintierzucht. Bei Littoria, der Haupstadt des Agro Pontino, der ehemaligen pontibischen Sümofe , befindet sich eine Musterfarm für Kanichen, Hühner und Tauben. Sie lieferte die prüchtigen Zuchtexemplare, die die Fiduciaria der FF ihren massaie rurale, den Bauersfrauen zuteilte. Haltung und Pflege werden ständig überwacht und durch Prämien gefordert. In den ländlichen Gebieten nimmt diese Betätigung nicht wunder.
überraschend ist es dagegen, wenn auch die Römerinnen angeleitet werden, Hühner zu halten und Kaninchen zu züchten. Man muss die Konstreuktion der römischen Wohnhäuser kennen, um zu wissen, dass gewissermassen ein zweites Rom in der Höhe besteht, eine Gartenstadt von Terrassen, grossen und kleinen, mit glycinienberankten Pergolas, Blimentöpfen und Wäscheleinen. Warum sollten sich dieser Luft und Sonne nicht auch Kaninchen erfreuen, die hernach in der Bratpfanne des soundsovielten Stockwerks enden, oder Hünner herumgackern, die ab und an ein Ei legen, wenn man ihnen nur ausser dem notwendigen Futter etwas Sand zum Scharren auf den hochgelgenen "Hühnerhof" bringt ! In den Vorstädten sollen ausserdem Schafe und Ziegen Einzug halten.
Unendlich vielseitig ist das Arbeitsgebiet der italienischen Frau im Kriege, und die Donna fascista ist sich der Verantwortung und Tragweite ihrer Aufgaben, die sie mit Eifer und Grazie zu erfüllen weiss, durchaus bewusst.
Blida von Graefe.
- Image 160295 : Ktiegsaufgaben der Donna Fascista.
6. Das Sozialwerk des Fascio Femminile : an Bedürftigen und Schwangere wird Babywäsche und überhaupt alles, was zur Säuglingspflege gehört, verteilt. Vor alleù werden dabei die Frauen der Soldaten berücksichtigt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis-Photo]
[Serie 92.177 : photo 6]
Serie 1479.
Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
Italien, ein Land, in den die warme Sonne ganz bestimmt mehr zum dolce farniente, - dem süssen Nichtstun - verleitet, als es die herbe nordische Luft tut, ein Land, wo erst seit zwei Jahrzehnten die junge weibliche Generation mit dem Berufsleben und dem Sport in Berührung kam und aus dem eng begrenzten häuslichen Pflichtenkreis hinaustrat, ein Land schliesslich, in dem der Krieg den Arbeitseinsatz der Frau noch nicht in dem Mass notwendig gemacht hat, wie es in Deutschland der Fall ist.
Dies alles schliesst jedoch nicht aus, dass heute in diesem Italien ein unendlich grosses Arbeitsgebiet ausschliesslich von frauen, von den Frauen der faschistischen Partei, bewältigt werden muss und wird.
Jeder Provinzgruppe der Frauenschaft steht eine Fiduciaria dei Fasci Femminili (F F) vor eine einflussreiche Persönlichkeit, die dem Segretario Federale, dem Provinzgruppenleiter der Partei unmittelbar untersteht. Oft hört man Namen, die einen historischen Klang haben und sieht Gesichter, wie sie ein Andrea Mantegna gemalt hat : kluge Stirnen, klarer Blick und klassische Nasen. Immer waren es energische, zielbewusste Persönlichkeiten, die auf der kleidsamen schwarzen Uniform das goldene "M" - Mussolini - mit den verschiedenen Gradabstufungen trugen. Der Fiduciaria zur Seite teht die Vicefiduciaria und mehrere Collaboratrici sowie die Vicecommandante der GIL, also der weiblichen Jugendorganisationen. Häufig versehen die Frauen des Präfekten und des Podestà, des Bürgermeisters, ein Amt innerhalb der Frauenschaft.
Welches sind nun die Aufgaben und vor allem die Kriegsaufgaben dieser Frauen in Uniform? In ihren Händen liegt die Vorbereitung der zivilen Mobilmachung der weiblichen Bevölkerung, d.h. sie haben die Karteien über alle berufsf¨¨anhigen Frauen zu führen und Kurse zur Ausbildung in gewissen Kriegsberufen einzurichten.
Eine wichtige Aufgabe der F.F. ist die Überwachung der sozialen Beihilfen. Seit dem Bestehen der FF werden auch Sachspenden verteilt, z.B. Ausstattungen für jedes neugeborene Kind einer bedürftigen donna fascista. Es sind zum grossen Teil ganz reizende Säuglingsausstattungen. In den Werkstuben der FF werden heute auch Brustwärmer, Handschuhe und änliches für die Soldaten an der Ostfront angefertigt, ebenso wie unermüdliche freiwillige Hände die Stricknadeln seit 2 Jahren klappern lassen, verwunderlicherweise mit festgeklemmter linker Nadel, während der Zeigelfinger der rechten Hand mit grosser Schnelligkeit die Schlinge legt, und tausende von Sockenpaaren herstellen.
Auf regelmässigen Rundgängen durch die Lazarette werden Liebesgäben verteilt. In den kleinen Landstädten sind Beratungsstellen der FF eingerichtet, die den Urlaubern sowie Angehörigen von im Felde Stehenden alle möchlichen Auskünfte geben über behördliche Fragen, Gefanenenfürsorge, Rentenansprüche, Freistellungsgesuche usw. Und von dem freundlichen Lächeln, mit dem die Frauen in Uniform den durchrollenden Truppen auf den Bahnhöfen Erfrischungen reichen, wissen auch die kakibraunen Afrikakämpfer zu erzählen.
Ein weiteres kriegsgemässes Arbeitsgebiet der donna fascista ist die Propagierung der Kleintierzucht. Bei Littoria, der Haupstadt des Agro Pontino, der ehemaligen pontibischen Sümofe , befindet sich eine Musterfarm für Kanichen, Hühner und Tauben. Sie lieferte die prüchtigen Zuchtexemplare, die die Fiduciaria der FF ihren massaie rurale, den Bauersfrauen zuteilte. Haltung und Pflege werden ständig überwacht und durch Prämien gefordert. In den ländlichen Gebieten nimmt diese Betätigung nicht wunder.
überraschend ist es dagegen, wenn auch die Römerinnen angeleitet werden, Hühner zu halten und Kaninchen zu züchten. Man muss die Konstreuktion der römischen Wohnhäuser kennen, um zu wissen, dass gewissermassen ein zweites Rom in der Höhe besteht, eine Gartenstadt von Terrassen, grossen und kleinen, mit glycinienberankten Pergolas, Blimentöpfen und Wäscheleinen. Warum sollten sich dieser Luft und Sonne nicht auch Kaninchen erfreuen, die hernach in der Bratpfanne des soundsovielten Stockwerks enden, oder Hünner herumgackern, die ab und an ein Ei legen, wenn man ihnen nur ausser dem notwendigen Futter etwas Sand zum Scharren auf den hochgelgenen "Hühnerhof" bringt ! In den Vorstädten sollen ausserdem Schafe und Ziegen Einzug halten.
Unendlich vielseitig ist das Arbeitsgebiet der italienischen Frau im Kriege, und die Donna fascista ist sich der Verantwortung und Tragweite ihrer Aufgaben, die sie mit Eifer und Grazie zu erfüllen weiss, durchaus bewusst.
Blida von Graefe.
- Image 160296 : Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
7. überall in Italien organisiert der Fascio Femminile Ausbildungskurse in der Kleintierzucht, die jetzt in Italien sehr propagiert wird.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis-Photo]
[Serie 92.177 : photo 7]
Serie 1479.
Kriegsaufgaben der Donna Fascista.
Italien, ein Land, in den die warme Sonne ganz bestimmt mehr zum dolce farniente, - dem süssen Nichtstun - verleitet, als es die herbe nordische Luft tut, ein Land, wo erst seit zwei Jahrzehnten die junge weibliche Generation mit dem Berufsleben und dem Sport in Berührung kam und aus dem eng begrenzten häuslichen Pflichtenkreis hinaustrat, ein Land schliesslich, in dem der Krieg den Arbeitseinsatz der Frau noch nicht in dem Mass notwendig gemacht hat, wie es in Deutschland der Fall ist.
Dies alles schliesst jedoch nicht aus, dass heute in diesem Italien ein unendlich grosses Arbeitsgebiet ausschliesslich von frauen, von den Frauen der faschistischen Partei, bewältigt werden muss und wird.
Jeder Provinzgruppe der Frauenschaft steht eine Fiduciaria dei Fasci Femminili (F F) vor eine einflussreiche Persönlichkeit, die dem Segretario Federale, dem Provinzgruppenleiter der Partei unmittelbar untersteht. Oft hört man Namen, die einen historischen Klang haben und sieht Gesichter, wie sie ein Andrea Mantegna gemalt hat : kluge Stirnen, klarer Blick und klassische Nasen. Immer waren es energische, zielbewusste Persönlichkeiten, die auf der kleidsamen schwarzen Uniform das goldene "M" - Mussolini - mit den verschiedenen Gradabstufungen trugen. Der Fiduciaria zur Seite teht die Vicefiduciaria und mehrere Collaboratrici sowie die Vicecommandante der GIL, also der weiblichen Jugendorganisationen. Häufig versehen die Frauen des Präfekten und des Podestà, des Bürgermeisters, ein Amt innerhalb der Frauenschaft.
Welches sind nun die Aufgaben und vor allem die Kriegsaufgaben dieser Frauen in Uniform? In ihren Händen liegt die Vorbereitung der zivilen Mobilmachung der weiblichen Bevölkerung, d.h. sie haben die Karteien über alle berufsf¨¨anhigen Frauen zu führen und Kurse zur Ausbildung in gewissen Kriegsberufen einzurichten.
Eine wichtige Aufgabe der F.F. ist die Überwachung der sozialen Beihilfen. Seit dem Bestehen der FF werden auch Sachspenden verteilt, z.B. Ausstattungen für jedes neugeborene Kind einer bedürftigen donna fascista. Es sind zum grossen Teil ganz reizende Säuglingsausstattungen. In den Werkstuben der FF werden heute auch Brustwärmer, Handschuhe und änliches für die Soldaten an der Ostfront angefertigt, ebenso wie unermüdliche freiwillige Hände die Stricknadeln seit 2 Jahren klappern lassen, verwunderlicherweise mit festgeklemmter linker Nadel, während der Zeigelfinger der rechten Hand mit grosser Schnelligkeit die Schlinge legt, und tausende von Sockenpaaren herstellen.
Auf regelmässigen Rundgängen durch die Lazarette werden Liebesgäben verteilt. In den kleinen Landstädten sind Beratungsstellen der FF eingerichtet, die den Urlaubern sowie Angehörigen von im Felde Stehenden alle möchlichen Auskünfte geben über behördliche Fragen, Gefanenenfürsorge, Rentenansprüche, Freistellungsgesuche usw. Und von dem freundlichen Lächeln, mit dem die Frauen in Uniform den durchrollenden Truppen auf den Bahnhöfen Erfrischungen reichen, wissen auch die kakibraunen Afrikakämpfer zu erzählen.
Ein weiteres kriegsgemässes Arbeitsgebiet der donna fascista ist die Propagierung der Kleintierzucht. Bei Littoria, der Haupstadt des Agro Pontino, der ehemaligen pontibischen Sümofe , befindet sich eine Musterfarm für Kanichen, Hühner und Tauben. Sie lieferte die prüchtigen Zuchtexemplare, die die Fiduciaria der FF ihren massaie rurale, den Bauersfrauen zuteilte. Haltung und Pflege werden ständig überwacht und durch Prämien gefordert. In den ländlichen Gebieten nimmt diese Betätigung nicht wunder.
überraschend ist es dagegen, wenn auch die Römerinnen angeleitet werden, Hühner zu halten und Kaninchen zu züchten. Man muss die Konstreuktion der römischen Wohnhäuser kennen, um zu wissen, dass gewissermassen ein zweites Rom in der Höhe besteht, eine Gartenstadt von Terrassen, grossen und kleinen, mit glycinienberankten Pergolas, Blimentöpfen und Wäscheleinen. Warum sollten sich dieser Luft und Sonne nicht auch Kaninchen erfreuen, die hernach in der Bratpfanne des soundsovielten Stockwerks enden, oder Hünner herumgackern, die ab und an ein Ei legen, wenn man ihnen nur ausser dem notwendigen Futter etwas Sand zum Scharren auf den hochgelgenen "Hühnerhof" bringt ! In den Vorstädten sollen ausserdem Schafe und Ziegen Einzug halten.
Unendlich vielseitig ist das Arbeitsgebiet der italienischen Frau im Kriege, und die Donna fascista ist sich der Verantwortung und Tragweite ihrer Aufgaben, die sie mit Eifer und Grazie zu erfüllen weiss, durchaus bewusst.
Blida von Graefe.
- Reportage: Les Tartares apprennent a connaitre l’Allemagne, 27/01/1944. - 2 photos
- Reportage: "L'occupation d'une citadelle médiévale italienne", 12/1943. - 10 photos
- Image 162405 : SS-PK Wiesenbach 161/4a
Text 2668 Italien Dez.43
Burgritter des 20. Jahrhunderts. 5
Ein Sanitätssoldat der Einheit, die auf der Burg in Quartier liegt, hat sein Krankenrevier in einem als Burgmuseum gestalteten Raum eingerichtet.
Antike Möbel, Madonnen-Statuen und kostbare Gemälde füllen den Raum, in dem deutsche Grenadiere sich bewegen.
D. 468/Sti
Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[26/12/1942]
- Image 162406 : SS-PK Wiesenbach 161/17a
Text 2668 Italien Dez.43
Burgritter des 20. Jahrhunderts 3
In den überdachten Wehrgängen der Burg, die in guterhaltenen Zustand noch heute von der Baukunst früherer Jahrhunderte zeugen, finden die in der Burg einquartierten Grenadiere eine willkommene Gelegenheit zum Wäschetrocknen.
D. 466/Sti
Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[26/12/43]
- Image 162407 : SS-PK Wiesenbach 161/13a
Text 2668 Italien Dez.43
Burgritter des 20. Jahrhunderts. 4
Zinnen, Mauern und Wachtürme - eine Umgebung, die jedes Künstlerauge entzückt. Es ist Mittagszeit ! Der Stubendienst holt die Verpflegung für seine Kameraden.
D. 467/Sti
[Sipho]
[Censure photographique 26.12.1941]
- Image 162408 : SS-PK Wiesenbach 161/5a
Text 2668 Italien Dez.43
Burgritter des 20. Jahrhunderts 6
Die grossen Kamine in den Hallen des Burg sind auch, wie vor Jahrhunderten den Rittern und ihren Knappen, unseren Grenadieren willkommene Wärmespender.
Zwischen den schonend beiseitegeschobenen, antiken Möbelstücken haben sie ihr Strohlager aufgeschlagen.
D. 469/Sti
[Sipho]
[Censure photographique 26/12/1942]
- Image 162409 : SS-PK Wiesenbach 161/14a
Text 2668 Italien Dez.43
Burgritter des 20. Jahrhunderts. 2
Von den hohen Türmen, die an jeder Ecke der Burg trotzig in alle vier Himmelsrichtungen ragen und von den Wehrgängen wird nicht mehr Ausschau nach dem Feind gehalten. Die Technik des Krieges überspannt weitere Räume als das Auge überbrücken kann. Aber die Gedanken der Grenadiere mögen wohl in die Zeiten zurückwandern, dacdiese Anlagen noch eine beherrschende Geltung hatten.
D. 465/Sti
[Sipho]
[Censure photographique 26/12/1942]
- Image 162410 : SS-PK Wiesenbach 161/12a
Text 2668 Italien Dez.43
Burgritter des 20. Jahrhunderts. 10
über dem riesigen, altertümlichen Kamin - die moderne Nachrichtenzentrale. Käbel und Fernsprechleitungen schlängeln sich um Säulen und durch meterdicke Fenster.
Motorengeräusch der Kradmelder aus dem Hof dringt herein. Immer wieder lockt ein Vergleich zu der vervangenen Zeit, als Kundschafter auf schnaubenden Rossen hier haltmachten, um ihre Nachrichten zu überbringen.
D. 473/Sti
[Sipho]
[Censure photographique 26.12.1942]
- Image 162411 : SS-PK Wiesenbach 161/7a
Text 2668 Italien Dez.43
Burgritter des 20. Jahrhunderts. 7
Ein 600 jähriger Brunnen im Hof der Burg. Wieviele Krieger der alten Zeit mögen an ihn wohl, wie heute der deutsche Grenadier, ihre Essnäpfe ausgewaschen haben ?
D. 470/Sti
[Sipho]
[Censure photographique 26.12.1942]
- Image 162412 : SS-PK Wiesenbach 161/8a
Text 2668 Italien Dez.43
Burgritter des 20. Jahrhunderts. 8
Wennschon ein Burgquartier, dann soll es auch gemütlich gestaltet werden. Unter den Burghoflauben füllt ein Grenadier einige Vasen mit frisch geschnittenen Grün.
[Sipho]
[Censure photographique 26/12/1943]
- Image 162413 : SS-PK Wiesenbach 169/10 a
Text 2668 Italien Dez. 43
Burgritter des 20 Jahrhunderts. 9
In der Schreibstube der Einheit.
Auf dem Thronsessel vervangener Würdenträger nimmt heute ein Feldwebel eilig sein Mittagessen ein.
Gleich darauf wird er wieder an seiner Schreibmaschine Gefechtsberichte tippen, in einem Raum, in dem früher Pergamentrollen hochwürdiger Schreiber knisterten.
D. 472/Sti
[Sipho]
[Orbis]
[Censure photographique 26.12.1942]
- Image 162414 : SS-PK Wiesenbach 161/21 a
Text 2668 Italien Dez. 43
Burgritter des 20 Jahrhunderts. 12
Der Raum in dem alte Waffen und Ritterrüstungen aufgestellt sind, findet besonderes Interesse.-
Mit diesen Waffen haben einmal die Verteidiger dieser Burg gekämpft. Aufmerksam betrachten die Grenadiere die interessante Sammlung.
D. 475/Sti
[Sipho]
[Orbis]
[Censure photographique 26.12.1942]
- Reportage: Mariage de guerre, Autriche, 1941, 4, 1941. - 4 photos
- Reportage: 'Massaie rurali', 1941. - 8 photos
- Reportage: "Modèles allemands sur la plage à Capri", s.d. - 3 photos
- Reportage modèles printaniers viennois pour l'exportation, [1944]. - 6 photos
- Reportage: "Moterotondo lieu de paix", [...-1945]. - 14 photos
- Reportage: "Ombres de Florence", [...-1945]. - 4 photos
- Reportage: "Ostia antica", [1922-1929]. - 17 photos
- Reportage: paradis des peintres en Italie, [...-1945]. - 20 photos
- Image 159079 : 1. Das Paradies der Maler. Mario Toppi, einer aus der berühmten Familie der Toppi, die den Ruhm Anticolis als Malerparadies begründet haben. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis - Photo] [A restituer après publication] [Serie N° 92.705 B : photo n° 1] * [Serie N° 92.705 A : photo n° 1]
- Image 159080 : 2. Das Paradies der Maler. Spätnachmittag auf dem Marktplatz von Anticoli - Corrado. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis - Photo] * [Serie N° 92.705 B : photo n° 2] [Serie N° 92.705 A : photo n° 2]
- Image 159081 : 3. Das Paradies der Maler. Kleiner Schwatz der Weiber unter einem der vielen Torbögen, die die Gässchen von Anticoli überspinnen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis - Photo] [Serie N° 92.705 B : photo n° 3] * [Serie N° 92.705 A : photo n° 3]
- Image 159082 : 4. Das Paradies der Maler. Blick auf Anticoli Corrado, das hoch auf dem Berg über dem Tal des Aniene gelegen ist. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis - Photo] [Serie N° 92.705 B : photo n° 4] [A restituer après publication]
- Image 159083 : 5. Das Paradies der Maler. Eine Alte aus Anticoli, der man es heute freilich nicht mehr ansieht, das sie in ihrer Jugend ein begehrtes Modell der Maler war. Im kleinem Museum des Orts hängt ein Bild von ihr damals einer üppigen, glutäugigen jungen Frau, mit dem Wasserkrug auf dem kopf und einem Strauss roter Nelken im Mieder. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis - Photo] [Serie N° 92.705 A photo n° 5]
- Image 159084 : 6. Das Paradies der Maler. Die Menschen leben hier noch heute wie vor hunderten von Jahren in übereinander getürmten und ineinander verfilzten Hausern, mit dicken Mauern und winzigen Fenstern. Die Familie sitzt abends am ehrwürdigen Kamin, in dem auch gekocht wird, und erzählt sich Geschichten. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis - Photo] [Serie N° 92.705 B : photo n° 6]
- Image 159085 : 7. Das Paradies der Maler. Einer der vielen malerischen Winkel in Anticoli - malerisch, aber mit seinem übereinander getürmten Mauerwerk schwer für die Kamera des Fotografen zu erfassen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B photo n° 7]
- Image 159086 : 8. Das Paradies der Maler. Männer von Anricoli bei einer Siesta nach dem Mittagessen. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 8]
- Image 159087 : 9. Das Paradies der Maler. Anticoli Corrado ist heute noch ein Stück lebendigen Mittelalters - nichts hat die Neuzeit daran geändert und noch heute sieht es aus, wie ein an dem Berg geklebter Bienenstock. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 9]
- Image 159088 : 10. Das Paradies der Maler. Auf dem Heimwege von Feld hoch auf einem der Berge um Anticoli. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 10]
- Image 159089 : 11. Das Paradies der Maler. Excellenz Pietro Gaudenzi, Mitglied der Akademie Italiens, einer der anerkanntesten Maler der älteren Generation. Er ist verheiratet mit einer der Töchter des berûhmten Toppi und heute Podestà - Bürgermeister - von Anticoli. Er wohnt recht wie ein Fürst im alten Kastell der Grafen Corrado di Antiochia, das hoch über dem ineinanderverflochtenen Häusergewirr von Anticoli thront. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo]
[Série 92.705.B / Photo 11]
- Image 159090 : 12. Das Paradies der Maler. Reimkehr vom Felde. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication][Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 12]
- Image 159091 : 13. Das Paradies der Maler. Kahl sind wie meist auch hier, die Berge der Apenninen, aber von einem unsagbaren eignen Reiz. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 13]
- Image 159092 : 14. Das Paradies der Maler. Anticoli Corrado ist auch wegen seiner trefflichen Schweinezucht berühmt selbst im Krieg hat sich daran nichts geändert. Über alle Gässchen und Treppen des Ortes laufen die Borstentiere lustig herum und benehmen sich zutraulich wie sonstwo die Hunde, laufen sogar mit dem Bauer aufs Feld und zotteln friedlich neben ihm, der seinem Esel teitet, am Abend wie der mit heim. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 14]
- Image 159093 : 15. Das Paradies der Maler. Das Leben in so einem kleinen Bergnest ist nicht leicht. Jeder Gang aufs Feld, in den Garten, zum Bach, wo gewaschen wird - immer muss man erst klettern und kraxeln, um herab eren brennt die heisse südliche Sonne. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 15]
- Image 159094 : 16. Das Paradies der Maler. "Mädchen mit Vogel" - Ölstudie von Margherita Oswald-Toppi in Zürich. Bild aus der Sammlung des Baron Werner von der Schulenburg, Roma. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 16]
- Image 159095 : 17. Das Paradies der Maler. " Mädchen mit Krug" - Ölstudie von Margherita Oswald-Toppi in Zürich. Bild aus der Sammlung des Baron Werner von der Schulenburg, Roma. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 17]
- Image 159096 : 18. Das Paradies der Maler. "Weinlese" von Mario Toppi in Anticoli-Corrado, Bild aus der Sammlung des Baron von der Schulenburg, Roma. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 18]
- Image 159097 : 19. Das Paradies der Maler. Aktstudie vom Exzellenz Selva - Anticoli - Corrado, Aus der Sammlung des Baron von de Schulenburg,Roma. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [A restituer après publication] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 19]
- Image 159098 : 20. Das Paradies der Maler. "Kreuzabnahme Christi" von dem Bildhauer Exzellenz Selva Anticoli-Corrado. Aus der Sammlung des Baron Werner von der Schulenburg, Roma. [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [Orbis photo] [Série 92.705.B / Photo 20] * [Série 92.705.A / Photo 20]
- Reportage photographique du Service des Volontaires du Travail pour la Wallonie (SVTW) sur l'entraînement et les activités des travailleurs wallons, 1940-1945. - 14 photos
- Reportage photographique sur la Vlaamse Wacht (Für ein starkes Flandern im neuen Europa), 7/1943. - 13 photos
- Reportage: Quand les chercheurs d’or parcouraient l’Allemagne, 16/04/1944. - 9 photos
- Reportage: Rome 1944, 21/04/1944. - 13 photos
- Image 159189 : Fr. 1290. Wolfgang Weber schildert. Rom 1944. 1) Bomben fallen auf Rom. Menschen flüchten vor den Splittern. 5 Minuten braucht der Terrorbomber von der Front bis Rom. Die Angloamerikaner begründen ihre Angriffe mit der Anwesenheit deutscher Truppen. In Wirklichkeit... [Sipho] [Serie 2477 : photo 1] [A restituer après publication] [Censure photographique 24/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Image 159190 : Nr. 1290. 2) ... kein deutscher Soldat darf nach Rom ! Der Posten am 9. Kilometerstein der Via Cassis (Rom-Florenz) hält jedes Auto an. Rom ist offene Stadt. Deutsche Soldaten dürfen die italienische Hauptstadt weder betreten noch passieren. [Sipho] [Serie 2477 : photo 2] [A restituer après publication] [Censure photographique 24/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Image 159191 : Nr. 1290. 3) Auf der Fahrt nach Rom : Überrall Schilder, die vor feindlichen Tieffliegern warnen. Den geregelten warnen. Den geregelten Nachschub vermögen die Anglo-Amerikaner auf diese Weise allerdings nicht zu stören. [Sipho] [Serie 2477 : photo 3] [A restituer après publication] [Censure photographique 24/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Image 159192 : Nr. 1290. 5) Das "Fliegerzeigen" am Colosseum. Die gelb-weiss-schwarzen Dreiecke sind auf allen historischen Bauten deutlich angebracht, um sie vor feindlichen Fliegern zu schützen... mit welchem Erfolg zeigen San Lorenzo und Monte Cassino. [Sipho] [Serie 2477 : photo 5] [A restituer après publication] [Censure photographique 24/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Image 159193 : Nr 1290. Die "Hauptgefahrenzeit" Roms beginnt... ein Menschenstrom ergiesst sich auf die Peterskirche zu. Gegen Mittag packen viele ihre Koffer und begeben sich in die Nähe der Peterskirche oder des Laterans, wo man sich vor Luftangriffen am sichersten fühlt. [Sipho] [Serie 2477 : photo 6] [A restituer après publication] [Censure photographique 24/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Image 159194 : Nr. 1290. 7) Mittags vor der Peterskirche : Eine riesige Menschenmenge sucht vor den anglo-amerikanischen Angriffen Schutz auf dem Boden der Vatikanstadt. Von den weissen Granitquadern, die die Grenze des Vatikanstaates markieren, bis zu den Stufen vor der Peterskirche ist der päpstliche Boden jedem zugänglich. Hier wartet man die gefährlischste Zeit des Tages ab. Frauen in kostbaren Pelzmänteln sitzen neben den in Lumpen gehüllten Flüchtlingen aus den Albaner Bergen und dem Kampfgebiet. [Sipho] [Serie 2477 : photo 7] [A restituer après publication] [Censure photographique 21/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Image 159195 : Nr. 1290 8) Der grosse Augenblick in Rom : die Mittagzeitung erscheint. Auch die Geistlichkeit nimmt regen Anteil am Zeitgeschehen. [Sipho] [A restituer après publication] [Serie 2477 : photo 8] [Censure photographique 21/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Image 159196 : Nr. 1290. 9) Der allmorgendliche Gang zum Brunnen... Manche Wasserleitungen sind zerstört worden - das erstemal, seit sie die Römer bauten. Rom hat Wassermangel. Man holt das Wasser mit der Korbflasche am Brunnen. [Sipho] [Serie 2477 : photo 9] [A restituer après publication] [Censure photographique 21/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Image 159197 : Nr. 1290. 10) Die Gegenmassnahmen : Künstliche Quellen. Sofort haben die Behörden in den tiefergelegenen Stadtteilen Wasserquellen erschlossen. Wasser ist überall auf der Strasse zu haben. [Sipho] [Serie 2477 : photo 10] [A restituer après publication] [Censure photographique 21/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Image 159198 : Nr. 1290. 12) Versorge für alle Fälle. Römerinnen züchten auf ihren Dachgärten Kanninchen als eisernen Bestand, auf das sie im Rotfall zurückgreifen können. [Sipho] [Serie 2477 : photo 12] [A restituer après publication] [Censure photographique 21/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Image 159199 : Nr. 1290. 13) Die Oper ist aus. Es wird ohne Unterbrechung gespielt, auch wenn draussen die Fliegerbomben krachen. [Sipho] [Serie 2477 : photo 13] [A restituer après publication] [Censure photographique 21/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Image 159200 : Nr. 1290 14) Der Dreirad-Missetäter. Es ist Kriegsbrauch, in Frontnähe der Zivilbevölkerung des Radfahren zu verbieten, um dunklen Elementen die Flucht zu erschweren. Nur die langsamen Dreiräder zu Transportzwecken sind in dem noch erlaubt. So das Kriegsgesetz und - [Sipho] [Serie 2477 : photo 14] [A restituer après publication] [Censure photographique 21/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Image 159201 : Nr. 1290. Gehört zur Serie : Rom 1944. 15) Vor einem der von der päpstlichen Schweizergarde bewachten Eingänge zum Vatikan. [Sipho] [Serie 2477 : photo 15] [A restituer après publication] [Censure photographique 21/04/1944] [Deutscher Verlag]
- Reportage: Salzburg, La ville enchanteresse, 08/11/1943. - 6 photos
- Reportage: Sardaigne, [1922-1945]. - 4 photos
- Reportage sue le travail en Autriche : jeunes au travail en plein air et au soleil, 1941. - 6 photos
- Image 171207 : Werkjugend in Luft und Sonne. Der Abend gehlrt der frohen Gemeinschaft. Lustige Erzählungen oder Geschichten, von denen Kameraden selbst vorgetragen, helfen die langen Abende verkürzen. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS PHOTO.] [Série N° 1746 A. Photo N° 6.]
- Image 171208 : Werkjugend in Luft und Sonne. In den neu eingegliederten Gebieten des Reiches war es die erste Aufgaeb der DAF, den am schwersten schaffenden Jungarbeitern (Lehrlingen) einen zusätzlichen Erholungsenlaub auf Kosten der DAF in Luft und Sonne zu ermöglichen. So wurden viele Wiener Jungarbeiter auf längere Zeit in Sanatorien und Hotels, welche fruher den Reichen nur zugänglich waren, in den schönsten Gegenden der Ostmark zur Erholunguntergebracht. B.Z. Wiener Jungarbeiter im Semmering auf einem Skiausflug in die herrlichen Berge. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS PHOTO.] [Série N° 1746 A. Photo N° 5.]
- Image 171209 : Werkjugend in Luft und Sonne. Während die Einen sich im Skilaufen erproben machen die Skikundigen Skiunterricht mit oder bewundern auf Wanderungen die Schönheiten des Semmerings. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS PHOTO.] [Série N° 1746 A. Photo N° 4.]
- Image 171210 : Werkjugend in Luft und Sonne. Jeden Tag der Erholungszeit verbringen die Jungen in der frischen Luft der heimatlichen Berge. Wanderungen von Fremdenführern geführt, lehren Sie die Schönheit ihrer Heimat kennen zu lernen. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS PHOTO.] [Série N° 1746 A. Photo N° 3.]
- Image 171211 : Werkjugend in Luft und Sonne. Derv Färberlehrling, tagsüber immer in der ungesunden Luft der Färberei beschäftigt, ist mit anderen Jungkameraden in die herrliche Luft winterlicher Berge geschickt worden. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS PHOTO.] [Série N° 1746 A. Photo N° 2.]
- Image 171212 : Werkjugend in Luft und Sonne. Rast vor der Abfahrt, in Höhensonne und der klaren Luft der Berge, ist für die werktätige Jugend ein besonders gesunder Aufenthalt. [Copyright by SIPHO.] [Copyright by ORBIS PHOTO.] [Série N° 1746 A. Photo N° 1.] [Freigegeben zur Veröffentlichung bis auf Widerruf. Zensurstelle-Bildpresse. Brüssel, I.A.]
- Reportage sur Andorre, [...-1945]. - 4 photos
- Reportage sur des découvertes archéologiques vieilles de 30000 ans à Steiermark, 1944. - 14 photos
- Reportage sur des écoles d'art autrichienne, la nouvelle génération de constructeurs de scènes, 1930-1945. - 11 photos
- Reportage sur des femmes viennoises : les 7 comiques de Vienne, 1930-1945. - 4 photos
- Reportage sur des monuments funéraires en Autriche, 1941. - 3 photos
- Reportage sur des villes autrichiennes : Almsee, 1930-1945. - 8 photos
- Reportage sur des villes autrichiennes : Grunan, 1930-1945. - 3 photos
- Reportage sur des villes autrichiennes : Grundslee, 1930-1945. - 5 photos
- Reportage sur des villes autrichiennes : La belle vieille Rattenberg, 19/09/1943. - 17 photos
- Reportage sur des villes autrichiennes : St. Wolfgang, 1930-1945. - 13 photos
- Reportage sur la fondation de l"Union nationaler Journalistenverbände" à Vienne, 12/12/1941. - 3 photos
- Reportage sur la pêche aux Etats-Unis : Der Wandorfisch Lachs - der Leckerbissen des Ozeans, [1930-1940]. - 5 photos
- Reportage sur la pêche aux Etats-unis : Pêche abondante proche de Stuwdam, [1930-1940]. - 8 photos
- Reportage sur la région du Bengale et sa population, [...-1945]. - 9 photos
- Reportage sur la sylviculture en Autriche : Bois flottant dans les hautes montagnes, [1930-1945]. - 10 photos
- Reportage sur la vie des profiteurs de la guerre aux Etats-Unis, 1944. - 3 photos
- Reportage sur la vie quotidienne à Vienne, [1930-1945]. - 8 photos
- Reportage sur la vie quotidienne en Autriche : Mineur pendant la journée, violoniste le soir, 16/08/1944. - 7 photos
- Reportage sur l’assèchement du lac Biwa au Japon, 1944. - 4 photos
- Reportage sur le premier film couleur de Willi Forst, 27/01/1944. - 12 photos
- Reportage sur le ski : Flieger über Kitzbühel, 1930-1940. - 11 photos
- Reportage sur le théâtre autrichien : costumes de théâtre, 18/06/1944. - 8 photos
- Reportage sur le théâtre de marionnettes de l'autrichien Richard Teschner, 15/02/1944. - 9 photos
- Reportage sur le théâtre français à Paris : "la Maison Molière rouvre ses portes", 1940. - 13 photos
- Reportage sur le tournage d'un film en Autriche : L'envers du décors, 06/08/1944. - 10 photos
- Reportage sur le travail de guerre en Autriche : travail patriotique pour le front, 1941. - 9 photos
- Image 171193 : Die Heimat arbeitet für die Front. Ein ostmärkisches Flugzeugwerk, das mit zu den ersten Musterbetrieben der Ostamrk gehört, arbeitet in unermüdlichem Einsatz für die deutsche Luftwaffe. Unsere Bilderserie zeigt den Werdegang deutscher Jagdflugzeuge. U.B.z. : Für die Arbeitspausen stehen der Belegschaft Grünanlagn zur Verfügung. Aufnahme : Transocean/Röhrich. Nr. S 1517. 29.4.41. Frei OKW ; Frei Promi. [SIPHO.]
- Image 171194 : Die Heimat arbeitet für die Front. Ein ostmärkisches Flugzeugwerk, das mit zu den ersten Musterbetrieben der Ostamrk gehört, arbeitet in unermüdlichem Einsatz für die deutsche Luftwaffe. Unsere Bilderserie zeigt den Werdegang deutscher Jagdflugzeuge. U.B.z. : Den Zusammenbau der Flügel in einer der grossen Montagehallen. Aufnahme : Transocean/Röhrich. Nr. S 1521. 29.4.41. Frei OKW ; Frei Promi. [SIPHO.]
- Image 171195 : Die Heimat arbeitet für die Front. Ein ostmärkisches Flugzeugwerk, das mit zu den ersten Musterbetrieben der Ostamrk gehört, arbeitet in unermüdlichem Einsatz für die deutsche Luftwaffe. Unsere Bilderserie zeigt den Werdegang deutscher Jagdflugzeuge. U.B.z. : In der Propeller-Abteilung wird eine Propeller-Serie vermessen. Aufnahme : Transocean/Röhrich. Nr. S 1527. 29.4.41. Frei OKW ; Frei Promi. [SIPHO.]
- Image 171196 : Die Heimat arbeitet für die Front. Ein ostmärkisches Flugzeugwerk, das mit zu den ersten Musterbetrieben der Ostamrk gehört, arbeitet in unermüdlichem Einsatz für die deutsche Luftwaffe. Unsere Bilderserie zeigt den Werdegang deutscher Jagdflugzeuge. U.B.z. : Das Herz der Flugzeuge, die Motoren, werden montiert. Aufnahme : Transocean/Röhrich. Nr. S 1528. 29.4.41. Frei OKW ; Frei Promi. [SIPHO.]
- Image 171197 : Die Heimat arbeitet für die Front. Ein ostmärkisches Flugzeugwerk, das mit zu den ersten Musterbetrieben der Ostamrk gehört, arbeitet in unermüdlichem Einsatz für die deutsche Luftwaffe. Unsere Bilderserie zeigt den Werdegang deutscher Jagdflugzeuge. U.B.z. : Den Einbau der Motoren in der Fertig-Montagehalle. Aufnahme : Transocean/Röhrich. Nr. S 1531. 29.4.41. Frei OKW ; Frei Promi. [SIPHO.]
- Image 171198 : Die Heimat arbeitet für die Front. Ein ostmärkisches Flugzeugwerk, das mit zu den ersten Musterbetrieben der Ostamrk gehört, arbeitet in unermüdlichem Einsatz für die deutsche Luftwaffe. Unsere Bilderserie zeigt den Werdegang deutscher Jagdflugzeuge. U.B.z. : Noch eine letzte Duchsicht und das Jagdflugzeug steht zum Verlassen der Halle bereit. Aufnahme : Transocean/Röhrich. Nr. S 1532. 29.4.41. Frei OKW ; Frei Promi. [SIPHO.]
- Image 171199 : Die Heimat arbeitet für die Front. Ein ostmärkisches Flugzeugwerk, das mit zu den ersten Musterbetrieben der Ostamrk gehört, arbeitet in unermüdlichem Einsatz für die deutsche Luftwaffe. Unsere Bilderserie zeigt den Werdegang deutscher Jagdflugzeuge. U.B.z. : Montage der Flugzeugrümpfe.. Aufnahme : Transocean/Röhrich. Nr. S 1542. 29.4.41. Frei OKW ; Frei Promi. [SIPHO.]
- Image 171200 : Die Heimat arbeitet für die Front. Ein ostmärkisches Flugzeugwerk, das mit zu den ersten Musterbetrieben der Ostamrk gehört, arbeitet in unermüdlichem Einsatz für die deutsche Luftwaffe. Unsere Bilderserie zeigt den Werdegang deutscher Jagdflugzeuge. U.B.z. : Frauen beim bearbeiten gestanzter Flugzeugteile. Aufnahme : Transocean/Röhrich. Nr. S 1547. 29.4.41. Frei OKW ; Frei Promi. [SIPHO.]
- Image 171201 : Die Heimat arbeitet für die Front. Ein ostmärkisches Flugzeugwerk, das mit zu den ersten Musterbetrieben der Ostamrk gehört, arbeitet in unermüdlichem Einsatz für die deutsche Luftwaffe. Unsere Bilderserie zeigt den Werdegang deutscher Jagdflugzeuge. U.B.z. : den Flächenbau. Aufnahme : Transocean/Röhrich. Nr. S 1520. 29.4.41. Frei OKW ; Frei Promi. [SIPHO.]
- Reportage sur le travail des jeunes en Autriche, 1930-1938. - 2 photos
- Image 171191 : "Jugend am Werk" in Oesterreich. 1800 jugendliche Arbeitslose arbeiten in 84 Werkstätten der Aktion "Jugend am Werk". Trotz verschiedenen politischen Anschauungen herrscht der grösste Einklang zwischen den jugendlichen Arbeitern. 250.000 Schilling hat die Gemeinde Wien der Aktion zur Verfügung gestellt, von welchen bis heute 120.000 Schilling für Maschinen, Material, Nahrungsmittel ausgegeben wurden. Die arbeitslosen Jungarbeiter arbeiten 4 Stunden täglich in den Werkstätten, in welchen sie Schuhe, Kleidungsstücke Speilzeug anfertigen und reparieren die aber nicht verkauft werden, sondern für die Arbeitslosen und Ausgesteuerten verwendet werden. Dadurch kommt die Privatindustrie zu keinen Schaden. Die Baslter verraten unerhört viel Geschmack Schönheitssinn und moderne Richtung in ihrer Arbeit. Unser Bild zeigt : eine Schlosserwerkstätte. [Copyrigt by Photo "ACTUALIT".] [LEO ERNST - ABERT HILSCHER.]
- Image 171192 : "Jugend am Werk" in Oesterreich. 1800 jugendliche Arbeitslose arbeiten in 84 Werkstätten der Aktion "Jugend am Werk". Trotz verschiedenen politischen Anschauungen herrscht der grösste Einklang zwischen den jugendlichen Arbeitern. 250.000 Schillinge hat die Gemeinde Wien der Aktion zur Verfügung gestellt, von welchen bis heute 120.000 Schillinge für Maschinen, Material, Nahrungsmittel ausgegeben wurden. Die arbeitslosen Jungarbeiter arbeiten 4 Stunden täglich in den Werkstätten, in welchen sie Schuhe, Kleidungsstücke Speilzeug anfertigen und raprieren die aber nicht verkauft werden, sondern für die Arbeitslosen und Ausgesteuerten verwendet werden. Dadurch kommt die Privatindustrie zu keinen Schaden. Die Baslter verraten unerhört viel Geschmack Schönheitssinn und moderne Richtung in ihrer Arbeit. Unser Bild zeigt : eine Schuhmacher-Werkstätte. [Copyrigt by Photo "ACTUALIT".] [LEO ERNST - ABERT HILSCHER.]
- Reportage sur le travail en Autriche : Travail de femmes se recyclant, 1930-1945. - 5 photos
- Reportage sur l'éducation des jeunes à Salzbourg pendant la guerre, [1938-1944]. - 5 photos
- Reportage sur les activités didactiques organisées par un patronage catholique à Nice (La cité des jeunes), [1940-1945]. - 12 photos
- Reportage sur les assistantes de police (Police de l'enfance), 1944. - 5 photos
- Reportage sur les immigrants qui arrivent à Ellis Island ou "Island of Tears" à New York, [1930-1940]. - 9 photos
- Reportage sur les réactions d'une femme durant un match de boxe : 6 réactions de Annette durant un match de boxe, 21/07/1944. - 6 photos
- Reportage sur les types de population autrichienne, 1930-1945. - 8 photos
- Reportage sur les villes autrichiennes : Une rue sous la neige éternelle, 1930-1945. - 12 photos
- Reportage sur les volontaires flamands sur le front de l'Est : Chez les hommes de la Brigade Langemarck..., 1/1944. - 3 photos
- Reportage sur les volontaires flamands sur le front de l'Est : La Stormbrigade se terre..., 1/1944. - 3 photos
- Reportage sur les volontaires flamands sur le front de l'Est : Village B. à nouveau entre nos mains..., 3/1944. - 5 photos
- Image 23111 : Das flache, noch immer vom Schnee überzogene Gelände erschwert den Kampf. Unter dem Schutz von Sturmgeschützen und gepanzerten Artillerie arbeiten sich die flämischen SS-Freiwilligen sprungweise vorwärts.
- Image 23113 : Das flache, noch immer vom Schnee überzogene Gelände erschwert den Kampf. Unter dem Schutz von Sturmgeschützen und gepanzerten Artillerie arbeiten sich die flämischen SS-Freiwilligen sprungweise vorwärts.
- Image 23115 : Weit ausgeschwärmt versuchen die flämischen SS-Grenadiere das unter dem Feuer der Sturmgeschütze und gepanzerten Artillerie liegende Dorf zu umfassen. Greifbar nahe liegt bereits das Dorf vor den anstürmenden SS-Grenadieren. An der Bahnlinie entlang wird der Angriff vorgetragen. Noch wehren sich die Bolschewisten erbittert und zwingen die flämischen SS-Freiwilligen dauernd in Deckung. Sprungweise nun geht es an den Dorfrand heran.
- Image 23117 : Die Kampfführung im Osten verlangt oft den härtesten Einsatz um kleinst Geländestreifen oder unscheinbare Dörfer. Dorf B., eine nur aus wenigen Lehmkaten bestehende Ortschaft ist zum heissumrungenen Kampfplatz geworden. Am Rande des Dorfes führt eine Bahnlinie vorbei, welche die Bolschewisten uns immer wieder zu entreissen versuchen. Erneut ist es ihnen gelungen, in das Dorf einzudringen.
Flämische SS-Freiwillige sind zum Gegenstoss angesetzt. In einem von den voraufgegangenen Artilleriekämpfen qualmverhangenen Dorf sammeln sich die SS-Grenadiers. Die SS-Führer besprechen die letzten Einzelheiten des Angriffs. D., Ho., Belg., Flan., Fr. Lettl., Estl., Norw., Adria, Lebmg.
- Image 23118 : Weit ausgeschwärmt versuchen die flämischen SS-Grenadiere das unter dem Feuer der Sturmgeschütze und gepanzerter Artillerie liegende Dorf zu umfassen. Noch in Nebel getaucht sind bereits die ersten Lehmkaten des umkämpften Dorfes undeutlich zu erkennen. Immer näher schieben sich die Sturmgeschütze an das Dorf heran.
- Reportage sur Liechtenstein, [1939]. - 2 photos
- Reportage sur L'or de la Banque nationale de Belgique, [...-1939]. - 15 photos
- Image 36353 : Encore de l'or pour la Banque Nationale de Belgique. Un arrivage de 46 barils d'or, de 75 Kgs chacun, provenant des Amériques, est arrivé à Anvers. Les barils déchargés avec mille précautions, ont été conduits au fourgon, à destination de la Banque Nationale de Belgique, à Bruxelles. Notre photo montre le déchargement à Anvers. Contrairement à ce qui a été dit, le chargement d'or du Belgenland n'était pas destiné à la Banque Nationale.
- Image 36355 : Encore de l'Or pour la Banque Nationale de Belgique. Les barils d'or destinés à la Banque Nationale sont déchargés du vapeur Carlier. Chacun de ces petits tonneaux contient une belle fortune, puisqu'ils pèsent 75 kg.
- Image 36357 : Précieusement enfouis à fond de cale, les 46 barils d'or sont déchargés avec d'infinies précautions.
- Image 36359 : Précieusement enfouis à fond de cale, les 46 barils d'or sont déchargés avec d'infinies précautions.
- Image 36361 : Un arrivage de 46 barils d'or, de 75 kgs chacun, provenant des Amériques, est arrivé à Anvers. Les barils déchargés avec mille précautions, ont été conduits au fourgon, à destination de la Banque Nationale de Belgique, à Bruxelles. Notre photo montre le déchargement à Anvers. Contrairement à ce qui a été dit, le chargement d'or du Belgenland n'était pas destiné à la Banque Nationale.
- Image 36364 : L'or dans les caves de la Banque Nationale de Belgique. Façade de la Banque Nationale de Belgique, à Bruxelles.
- Image 36366 : L'arrivée des barils d'or, venant des Amériques, à la Banque Nationale de Belgique à Bruxelles.
- Image 36368 : Arrivage d'or à la Banque Nationale. Les arrivages d'or venant de Paris & de Londres ont été très élevés ces jours-ci, plus de 100 millions. Notre photo montre des employés de la Banque Nationale sortant les lingots d'or de petits tonnelets : 8/4/1935.
- Image 36370 : Décidément les pièces de nickel remplaceront toujours les louis d'or. Notre photo représente des sacs remplis de nickel qu'on entasse dans les coffres-forts.
- Image 36373 : Vue d'une des caves où des fortunes fabuleuses sont entassées. A gauche, rangées de caisses de lingots d'or.
- Image 36376 : Parfois des particuliers achètent de l'or à la Banque de Belgique. Voici une petite quantité d'or destiné à un particulier.
- Image 36379 : A l'occasion de la dévaluation de 25 % du franc belge, il est intéressant de montrer ces photos prises à l'intérieur des caves du Trésor Public, à la Banque Nationale de Belgique. Un chargement d'or de 32 millions de francs belges.
- Image 36381 : Les lingots d'or sont soigneusement comptés. Et pour cause !
- Image 36384 : Avant d'être mise dans les caves, chaque pièce est rigoureusement pesée. Celle-ci d'un poids de 12 Kg 100 vaut environ 300.000 fr.
- Image 36386 : La frappe d'une nouvelle monnaie en Belgique.
A partir de cette fin d'année la Commission des Finances a résolu de mettre en circulation de nouvelles pièces de monnaie dont la frappe a donné lieu à une revalorisation des monnaies. Voici les nouvelles pièces de menue monnaie 0,25 - 0,10, 5 centimes : 9/12/1938.
- Reportage sur Richard Wagner, 22/05/1938. - 5 photos
- Reportage sur San Marino, [...-1945]. - 12 photos
- Reportage sur un musée de la chaussure à Vienne, 1930-1945. - 12 photos
- Reportage sur une école maternelle de la NSV en Autriche, 09/10/1943. - 4 photos
- Reportage sur une femme de 84 ans qui dirige une entreprise hotelière, [1930-1945]. - 11 photos
- Reportage sur une Maison wallonne à Châtelet, 1940-1945. - 12 photos
- Reportage sur une usine d'armes dans la Grande-Allemagne (Autriche), 1938-1945. - 8 photos
- Reportage: Tissage en Italie (+ texte), 1943-1944. - 11 photos
- Image 159325 : [Aucune indication] [Porry - Pastorel]
- Image 159326 : Spinnrad im Wettbewerb. In Venedig wurde dieser Tage ein Wettspinnen italienischer Bäuerinnen veranstaltet. Wie unser Bild zeigt, nahmen Jung und Alt daran teil. 4922 E.M. Orbis [Sipho] [Frei gegeben durch Zensur] [17/12/1943] [Censure photographique 16.12.1942]
- Image 159327 : N. 1338 La mostra nazionale di coniglicoltura a Torino. La filatura, fatta da artigiani italiani, che rende un prodotto più morbido della lana. [Sipho] [Censure photographique] [4127]
- Image 159328 : Altmaterial-Verwertung in Italien. Die Bemühungen Italiens schon vor Kriegsbeginn sich von der Einfuhr fremder Rohstoffe unabhängig zu machen, erfahren gerade jetzt eine grosse zweckmässige Bedeutung. U.B.z. : Italienische Arbeiterinnen am Webstuhl beim Hers eller von Stoffen aus Altmaterial. 5075 E.M. Orbis photo [Sipho] [Censure photographique : 31/12/1943] [01.01.1944] * Kunstgewebe, die auf Handwebstühlen geschaffen werden. Das Weben. Orbis E.M. [Orbis] [Série N° 92.873.B Photo N° 1]
- Image 159329 : Kunstgewebe, die auf Handwebstühlen geschaffen werden. Die fertigen Modelle. [Orbis photo] [Serie 92.873 B : photo 2]
- Image 159330 : Kunstgewebe, die auf handwebstühlen geschaffen werden. Das Einreihen der Kettenfäden. [Sipho] [Orbis photo] [Serie 92.873 B : photo 3]
- Image 159331 : Kunstgewebe, die auf Handwebstühle geschaffen werden. Die Anzettelung. [Sipho] [Orbis photo] [Serie 92.873 B : photo 4]
- Image 159332 : Kunstgewebe, die auf Handwebstühlen geschaffen werden. Das Weben. [Sipho] [Orbis photo] [Serie 92.873 B : photo 5]
- Image 159333 : Kunstgewebe, die auf Handwebstühlen geschaffen werden. Das Haspel-Spinnen. [Sipho] [Orbis photo] [Serie 92.873 B : photo 6]
- Image 159334 : Kunstgewebe, die auf Handwebestühlen geschaffen werden. Das Haspel-Spinnen. [Sipho] [Orbis photo] [Serie 92.873 B : photo 7]
- Image 159335 : Kunstgewebe, die auf Handwebstühle gschaffen werden. Die Weberschiffchen. [Sipho] [Orbis photo] [Serie 92.873 B : photo 8]
- Reportage: "über den Dächern von Florenz", [...-1945]. - 7 photos
- Reportage: "un lieu de rétablissement pour les blessés de la force aérienne italienne à la Riviera", 31/08/1943. - 5 photos
- Reportage: "Un port dans le sud de l'Italie est prêt à exploser", 10/05/1944. - 4 photos
- Reportage: "vague de chaleur à Rome (Römische Hundstage)", [...-1945]. - 11 photos
- Reportage: "Via Margutta" (quartier des artistes), 1943. - 6 photos
- Image 159895 : 1007 Die Via Margutta. Ein Besuch im Künstlerviertel Roms. 1. Still und verträumt zieht sich am Fusse des Pincio in Rom eine schmale Strasse entlang. Zu beiden Seiten beranden sie bescheidene Häuser in jenem braun-roten Anstrich, der den alten Bauten in Rom besonderen Reiz gibt. Es ist die Via Margutta. Man dehnte den Namen auf das ganze Stadtviertel aus, das Quartier der Maler und solcher, die es werden wollen. (Sipho) (2410.1) [Deutscher Verlag, Bilderzentrale] [Censure photographique]
- Image 159896 : 1007 2. So gelangt der Besucher in eines der vielen Ateliers, die sich um weite Höfe gruppieren. überall findet man reizvolle Durchblick auf den Pincio mit seinen Gärten. FZ. (Sipho) (2410.2) [Deutscher Verlag]
- Image 159897 : 1107 3. Mit der Zigarre im Mund geht es noch mal so gut. Pericle Fazzini ist einer der meist beachteten jungen Bildhauer des Viertels. Vor allem arbeitet er in Holz. Seine toskanische Zigarre im Mund, ist er stolz auf die Künstlertradition der Via Margutta, die hier schon ein Jahhundertlang besteht. F.Z. (Sipho) (2410.3) [Deutscher Verlag]
- Image 159898 : 1007 4. Eine Kunstkennerin der Praxis. Hat der junge Maler sein Bild beendet, so eilt er zu Signora Anna Giosi, die ihr grosses Rahmengeschäft gleichfalls in der Via Margutta hat. Hier fällt die erste Kritik, denn Frau Giosi hat mit der Zeit guten Blick bekommen. (Sipho) (2410.4) [Deutscher Verlag]
- Image 159899 : 1007 5. Wohlbeschirmt bei Studien im Freien. Über das instensive Licht in Rom und seine Wirkung haben schon die berühmtesten Meister geschrieben. Dieser junge Maler wusste sich zu helfen. Wie seine grossen Vorgänger wird auch er nicht müde, neue Winkel und Durchblicke als Motive zu entdecken. F.Z. (Sipho) (2410.5) [Deutscher Verlag]
- Image 159900 : 1007 6. Der Arbeitstisch eines uralten Handwerks. Weit bekannt über die Grenzen Italiens hinaus ist das Handwerk der Gipsgiesser, das um 1300 bereits in hoher Blüte stand. Hier kommen die Bildwerke aller Stile und Techniken zusammen. Auch in der Via Margutta werden solche Abgüsse sorgfältig hergestellt und dann : Herein mit den Käufern! (Sipho) (2410.6) [Deutscher Verlag]
- Reportage: Violon de Paganini, [1922-1945]. - 13 photos
- Image 160070 : Paganini.
[Sipho]
[Louis ...?]
- Image 160071 : 666 b / 6102
Zum 150. Geburtstag Paganinis.
Paganinis Villa Gajona bei Parma.
Text ohne Gewähr !
[Sipho]
- Image 160072 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
eine Stadt ehrt ihren grossen Sohn. Genua hat eine Marmorbüste von Paganini in einem ihrer Parks aufgestellt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 A : photo 11]
- Image 160073 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
Nach hundert Jahren erklingt die Geige Paganinis wieder unter den Händen des hervorragenden italienischen Violonisten Giorgio Ciompi.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 B : photo 3]
- Image 160074 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
Konzert im Palazzo Tursi. Der junge und begabte Geigenvirtuose Georgio Ciompi darf vor einem erlesenen Publikum die Geige Paganinis spielen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 B : photo 2]
- Image 160075 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
Giorgio Ciompi, ein junger und begabter Geigenvirtuose aus Florenz untersucht die Geige, nachdem sie unter geierlichen Zeremonien aus der Vitrine genommen ist.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 B : photo 4]
- Image 160076 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
Die noch gut erhaltene Geige von Paganini ist Heiligtum des italienischen Volkes.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 B : photo 7]
- Image 160077 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
Die noch gut erhaltene Geige von Paganini ist Heiligtum des italienischen Volkes.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 B : photo 6]
- Image 160078 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
Die Geige Paganinis und sein Kasten, die in einer Vitrine aufbewahrt werden.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 B : photo 5]
- Image 160079 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
Ein zeitgenössisches Bild Paganinis, von dem den Meister selbst behauptete, dass es das ähnlichste ist, was von ihm existiert.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 B : photo 1]
[Censure photographique]
- Image 160080 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
Einmal im Jahre, meist aber noch in grösseren Zwischenräumen, wird bei besonderen Anlässen das Siegel der Vitrine von einem Notar im Beisein von zwei Zeugen gelöst, die wertvolle Geige hervorgeholt, von Fachleuten untersucht und gespielt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 B : photo 7]
- Image 160081 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
Einmal im Jahre, meist aber noch in grösseren Zwischenräumen, wird bei besonderen Anlässen das Siegel der Vitrine von einem Notar im Beisein von zwei Zeugen gelöst, die wertvolle Geige hervorgeholt, von Fachleuten untersucht und gespielt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 B : photo 8]
- Image 160082 : Paganinis versiegelte Geige wird gespielt.
In einer versiegelte Vitrine im Rathaus zu Genua befindet sich nach dem Testament des Meisters die Geige von Paganini.
[Sipho]
[Frei gegeben durch zensur]
[Orbis]
[Série 92.038 B : photo 10]
- Reportage: “Zoologischen Station” à Naples, [1922-1939]. - 14 photos
- Image 162668 : Prof. Dr. Reinhold Dhrn, der sohn des Begründers u. heutige Leiter des Zoologischen Station.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1934 - photo 14]
- Image 162669 : Giacomo Fiorillo, Präparator der Station, fürht die Konservierungen der wertvollen Tiermaterialien aus und leitet die Versandabteilung deren Erzeugnisse in die ganze Welt gehen.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 13]
- Image 162670 : Der interessanteste Versuch : es soll festgestellt werden, wieweit das Unterscheidungsvermögen des Tintenfisches geht. Zwei Futterbehählter, durch ein grosses u. kleines Quadrat gekennzeichnet, sind für diesen Zweck angefertigt. Wird der Tintenfisch es lernen die beiden Quadrate zu unterscheiden ?
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 12]
- Image 162671 : Sofort wird das Interesse des Tintenfisches wach. Es verlässt die Ecken seiner Behausung.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 11]
- Image 162672 : Der Tintenfisch schiesst mit grosser Schnelligkeit durch das Wasser, wie die Unschärfe der Aufnahme deutlich zeigt.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 10]
- Image 162673 : Auch Angriffe auf Menschen sind gut bezeugt. Der berühmte Naturforscher Ernst Häckel schildert in seinen Reisebriefen ein solches Erlebnis in der Nähe einem alten amerikanischen Stich, zeigt wie alt solche Berichte sind.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 9]
- Image 162674 : 3. Langsam schiebt er sich vorwärts, die Augen auf die ersehnte Nahrung gerichtet.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 8]
- Image 162675 : 7. Langsam scheibt er sich vorwärts, die Augen auf die ersehnte Nahrung gerichtet.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 7]
- Image 162676 : Fette Beute aus dem Golf von Neapel, ein grosser Octopus.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 6]
- Image 162677 : 5. Die ersehnte Beute ist erreicht. Die hundertfach wiederholten Versuche beweisen, dass der Tintenfisch es gelernt hat die beiden Quadrate zu unterscheiden. Niemals nimmt er den Behälter mit dem grösseren Quadrat an, er weiss, dass er leer ist.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 5]
- Image 162678 : Ein Riesenkrake der ein Segelschiff umklammert. Die Aufnahme ist nach einem alten Stich gemacht worden. Da die Kraken Fangarme bis zu 14 m Länge haben, ist der Vorfall durchaus denkbar.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 4]
- Image 162679 : Die Zoologische Station in Neapel.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 3]
- Image 162680 : Fräulein Fischer (Berlin) arbeitet an Gewebekulturen "der Wirbellosen". Die hierbei notwendige Sterilhaltung erfordert äusserte Konzantration.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 2]
- Image 162681 : Plakette des Begründers Prof. Anton Dohrn am Eingang des Aquariums. Der 100 jährige Geburtstag wurde in diesen Tagen gefeiert.
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Série 1138 B - photo 1]
- Reportage: 20e anniversaire de la mort de Eleonora Duse (1858-1924), 1944. - 10 photos
- Image 160144 : Nr. 1288
"Immer aber ist die Liebende grösser als der geliebte"
Vor 20 Jahren starb Italiens grösser Schauspielerin : Eleonora Duce.
"Man hat zwischen dem Nerzen und der Vernunft zu wahlen. Ich gehorche dem Herzen."
1) Das Antlitz der jungen Tragödin- "...vom Griffel des rastlostrauervollen Lebens gezeichnet." "Von meines vierten Lebensjahr an verdiente ich mir mein leben; ich weiss Bescheid." Die harten Wonderjahre mit der Truppe des Vaters legen den Grund zu jener "schwermütig grübelnden Wehmut", die der Kunst Eleonora Duses das entscheidende Gepräge gibt. Aus dieser Stimmung schafft sie ihre unvergesslichen Gestalten der "grossen Liebenden doch sie wächst in eine Haltung, die das Leben selbst die Duse lehrte : eine den Mann überragende stolze Bejahung des Leides.
[Sipho]
[Censure photographique]
- Image 160145 : Nr. 1288
2) Man hat das Gefühl, als spiele sie die Liebe selbst. "Mit sparsamen und ganz persönlichen Mitteln gibt sie der Marguerite Gautier in Dumas" Cameliendame eine Gestaltung, die frühere Darstellerinnen und das Werk selbst weit hinter sich lässt : und - die Zuschauer schluchzen.
Eine deutscheititalienische Sportfoto Ausstellung in Rom eröffnet. 3.
Ein Teil der von den deutschen Sportfotografen gezeihte Arbeiten. 13183/34
[Sipho]
[Deutscher Verlag]
[A restituer après publication]
[Censure photographique 16/04/1944]
- Image 160146 : Nr. 1288
3) Sie enthüllt selbst das Geheimnis ihrer Kunst : "Die armen Weseh aus meinen Stücken sind ganz in mein Herz und mein Bewustsein übergegangen. Ich schaue nicht darauf, ob sie gesündigt haben, wenn ich nur spüre, dass sie litten um Verrat oder um die Liebe."
[Sipho]
[Deutscher Verlag]
[A restituer après publication]
[Censure photographique 16/04/1944]
- Image 160147 : Nr. 1288
4) Die Italienerin spielt die nordische "Hedda Gabler". Eine seltsame Ergriffenheit befällt die reifere Duse gegenüber den Frauen gestalten Ibsens. Man streitert sich darüber, ob sie "echten Ibsen" spiele. Doch sie verkeiht diesen Gestalten ein packendes Eigenleben, gibt ihnen "mehr, als der Dichter von ihnen weiss."
[Sipho]
[Deutscher Verlag]
[A restituer après publication]
[Censure photographique 16/04/1944]
- Image 160148 : Nr. 1288
5) Ein sensationeller Abschied von der Bühne. Niemand ahnt, als sie 1909 in Wien a&ls Rebekke West in "Rosmershelm" die Zuschauer begeistert, dass sie mit dieser Barstellung stillschweigend den Schmusstrich unter ihre triumphale Bühnenlaufbahn zieht.
Sie flieht in die geliebte Einsamkeit.
[Sipho]
[Deutscher Verlag]
[A restituer après publication]
[Censure photographique 16/04/1944]
- Image 160149 : Nr. 1288
6) Das letzte Bild der grossen Tragödin aus dem Todesjahr 1924.
Durch äussere Umstände gezwungen, betritt Eleonora Duse 1921 die Bühme wieder. Das Turiner Publikum bereited der fast schon legendär gewordenen grossen Künstlerin, deren "demütiges, wundervolles Antlitz" schneeweisses Baar umkränzt, einen überwältigende Empfang. Auf einer Gastspielreise durch Amerika erliegt sie in Pittsburg am 21. April 1924 in ihrem 65. Lebensjahrden Folgen einer Erkältung. In Asolo ruht sie nach einem Leben, Über das sie selbst das Motto setzte : "Begnadet, verzweifelnd, vertrauend.
[Sipho]
[Deutscher Verlag]
[A restituer après publication]
[Censure photographique 16/04/1944]
- Image 160150 : Nr. 1288
7) Tebaldo Checchi, der Gatte. Es ist eine "Kameradschaftsehe", die die 22 jährige Eleonora mit ihrem Kollegen nach einem schmerzvollen Liebersleben eingeht. Sie steht als Schauspielerin an der Schwelle des Ruhmes. Tebaldo ist voll guten Willens und voll Anhänglichkeit an mich, schreibt sie dem Vater. Vier Jahre später löst sie sich aus dieser Ehe, an der ihr Herz unbeteiligt ist.
[Sipho]
[Deutscher Verlag]
[A restituer après publication]
[Censure photographique 16/04/1944]
- Image 160151 : Nr. 1288
8) Flavio Ando, der ideale Partner durch ein Jahrzehnt. Er scheint dazu geschraffen, Eleonara "in Jugend, Schönheit und Schauspielerischer Genialität zu ergänzen". Gegen die wie nach einem ehernen Naturgesetz zwischen ihnen aufflammende Liebe umgibt Ando sich um Checchis willen lit Schweigen. Doch die ursprüngliche Natur Eleonoras findet den sittlichen Mut zur Klaren Entscheidung. Und Checchi gibt sie frei.
[Sipho]
[Deutscher Verlag]
[A restituer après publication]
[Censure photographique 16/04/1944]
- Image 160152 : Nr. 1288
9) Arrigo Boito. Eine Freundschaft des Verzichtes. "Ihre Freund schaft und ihr Instinkt für Liebe füllen sein Leben mit unverhofftem Glanz. "Sein Einfluss bewirkt bei Eleonora eine geistige Wandlung, die sie gegenüber seinem mit Rücksicht auf ein ihm ergebenes Wesen schliesslich ausgesprochenen Verzicht wehrlos macht. Die geistige Freundschaft währt bis zum Tode Boitos.
[Sipho]
[Deutscher Verlag]
[A restituer après publication]
[Censure photographique 16/04/1944]
- Image 160153 : Nr. 1288
10) Gabriele d'Annunzio der "geliebteste Freund". "Habe ich nicht all meine Jahre hindurch auf diese grosse Liebe geharn die mich retten soll und mich zerstören ?"
Wessen Eleonora Duse an opferbereiter Hingabe fähing ist, das häuft sie in grandioser Steigerung und ohne Dank zu begehren auf diesen Mann, der bekennt : "Niemals kam unendliche Liebe in einem irdischen Wesen zu mächtigerem Ausdruck."
[Sipho]
[Deutscher Verlag]
[A restituer après publication]
[Censure photographique 16/04/1944]
- Représailles allemandes : 1940-1945. - 23 photos
- Représailles des SS wallons à Ciney : 28/8/1944. - 6 photos
- Représentation de Fidelio à Bruxelles : 1940-1943. - 2 photos
- Représentation diplomatique des USA au Grand-Duché du Luxembourg, [...-1945]. - 1 photo
- Représentation par la Jeunesse national-socialiste de Flandre (NSJV) de Gudrun au Théâtre de l'Alhambra de Bruxelles, 1/11/1942. - 2 photos
- Représentation par les 'Luna-troubadours' : [1945-...]. - 1 photo
- Représentation théâtrale par le cercle De Klaproos à l'Institut français de Londres, 15/5/1943. - 3 photos
- Répression de la résistance : arrestation de résistants en Bretagne par la milice, 1944. - 3 photos
- Répression de la résistance : opération de police en Haute-Savoie (Les Glières), 1944. - 6 photos
- Image 92211 : * Les opérations de police en Haute Savoie. Une colonne de miliciens se dirige à la pointe du jour vers un petit village à visiter.
* De bedrijvidheid der politie in Hoog Savooie. Een kolon van de militie begeeft zich in de vroegte naar een de bezoeken dorp.
[Sipho]
11375
[3 MARS 1944]
[Frei gegeben durch Zensur]
F 3844
- Image 92213 : * Les opérations de police en Haute Savoie. Chacun a pris ses positions. Le village est cerné et personne ne pourra échapper aux forces de l'ordre qui maison par maison effectuent leurs recherches.
* De bedrijvigheid der politie in Hoog Savooie. Idereen is op zijn post, het dorp is omsigneld n niemand zal aan de manne der wet ontsnappen die huis voor huis hun opzoekingen voorzetten.
[Sipho]
[3 MARS 1944]
F 3844
- Image 92214 : * Les opérations de police en Haute Savoie. Chacun a pris ses positions. Le village est cerné et personne ne pourra échapper aux forces de l'ordre qui maison par maison effectuent leurs recherches.
* De bedrijvigheid der politie in Hoog Savooie. Idereen is op zijn post, het dorp is omsigneld n niemand zal aan de manne der wet ontsnappen die huis voor huis hun opzoekingen voorzetten.
[Sipho]
[3 MARS 1944]
F 3844
- Image 92215 : * Les opérations de police en Haute Savoie. N.P.M... En dehors d'un grand nombre de bandits qui ont été aussitôt arrêtés, un important butin a été capturé: vin, alcool, beurre, etc...
* De bedrijvigheid der politie in Hoog Savooie. O.F.T... Buiten het groote aantal bandienen die zoogau in arrest genomen werden, werd nog een belangrijke buit aangeslagen: wijn, alcohol, boter et alzook verschillende dokumenten.
[Sipho]
[3 MARS 1944]
F 3844
- Image 92216 : La fin des opérations de polic en Haute Savoie.
La Comandine ou P.C. de l'A.S. sur le plateau des Glières.
[Agence de presse Fawa]
11375
[Autorisé à la publication sous réserve de rappel. Brüssel 19 APRIL 1944]
F 3844
- Image 92218 : * La découverte de la fosse tragique de St. Laurent en Haute Savoie. N.P.M. à gauche: Menottes aux mains "Jacques" est conduit vers la fosse sanglante où il assistera à l'exhumation des corps des policiers assassinés. A droite: Les corps sont remontés de la fosse. 7-3-44
* De ontdekking van het gemeen fraf te St. Laurent in Hoog ,Savooie. O.F.T. Links: Goed imringd de handboeien aan de polsen, word "Jacques" naar den kuil geleidt waar hy de identificatie der lyken zal bywonen. Rechts: De lyken worden uit den kuil gehaald. 7-3-44
[Sipho]
[Frei gegeben durch Zensur]
[Exclusivité]
- Répression de la résistance: découverte d'un mouvement de résistance à Lyon par les forces de Joseph Darnand, 1944. - 4 photos
- Répression de la résistance en France, [1941]. - 2 photos
- Répression des fraudes alimentaires à Paris : [...-1939]. - 5 photos
- Image 49286 : Répression des fraudes alimentaires.
Les caisses de marchandises à vérifier, qui sont expédiées au ministère de l'agriculture, sont cachetées soigneusement.
Vue sur les caisses.
S.151
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Image 49290 : Répression des fraudes alimentaires.
L'inspecteur fait un petit prélèvement, afin de voir sur place, après un examen hâtif, la qualité du lait.
S.151
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Image 49291 : Répression des fraudes alimentaires.
Examen de la densité du lait.
S.151
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Image 49293 : Répression des fraudes alimentaires.
L'état exerce un contrôle des plus sévéres sur le marché alimentaire. De tous les temps on essaie d'introduire des aliments défectueux, au détriment du consommateur, et si la crainte du contrôle n'existait pas, il y aurait des véritables abus; aussi tous les états organisant une surveillance très stricte sur le marché des aliments.
Notre photo montre un inspecteur de la préfecture partant en tournée de contrôle d'aliments, fournis par la campagne environnant Paris, et sur la route, arrétant à l'improviste un laitier et faisant un prélèvement de lait aux fins d'examens dans les laboratoires.
S.151
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Image 49295 : Répression des fraudes alimentaires.
Le laboratoire, où toutes les consommations douteuses susceptibles d'être examinées, aussi bien confitures, beurre, alcool, etc. sont scupuleusement vérifiées.
S.151
[copyright Service général de la Presse] [Sipho]
- Répression et exécution de collaborateurs, 1944. - 54 photos
- Image 28291 : Esneux. On les tond.
- Image 28292 : Kaalscheren van een Duitsgezinde.
- Image 28294 : Mont-sur-Marchienne (4/9/44). Les femmes qui ont eu des relations avec l'ennemi arrêtées, certaines ont les cheveux coupés.
- Image 28296 : Kaalscheren van een "Duitsgezinde" op de Plantijn Moretuslei door leden van het Nederlands verzet.
- Image 28300 : Wervik - Bevrijding (sept. 1944). Gift Leopold Boelen (april 1977).
- Image 28301 : Repressie.
- Image 28304 : Kaalgeschoren collaborateurs.
- Image 28307 : Antwerpen - kollaborateurs aangehouden door het Verzet.
- Image 28314 : de Keyserlei voor station Antwerpen, 6 september 1944.
- Image 28317 : Antwerpen.Sint-Jozefskerk - Stadspark, 4/9/1944.
- Image 28318 : Gevangenname van voetbalspeler Pierre Braine (Beerschot) wegens handelvoering met de Duitsers - Dierentuin 4/9/1944.
- Image 28336 : Instrumenten die door de Gestapo als foltertuigen werden gebruikt (rechts op de foto).
- Image 28350 : Antwerpen. Wegvoering van collaborateurs Loosplaats (Stadspark) 4/9/1944.
- Image 28352 : La population détruit et brûle ce qui rappelle l'occupant ou lui a servi.
- Image 28354 : Antwerpen.Wegvoering van collaborateurs Loosplaats (Stadspark) 4/9/1944.
- Image 28356 : Vlaamse SS-er die door het Verzet wordt opgeleid 4/9/44.
- Image 28357 : St. Niklaas.
- Image 28360 : Antwerpen - arrestatie van kollaborateurs door het Verzet.
- Image 28361 : Antwerpen - aanhouding van kollaborateurs door het Verzet.
- Image 28362 : Des arrestations individuelles sont également opérées, certains collaborateurs surpris par la rapidité de la libération cherchant à s'enfuir à pied et sous un déguisement.
- Image 28366 : Repressie.
- Image 28367 : Repressie.
- Image 28370 : Kollaborateurs in Antwerpse Zoo.
- Image 28380 : La foule devant le commissariat de police rue du Collège qui attend les inciviques arrêtés (Verviers) (Photo A. Ruwet).Copyrigh CEGES
- Image 28382 : In de streek van Charleroi worden in september 1944 de eerste verraders door de Partizanen opgeleid.
- Image 28383 : Ambiance de victoire à Verviers (Photo A. Ruwet).Copyright CEGES
- Image 28385 : La foule devant le commissariat de police rue du Collège qui attend les inciviques arrêtés (Verviers) (Photo A.. Ruwet). Copyright CEGES
- Image 28390 : Vlaams DMS meisje Tessenderlo oktober 1944.
- Image 28392 : "Moi, MP avec un gestap belge à genoux".
- Image 28393 : Antwerpen.Wachtkot op S.D. Elisabethlaan.
- Image 28395 : Kollaborateurs (rechts, Walter Lampaert)"aan het werk".
- Image 28397 : Foto R.P Bonmariage. "Des inciviques belges retrouvés en Allemagne demandent pardon".
- Image 28399 : Terechtstelling van collaborateurs [De bende Duquesne (?), Trésigniskazerne Charleroi, 14.VI.1948].
- Image 28401 : Terechtstelling van collaborateurs. [De bende Duquesne (?), Trésigniskazerne Charleroi, 14.VI.1948].
- Image 28403 : Antwerpen.Aanhouding van collaborateurs in de Pelikaanstraat 4/9/1944.
- Image 28406 : Avance sur la Hollande. L'aspirateur Patriote - Maison de collaborateur vidée par les patriotes à Tongres.
- Image 28411 : Avance sur la Hollande. Hasselt. Ketels, Chef de jeunesse hitlérienne du Limbourg, arrêté par les patriotes.
- Image 28413 : Antwerpen.Sint-Jozefskerk - Stadspark 4/9/1944.
- Image 28414 : Antwerpen. Vernieling van een winkel van een collaborateur in de Isabellalei.
- Reprise de Viborg (Carélie) par les finlandais, 9/1941. - 7 photos
- République Dominicaine : catastrophes naturelles, 09/1930. - 13 photos
- République Dominicaine : le président Horacio Vasquez, [...-1945]. - 1 photo
- Réquisition de camions par l'armée belge : 1938. - 1 photo
- Réquisition de chevaux par l'armée belge : 1939-1940. - 4 photos
- Réquisition de chevaux pour la Wehrmacht à Bruxelles et Ciney, 7/8/1944. - 8 photos
- Réquisition et recyclage des métaux non-ferreux, 1942-1943. - 17 photos
- Résidence en France de l'ancien président espagnol Manuel Azana; armes et matériel saisis; réouverture de la frontière franco-espagnole; embarquement de réfugiés vers l'URSS; orphelin adopté par Eleanor Roosevelt, [1936-1939]. - 10 photos
- Résidence Palace à Bruxelles : [...-1939]. - 3 photos
- Résistance à Anvers : [1940-1945]. - 9 photos
- Résistance dans la région mouscronnoise : retour de Louis Tordeur, différents groupes de résistants, messes, cérémonies patriotiques... - 38 photos
- Image 122726 : Le retour de Louis Tordeur, militaire de l'A.S., s'occupe d'évasion, aide aux illégaux, renseignements (Bravo) et résistance armée, arrêté le 15/IV/1942.
- Image 122727 : Le retour de Louis Tordeur, militaire de l'A.S., s'occupe d'évasion, aide aux illégaux, renseignements (Bravo) et résistance armée, arrêté le 15/IV/1942.
- Image 122728 : Le retour de Louis Tordeur, militaire de l'A.S., s'occupe d'évasion, aide aux illégaux, renseignements (Bravo) et résistance armée, arrêté le 15/IV/1942.
- Image 122729 : Le retour de Louis Tordeur, militaire de l'A.S., s'occupe d'évasion, aide aux illégaux, renseignements (Bravo) et résistance armée, arrêté le 15/IV/1942.
- Image 122730 : Le retour de Louis Tordeur, militaire de l'A.S., s'occupe d'évasion, aide aux illégaux, renseignements (Bravo) et résistance armée, arrêté le 15/IV/1942.
- Image 122736 : Messe célébrée en l'honneur des victimes de Rollegem en présence des bataillon A.S. de Moustier dans la cour de la ferme Delbecque à Bellegem.
- Image 122737 : Messe célébrée en l'honneur des victimes de Rollegem en présence des bataillon A.S. de Moustier dans la cour de la ferme Delbecque à Bellegem.
- Image 122738 : Les estafettes du refuge de Souchet
- Image 122739 : 8ème peloton de l'AS de Souchet commandé par Valère Lestieuw.
- Image 122740 : 4ème peloton de l'A.S. de Souchet commandé par Albert Aspeel en compagnie d'un groupe de 8 polonais.
- Image 122741 : Officiers et sous-officiers de l'A.S. de Souchet.
- Image 122742 : Officiers et sous-officiers de l'A.S. de Souchet.
- Image 122743 : Officiers et sous-officiers de l'A.S. de Souchet. et MM Goussement, septembre 1944.
- Image 122744 : Le 1er peloton de l'A.S. de Souchet reçu chez le Lieutenant Maurice Bekaert dit Bols le 21/10/1944.
- Image 122748 : Estafettes.
- Image 122754 : 14/10/1944
- Image 122756 : Armée Belge Secrète, zone 3 secteur Courtrai.
- Image 122758 : Marcel Demeulemeester, Secrétaire de l'Amicale des Facteurs de Mouscron né à Tourcoing le 26 février 1912 et pieusement décédé à Bruges le 10/11/1942.
- Image 122759 : Roland Vanoverschelde, victime de la guerre, Fils de Louis et Clémence Ferret né à Tourcoing le 22 mars 1922 et mort à Fresnes (Paris) le 6 octobre 1943.
- Image 122760 : Maurice Deghouy.
- Image 122763 : Maurice et Albert Cousin, résistant à Souchet (Mouscron)
- Résistance FI - Tueries de Bourg-Léopold, photo de Schelfhout Bernard., 6/9/1944. - 1 photo
- Résistance luxembourgeoise : tract de la Ligue Patriotique luxembourgeoise, 04/1942. - 1 photo
- Résistants de l'A.S. (Armée secrète). - 25 photos
- Image 28015 : Souvenir offert par les officiers de l'E.M. de l'A.S. Zone III - Secteur 20 - au Major Haus, Cdt de la Z. III.
Le Commandant de Secteur, Hoste Edm.
Chef de l'E.M., Van der Bracht Et.
Off. de Matériel, Van Gerven
Off. D.P.I., Wauters R.
Off. de liaison, De Baere Arm.
Mr. l'Aumônier, De Waele
Off. de la Croix Rouge, Hemelaers
Off. d'E.M. (adj. commandant de place), De Schrijver Raph.
Le 20.11.1944
- Image 28017 : Souvenir offert par les officiers de l'E.M. de l'A.S. Zone III - Secteur 20 au Major Haus Cdt. de la Zone III.
E.M. Secteur 20 - 1ière rangée + E.M. Bon. 83 (St. Nicolas)+
E.M. Bon.84 (Lokeren)
- Image 28019 : A.S. Un affilié en tournée.
- Image 28026 : Souvenir malheureux. Trois camarades tués et moi-même blessé dans une embuscade de ce jour 4 septembre 1944. Assis de gauche à droite tué Makets Alphonse, père de deux enfants, deuxième moi-même Huart Marcel blessé par balle dans la poitrine
- Image 28028 : Maquisards posant devant les ruines de l'hôtel de ville de Ciney.
- Image 28030 : Groupe A.S. de Theux à la libération (Photos Broipson)
- Image 28032 : Groupe de maquisards A.S. sortant du bois.
- Image 28033 : Armée Secrète.
- Image 28034 : Geheim Leger. Hoei.
- Image 28042 : Groupe A.S. de Theux à la libération.
- Image 28050 : L'Etat-Major de la Z.I/A 2
De gauche à droite : Jules Steux, agent de liaison, sécrétaire; sous-lieutenant Vigoureux, chef groupe Dottignies; lieutenant Leman, commandant de place à Dottignies; lieutenant Spileers, CT 37, commandant Z.I. : A.2; docteur Evrard, chef service de santé avant sa fuite, actuellement docteur brigade Piron; docteur Vanneste, chef service de santé; lieutenant Delestrain, chef service du charroi; Deroose, agent de liaison avec Z.I.
2me rang, de gauche à droite : Melle Spinnewinne, agent de liaison; M.-L. Duponchel, agent de liaison; sergent Delbake, adjoint CT 37; Mme Bataille, infirmière; Melle Valcque, agent de liaison et de renseignements; Vandenbulcke, adjoint au lieutenant d'intendance; lieutenant Carrette, chef du matériel.
3ième rang, de gauche à droite : lieutenant Delmée, chef du service d'intendance; Dassonville, chef d'escouade, membre du comité de libération; Ier sergent major Lemmens, chef comptable. Manquant sur la photo : corporal Vercamert, chef sous-section (Espierres); Ière secrétaire au P.C.
- Image 28052 : A.S. ? Zone I.
- Image 28093 : Etat-Major (et agents de liaison) de la Zone I - St. Marcoult (A.S.) - 3 sept. 1944. Messieurs Smolders, Coppieters, Grumiaux, Vleminckx, Comte d'Ursel. Armand - Père Du Bois d'Enghien, André (Photo Mme Collin).
- Image 28095 : Foto G. Bourdan. Sept. 44. A.S. Zone I. Ellezelle.
- Image 28097 : Photo prise dans le camp de l'A.S. de St. Marcoult à la libération (Photo Mme Collin).
- Résistants de l'OMBR. - 18 photos
- Image 28036 : François De Neef, fondateur du groupement, arrété le 24.2.44 à Gand, décédé le 11.5.45 à Flossenburg. Nommé Lt. Colonel à titre posthume.
- Image 28038 : Allaert Georges. Successeur de François De Neef. Nommé Lt. Colonel R.A. le 4.1.47.
- Image 28040 : Arnold Fernand, Fondateur du 1.6.42 au 19.11.44. Responsable administratif. Lieutenant Colonel R.A.
- Image 28043 : Haesendonck Jean, fondateur du 1.6.42 au 5.12.43; arrêté le 5.12.43 à son retour fut nommé Major R.A.
- Image 28045 : François Soetens, fondateur, nom des frères Soetens pendant la guerre "les moukères" rentré en Belgique pour y mourir le 4 mai 1945, nommé à titre posthume au grade de Lieutenant R.A.
- Image 28047 : Jean Soetens, fondateur. Mort au camp d'Ellrich, nommé à titre posthume au grade de capitaine R. A.
- Image 28049 : Mantiers Jean, co-Fondateur du 1/12/43 au 19/11/44. Chef administration Financière et réquisition, nommé Lt. Colonel R.A.
- Image 28051 : Verwaerde Maurice, co-Fondateur du 24/2/43 au 19/11/44. Commandant Militaire du groupement, nommé Lt. Colonel R.A.
- Image 28053 : Callewaert Joseph, co-fondateur (dit Père Urbain-capucin).
- Image 28056 : Soffie Auguste co-Fondateur du 1/6/43 au 9/1/44. Lieutenant Colonel R.A.
- Image 28059 : Baudewijns Jean-Louis, co-fondateur OMBR du 1/6/42 au 19/11/44, nommé Capitaine R.A.
- Image 28061 : Van Boom Jospeh, co-fondateur fusillé le 30 mars 1944 par les SS, nommé à titre posthume Capitaine R.A.
- Image 28063 : Scol, chef de groupe à Berchem Ste Agathe, abattu lâchement en son domicile le 10/5/43.
- Image 28066 : Meyfroid Jean, co- fondateur 6.12.43 au 19.11.44, nommé Major R.A.
- Image 28069 : Hubert Heymans, Militaire de carrière, résistant OMBR, Arrêté le 21/1/1942 et fusillé le même jour.
- Image 81358 : Augustus 1944.
- Résistants du F.I. (Front de l'indépendance) : 1942. - 2 photos
- Résistants du Groupe G. - 2 photos
- Résistants du Groupe Nola. - 1 photo
- Résistants juifs : [1940-1945]. - 24 photos
- Ressortissants anglais à Hong Kong, 01/1938-02/1938. - 2 photos
- Restaurants communautaires : plats cuisinés : 1943. - 7 photos
- Restaurants communautaires : "Rescos" : 1942-1943. - 10 photos
- Restaurants communautaires en France : 1942-1943. - 2 photos
- Restauration de monuments publics à Paris, 1941-1944. - 9 photos
- Restitution des anciens emballages de tabac à Paris : 1943. - 2 photos
- Restitution des trophées de guerre (Paris) : 1939. - 2 photos
- Image 43088 : Madame Veuve Baudoin rentre en possession des trophées de guerre de son fils. Au cours d'une cérémonie qui eu lieu ce matin à l'hôtel de Ville de Versailles, Mme Veuve Baudoin, est rentrée en possession des trophées de guerre de son fils, qui, comme on le sait, lui avaient été retirés à la suite d'une malencontreuse inculpation de "dépositaire d'armes", à la suite de laquelle Mme Baudoin avait été condamnée. Voici au centre Mme Baudoin ayant à sa droite M. Rossignol, président des anciens combattants, et à sa gauche M. Haie, sénateur Maire de Versailles, entourés des drapeaux des Anciens combattants, et ayant à leur pieds les trophées recouvrés. 4.III.1939.
- Image 43090 : Madame Veuve Baudoin rentre en possession des trophées de guerre de son fils. Au cours d'une cérémonie qui a eu lieu ce matin à l'hôtel de ville de Versailles, Mme Baudoin est rentrée en possession des trophées de guerre de son fils qui comme on le sait lui avaient été retirés après une inculpation malencontreuse de "dépositaire d'armes" à la suite de laquelle Mme Baudoin avait été condamnée. Voici M. Haie, Maire de Versailles, remettant les trophées à Mme Baudoin au cours de la cérémonie. 4.III.1939.
- Rétablissement de la Monarchie en Grèce et amnistie : octobre 1935-décembre 1935. - 11 photos
- Rétameur ambulant à Moerzeke, 1940-1945. - 2 photos
- Retour à Antwerpen d'enfants belges de colonies de vacances en Allemagne, 1940-1945. - 2 photos
- Retour à Anvers de réfugiés belges du Congo : [1959-1960]. - 1 photo
- Retour à Bruxelles d'enfants belges de colonies de vacances en Allemagne, 11/9/1943. - 3 photos
- Retour à Bruxelles d'enfants belges de colonies de vacances en Allemagne, 1940-1945. - 1 photo
- Retour à Bruxelles d'enfants belges de colonies de vacances en Allemagne, 1940-1945. - 2 photos
- Retour à Bruxelles d'enfants belges de colonies de vacances en Allemagne, 24/3/1943. - 2 photos
- Retour à Bruxelles d'enfants belges de colonies de vacances en Allemagne, 28/2/1944. - 16 photos
- Image 14274 : Retour des enfants ayant passé six mois en Allemagne, sous les auspices de la DeVlag. 28.2.1944
- Image 14276 : Retour des enfants ayant passé six mois en Allemagne, sous les auspices de la DeVlag. 28.2.1944
- Image 14279 : Retour des enfants ayant passé six mois en Allemagne, sous les auspices de la DeVlag. 28.2.1944
- Image 14282 : Retour des enfants ayant passé six mois en Allemagne, sous les auspices de la DeVlag. 28.2.1944
- Image 14286 : Retour des enfants ayant passé six mois en Allemagne, sous les auspices de la DeVlag. 28.2.1944
- Image 14289 : Retour des enfants ayant passé six mois en Allemagne, sous les auspices de la DeVlag. 28.2.1944
- Image 14292 : Retour des enfants ayant passé six mois en Allemagne, sous les auspices de la DeVlag. 28.2.1944
- Image 14294 : Retour des enfants ayant passé six mois en Allemagne, sous les auspices de la DeVlag. 28.2.1944
- Image 14298 : Retour des enfants ayant passé six mois en Allemagne, sous les auspices de la DeVlag. 28.2.1944
- Image 14300 : Retour des enfants ayant passé six mois en Allemagne, sous les auspices de la DeVlag. 28.2.1944
- Image 14302 : Retour des enfants ayant passé six mois en Allemagne, sous les auspices de la DeVlag. 28.2.1944
- Image 14305 : Retour des enfants ayant passé six mois en Allemagne, sous les auspices de la DeVlag. 28.2.1944
- Image 14307 : Retour des enfants ayant passé six mois en Allemagne, sous les auspices de la DeVlag. 28.2.1944
- Image 14309 : Retour des enfants ayant passé six mois en Allemagne, sous les auspices de la DeVlag. 28.2.1944
- Image 14311 : Retour des enfants ayant passé six mois en Allemagne, sous les auspices de la DeVlag. 28.2.1944
- Image 14313 : Vlaamse kinderen terug uit Duitsland. Op 25 juli vertrokken onder bescherming van DeVlag en maandagmorgen teruggekeerd in België. Een groep kinderen aan het venster in de trein.
- Retour à Bruxelles d'enfants belges de colonies de vacances en Allemagne, 29/8/1942. - 3 photos
- Retour à Bruxelles d'enfants belges de vacances en Allemagne, 2/9/1941. - 8 photos
- Retour à la ferme d'un agriculteur libéré grâce à la Relève à Hilaire-St. Mesmin, 1942. - 3 photos
- Retour à la ferme d'un agriculteur libéré grâce à la Relève et dont le fils a maintenu l'exploitation pendant son absence, 1943. - 2 photos
- Retour à Paris en permission de travailleurs volontaires en Allemagne : 1943. - 6 photos
- Retour au pays de citoyens allemands vivant à l’étranger : Amérique du Sud/Centrale, divers, 1942. - 8 photos
- Retour au pays de citoyens allemands vivant à l’étranger : Union soviétique, divers, 1941. - 4 photos
- Retour au pays de citoyens allemands vivant à l’étranger : USA, divers, 1942. - 4 photos
- Retour au pays pour les congés de travailleurs belges en Allemagne : 1940-1945. - 9 photos
- Image 4855 : Het in verlof komen der Belgische arbeiders die in Duitsland gewerkt hebben.
Gustaaf Dhave, monteerder uit Mariakerke-c.-Gent, is bij hem thuis aangekomen en zal voor enkele dagen het familieleven hernemen. Wij zien hem hier zijn kinderen uit de school afhalen. Zelf de buren zijn gelukkig om de blijheid die in dit huishouden teruggekeerd is.
Le retour en permission des ouvriers belges ayant travaillé en Allemagne.
Gustave Dhave, ajusteur de Mariakerke-lez-Gand, arrive chez lui et va reprendre pour quelques jours la vie de famille. Nous le voyons ici allant rechercher ses enfants à l'école. Les voisins eux-mêmes sont heureux de voir la joie rentrée à nouveau dans ce ménage. [Frei gegeben durch zensur] [Sipho]
- Image 4856 : [Sipho]
- Image 4857 : [Frei gegeben durch zensur] [Sipho]
- Image 4858 : Terugkeer verplichte tewerkgestgelden in verlof.
Gustav Dhave aus Mariakerke am Grenzbahnhof tauscht seinen ersparten Arbeitslohn in belgischen francs. [Frei gegeben durch zensur] [Sipho]
- Image 4859 : [Frei gegeben durch zensur] [Sipho]
- Image 4860 : Het in verlof komen der Belgische arbeiders die in Duitsland gewerkt hebben.
Gustaaf Dhave, monteerder van Mariakerke-o.-Gent, die sedert een jaar in Duitsland werkt mag in verlof komen. Wij zien hier in zijn afdeling stijgen om de terugreis naar België aan te vangen.
Le retour en permission des ouvriers belges ayant travaillé en Allemagne.
Gustave Dhave, ajusteur de Mariakerke-lez-Gand, qui travaille depuis un an en Allemagne a obtenu son congé. Nous le voyons ici montant dans son compartiment pour rentrer en Belgique. [Frei gegeben durch zensur] [Sipho]
- Image 4861 : [Frei gegeben durch zensur] [Sipho]
- Image 4862 : Het in verlof komen der Belgische arbeiders die in Duitsland gewerkt hebben.
Gustaaf Dhave, monteerder uit Mariakerke-c.-Gent, die teruggekomen is uit Duitsland en die zijn verlofdagen in 't midden van zijn familie doorbrengt. Kinde ren en ouders zijn gelukkig daar de vader opnieuw werk heeft gevonden en het brood voor de zijnen verzekerd is.
Le retour en permission des ouvriers belges ayant travaillé en Allemagne.
Gustave Dhave, ajusteur de Mariakerke-lez-Gand, qui vient de rentrer d'Allemagne et passe ses jours de congé au sein de sa famille. Enfants et parents sont heureux car le père a de nouveau trouvé du travail et peut ainsi assurer le pain des siens. [Frei gegeben durch zensur] [Sipho]
- Image 4863 : Het in verlof komen der Belgische arbeiders die in Duitsland gewerkt hebben.
Gustaaf Dhave, monteerder uit Mariakerke-c.-Gent, is teruggekomen uit Duitsland en brengt enkele dagen in 't midden zijner familie door. Ouders en kinderen en zijn gelukkig daar de vader nieuw werk gevonden heeft en alzo het brood voor de zijnen verzekerd is.
Le retour en permission des ouvriers belges ayant travaillé en Allemagne.
Gustave Dhave, ajusteur de Mariakerke-lez-Gand, qui vient de rentrer d'Allemagne et passe ses jours de congé au sein de sa famille. Enfants et parents sont heureux car le père a de nouveau trouvé du travail et peut ainsi assurer le pain des siens. [Frei gegeben durch zensur] [Sipho]
- Retour d'Allemagne à Bruxelles de volontaires du GLD (Service de jeunes volontaires pour l'agriculture allemande), 2/6/1943. - 14 photos
- Retour d'Allemagne à Bruxelles de volontaires du Service de jeunes volontaires pour l'agriculture allemande (GLD), 11/12/1942. - 3 photos
- Retour d'Allemagne à Bruxelles de volontaires du Service de jeunes volontaires pour l'agriculture allemande (GLD), 21/9/1943. - 8 photos
- Retour d'Allemagne à Bruxelles de volontaires du Service de jeunes volontaires pour l'agriculture allemande (GLD), 26/1/1943. - 2 photos
- Retour d'Allemagne de cent-soixante jeunes apprentis des usines Junkers, 29/8/1943. - 2 photos
- Retour de la dépouille mortelle du Père Damien : [...-1939]. - 1 photo
- Retour de la Légion Wallonie à Bruxelles après Tcherkassy, 1/4/1944. - 14 photos
- Retour de la Légion Wallonie du front de l'Est à Charleroi, [1940-1945]. - 7 photos
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : affrontement entre partisans du front allemand et du statu quo à Sarrebrucken, 1935. - 3 photos
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : célébration du résultat du plebiscite, divers, 1935. - 16 photos
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : célébration du résultat du plebiscite, réunion de la commission tripartite avec des responsables politiques allemands, 1935. - 2 photos
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : célébration du résultat du plebiscite, transfert de l'étendard noir sarrois à Berlin, 1935. - 5 photos
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : commission du plebiscite à Sarrbrücken, 1934-1935. - 6 photos
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : divers, 1934-1936. - 6 photos
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : électeurs Sarrois d'Allemagne et d'Outre-mer, 1934-1935. - 12 photos
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : Front allemand, divers à Sarrbrücken, 1934-1935. - 12 photos
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : Front de l'union (socialiste/communiste) à Sarrbrücken, 1934. - 1 photo
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : manifestations en faveur du retour à l'Allemagne, divers, 1932-1935. - 7 photos
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : manifestations en faveur du retour à l'Allemagne, inauguration à Berlin d'une exposition ayant pour thème la Sarre, 1935. - 2 photos
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : manifestations en faveur du retour à l'Allemagne, réception à Berlin du Saar-Trevestaffel, 1934. - 4 photos
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : Mouvement pour le statu quo, 1935. - 2 photos
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : plebiscite, dépouillement du vote du 13/1/1935, 1935. - 4 photos
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : plebiscite, opérations de vote du 13/1/1935 dans les prisons à Sarrbrücken, 1935. - 3 photos
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : plebiscite, preparations, 1934-1935. - 10 photos
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : plebiscite, vote du 13/1/1935, divers, 1935. - 6 photos
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : présence militaire internationale, armée britannique, 1934-1935. - 10 photos
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : présence militaire internationale, armée italienne, 1934-1935. - 5 photos
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : présence militaire internationale, divers, 1935. - 2 photos
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : présence policière, 1934-1935. - 5 photos
- Retour de la Sarre à l'Allemagne : propagande électorale, [1935]. - 3 photos
- Retour de permissionnaires pour le front de l'Est, 30/4/1942. - 3 photos
- Retour de soldats italiens ld'Afrique Orientale, 1943. - 7 photos
- Retour des cendres de l'aiglon (duc de Reichstadt, roi de Rome) aux invalides à Paris : 1940. - 8 photos
- Retour des cloche à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : septembre 1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 10/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 10/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 5/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Anvers : 8/10/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Arlon : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Arlon : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Aywaille : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Aywaille : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Bas-oha : 25/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Bas-oha : 25/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Bavikhove : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Bois Borsu : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Bois Borsu : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Borlez : 25/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Clavier : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Clavier : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Clavier : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Clavier : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Clavier : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Clavier : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Deurne : septembre 1943. - 1 photo
- Retour des cloches à Deurne : septembre 1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Deurne : 1946. - 1 photo
- Retour des cloches à Dreye : 25/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Floreffe : 1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Floreffe : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Florenville : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Florenville : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Florenville : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Florenville : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Hoboken : septembre 1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Jupille : 19/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Jupille : 19/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Jupille : 19/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Jupille : 19/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Jupille : 19/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Jupille : 19/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Jupille : 19/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Jupille : 19/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Jupille : 19/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Jupille : 20/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Jupille : 7/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : [31/3/1945]. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Lebbeke : 31/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : juillet 1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : mars 1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : mars 1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : mars 1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : mars 1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : mars 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : novembre 1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : novembre 1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : novembre 1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 17/7/1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : [1944-1945]. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : [1944-1945]. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 20/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 20/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 20/3/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 25/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 25/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 25/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 9/2/1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège : 9/2/1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Liège (photo disparue) : mars 1944
- Retour des cloches à Liège (photo disparue) : mars 1944
- Retour des cloches à Liège (photo disparue) : octobre 1945
- Retour des cloches à Liège (photo disparue) : octobre 1945
- Retour des cloches à Liège (photo disparue) : 1944
- Retour des cloches à Liège (photo disparue) : 1944
- Retour des cloches à Liège (photo disparue) : 1944
- Retour des cloches à Liège (photo disparue) : 1944
- Retour des cloches à Liège (photo disparue) : 1944
- Retour des cloches à Liège (photo disparue) : 1944
- Retour des cloches à Liège (photo disparue) : 1944
- Retour des cloches à Liège (photo disparue) : 9/2/1944
- Retour des cloches à Liège (photo disparue) : 9/2/1944
- Retour des cloches à Longlier : [1940-1945]. - 1 photo
- Retour des cloches à Louvain : 1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Lubbeke : 4/9/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Malines : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Malines : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Malines : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Malines : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Malines : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Malines : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Malines : octobre 1985. - 1 photo
- Retour des cloches à Malines : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Malines : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Malines : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Malines : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Malines : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Malines : 8/9/1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Maredsous : novembre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Namur : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Namur. - 1 photo
- Retour des cloches à Namur. - 1 photo
- Retour des cloches à Namur : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Namur : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Namur : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Namur : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Namur : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Namur : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Nandrin : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Nandrin : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Nandrin : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Nandrin : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Nandrin : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Nandrin : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Nandrin : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Nandrin : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Nandrin : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Nandrin : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Nandrin : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Nandrin : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Neufchateau : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ohain : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Pousset : mai 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Pousset : mai 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Pousset : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Pousset : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Pousset : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Pousset : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Pousset : 25/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Pousset (photo disparue) : 23/5/1945
- Retour des cloches à Salzinnes lez Namur : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Schaerbeek : 1944. - 1 photo
- Retour des cloches à Soheit : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Soheit (tinlot) : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Soheit (tinlot) : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Soheit (tinlot) : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Spa : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Spa : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Stavelot : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Stavelot : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Stavelot : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Tavier : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Tavier : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Tavier : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Tavier : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Tavier : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Tavier : 24/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Tavier : 24/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Trognee : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Turnhout : novembre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Turnhout : novembre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Turnhout : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Turnhout : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Turnhout : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Turnhout : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Turnhout : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Turnhout : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Turnhout : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Turnhout : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Turnhout : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Turnhout : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Turnhout : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Turnhout : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Turnhout : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Turnhout : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Turnhout : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Turnhout : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Turnhout : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Turnout : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Wansin : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Wansin : 25/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Wansin : 25/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Wansin : 25/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Wansin : 25/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Wansin : 25/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Warzee : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Warzee : 23/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Warzee : 25/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Warzee : 25/5/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : novembre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : novembre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 11/11/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 11/11/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 11/11/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 11/11/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 11/11/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 11/11/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 11/11/1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches à Ypres : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches au Luxembourg : octobre 1944. - 1 photo
- Retour des cloches au Luxembourg : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches au Luxembourg : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches au Luxembourg : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches au Luxembourg : octobre 1945. - 1 photo
- Retour des cloches au Luxembourg : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches au Luxembourg : 1945. - 1 photo
- Retour des cloches en Belgique via Hambourg : 4/9/1945. - 1 photo
- Retour des cloches Lubbeke : 4/9/1945. - 1 photo
- Retour des combattants de Narvik en Allemagne, [1940-1945]. - 2 photos
- Retour des CRABS en Belgique : 1940. - 6 photos
- Retour des paras belges du Congo : 3/8/1960. - 5 photos
- Image 41715 : [Herkomst:: Jean Van Lierde]
Bruxelles acceuille les paras revenus du Congo.
Après la prise d'armes, à laquelle assistait le Roi, les paras-commandos revenus du Congo ont défilés en ville et ont été chaleureusement applaudi par toute la population. Voici une vue du défilé rue Royale.
Photo Publi Press 3/08/60
- Image 41717 : [Herkomst:: Jean Van Lierde]
Bruxelles acceuille les paras revenus du Congo.
Les paras-commandos, rentrés cette nuit du Congo, ont défilés ce matin dans les principales artères de Bruxelles, où le public leur a fait un acceuil chaleureux. Voici une dame se précipitant vers le commandant du bataillon pour le fleurir.
Photo Publi Press 3/08/60
- Image 41720 : [Herkomst:: Jean Van Lierde]
- Image 41722 : [Herkomst:: Jean Van Lierde]
Retour des paras commandos du Congo.
Dans la nuit de mardi à mercredi, les premiers avions ramenant les troupes belges du Congo sont arrivées à la plaine militaire de Melsbroeck. Après leur débarquement, les troupes ont pû s'entretenir quelques instants avec leur famille, et la joie du retour était bien grande et combien émouvante...
Photo Publi Presse 3/08/60
- Image 41723 : [Herkomst:: Jean Van Lierde]
Retour du Congo.
Deux avions ramenant les 2e et 14e Compagnies de Paras Indépendants ont atteris mercredi à 1h du matin, venant du Congo. Plusieurs centaines de personnes attendaient les rapatriés. Voici un de ces militaires, acceuilli avec joie et émotion par sa famille.
Photo Belga 3/08/60
- Retour des soldats de la guerre Italo-Ethiopienne, 06/1936-07/1936. - 7 photos
- Retour des soldats hollandais chez eux, 1/8/1940. - 1 photo
- Retour d'exode : 1940. - 12 photos
- Retour du front de l'Est à Bruxelles de membres flamands de l'Organisation Todt, 3/11/1942. - 21 photos
- Retour du front russe des troupes italiennes, 04/1944-08/1944. - 10 photos
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : septembre 1954. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : 1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : 1946. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : 1946. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : 29/9/1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : 29/9/1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : 4/9/1945. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg : 8/4/1946. - 1 photo
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg (photo disparue) : 1945
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg (photo disparue) : 1945
- Retour en Belgique des cloches via Hambourg (photo disparue) : 1945
- Retour en France, à Compiègne, de 278 marins français de la Division navale du Levant internés en Turquie depuis 1941, 1943. - 4 photos
- Retour en France des volontaires des Brigades internationales et des autres volontaires étrangers
- Retour en permission de volontaires flamands du front de l'Est et banquet à Antwerpen, 1940-1945. - 54 photos
- Retrait des troupes tchèques : octobre 1938. - 6 photos
- Retrospective Servaes à Gent, 25/4/1943. - 3 photos
- Réunion à Bruxelles des Luxembourgeois en Belgique (VDB), 16/2/1941. - 1 photo
- Réunion à Bruxelles des Luxembourgeois (VDB) organisée par le Volksbund für das Deutschtum im Ausland (VDA), 25/5/1941. - 1 photo
- Réunion à Madrid concernant le droit de vote des femmes, [...-1936]. - 1 photo
- Réunion anti-bolchévique organisée par la Ligue nationale flamande (VNV) à Bruxelles, 22/2/1942. - 7 photos
- Réunion au parlement des officiers de la défense passive anti-aérienne, 1944. - 1 photo
- Réunion d'anciens membres du Groupe G : [1945-...]. - 1 photo
- Réunion d'arrondissement de la Ligue nationale flamande (VNV) à Gent, 25/5/1941. - 1 photo
- Réunion d'arrondissement de la Ligue nationale flamande (VNV) à Oostende, 1940-1945. - 17 photos
- Réunion d'athlétisme à Villemomble : 1941. - 3 photos
- Réunion de Belges au Phoenix Theatre à Londres, 1940-1945. - 5 photos
- Image 6128 : M. Delfosse. The Minister of the Belgian Ministry of Information, addressed a meeting of Belgians at the Phoenix theatre, London. M. Delfosse. Addressing the Cathering from the stage of the theatre.
[Sport et General - Press Agency Limited - London] [Inbel - London]
- Image 6129 : M. Delfosse. The Minister of the Belgian Ministry of information, Addressed a meeting of Belgians at the Phoenix theatre, London. Listening to the speakers from the stalls of the theatre.
[Sport et General - Press Agency Limited - London] [Inbel - London]
- Image 6130 : M. Delfosse. The Minister of the Belgian Ministry of information, adressed a meeting of Belgians at the Phoenix theatre, London. Listening to the speakers from the stalls of the theatre.
[Sport et General - Press Agency Limited - London] [Inbel - London]
- Image 6131 : M. Delfosse. The Minister of the Belgian Ministry of information, addressed a meeting of Belgians at the Phoenix theatre, London. Listening to the speakers from the stalls of the theatre.
[Sport et General - Press Agency Limited - London] [Inbel - London]
- Image 6132 : M. Delfosse. The Minister of the Belgian Ministry of Information , addressed a meeting of Belgians at the Phoenix Theatre, London. Listening to the speakers from the stalls of the theatre.
[Sport et General - Press Agency Limited - London] [Inbel - London]
- Réunion de chefs de cellule de DeVlag (Communauté du Travail germano-flamande) à Bruxelles, 18/1/1942. - 8 photos
- Réunion de DeVlag (Communauté du Travail germano-flamande) à Deinze, 1940-1945. - 1 photo
- Réunion de DeVlag (Communauté du Travail germano-flamande) à Gent, 1940-1945. - 7 photos
- Réunion de DeVlag (Communauté du Travail germano-flamande) à Herentals, 31/7/1941. - 2 photos
- Réunion de DeVlag (Communauté du Travail germano-flamande) à Mechelen, 1940-1945. - 12 photos
- Réunion de DeVlag (Communauté du Travail germano-flamande) à Ninove, 1940-1945. - 3 photos
- Réunion de DeVlag (Communauté du Travail germano-flamande) à Sint-Niklaas, 1940-1945. - 3 photos
- Réunion de DeVlag (Communauté du Travail germano-flamande) au Capitole à Gent, 1940-1945. - 38 photos
- Réunion de DeVlag (Communauté du Travail germano-flamande) au Coliseum à Gent, 1940-1945. - 13 photos
- Réunion de dirigeantes de la Croix-Rouge allemande (DRK) à Spa, 7/1942. - 1 photo
- Réunion de fonctionnaires organisée par DeVlag (Communauté du Travail germano-flamande) à Bruxelles, 16/5/1943. - 20 photos
- Réunion de la Chambre hongroise des représentants : admission de membres provenant des régions occupées, 2/1942. - 1 photo
- Réunion de la Commission du Danube en Roumanie : novembre 1940. - 1 photo
- Réunion de la Communauté du Travail germano-flamande (DeVlag) à Aarschot, 1940-1945. - 2 photos
- Réunion de la Communauté du Travail germano-flamande (DeVlag) à Maldegem, 1940-1945. - 3 photos
- Réunion de la Ligue nationale flamande (VNV) à Antwerpen, 20/12/1942. - 9 photos
- Réunion de la Ligue nationale flamande (VNV) à Hasselt, 1940-1945. - 5 photos
- Réunion de la Ligue nationale flamande (VNV) à Leuven, 1940-1945. - 1 photo
- Réunion de la Ligue nationale flamande (VNV) à Mechelen, 17/10/1943. - 13 photos
- Réunion de la Ligue nationale flamande (VNV) à Oudenaarde, 1940-1945. - 1 photo
- Réunion de la Ligue nationale flamande (VNV) à Sint-Niklaas, 2/11/1941. - 8 photos
- Réunion de la Ligue nationale flamande (VNV) à Turnhout, 6/9/1943. - 8 photos
- Réunion de la Ligue nationale flamande (VNV) au Cirque Royal à Bruxelles, 17/03/41. - 2 photos
- Réunion de la Ligue nationale flamande (VNV) au Cirque royal de Bruxelles, 16/3/1941. - 3 photos
- Réunion de la Ligue nationale flamande (VNV) au Cirque royal de Bruxelles, 22/6/1941. - 1 photo
- Réunion de la Ligue nationale flamande (VNV) au Palais des sports à Bruxelles, 14/3/1943. - 75 photos
- Réunion de la Ligue nationale flamande (VNV) au Théâtre de l'Alhambra à Bruxelles, 17/10/1943. - 8 photos
- Réunion de la Ligue nationale flamande (VNV) au vélodrome de Gent, 17/1/1943. - 11 photos
- Réunion de la section louvaniste de l'Armée des Partisans : [1945-...]. - 4 photos
- Réunion de la Société des Nations à Paris : 1931. - 2 photos
- Réunion de nazis hongrois : mai 1944. - 1 photo
- Réunion de recrutement pour le front de l'Est à Brugge, 16/7/1944. - 7 photos
- Réunion de recrutement pour le front de l'Est à Brugge, 5/10/1942. - 4 photos
- Réunion de travailleurs AGES organisée par le Centre d'initiative sociale à Paris : 1943. - 2 photos
- Réunion de Volksverwering à Bruxelles, 17/7/1942. - 1 photo
- Réunion des cadres de la Milice thioise-Brigade noire (DM-ZB), 1940-1945. - 19 photos
- Réunion des étudiants belges qui ont étudié en Allemagne : 6/3/1943. - 2 photos
- Réunion des membres de la Milice thioise-Brigade noire (DM-ZB) dans le bureau de Joris Vansteenland, 14/9/1943. - 2 photos
- Réunion des militants wallons de l'Union des Travailleurs manuels et intellectuels (UTMI) à Bruxelles, 2/8/1942. - 2 photos
- Réunion des 'scouts londoniens' à Boitsfort : [1945-...]. - 1 photo
- Réunion d'hommage à Staf de Clercq organisée par la Ligue nationale flamande (VNV) à Antwerpen, 20/9/1942. - 46 photos
- Réunion d'hommage à Staf de Clercq organisée par la Ligue nationale flamande (VNV) à Bruxelles, 16/9/1942. - 4 photos
- Réunion du Conseil Supérieur du Travail à Paris : 1944. - 2 photos
- Réunion du gouvernement républicain à Montserrat, [1938]. - 1 photo
- Réunion du Groupe G/secteur 35R3 : [1945-...]. - 1 photo
- Réunion du "Mouvement prisonniers" à Paris : 1943. - 3 photos
- Réunion générale de la Ligue nationale féminine flamande (Section des jeunes Femmes) à Bruxelles (VNVV-JVA), 2/8/1942. - 3 photos
- Réunion IATA : [...-1945]. - 3 photos
- Réunion internationale de natation à Paris : 1943. - 2 photos
- Réunion nationale du Secours d'Hiver au Palais des Beaux Arts à Bruxelles, 12/1/1941. - 1 photo
- Réunion solennelle à l'occasion du deuxième anniversaire de l' Union des Travailleurs manuels et intellectuels (UTMI), 10/1/1943. - 3 photos
- Réunion sur l'envoi de travailleurs espagnols en Allemagne : 1941. - 1 photo
- Réunions à Nieuport et Bruxelles de l'OMBR (Organisation militaire belge de la Résistance) : [1945-...]. - 3 photos
- Réunions d'anciens officiers du 2.G.II C.A 1940 : 1953-1957. - 7 photos
- Réunions de DeVlag (Communauté du Travail germano-flamande) à Mechelen, 1940-1945. - 4 photos
- Réunions de la Communauté du Travail germano-flamande (DeVlag), 1940-1945. - 215 photos
- Réunions de l'Union des Services e Renseignements et d'Action (SRA) : 1958. - 10 photos
- Réunions de l'Union Nationale de la Presse clandestine : [1945-...]. - 6 photos
- Réunions, défilés et personnalités divers du Verdinaso, 1940-1945. - 13 photos
- Réunions des anciens combattants d'Avelgem : 1950-1971. - 31 photos
- Image 92348 : Avelgem
Oud-strijders onderscheiden.
Tijdens het vlaggefeest des Oud-krijgsgevangenen werden eretekens aan volgende oud-stijders uitgereikt : Ysebaert J.; Eph. Vuylsteke; Viaene M.;Verdonck G.; Vanrenterghem G.; Vanneste J.; Vanhoutte A.; Vandorpe R.; Vandevelde Alb.; Vandenbroecke R.; Vandemeulebroecke H.; Vancoppenholle J.; Thys C.; Terras G.; Saelens j; Speleers J.; Ruysschaert R.; Passchier J.; Passchier G.; Mollemans M. Luyssaert J.; Lefebre F. Lanneau P. Lanneau C.; Holvoet R.; Holvoet G,; Dupon E.; Desmet M.; Derammelaere P.; Dedooven A.; Delrue A.; Demeyere R.; Degraeve A.; Declercq A.; Cremers M.; Coussée J.; Corner J.; Claus Aug.; Carnel N.; Bruyneel A.; Baert R., Algoet G.
- Image 92349 : Avelgem.
Vaderlandse plechtigheden ... talrijke woningen ... vroeg de nationale ...
Kort na 9 uur vergade... krijgsgevangenenmet ve... vaderlandse groeperingen allen ... hun vlag, aan het lokaal "Franco-Belge" en een stoet werd gevormd, welke opstapte naar het gemeentehuis. Hier greep de plechtige ontvangst plaats. De burgemeester overhandigde de nieuwe mooie vlag, aan de plaatselijke afdeling. Door dhr Jacques Salenbier, onder-voorzitter der afdeling, werd een welgemeend dankwoord uitgesproken. Daarna werd de stoet hervormd en in optocht ging het naar de kerk waar een plechtige hoogmis werd bijgewoond ter nagedachtenis der slachtoffers van beide oorlogen. Voor de mis werd het nieuw vaandel gewijd door Z.E.H. deken Dhondt, terwijl een gelegenheidssermoen werd gehouden door E.P. Kint, Legeraalmoezenier en Oudkrijgsgevangene van Roeselare. Na de kerkelijke plechtigheid ging het, terug stoetsgewijs, naar het gemeentelijk kerkhof. hier werd door h.h. Jacques Salembier en Coussée, secretaris der plaatselijke afdeling, een prachtige bloemenhulde gebracht aan het monument der oorlogslachtoffers, terwijl een minuut ingetogen stilte werd bewaard. In het "Café du Nord" op het stationplein werd een feestmaal aangeboden aan de leden. Later volgde in het lokaal een gezellig samenzijn der leden van het Verbond, met hun familieleden tijdens hetwelk werd overgegaan tot de trekking der monstertombola.
- Image 92352 : Avelgem 17-9-1950
Vaderlandse plechtigheid. Aan talrijke woningen stak zondag de nationale driekleu, ter gelegenheid van de plechtige wijding en overhandiging van het nieuw vaandel van het Nationaal erbond der Oud-Krijgsgevangenen 1940-45. Te 9.30 uur greep in het gemeentehuis een plechtige ontvangst plaats door burgemeester dhr Jacques Salembier, ondervoorzitter, werd een welgemeend dankwoord uitgesproken. Daarna werd de stoet hervormd en in optochtging het naar de dekanale kerk waar een plechtige hoogmis werd bijgewoond ter nagedachtenis van de slachtoffers van beid oorlogen. Voor de mis werd het nieuw vaandel gewijd door Z.E.H, deken Dhondt, van Avelgem, terwijl een gelegenheidssermoen werd gehouden door E. Pater Redemptorist Kint, legeraalmoezenier en oud-krijgsgevangene, van Roeselare. Na de kerkelijke plechtigheid werd een prachtige bloemenhulde gebracht aan het monument der oorlogslachtoffers op het kerkhof.
- Image 92371 : Vlagweiding te Avelgem.
25-05-1948
- Image 92372 : Afdeling Avelgem
Herdenking bevrijding der kampen
1970
- Réunions des rescapés du 'Train fantôme' : 1953-1970. - 28 photos
- Réunions du Verdinaso, 1940. - 14 photos
- Réunions du Verdinaso, [1940-1945]
- Réunions en Grèce : 1935-1936. - 5 photos
- Réunions en Roumanie, 1939. - 3 photos
- Réunions et excursions par les rescapés de Ravensbrück : 1950-1970. - 43 photos
- Réunions, fêtes, journées des cadres et autres manifestations organisées par Rex, 1942-1944. - 28 photos
- Image 25431 : Vergadering van Rex-militanten te Brussel. Zicht in de zaal.
- Image 25434 : En commémoration des héros morts sur le front intérieur et face à l'ennemi bolchéviste, une cérémonie civile eut lieu au Beaux-Arts le 21/5/L1942.Les personnalités.
- Image 25436 : En commémoration des héros morts sur le front intérieur et face à l'ennemi bolchéviste, une cérémonie civile eut lieu au Beaux-Arts le 21/5/L1942. L'estrade.
- Image 25442 : Les membres des formations de combat Rexistes ont prêté serment de fidélité au chef de Rex et obéissance aux supérieurs.
De leden der "Fomations de combat" van Rex hebben een eed van trouw aan hun leider en gehoorzaamheid aan hun oversten afgelegd.
- Image 25445 : Réunion Rexiste.
- Image 25474 : Grande fête des Waffen SS Wallons à Namur, le 12/12/1943
- Image 25479 : Grande fête d'hiver de la Waffen SS pour les familles des légionnaires.
- Image 25489 : 1500 dirigeants du Mouvement Rexiste, réunis le 4 avril 1943, dans la "Salle des Marbres", du Palais des Beaux-Arts, à Bruxelles, pour y entendre les directives du Chef de Rex, le Lieutenant Léon Degrelle, avant son retour au Front de l'Est.
- Image 25498 : L'assemblée du cercle Rexiste au Palais des Sports. Une assemblée du cercle Rexiste a eu lieu au Palais des Sports cet après midi. Le chef de Rex a.i. V. Matthys y a pris la parole. Une vue de l'assemblée, au fond de la salle un portrait de Léon Degrelle (25/10/1942).
- Réunions parlementaires en Yougoslavie : ...-1941. - 2 photos
- Reus durant la guerre civile d'Espagne, [1938-1939]. - 1 photo
- Réveillon dans un cabaret à Paris : [...-1939]. - 2 photos
- Révolte albanaise. - 1 photo
- Révolte des Philippines, 04/06/1935. - 1 photo
- Révolte en Asturies, 10/1934. - 5 photos
- Révolte en Catalogne, 10/1934. - 6 photos
- Révoltes, coup d'état et procès en Espagne, 1931-1936. - 8 photos
- Révoltes paysannes en Espagne, [...-1936]. - 4 photos
- Revue militaire à Paris : 1934. - 2 photos
- Revues et inspections des troupes japonaises et diverses parades militaires, 1932-1942. - 63 photos
- Reynaert, chef des volontaires flamands pour les travaux agricoles, 1940-1945. - 1 photo
- Richard Jungclaus, général SS, chef du Germanische Leitstelle-Aussenstelle Flandern, 1942-1943. - 23 photos
- Richard Raoul : [...-1939]. - 1 photo
- Rik Wijckmans, chef des affaires générales de la Communauté du Travail germano-flamande (DeVlag), 1940-1945. - 3 photos
- Rino Corso Fougier, général et chef d'Etat-Major de la Force aérienne italienne de 1941 à 1943, en visite en Belgique, 1940. - 1 photo
- Rivière Liar : artillerie et génie, 13/01/1932-18/01/1932. - 2 photos
- Rivière Liar : troupes japonaises, 13/01/1932-18/01/1932. - 1 photo
- Rizières et réserves de riz à Sumatra et Java, [...-1945]. - 5 photos
- Robert Carrein, chef de service de la Ligue Nationale Flamande (VNV), 2/1943. - 1 photo
- Robert Destrait, chef du camp de Caparica au Portugal, 1940-1945. - 1 photo
- Robert Everts, ambassadeur de Belgique à Madrid : [...-1939]. - 5 photos
- Robert Fransman, commissaire pour la reconstruction de Tessenderlo, 1942. - 1 photo
- Robert Gaden, chef d'orchestre, 1941. - 4 photos
- Robert Gillon, président du Sénat, 1940-1945. - 6 photos
- Robert Heger, chef d'orchestre invité en Belgique, 1942. - 10 photos
- Robert Ley, chef du Front du Travail allemand, 1940. - 4 photos
- Robert Van Roosbroek, historien, professeur à l'Université catholique de Louvain, échevin de l'enseignement à Antwerpen à partir de 1942, 1941-1944. - 10 photos
- Image 7515 : Prof. Robert Van Roosbroeck
- Image 7516 : Inauguration de l'expositon du livre allemand, à Anvers, le 20 juin 1942. Le professeur Dr Van Roosbroeck, prononçant son allocution.
- Image 7517 : Officiële openingszitting der provinciale cultuurdagen in het teken van de Jan Frans Willems-herdenking, in de raadszaal van het provinciaal hotel te Antwerpen. Toespraak door prof. Dr. R. Van Roosbroeck.
- Image 7518 : La remise du prix Rembrandt à Felix Timmermans.
Vue générale de la salle.
- Image 7520 : "Deutschland, Deutschland über alles !" - Jahrhundertfeier des Deutschland-Liedes.
Den Tag, an dem August Heinrich Hoffmann v. Fallersleben vor 100 Jahren auf Helgoland das Deutschland-Lied gedichtet hat, liess seine Heimatstadt, nach der er seinen Namen trägt,, nicht ohne eine Reihe festlicher Veranstaltungen vorübergehen. Nach der Morgenfeier der HJ schloss sich eine Feierstunde "100 Jahre Deutschland", in der neben Gauleiter Telschow der flämische Professor Robert van Roosbroeck das Wort ergriff. Der flämische Gast, der über das Thema "Hoffman v. Fallersleben und Flandern" sprach, gab einen interessanten Einblick in den Austausch geistigen Gutes zwischen Deutschland und Flandern.
27.8.1941
- Image 7521 : Prof. Dr. Robert Van Roosbroeck tijdens de Kultuurdagen van DeVlag. Werkzitting 28/8/1943.
- Image 7522 : Kultuurdagen der Vlaamse-Duitse arbeidsgemeenschap, Brussel. Jaarvergadering, in de grote zaal, Paleis voor Schone Kunsten, zondag de 29/8/1943. Een zicht van de zaal.
- Image 7523 : Vilvoorde 5.5.44.
- Image 7524 : Kultuurdagen der Vlaams-Duitse Arbeidsgemeenschap. Opening der Vlaams-Duitse Kultuurdagen in de Senaatzaal van het Parlementsgebouw. 28.8.1943. Prof. Rob. Van Roosbroeck spreekt.
- Image 7525 : Kultuurdagen der Vlaams-Duitse arbeidsgemeenschap. Opening in de Senaatzaal van het Parlementsgebouw. 2.8.1943. Algemeen zicht van de zaal (Van Roosbroeck - uiterst links).
- Robert Vekemans, ingénieur, résistant, 1944. - 2 photos
- Robert Verbelen, officier SS, chef d'état-major de la Communauté de Travail germano-flamande (DeVlag), 1940-1945. - 3 photos
- Robrecht De Rijck : [...-1940]. - 1 photo
- Rocketts girls à Paris : 1937. - 4 photos
- Roger Janssens, banquier belge, 1935. - 1 photo
- Roi Simeon II : 1943. - 9 photos
- Image 60541 : Prince héritier de Bulgarie, Simeon Tarnovski.
- Image 60544 : Le Prince héritier de Bulgarie et sa soeur la Princesse Marie Louise.
- Image 60546 : La petite princesse Marie Louise de Bulgarie avec son frère Simeon, héritier au trône de Bulgarie, dont le baptême va avoir lieu ces jours-ci.
- Image 60549 : La mort du roi Boris III de Bulgarie.
Le Prince Siméon Tarnowski, fils du Roi défunt, succède à son père sous le nom de Simeon II.
Photo: le Prince à l'âge de 2 ans.
- Image 60551 : La mort du roi Boris III de Bulgarie.
Le Roi défunt avec ses deux enfants, la Princesse Marie Louise et le Prince héritier Siméon Tarnowski, qui devient Roi sous le nom de Simeon II.
- Image 60553 : La plus récente photographie du roi de Bulgarie Siméon II.
De jongste foto van den Koning van Bulgarije Simeon II.
1.IX.1943.
- Image 60556 : Le roi Boris de Bulgarie est mort.
Photo: un tout récent portrait du jeune prince héritier de Bulgarie, âgé de six ans, qui devient roi sous le nom de Simeon II.
29.VIII.1943.
- Image 60561 : Roi de Bulgarie, Simeon II.
[?].IX.943.
- Image 60563 : Le roi de Bulgarie est mort.
Photo: la famille royale de Bulgarie: le Roi, la Reine et leurs enfants Siméon et Marie Louise. Au centre, le prince héritier âgé de six ans qui devient roi sous le nom de Siméon II.
2.IX.1943.
- Rolland, Président de la Fédération des commerçants de radio : [...-1940]. - 1 photo
- Roman Novarro, Acteur américain de films : 15/6/1933. - 1 photo
- Rombaux, Inventeur belge et horloger : 10/5/1933. - 1 photo
- Roncq (près de Lille) incendie du château ayant servi de logement aux troupes allemandes en mai 40 : 1940. - 4 photos
- Ronda durant la guerre civile d'Espagne, [1936]. - 2 photos
- Rosa De Guchtenaere, enseignante, 1940-1945. - 1 photo
- Rosemann, fonctionnaire de l'administration allemande en Belgique, 1942. - 2 photos
- Rote Jugend Tage en Basse-Autriche, [1930-1938]. - 1 photo
- Route Roermond-Venlo
- Routes d'Iran, [...-1945]. - 14 photos
- Rudolf Gillis, chef du Service pour l'organisation du Service du Travail volontaire pour la Flandre (VAVV) et chef de l'école d'application à Brecht, 1940-1945. - 1 photo
- Rugby : Match Côte d'argent/Littoral-Provence à Paris : 1942. - 2 photos
- Rugby : Match, divers en France : 1941-1944. - 16 photos
- Rugby : Match Perpignan/Bayonne à Paris : 1944. - 5 photos
- Rugby : Match Racing/A.S. Limoges à Paris : 1943. - 2 photos
- Rugby : Match Toulouse/Agen à Paris : 1944. - 3 photos
- Ruines de la guerre civile à Belchite : 1941. - 1 photo
- Ruines de la guerre civile en Espagne : [1939-...]. - 13 photos
- Ruiz Funes, Ambassadeur d'Espagne à Bruxelles : 2/12/1938. - 1 photo
- Ruoff, membre du conseil des ministres allemands, 1942. - 1 photo
- Ruptures de digue : [...-1939]. - 11 photos
- Russes faits prisonniers de guerre par les Hongrois sur le front de l'Est, 1941. - 1 photo
- Russes faits prisonniers par les Roumains sur le front de l'Est, 1942-1944. - 7 photos
- Rust, Ministre de l'éducation allemand en Bulgarie, 1940. - 1 photo
- Rutger P. Everaert, chef de service de la Jeunesse national-socialiste de Flandre (NSJV)), 1941. - 1 photo